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1.
The toxic effect of a spore preparation of Bacillus thuringiensis var. israelensis Berliner Serotype H-14 (Bti) on 4th instar larvae of Aedes aegypti L. and Toxorhynchites amboinensis (Doleschall) was observed when given either in a suspension feeding test or when injected orally as a forced feeding or via the anus as an enema. The A. aegypti larvae showed the greater sensitivity to Bti both because they greatly concentrate the toxin by filter feeding and they are more sensitive to Bti than are the larvae of T. amboinensis. The latter appeared approximately two-fold less sensitive to Bti than the former after taking into account their greater body weight.
Résumé La toxicité sur des larves de 4ème stade de A. aegypti et T. amboinensis, d'une préparation de spores de B. thuringiensis var. israelensis Berliner sérotype H-14, a été examinée après: injection orale par alimentation forcée, injection anale comme lavement, — le témoin étant une alimentation à partir d'une suspension de spores.Les larves de A. aegypti ont présenté la plus grande sensibilité au Bti d'une part parce qu'elles concentrent beaucoup la toxine avec leur alimentation par filtration, et parce qu'elles sont plus sensibles sensu stricto au Bti. Même en tenant compte de leur poids plus élevé, T. amboinensis est apparu comme deux fois moins sensible au Bti.
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2.
Azadirachtin, a triterpenoid substance from the neem tree, Azadirachta indica A. Juss., Meliaceae, was evaluated for its antifeedant and insecticidal properties to the European corn borer Ostrinia nubilalis Hübner. The 50% protective concentration for larval feeding on treated corn disks (PC50) was 3.5 ppm for neonate larvae and 24 ppm for third instar larvae. Azadirachtin severely reduced larval growth at 1 and 10 ppm in a meridic diet and eventually caused 100% mortality at 10 ppm and 90% at 1 ppm. At 0.1 ppm azadirachtin showed no significant effect on larvae but altered the sex ratio in favor of male moths during adult emergence and arrested oviposition of female moths.Nutritional indices for naive and habituated third instar larvae suggested that reduction of growth was due to toxicity as shown by a lowered efficiency of conversion in the azadirachtin treated groups, rather than changes in digestibility. No clear evidence of tolerance was observed in the habituated group. The data suggest that at 10 ppm azadirachtin is an effective botanical insecticide for control of O. nubilalis.
Résumé On a examiné les propriétés anti-appétantes et insecticides de l'azadirachtine, une substance triterpénoïde provenant d'Azadirachta indica envers la pyrale du maïs Ostrinia nubilalis. La concentration effective pour causer 50% d'inhibition de l'alimentation larvaire (PC50) sur des disques foliaires a été de 3.5 ppm pour les larves de premier stade et de 24 g/8 pour celle de troisième stade. L'azadirachtine a sévèrement réduit la croissance larvaire à des concentrations de 1 et 10 ppm dans une diète méridique et, éventuellement, a causé 100% de mortalité à 10 ppm et 90% à 1 ppm. A 0.1 ppm l'azadirachtine n'a pas eu d'effet significatif sur les larves maïs a modifié l'indice de masculinité en faveur des mâles au moment de l'émergence et a empêché l'oviposition chez les femelles. Les indices nutritionnels pour les larves naïves de troisième âge et celles ayant subi une accoutumance suggèrent que la réduction de croissance est le résultat d'une intoxication comme le démontre une efficacité réduite de transformation chez les groupes traités à l'azadirachtine, plutôt que des changements de digestibilité. Il n'y a pas d'évidence claire de tolérance dans le groupe ayant subi l'accoutumance. Les résultats suggèrent qu'à 10 ppm l'azadirachtine est un insecticide botanique efficace envers O. nubilalis.
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3.
Larvae of Heliothis zea (Boddie) were fed foliage of the resistant wild tomato Lycopersicon hirsutum f. glabratum C. H. Mull (PI 134417) and susceptible L. esculentum (cultivar Walter), either with the glandular trichomes removed or with the trichomes intact. Response variables measured included larval mortality, larval weight, consumption rate (CR), and efficiency of conversion of ingested material (ECI). Resistant foliage was found to contain factors in both the trichomes and leaf lamellae which increased larval mortality, reduced larval weight, reduced CR, and, except in second instars, reduced ECI. Susceptible foliage also contained trichome-based factors which increased larval mortality and decreased weight, as well as CR of second instars and ECI of fifth instars. Implications of these findings for breeding resistant tomato cultivars are discussed.
Résumé La tomate sauvage, Lycopersicon hirsutum f. glabratum C. H. Mull (PI 134417) est fortement résistant à Heliothis zea. Les études préalables ont indiqués que la résistance est associée avec la présence de 2-tridécanone dans les extrémités des poils glandulaires de la tomate sauvage, et que les facteurs dans la lamelle des feuilles sont peut-être impliqués. À déterminer la présence des facteurs lamellaires et à caractériser de plus les facteurs de résistance dans les extrémités des poils glandulaires aussi, nous nourrissions les larves du feuillage résistant de PI 134417 et du feuillage susceptible L. esculentum (lignée Walter) les deux avec les extrémités des poils glandulaires enlèvés ou avec les extrémités des poils glandulaires intacts. Nous mesurions la mortalité des larves, les poids des larves, la taux de consommation relative et l'efficacité de conversion de matière mangé.On se trouvait le feuillage résistant à contenir les facteurs, tous deux dans le feuillage lamellaire et dans les extrémités des poils glandulaires, qui causaient l'augmentation de mortalité, les poids plus basses, la taux de consommation relative plus basse, et, hormis dans le cas des larves en phase deuxième, l'efficacité de conversion réduite. Le feuillage susceptible contenait aussi les facteurs dans les extrémités des poils glandulaires qui augmentaient la mortalité, diminuaient les poids et la taux de consommation relative des larves en phase deuxième, et diminuaient l'efficacité de conversion des larves en phase cinquième. Cettes conclusions indiquent la présence des facteurs de résistance en outre de 2-tridécanone et peuvent fournir les indices à l'identité de ces facteurs.
