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1.
Quality control charting was applied to a number of criteria implemented to monitor the large scale (ca 10 million pupae per week) production of Ceratitis capitata (Wiedemann) and to assess the quality of the flies so produced. The control chart procedure was useful and indicated the development involving adult flight ability. It also illustrated the variability inherent in some parameters e.g. percent recovery of pupae from eggs, but in the absence of similar data from other rearing facilities it is not possible to state whether or not that level of virability is inherent in the process.
Résumé Une procédure de contrôle de la qualité a été appliquée à une série de critères de l'élevage de masse (c'est-à-dire 10 millions de pupes var semaine) de C. capitata pour garantir la qualité des mouches produites. La charte de contrôle a été utile et a permis de mettre en évidence un problème concernant l'apptitude au vol des adultes. Elle a illustré la variabilité de certains paramètres, par exemple le taux de pupes obtenues à partir des oeufs, mais en l'absence de données semblables provenant d'autres élevages, il n'est pas possible de savoir quelle part du taux de variabilité est inhérente ou non à la méthode.
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2.
The main permanent habitats of the Red Locust (Nomadacris septemfasciata (Serv.)) in tropical Africa lie between latitudes 7° and 9° S and between 10° and 16° N. Breeding is confined to the rainy season, which occurs during the longest days of the year in these areas. Both north and south of the equator, the adults emerge as day-length is diminishing and undergo a prolonged imaginal diapause until the next rainy season.When reared in the laboratory in London, adults which emerge in spring or early summer become sexually mature within two months; those which emerge in late summer and autumn, although kept at the same temperature and humidity, enter diapause and do not copulate or oviposit until the following spring. By controlling the length of the daily photoperiod, it has been shown that the seasonal differences in day-length are responsible for the onset of diapause. Constant short photoperiods usually induce a rather shorter diapause than photoperiods diminishing so as to simulate autumn day-length at this latitude (51.5° N). The critical constant photoperiod for the establishment of diapause lies between 12 and 13 hours which corresponds approximately to maximum and minimum day-lengths at 7° N or S. It is therefore possible that day-length is responsible for the establishment of the natural diapause.
Resume On a déjà constaté que, quand on élève le criquet rouge, Nomadacris septemfasciata (Serv.), au laboratoire à Londres, les adultes, malgré le fait qu'on les retient dans une ambiance très constante, montrent de grandes différences saisonnières dans la durie du développement qui conduit à la maturité sexuelle. Les adultes qui émergent à partir du mois d'avril jusque'au mois de juillet deviennent matures sexuellement sans diapause en 11/2 à 2 mois; tandis que ceux qui émergent au début de l'automne, à partir de la mi-août approximativement jusqu'à la fin de septembre, ont une diapause prolongée de 7 à 8 mois; et ceux qui émergent encore plus tard dans l'année, du mois d'octobre jusqu'à mi-décembre, ont une diapause plus courte de 41/2 à 51/2 mois. Les périodes de maturation des adultes qui émergent à partir de janvier et plus tard, diminuent progressivement, en se fondant dans les groupes des non-diapause, qui commencent à émerger au début d'avril. Les expériences exposées dans cette thèse indiquent que les différences saisonnières de la longueur des jours, sont responsables des temps de maturation.Certains groupes de criquets, émergeant comme adultes vers la fin de l'été ou en automne, ont été soumis à des journées de longueur artificielle qui correspondait à la durée des jours de printems qui n'exerce son influence que sur la vie adulte, suffit à produire ce dans les délais semblables à ceux des groupes qui émergent au printemps. La longueur des jours de printemps qui n'excerce son influence que sur la vie adulte, suffit à produire ce résultat.Quelques larves étaient élevées simultanément dans les conditions d'une durée artificielle des jours du printemps, d'une durée artificielle des jours d'automne, et d'une lumière naturelle des jours d'été à Londres. Les adultes qui avaient émergé au mois de juin étaient ou maintenus dans le même régime de longueur de journée que les larves, ou transférés dans une des autres conditions. Tous les temps de maturation étaient appropriés aux saisons qui correspondaient au régime de durée du jour auquel les adultes étaient retenus, et il n'y avait nulle évidence qu'ils étaient influencés par la durée des jours