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1.
Résumé Des élevages expérimentaux deCallosobruchus maculatus (F.) (Coleoptera, Bruchidae) sur les graines deVicia faba décortiquées ou non, ou sur des pastilles faites des mêmes graines, ont permis de mettre en évidence une barrière empêchant le développement de la bruche.Avec les graines entières, toutes les larves meurent au premier stade enfoncées dans le tégument; alors qu'elles se développent normalement dans les graines décortiquées.Avec des pastilles de broyats de graines non décortiquées, la majorité des larves meurt avant le terme de leur développement; la plus forte mortalité est observée au quatrième stade larvaire. Les larves, qui survivent, accusent une augmentation de leur durée de développement par rapport à celles qui se nourrissent aux dépens des pastilles faites de graines sans tégument.  相似文献   

2.
Résumé Bruchus affinis Frölich (Coléoptère, Bruchidae), est une espèce univoltine attirée sélectivement par les fleurs de L. sylvestris, qui constitue l'une des trois plantes dont les larves consomment les graines. Il s'agit d'un insecte typiquement spécialisé à l'exploitation de plantes particulières. Cependant, les femelles distribuent leurs ufs sur les gousses jeunes de L. sylvestris sans tenir compte, ni de leur disponibilité en graines, ni du nombre d'ufs déjà présents, alors que le développement des larves est solitaire. Les larves néonates perforent la gousse et gagnent des ovules. Plusieurs larves peuvent atteindre le même ovule, mais une seule se développe dans la graine en formation. Le nombre d'ufs pondus sur les premières gousses dépasse largement le nombre de graines qui se développeront dans ces gousses. La surabondance d'ufs sur les premières gousses entraîne une forte mortalité.Les déplacements des larves dans les gousses et leur comportement de pénétration dans les graines en croissance ne suppriment pas la compétition intraspécifique larvaire.Aucune adaptation n'ajuste la distribution des ufs et la répartition des larves à l'utilisation optimale des disponibilités en graines. Aucune stratégie adaptative ne limite le gaspillage de progéniture; la spécialisation trophique n'a pas entraîné un comportement reproducteur optimisant l'utilisation des ressources et la survie de la descendance.Bien que la période étudiée corresponde à moins de 10% de la durée du cycle annuel de B. affinis, la très forte mortalité observée entre la ponte et l'installation dans les graines constitue vraisemblablement le facteur-clé des fluctuations annuelles de la population. Les causes de cette mortalité varient d'une station à l'autre, et il est impossible de les hiérarchiser.  相似文献   

3.
Summary With two combs and one or a small number of workers it was found that the comb itself without brood was less attractive than a comb with cocoon caps or larvae, but single workers were equally attracted to combs with a large or small number of larvae, or queen or non-queen larvae. A worker walked at random when off a comb and tended, when on a comb, to stay with the first group of larvae that it found.Observations in the field showed that adults formed a group at night at the bottom of the nest.Records from six observation nests of whole or almost whole colonies have been collected over a period of three years. In all cases a dominant comb, which carried a larger percentage of the workers than any other comb and usually the queen if present, was soon established. The dominant comb always contained brood, was nearest or one of the combs nearest the entrance, received most foragers, and workers grouped on it more frequently than other combs.The grouping behaviour of workers on a comb can be related to background temperature and caused comb temperature to increase to 29° C–32.5° C.The worker attention a larva received increased as the number of workers on its comb increased.Reasons for and the consequences of grouping behaviour, the appearance of a dominant comb and the position of the latter in the nest, are discussed.
Résumé Au cas où il y a deux rayons et soit un seul, soit un petit nombre d'ouvrières, on constate que le rayon sans couvain attire moins les ouvrières que celui operculé (cocons ou larves). Pour ce qui est d'un petit nombre ou d'un grand nombre de larves, ou encore des larves de reines ou de non-reines, l'attraction est égale pour chaque ouvrière. L'ouvrière ne se trouvant pas sur le rayon se déplace au hasard. De plus, quand elle est sur un rayon elle a tendance à rester avec le premier groupe de larves qu'elle trouve.L'examen des observations effectuées sur le terrain montre que les adultes se groupent la nuit, au fond du nid.Six nids, contenant des colonies entières ou presque entières, ont fait l'objet de plusieurs observations pendant une période de trois ans. Durant la même période, les résultats ont été enregistrés. Dans tous les cas, un rayon dominant s'est établi dans un bref délai. Ce rayon avait un plus grand pourcentage d'ouvrières que tout autre, et comportait généralement la reine. Le rayon dominant contenait toujours du couvain; il se trouvait le plus près de l'entrée du nid (ou bien était parmi les plus près); il recevait le plus grand nombre de butineuses, et des ouvrières s'y groupaient plus fréquemment que sur d'autres rayons.Il est possible d'établir un rapport entre le comportement des ouvrières lorsqu'elles se groupent sur un rayon, et la température ambiante. En effet, ce comportement a entrainé une hausse allant jusqu'à 29° C–32,5° C sur le rayon.L'attention que prêtait une ouvrière à la larve augmentait à mesure que le nombre d'ouvrières sur son rayon augmentait.On traite dans cet article du comportement observé lors d'un groupement, les raisons et les conséquences; ainsi que de l'apparition d'un, rayon dominant et de la position de celui-ci dans le nid.
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4.
Medium sized (average 43.1 mg) and large (average 110.6 mg) wireworm larvae (Ctenicera aeripennis aeripennis) were reared in sterilized or unsterilized soil, with sterilized or unsterilized flax seed supplied as food. Sterilized flax was a better food than unsterilized flax, but unsterilized soil improved the results obtained with unsterilized flax.