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4.
Summary Aphidius rhopalosiphi produced 212 offspring on average but in one case 509 deposited eggs were found. Superparasitization occurred but the frequency distribution of parasitoid larvae in aphids differed significantly from random, indicating a certain degree of host discrimination. Average life span of adults was 13.1 days and sex ratio was 1:1. It changed in time among successively produced offspring.Handling time was about 2 sec and was somewhat longer in the fourth instar than in the second. Second and third aphid instars were preferred for oviposition. Functional response was sigmoid and at an aphid density of 100 aphids per cage percentage parasitization decreased.
Résumé Nous avons examiné quelques aspects des relations entre le parasitoïde Aphidius rhopalosiphi et son hôte Sitobion avenae. La fécondité potentielle à l'émergence (144 ufs) était inférieure à la fécondité réalisée: nombre de pucerons momifiés (212). La plupart des ufs étaient pondus dans la première semaine de la vie imaginale (fig. 1). Le super-parasi-tisme s'est produit dans les conditions expérimentales, mais la distribution des larves (fig. 2) s'écartait souvent de la distribution au hasard, ce qui indiquait une certaine discrimination parmi les hôtes.La longévité moyenne était de 13,1 jours et le maximum de 23 jours. Le taux sexuel (fig. 3) pour l'ensemble de la descendance était 1/1, mais changeait dans le temps. Après le premier jour de ponte, plus de femelles que de mâles étaient obtenues; mais après 6 jours, il n'y avait presque plus que des mâles.Le taux de rencontre des aphides et des parasitoïdes augmentait avec la taille (fig. 4a). Le temps de prospection de l'hôte était en moyenne de 2 secondes, mais dans certains cas il atteignait 10 secondes ou plus. La proportion de rencontres efficaces était plus faible au 4ème stade (fig. 4b). Il n'y avait pas de différence significative dans le nombre de larves de parasitoïdes obtenues par rencontre pendant les stades 1 à 3 des pucerons, mais elle était significativement inférieure au 4ème stade par rapport au second. Les taux globaux de succès (taux de rencontre et nombre de larves formées par rencontre) étaient plus élevés aux 2ème stades des pucerons. La réponse fonctionnelle était sigmoïde (fig. 5).
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5.
Rates of development ofEpisyrphus balteatus (Diptera: Syrphidae) indicate that three generations are possible during the season. Only one develops in the wheat crop. Feeding activity is highest during the night. Functional response curves for newly hatched larvae, 1 and 5 day-old larvae were determined. The high rate of reproduction and the short feeding period makeE. balteatus an excellent exploiter of a temporary habitat: a cereal aphid colony.
Episyrphus balteatus (Syrphidae), prédateur deSitobion aveane (Aphididae) sur blé d'hiver
Résumé Les durées de développement deE. balteatus dépendent de la température. L'incubation a duré 14.2 jours à 7.5°C et 1.59 jour à 25°C. Le développement larvaire jusqu'à la dernière défécation a demandé 35.8 jours à 7.5°C, et 10.1 jours à 20°C. Seule une génération peut se développer chaque année sur blé d'hiver, car la durée totale de l'ontogenèse, dans les conditions de température des champs, est comprise entre 30 et 45 jours. Les larves s'alimentent surtout la nuit. La prédation maximale à 20°C augmente avec l'âge de la larve, depuis 2.34 pucerons du troisième stade par jour pour une larve de syrphe néonate jusqu'à 5.04 pucerons du troisième stade quand les larves ont un jour. Les consommations les plus élevées, de 38.6 et 42.7 pucerons par nuit de 7 heures, ont été obtenues avec des larves de 4 à 5 jours, élevées à 21/13°C.A 20°C, le temps consacré à l'alimentation par des larves néonates de syrphes augmente avec la taille de la proie; il passe de 63.6 min pour des pucerons du premier stade à 131.2 min pour ceux du second stade. La relation entre le poids de la larve et le nombre de pucerons consommés est linéaire.E. balteatus a besoin, pour son développement, de moins deS. avenae que deA. fabae.
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6.
The insect growth regulator Dimilin®, common name: diflubenzuron, applied at concentrations effective against the cabbage maggot Delia radicum L., did not affect the hatching of eggs of the staphylinid predator and parasite, Aleochara bilineata Gyllenhal. Applied externally in distilled water, Dimilin was non-toxic to first instar larvae, to larval instars developing within host puparia, and to adults. When Dimilin was dissolved in dimethylsulfoxide, then applied to the exoskeleton of host puparia, emergence of A. bilineata adults was suppressed. The conventional insecticide Furadan, at a concentration (0.001% in distilled water) equal to the lowest concentration of Dimilin used, was toxic to both eggs and larvae of A. bilineata.
Résumé Lorsqu' appliqué dans des concentrations efficaces contre la mouche du chou Delia radicum L. (0.1, 0.01, 0.001% p/v dans de l'eau distillée), le Dimilin (diflubenzuron), un régulateur de croissance des insectes, n'a pas affecté l'éclosion des oeufs de Aleochara bilineata Gyllenhal, un staphylin prédateur et parasite. En application externe, à la plus forte concentration (0.1% p/v dans de l'eau distillée), cet inhibiteur de synthèse de la chitine s'est avéré non toxique pour les larves du premier stade, les stades larvaires qui se développent à l'intérieur du puparium de l'hôte, et les adultes. Le traitement au Dimilin n'a pas affecté la fertilité des staphylins adultes. Cependant, lorsque le diflubenzuron était dissous dans du diméthylsulfoxyde et appliqué sur l'exosquelette du puparium de l'hôte, l'émergence des adultes de A. bilineata était éliminée. L'insecticide conventionnel Furadan (carbofurane), à une concentration égale à la plus faible concentration de Dimilin utilisée (0.001% p/v dans de l'eau distillée), s'est avéré toxique à la fois pour les oeufs et pour les larves de A. bilineata.
