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1.
Summary Populations of ants of a low field in southern Michigan were studied and 28 species were found in an area of 870 square yards which hordered a marsh. Abundance of colonies was determined by digging 40 yard-square plots.Brachymyrmex depilis andPonera coarctata pennsylvanica were widely distributed and had the greatest number of colonies but the yellowLasius seemed the most typical of the habitat.Lasius flavus formed large colonies, widely spread just beneath the soil whileL. minutus andL. speculiventris built mounds. The genusDolichoderus was also typical of the habitat. Three of the 4 North American species nested on the study area, while the fourth occurred nearby.Flights of theLasius species, which took place in the late afternoon of August and September were abundant and conspicuous.
Résumé On étudia les populations de fourmis qui habitaient un champ d'altitude basse dans le sud de l'état de Michigan. On en trouva 28 espèces dans une étendue de 727 m2 qui bordait un marais. On détermina l'abondance des colonies en creusant de petits terrains carrés de 36,5 mètres de chaque côté.Brachymyrmex depilis etPonera coarctata pennsylvanica étaient largement distribués et avaient le plus grand nombre de colonies, mais leLasius jaune semblait être l'espèce la plus typique de l'habitat.Lasius flavus formait de grandes colonies, largement étendues juste au-dessous du sol, tandis queL. minutus etL. speculiventris construisaient des tas. Le genreDolichoderus était également typique de l'habitat. Trois sur les quatre espèces nordaméricaines nichaient sur le terrain étudié tandis que la quatrième nichait tout près.Les vols de l'espéceLasius, qui avaient lieu tard dans l'après-midi aux mois d'août et de septembre, étaient abondants et bien visibles.
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2.
Zusammenfassung Obwohl man allgemein den Ameisen weder medizinische noch veterinär-medizinische Bedeutung beimißt, so sind diese Insekten doch mit der Ubertragung von Krankheiten auf mechanishem Wege und als Faktoren in Entwicklungszyklen von Krankheitserregern beteutungsvoll. Darüber hinaus können Ameisen direkt Tiere und Menschen angreifen und Hautverletzungen verursachen. Die Reaktion auf Stiche kann bei Wiederholungen zunehmend ernsthaft werden nach dem Empfindlichkeitsgrade. Empfindlichkeit ist offenbar nicht artspezifisch wie im Falle der Moskitobisse, erstreckt sich aber weitgehend auf andere Hymenoptera, so daß Tiere, die für Ameisengift empfindlich sind, sehr ernsthafte und gelegentlich tödliche Auswirkungen durch Bienen- oder Wespenstiche erleiden.Das häufige Vorkommen der Formicidae und die Allgemeinheit ihrer Nahrungssuche verleitet zum Verdacht, sie als mögliche mechanische Verbreiter von Bakterien und Viren anzusehen. Tatsächlich sind jedoch die Beweise, die die Ameisen der Ausbreitung irgendwelcher Krankheiten beschuldigen, unzulänglich, obgleich man vermutet, daß diesem Problem unzureichende Aufmerksamkeit gewidmet wurde. Die Annahme, daß der Ameisensäuregehalt des Körpers eine mechanische Übertragung durch den Darm verhindert, hat nur dürftige theoretische Grundlagen, die kürzlich erfolgte Isolation von Antibiotica aus einer Reihe von Arten hat mehr Bedeutung. Die epidemiologische Bedeutung der Ameisen während bestimmter Blatternepidemien in Nord-Afrika wird beschrieben.Unzureichende Aufmerksamkeit wurde auf die Rolle der Ameisen als Teilnehmer an Zyklen von Eingeweidewurm-Parasiten gerichtet. Man weiß von Ameisen, daß sie als Zwischenwirte von Cestoden des Hausgeflügels und von Rebhühnern fungieren und neuere Arbeiten in den U. S. A. und Deutschland haben nachgewiesen, daß sich in ihnen die Metacercarien des PlattwurmsDicrocoelium dendriticum (Rudolphi) finden, ein wichtiger Parasit der bei Rindvieh und Schafen bestimmter Gebiete vorkommt.Zukünftige Forschungen sollten das Gebiet ausdehnen, welche Arten in den Entwicklungszyklus der Eingeweidewürmer-Parasiten eingreifen und sollten vielleicht einige Rätsel der Helminthologie lösen.Die hohe Populationsdichte der Ameisen, besonders in den Tropen, macht sie als Abfallbeseitiger nützlich und verhütet die Anhäufung von möglicherweise gefährlichen Kadavern. Außerdem halten sie die Vielzahl medizinisch wichtiger Insekten streng im Zaum z. B. durch Verzehren vonMusca-Larven,Glossina-Puppen und einigen Moskito-Eiern.
Résumé Bien qu'en général on n'accorde aux fourmis aucune importance médicinale, ni vétérino-médicinale, ces insectes sont cependant liés à la transmission de maladies par voie mécanique et ils interviennent dans les cycles de développement d'agents de maladie. Bien plus, les fourmis peuvent attaquer directement les animaux et les êtres humains et occasionner des lésions cutanées. La réaction aux piqûres, si celles-ci sont répétées, peut augmenter de façon sérieuse suivant le degré de sensibilité. Il semble que la sensibilité ne soit pas spéciale à l'espèce, comme c'est le cas pour les piqûres de moustiques; elle s'étend au contraire à d'autres hyménoptères, de sorte que les animaux sensibles au venin des fourmis peuvent être sérieusement et quelquefois mortellement atteints par des piqûres d'abeilles ou de guêpes.Étant donné la fréquence de l'apparition des Formicidés et la généralité de leur quête de nourriture, on est amené à les considérer comme propagateurs mécaniques éventuels de bactéries et de virus. En fait, les preuves qui permettent de rendre les fourmis responsables de la propagation d'une maladie quelconque sont cependant insuffisantes, bien que l'on puisse admettre que jusqu'alors trop peu d'attention a été consacrée à ce problème. L'hypothèse qui admet que le contenu d'acide formique du corps empêche une propagation mécanique par l'intestin n'a qu'un fondement théorique précaire; l'isolement récent d'antibiotiques d'une série d'espèces présente plus d'intérêt. On signale l'importance épidémiologique des fourmis lors d'une certaine épidémie de variole en Afrique du Nord.On n'accorda aussi qu'une attention insuffisante à la contribution des fourmis au cycle de vers intestinaux. On sait qu'elles constituent le milieu intermédiaire de développement du cestode de la volaille et des perdrix; des travaux récents aux U. S. A. et en Allemagne ont démontré que l'on peut trouver en elles les métacercaires du verDicrocoelium dentriticum (Rudolphi), grave parasite qui fait son apparition chez les bêtes à cornes et les moutons de certaines régions.Les recherches ultérieures chercheront à étendre leur champ d'action, à reconnaître quelles espèces interviennent dans le cycle de développement des vers intestinaux et réussiront peut-être à résoudre quelques-unes des énigmes de l'helminthologie.La forte densité des agglomérations formicoles, surtout sous les tropiques, les rend très utiles pour déblayer les déchets et évite l'accumulation de cadavres éventuellement dangereux. En outre, elles refrènent fortement l'augmentation de nombreux insectes importants du point de vue médicinal en se nourrissant, par exemple, de larvesMusca, de chrysalidesGlossina ou de certains ufs de moustiques.
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3.