Sommaire Dans un effort de détérminer les différences biologiques entre le taupin des graminées, Ctenicera aeripennis destructor (Brown), et celui de Puget Sound, Ctenicera aeripennis aeripennis (Kby), les effets sur les larves de ce dernier de la semence de lin et du sol sterilisés fut observés pendant 30 semaines. Contraire aux résultats obtenus avec les larves de C. a. destructor, le lin sterilisé autant que le lin non-sterilisé prouva attrayant et efficace pour la croissance aux larves de taille moyenne de C. a. aeripennis. Les larves de C. a. aeripennis de grosse taille ne différèrent de celles de C. a. destructor que par une plus grande augmentation de poids quand le lin sterilisé ou non-sterilisé fut présent en sol nonsterilisé. La survivance des larves de grandeur moyenne fut meilleure avec le lin sterilisé qu'avec le lin non-sterilisé tandis que celle des grosses larves ne fut pas influencée.Les résultats obtenus sans le lin avec les larves des deux espèces suggèrent que les microorganismes dans le sol ne sont probablement pas utilisés dans l'alimentation de ces espèces. Dans le cas des larves de C. a. aeripennis de grosse taille, il est fort probable que les microorganismes dans le sol rendent plus accessibles aux larves des facteurs alimentaires du lin, ce qui leur permet une croissance meilleure que d'ordinaire.Pourvues du lin, 25 p.c. des larves de grandeur moyenne mangèrent hebdomadairement. A peu près de 5 p.c. muèrent chaque semaine, même sans lin. Avec le lin non-sterilisé, 17 p.c. des larves survécurent dans le sol sterilisé, tandis que 55 p.c. survécurent en sol non-sterilisé. Avec le lin sterilisé, plus de 90 p.c. survécurent, et dans le sol non-sterilisé et dans le sol sterilisé. Pourvues du lin, les larves prirent du poids; sans lin, elles en perdirent.Avec le lin sterilisé dans le sol sterilisé, 31 p.c. des larves de grosse taille mangèrent chaque semaine et seulement 16 p.c. dans tout autre cas. A peu prés 4 p.c. muèrent chaque semaine. Seulement 37 p.c. des larves de cette taille survécurent dans le sol non-sterilisé avec le lin non-sterilisé, mais plus de 98 p.c. survécurent avec du lin sterilisé dans le même sol et plus de 65 p.c. dans le sol sterilisé pourvu de lin ou sans lin.


Contribution No. 22, Canada Department of Agriculture Research Station, Saskatoon, Canada.  相似文献   

5.
Rates of development ofEpisyrphus balteatus (Diptera: Syrphidae) indicate that three generations are possible during the season. Only one develops in the wheat crop. Feeding activity is highest during the night. Functional response curves for newly hatched larvae, 1 and 5 day-old larvae were determined. The high rate of reproduction and the short feeding period makeE. balteatus an excellent exploiter of a temporary habitat: a cereal aphid colony.
Episyrphus balteatus (Syrphidae), prédateur deSitobion aveane (Aphididae) sur blé d'hiver
Résumé Les durées de développement deE. balteatus dépendent de la température. L'incubation a duré 14.2 jours à 7.5°C et 1.59 jour à 25°C. Le développement larvaire jusqu'à la dernière défécation a demandé 35.8 jours à 7.5°C, et 10.1 jours à 20°C. Seule une génération peut se développer chaque année sur blé d'hiver, car la durée totale de l'ontogenèse, dans les conditions de température des champs, est comprise entre 30 et 45 jours. Les larves s'alimentent surtout la nuit. La prédation maximale à 20°C augmente avec l'âge de la larve, depuis 2.34 pucerons du troisième stade par jour pour une larve de syrphe néonate jusqu'à 5.04 pucerons du troisième stade quand les larves ont un jour. Les consommations les plus élevées, de 38.6 et 42.7 pucerons par nuit de 7 heures, ont été obtenues avec des larves de 4 à 5 jours, élevées à 21/13°C.A 20°C, le temps consacré à l'alimentation par des larves néonates de syrphes augmente avec la taille de la proie; il passe de 63.6 min pour des pucerons du premier stade à 131.2 min pour ceux du second stade. La relation entre le poids de la larve et le nombre de pucerons consommés est linéaire.E. balteatus a besoin, pour son développement, de moins deS. avenae que deA. fabae.
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6.
Summary Colonies ofOdontotermes ?latericius in the vicinity of Lusaka, Zambia, built their mounds primarily during the rainy season. Individual colonies began building some time before or after the beginning of the rains. Building usually ended before the end of the rains, but some colonies continued to build for some time after this. Occasionally a heavy rain after a period of dry weather caused numerous colonies to begin building again. There was no clear relation between building activity and other environmental factors.The pattern of activity within the rainy season varied greatly from colony to colony and year to year. Some colonies did no building during an entire season, and there was never a time when all colonies were active simultaneously. Except for a crude correlation of activity associated with rainfall the colonies seemed to be active at random with respect to each other. A colony sometimes remained continuously active for several months, but others were sometimes active for less than a day. A colony sometimes concentrated all its activity on one mound or chimney, but at other times activity shifted erratically from site to site. The structures built in one season usually were not used the following season. When building, the termites were active day and night, but usually were most active at night and least active on hot dry days.
Résumé Dans les environs de Lusaka, Zambie, les colonies d'Odontotermes latericus construisent essentiellement leurs monticules durant la saison des pluies. Certaines colonies commencent la construction peu de temps avant ou après le commencement des pluies. En général, la construction cesse avant la fin des pluies mais quelques colonies continuent à construire pendant quelque temps après cette période. Habituellement une forte pluie après une période de sécheresse incide de nombreuses colonies à construire à nouveau.On ne trouve aucune relation évidente entre le comportement constructeur et d'autres facteurs d'environnement.Le schéma d'activité pendant la saison des pluies varie considérablement d'une colonie à l'autre et d'une année à l'autre. Certaines colonies ne construisent pas durant une saison entière et on n'observe jamais une période d'activité générale pour toutes les colonies. A part la corrélation évidente entre l'activité et les pluies, les colonies semblent actives au hasard chacune relativement aux autres. Une colonie peut rester active continuellement pendant plusieurs mois tandis que l'activité d'une autre peut durer moins d'un jour. Une colonie peut concentrer son activité sur une cheminée ou un monticule, tandis qu'à d'autres moments elle peut passer d'un emplacement à un autre de manière erratique. Les constructions édifiées durant une saison ne sont généralement pas utilisées durant la saison suivante. Pendant la construction, les termites sont actifs durant le jour et la nuit, mais habituellement ils sont les plus actifs durant la nuit et le moins pendant les jours chauds et secs.