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7.
The effects of 6, 7-dimethoxy-2, 2-dimethyl chromene (precocene II) on pre-imaginal development in Aedes aegypti were determined by exposure of eggs, larvae and pupae to this botanically derived compound. Precocene II prevented adult emergence when newly hatched larvae were exposed to dosages ranging from 2 to 4 ppm. Pupation was inhibited when early 4th-instar larvae were exposed to dosages ranging between 1 and 10 ppm. Fourth-instar larvae treated at concentrations above 0.1 ppm, also required more time to complete metamorphosis than controls. The pupal and egg stages were insensitive to treatments at concentrations up to 10 ppm.
Les effects du 6, 7-dimethoxy-2, 2-dimethyl chromé sur le développement des stades prémiginaux aegypti, (diptera: Culcicae)
Résumé Les stades préimaginaux d'Aedes aegypti ont été exposés à des concentrations de l'ordre de 0,1 à 10 ppm de 6,7-dimethoxy-2,2-dimethyl chromène un composé extrait des plantes et manifestant des propriétés anti-allatotropes. De telles substances induisent en particulier une métamorphose précoce chez Oncopeltus et pour cette raison ont été appelées «précocènes». Les ufs et le stade nymphal sont insensibles à cette game de doses, mais le ler et le 4ème stade larvaire sont affectés de diverses façons. Les larves nouveaux-nées, soit ne muent pas, soit subissent un assombrissement de leur cuticule quand elles sont exposées à des concentrations de 2 à 6 ppm. La nymphose est empêchée quand les larves du début du 4ème stade larvaire sont exposées à des doses de 1 à 10 ppm. Les individus atteints restent à l'état de larve âgée et ne se transforment pas en nymphe. La durée du développement du ler et du 4ème stade larvaire est accrue de plus de 100% après des expositions à des doses de 4 à 10 ppm, respectivement.A la différence des réponses signalées antérieurement pour Oncopeltus fasciatus, les larves traitées ne subissent pas de métamorphose précoce. Ainsi, il est manifeste que ces composés affectent de façon diverses les processus endocrines associés à la mue, plutôt que d'exercer un effet direct antiallatotrope.
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8.
Suppression of growth and molting occurred in Mexican bean beetle (Epilachna varivestis) larvae confined with bean plants treated with 25-azacholesterol (25-A) or 3-methoxy-25-azacholesterol (3-M-25-A). No larvae confined with bean plants dipped into 10 ppm of 3-M-25-A completed development and over half failed to complete the first ecdysis. Three larvae treated with 25-A developed everted wing pads on the last instar. Addition of an equal weight of cholesterol to the dipping solution completely nullified the inhibitive effects of a dose of 25-A 100 x greater than that required for inhibitive effects. Treatment of the bean plants with a combination of 25-A and a JH mimic resulted in additive and possibly synergistic pathological developmental effects in confined larvae.
Résumé Des larves d'Epilachna varivestis élevées sur des plants de haricots trempés dans des solutions d'acétone et eau contenant soit du 25-azacholesterol (25-A) ou du 3-methoxy-25-azacholesterol (3-M-25A), cessent de muer et leur croissance est stoppée. Avec des plants de haricots trempés dans une solution à 10 p.p.m. de. 3 M-25A, aucune larve n'acheva son développement et plus de la moitié des 100 larves expérimentées ne purent achever leur lère mue. Les pupes obtenues ne pesaient fréquemment que la moitié du poids des témoins. Trois larves traitées avec 25-A développèrent des ébauches alaires inversées au cours du dernier stade.Il a été reconnu que ces azasterols inhibent les D22 et D22,24 sterolreductases dans le tissu larvaire de l'intestin moyen des larves de Manduca sexta (Tobacco Hornworm). Ces enzymes interviennent dans la transformation des principaux phytostérols des feuilles de haricots (stigmasterol, -sitosterol et campesterol) en cholesterol. Comme il y a moins de 1% de cholesterol dans les feuilles de haricots, nous avons essayé de compenser l'effet inhibiteur du 25-A en ajoutant du cholesterol aux solutions du bain. L'addition de 1000 ppm de cholesterol annule complètement les effets inhibiteurs de 1000 ppm de 25-A (100 fois plus que la dose nécessaire pour provoquer des effets inhibiteurs).Des larves de Manduca sexta élevées sur plants de tabac à l'azasterol ne sont pas affectées, bien que leur développement soit grandement retardé par de petites quantités de ces azasterols ajoutés à un aliment synthétique dépourvu de cholestérol. Sans doute, la haute teneur en cholesterol des feuilles de tabac (9% des sterols totaux) est suffisante pour satisfaire les besoins en cholesterol des larves. Des traitements de plants de haricots avec une combinaison de 25-A plus la substance mimétique de l'hormone juvénile (E)-4-[(6,7-epoxy-3-ethyl-7-methyl-2-nonenyl) oxy]-1,2-(methylenedioxy) benzène, ont provoqué des effets pathologiques surjoutés et peut être synergiques sur le développement des larves d'Epilachna.
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9.
Control of leafrollers using Insect Growth Regulators with juvenile-hormone acitivity (IGR) is a major issue in research on Integrated Pest Management in apple orchards. The IGR is applied at the time of emergence of the last-larval instar of leafrollers, thus causing a disturbance of metamorphosis.Simulation models on the development of Pandemis heparana (Denn. et Schiff.) and Adoxophyes orana (F.v.R.) were developed, partly on the basis of experiments, partly on data from literature, to predict the time of emergence of the various stages, particularly of the last-larval instar and the pupa. The models use the state-variable approach, and include only temperature as a driving variable.Simulated curves of emergence of last-instar larvae, pupae and moths corresponded well with observations on field-collected larvae, reared to adult stage in an outdoor insectary. The curves of pheromone trap catches showed a delay relative to the calculated and observed curves for the eclosion of pupae.To investigate whether the time of IGR application could be related to a temperature sum, the relation between emergence curves of last-instar larvae and temperature sums was studied for several years. For this purpose simulated curves were used, because observations on emergence of last-instar covered only a few years.
