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Résumé Le virus de la densonucléose est thermorésistant. Il n'est pas inactivé après traitement avec des solvants de lipides. Aucun pouvoir hémagglutinant n'a été mis en évidence avec des érythrocytes d'espèces variées. Ces propriétés sont comparées à celles desParvovirus.
Summary The densonucleosis virus is thermoresistant. It is not inactivated after treatment with lipid solvents. Attempts to demonstrate hemagglutination of DNV, using different erythrocytes, were unsuccessful. These properties are compared to those of Parvoviruses.
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Odier  Françoise 《BioControl》1971,16(3):353-358
BioControl - La persistance du virus de la densonucléose est étudiée chez le ColéoptèreMelolontha melolontha. La présence de virus est retrouvée dans le broyat...  相似文献   

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Résumé L'analyse de certains points de la morphogénèse du canal de Müller et du rôle joué par le canal de Wolff dans la formation de l'oviducte a été abordée à l'aide de diverses méthodes expérimentales (blocage de l'ébauche müllérienne par un obstacle mécanique ou par une irradiation localisée par les rayons X).Les résultats obtenus soulignent la formation et l'évolution indépendante des 2 tissus, l'epithélium interne et le mésenchyme périphérique, qui composent la jeune ébauche müllérienne.L'épithélium interne se met en place par le jeu de la croissance crânio-caudale d'une ébauche primitive formée au niveau de l'ostium et induite par le canal de Wolff.Le mésenchyme périphérique se forme «in situ», aux dépens de la crÊte mullérienne qui est elle-mÊme induite par le canal de Wolff.Chez les Oiseaux, le développement de l'oviducte reste donc dépendant de l'uretère primaire, du fait de la double action inductrice exercée par le canal de Wolff sur les deux tissus constituant primitivement le canal de Müller.
Researches on Mullerian duct morphogenesis in birdsII. Experimental study
Summary Certain points in the Mullerian duct morphogenesis, and the role played by the Wolffian duct in oviduct formation, were studied with some experimental methods (by stopping the mullerian anlage with a mechanical obstacle, or by a localized irradiation with X-rays).The results emphasize the independent formation and evolution of the two tissues, the inner epithelium and the mesenchyme which compose the young mullerian anlage.The inner epithelium is formed by the cranio-caudad outgrowth of a primitive anlage, formed at the level of the ostium, and induced by the Wolffian duct.The peripheric mesenchyme is formed in situ, from the mullerian strip, which itself is induced by the Wolffian duct.In Birds, oviduct development depends upon the primary ureter, by means of the double inductive action exerted by the Wolffian duct upon both tissues constituting the Mullerian duct anlage.
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Five cosmidic probes (7 b; 8 j; 22 b; CB 16 and 115 i 1) recognizes site of simple-copy DNA sequence homology between the human X and Y chromosomes. Genomic DNAS restricted with Eco RI from the great apes (Gorilla and Pan) were examined for sequences homologous to these probes, by molecular hybridization studies. Experiments reported here revealed, by genetic dosage with sex, that the great apes have homologous sequences of these five probes on their X chromosomes only. The simplest explanation of these results is that the corresponding sequences were transposed from the X chromosome to the Y chromosome after the human line diverged, like probe pDP 34 for locus DXY S1 (Page et al., 1984).  相似文献   

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Résumé Les variations du volume du protoplasme pendant le développement ont été suivis chezD. virilis etD. melanogaster. Le protoplasme de l'uf fraîchement pondu remplit la membrane vitelline; bientôt, il se produit une contraction de volume, et il se forme un ellipsoïde. Le protoplasme continue à sa contraction pendant quelque temps, puis il se produit à une augmentation de volume. La projection des cellules polaires se fait immédiatement après cette augmentation. Celle-ci est élevée après la formation des cellules polaires et le volume atteint alors un maximum. Pendant cette période, la formation du blastoderme s'accomplit. Ensuite, pendant la période de la formation de la gouttière ventrale, le volume de l'embryon se réduit à nouveau; mais cela la contraction se limite à la partie céphalique seulement. Dans l'embryon létal nullo X, la contraction et l'augmentation de volume se font comme dans l'embryon sain, bien que les noyaux n'exécutent pas leur migration centrifuge. La relation entre la variation de volume et la migration des noyaux est discutée.  相似文献   

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Résumé Les fibrilles constitutives du phragmoplaste sont de nature protéique. L'action du-mercaptoéthanol permet de conclure que ces protéines sont liées par des ponts S-S. En présence d'urée, la structure du phragmoplaste est détruite, ce qui indique l'existence de liaisons hydrogènes.
Zusammenfassung Unsere Arbeit führt zu folgenden Resultaten: 1. Die im Phragmoplast befindliche Faserstruktur besitzt einen Eiweißstoffcharakter. 2. Der Effekt des-Merkaptoäthanols gestattet die Annahme, daß die Proteine mit S-S-Brücken verbunden sind. 3. Bei Anwesenheit von Harnstoff wird die Phragmoplaststruktur zerstört, was für das Vorhandensein von H-Brücken spricht.