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7.
Callosobruchus maculatus (F.) is a tropical insect (Coleoptera: Bruchidae) that develops in Vigna unguiculata (Walp) seeds. In this beetle, there are two distinct adult forms that differ in their morphology, physiology and behaviour, the flight form and the flightless form. The development of C. maculatus is analyzed in a traditional store in Niger. During the dry season, 6 to 7 generations of the flightless form develop in the store. When the atmospheric water content increases during the rainy season, adults of the flight form appear and escape from the store. Experimental studies have shown that the adult polymorphism is induced during post-embryonic development and depends on prevailing abiotic factors during this period. The proportion of flight from adults is high when larvae develop in moist seeds (14–15% of water content). Under dry conditions (6–7% of water content) only flightless adult forms emerge from the seeds. Temperatures during development also influence adult polymorphism. In thermoperiodic conditions with 12–13% seed water content, the proportion of flight from adults increases with increasing duration of the thermophase. However, at low temperatures, a high proportion of flightless adult forms emerge, regardless of seed water content. The adaptive importance of these two abiotic factors on polymorphism induction is examined in this study.
Résumé Callosobruchus maculatus (F.) est un Coléoptère Bruchidae tropical qui se développe aux dépens des graines de Vigna unguiculata. Les adultes présentent un polymorphisme; il y a en effet deux formes, la forme voilière et la forme non voilière, distinctes par des critères morphologiques, physiologiques et comportementaux. L'évolution des populations de C. maculatus a été suivie pendant toute la saison sèche et le début de la saison des pluies dans la région de Niamey au Niger (13° LN) à l'intérieur d'un grenier traditionnel. Pendant toute la saison sèche, 6 à 7 générations de C. maculatus de la forme non voilière se succèdent à l'intérieur du grenier. Les adultes de la forme voilière, très actifs, apparaissent surtout au cours de la saison des pluies lorsque la teneur en eau de l'atmosphère et la teneur en eau des graines augmentent. Les études expérimentales réalisées au laboratoire montrent que le polymorphisme imaginal est induit au cours du développement post-embryonnaire et dépend des conditions climatiques dans lesquelles celui-ci a lieu. Le taux d'adultes de la forme voilière est élevé lorsque les larves se développent dans des graines à forte teneur en eau (14 ou 15%). Lorsque la teneur en eau des graines est faible (6 à 7%), il n'y a émergence que d'adultes de la forme non voilière. Lorsque la teneur en eau des graines est comprise entre 12 et 13%, le taux d'adultes de la forme voilière s'accroit et varie avec la durée de la thermophase. A basse température il y a toujours émergence d'adultes de la forme non voilière, quelle que soit la teneur en eau des graines. L'influence de ces deux facteurs abiotiques sur l'induction du polymorphisme imaginal joue probablement un rôle important dans les mécanismes adaptatifs permettant le maintien de cette espèce en zone tropicale.
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8.
In Drepanosiphum dixoni H. R. L. the heavier the adult the greater the fecundity. However, brachypterous alatae are more fecund than macropterous alatae in the first 10 days of adult life as well as in the first 10 days of reproductive life. There is no difference in the weight at birth between the offspring of brachypterous and macropterous alatae.
Résumé Les ailés brachyptères et les ailés macroptères de Drepanosiphum dixoni sont très semblables dans leurs structures. Les brachyptères sont dépourvus des muscles indirects du vol et leurs ailes, quoique de forme parfaite, sont plus courtes que celles des ailés macroptères.La fécondité est d'autant plus grande que l'insecte adulte est plus lourd. Cependant, les ailés brachyptères sont plus féconds que les ailés macroptères aussi bien pendant les 10 premiers jours de leur vie adulte (Fig. 1A) que pendant les 10 premiers jours de leur reproduction (Fig. 1B). La différence de fécondité est plus marquée quand on se réfère aux 10 premiers jours de la vie adulte, (comparer Fig. 1, A et B), car le délai entre la mue imaginale et le début de la reproduction est plus court chez les brachyptères (2, 4 jours) que chez les macroptères (3, 3 jours).On n'observe pas de différences dans le poids à la naissance de la descendance de chacune des 2 formes.Dans l'évolution de l'aptérisme chez les Aphides il est vraisemblable que l'avantage initial réside dans un accroissement de fécondité, comme chez D. dixoni. Un développement secondaire possible dans l'évolution du dimorphisme alaire chez les Aphides est celui observé chez A. fabae où les ailés produisent une plus petite descendance, la proportion de celle-ci qui naît dans les quelques premiers jours de la vie adulte étant plus élevée que chez les formes aptères.
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9.
A preliminary assessment was made of a variety of approaches to dosing insects with compounds that normally deter feeding. Enclosing water-soluble compounds in liposomes has promise for strong deterrents, although in drinking assays many deterrents lose their potency anyway. Microencapsulating compounds by embedding them in a polymer matrix to form spheres without a true barrier wall may have masked deterrency of a lipophilic compound, but did not adequately mask the taste of water-soluble compounds. Microencapsulation with gelatin was shown to work with lipid-soluble dye and the capsule walls appear to be broken down very rapidly after ingestion. Coating fine particles with beeswax did not successfully mask the deterrence of quinine, but has value with compounds insoluble in lipids. Starch coating can be effective for insects lacking salivary amylase. Molecular encapsulation of grindelic acid in cyclodextrin masked its deterrency to Schistocerca americana. Nymphs fed this material through the second and third instars showed an increase in development time during the third instar without any corresponding reduction in consumption rate. Behavioral approaches to administering deterrent compounds include drinking and habituation. Some compounds that reduce consumption of leaf material were taken in drinking water in amounts sufficient to give relevant doses in one or two drinks daily. Pseudaletia unipuncta larvae fed nicotine-treated wheat through the fifth and sixth instars ate less than control larvae during the first 24 h of the experiment but showed no reduction in consumption after that period. A one-day increase in development time was attributed to the one-day habituation period. More work is needed on the release of taste-masked compounds in the gut.