Résumé Le contrôle des Tordeuses par les régulateurs de croissance d'Insectes (IGR), à activité d'hormone juvénile, est un progrès majeur dans la recherche pour la lutte intégrée contre les ennemis des vergers de pommiers.L'IGR appliqué lors de l'apparition du dernier stade larvaire des Tordeuses, perturbe ainsi la métamorphose ultérieure. Afin de prévoir le moment d'apparition des différents stades, et plus particulièrement du dernier stade larvaire, des modèles de simulation du développement de Pandemis heparana (Denn. et Schiff.) et Adoxophyes orana (F.v.R.) ont été élaborés à partir d'expériences et en se basant sur des résultats de la littérature.Le modèle est basé sur l'examen de la variable d'état, la température étant la variable discriminante suivie.Les courbes simulées d'apparition des larves de dernier stade, des nymphes et des papillons correspondent aux observations faites sur les larves récoltées dans la nature et élevées jusqu'au stade adulte dans un insectarium en plein air.Le taux de capture dans les pièges à phéromone présente un retard par rapport aux courbes calculées et observées pour l'éclosion des nymphes. Différentes causes peuvent être attribuées à cette différence, mais l'influence d'aucune d'elles n'a été étudiée.Afin de déterminer si le moment de l'application d'IGR peut être lié à une somme de températures, les courbes d'apparition des larves de dernier stade ont été étudiées en relation avec les sommes de températures portant sur plusieurs années. Les observations concernant l'apparition des larves de dernier stade ne couvrant que 2 années, des courbes simulées ont été utilisées à cet effet. L'emploid de la relation liant le moment de l'apparition à la somme des températures permet de n'avoir à calculer que les sommes de températures pour déterminer le moment opportun de l'application des IGR.
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10.
Very simply constructed aquatic sticky light traps employing a chemical solution emitting a bright light attracted large numbers of all larval instars, but few pupae of Aedes cantans in trials in England. During April numbers of larvae per trap ranged from 73±14.2 to 163±19.9, whereas dipping with a ladle yielded only 6.9±5.5 to 11.8±7.7 larvae/dip. The traps were also effective in sampling larvae of Culiseta morsitans and in Sierra Leone larvae of Aedes aegypti. It was concluded that sticky light traps could be valuable in sampling relative numbers of mosquito larvae and merited further evaluation.
Résumé Des pièges adhésifs lumineux faciles à réaliser sont construits pour les captures des larves de moustiques. Ils sont formés de paires de boîtes de Pétri en plastique contenant une solution émettrice de lumière provenant de bâtons lumineux chimiques Cyalume®. Chaque piège est recouvert d'une feuille de plastique de 16×16 cm enduite d'une substance qui reste adhésive sous l'eau. Les larves de moustiques attirées vers la source lumineuse viennent se coller à la feuille adhésive.Ces pièges ont été utilisés avec succès en Angleterre pour l'échantillonnage de tous les stades larvaires d'Aedes cantans, mais pas avec le même efficacité pour les nymphes. Des tests plus restreints ont montré que la technique était également utilisable pour les larves de Culiseta morsitans. Les nombres moyens d'A. cantans capturés pendant une piode de 12 h (73±14,2–163±19,9) étaient supérieux à ceux obtenus en plongeant une louche (6,9±5,5–11,8±7,7). En utilisant les pièges adhésifs lumineux, les captures moyennes de C. morsitans étaient également supérieures (12,6±4,7–35,8±8,9) contre (5,7±6,1–8,9±7,8) avec la méthode de la louche.En Sierra Leone, des stades larvaires immatures d'A. aegypti se développant dans des containers de stockage d'eau ont également pu être capturés à l'aide de ces pièges.Bien qu'une évaluation plus poussée soit encore nécessaire, il ne fait aucun doute que ces pièges adhésifs lumineux aient un intérêt considérable pour l'échantillonnage larvaire dans les sites inaccessibles, tels que les trous d'arbres ou les trous de crabes, où les méthodes d'échantillonage classiques sont souvent d'un emploi difficile.
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11.
Experiments examined the effects of no-tillage (NT) and conventional-tillage (CT) and increased soil moisture (irrigation) on southern corn rootworm (SCR), Diabrotica undecimpunctata howardi Barber (Coleoptera: Chrysomelidae), oviposition and survival and SCR below-ground predators in peanut (Arachis hypogeae L.) agroecosystems. No-tillage systems without irrigation had significantly greater soil moisture than CT systems without irrigation in 1987, but not in 1988. Both moist soil and the presence of an organic residue increased the number of southern corn rootworm eggs in a system. The same 17 species of predatory arthropods were found in all systems. However, their activity in the top 10-cm of soil which increased in NT systems, determined how effective they were as predators. Only 7 predators significantly reduced SCR immature stages, and of these 7, only one, Formicidae, preyed on all stages of SCR. Southern corn rootworm first instars and eggs had the greatest overall percent mortality, with second and third instars the lowest. Peanut yields and pod quality were equal between NT and CT systems. Overall return per ha showed NT, no-irrigation systems with the greatest return. Abiotic parameters dominated SCR survival in CT systems, while biotic parameters had the greatest influence on SCR survival in NT systems.