Summary Observations on the ecology of four ant species in the Solomon Islands are described. The ants are the native speciesOecophylla smaragdina, andIridomyrmex cordatus, andAnoplolepis longipes andPheidole megacephala which are introduced. Brief accounts are given of each species' colony structure, nest sites, habitats and enemies. All species have a wide food range but the main sources are honeydew obtained from Homoptera and prey. Honeydew is most important as a component of the diet of the native ant species which show close relationships with endemic and native Homoptera. The two introduced ants depend to a greater extent on predation and this situation is contrasted with that in their source region, Africa. The topics covered in an investigation of the four species' water and temperature relations were resistance to desiccation, the relation between temperature and speed of movement of foraging workers and temperature and humidity preferences.Oecophylla smaragdina is tolerant of variation in both factors,P. megacephala is best suited to a relatively low temperature range andA. longipes to a high one, although susceptible to desiccation. These differences are realised in the species daily foraging times;O. smaragdina is diurnal,P. megacephala andI. cordatus are nocturnal andA. longipes is crepuscular with activity usually limited in the day by low humidity and at night by low temperature. It is concluded that the native species are best adapted to Solomon Islands conditions in terms of food supply and the physical, climatic environment.
Résumé On décrit des observations sur l'écologie de quatre espéces de fourmis aux îles Salomon. Il s'agit des fourmis des espèces indigènes d'Oecophylla smaragdina etIridomyrmex cordatus, et des espèces introduites d'Anoplolepis longipes etPheidole megacephala. L'auteur donne de brefs exposés sur la structure de colonie, sur le terrain de nid, sur l'habitat et sur les ennemis de chaque espèce. Toutes les espèces disposent d'une vaste étendue de nourriture, mais les sources principales en sont les miellats, retirés des Homoptera, et la proie. Le miellat est très important comme partie constituante de la nourriture des espèces de fourmis indigènes, qui montrent des rapports très proches avec les Homoptera endémiques et indigènes. Les deux espèces de fourmis introduites dépendent plutôt de la prédation, tandis qu'en Afrique, leur région d'origine, c'est le contraire. Dans un examen des quatre espèces, on a traité des sujets suivants: la résistance au dessèchement, la relation entre la température et la vitesse de mouvement des butineuses, et les préférences de température et d'humidité.Oecophylla smaragdina supporte bien la variation des deux facteurs,P. megacephala est adaptée le mieux aux températures relativement basses, tandis queA. longipes s'adapte le mieux à une température élevée, bien qu'elle soit prédisposée au dessèchement. C'est en observant les heures de la journée où les espèces butinent qu'on se rend compte de ces différence:O. smaragdina est diurne,P. megacephala etI. cordatus sont nocturnes.A. longipes est crépusculaire, et habituellement limite son activité diurne pendant les périodes de basse humidité, et son activité nocturne pendant les périodes de basse température. L'auteur a conclu que les espèces indigènes s'adaptent mieux aux conditions des îles Salomon en ce qui concerne la distribution de nourriture et l'entourage physique et climatique.
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4.
Summary Observations on the yellow antsLasius flavus De Geer were carried on by the author in Western Siberia, Tuva, Khakassia, the Altai and the Tien Shan Mountains.The yellow ants, as most of the ant species, lead two modes of social life: they may have either single, not connected with each other nests, or friendly, closely built nests, which form large colonies. The colonies ofL. flavus often occupy large territories, where they built hundreds and even thousands of nests. These colonies frequently become habitats of numerous species of other ants. They built their nests on the mounds ofL. flavus and penetrating into the channels, gradually destroy the hosts. The colonies ofL. flavus are ouster not by single nests, but mainly by mutually related colonies of other ant species. Occupying a nest of the hosts of this territory, they come into contact with each other and become hostile. Thus colonies ofL. flavus become the theatre of struggle between nest colonies of other ant species; this fact has been observed as a widely spread natural phenomenon.
Résumé L'auteur rapporte ses observations concernant leLasius jaune —Lasius flavus De Geer —, effectuées dans l'ouest de la Sibérie, à Touva, en Abkhasie, dans les contrées de l'Altaï et dans les montagnes du Tian-Chan.LeLasius jaune, comme la plupart des fourmis, a la propriété de posséder un habitat en commun sous deux formes: des fourmilières isolées n'ayant aucun rapport entre elles et des fourmilières vivant en bonne entente dans un voisinage proche au sein d'importantes colonies. Les colonies duLasius recouvrent la plupart du temps d'immenses étendues occupées par des centaines et même des milliers de fourmilières.Ces colonies sont souvent envahies par des fourmis d'un grand nombre d'autres espèces. Ces dernières établissent leur habitat sur celui desLasius jaunes et, s'introduisant par les passages de leur construction, en extermine peu à peu les habitants. Le délogement des colonies deLasius jaunes n'est pas le fait des fourmilières isolées; il est essentiellement dû à l'envahissement par d'autres fourmilières d'espèces apparentées. Ces dernières, occupant progressivement le territoire conquis, se trouvent bientôt en contact qui dégénère en antagonisme agressif. Ainsi, les colonies deLasius jaune se trouvent être le théâtre de la lutte entre fourmilières de diverses espèces; ce phénomène est l'expression d'une loi générale.
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5.
Summary Newly eclosed callow workers of the primitive ant genusMyrmecia were not attacked by workers from different conspecific colonies. This was true for three different species ofMyrmecia and for three experimental approaches. This finding contradicts the much quoted anedotal report ofHaskins andHaskins (1950). Aggression against conspecific alien worker controls was always significantly greater than aggression against callows. However, contrary to theHaskins' report, intraspecific aggression inMyrmecia rarely resulted in mortality. Nevertheless, in all six species ofMyrmecia kept in the laboratory, mortality did result from frequent intra-colony aggression between workers. Possible explanations are discussed for this unexpected aggression within colonies.Resume Dans le genre de fourmi primitiveMyrmecia, des ouvrières récemment écloses n'ont pas été attaquées par des ouvrières provenant de colonies étrangères de même espèce. Ceci a été établi pour trois espèces deMyrmecia et par trois approches expérimentales. Ce résultat contredit les données anecdotiques, souvent citées deHaskins etHaskins (1950). L'agression, dans des groupes d'ouvrières étrangères homospécifiques, a été toujours significativement plus grande que l'agression contre des ouvrières immatures. Cependant, contrairement au résultats deHaskins etHaskins, l'agression homospécifique chezMyrmecia a rarement entraîné de la mortalité. Néanmoins, dans chacune des six espèces deMyrmecia entretenues au laboratoire, une certaine mortalité se produit par suite des attaques fréquentes entre ouvrières de la même société. Quelques explications possibles sont discutées pour cette agression inattendue au sein des sociétés.
L'agression intraspécifique chez les fourmis primitives du genreMyrmecia
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6.
H. Kutter 《Insectes Sociaux》1966,13(4):227-239
Zusammenfassung Es wird auf die Notwendigkeit einer allgemeinen Revision der einheimischen Ameisenfauna hingewiesen und im speziellen die Umgruppierung des SubgenusCoptoformica erwähnt. Zwei Formen werden als neue Artenbruni undgoesswaldi beschrieben.
Summary The necessity of a general revision of the indigenous fauna of ants is beeing stressed, in particular mention is made of the regrouping of the subgenusCoptoformica. Two forms are described as new speciesbruni andgoesswaldi.

