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Carmela Caruso 《Protoplasma》1938,30(1):341-351
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2.
Resumé Les organs photogènes de la pholade comprennent deux catégories de grandes cellules glandulaires.Les cellules lumineuses sécrètent une grande quantité de grains acidophiles, glyco ou mucoprotidiques, qui contiennent un glucide fortement Hotchkiss-positif et sont riches en tyrosine, en tryptophane et en protides sulfhydrilés. Certaines différences dans les affinités tinctoriales des grains s'expliquent en tenant compte de leur degré de maturité. Au terme de la phase d'élaboration du cycle sécrétoire, les derniers grains formés sont déversés dans la masse même du produit de sécrétion et le cytoplasme élaborateur, constitué surtout par de l'ergastoplasme et du réticulum endoplasmique lisse, subit une involution.Les cellules glandulaires apicales élaborent un mucus riche en mucopolysaccharides acides, dont l'ultrastructure est très particulière.Leur cycle sécrétoire semble, comme celui des cellules lumineuses, être caractérisé par la longueur exceptionnelle de la phase d'accumulation, ce qui a aussi pour conséquence une dégénérescence du cytoplasme élaborateur.Les cellules formant l'épithélium de revêtement de l'organe lumineux appartiennent à deux types distincts: les unes portent une abondante ciliature dont les battements favorisent sans doute le mélange des produits excrétés par les cellules glandulaires sous-jacentes. Les autres possèdent un ensemble de caractères qui permettent de les considérer comme des cellules glandulaires et il est possible qu'elles interviennent aussi lors de la réaction lumineuse.
Summary The luminous organs of Pholas consist of two categories of large glandular cells, lying under a covering epithelium.The luminous cells secrete a great amount of acidophilic granules; these granules, of a glyco- or mucoprotidic nature, are rich in tyrosine, in tryptophan and in sulphydril groups; they contain also a glucid strongly PAS positive. Certain differences in the staining properties of the granules can be related to their degree of maturity. During the secretory cycle, at the end of the elaboration phase, the secretory product forms a mass into which the last granules to be formed are discharged. The cytoplasm, mainly made of rough and smooth endoplasmic reticulum, is at this stage degenerating.The apical glandular cells elaborate a mucus rich in acid mucopolysaccharides, the ultrastructure of which is very typical. The secretory cycle of these cells, as well as of the luminous cells, is characterized by the exceptional length of the accumulation phase, during which the cytoplasm degenerates.The cells of the covering epithelium are of two distinct types. Some bear numerous cilia, whose beating help to mix the secreted products of the large glandular cells. Others possess certain characteristics of glandular cells, and their possible implication in the luminous reaction should be considered.


Je tiens à remercier le Dr. W. Bernhard pour son accueil dans le laboratoire de microscopie électronique de l'Institut du Cancer de Villejuif, où la partie ultrastructurale de ce travail a été effectuée. Ce travail a été exécuté dans le cadre d'une thèse de doctorat présentée devant la faculté des Sciences de Paris.  相似文献   

3.
Through the rainy season the savannah at Lamto (Ivory Coast) is dotted with numerous temporary ponds. The size of these ponds and their variation through the season is explained by the theoretical water surplus, calculated as a function of temperature and rainfall. Physico-chemical measurements taken from five pond types show three common features: low conductivity, slight acidity and high iron concentration. Four depth-correlated vegetation zones are apparent and the overall structural complexity of the ponds is dependent on the water depth and the species composition of these vegetation zones. The effects of pond structural complexity on the diversity and stability of the system is discussed.
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Sans résuméRapport présenté au I er Congrès international sur la neuro-sécrétion, a Naples.  相似文献   

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Résumé Les modalités morphologiques et chronologiques de la formation des corps jaunes ont été étudiées dans les conditions de la ponte provoquée chez la ratte.Des rattes Wistar offrant des cycles de 4 jours et préparées au début du cycle par une dose non lutéinisante d'oestradiol ont été soumises le 2ème jour de ce cycle à un stimulus copulatoire de 8 coïts.Ce stimulus suscite la formation de deux types de corps jaunes: les uns sont des corps jaunes postovulatoires édifiés aux dépens de follicules rompus; les autres sont des corps jaunes à ovule inclus formés aux dépens de follicules non encore aptes à se rompre mais déjà aptes à se lutéiniser.Ces corps jaunes se forment progressivement de la 11ème à la 24ème heure après le rapprochement sexuel. Un petit nombre d'entre eux sont déjà repérables dans les ovaires de rattes sacrifiées 11 heures après le coït. Leur nombre s'accroît au cours des 13 heures suivantes aux dépens de follicules prélutéiniques que l'on observe dans les ovaires des rattes sacrifiées 11 heures après le coït.