Résumé Des expériences ont été entreprises pour examiner l'influence de labours classiques ou de leur absence et de l'augmentation de l'humidité du sol (irrigation) sur la ponte et la survie de D. undecimpunctata howardi Barber (Coleo. Chrysomelidae) et sur ses prédateurs souterrains dans des agrosystèmes à arachide. L'humidité du sol s'est montrée significativement plus élevée dans les parcelles irriguées pendant les deux années, 1987 et 1988, mais, en 1987 et non en 1988, l'humidité du sol a été significativement plus élevée dans le sol non labouré pourtant non irrigué que dans le sol labouré et irrigué. La présence de sol humide et de résidus organiques augmente le nombre d'ufs émis. Les mêmes 17 espèces d'arthropodes prédateurs dateurs souterrains ont été rencontrés dans toutes les sols non labourés et parfois dans les sols labourés irrigués; leur activité détermine leur efficacité comme prédateur. 7 espèces réduisent les effectifs de larves, mais une seule d'entre elles, une Formicidae, (Lasius spp. et Pheidole spp.) s'est révélée prédatrice de tous les stades de la chrysomèle. La plus forte mortalité de D. u. howardi a été observée sur les ufs et les larves de premier stade, la plus faible sur les larves de deuxième et troisième stade. La récolte et la qualité des arachides sont identiques avec ou sans labour. Ainsi, la rentabilité financière par ha était supérieure dans les systèmes sans labour non irrigués. Il découle de cette étude que les paramètres physiques dominent la survie de la chrysomèle dans les systèmes avec labour, tandis que les paramètres biologiques influent le plus sur la survie dans les systèmes sans labour.
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12.
In a choice test among six life stages of Phenacoccus herreni Cox & Williams, Epidinocarsis diversicornis (Howard) used its antennae to examine adult and 3rd stadium females more than other stages and preferentially attempted to oviposit in these plus 2nd stadium females. Success of ovipositor insertion was unaffected by host stage. The outcome of these behaviors was preferential oviposition by E. diversicornis in the large female host stages. Acerophagus coccois Smith also preferentially examined larger female mealybugs (second and third stadium nymphs and adults) more than other stages and successfully inserted its ovipositor in these stages more often than in second stadium male nymphs and male cocoons, resulting in a similar preference in this species for larger female host stages. When given a choice between adult female hosts of two species, P. herreni and Phenacoccus gossypii Townsend & Cockerell, E. diversicornis exhibited a clear preference for P. herreni; whereas A. coccois preferred P. gossypii.
Résumé Epidinocarsis diversicornis (Howard), ayant la possibilité de choisir entre six stades différents de Phenacoccus herreni Cox & Williams, examine avec ses antennes plus particulièrement les adultes et les larves femelles du 3ème stade, et essaie de pondre de préférence dans ces stades et les larves femelles de second stade. L'insertion de la tarière s'effectue aussi bien quel que soit le stade de l'hôte. Il résulte de ces différents aspects du comportement que E. diversicornis pond de préférence dans les femelles des stades les plus avancés. Acerophagus coccois Smith préfère aussi examiner les cochenilles femelles les plus grosses (second et 3ème stade larvaires et adulte), et introduit sa tarière avec succès dans ces stades plus souvent que dans les larves mâles de second stade ou les cocons mâles; il en résulte aussi pour cette espèce une préférence pour les femelles des stades les plus gros.Quand on leur a donné le choix entre des femelles des deux espèces de cochenilles (P. herreni et Phenacoccus gossypii Towsend & Cockerell), E. diversicornis manifestait une nette préférence pour P. herreni, tandis que A. coccois préférait P. gossypii.
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13.
To evaluate its uptake, metabolism, and excretion, we studied the fate of tritiated 22,23-dihydroazadirachtin, when injected either orally or directly into the hemocoel of last instar larvae of Heliothis virescens (Fabr.). An oral injection of 1.0 g of tritiated 22,23-dihydroazadirachtin, the minimum oral dose necessary to disrupt pupation, was rapidly absorbed through the midgut such that >50% of the radioactivity was detected in the body 1 h post injection. Excretion of radioactivity following an oral injection was slow; 24 to 72 h elapsed before approximately 50% of the radioactivity was detected in the feces. In contrast, excretion of radioactivity following a hemocoel injection of 0.3 g of tritiated 22,23-dihydroazadirachtin, the minimum hemocoel dose necessary to disrupt pupation, was rapid; almost 50% of the radioactivity was detected in the feces only 1 h post injection. Tritiated 22,23-dihydroazadirachtin was metabolized to a more polar compound(s) by H. virescens larvae, as indicated by thin layer chromatography. Metabolism to a more polar form(s) occurred probably following absorption through the midgut, since hemocoel-injected larvae exhibited a more rapid rate of conversion than oral-injected larvae. Even though metabolism to a more polar form(s) should enhance its excretion, approximately 25% of the radioactivity remained in the body 72 h following either oral or hemocoel injection, and this was sufficient to disrupt pupation.
Résumé L'étude a été réalisée avec de la 22,23-dihydroazadirachtine tritiée injectée soit oralement, soit directement dans l'hémocoele des chenilles de H. virescens Fabr. du dernier stade. La dose orale minimale de 1,0 g, nécessaire pour perturber la nymphose, a été rapidement absorbée à travers l'intestin moyen, d'une façon telle que plus de 50% de la radioactivité a été retrouvée dans le corps une heure après l'injection. L'excrétion de la radioactivité à la suite d'une injection orale a été lente; 24 à 72 heures se sont écoulées avant que 50% de la radioactivité ait été décelée dans les excréments. A l'opposé, l'excrétion de la radio-activité à la suite d'une injection hémocoelique de 0,3 g, — dose hémocoelique minimale pour perturber la nymphose-, a été rapide; presque 50% de la radioactivité a été décelée dans les excréments au bout d'une heure seulement après l'injection. La chromatographie en couche mince a montré que la 22,23-dihydroazadirachtin a été métabolisée en substance(s) plus polaire(s) par les chenilles de H. virencens. La métabolisation en forme(s) plus polaire(s) se produit vraisemblablement après l'absorption à travers l'intestin moyen, puisque les chenilles injectées directement dans l'hémocoele ont présenté un taux de conversion plus rapide que les chenilles injectées oralement. Bien que la métabolisation sous une (des) forme(s) plus polaire(s) ait augmenté l'excrétion, approximativement 25% de la radioactivité subsistait dans le corps 72 heures après une injection orale ou hémocoelique, ce qui est suffisant pour perturber la nymphose.
