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1.
Completely flagellectomized females of Aedes aegypti usually do not locate a person of moderate attractiveness at very close range (0 to 4.5 cm from hand), but all may feed on an individual of great attractiveness under similar conditions. Approximately seven flagellar segments on one or two antennae are normally required for a high degree of blood avidity towards a person of average attractiveness in a cubic cage with 30.5-cm sides.
Résumé Le test consiste à offrir la main et (ou) l'avant-bras d'un individu préalablement reconnu peu ou très attractif, à des moustiques enfermés dans de petites cages cylindriques plus ou moins longues; cette longueur conditionne la distance à laquelle les moustiques peuvent déceler l'appât.L'ablation bilatérale des flagelles antennaires supprime toute alimentation des moustiques opérés, sur un individu reconnu comme modérément attractif, mais ces mêmes insectes peuvent encore déceler un individu hautement attractif et s'alimenter. Les diverses amputations pratiquées montrent qu'il faut que soient conservés approximativement sept segments flagellaires (répartis sur une ou deux antennes) pour maintenir un comportement hématophage à l'égard d'une personne médiocrement attractive, les insectes étant enfermés dans une cage de 30,5×30,5×30,5 cm.
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2.
A chemically defined synthetic rearing medium was used to compare larval growth of Aedes aegypti with or without crude animal lecithin or synthetic dipalmitoyl lecithin. Pupal weights, adult female life spans and oviposition histories of pupae and adults derived from synthetic diet rearings and from crude culture (liver powder) rearings were also compared. Both lecithins improved larval growth rate; optimal concentrations reduced time to pupation by 2 and 1 days for animal and synthetic lecithins respectively, and animal lecithin was better tolerated by the mosquito larvae at the higher concentrations tested. Addition of crude animal lecithin to the basal synthetic rearing medium had little effect on the weights of male and female pupae, but it increased adult female life spans and improved weekly egg production. In no case did mosquitoes from axenic rearings in synthetic media deviate greatly from limits specified by earlier workers for field-derived mosquitoes.
Résumé Les développements larvaires d'Aedes aegypti ont été comparés sur des substrats alimentaires avec ou sans lecithine animale brute ou DL-a-dipalmitoyle lecithine synthétique.Les comparaisons ont porté aussi sur les poids nymphaux, la longé-vité et la fécondité de femelles élevées sur régime synthétique ou à partir de poudre de foie.Les deux types de lecithines améliorent le développement larvaire; les concentrations optimales des deux régimes (lecithine animale et lecithine synthétique) avancent respectivement la pupaison de 2 et 1 jour; les lecithines animale et synthétique sont tolérées par les larves respectivement jusqu'aux concentrations de 0,008 et 0,006%.L'addition de lecithine animale brute au régime contenant de la lecithine synthétique a eu peu d'effets sur les poids des nymphes mâles et femelles mais a augmenté la longévité et la fécondité hebdomadaire des femelles.Les performances des moustiques élevés sur substrat aseptique synthétique n'ont jamais été très éloignées des limites indiquées antérieurement par les travaux sur moustiques provenant de la nature.
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3.
Ablations were performed to identify the sense organs used in host selection by ovipositing cowpea weevils, Callosobruchus maculatus. Antennae, foretarsi and palpi (maxillary + labial) were removed singly or in combination, and females were offered pairwise choices of four host species. Removal of the palpi consistently had the greatest effect on host choice, whereas the relative importance of other organs depended on the pair of hosts tested. Different organs may provide conflicting input as to the preferred host; certain ablations led to a complete reversal in preference (as opposed to a simple loss of discrimination). Input from separate organs appeared to be received in a dominance hierarchy.
Sélection de l'hôte lors de la ponte de Callosobruchus maculatus: modélisation des influx provenant séparément des divers organes sensoriels
Résumé Les ablations ont servi d'étape initiale lors de la détermination des organes sensoriels impliqués dans la sélection du lieu de ponte par C. maculatus. Les antennes, les tarses antérieurs, les palpes (maxillaires et labiaux) ont été retirés seuls ou en combinaison. Les femelles ont eu des choix binaires entre les graines de 4 légumineuses: Cicer arietinum, Glycine max, Phaseolus vulgaris, Vigna unguiculata. Chaque combinaison d'ablations était accompagnée d'un témoin chez lequel les mêmes ablations étaient unilatérales. C'est l'ablation des palpes qui a le plus modifié le choix de l'hôte; l'influence relative des autres organes dépendait des paires d'hôtes offerts. Différents organes peuvent fournir des influx opposés quant à l'hôte préféré certaines ablations ont conduit à une inversion complète des préférences. Il semble que les influx sensoriels formaient une gamma avec hiérarchie dominante. Dans les choix binaires, les préférences initiales des femelles intactes ont été supprimées avec l'ablation des palpes seuls, cependant elles n'avaient pas été modifiées par l'ablation conjointe des palpes et des tarses. Dans ces expériences, l'influx antennaire ne devenait dominant qu'après ablation des deux autres organes sensoriels. Les préférences des femelles avec ablations unilatérales ne différaient pas de celles des femelles intactes.