Résumé La nécessité d'une révision générale de la faune des fourmis indigènes est demandée et illustrée par celle du sous-genreCoptoformica. Deux nouvelles espèces —bruni etgoesswaldi — sont décrites.


Mit Unterstützung des Schweizerischen Nationalfonds zur Förderung der wissenschaftlichen Forschung.  相似文献   

7.
The decreased barometric pressures (to 951.5 mb)that accompanied the wind (113 knots/hr) and the torrential rain that Hurricane Beulah (1967) inflicted on Brownsville, Texas had a marked physiological effect on both biological and vegetative forms of life. Ants survived the floods by congregating in spheres of living colonies and thus floated down the streams to safety; predaceous beetle larvae preyed on frogs and rodents, and crustaceous inhabitants of the beaches migrated en masse to the protection of high ground. Plant materials exhibited phase change in their development.
Zusammenfassung Während des Hurrikans Beulah (1967) führte der Fall des Luftdruckes (bis 951,5 mb) im Zusammenhang mit dem Wind (113 Knoten) und stürmischem Regen in Brownsville, Texas, zu einer starken Wirkung auf tierisches und pflanzliches Leben. Ameisen überlebten die Fluten durch Bildung grosser Scheiben lebender Kolonien, die auf den Fluten trieben; räuberische Käferlarven saugten sich an Fröschen und Nagern fest und Schalentiere wanderten in Massen in höhere Lagen am Strand. Pflanzen zeigten in ihrer Entwicklung Phasenwechsel.

Resume La baisse de pression (jusqu'à 951, 5 mb) accompagnée de forts vents (113 noeuds) et de pluies torrentielles provoquée par le passage de la tornade Beulah (1967) à Brownsville (Texas) a eu un effet physiologique marqué sur toutes les formes de vie aussi bien animale que végétale. Les fournis ont survécu à l'inondation en formant des agglomérats de colonies vivantes qui surnageaient sur les flots. Les larves de coléoptères carnivores se sont agrippées à des grenouilles ou à des rongeurs et les crustacés se sont déplacés en masse vers les lieux surélevés du rivage. Quant aux plantes, on a pu constater un changement de phase dans leur développement.
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8.
Résumé Plagiolepis grassei est une Fourmi «parasite social» incapable de survivre de façon autonome, hôte obligatoire dePlagiolepis pygmæa.Les reines et les ouvrièresP. grassei ont un comportement très pacifique et accueillent sans difficulté des individus de leur propre espèce ou de l'espèce hôte.Les ufs (0,34 mm de long en moyenne) sont pondus au printemps.La chronologie de l'apparition des castes est la suivante: au début de l'été, éclosion des sexués des 2 sexes issus du couvain hivernant, lui-même résultant des ufs les derniers pondus l'année précédente; puis apparition de sexués des 2 sexes originaires du couvain de l'année (ufs les premiers pondus); enfin éclosion des ouvrières provenant d'ufs de l'année. L'apparition des sexués avant les ouvrières est un cas unique chez les Fourmis.Il y a production dans les mêmes colonies de sexués mâles et femelles.Expérimentalement, il y a envol des sexués etretour des femelles désailées dans leur nid d'origine. Ceci, joint au massacre des reinesP. grassei par les coloniesP. pygmæa lors des tentatives d'adoption, nous fait pencher vers une multiplication des sociétés par bouturage.
Summary Plagiolepis grassei, a social parasitic ant is unable to survive autonomously; it is a compulsory host ofPlagiolepis pygmæa.ThePlagiolepis grassei queens and workers behave pacifically and receive without any difficulty individuals of their own species or of the hostspecies.Their eggs (0,34 mm average long) are laid in springtime.The chronology of the apparition of the castes is as follow: in early summer the winged males and females hatch out of the wintry brood resulting itself from the last eggs laid the year before; then the winged males and females appear which hatch out of the brood of the year (the first laid eggs); lastly the workers hatch from the eggs laid in the year.The apparition of winged males and females before the worker's is a unique case among ants.There is a production of winged males and females in the same colonies.In the experience, there is a mating flight of the alates andreturn of the wingless queens into their nests of origin. This added to the slaughter of the queens ofP. grassei by theP. pygmæa colonies during the attempt of adoption makes us incline towards a multiplication of the societies through slips.

Zusammenfassung Plagiolepis grassei ist eine soziale Schmarotzerameise, sie ist unfähig, auf eine autonome Weise Zu überleben, und sie ist der verbindliche Gast vonPlagiolepis pygmæa.Die Königinnen und die Arbeiterinnen vonP. grassei haben ein ganz friedliches Verhalten und nehmen ohne Schwierigkeiten Einzelne ihrer eigenen Spezies oder der Gastspezies.Die Eier (durchschnittliche Länge: 0,34 mm.) werden im Frühling gelegt.Die Chronologie in der Erscheinung der Kasten ist folgende: am Anfang des Sommers schlüpfen die Geschlechtstiere, Weibchen und Männchen, aus der mit den im vorigen Jahr gelegten. Eiern gebildeten Winterbrut; dann Erscheinung von Geschlechtstieren; Weibchen und Männchen, aus der Brut des Jahres (erst gelegte Eier); schliesslich schlüpfen die Arbeiterinnen aus der Brut des Jahres aus.Die Erscheinung der Geschlechtstiere vor den Arbeiterinnen ist ein einzelner Fall bei den Ameisen.Eine Produktion von Geschlechtstieren, Weibchen und Männchen, findet in derselben Kolonie statt.Im Verlauf des Versuchs beobachtet man einen Schwarmflug der Geschlechtstiere unddie Rückkehr der flügellosen Königinnen in das Stammnest. Dieses, nebst dem Gemetzel derP. grassei Königinnen von denP. pygmæa Kolonien während der Aufnahmeversuche lässt uns an eine Vermehrung der Ameisenstaaten durch Stecklinge denken.