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14.
Bayberry whitefly (Parabemisia myricae [Kuwana]) crawlers were placed on young and mature lemon leaves and were allowed 7–9 days to settle. Afterwards, the nymphs were fixed and sectioned in situ on the leaves and the area of leaf under each whitefly was examined at 1 000 x for stylet penetration. Both stylets and stylet tracks were readily visible in the sections. The path of penetration was mostly intercellular and the objective appeared to be the phloem. Passage of the stylets through the plant tissue did not cause detectable damage to most cells; however, damaged plant cells occasionally were noticed. Nymphs that had moulted during the 7–9 day settling period reached the phloem significantly more often than those that were still in their first instar. In each of the three replicates, penetration in the mature leaf occurred significantly less often than penetration in the young leaf (4% vs. 72%, p<0.01, 2). Penetration appears to be inhibited in the mature leaf either by the leaf cuticle or by factors detected by the nymphs after very shallow penetration into the leaf. The cuticle of mature leaves was much thicker than the cuticle of young leaves and may have been a barrier to stylet penetration.
Résumé Des larves de premier stade (avant la fixation) de l'aleurode, Parabemisia myricae (Kuwana), ont été placées, pour qu'elles se fixent, pendánt 2 à 9 jours, sur des feuilles jeunes ou mûres de citronnier. Des morceaux de feuilles avec des larves fixées ont été trempés dans 2% d'agar; ce procédé a permis de maintenir les larves à leurs sites de fixation finale. Des pièces d'agar contenant les morceaux de feuilles avec les larves ont ensuite été trempées dans de la paraffine, et sectionnées en séries de 10 . Il était nécessaire de maintenir une basse température pendant l'opération afin d'obtenir de bonnes sections des feuilles mûres durcies. Les stylets et leurs traces étaient faciles à voir dans les sections teintées aux safranins, et fast green. Presque toutes les traces des stylets étaient intercellulaires et leur destination semblaient être de phloème. En général, la plupart des cellules ne semblaient pas endommagées, les larves qui avaient mué pendant la période de 7 à 9 jours de fixation avaient atteint significantivement plus le phloeme que les larves du premier stade. Dans trois essais, la pénétration des feuilles mûres était significativement moins fréquente que celle des feuilles jeunes (p<0.01, 2).La pénétration dans des feuilles mûres semble être empêchée par la cuticule ou par des facteurs perçus par les nymphes après une pénétration superficielle. La cuticule des feuilles mûres était beaucoup plus épaisse que la cuticule des jeunes feuilles et pourrait donc représenter une barrière à la pénétration des stylets.
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15.
The egg and larval stages of the generalist endoparasitoid Campoletis sonorensis Carlson (Hymenoptera: Ichneumonidae), which normally avoid the hemocytic reaction of many Lepidopteran host species, are encapsulated in 40% of Spodoptera frugiperda J. E. Smith (Lepidoptera: Noctuidae) larvae. The effect of parasitism on inhibiting the spreading ability of S. frugiperda plasmatocytes in vitro is more pronounced in susceptible larvae which fail to encapsulate the parasitoid than in resistant ones permitting parasitoid development. This suggests that induction of plasmatocyte pathology is relevant to the successful evasion of encapsulation by the parasitoid. Some granular cells disappear from the hemolymph of the parasitized resistant larvae, which implicates their involvement in the encapsulation reaction. Calyx fluid of C. sonorensis injected into host larvae produced effects on host hemocytes identical to natural parasitism. Several mechanism may cooperate to protect the parasitoid from encapsulation. The pathological reactions by the host plasmatocytes is one main manifestation of the immunosuppressive parasitoid effect. Results are discussed in regard to the known effects of C. sonorensis on Heliothis virescens Fabricius (Lepidoptera: Noctuidae) larval hemocytes which are totally unable to respond with a successful cellular defense reaction.
Résumé L'ichneumonide Campoletis sonorensis Carlson, endoparasitoïde larvaire, se développe dans de nombreuses espèces de Lépidoptères. Son statut de généraliste est dû, notamment, à son aptitude à déjouer les défenses immunitaires de ses hôtes, c.a.d. la formation d'une capsule d'hémocytes autour de l'oeuf ou de la larve parasite. Cependant, chez le noctuide Spodoptera frugiperda J.E. Smith, C. sonorensis est encapsulé dans 40% des larves qu'il parasite. Nous avons étudié la population hémocytaire de deux catégories de larves de S. frugiperda, celles qualifiées de résistantes à C. sonorensis, et qui arrêtent son développement, et celles susceptibles où le parasitoïde échappe à l'encapsulation.Cinq types d'hémocytes ont été identifiés: les prohémocytes (PR), les sphérulocytes (SP), les granulocytes (GR), les plasmatocytes (PL) et les oenocytoïdes (OE). Chez les hôtes susceptibles et résistants, le parasite provoque une baisse identique de la concentration totale des hémocytes dans l'hémolymphe (THC). Par contre, les PLs sont davantage affectés chez les hôtes susceptibles que chez ceux résistants au parasitoïde. Les résultats montrent que, chez les hôtes susceptibles, 1) le nombre des PLs dans l'hémolymphe est davantage diminué, et 2) leur aptitude d'adhérence in vitro est davantage inhibée. Il existe donc une corrélation positive entre le degré de pathologies qui affectent les PLs de l'hôte et l'incapacité de celui-ci à encapsuler le parasitoïde. Ceci tend à démontrer le rôle-clé des PLs dans la réaction immunitaire d'encapsulation chez S. frugiperda, comme chez de nombreux insectes. De plus, ce résultat renforce l'hypothèse selon laquelle C. sonorensis éviterait l'encapsulation en agissant sur les hémocytes de l'hôte, et plus particulièrement sur les PLs. Inversement aux PLs, les GRs sont moins abondants dans l'hémolymphe des hôtes qui encapsulent C. sonorensis. Les GRs pourraient donc participer à la formation de la capsule hémocytaire.Il est possible que plusieurs facteurs contribuent à protéger C. sonorensis de l'encapsulation. Néanmoins, les pathologies affectant les hémocytes des hôtes parasités sont probablement une manifestation majeure de l'effet immunosuppresseur du parasitoïde.Les effets de C. sonorensis sur les hémocytes des larves parasitées peuvent être reproduits chez des larves saines, en leur injectant de venin extrait des glandes du calyx des femelles parasitoïdes. Ces sécrétions provenant de la glande du calyx, et normalement injectées dans l'hôte lors de l'oviposition, sont probablment responsable, au moins en partie, de l'effet immunosuppresseur du parasitoïde.Ces résultats peuvent être comparés à ceux obtenus chez l'hôte Heliothis virescens Fabricius (lépidoptère, noctuide) qui n'encapsule jamais C. sonorensis. Bien que le parasitoïde provoque les mêmes effets pathologiques sur les hémocytes des hôtes de S. frugiperda et d'H. virescens, on constate que l'effet apparait quelques heures après l'oviposition chez H. virescens, contre 48 heures post-oviposition chez S. frugiperda. Ce délai pourrait contribuer à la résistance immunitaire de certaines larves de S. frugiperda, résistantes, à C. sonorensis.