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4.
Studies on the mating and ovipositional responses ofDiopsis macrophthalma Dalman (=D. thoracica Westw.) were carried out under field and screenhouse conditions. Chemoreceptors on the tarsi of the first pair of legs and on the ovipositor have a decisive role in the final selection of a site for oviposition. Generally, there was one egg per rice tiller and also one or two eggs per plant, the egg being laid on either the abaxial or adaxial leaf-blade surfaces or on the leaf sheaths. On the leaf blades, eggs were laid on or near the midribs and, as the plants got older, were either laid on the lower leaf blades or on the sheaths. Preferences for oviposition was observed among six rice cultivars, and rice was preferred for oviposition in comparison with sorghum. The possibility of utilising some of these results in a pest management programme is discussed.
Accouplement et comportement de ponte sur riz deDiopsis macrophthalma (Diopsidae)
Résumé L'accouplement et le comportement de ponte deDiopsis macrophthalma Dalman ont été étudiés dans le champ et sous abri. Les récepteurs chimiques de la tarière et des tarses des pattes antérieures jouent un rôle décisif dans la sélection définitive du lieu de ponte. Il y avait généralement un oeuf par drageon, et ainsi 1 ou 2 oeufs par plant de riz. Les oeufs étaient pondus soit sur les limbes des feuilles les plus éloignées ou les plus proches de l'axe, soit sur les gaines des feuilles; sur les limbes des feuilles, les oeufs étaient pondus sur (ou près) de la nervure médiane, et, quand la plante vieillissait, les oeufs étaient pondus soit sur les feuilles les plus basses, soit sur les gaines. Le choix entre 6 cultivars de riz a été examiné et en présence de sorgho la ponte a lieu de préférence sur riz. La possibilité d'utiliser certains de ces résultats pour l'organisation de la protection a été examinée.
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5.
The humidity reactions of intact and antennaless specimens of Carpophilus dimidiatus and C. hemipterus were studied. The results suggested that the hygroreceptors mediating a response to high humidities are situated on the antennae in both species and those mediating a response to low humidities, in the case of C. dimidiatus, elsewhere on the body.
Résumé On a étudié la réaction à l'humidité de Carpophilus hemipterus et C. dimidiatus intacts et sans antennes. Les résultats suggèrent que les hygrorécepteurs qui répondent aux humidités élevées se trouvent sur l'antenne dans les deux espèces et ceux qui répondent aux basses humidités sur l'antenne de C. hemipterus et dans une autre partie du corps de C. dimidiatus.


On transfer from tropical Stored Products Centre, O.D.M., Slough, Bucks  相似文献   

6.
When given a choice of cotton (host) and ground cherry (non host) in a close range situation, Heliothis virescens (F.), the tobacco budworm, depends primarily on contact chemoreception and mechanoreception, and not olfaction or vision, to discriminate between these two plant species for oviposition. Further, in the presence of a certain level of hairiness (the non-host plant, ground cherry, has short capitate hairs), the females are capable of discriminating between these two plants based on contact chemosensory cues, if at least one pair of tarsi is intact. The contact chemosensilla on the ovipositor do not seem to be important for this purpose. These results are discussed in relation to the sensory cues and receptors for oviposition in other Lepidoptera, especially moths.
Signaux et récepteurs sensoriels intervenant dans la ponte d'Heliothins virescens
Résumé Les différentes récepteurs sensoriels (chimique, mécanique et visuel) des femelles d'H. virescens ont été rendus inactifs par traitement à l'acide, antennotectomie ou peinture des yeux avec un enduit noir du type vernis à ongles, pour étudier le déterminisme sensoriel de la sélection des hôtes lors de la ponte; les papillons avainet le choix entre le coton (Gossypium hirsutum), sur lequel ils pondent normalement, et Physalis angulata sur lequel on n'observe pas de pontes dans la nature. Au laboratoire, à faible distance, le choix de H. virescens dépendait en premier lieu des mécanorécepteurs et des récepteurs chimiques dits de contact (gustatifs), et non de la vision ou de l'olfaction. En présence d'un certain niveau de pilosité (P. angulata possède de courts poils capités), les femelles choisissent les plantes en fonction de la perception chimique dite de contact (gustation) tant qu'une paire de tarses reste intacte. Les sensilles chimiques de l'ovitube ne semblent pas jouer un rôle important à cet égard. La discussion a examiné ces résultats à la lumière des processus sensoriels utilisés par d'autres papillons.