Cette note constitue une partie d'une thèse qui sera présentée devant la Faculté des Sciences de Toulouse (Laboratoire d'Entomologie) en vue d'obtenir le doctorat ès Sciences Naturelles.  相似文献   

9.
Summary Mated workers have replaced the queen as the functional egg-layers in several species of ponerine ants. In such queenless species, the reproductive status of workers can only be determined through ovarian dissections. However, the presence of yolky oocytes is not necessarily an indication of active egg-laying.InRhytidoponera sp. 12, a substantial proportion of the workers confined underground have many large yolky oocytes in their ovaries. Examination of various details of oogenesis (size and appearance of basal oocytes, ...) revealed that oocytes do not mature in unmated workers, and that they accumulate in the ovaries. In the 21 mated workers found in a colony excavated in October 1985, there were fewer large yolky oocytes, and the dense accumulations of yellow bodies indicated that eggs were laid regularly. Thus reproductive differentiation among the workers is controlled by insemination. The lack of egg-laying activity by unmated workers was confirmed by monitoring brood production in the laboratory. Trophic eggs do not seem to exist. Various characteristics of worker reproduction in ponerine ants are discussed.
La division des rôles reproducteurs chez Rhytidoponera espèce 12, une fourmi Ponérine sans reine
Resume Des ouvrières fécondées ont remplacé la reine (dans sa fonction de pondeuse) chez plusieurs espèces de fourmis ponérines. Dans ces espèces sans reine, l'état reproductif des ouvrières ne peut être déterminé qu'avec la dissection des ovaires. Cependant, la présence d'ovocytes en vitellogenèse n'indique pas nécessairement qu'il y ait ponte d'ufs.ChezRhytidoponera espèce 12, une grande proportion des ouvrières actives à l'intérieur du nid ont beaucoup d'ovocytes en vitellogenèse dans leurs ovaires. L'examen de certains détails de l'ovogenèse (taille et apparence des ovocytes basaux...) a démontré que les ovocytes ne mûrissent pas chez les ouvrières non fécondées, et qu'ils s'accumulent dans les ovaires. Chez les 21 ouvrières fécondées trouvées dans une colonie déterrée en Octobre 1985, il y avait moins de gros ovocytes en vitellogenèse, et les accumulations denses de corps jaunes indiquaient que les ufs étaient pondus régulièrement. Donc la séparation des rôles parmi les ouvrières est contrôlée par la fécondation. L'absence de ponte par les ouvrières non fécondées a été confirmée par l'étude du développement du couvain dans des groupes de fourmis au laboratoire. Les ufs trophiques ne semblent pas exister. Certaines caractéristiques de la reproduction ouvrière chez les fourmis ponérines sont discutées.
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10.
Résumé Etude de la perméabilité du tégument de 12 fourmis du Sahara comparées à 5 fourmis de France. Toutes transpirent dès que l'atmosphère n'est pas saturée d'humidité, mais les fourmis du Sahara perdent beaucoup moins d'eau que les espèces d'Europe placées dans les mêmes conditions.Etude du comportement vis-à-vis de la température. Il y a peu de différences entre les espèces d'un même genre, mais de provenances différentes. Les températures léthales supérieures des fourmis les plus résistantes sont beaucoup plus basses que les températures qui règnent au sol au printemps et en été.
Summary A study of the integument permeability of 12 ants from the Sahara, compared with 5 ants from France. All of them transpire as soon as the atmosphere is no longer saturated with moisture, but the saharian ants loose much less water than the european species subjected to the same conditions.A study of the reactions to heat. There is little difference between species of a same genus, but of varied origins. The upper lethal temperatures of the most resisting ants are much lower than the temperatures that are reached on ground level in spring and summer.
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11.
Summary The A. describes the nomadic behaviour of theAphænogaster picena Baroni. This trait has not yet been described for any other related species, and although there are other well known nomadic species it is difficult to considerA. picena togheter with them, due to the marked differences in their nomadic habits. The nomadism of this species is manifested as irregular and infrequent changes of nest without raiding or foraging in columns. The author presents possible explanations for this behaviour. He has also been able to show that these ants (queen and workers) orient themselves photomenotactically. Several experiments on two species of myrmecophiles taken from a track to which the ants had recently migrated are described. These experiments show that both species (Myrmecophilus myrmecophilus Savi, provided with eyes, andAtelura formicaria Heyd., completely blind), can orient themselves menotactically taking a constant angle with the sun.
Résumé L'auteur décrit les murs nomades de l'Aphænogaster picena Baroni. Un comportement semblable n'avait encore été signalé pour aucune espèce de ce groupe, et la comparaison même avec d'autres espèces nomades mieux connues est assez difficile à cause des nombreuses différences éthologiques. Le nomadisme de cette espèce est simplement limité à de rares changements de nid sans ravitaillement et butinage en colonne. On émet des hypothèses sur quelques-unes des causes immédiates de ce comportement et on peut établir que la photoménotaxie joue un rôle dans l'orientation de ces fourmis (ouvrières et reine) pendant la migration. L'auteur décrit ensuite quelques expériences faites avec deux espèces de myrmécophiles prises sur une piste presque abandonnée par les fourmis. De ces expériences, on peut conclure que tant leMyrmecophilus myrmecophilus Savi, qui est pourvu d'yeux, que l'Atelura formicaria Heyd., complètement aveugle, peuvent s'orienter ménotactiquement en parcourant une piste faisant un angle à peu près constant avec le soleil.


Lavoro eseguito con il contributo del Consiglio Nazionale delle Ricerche.  相似文献   

12.
Riassunto L'autore riassume le attuali conoscenze sulla monoginia dei formicidi e discute dell'opportunità di adottare questo termine in luogo di altri preesistenti nella letteratura. Vengono inoltre riferite alcune esperienze in base alle quali è lecito concludere che ilLeptothorax exilis Em. è specie monogina e che questa condizione, nel caso di fusione tra colonie giovani, è assicurata dall'intervento delle operaie. L'aggressività delle operaie nei confronti delle regine estranee non può essere spiegata solo in base alla diversità dell'odore caratteristico del formicaio ed è in stretta correlazione con la presenza della regina madre od anche solo del suo cadavere. Vengono inoltre schematizzati i diversi metodi con cui le formiche si assicurano la monoginia della colonia.
Summary The autor summarizes present knowledge about the monogyny of Formicidae and considers the appropriateness of this term in preference to those hitherto in use. The A. also reports some experiences that lead to the conclusion thatLeptothorax exilis Em. is a monogynic species, a condition which in case of the fusion of young colonies is assured by the intervention of the workers. The aggressive behaviour of the workers toward foreign queens cannot be explained solely by the diversity of the odor characteristic of each colony. It is also in direct relationship with the presence of the queen mother or even just her corpse. The A. outlines the various methods by which ants assure the monogyny of the colony.