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16.
Résumé Bruchus affinis Frölich (Coléoptère, Bruchidae), est une espèce univoltine attirée sélectivement par les fleurs de L. sylvestris, qui constitue l'une des trois plantes dont les larves consomment les graines. Il s'agit d'un insecte typiquement spécialisé à l'exploitation de plantes particulières. Cependant, les femelles distribuent leurs ufs sur les gousses jeunes de L. sylvestris sans tenir compte, ni de leur disponibilité en graines, ni du nombre d'ufs déjà présents, alors que le développement des larves est solitaire. Les larves néonates perforent la gousse et gagnent des ovules. Plusieurs larves peuvent atteindre le même ovule, mais une seule se développe dans la graine en formation. Le nombre d'ufs pondus sur les premières gousses dépasse largement le nombre de graines qui se développeront dans ces gousses. La surabondance d'ufs sur les premières gousses entraîne une forte mortalité.Les déplacements des larves dans les gousses et leur comportement de pénétration dans les graines en croissance ne suppriment pas la compétition intraspécifique larvaire.Aucune adaptation n'ajuste la distribution des ufs et la répartition des larves à l'utilisation optimale des disponibilités en graines. Aucune stratégie adaptative ne limite le gaspillage de progéniture; la spécialisation trophique n'a pas entraîné un comportement reproducteur optimisant l'utilisation des ressources et la survie de la descendance.Bien que la période étudiée corresponde à moins de 10% de la durée du cycle annuel de B. affinis, la très forte mortalité observée entre la ponte et l'installation dans les graines constitue vraisemblablement le facteur-clé des fluctuations annuelles de la population. Les causes de cette mortalité varient d'une station à l'autre, et il est impossible de les hiérarchiser.  相似文献   

17.
A series of experiments were conducted to determine the infection sites of the entomopathogenic fungus Beauveria bassiana after ingestion by the larvae of Aedes aegypti. The timing of the host death in relation to larval molting, the principle sites of fungal infection and development in host tissues were studied. Fungal conidiospores (CS) and blastospores (BS) were used separately for treatment of mosquito larvae. Although in most instances CS germinated and developed within the host, in others there was a premature abortion of the fungal development cycle. On the other hand, BS ingested by the larvae showed differences in the fungal development stages in the larval tissues. While the two primary infection sites were the head and the anal region, the most preferred site for fungal development was the larval gut. No more than two cycles of fungal development can occur in the host. Although both CS and BS are effective as larvicides, BS is far more pathogenic.
Résumé Une série d'expériences a été menée afin de déterminer les emplacements d'infection du fongus entomopathogénique Beauveria bassiana (souche GK 2016) lequel avait été ingesté des larves d'Aedes aegypti. On a étudié le moment de la mort des hôtes en relation des mues des larves, les emplacements principaux où se conduit l'infection fongale et le développement du fongus dans des tissus divers d'hôte. On a utilisé les conidiospores (CS) et les blastospores (BS) séparément pour traitement des larves des moustiques. Bien que dans la plupart des cas CS ait germiné et se soit développé chez l'hôte, en d'autres cas, CS a germiné mais n'avait pas produit du BS évidemment grâce à l'avortement prématuré du cycle de développement des fongus chez l'hôte. Le BS qui avait été ingesté dans les larves présentait des stages différents de développement du fongus dans les tissus des larves. Quoique les deux emplacements placements principaux étaient la tête et la région anale, l'emplacement préféré pour le développement du fongus était l'intestin des larves. Nous montrons qu'il n'y a plus de deux cycles de développement du fongus chez l'hôte. Bien que CS et BS soient efficaces comme larvicides, BS est de loin plus pathogène.
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18.
The rate of kill of cereal aphids by larvae of Metasyrphus corollae (F.) (Diptera: Syrphidae) was measured in the laboratory with the aim of assessing the impact of this predator on field populations of cereal aphids. Daily measurements were taken of changes in both the larval weight and the biomass of aphids killed by M. corollae in conditions of constant temperature and humidity. A mean relative kill rate was defined and calculated for each larval instar of the predator from which estimates of field daily rates of kill can be made.
Quantification de l'impact de Metasyrphus corolae sur Sitobion avenae sur blé d'hiver: taux de mortalité au laboratoire
Résumé Le taux de mortalité de S. avenae provoqué par les larves de M. corollae a été mesuré au laboratoire pour évaluer l'impact de ce prédateur sur les populations de ce puceron dans la nature. L'évolution du poids des larves et de la biomasse de pucerons tués a été suivie tous les jours dans des conditions de température et humidité constantes. Un taux moyen de mortalité a été déterminé pour chaque stade larvaire du prédateur, il a servi à déduire les niveaux de mortalité quotidienne dans les champs.