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7.
The Mexican bean beetle, Epilachna varivestis Mulsant (Coleoptera; Coccinellidae), is an oligophagous insect that accepts leaves of soybean, Glycine max (L.) Merrill, as food but exhibits distinct preferences among varieties. It is believed that the basis for discrimination between the resistant PI 229358 and the susceptible cv. Williams is chemical. By the ablation of chemosensilla on antennae, maxillary palpi, labial palpi, and foretarsi, followed with leaf disc preference tests, we found antennal and maxillary palp chemosensilla to be almost entirely responsible for Mexican bean beetles' discrimination between foliage of the resistant and susceptible genotypes. All appendages, and the epipharynx, were observed by scanning electron microscopy and, except for foretarsi, were found to bear several types of presumably olfactory and gustatory sensilla, which are figured and described. Since behavioral observations show that olfaction is usually sufficient to cause rejection of PI 229358, we conclude that olfactory sensilla mainly on antennae and maxillary palpi are critical in food discrimination in this system.
Résumé E. varivestis Mulsant, insecte oligophage, accepte les feuilles de Glycine max (L.) Merrill (soja) comme aliment, mais présente des préférences marquées parmi les variétés. On considère que l'origine de la discrimination entre le cultivar sensible Williams et PI 229358 résistant, est chimique. Des expériences de choix avec des rondelles de feuilles, après ablation des sensilles chimiques des antennes et des palpes maxillaires et labiaux, et des tarses antérieurs, ont montré que les sensilles chimiques étaient presque entièrement responsables de la discrimination entre les feuillages de génotypes résistant et sensible. Tous les appendices ont été observés au microscope à balayage, et, à l'exception des tarses antérieurs, ils portaient plusieurs types de sensilles gustatives et olfactives, qui ont été représentées et décrites. Puisque les observations comportementales montrent que l'olfaction est normalement suffisante pour provoquer le rejet de PI 229358, nous concluons que les sensilles olfactives des antennes et des palpes maxillaires jouent un rôle crucial dans le choix de l'aliment.
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8.
Summary Females of the Desert Locust have a strong tendency to lay their egg-pods in close proximity to each other. Laboratory experiments using groups of tethered decoys have shown that when females ready to oviposit wander into such a group they are stimulated to probe and to remain there until oviposition has occurred. There is no evidence of long distance attraction to the group and the phenomenon is principally one of cohesion. The stimulus involved has visual, chemical, tactile and possibly acoustic components. The chemical component is the most powerful and maximum grouping occurs in total darkness provided contact with the decoys is possible. Response is greatly reduced if contact is prevented. Freshly killed locusts and paper which has been in extensive contact with locusts are effective as decoys. The active substance is believed to be a pheromone present on the surface of the locusts. The response to live decoys is scarcely affected by removal of the antennae or destruction of the tympanal organs. The response to the chemotactile stimulus is diminished but not eliminated by antennectomy. Further investigation is required to show whether or not an acoustic stimulus is involved in the gregarious response.
Résumé Les femelles du criquet pélerin ont une forte tendance à pondre leurs oothèques en groupes les uns près des autres. En présentant un choix de deux terrains pour la ponte des oeufs, l'un entouré de leurres (criquets appelants) et l'autre étant libre, la grande majorité des femelles pondent leurs oeufs à côté des criquets appelants. Il n'y a aucune preuve d'une attraction de loin vers le groupe, et c'est surtout un phénomène de cohésion. Le stimulant agissant comprend des éléments visuels, chimiques, tactiles et peut-être acoustiques. L'élement chimique est le plus puissant, et le groupement maximal a lieu dans l'obscurité totale, pourvu qu'il soit possible d'avoir contact avec les criquets appelants. Si le contact n'est pas possible, les réactions sont fort réduites. Les sauterelles tuées récemment ainsi que le papier ayant eu de nombreux contacts avec les sauterelles sont des leurres effectifs. L'auteur suppose que la substance active est un phéromone, se trouvant sur la surface des sauterelles. La destruction des antennes ou des organes tympaniques ne change guère la réponse aux leurres vivants. La réponse au stimulant chémo-tactile est réduite mais non éliminée par la destruction des antennes. Des recherches ultérieures devront vérifier l'influence d'un stimulant acoustique dans la réaction grégaire.
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9.