Summary Morphological and chronological modalities of the formation of corpora lutea were studied in the conditions of evoked ovulation in the rat. 4-day cyclic female rats of the Wistar strain received at the beginning of the cycle a non luteinizing dose of oestradiol. They mated on the afternoon of the 2th day under visual control and mating was limited to 8 acts of coïtus. Two types of corpora lutea elicited by coïtus were observed i. e. postovulatory corpora lutea and corpora lutea with included ovocytes. Their formation proceed from about the 11th to the 24th hour after coïtus. A few number of these corpora lutea were already visible on the 11th hour post coïtum. Their number progressively increased during the following hours from preluteinic follicles which appeared in great number in the ovaries of animals sacrificed on the 11th hour after coïtus.
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Résumé Les précisions apportées à la carte de répartition de Chalarodon madagascariensis, nous ont permis de déterminer dans l'étude climatologique les facteurs limitant l'externsion de cette espèce. Les deux principaux sont la pluviométrie et l'insolation. Les Chalarodons habitent la région de Madagascar, de plus forte insolation et plus faible pluviométrie, et de climat sub-aride à semi-aride et chaud (température maximale parmi les plus élevées de l'île). Ils vivent en plein soleil. Ce sont des Lézards typiquement xérophiles et héliophiles.Ils sont adaptés à la vie en terrain sablonneux où ils se déplacent acec rapidité et creusent leurs terriers. La répartition de ces terrains explique les variations de densité à l'intérieur de l'aire.La végétation la plus caractéristique est le «bush» xérophile, assez clairsemé pour ménager au sol l'ensoleillement nécessaire.Ces Lézards ne présentent pas une hibernation vraie mais un fort ralentissement d'activité pendant l'hiver austral (saison sèche et fraîche).Cette étude des facteurs de l'environnement nous permet de décrire quelques aspects de leur biologie en relation avec leur écologie (cycles d'activité, nutrition, etc.).
Studies on the Iguanidae of MadagascarII. Remarks on the ecology of Chalarodon madagascariensis Peters, 1854
Summary The detailed comments that we made on the repartition map of Chalarodon madagascariensis enable us to define, in the climatological study, the factors limiting the extension of this species. These number two, namely rainfall and sunning. The Chalarodons live in that region of Malagasy where solar heat is strongest and rainfall lowest, and where hot climatological conditions range from subarid to semiarid (the maximum temperature is one of the highest in the island). They live in full sunlight. They are typically xerophilous and heliophilous lizards.They are adapted to life in sandy grounds, over which they move about most swiftly and out of which they dig their holes. The manner these sandy grounds are distributed accounts for the varying density within the area.The most characteristic vegetation is xerophilous bush, sparse enough to afford sufficient sunlight to the ground.These lizards do not undergo real hibernation, but only a marked slackening in their activity during winter in the southern hemisphere (dry and cool season).Lastly this study of the factors of environment allows us to describe some aspects of their biology in relation to their ecology (cycles of activity, nutrition, etc.).