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19.
The weight of lime aphids consumed by B. angulatus increases at an increasing rate during nymphal development, with the fifth instar contributing 50% of the total consumption. Males and females reach different adult weights, but show no difference in food consumption. The efficiency of conversion of aphid food into body tissues diminishes from the third instar onwards. Females continue to oviposit for 5 weeks at least, laying on average just over one egg per day. The daily food requirements of ovipositing adult females increase as they get older, being more than twice as great as those of fifth-instar nymphs. Nymphs can tolerate a less than optimal food supply, and in the early instars they can compensate for an inadequate diet by converting food into body tissues with increased efficiency. Teneral adult weight is, however, proportional to the weight of food consumed during the fifth instar. B. angulatus can develop successfully on parasitized aphids and can utilise honeydew to prolong survival and, to a limited degree, to increase in weight. Leaf tissue has no significant value as a source of food.
Résumé Les besoins alimentaires de B. angulatus ont été étudiés au laboratoire à une température de 14 degrés.Quand B. angulatus est largement approvisionné avec des pucerons du tilleul, sa consommation de nourriture s'accroît de plus en plus au cours du développement, de même que son poids, de sorte que le 5ème stade larvaire absorbe un peu plus de 50% du poids total de pucerons consommés pendant toute la durée du développement larvaire. Ce 5ème stade larvaire est plus long que le 4ème, lequel est également plus long que chacun des trois premiers stades. La consommation journalière est moindre au début et à la fin de chaque stade, en particulier dans les derniers stades.Le prédateur consomme jusqu'à 90% du poids du corps de la proie. Quand les pucerons lui sont donnés en excès, la larve du 5ème stade de B. angulatus tend à tuer plus de proies qu'elle n'en consomme, ce qui sans doute est dû à la stimulation provoquée par la proie.Le rendement de croissance (efficience de la transformation du poids d'aphides absorbés en poids du corps du prédateur) diminue à partir du 3ème stade larvaire (de 46% pour le ler stade à 19% chez les adultes femelles). Au 5ème stade larvaire le rendement de croissance des mâles est significativement plus faible que celui des femelles, de sorte que les mâles sont plus légers que les femelles à l'état de maturité, bien que les deux sexes consomment le même poids de pucerons.Les femelles adultes commencent à pondre environ deux semaines après la mue imaginale et chacune dépose en moyenne 44 ufs, environ 1, 2 par jour. Les besoins alimentaires des femelles adultes en cours de ponte s'accroissent avec leur âge; leurs besoins journaliers en pucerons sont plus de deux fois aussi grands que ceux des larves du 5ème stade.Les larves peuvent supporter un apport en nourriture réduit par rapport à l'optimum.La résistance à la restriction alimentaire est plus grande au 3ème stade larvaire qu'aux ler et 5ème stades. Le ler et le 3ème stade larvaire peuvent compenser une réduction de l'apport alimentaire, par un meilleur rendement de croissance, ce que ne peuvent faire les larves du 5ème stade. B. angulatus peut se développer de façon satisfaisante en se nourrissant de pucerons parasités et momifiés. Il peut aussi utiliser le miellat en cas de disette ce qui lui permet d'accomplir un développement partiel, d'un stade au suivant, mais pas au-delà. En moyenne B. angulatus ne survit pas plus longtemps quand on ne lui offre que de l'eau ou des feuilles de tilleul, l'insecte peut en effet piquer celles-ci, pour lutter contre la dessication.
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20.
Females of the solitary aphid parasitoids Aphidius ervi Haliday and A. smithi Sharma & Subba Rao (Hymenoptera: Aphidiidae) discriminated between unparasitized pea aphids and those parasitized by the other species. Oviposition restraint varied with the attack sequence and the length of the interval between successive attacks. The tendency to reject a previously parasitized host increased with interval length; A. smithi females rarely oviposited in aphids that had been parasitized 30 h earlier by A. ervi. Early first-instar larvae of A. ervi physically attacked and killed older A. smithi larvae, and older A. ervi larvae killed younger A. smithi, possibly by physiological suppression. Neither species appeared to have a competitive advantage when their eggs hatched at the same time. The evolution of heterospecific host discrimination in A. ervi and A. smithi is discussed. It is suggested that avoidance of multiparasitism is adaptive for both parasitoid species: for A. smithi because it is the inferior larval competitor, and for A. ervi because immatures develop more slowly in multiparasitized than in initially unparasitized hosts.
Compétition interspécifique et discrimination des hôtes chez deux parasitoïdes de pucerons: Aphidius ervi et A. smithi
Résumé Les femelles des parasitoïdes de pucerons: Aphidius ervi Haliday et A. smithi Sharma & Subba Rao (Hyméno. Aphidiidae) distinguent les pucerons du pois sains des parasités par d'autres espèces. La rétention de la ponte dépend de la séquence de l'attaque et du temps écoulé entre des attaques successives. La tendance au rejet d'un puceron précédemment parasité augmente avec l'importance du délai; A. smithi a rarement pondu dans des pucerons qui avaient été parasités 30 h avant par A. ervi. Les jeunes larves de premier stade de A. ervi ont attaqué physiquement et tué les larves plus âgées de A. smithi, et les larves plus âgées de A. ervi ont tué des larves plus jeunes de A. smithi par élimination physiologique. Aucune espèce ne semble avoir un avantage quand les oeufs ont éclos en même temps. L'évolution de la discrimination interspécifique de l'hôte chez A. ervi et A. smithi est discutée. On estime que la tendance à éviter le multiparasitisme est adaptative chez les 2 espèces: pour A. smithi parce qu'il est dominé dans la compétition larvaire et pour A. ervi parce que les larves se développent plus lentement dans un hôte multiparasité que dans un hôte initialement sain.
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