L. Joly 《Insectes Sociaux》1958,5(4):373-378
Conclusion on aurait pu s'attendre à ce que les adultoïdes (stades Vbis) se groupent sur la même droite que les stades V normaux et les adultes prématurés (V) sur celle des imagos (fig. 6). On voit qu'il n'en est rien et que cela tient à ce que la croissance des organes du vol à la fin du développement larvaire deLocusta migratoria n'est pas représentée par une droite d'allométrie unique, mais présente une discontinuité à chacune des dernières mues, de sorte que les adultoïdes ne sont pas des stades V géants mais un stade supplémentaire ajouté au développement normal, et les imagos prématurés ne sont pas des adultes nains mais des adultes privés d'une partie de leur évolution larvaire.  相似文献   

10.
L'influence de quelques variables liées aux plantes de Phaseolus vulgaris (date de maturation, hauteur et nombre de graines dans les gousses) sur la ponte de la bruche du haricot Acanthoscelides obtectus a été étudiée dans la nature sur 20 pieds de haricot dont toutes les gousses ont été suivies puis récoltées.Les résultats montrent une bonne corrélation entre le nombre d'oeufs émis dans une gousse et le nombre de jours avec présence d'adultes sur cette gousse. La date de maturation influence fortement la contamination des gousses. Au niveau spatial, les pieds situés dans des zones non désherbées, où peuvent s'alimenter les adultes, sont les plus contaminés. Les autres variables semblent avoir moins d'importance.On note une très forte agrégativité des pontes dans certaines gousses qui sont, en général, parmi les premières mûres, mais cette agrégativité persiste même si les femelles ont le choix, sur un même pied, entre plusieurs gousses arrivées ensemble à maturité.  相似文献   

11.
Sommaire Dans le présent travail, sont examinées les associations des plantes ammophiles qui se rencontrent sur les côtes d'ouest du Péloponnèse (voir la carte du texte).Ces côtes sont les plus favorables à la formation des dunes de sable, car, d'une part elles sont plus ou moins escarpées et par suite plus exposées aux vents sud-ouests qui régnent à cette région, et, d'autre part, on rencontre dans cette région les trois facteurs qui sont nécessaires pour la formation des dunes, le vent, le sable et les plantes, qui constituent, d'après Kühnholtz-Lordat (1923) le trinôme dynamique. Les géophytes à rhizome, Ammophila arenaria, Agropyrum junceum ssp. mediterraneum, Galilea mucronata, et Sporobolus pungens, qui sont considérées comme espèces à grand géodynamisme positif sont très abondantes tout le long du cordon littoral de la plage (Tableaux I–III).La classe Cakiletea maritimae est représentée dans cette région par les associations Salsola Kali — Xanthium strumarium Oberd. et Tx. 1950, et Anthemis Muenteriana —Salsola Kali. La première a été trouvée pour la première fois par Oberdorfer (1952) sur les côtes de la Grèce du Nord et a été classifiée par Oberdorfer et Tüxen (1950), tandis que, la seconde, qui n'a pas été trouvée ailleurs, peut-être considérée comme une nouvelle association des plantes.Les associations de la classe ci-dessus sont rencontrées sur les côtes ou les baies abritées du vent et particulièrement aux endroits où il existe une quantité suffisante d'humus et des débris végétales. L'association des plantes Salsola Kali — Xanthium strumarium est plus nitrophile que la seconde et se rencontre sur les régions les plus basses du rivage, où s'est accumulée une quantité suffisante d'humus et des débris végétaux. Ces derniers proviennent, le plus souvent, des espèces Zostera marina, Posidonia oceanica, Arundo Donax et d'autres. L'association des plantes Anthemis Muenteriana — Salsola Kali est moins nitrophile que la précédente et se rencontre sur les dunes basses d'une hauteur de 0.50–1.50 m qu'elle recouvre; ces dunes sont parallèles au rivage. Cette association apparaît le plus souvent dans sa phase optimale. Aux endroits où la quantité d'humus et des débris végétaux est moindre, apparaît l'association Agropyretum mediterraneum dans sa phase initiale (Tableau I et Photos 9–10).L'association Agropyretum mediterraneum apparaît principalement sur les dunes d'une hauteur de 1 à 2 m, sauf dans très peu de cas (Tableau II). La phase optimale de l'association Agropyretum mediterraneum se rencontre sur les dunes d'une hauteur de 1.50 à 2 m. Ces dunes se trouvent aux endroits où la côte est plus escarpée et par suite plus exposée aux vents sudouests, comme sont, par exemple, les côtes de la région Kaïafa (Photos 15–17). La phase optimale de cette association se caractérise par une abondance des espèces caractéristiques et par l'abondance des représentants des géophytes