Résumé L'auteur résume les connaissances actuelles sur la monogynie des fourmis et discute l'opportunité d'adopter ce terme au lieu des autres préexistants dans la littérature. Il rapporte en outre quelques expériences qui lui permettent de conclure queLeptothorax exilis Em. est une espèce monogyne et que cette condition, en cas de fusion entre jeunes colonies, est assurée par l'intervention des ouvrières. L'hostilité des ouvrières contre les reines étrangères ne peut pas être expliquée par la seule diversité de l'odeur caractéristique du nid et est strictement liée à la présence de la reine mère ou même seulement à celle de morceaux de son cadavre. On fournit enfin un schéma des différentes méthodes avec lesquelles les fourmis assurent la monogynie de la colonie.
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13.
Growth of S.MARCESCENS (on TS agar) and of E.COLI (on EMB agar) was examined at various constant field strengths (growth being expressed by the diameter of colonies after incubation at 37°C for 46 hr). In the case of S. MARCESCENS the field strengths were calculated at 0, + or ÷ 940, and + or ÷ 3,125 v/cm;in the case of E.COLI at 0 and + or ÷ 3,125 v/cm. In experiments using S. MARCESCENS the mean diameters of colonies were found to be significantly reduced only at afield strength of + 940 v/cm as compared with diameters seen under field-free conditions. In experiments using E.COLI the mean diameters of the colonies were found to be significantly reduced at field strengths of + and ÷ 3,125 v/cm as compared with the diameters seen under field-free conditions.
Zusammenfassung Das Wachstum von S.MARCESCENS (auf TG agar) und E.COLI (auf EBM agar) wurde bei verschiedenen konstanten Feldstärken untersucht. Für S. MARCESCENS wurden die Feldstärken berechnet bei 0, + oder 940 und + oder ÷ 3.125 v/cm;für E. COLI bei 0 und + oder ÷ 3.125 v/cm. Der mittlere Durchmesser der S.MARCESCENS Kolonien war nur bei der Feldstärke + 940 v/cm signifikant vermindert;der mittlere Durchmesser der E.COLI Kolonien war bei den Feldstärken von + und ÷ 3.125 v/cm signifikant vermindert, beide bezogen auf das Wachstum unter feldfreien Bedingungen.

Resume On a observé la vitesse de croissance de S.MARCESCENS (sur Agar TS) et de E.COLI (sur Agar EBM) et cela dans divers champs électriques constants(la croissance était déterminée par le diamètre des colonies après une incubation de 46 heures à 37 °C). Pour S.MARCESCENS on a utilisé des champs de 0, + ou + 940 et + ou ÷ 3.125 v/cm. Pour E.COLI, les champs furent de 0 et de + ou ÷ 3.125 v/cm.Le diamètre moyen des colonies de S.MARCESCENS n'a été réduit de façon significative que pour un champ de + 940 v/cm. Le diamètre moyen des colonies de E.COLI a diminué de façon significative pour des champs de + ou ÷ 3.125 v/cm. Dans les deux cas, la diminution se rapporte aux conditions de croissances déterminées en l'absence de champ électrique.
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14.
Résumé Pendant l'essaimage, les imagos ailés deNeotermes tectonae sont attirés en grand nombre par les branches mortes ou les chicots des cimes des arbres de teck (Tectona grandis). Ces parties mortes, pour la plupart d'origine non pathologique, s'observent en abondance dans les plantations serrées, et elles restent attachées aux arbres longtemps, se décomposant peu à peu. Pour établir leur loge, les imagos attaquent très souvent la moelle exposée aux endroits où une partie terminale s'est détachée, ou bien ils transpercent latéralement les branches pourrissantes. Ils n'utilisent que rarement d'anciens forages abandonnés. Les colonies primaires sont saprophages. Leurs galeries initiales suivent le fil du bois et sont tantôt dirigées vers le sommet, tantôt et le plus souvent vers la base des branches, ce qui s'explique peut-être par le plus fort degré hygrométrique des parties basales. Ordinairement, les galeries des colonies juvéniles s'étendent après un ou deux ans dans les parties vivantes de la cime ou du tronc, mais les colonies peuvent subsister pendant trois ans et plus sur le bois mort, atteignant exceptionnellement dans ce milieu la phase de première apparition des individus ailés. On peut trouver jusqu'à six colonies primaires dans la même branche. Bien qu'occupant la même partie limitée d'un arbre et possédant des galeries entremêlées, les colonies peuvent rester séparées très longtemps, du moins lorsque leur nombre n'excède pas deux. Les jeunes colonies vivent côte à côte avec d'autres espèces d'insectes utilisant le bois pourri comme nourriture ou, tels que les fourmis, comme abri. Une fois établies, les colonies paraissent ne subir que peu de pertes à la suite d'influences défavorables ou de prédateurs; chose curieuse, elles ne sont pas recherchées par les pics.

The preparation of this paper has been made possible thanks to a grant received from the Netherlands Organization for the Advancement of Pure Research (Z. W. O.).  相似文献   

15.
Riassunto L'Autore, dopo una rivista delle attuali conoscenze sui ritmi di attività delle formiche, studia l'attività di foraggiamento delCamponotus nylanderi Em. e segnala come, almeno nel periodo estivo, essa sia esclusivamente notturna con due massimi di attività (attorno alle ore 21 ed alle ore 2) nella prima e nella seconda metà della notte. In autunno, seppure molto ridotta, l'attività persiste anche nelle ore diurne. In luce costante (e temperatura irregolarmente variabile), l'attività periodica perdura ancora quattro o cinque giorni per poi divenire completamente aritmica. Un'attività notturna quale quella qui illustrata riveste un particolare interesse per la sua unicità in tutta la fauna mirmecologica italiana e per l'analogia che presenta con quella di alcuni affiniCamponotus tropicali.
Zusammenfassung Der Verfasser studiert die Sammeltätigkeit der Arbeiterinnen desCamponotus nylanderi Em. Nach systematischer Beobachtung einiger Kolonien, die aus Sizilien stammen, beweist der Verf. dass die sommerliche Sammeltätigkeit ausschliesslich in der Nacht vorsichgeht. Im Herbst kann man auch während des Tages eine geringe Tätigkeit beobachten. Im Dauerlicht (unter uregelmässig wechselnder Temperatur) ist es möglich den Tätigkeitsrhytmus noch für einige Tage zu verfolgen.C. nylanderi ist die einzige Art des italienischen Ameisenfauna, bei der man eine solche nächtliche Aktivität vorfindet. Ein solches Verhalten kommt nur bei verwandtenCamponotus-arten vor, die die warmen Wüsten bewohnen.

Résumé L'auteur a observé en laboratoire l'activité de récolte des ouvrières deCamponotus nylanderi Em. Au moyen d'observations régulières sur de petites colonies provenant de la Sicile, on prouve que l'activité en question est exclusivement nocturne au moins pendant l'été. Ce rythme d'activité persiste pendant quelques jours en conditions d'éclairage continu et de température irrégulièrement variable.C. nylanderi, est la seule espèce de la myrmecofaune italienne ayant une activité de récolte exclusivement nocturne: c'est un trait de comportement qu'on trouve seulement chez les espèces deCamponotus des déserts chauds, systématiquement voisines deC. nylanderi.