Resumé Des essais préliminaires ont porté sur les différentes techniques de dosage de produits qui normalement inhibent la prise de nourriture. L'isolement des composés hydrosolubles dans des liposomes a donné des résultats prometteurs pour les dissuadants puissants, bien qu'au cours d'absorptions expérimentales de liquide beaucoup de dissuadants aient perdu de leur efficacité. La microencapsulation, en les enfouissant dans une matrice de polymère pour former des sphères sans véritable paroi, peut avoir masqué le pouvoir dissuadant des produits lipophiles, mais n'a pas masqué suffisamment le goût des produits hydrosolubles. La microencapsulation dans des capsules de gélatine a été efficace avec les colorants liposolubles, la paroi de la capsule semblant détruite très rapidement après ingestion. Le revêtement de fines particules par de la cire n'a pas masqué efficacement l'effet dissuasif de la quinine, mais a été valable avec les produits insolubles dans les lipides. L'encapsulation moléculaire de l'acide grindellique dans de la cyclodextrine a masqué son effect dissuasif pour [?]Schistocerca gregaria. Les larves ont mangé le tout pendant les second et troisième stades et ont présenté un ralentissement du développement pendant le troisième stade sans diminuation de la consommation. L'étude comportementale de l'administration de produits dissuasifs comprend l'action de boire et l'accoutumance. Certains produits qui réduisent la consommation de feuilles ont été absorbés en quantités suffisantes avec l'eau de boisson pour donner des doses significatives avec une ou deux prises de liquide par jour. Des larves de Pseudaletia unipuncta alimentées avec du blé traité à la nicotine pendant les cinquième et sixième stades, ont consommé moins que les témoins, mais seulement pendant les 24 premières heures de l'expérience. La prolongation d'un jour, de la durée de développement, a été attribuée au temps nécessaire à l'accoutumance.
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10.
Résumé La présence des gousses et graines de six espèces de Phaseolus déclenche une ponte importante chez A. obtectus et stimule significativement la production ovarienne. Cependant, les meilleures performances ne sont pas observées avec P. vulgaris, hôte habituel, mais avec P. coccineus.Pour toutes ces espèces le tégument de la graine représente une barrière importante pour la pénétration des larves. Chez certaines espèces sauvages, et dans les conditions expérimentales, il permet une protection totale de la graine. Cette protection semble diminuer avec la domestication chez P. vulgaris.Lorsque les graines sont perforées artificiellement, les larves (une par graine) pénètrent sans difficulté, quelle que soit l'espèce. Les graines de P. coccineus et de P. vulgaris permettent le développement complet de la majorité des larves, tandis que dans celles de P. metcalfei et de P. acutifolius ne peut se développer qu'une faible partie de la population larvaire. Certains Phaseolinae peuvent donc stimuler la ponte sans permettre le développement des larves.Les femelles de la F1 provenant de P. coccineus ont des performances reproductrices supérieures à celles des femelles provenant de P. vulgaris (variétés sauvage ou cultivée). P. coccineus pourrait être considéré comme une des plantes-hôtes d'origine.
Summary The presence of pods and seeds of six Phaseolus species induces significant egg-laying in A. obtectus and strongly stimulates ovarian production. However, the best performances are not observed with P. vulgaris, the common host, but with P. coccineus.For all six species, the seed testa is an important barrier against larval penetration. For some wild species, it can give total protection of the seed, but this protection is reduced with domestication in P. vulgaris.For all species, when the seeds are artificially perforated, larvae (one per seed) penetrate easily. Most of the larvae can complete their development in seeds of P. coccineus and P. vulgaris, but only a small proportion of the larval population can develop in seeds of P. metcalfei and P. acutifolius. Thus certain Phaseolinae seeds stimulate egg-laying without allowing larval growth.Females of the F1 reared in P. coccineus have superior reproductive capacities than those reared in P. vulgaris. P. coccineus could be considered as one of the original host-plants of A. obtectus.
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11.
Pasture wireworm, Conoderus exsul (Sharp) fed more on larvae of the Australian soldier fly (Inopus rubriceps (Macquart)) than on germinating wheat seed when given a choice in the laboratory. Conversely, Agrypnus variabilis (Candeze), another wireworm found in New Zealand pastures, fed more on wheat seed. As determined by a serological technique (immuno-osmophoresis), 19% of C. exsul larvae, 20% of A. variabilis larvae and 80% of the adults of a staphylinid, Thyreocephalus oxthodoxus, (Olliff) collected in a pasture, had fed on I. rubriceps larvae. A predation rate of 12 soldier fly larvae/m2/day was estimated for C. exsul larvae.
Résumé Pour déterminer la valeur de Conoderus exsul Sharp comme prédateur d'Inopus rubriceps Macquart, ravageur des prairies en Nouvelle Zélande, cet élatéride a été sur nourri des végétaux et animaux. En 72 heures, il s'est alimenté plus abondamment sur I. rubriceps que sur grains de blé. Par contre, un autre élatéride des prairies, Agrypnus variabilis Candeze, a consommé plus de grains de blé que de I. rubriceps.Une technique sérologique, l'immuno-osmophorèse, a montré que 19% des larves de C. exsul, 20% de celles de A. variabilis et 80% des adultes du staphylin, Thyreocephalus orthodoxus Olliff récoltés dans la nature, avaient consommé des larves de I. rubriceps.En se basant sur la densité en Elatérides, sur le pourcentage de réactions positives, sur les taux de consommation quotidiens, et la période d'observation de proies dans le tube digestif des prédateurs, on peut estimer que 12 larves/m2/jour de I. rubriceps ont été détruites par les larves de C. exsul pendant les 7 semaines de la période utilisée.