à rhizome, comme les espèces Agropyrum junceum ssp. mediterraneum, Galilea mucronata, et Sporobolus pungens (Tableau II, nos 1–6).L'association des plantes Ammophiletum arundinaceae se rencontre sur les dunes dont la hauteur dépasse les 2 mètres. Ces dunes se trouvent aux endroits où la côte est plus exposée aux vents sud-ouests, comme sont les côtes de Petrochori et de la région Zacharo. Cette association apparaît dans sa phase optimale, et sur des dunes qui sont bien développées et dont la hauteur, est à partir de 2.5 m et peut atteindre les 15 m (Tableau III et Photos 19–23).L'association bien connue Crucianelletum maritimae qui se rencontre sur les dunes stabilisées des côtes ouests de la Mediterranée, est représentée dans cette région par l'association des plantes Euphorbia terracina — Silene nicaeensis. Cette association représentative se devéloppe sur les dunes stabilisées de la région explorée. Leur hauteur varie, entre 4 et 11 mètres. Elle apparaît comme une association des plantes typiques avec 2 variantes, celle de Rumex bucephalophorus et celle de Centaurea sphaerocephala, et aussi comme les sous-associations Chondrilla juncea — Scolymus hispanicus et Trifolium scabrum —Nigella aristata (Tableau IV et Photos 24–26).En général les associations des plantes ammophiles se rencontrent sur les côtes ouests du Péloponnèse dont le sol est constitué, dans sa plus grande partie, par du sable d'un gros moyen ou moyennement fin.Les associations de la classe Cakiletea maritimae et l'association des plantes Agropyretum mediterraneum se développent sur des endroits où le sol est constitué d'une grande partie, en sable gros (Fig. 4 et 5). Entre eux, les plantes de la classe Cakiletea maritimae se développent sur un sol qui contient, en outre, une assez grande quantité d'humus et des débris végétaux, tandis que, pour l'association Agropyretum mediterraneum, les élements ci-dessus peuvent exister en une très petite quantité ou ne pas s'y trouver.Le sol, sur lequel se développent les associations des plantes Agropyretum mediterraneum et Ammophiletum arundinaceae est différent du sol propre à l'association Euphorbia terracina — Silene nicaeensis, car, dans le premier cas, celui-ci se constitue, en principal d'un sable d'un gros moyen, tandis que, dans le second cas, d'un sable moyennement fin (Fig. 5).Pour tous les sols, propres au développement des associations ammophiles des côtes du Péloponnèse, ou a une abondance de CaCO3. Malgré le fait que l'analogie de CaCO3 varie, a partir d'un pourcentage moyen jusqu'à une grande quantité, l'evolution de la végétation dans ces différentes phases, ne dépend pas de cette quantité.La réaction de ces sols varie, pour la plupart, entre 6.65 et 8.20 (Tableaux 10–14).  相似文献   

12.
Résumé La localisation ultrastructurale des polysaccharides paritétaux de Candida albicans a été réalisée par utilisation de Concanavaline A sur sections ultrafines de résine hydrosoluble (glycol méthacrylate). Les sites récepteurs de la lectine sont révélés en incubant successivement les coupes avec de la péroxydase, puis un mélange 3-3 diaminobenzidine-H2O2. Cette méthode a permis de localiser les mannanes, qui sont les seuls polysaccharides pariétaux de C. albicans susceptibles de réagir avec la Concanavaline A. Deux couches continues réactives ont été ainsi mises en évidence à la périphérie de la paroi des blastospores. Les résultats sont discutés en fonction de ceux obtenus par une méthode différente de mise en évidence des polysaccharides (PATAg).
Abréviations PATAg Acide périodique-thiocarbohydrazide-protéinate d'argent - Con A Concanavaline A - GMA glycol méthacrylate - HRP péroxydase de Raifort (Horseradish peroxydase) - DAB 3-3 diaminobenzidine-4 HCl  相似文献   

13.
Résumé Les organes chordotonaux présents dans les différentes pièces céphaliques de la larve du Speophyes peuvent être classés en deux catégories.La première catégorie regroupe les récepteurs scolopidiaux de l'antenne, du labium et du palpe maxillaire. On peut les comparer au scolopidium de l'organe tympanique du Criquet décrit par Gray (1960). La deuxième catégorie comprend les récepteurs scolopidiaux de la mandibule et de la lacinia: ils sont du amphinématique.Le sensille scolopidial de la galea représente un type intermédiaire.Nous signalons l'importance des structures de soutien et de fixation, qui doivent permettre une bonne transmission de toutes les déformations et tensions subies par le tégument. Nous discutons du rôle joué par la gap junction qui unit les deux dendrites dans les scolopidium. de la deuxième catégorie.Enfin nous essayons d'établir des hypothèses sur le fonctionnement des scolopidium.