Lavoro eseguito con il contributo delConsiglio Nazionale delle Ricerche.  相似文献   

16.
Summary Studies of the mechanism of caste determination in termites were carried out on the southern Florida Kalotermitid,Neotermes jouteli (Banks). It was found that pseudergates of this species can respond to isolation by rapid and extensive production of supplementary reproductives (SRs). Similarly, soldier production was found in groups from which this caste was removed.The intensity with which SRs were produced (Ir) was found to vary with the natural colony from which the pseudergates originated. Low IR was found in colonies which had large pseudergates and produced alates. High IR was found in colonies which had small pseudergates and did not produce alates. It was concluded that IR declined as a function of colony age.In high IR colonies all pseudergates were found to be capable of SR transformation. In low IR colonies larval forms with the same size characteristics as pseudergates of high IR colonies were found to be totally incapable of SR transformation.Male and female reproductives were found to play different roles in inhibiting SR transformation in isolated groups. The female reproductive totally blocked female SR formation and partially blocked male SR formation. The male reproductive partially blocked both male and female SR formation to the same extent. In addition, a pair of reproductives of the same sex was found to be as fully inhibitory as a normal bisexual pair.The extent to which an isolated group of pseudergates underwent SR transformation was found to increase with the amount of time each day that reproductives were absent. Female pseudergates were less sensitive to the absence of reproductives than males.SR transformation could not be inhibited by restricting isolated pseudergates to a diet of filter paper impregnated with freshly obtained fecal droplets from 25 pairs of supplementaries each day. Reproductives with sealed anuses were fully inhibitory for a week after isolated controls began transformation. It was concluded, therefore, that proctodeal feeding is probably not the mechanism of transmission of the postulated inhibitory pheromones.
Zusammenfassung Studien des Mechanismus der Kastenbestimmung in Termiten wurden an KalotermitidNeotermes jouteli (Banks) von suedlichen Florida durchgefuert. Es ergab sich, dass Pseudergaten dieser Art auf Isolierung mit schneller und extensiver Produktion von Ersatzgeschlechtstieren (EG) reagieren. In Gruppen von denen diese Kaste entfernt war fand man Soldatenproduktion.Die Intensitaet mit der EG produziert wurde (IR) war unterschiedlich in den natuerlichen Kolonien von denen Pseudergaten kamen. Niedrige IR wurden in Kolonien gefunden die grosse Pseudergaten hatten und Imagines produzierten. Hohe IR wurden in Kolonien gefunden, die kliene Pseudergaten hatten und keine Imagines produzierten. Daraus kann man schliessen, dass IR abnahm als Funktion des Alters der Kolonie.In Kolonien mit hohem IR, fand man dass alle Pseudergaten faehig zur EG Transformation waren. In Kolonien mit niedrigem IR fand man, dass Larvenformen mit denselben Groessencharakteristiken wie Pseudergaten von Kolonien mit hohen IR voellig unfaehig waren die EG Transformation zu vollbringen.Maennliche und weibliche Geschlechtstiere spielten unterschiedliche Rollen in der Hemmung der EG Transformation in isolierten Gruppen. Das weibliche Geschlechtstier blockierte die weibliche EG Formation voellig und die maennliche EG Formation teilweise. Das maennliche Geschlechtstier blockierte maennliche und weibliche EG Formation teilweise zu demselben Masse. Ausserdem findet man ein Paar Geschlechtstiere desselben Geschlechts genauso hemmend wie ein normales Paar verschiedenes Geschlechts.Das Mass, in den cine isolierte Gruppe von Pseudergaten die EG Transformation durchmachte, erhoete sich mit der taeglichen Zeitspahne in der die Geschlechtstiere abwesend waren. Weibliche Pseudergaten waren weniger empfindlich gegen die Abwesenheit von Geschlechtstieren als maennliche.EG Transformation en konnte nicht gehemmt werden indem man die isolierten Pseudergaten taeglich auf eine Diat von Filterpapier mit frischen Tropfen von Darmextraken von 25 Paaren von Ersatzgeschlechtstieren beschraenkte. Ersatzgeschlechtstiere mit versiegelten Daermen waren eine Woche voellig gehemmtend, waehrend isolierte Kontrolltiere die Transformation begannen. Daraus ist zu schliessen, dass Darfuetterung wahrescheinlich nicht der Mechanismus ist zur Uebertragung hypotetischer hemmender Pheromons.

Résumé Des études du mécanisme de la détermination des castes chez les termites ont été faites chezNeotermes jouteli (Banks), (Famille Kalotermitidae), de la Floride du sud. On a trouvé que les pseudergates de cette espèce peuvent répondre à l'isolement par une production rapide et importante de sexués néoténiques (SRs). De la même façon, la production de soldats s'observe chez des groupes dont on a enlevé cette caste.L'intensité avec laquelle les SRs se sont produits (dénommée IR) varie avec la colonie d'origine des pseudergates. Une IR basse est trouvée chez des colonies qui avaient des grands pseudergates et qui produisaient des ailés. Une IR haute est trouvée chez des colonies qui avaient des petits pseudergates et qui ne produisaient pas d'ailés. On conclut que l'IR tombait avec l'âge de la colonie d'origine.Chez les colonies d'IR haute, tous les pseudergates étaient capables de se transformer en SRs. Chez les colonies d'Ir basse, les formes larvaires de la même taille que les pseudergates dans les colonies d'IR haute étaient complètement incapables de se transformer en SR.Les sexués mâles et femelles se sont trouvés jouer des rôles différents dans l'inhibition de la transformation en SR chez des groupes isolés. La femelle a bloqué complètement la formation de SRs femelles et, en partie, la formation de SRs mâles. Le mâle a bloqué, en partie, la formation de SRs mâles et de SRs femelles au même point. En plus, une paire de sexués du même sexe était aussi inhibitrice qu'une paire bisexuelle.Le nombre de SRs produits par un groupe de pseudergates isolés croissait avec le nombre d'heures par jour d'absence des sexués. Les pseudergates femelles répondaient moins à l'absence des sexués que les mâles.La transformation en SR ne pouvait pas être inhibée si on limitait l'alimentation des pseudergates isolés au papier de filtre imprégné de gouttes fécales obtenues de 25 paires de SRs par jour. Les sexués avec des anus bloqués étaient complètement inhibiteurs pour une semaine après que des témoins isolés commençaient à se transformer. On a donc conclu que l'alimentation proctodéale probablement n'était pas le mécanisme de transmission des phéromones inhibitrices postulées.