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12.
Temporal changes in the egglaying behaviour of the Hessian fly   总被引:1,自引:0,他引:1  
Responses of mated female Hessian flies were investigated by analysing the behaviour of individual flies in wheat and oats. The behavioural repertoire of such females included: flying, alighting on leaves, arching of the body so that the tip of the abdomen touched the leaf surface, antennation, movements of the tip of the abdomen across the leaf at right angles to leaf veins, sitting with the ovipositor straight but still extended, and sitting with the ovipositor telescoped into the body. After alighting, females on wheat showed a higher frequency of transitions from arching to antennation and a lower frequency of transitions from arching to abdomen straight than females on oats. During the first 5 min of observations, individuals released into arenas with wheat arched and antennated 2–3 times more frequently than females released into oats. Time allotted to behaviours also differed; during the first 5 min, females in wheat spent 50 percent more time arching, whereas females in oats spent 50 percent more time sitting. Females in wheat also stayed longer and laid 4 times more eggs than females in oats. Temporal changes in egglaying were monitored by quantifying hourly rates of egglaying in no-choice assays for several hours following mating at 9:00 am. During the first and second hours post-mating, egglaying occurred infrequently. However, during the third hour post-mating (11:00 am to noon) females on wheat laid 5 times more eggs than females on oats. Rates of egglaying decreased on wheat but increased on oats during the fourth hour, and then during the fifth hour, decreased on both wheat and oats. Changes in egglaying responses were also evident when behaviours of individual females were measured 1–3 h vs. 3–7 h post-mating. Females deprived of host plants and released into wheat or oats later in the day showed higher frequencies of arching and antennation and laid more eggs before leaving the arena.
Résumé Les réactions de femelles préalablement accouplées de Mouches de Hesse ont été examinées en analysant le comportement de femelles isolées sur blé et sur avoine. Le répertoire comportemental de ces femelles comprenait: le vol, l'atterrissage sur feuille, la flexion du corps de sorte que l'extrémité de l'abdomen touchât la surface de la feuille, l'antennation, les mouvements de l'extrémité de l'abdomen sur la feuille à angle droit des nervures, le repos avec la tarière droite et encore dévaginée, le repos avec la tarière télescopée à l'intérieur du corps. Sur blé plus que sur avoine, les femelles après atterrissage ont présenté une fréquence plus élevée de passage de la flexion à l'antennation que de la flexion à l'abdomen droit. Durant les 5 premières minutes d'observation, les individus libérés dans des enceintes avec blé fléchirent et antennèrent 2 à 3 fois plus que ceux libérés sur avoine. Les durées des différentes séquences différaient aussi: sur blé, pendant les 5 premières minutes, les femelles passèrent plus de 50% du temps à fléchir, tandis que sur avoine elles passèrent plus de 50% du temps en repos. Les femelles restèrent aussi plus longtemps sur les feuilles de blé et y pondirent 4 fois plus d'oeufs que sur avoine.Les femelles de M. destructor ont montré une plasticité du seuil d'acceptation. Pendant les premières heures de ponte, elles ont été très sélectives et refusèrent, ou ne pondirent que quelques oeufs sur avoine, mais acceptèrent volontiers le blé. La discrimination s'est poursuivie tant que les femelles ont eu accès au blé en même temps qu'à l'avoine. Cependant, quand les femelles ont été privées de blé pendant plusieures heures, l'acceptation de l'avoine a augmenté. Cet accroissement de l'acceptation a eu lieu à peu près au moment où les femelles sur blé pondaient leurs derniers oeufs.
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13.
Résumé Les variations du volume du protoplasme pendant le développement ont été suivis chezD. virilis etD. melanogaster. Le protoplasme de l'uf fraîchement pondu remplit la membrane vitelline; bientôt, il se produit une contraction de volume, et il se forme un ellipsoïde. Le protoplasme continue à sa contraction pendant quelque temps, puis il se produit à une augmentation de volume. La projection des cellules polaires se fait immédiatement après cette augmentation. Celle-ci est élevée après la formation des cellules polaires et le volume atteint alors un maximum. Pendant cette période, la formation du blastoderme s'accomplit. Ensuite, pendant la période de la formation de la gouttière ventrale, le volume de l'embryon se réduit à nouveau; mais cela la contraction se limite à la partie céphalique seulement. Dans l'embryon létal nullo X, la contraction et l'augmentation de volume se font comme dans l'embryon sain, bien que les noyaux n'exécutent pas leur migration centrifuge. La relation entre la variation de volume et la migration des noyaux est discutée.  相似文献   

14.
    
The spatial and temporal distribution of eggs by Callosobruchus chinensis L. indicates under-dispersion. This holds true for either individual females or populations, and after antennectomy as well. An experimental design for assaying ovipositional preference of many seed species together is advanced, in which equal surface areas of the different seeds are available for oviposition.
Résumé La distribution des oeufs dans l'espace et dans le temps chez Callosobruchus chinensis L. est determinée quantitativement. Une distribution plus uniforme que celle qu'on pouvait attendre d'une distribution au hasard apparaît pendant la ponte normale. L'inhibition de la ponte pendant quelques jours entraine, dans la distribution des oeufs, des groupements, qui s'éliminent par la suite. L'antennectomie n'influence pas cette distribution uniforme. Les femelles ne distinguent pas leurs propres oeufs de ceux pondus par d'autres femelles. Si l'on ajoute des graines additionelles dans un récipient dans lequel la ponte s'est faite pendant un certain temps, les femelles concentrent alors leur ponte sur les nouvelles graines, jusqu'à ce que la densité soit égale dans l'espace. Un système expérimental est proposé pour évaluer la ponte préférentielle lorsque beaucoup de différentes sortes de graines sont mélangées ensemble et que chaque sorte est représentée par une aire égale. Lorsque sept sortes de graines ont été évaluées de cette manière, on a trouvé qu'on pouvait distinguer trois groupes de préférence, le groupe primaire comprenant quatre sortes de forme et de taille semblables.