Fine structure of the chordotonal organs of the head appendages of Speophyes lucidulus larva
Summary The chordotonal organs located in the various head appendages of the Speophyes larva, can be divided into two classes.The scolopidial receptors of the antenna, the labium and the palpus maxillae belong to the first class. They can be compared to the scolopidium of the locust tympanic organ described by Gray.—The second class contains the scolopidial receptors of the mandible and the lacinia: their type is amphinematic.The scolopidial sensilla of the galea represents an intermediate type.We demonstrate many supporting and fixation structures which probably allow a good transmission of all the deformations and strains affecting the tegument.The function of the gap junction which connects the two dendrites in the scolopidia of the second class is discussed.Finally we try to formulate hypothesis of the functioning of scolopidia.
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14.
La réponse visuelle des adultes de Lasiomma melania Ackl. (Diptera, Anthomyiidae) à des carrés englués de diverses couleurs ou combinaisons de couleurs a été étudiée durant 5 années consécutives dans plusieurs mélèzins (Larix decidua) des Hautes-Alpes. Une préférence pour le jaune et le jaune à bandes pourpres a été mise en évidence chez ce ravageur dont la femelle pond sur les cônes de mélèze. L'attractivité de chaque type de piège est fonction à la fois du sexe et du stade de maturation sexuelle des individus. La couleur jaune attire en majorité des insectes émergents immatures. Elle semble représenter, selon le plan dans lequel elle est située, un signal nutritionnel de type fleur (plan horizontal) ou un signal de reconnaissance du feuillage de mélèze (plan vertical). Les individus mûrs sexuellement, recherchant les arbres produisant des cônes, sont en revanche capturés essentiellement sur les pièges verticaux jaunes à bandes pourpres. Ceux-ci miment, en l'amplifiant, le contraste de réflectance existant entre le feuillage des mélèzes et les cônes. Ce contraste paraît correspondre à un signal permettant la reconnaisance des arbres possédant des cônes. La ponte est cependant limitée à un stade particulier de développment de ces derniers alors que le contraste est à peu près stable dans le temps. D'autres signaux émis par les cônes, vraisemblablement d'ordre olfactif, doivent guider le vol d'approche et l'atterrissage des femelles.  相似文献   

15.
The activity of the shot-hole borer in gallery construction depends on a number of factors which include the thickness of wood, the type of tea plant, and the presence or absence of bark. In the experiments described in this paper, the influence of each of these factors has been assessed, and analysed statistically. The host plant-pest relationships of the shot-hole borer are discussed based on the above findings and the available literature. A method of rapid clonal testing for borer resistance and/or tolerance which could be carried out conveniently under laboratory conditions is outlined.
Résumé Xyleborus fornicatus préfère les nuds des branches du théier pour installer ses galeries: 77,7% et 74,4% de l'ensemble des galeries sont respectivement trouvées dans les nuds en conditions de laboratoire et en conditions naturelles, qu'il s'agisse de plants issus de graines ou résultant d'une multiplication végétative.Le diamètre moyen préférentiel de la branche pour l'installation des galeries est de 10,3±0,3 cm et 10,2±1,1 cm, respectivement en conditions naturelles et en conditions expérimentales. Le bois jeune est préféré au bois âgé (73,4% des galeries dans le bois jeune dans une épreuve de choix). Xyleborus préfère également les rameaux avec écorce aux rameaux sans écorce (75,6% en faveur des premiers). Ces résultats sont les mêmes pour différents clônes.La technique utilisée dans ces expériences pourrait être utilisée pour tester rapidement en laboratoire la tolérance ou la résistance de certains clônes aux attaques de X. fornicatus. Les méthodes utilisées jusqu'ici en plein champ sur pépinières nécessitent plus de deux ans avant d'obtenir des résultats.Les relations de la plante-hôte et de X. fornicatus sont discutées à la lumière des données acquises en ce domaine pour d'autres Scolytides en diverses régions du monde. Il est suggéré que la recherche de l'hôte et l'installation des galeries par X. fornicatus est basé sur des réactions du type chimioclinotaxies. D'autres recherches doivent être entreprises en ce qui concerne les effets de la teneur en eau du bois sur la sélection de l'hôte et sur la survie des larves.
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16.
Female blowflies (Phormia regina Meigen) which had been fed either sucrose (S flies) or sucrose and yeast (SY flies) were tested for their response to novel odours in an actograph. All responded with an increase in activity. S flies were consistently more responsive than SY flies both in their increase in activity and in the number of different odours to which they responded significantly. S flies found food rapidly over a short distance when they were made active either by a stimulating odour or by mechanical agitation. Olfaction, rather than vision, was demonstrated to be the sense mediating the increase in activity.