This work was supported by a Rockefeller University Graduate Fellowship.  相似文献   

17.
Summary Censuses showing the numerical relations between adults and immature stages are presented for numerous colonies of social Hymenoptera. Emphasis is placed on primatively social forms having colonies of very few individuals and lacking a worker caste or having such a caste only feebly differentiated. Evidence is presented for considering the number of immature individuals in a colony as an index of the ability of the adult females (queens and workers) of the colony to produce reproductives of the next generation. The censuses therefore relate colony size (number of adult females) to reproductive potentiality. It is not surprising that in all species the number of immature individuals rises with the number of females in the colony.When the immature stages are measured in numbers of individuals, it can be seen that the number of young rises slowly in relation to increases in number of females (mostly workers),i. e., the curves are rather flat if the same units of measurement are used for both x and y axes. Therefore a relatively large increase in worker number is associated with any increase in production of reproductives of the next generation. (A possible exception occurs inPseudagapostemon which lacks a worker caste.)When numbers of immature stages in a series of colonies of a species are divided by the number of females (queens and workers) in each colony to determine the efficiency of those females in rearing young, it is found that the efficiency per adult female is usually greater the smaller the colony, and that in those primitively social forms which sometimes live as lone individuals, it is these isolated females that produce the most progeny per female. Behavioral social interactions causing deminishing efficiency with increasing colony size must be common.Since higher reproductivity per female is attained by lone individuals rather than by those in groups, selection among egg-layers in small primitive social groups and in early season groups, when worker action is absent or minimal, may be partly responsible for the fact most social insects have colonies with only one queen. Such differential selection may partially explain the fact that colonies of bees typically contain only a single queen in spite of the belief that at least some of them arose phylogenetically through aggregations instead of through subsocial family groups. Other reasons for the frequency of colonies with one rather than many queens are probably more important and include the ease of establishment of a colony by a lone queen, the simplicity of caste controlling mechanisms if the number of functional queens is limited to one as contrasted to the complications if some additional queens are allowed, and various reasons related to selection and intracolonial competition as suggested in the text.
Zusammenfassung Die zahlenmässigen Beziehungen zwischen den Imagines und den jugendlichen Stadien werden für zahlreiche Nestpopulationen von sozialen Hymenopteren aufgezeigt. Besonders berücksichtigt sind dabei primitiv soziale Formen, die kleine Nestpopulationen und keine oder eine nur schwach entwickelte Arbeiterinnenkaste besitzen. Es wird gezeigt, dass die Anzahl der jugendlichen Individuen in einem Nest als Index für die Fähigkeit der erwachsenen Weibchen (Königinnen und Arbeiterinnen) Geschlechtsformen der nächsten Generation zu erzeugen gewertet werden darf. Die Zahlen zeigen daher die Beziehungen zwischen der Grösse der Kolonie (Anzahl der erwachsenen Weibchen) und dem Fortpflanzungspotential. Es ist nicht überraschend, dass in allen Arten die Anzahl der jugendlichen Individuen mit der Anzahl der Weibchen in einer Kolonie steigt.Wenn die Anzahl der jugendlichen Individuen gegen die Anzahl der erwachsenen Weibchen aufgetragen wird, so zeigt sich, dass die Anzahl der Jungen mit wachsender Anzahl von Weibchen (zumeist Arbeiterinnen) langsam ansteigt, d. h. ziemlich falche Kurven werden erhalten. Eine verhältnismässig starke Erhöhung der Arbeiterinnenzahl ist mit einer erhöhten Produktion von Geschlechtstieren für die nächste Generation verbunden (Eine Ausnahme darf möglicherweise inPseudagapostemon gesehen werben, in der eine Arbeiterinnenkaste fehlt).Wenn die Anzahl der jugendlichen Individuen pro Nest durch die Anzahl von erwachsenen Weibchen (Königinnen und Arbeiterinnen) pro Nest geteilt wird um die Leistungsfahigkeit der Weibchen in der Produktion von Nachwuchs zu bestimmen, so stellt sich heraus, dass die Produktionsfähigkeit eines Weibschens um so grösser ist je kleiner die Kolonie ist. Es sind gerade die zeitweise einsamen Weibchen von primitiv sozialen Formen die die meiste Nachkommenschaft pro Weibchen produzieren. Soziale Wechselbeziehungen, die eine Verringerung jener Leistungsfähigkeit mit steigender Koloniegrösse hervorrufen, muss weit verbreitet sein.Da eine erhöhte Fortpflanzungsfähigkeit pro Weibchen eher in einsamen Weibchen erreicht wird als in solchen die in Gruppen leben, muss Selektion unter den Eierlegern in den zahlenmässig schwachen primitiv sozialen Nestverbanden und in den Frühjahrsstadien von anderen Nestpopulationen die dann keine oder wenige Arbeiterinnen haben, teilweise fur die Tatsache verantwortlich sein, dass die meisten sozialen Insekten nur eine Königin pro Volk besitzen. Eine solche differentielle Selektion mag zum Teil die Tatsache erklären, dass im typischen Fall Bienen nur eine Königin besitzen obwohl angenommen wird, dass sich zumindest einige der sozialen Bienen phylogenetisch eher von Aggregationen als von subsozialen Familienverbänden ableiten. Andere Gründe für die Häufigkeit von Arten mit nur einer Königin sind vielleicht ausschalaggebender; jene schliessen mit ein die relative Leichtigkeit der Koloniegründung durch nur ein Weibchen, die Einfachheit des Mechanismus fur die Regulierung der Kastenstärke durch nur ein Weibchen im Gegensatz zur Kompliziertheit im Falle von mehreren Königinnen, und verschiedene andere Gründe, die mit Selektion und Konkurrenz zwischen den Kolonien zu tun haben und im Text näher dargelegt sind.

Résumé Des chiffres indiquent les rapports numériques qui existent entre les stades adulte et larvaire chez de nombreuses colonies d'Hyménoptères sociaux. L'étude porte principalement sur des formes de sociétés primitives constituées par des colonies réduites à quelques individus et dont la caste ouvrière est inexistante ou peu différenciée. Il est montré que, dans une colonie, le nombre d'individus à l'état larvaire peut être un indice de la capacité, pour les femelles adultes (reines et ouvrières), à produire les sexués de la génération suivante. Les chiffres établissent donc un rapport entre la taille de la colonie (nombre de femelles adultes) et le pouvoir reproducteur. Il n'est pas étonnant que, chez toutes les espèces, le nombre d'individus à l'état larvaire s'élève avec le nombre de femelles dans la colonie.Lorsque l'on compte les individus à l'état de larves, on constate que le nombre de jeunes s'élève lentement par rapport à l'accroissement du nombre des femelles (ouvrières pour la plupart), c'est-à-dire que les courbes sont peu expressives si l'on utilise les mêmes unités de mesure pour les 2 axes x et y. Donc, à un accroissement relativement important du nombre des ouvrières, correspond un accroissement variable dans la production des sexués de la génération suivante. (Exception faite peut-être pourPseudagapostemon qui n'a pas de caste ouvirère).Lorsque, dans une série de colonies d'une espèce déterminée, on divise le nombre de larves par le nombre de femelles (reines et ouvrières) afin de déterminer les capacités nourricières des femelles dans chaque colonie, on constate que ces capacités sont d'autant plus grandes pour chaque femelle adulte que la colonie est plus petite; et que dans ces formes de sociétés primitives qui ne comprennent parfois que des individus solitaires, les femelles isolées sont celles qui ont la plus forte descendance par individu. Il est probablement courant que les interactions du comportement social provoquent une diminution des capacités lorsque la colonie s'accroît. Etant donné que le pouvoir reproductif par individu est plus élevé lorsque les femelles sont isolées que lorsqu'elles sont groupées, la sélection parmi les pondeuses de petits groupes sociaux primitifs, tôt dans la saison, lorsque l'activité ouvrière est nulle ou à son minimum, est sans doute une des raisons pour lesquelles la plupart des insectes sociaux forment des colonies à une seule reine. Cette sélection différentielle peut expliquer en partie que des colonies d'abeilles ne contiennent habituellement qu'une reine en dépit du fait que, au moins une certain nombre d'entre elles, proviennent génétiquement de groupes collectifs et non de familles subsociales. Les autres raisons auxquelles on peut attribuer la fréquence des colonies à une plutôt qu'à plusieurs reines, sont sans doute plus importantes: ce sont la facilité de s'établir pour une colonie à reine unique, la simplification des mécanismes de contrôle de caste lorsque le nombre des reines actives est limité à une, opposée aux complications qui surgissent à l'admission d'autres reines, d'autres raisons diverses, liées à la sélection et à la compétition entre les colonies sont suggérées dans le texte.