I—General considerations of developmental compatibility. J. Ins. Physiol. 10: 783–788.
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15.
Larvae reared aseptically on pellets of synthetic diet in which the ratio of casein to dextrin was varied over the full range, gained most weight in a two-month period when the ratio was either 20:80 or 70:30. When the ratio was varied by smaller amounts in the region of these concentrations, the larvae gained most weight in a narrow range of 21 to 23 parts casein and also in a broad range of 65 to 71 parts casein. This bimodal response may occur because deleterious effects of large quantities of casein or dextrin in the diet are counteracted by small quantities of the corresponding component.
Sommaire Des larves du taupin des graminées, Ctenicera aeripennis destructor (Brown), ont été élevées individuellement et aseptiquement sur des régimes synthétiques dans des éprouvettes pourvues de coton humide. D'une part, les régimes variaient de l'un à l'autre par une augmentation de 10 parties de caséine depuis 0 jusqu'à 100, pendant que la dextrine diminuait également par 10 parties depuis 100 jusqu'à 0. D'autre part, elles augmentaient de deux parties de caséine, à partir de 15 jusqu'à 25 parties et de 65 jusqu'à 75, pendant que la concentration de dextrine diminuait également de 85 jusqu'à 75 parties et de 35 jusqu'à 25 parties. Ces régimes étaient donnés sous forme de boulette sur le coton.Les larves étaient pesées à 0.1 mg près au commencement des essais et la différence entre les poids initial et final de chacune était exprimée en quantités de milligrammes par milligramme de poids initial.Les larves ont également bien survécu avec tous les régimes. La meilleure augmentation pondérale était obtenue avec un régime contenant 21, 23, ou 67 parties de caséine. Ce dernier résultat n'était pas du tout surprenant. Il est probable que ni un manque complet ni une surabondance de protéine ou d'hydrates de carbone ne profite aux taupins. Si les petites quantités peuvent favoriser l'accroissment des larves, il est fortement probable que 20 parties de caséine soient suffisantes pour détruire n'importe quel effet défavorable d'un surcroît de dextrine (80 parties). De même, une teneur de 30 parties de dextrine pourrait donner assez de vigeur aux larves pour surmonter l'effet d'un niveau alimentaire de 70 parties de caséine. Aux autres concentrations, l'action de l'un est antagoniste de l'autre et probablement leurs effets réciproques s'annulent.


Contribution No. 94, Canada Department of Agriculture Research Station, Saskatoon, Sask.  相似文献   

16.
Virgin females of Distantiella theobroma (Dist.) produced a sex attractant capable of attracting males, which was emitted only during the late afternoon. Females first became attractive 3 to 5 days after the final moult when the first eggs matured in the ovarioles.Few wild males were caught in specially designed traps each containing a virgin female, and females had to adopt a characteristic calling position as a pre-requisite to male attraction. Female age affected attractiveness: a large catch of males on the day after calling began was followed by a decline before the numbers captured increased to maximum about 9 days later. No males were captured after the 18th day of calling.Few marked males were recaptured, and these in traps closest to the point of release. The capture of wild males was enhanced by a slight breeze but depressed in dim light and rain. The degree of trap exposure to the sun did not significantly affect the numbers captured although the positioning of traps may be important.No sex attractant was found in the related cocoa capsid Sahlbergella singularis.
Résumé Les femelles vierges de la Capside du Cacaoyer Distantiella theobroma se révèlent produire un attractif sexuel capable d'attirer les mâles; seules les femelles qui prennent une posture caractéristique d'appel sont attractives. Cet appel apparaît 3 à 5 jours après la dernière mue et ne se manifeste que dans la fin de l'après-midi, de 15h30 jusqu'au crépuscule. Les mâles seuls sont alors attirés.Un piège appâté avec une femelle vierge a été conçu pour capturer vivants les mâles attirés. Pendant deux mois de piègeage sexuel (en Octobre et Novembre 1970) correspondant à 893 jours de piègeage, on a capturé seulement 73 mâles de D. theobroma. On a noté une légère tendance à un accroissement du nombre des captures quand le piège renfermait 2 femelles vierges, au lieu d'une seule, mais la différence n'est pas significative; en outre cellesci mouraient plus précocement.Les captures sont les plus nombreuses le jour même où la femelle commence à appeler, vient ensuite un déclin suivi d'un second maximum du 10e au 13e jour. Il n'y a plus de captures de mâles 18 jours après le début de la manifestation d'appel sexuel, bien que certaines femelles non accouplées continuent à prendre la position d'appel jusqu'à leur mort, soit 34 jours.Deux mâles seulement ont été recapturés sur approximativement 125 qui avaient été lâchés à partir d'un arbre fonctionnant comme marqueur radioactif. Ces 2 mâles ont été capturés dans un des pièges les plus proches du point de lâcher.L'avantage d'une légère brise sur les captures et l'orientation de vol des mâles face au vent suggèrent que ce dernier intervient sur la dispersion d'un attractif chimique. Ce n'est que dans le cas de très faibles éclairements, conséquence de nuages épais habituellement accompagnés de pluie, que la capture des mâles est réduite de façon significative.Les femelles deviennent attractives quand leurs ovarioles renferment les premiers ufs mûrs, 4 jours après la dernière mue, bien que la position d'appel commence un peu avant cette époque.Il n'y a pas de différence significative entre les captures des mâles dans deux pièges différant par leur niveau d'éclairement; mais la variance entre ces pièges est très grande et le fait que les captures sont beaucoup plus nombreuses dans l'un des pièges suggèrent que la position du piège peut avoir un effet important sur la capture des mâles.Au cours de recherches préliminaires, concernant une autre Capside voisine, Sahlbergella singularis, aucune substance attractive sexuelle n'a été trouvée.