Résumé Des effluves de banane, pomme, foie de buf et levure ont été testées en actographe contenant 20 femelles de Phormia regina de 2 à 9 jours. Ces mouches avaient été nourries antérieurement, soit sur sucrose seul à 0,1M (mouches S), soit sur sucrose (0,1M) et 10% de levure (mouches SY). L'activité des mouches croît quand les odeurs sont introduites, mais il en est de même quand le courant d'air pur est changé.L'augmentation de l'activité provoquée par la banane, la pomme, et la levure est significativement supérieure pour les mouches S, à celle provoquée par le changement du courant d'air (Fig. 1). Chez les mouches SY l'augmentation significative est observée avec la banane et la levure (Fig. 2). Les mouches S sont plus actives et répondent mieux que les mouches SY: Une goutte de levure dans un récipient avec des mouches S de 6 jours stimule leur activité et la goutte est trouvée rapidement (16 sec.). Des gouttes d'eau ou de sucrose ne stimulent pas l'activité, et les mouches mettent beaucoup plus long-temps pour les trouver (> 100 sec.). En secouant les récipients pour rendre les mouches actives on obtient une découverte des gouttes d'eau ou de sucrose aussi rapide que la découverte des gouttes de levures par les mouches non perturbées. Des mouches antennotectomisées, non perturbées, mettent 252 sec. pour trouver une goutte de levure, mais des mouches antennotectomisées et agitées artificiellement trouvent les gouttes presqu'aussi rapidement que les mouches normales non perturbées (Fig. 3).
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17.
Résumé Chez Diadromus pulchellus WSM et D. collaris Gr., Hyménoptères Ichneumonidés parasitoïdes spécialistes des nymphes d'A. assectella lépidoptère inféodé aux Allium, des EAG sont enregistrés en réponse à l'odeur du poireau sain ou attaqué par les larves du phytophage, odeurs actives par ailleurs sur leur comportement locomoteur (cinèses). Le thiosulfinate de dipropyle (Ti-P2) très spécifique et abondant dans les Allium, et instable, est le mieux perçu par les deux parasitoïdes mais n'a aucun effet locomoteur chez D. pulchellus contrairement aux disulfures et thiosulfonates, plus stables et moins spécifiques. Les propriétés de l'acétate d'éthyle, actif sur l'antenne des deux parasitoïdes, et sur la locomotion de D. pulchellus expliqueraient en partie les activités biologiques du poireau attaqué sur ces parasitoïdes. Des EAG sont aussi obtenus chez les deux espèces avec l'odeur du chou et de composés soufrés plus ou moins spécifiques des Crucifères. Le thiocyanate de méthyle (TCN-M), le plus actif sur l'antenne et seul efficace sur le comportement locomoteur (de D. pulchellus), expliquerait en partie l'installation reconnue de D. collaris sur Plutella maculipennis spécialiste des Crucifères et rend celle de D. pulchelles vraisemblable.L'odeur des larves de dernier stade d'A. assectella est seule efficace sur l'antenne et la locomotion des femelles de D. pulchellus. Les mâles de ce dernier réagissent (EAG, locomotion) à des odeurs de cocons de l'hôte et particulièrement à ceux occupés par une femelle de leur espèce.  相似文献   

18.
The majority of the chemoreceptory cells, which are located in the sensilla styloconica on the maxillae, have been characterized in two oligophagous caterpillars. Besides the sugar and salt receptors M. sexta has a cell, which is stimulated by some alkaloids, a cell sensitive to some glycosides and two inositol sensitive cells. P. brassicae has, besides a sugar and a salt cell two cells sensitive to mustard oil glucosides (differing in their sensitivity patterns), one cell sensitive to amino acids and another one to anthocyanins. In M. sexta, the sensitivity of some cells to their specific stimuli can be reduced by adding these specific compounds to its food. Modifications of food selection behaviour can be correlated with such induced receptor changes. The consequences of these observations are discussed in relation with food conditioning phenomena.
Résumé La plupart des récepteurs gustatifs, localisés dans des sensilla styloconica sur les maxilles, ont été caractérisés dans deux espèces de chenilles oligophages. En dehors des récepteurs pour le sucre et les sels, Manduca sexta a une cellule, qui est stimulée par quelques alcaloides, une autre sensible à quelques glycosides et deux cellules qui sont sensibles à l'inositol. La chenille de Pieris brassicae possède, en dehors des récepteurs pour le sucre et les sels, deux cellules qui réagissent aux glucosides des sénévols, une cellule sensible aux acides aminés et une autre aux anthocyanines. Le type de réaction induit par la sève d'une plante n'est pas seulement compliqué par des interactions inhibitrices et synergistes entre les divers composants de la séve, mais aussi par le fait que la sensibilité de certains chimiorécepteurs dépend en quelque sorte de la composition de la nourriture. Les modifications de sensibilité des récepteurs sont accompagnées par des changements du comportement dans la sélection des plantes-hôtes.