Contribution number 1117 from the Department of Entomology, the University of Kansas, Lawrence, Kansas.

The preparation of this paper was facilitated by a grant (No. G 11967) from theNational Science Foundation. I wish to thank Dr. RobertR. Sokal for valuable criticism of the paper; Drs.C. L. Farrar andF. E. Moeller of the U. S. Department of Agriculture, Madison, Wisconsin, and Dr.W. E. Laberge of the University of Nebraska for helping me to. obtain certain data, especially unpublished data, on honeybees and bumblebees.  相似文献   

18.
Résumé Leptothorax (Mychothorax) kutteri n. sp. est décrit. La nouvelle espèce n'a pas d'ouvrières. Elle vit comme parasite dans des nids polygynes deLeptothorax (Mychothorax) acervorum Fabr. à côté des femelles fertilisées de cette espèce. Les colonies mixtes produisent des sexués des deux espèces. La nouvelle espèce n'a pas de spécialisations dans sa morphologie externe par comparaison avecL. acervorum. L'origine probable d'un tel parasite dans des espèces polygynes est discutée.
Summary Leptothorax (Mychothorax) kutteri n. sp. is described. The new species is living as a workerless social parasite in polygynous nests ofLeptothorax (Mychothorax) acervorum Fabr. together with fertilized females of this species. Sexuals of both species are bred in the mixed colonies. The new species shows no morphological specialisation in comparison withL. acervorum. The probable origin of such a social parasite in polygynous ant species is discussed.

Zusammenfassung Leptothorax (Mychothorax) kutteri n. sp. wird beschrieben. Die neue Art lebt sozialparasitisch in polygynen Nestern vonLeptothorax (Mychothorax) acervorum Fabr. neben begatteten dieser Art.L. kutteri ist arbeiterlos. In den gemischten Nestern werden Geschlechtstiere beider Arten aufgezogen. Die neue Art weist im äusseren Körperbau keine Spezialisierung gegenüber,L. acervorum auf. Die vermutliche Entstehung eines solchen Sozialparasiten in polygynen Ameisenarten wird diskutiert.


Vorstand: Prof. Dr.K. Gösswald.  相似文献   

19.
Summary Ancistrotermes guineensis (Silv.) colonies were reared in observation nests The timetable of development of the young colony is given. The construction of fungus comb from the faeces of the worker caste was observed; chewed wood was not used is constructing the comb. The fungus comb remained sterile until the correct species ofTermitomyces was introduced. The symbiosis between termite and fungus would appear to be specific. It seems that the alates do not carry an inoculum of viable spores of the fungus from the parent colony, but that workers introduce basidiospores in early foraging. This may be an important factor controlling the abundance of the termites. The phylogeny of the Macrotermitinæ is reviewed in the light of the new evidence.
Zusammenfassung Die Kolonien vonAncistrotermes guineensis (Silv.) waren in Beobachtungsnestern gezüchtet. Die wichtigsten Daten in der Entwicklung der jugen Kolonie ist gegeben. Die Konstruction der Pilzgarten aus dem Kot der Arbeiter wurde beobachtet; gekautes Holz wurde nicht für den Bau benutzt. Der Pilzgarten blieb sterile bis die richtige Art vonTermitomyces eingeführt wurde. Es ist wahrscheinlich, dass dei Symbiose zwischen Termiten Art und Pilz specifich ist. Es scheint als ob die Geflügelten beim Ausschwärmen von der ursprünglichen Kolonie nicht Pilz Basidiosporen mitnehmen, sondern dass die Arbeiter sie beim ersten furagieren einschleppen. Diese Tatsache könnte in der Kontrolle des Ueberflusses von Termiten sehr wichtig sein. Die Phylogenese der Macrotermitinae ist im Lichte dieser neuen Evidenz besprochen.

Résumé Quelques colonies d'Ancistrotermes guineensis (Silv.) ont été élevées dans des nids sous verre pour en faciliter l'observation. La table chronologique du développement de la nouvelle colonie est donnée. On a observé que seule la matière fécale était utilisée pour la construction des meules à champignons et que les termites ne se servaient pas du bois maché. Les meules demeurèrent stériles jusqu'à l'introduction de l'espèce correcte deTermitomyces. La symbiose entre les termites et les champignons paraît être spécifique. Il semble que les essaimants ailés ne transportent pas d'inoculum de spores vivantes de la colonie d'origine et que les ouvriers les introduisent lors des premières récoltes à l'extérieur. C'est peut-être là un facteur important qui règle l'abondance des termites champignonnistes. La phylogénie des Macrotermitinæ doit être reconsidérée en fonction de cette nouvelle évidence.
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20.
Summary Among species of the Ant genusLasius, nests sites and nesting habits differ according to the ecological requirements of every species. A classification of these habits has been outlined taking into consideration the complexity of the building techniques and the nature of the building materials. Whithin one single species there are populations differeing under these respects. This suggests the occurence of biological races.
Zusammenfassung Beobachtungen über die Lage und die Struktur des Nestbaues bei dem GeschlechtLasius in natürlichem Milieu, erlaubte es genau definierte oekologische Ansprüche festzustellen. Eine Einteilkung der artspeziefischen Sitten des GeschlechtesLasius konnte an Hand der angwendten komplessen Bauart kund des gebrauchten Materials aufgestellt werden. In einer gegebenen Art können jedoch mehrere Völker miteinbegriffen sein die sich durch einen verschiedenartigen nestbau unterscheiden; dies lässt uns annehmen, dass wir vor verschiedenen biologischen Rassen stehen.

Notes sur l'écologie et l'éthologie des espèces du genreLasius (Hymenoptera Formicid)
Résumé L'observation de l'emplacement et du mode de nidification des espèces du genreLasius dans leur milieu naturel a permis de mettre en évidence des exigences écologiques bien définies. De même, la complexité des techniques mises en uvre et le type de matérian employé lors de la construction des nids permettent de présenter un classement des murs des espèces du genreLasius. Une même espèce comporte des populations caractérisées par un mode de nidification différent, ce qui incite à penser que nous sommes en présence de races biologiques différentes.
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