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17.
Larvae of the lacewing Nineta pallida (Schneider), collected in the field during two seasons, from September to July, were reared in the laboratory under short- or long-day light conditions at 21°C. In autumn and winter, artificial short days delayed the first ecdysis. The influence on the duration of the first instar was maximal (3.4 times longer) when the short days began at hatching time, and later regularly diminished. In spring, the second and third instars showed a reversed response so that the long days now increased the duration of development, although development took no more than 1.4 time as long as in short days. A similar effect appeared in field-collected third instars on and after mid June, reaching its maximum (1.8 time until the cocoon spinning) in July. This sort of photoperiodic effect on the larval development is new to the seasonal adaptation of the life cycle in insects.
Résumé Des formes préimaginales (oeufs, puis larves) de N. pallida sont récoltées sur des conifères de montagne (Pyrénées), chaque mois depuis septembre jusqu'en juillet en deux saisons (1983/84 et 1985/86). Elles sont ensuite élevées au laboratoire à 21°C, soit en jours longs (JL=L16:D8), soit en jours courts (JC=L8:D16).Le développement embryonnaire est légèrement plus long s'il se fait en JC. Pour les larves de premier stade récoltées en automne et en hiver, les JC retardent considérablement la première mue et prolongent aussi le deuxième stade qui en provient. L'influence retardatrice est maximale (3,4 fois) lorsque les JC agissent dès l'éclosion. Elle diminue ensuite progressivement et devient insignificante pour les larves récoltées à artir de février.Au printemps, les larves récoltées au deuxième stade ainsi que les troisièmes stades qui en découlent présentent une réaction inverse: ce sont alors les JL qui augmentent la durée du dévelopement, toutefois, pas plus de 1,4 fois par rapport aux JC. Un effet de même ordre se manifeste sur les larves de troisième stade récoltées à partir de juin, atteignant son maximum (1,8 fois) dans le lot de larves de juillet, c'est-à-dire peu avant la fin de la croissance pondérale larvaire et le coconnage.Un tel retardement du développement larvaire hivernal, prolongé au printemps et au début de l'été par une inversion de la réponse à la photopériode, est nouveau comme élément d'adaptation saisonnière du cycle naturel chez les insectes.
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18.
The effects of diet during the fifth stadium on performance of adult N. viridula were determined through comparing growth, fecundity, and duration of tethered flight of insects reared on four axenic diets: fresh green bean, raw-shelled peanut, a combination of the two and soaked soybean seed. Females reared on the combination diet were heavier than those reared on green beans and oviposited more than those reared on peanuts. Three-day-old adult females reared on peanuts flew longer than those reared on green beans. More females reared on diets containing mature seed showed a capacity for extended flight and had larger fat bodies at 34-days postemergence. Thus, inadequate diet during the fifth stadium irreversibly affected growth, development, reproduction and flight capacity.
Résumé Les effets du régime alimentaire pendant le 5ème stade sur les performances imaginales de N. viridula ont été déterminés en comparant la croissance, la fécondité, la durée du vol captif, et l'accumulation de corps gras chez des insectes élevés sur 4 régimes stérilisés. A partir de la formation des larves de 5ème stade, elles ont été alimentées sur haricots verts et arachides, ou transférées sur un régime formé exclusivement d'arachides, ou de haricots verts, ou de graines de soja trempées, cependant la durée du 5ème stade. Les insectes ont été transférés sur un régime de haricots verts et arachides à leur émergence.Les femelles élevées continuellement de haricots verts et arachides étaient plus lourdes (P<0,01) à l'émergence (161,6 mg) que celles élevées sur haricots verts (146,3 mg) pendant le 5ème stade, et pondent plus d'oeufs (P<0,08) pendant une durée de 34 jours (100,9 oeufs) que celles élevées sur arachides (54,7 oeufs). Plus de femelles élevées sur haricots verts et arachides (76,2%) pondent que celles élevées sur arachides (61,1%), soja trempé (62,5%), ou haricots verts (60,9%).Les femelles élevées sur arachides volaient plus longtemps (P < 0,01) (42,9 mn) que celles élevées sur haricots verts (19,8 mn) pendant des vols captifs le 3ème jour après l'émergence. 78% de toutes les femelles élevées sur arachides volaient >-30 mn, contre 50% pour celles élevées sur haricots verts et arachides, ou soja trempé, et 35% pour celles élevées sur haricots verts. Seulement 7% des femelles élevées sur haricots verts volaient à la 60ème minute à la fin du test, contre 25% pour les femelles soja trempé, 33% pour les femelles haricots verts et arachides, et 47% pour celles élevées sur arachides. Les femelles ont été disséquées 34 jours après l'émergence pour déterminer l'importance du corps gras. Les indices de corps gras (Kiritani, 1963) montraient que les femelles élevées sur arachides (1,8) et graines de soja (1,7) ont apparemment un corps gras plus développé que celles élevées sur haricots verts et arachides (1,5), our haricots verts (1,2), pendant le 5ème stade.Ces résultats montrent que l'alimentation pendant le dernier stade larvaire de N. viridula affecte irréversiblement la croissance, la fécondité et l'aptitude au vol des femelles. En estimant que des résultats semblables auraient été obtenus avec des insectes élevés sur ces 4 aliments depuis l'éclosion, haricots verts et arachides constituent le meilleur aliment pour l'élevage de N. viridula. Ce régime fournit une graine mûre, vraisemblablement nécessaire pour l'accumulation d'un corps gras suffisant et une aptitude au vol migratoire, et une plante verte qui fournit les aliments apparement essentiels à l'ovogenèse.
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19.