Boursière de la Fondation Rockefeller  相似文献   

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Resume 1. Le présent travail est consacré à l'étude écologique des plages abritées de la baie d'Arcachon (France). L'auteur tout d'abord, reconnaît et localise dans la région étudiée les quatres zones classiques qui partagent les estrans meubles abrités: slikke, haute slikke, schorre et zone parhalienne. Chacune d'entre elles est ensuite étudiée de manière plus détaillée, quant aux peuplements qui les occupent et aux structures édaphiques qui leur correspondent.2. Dans la slikke, l'auteur, reconnaît et décrit quatre faciès fondamentaux: les herbiers deZostera nana, les sables nus, type sables à arénicoles, les vases àNereis diversicolor et les vases à scrobiculaires. Chacun de ces faciès est analysé quant à sa teneur en eau, porosité, salinité, pH et oxygène dissous, répartition hypsométrique. En ce qui concerne la faune de ces slikkes sablo-vaseuses, l'auteur souligne l'importance de la macrofaune endogée, son caractère infralittoral, la faible mobilité de ses représentants.3. Dans la haute slikke, l'auteur reconnaît et décrit cinq faciès: les sables argileux àBledius spectabilis, les sables vaseux àCorophium volutator, les sables poreux àBledius arenarius, les aires àSpartina maritima et les microfalaises. De nouveau, sont étudiés successivement les caractéristiques abiotiques, puis les peuplements de chaque faciès; l'auteur souligne l'action réciproque des structures édaphiques sur la répartition des peuplements, mais aussi des peuplements sur les structures édaphiques. Par exempleCorophium volutator etBledius spectabilis édifient des galeries à parois stables, permanentes, qui ne peuvent être aménagées que dans certains types de sédiments; mais tandis que les galeries deB. spectabilis sont denses et étanches à la marée, celles deC. volutator sont plus dispersées et inondables; aussi la présence de l'insecte permet l'installation d'une faune d'accompagnement supralittorale, qui s'enterre au moment de la haute mer, celle de l'amphipode s'accompagne au contraire, d'une faune médiolittorale inondable.4. Enfin, dans le schorre et la zone parhalienne, l'auteur souligne l'absence de macrofaune endogée, la mobilité des peuplements vagiles épigés, leur balancement saisonnier lié au régime des marées. Il montre notamment qu'en été, le schorre abrite à la fois des espèces supralittorales marines ou halobies, et des espèces adlittorales haloxènes qui, venant de la zone parhalienne, sont attirées par la richesse trophique du Puccinellietum. En hiver, au contraire, la fréquence des immersions dans le schorre oblige la faune à refluer dans la zone parhalienne, où elle trouve son abri.5. Une classification des faciès étudiés en fonction de leur teneur en eau écologiquement utilisable par la macrofaune, un tableau de correspondance entre slikke, haute slikke, schorre et zone parhalienne d'une part, et étages intertidaux d'autre part, enfin une comparaison entre les peuplements des plages abritées et plages semi-abritées, complètent l'ensemble du travail.
Ecological research on the faunas of the sheltered beaches of the region of Arcachon
In these ecological studies of the sheltered beaches of the bay of Arcachon (France), the author distinguishes and locates four traditional zones: slikke, upper slikke, schorre and parhalian zone. Animal communities and edaphic structures of each zone are treated in detail. In the slikke, four fundamental facies are distinguished:Zostera nana zones, bare sands (such asArenicola sands),Nereis diversicolor slime andScrobicularia slime. Each facies is analyzed with regard to its amount of water, porosity, salinity, pH and dissolved oxygen content, as well as its hypsometric distribution. With respect to the fauna of sand and slime slikkes, the importance of the endogeous macrofauna, its infralittoral characteristics and the low degree of mobility of its species are emphasized. In the upper slikke five facies are described:Bledius spectabilis clay sands,Corophium volutator slimy sands,Bledius arenarius porous sands,Spartina maritima areas and micro cliffs. Again, abiotic characteristics and animal communities of each facies are studied successively. The importance of edaphic structures for the distribution of animal communities, and vice versa, is stressed. For instance, the amphipodCorophium volutator and the coleopteranBledius spectabilis build tubes with firm and permanent inner surfaces only in certain types of sediment: yet, while theBledius spectabilis tubes are dense and watertight, those ofCorophium volutator are less tight and often flooded. Thus, the presence of the insect allows a supralittoral fauna to establish itself, whereas that of the amphipod is, in contrast, accompanied by a mediolittoral fauna resistant to flooding. In the schorre and parhalian zone, endogeous macrofauna elements are entirely absent; the vagrant epigeous species exhibit considerable degrees of mobility, migrating according to tidal rhythms. In summer, the schorre zone shelters both marine supralittoral or halobiotic species as well as adlittoral haloxene species which, coming from the parhalian zone, are attracted by the trophically rich Puccinellietum. In winter, however, frequent floodings of the schorre force the fauna to retreat to the parhalian zone for shelter. A classification is presented of the facies studied, based on the amount of water ecologically usable by their respective macrofaunas. The relationships between slikke, upper slikke, schorre and parhalian zone on the one hand, and the intertidal zones on the other are illustrated in the form of a synopsis. Finally, a comparison is made between animal communities of sheltered and of partly sheltered beaches.