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19.
Résumé Chez le cobaye, une injection intracardiaque d'alloxane de 200 à 400 mg/kg provoque des altérations hépatiques bien caractérisées:4–12 heures après l'injection, les lésions sont déjà étendues: stase sanguine avec dilatation considérable des veines périlobulaires et des capillaires, immigration massive, par voie sanguine, de granulocytes neutrophiles, rupture des capillaires des zones périportales par destruction pycnotique des cellules endothéliales. Les cellules hépatiques de la zone périlobulaire dégénèrent par vacuolisation aqueuse aboutissant à la lyse cellulaire.24 heures après l'injection, les altérations hépatiques ont atteint leur degré maximum, de vastes lacunes, résultant de la lyse cellulaire et remplies de sang extravasé, encerclent des espaces de Kiernan plus ou moins détruits; en bordure de ces lacunes, les endothéliums manquent sur une certaine distance et, dans cette zone, les cellules hépatiques sont moins vacuolisées qu'au stade précédent. Les premiers bourgeons de régénération apparaissent aux depens des régions les moins altérées des espaces de Kiernan.48 heures après l'injection, les lésions sont en grande partie réparées; la fréquence des mitoses dans les cellules hépatiques saines, en bordure lésions assure la régénération de ces éléments; tandis que des bourgeons de régénération périportaux sont responsables de la reconstruction de nouveaux espaces de Kiernan et probablement de la néoformation des endothéliums des capillaires.L'étendue des lésions dépend de la quantité d'alloxane injectée et de la voie d'injection; à dose égale, les lésions; provoquée par injection intrapéritonéale sont beaucoup moins accusées que par voie intracardiaque.Il existe une relation étroite entre la quantité de glycogène contenue dans les lobules hépatiques et l'étendue des zones nécrotiques; à dose égale d'alloxane, les altérations sont nettement moins accusées dans les foies riches en glycogène que dans ceux qui en sont dépourvus.L'intoxication alloxanique ne provoque pas chez le cobaye de dégénérescence graisseuse hépatique dans les 48 heures qui suivent l'injection.Ge travail est dédié au professeur Eugène Bujard, directeur de l'Institut d'Histologie de l'Ecole de Médecine de Genève, en l'honneur de ses 70 ans, en hommage de profonde estime et de très grande reconnaissance.  相似文献   

20.
The perception of cuticular female sex pheromone (15, 19, 23-trimethylheptatriacontane=morsilure) in Glossina m. morsitans was studied electrophysiologically and behaviourally. Electrophysiological studies indicated no sensitivity of the tibial sensilla or the contact chemoreceptive hairs on the legs of males to the pheromone. However, electroantennograms were recorded during stimulation of antennae from male flies with the odour of morsilure, which indicated that the pheromone is detected by the insect via olfactory receptors on the antennae. This was further confirmed by behavioural experiments in which the antennal movements of intact males stimulated with the odour of both synthetic pheromone and female decoys were studied. Behavioural responsiveness to morsilure increased with increasing starvation and was not due to a general sensitivity to paraffins. These studies indicate that tsetse flies may be able to recognize conspecifics at close range using their sense of olfaction.
Résumé La perception de la phéromone sexuelle des femelles de Glossina m.morsitans, la morsilure (15, 19, 23-triméthylheptatriacontane) a été examinée par électrophysiologie et par le comportement. L'électrophysiologie n'a pas révélé de sensibilité des sensilles tibiales, ni des poils chimioréceptives de contact sur les pattes des mâles à la phéromone. Cependant, les électroantennogrammes recueillis pendant la stimulation des antennes des mâles par l'odeur de morsilure, ont montré que la phéromone est décelée par l'insecte grâce aux récepteurs olfactifs des antennes. Ceci a été confirmé ultérieurement par des expériences de comportement au cours desquelles ont été examinés les mouvements antennaires de mâles intacts stimulés par l'odeur de phéromone synthétique et de femelles.La réponse comportementale à la morsilure a augmenté avec le jeûne, elle n'était pas due à une sensibilité générale aux paraffines.Ces études montrent que les mouches tsé-tsé peuvent être capables de reconnaître leurs congénères à faible distance grâce à l'olfaction.
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