A heteropolysaccharide fraction was isolated from Phaseolus vulgaris beans in which it comprises at least 1% of the dry weight of the beans. This heteropolysaccharide increases larval mortality and decreases the rate of larval development and the number of eggs deposited by females of Callosobruchus chinensis, when incorporated in artificial beans in which the larvae feed. It is composed of galactose, glucose, xylose, arabinose and traces of rhamnose, as determined after acid hydrolysis. Of these individual sugars, arabinose and xylose affect adult fecundity as well. However, partial enzymic hydrolysis of the heteropolysaccharide fraction by C. chinensis larval midgut contents releases only glucose, galactose and trace amounts of arabinose, and the integral structure of heteropolysaccharide may be necessary for biological activity. the incorporation of the starch granules of Phaseolus vulgaris beans into artificial beans increases larval mortality and decreases the rate of larval development of C. chinensis. It is suggested that the heteropolysaccharide fraction as well as the starch are part of a complex of natural components of Phaseolus vulgaris beans that make these beans resistant to C. chinensis.
Résumé Ce travail cherche à préciser pourquoi les graines de haricot (Phaseolus vulgaris) ne sont pas attaquées par la Buche chinoise (Callosobruchus chinensis), espèce cependant très polyphage.Les graines de haricot renferment 1% d'un hétéropolysaccharide, qui s'est révélé accroître la mortalité et ralentir le développement des larves de cette Bruche, mais qui aussi réduit la fécondité des femelles adultes. Ces observations ont été faites à partir d'élevages sur des milieux artificiels normalement favorables, présentés sous forme de haricots, par un moulage approprié.Une hydrolyse acide de cet hétéropolysaccharide libère du galactose, du glucose, du xylose, de l'arabinose et des traces de rhamnose. Ces sucres simples sont testés: l'arabinose et le rhamnose influencent le développement des larves, tandis que le galactose, le xylose et à nouveau l'arabinose, ont un effet sur la fécondité des femelles (réduction de la fécondité à 40% de la normale avec 1% d'arabinose).Toutefois l'hydrolyse enzymatique de cette fraction hétéropolysaccharidique, par le contenu stomacal de larves de C. chinensis reste partielle et libère seulement du glucose, du galactose et des traces d'arabinose. II est possible que la structure intégrale de l'hétéropolysaccharide soit nécessaire à son activité biologique.Un autre facteur défavorable à C. chinensis pourrait être la nature même des grains d'amidon de Phaseolus. Cet amidon incorporé à l'aliment artificiel accroît en effet la mortalité larvaire et ralentit la vitesse de développement. Cet effet défavorable pourrait être dû à la non digestibilité des grains d'amidon entiers.Il est suggéré que la fraction hétéropolysaccharide et l'amidon de Phaseolus sont deux des facteurs présents dans la graine de haricot qui lui confèrent sa résistance naturelle à la Bruche chinoise.


Supported in part by the Research and Development Authority of the Hebrew University of Jerusalem.  相似文献   

20.
Chrysopa nigricornis Burm, exhibits a facultative diapause during the third instar within the cocoon. The first, second, and free-living third instars must experience short-day (LD 12 : 12) for diapause to occur; however, the third instar within the cocoon and the egg appear to have no role in diapause induction. As day-lengths decreased from 13 to 12.5 hours. diapause incidence increased from 50% to 100%, whereas at LD 13.5 : 10.5 no diapause resulted.Diapause ended spontaneously under LD 12 : 12 and after 142 days (s.d.±32) larva-pupal ecdysis occurred. Exposure to long-day conditions (LD 16 : 8) 4 or 6 weeks after the beginning of diapause hastened diapause termination; i.e. larval-pupal ecdysis occurred in about 40 days. Apparently during the first 6 weeks of diapause under short-day, little or no diapause development took place.It seems that the short days of late summer-early fall, which act on the three free-living instars, initiate diapause and that subsequent to diapause development, which occurs under short-day conditions, the insect's temperature requirements and temperature summations govern the rate of development and the proper timing of ecdysis in the spring.
Résumé Chrysopa nigricornis qui est prédateur à la fois à l'état larvaire et à l'état adulte, hiverne sous la forme de larve de 3ème stade à l'intérieur du cocon. Une alimentation à base de Myzus persicae assure le développement et la reproduction de cette espèce, tandis que les Pucerons desfèves se révèlent impropres. C. nigricornis montre une diapause facultative induite par des jours courts (LD 12 : 12) agissant sur le premier, le second stade larvaire ainsi que sur la phase libre du 3ème stade. L'exposition d'un quelconque de ces stades larvaires à un jour long (LD 16 : 8) empêche la diapause. Ni le stade uf ni le 3ème stade larvaire inclus dans le cocon ne semblent avoir de rôle dans l'induction ou l'inhibition de la diapause.Les conditions de développement des stades de prédiapause ne sont pas affectées par les régimes de photopériode qu'ils ont subis.Dans les populations de C. nigricornis que nous avons étudiées, et qui proviennent d'Ithaca, New York (42° 27 latitude N) des jours de 13 heures ou moins, provoquaient plus de 50% de diapause, tandis que des jours de 13h.30 ou plus empêchaient la diapause.Sous les conditions d'induction de la diapause (LD 12 : 12), celle-ci se termine spontanément, la mue nymphale du 3ème stade larvaire intervenant 20 semaines après la secrétion du cocon de nymphose. Cependant, si les larves ont subi une LD 16 : 8, la diapause s'achève beaucoup plus tôt, dans un délai de 6 semaines (40 jours) après la secrétion du cocon de nymphose. Durant ces 6 semaines et peut-être plus, peu ou pas développement de diapause ne semble avoir pris place.Nous suggérons que dans la nature les jours courts de la fin de l'été et du début de l'automne agissent sur le ler, le second et le 3ème stade larvaire (phase libre) pour induire la diapause du 3ème stade larvaire inclus dans son cocon de nymphose. Après que le développement de type diapause ait pris place sous l'influence des jours courts, les conditions saisonnières de température et les exigences thermiques de l'insecte interviennent pour régler la vitesse de la morphogénèse et en conséquence le moment même de la mue nymphale.

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