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A. Avram 《Mycopathologia》1966,28(1-2):1-15
Résumé A part des cas d'actinomycose cervico-faciale provoquée par l'Actinomyces israeli, 20 cas de mycétome ont été signalés jusqu'ici en Roumanie, pays au climat tempéré. L'auteur fait une étude synthétique, étiologique, clinique, immunologique, expérimentale et thérapeutique de 13 cas observés. Plus que la moitié des cas étaient de nature fongique, déterminés par leMadurella mycetomi, leCephalosporium falciforme, leGeotrichum candidum, l'Aspergillus fumigatus (1 cas chacun) et leMonosporium apiospermum (3 cas). Les autres étaient de nature actinomycotique, due auStreptomyces madurae (4 cas) et auNocardia asteroides (1 cas). Dans un cas, l'espèce n'a pu être isolée. On remarquera la diversité étiologique des mycétomes roumains, ainsi que deux types inédits, produits par l'Aspergillus fumigatus et leGeotrichum candidum. L'affection était localisée au pied (10 cas), à la jambe (1 cas), au cuir chevelu avec invasion du cerveau (1 cas), et à la paroi abdominale (1 cas). L'un des cas évoluait depuis 40 ans, deux depuis 20 ans, un autre depuis 13 ans et le reste de 6 mois à 7 ans. On notera en ce qui concerne le mycétome du cuir chevelu, l'affection de la base du crâne (inédite) et du cerveau (localisation exceptionnelle), ce qui a provoqué la mort. La maladie a été enregistrée par deux fois chez des enfants de moins de 10 ans, mais — il est vrai — dans d'autres régions que la zone d'élection. Les investigations d'ordre immuno-biologique ont été négatives, à 2 cas près, déterminés par l'Aspergillus fumigatus et leMonosporium apiospermum, lorsqu'on a pu mettre en évidence des anticorps circulants spécifiques. On a réussi à produire des grains expérimentaux chez la souris blanche, par l'inoculation intrapéritonéale deNocardia asteroides. Le traitement médicamenteux a abouti à la guérison dans 2 cas dus auStreptomyces madurae et auGeotrichum candidum. Chez 4 malades on a eu recours au traitement chirurgical radical (amputation ou extirpation), et l'on envisage l'amputation pour 6 autres. On mentionne l'échec des sulfones (DDS), des sulfamides retard, des antibiotiques antibactériens et antifongiques (griséofulvine et amphotéricine B), tant in vitro que chez les malades traités.
Summary Without mentioning the cervico-facial actinomycosis caused byActinomyces isreali, 20 cases of mycetoma were reported in Romania up to now. A synthetic study, concerning the etiology, clinic, immunobiology, experiment and treatment of 13 cases is presented. In more than half of the above mentioned cases true fungi were found: i.e.:Madurella mycetomi, Cephalosporium falciforme, Geotrichum candidum, Aspergillus fumigatus (every species with one case) andMonosporium apiospermum (isolated from 3 cases). The others were caused byStreptomyces madurae (4 cases) andNocardia asteroides (one case). The causative fungus failed to be isolated in one case. The etiological diversity of Romanian mycetoma has to be pointed out, the same as for the two original types caused byAspergillus fumigatus andGeotrichum candidum.The disease affected the foot in 10 of the cases and in one case the leg. The scalp with brain involvement was also present in one case (with fatal outcome). In another case the site of the lesions was the abdominal wall. The evolution of the cases reached from 6 months to several years (7, 13, 20 and even 40 years in one case). In 2 cases the disease was found in children (under 10 years of age), but in other sites than usually seen. The immunobiological investigations gave positive results in 2 cases only, where specific circulating antibodies were present forAspergillus fumigatus andMonosporium apiospermum. Experimental grains were produced in white mice, by inoculating intraperitoneallyNocardia asteroides. Complete cure was obtained by medical treatment in 2 cases due toStreptomyces madurae andGeotrichum candidum. Excision or amputation have been made in 4 patients and the same will be necessary for the other 6. No effect was observed either in vitro or in vivo from the sulfonamides, delayed sulfonamides and other chemotherapeutic or antibacterial and antifungal antibiotics (griseofulvine and amphotericin B).


Travail du Centre dermato-vénéréologique de Bucarest  相似文献   

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Résumé La phyllodie du trèfle, le Stolbur C et le Stolbur SM ont été étudiés chez la cicadelle Euscelis plebejus, les plantes Trifolium repens, Cuscuta subinclusa, Datura stramonium et Solanum lycopersicum en microscopie électronique, sur coupes ultrafines et après purification des agents infectieux.Dans les différents hôtes infectés, on distingue des éléments de grande taille, de forme ovoïde, amiboïde ou allongée, des corpuscules très contrastés, isolés ou en chaînettes, de fins filaments et des élements dégénérescents.Chez les cicadelles, la dégénérescence de ces microorganismes est probablement due à une réaction immunologique qui expliquerait la perte régulière du pouvoir infectieux de ces vecteurs.Chez les plantes, cette dégénérescence peut en partie rendre compte des phénomènes de rétablissements définitifs ou temporaires que manifestent parfois certains végétaux atteints de ces maladies.