Ce travail constitue la 2ème partie d'une thèse de Doctorat ès Sciences naturelles soutenue à la Faculté des sciences de l'Université de Bordeaux (no d'ordre 197) et intitulée «Recherches écologiques sur les faunes des plages arbitées et des étangs saumatres de la region d'Arcachon». L'exemplaire dactylographié de la thèse in extenso a été déposé au C.N.R.S. et enregistré sous le no A.O. 1612.  相似文献   

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B. Le Rû  Y. Iziquel 《BioControl》1990,35(2):173-183
Résumé Cet article présente les résultats obtenus en 1987 sur des points non encore abordés précédemment dans le cadre de l'étude des circonstances épidémiologiques favorisant le déroulement de l'Entomophthorose àNeozygites fumosa (Speare) Remaudière et Keller, pathogène de la cochenille du maniocPhenacoccus manihoti Matile-Ferrero (Hom.: Pseudococcidae). Il montre notamment que l'évolution de la maladie, très rapide, correspond à la succession de 2 phases: une première phase, d'implantation, fortement liée à la taille et à la structure des colonies et une deuxième phase (épizootique au sens strict) indépendante de leur taille et de leur structure. Son évolution appara?t plus liée à la régularité des pluies qu'à la quantité d'eau. Les conditions sont très favorables quand l'humidité relative est supérieure à 90% pendant au moins 5 heures par jour de fa?on régulière. Le r?le important joué par la durée d'humectation du feuillage est montré ici pour la première fois. La densité des conidies du pathogène dans l'air est proportionnelle aux taux de mycose observés dans les populations deP. manihoti.   相似文献   

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Conclusions Cultivé sur un milieu synthétique vitaminé, Phycomyces n'absorbe pas, dans les limites de concentration de nos expériences, une quantité appréciable de vitamine B 1. Le test animal ne permet pas de mettre en évidence une synthèse de la vitamine B 1 par le champignon.La quantité maximum de vitamine B 1 qui, théoriquement pourrait être présente dans le mycélium du champignon, en admettant le cas le plus favorable, est trop faible pour pouvoir agir sur le champignon et activer un milieu synthétique.Il est très probable que l'on doive faire appel au second facteur de croissance de Mucorinées (facteur M). Aux dépens où à la faveur de la présence de la vitamine B 1, Phycomyces fabrique donc, à part le facteur agissant sur la levure (effet bios), une autre substance auxogène activant le développement d'une nouvelle culture du champignon.Si la substance en question, contenue dans l'extrait de Phycomyces, agit sur le développement d'une nouvelle culture, il faut naturellement admettre que dans le premier mycélium, ayant servi à préparer l'extrait, un rôle doit lui être dévolu également.L'action de la vitamine B 1 ne nous semblerait donc pas directe; la présence de cette dernière est indispensable pour permettre au champignon d'effectuer la synthèse des facteurs qui lui sont propres.  相似文献   

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Résumé Les granulations qui constituent les structures les plus primitives de la plaque cellulaire contiennent des enzymes hydrolytiques caractéristiques pour les sphérosomes de la cellule végétale; la plupart de ces enzymes sont présentes dans les lysosomes de la cellule animale. Dans les granulations de la plaque cellulaire nous avons constaté l'activité des enzymes suivantes: estérases non spécifiques, lipases, phosphatases acide et alcaline, aryl-sulfatase, désoxyribonucléase acide et probablement-glucuronidase. Le caractère chimique et morphologique de ces granulations, ainsi que leur équipement enzymatique correspondent aux sphérosomes.Dans la littérature les images de la cytocinèse au microscope électronique étant divergentes, le problème de l'origine et de la nature des granulations en question ne peut pas être pour le moment totalement résolu.
Zusammenfassung Die Körnchen, die die ursprünglichen Strukturen der Zellplatte bilden, enthalten die hydrolytischen Enzyme, die für die Sphärosomen der pflanzlichen Zelle und meistens für die Lysosomen der tierischen Zelle charakteristisch sind. Es sind die folgenden Enzyme: Esterasen (nicht spezifisch), Lipasen, saure Phosphatase, Aryl-sulfatase, saure Desoxyribonuklease und-Glukuronidase. Außerdem enthalten diese Körnchen die alkalische Phosphatase. Der morphologische und chemische Charakter dieser Körnchen und ihr enzymatischer Inhalt entsprechen den Sphärosomen.Wegen großer Unterschiede der in der Literatur vorhandenen Beschreibungen der Zellplatte in elektronenmikroskopischen Bildern kann das Problem der Entstehung und der Natur dieser Körnchen zur Zeit nicht völlig entschieden werden.
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