Summary The microorganisms causing the diseases Clover phyllody, Stolbur C and Stolbur SM were studied in the leafhopper Euscelis plebejus, and in the plants Trifolium repens, Cuscuta subinclusa, Datura stramonium and Solanum lycopersicum, by electron microscope examination of ultrathin sections and purified suspensions.In infected host plants and insects the following components were distinguished: large, ovoid, amoeboid or elongated bodies, well-contrasted isolated or chained microbodies, minute filaments, and degenerate elements. Some of these bodies resemble mycoplasma.In the leafhoppers it is possible that the degeneration of these mycoplasma-like microorganisms is due to an immunological reaction, which may explain why aged vectors do not transmit the diseases.In plants, the degeneration of the microorganisms was also observed. This loss may partly account for the occasional complete, or temporary, recovery of diseased plants.
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Résumé Quelques effets de la toxine thermostable (T.T.) de Bacillus thuringiensis ont été étudiés chez le doryphore, Leptinotarsa decemlineata Say, en s'inspirant des études semblables effectuées sur Lépidoptères. La toxine est pulvérisée sur des rondelles de pomme de terre, dont la quantité consommée perment d'apprécier la dose de toxine ingérée.Aux doses relativement élevées, absorbées au début du 3ème stade larvaire, les larves cessent de s'alimenter au milieu de l'intermue et meurent progressivement. Aux dosages plus faibles, les larves atteignent la prochaine mue et meurent soit au moment de la mue, soit après celle-ci. Un pourcentage des individus survivants présente des caractères tératologiques spécifiques, au stade nymphal et adulte.L'ingestion de la T.T. au début du dernier stade larvaire cause, selon la dose absorbée, la mort soit au milieu de l'intermue, soit aux stades suivants; en cas de survivance la durée de la prénymphose peut être doublée, aboutissant également à la mort ou produisant des nymphes et des adultes tératologiques viables. La fréquence des différents effets tératologiques est établie sur 96 individus.Les résultats obtenus sur le doryphore sont discutés par rapport à ceux obtenus sur lépidoptères.
Summary Lethal doses provoke rather long-lasting effects seemingly independent of larval or nymphal moults. Cessation of feeding before or after a next moult is accomplished, followed by death spread out over a few days, is most striking.Using sublethal doses the long-lasting effect of the thermostable toxin is still more striking since in the case of third-instar intoxication a part of the nymphs and adults can show teratological signs, whereas last instar intoxication is followed successively by a prolonged prenymphal period (about two times) without any effect on the nymphal period and a high or total percentage of teratological nymphs and adults. Unlike what has been established with Lepidoptera the intoxication period does not seem to act in the same way; that means toxin ingestion near a forthcoming moult has a higher effect.Ninety-six teratological individuals have been examined and classified, which allows the conclusion that club-formed antennae, most bearing a pair of claws similar to those of the tarsae of the legs, and unpaired labial palps are most frequently observed (in Lepidoptera the atrophy of the proboscis constitutes the minimum teratological effect).Aside from the particular differences in response of the Colorado Potato Beetle in contrast with Lepidoptera, the results obtained in the present study caution one to be careful in according to the thermostable toxin a direct effect on larval moulting, since the long lasting effect of the toxin might simply coincide with the relatively long lasting moulting period.
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Résumé En utilisant de la nourriture marquée avec un radio-isotope, il a été possible de constater, chez des groupes d'ouvrières de même âge et provenant de la même ruche, que les échanges étaient nuls à l'âge d'un jour et passaient par un maximum vers l'âge de 4 jours.
Summary The exchange of food among worker bees of same age coming from the same bee-hive was studied by means of marking the food with radioisotope. The present study shows that there is no exchange of food among 1 day old worker bees but it starts taking place when the worker bees are 2 day old reaching a maximum when the worker bees are circa 4 day old.
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