pendant leur vie larvaire.Les groupes diapause, quand ils étaient soumis à la lumière normale du laboratoire, sont devenus matures, au printemps, au moment où les jours s'allongeaient. Pourtant la maturation n'est pas due à la stimulation causée par un accroissement de la longueur du jour, car on à observé qu'elle arrive en même temps si les criquets ne la subissent pas. Ceci est vrai également à l'égard des deux groupes, celui de longue diapause (qui émerge au début de l'automne) et celui de courte diapause (qui émerge vers la fin de l'automne); il s'ensuit que la diapause plus courte du dernier groupe n'est pas attribuable, comme il semblait probable, au fait qu'on l'avait exposé à la longueur des jours du printemps plus tôt dans la vie adulte. On a trouvé que ces groupes de la dernière partie de l'automne étaient devenus matures dans le même temps s'ils étaient retenus aux courtes photo-périodes constantes de 8 ou 11 heures, ou à la durée changeante des jours d'hiver. On a conclu qu'ils répondent comme à la durée de constants jours courts.Les groupes intermédaires (qui émergent à partir de janvier jusqu'a mars) d'autre part, sont exposés aux jours plus longs du printemps et de l'été encore plus tôt dans la vie adulte, et dans leur cas la diapause est empêchée, ou au moins abrégée, par les jours plus longs. Quand ces groupes sont retenus aux constantes photo-périodes courtes, ils deviennent matures plus lentement que s'ils étaient maintenus à la lumière du jour, et ils ont une diapause de la même longueur que les groupes de courte-diapause.On a conclu de ces résultats que, quand les groupes sont retenus dans conditions de jours-courts, les processus de maturation (manifestés par un accroissement du poids du corps, et par le développement de l'ovaire) sont repris à un certain stade indépendamment de la longueur du jour et sous l'action de stimuli internes. L'exposition aux conditions de jours longs n'est effective que pour accélérer la maturation si elle a lieu avant que ce stade soit atteint.L'observation que les adultes émergeant au début de l'automne ont une diapause plus longue que ceux qui émergent vers la fin de l'automne, reste sans explication. Ceux-là sont exposés à la durée de jours qui décroissent rapidement pendant la vie larvaire et du commencement de la vie adulte, et il semble probable que le changement propre des jours longs aux jours courts puisse amener une diapause plus longue que ne le feraient des jours courts dès le début. A présent, on étudie les effets de la variation de durée des jours.Les adultes retenus dans l'obscurité constante sont devenus matures sans diapause.La grande fluctuation de la longueur des jours, caractéristique de la latitude de Londres, n'est pas nécessaire pour induire les deux types de maturation diapause ou non-diapause. Les plus grandes différences de réponse aux photo-périodes constantes ont eu lieu entre les moyennes correspondant à peu près avec les minimum et maximum de longueurs de jour (y compris les périodes de crépuscule) dans les habitats tropicaux du criquet.Il est discuté ici de la probabilité que le cours de la diapause dans l'habitat tropical naturel soit influencé par la faible fluctuation des longueurs de jour de cet habitat.


The author is Mrs O. W. Richards  相似文献   

3.
Quality control charts were employed to monitor the quality of several parameters during mass rearing of the T : Y(wp +)30C strain of Ceratitis capitata (Wiedemann), in which male and female flies emerge from brown and white puparia, respectively. Egg hatch and pupal recovery in this genetic sexing strain were below that reported for a wild-type Sohag strain, whereas pupal size, adult emergence and flight ability were higher. The overall recovery from eggs to adult flies capable of flight was similar in the two strains but egg production in T:Y(wp +)30C was reduced to about 56% of that of Sohag. The quality control charts showed an acceptable level of variation within sets of data but the level between data sets was occasionally out of control. This indicated the presence of uncontrolled conditions during the rearing process, possibly arising from variations in the quality of the larval diet. It is concluded that the quality of T : Y(wp +)30C renders this strain suitable for mass rearing in sterile insect technique (SIT) programmes requiring the elimination of the female flies prior to the release of sterilized males. The next step should involve further quality assessments both under field cage and under field release conditions. The importance of optimal and standardized dietary conditions is stressed in relation to the quality of mass reared medflies.
Résumé Des normes de qualité ont été utilisées pour relever la valuer de plusieurs paramètres lors de l'élevage industriel de la souche T : Y(wp +)30C de C. capitata Wied. dont les mâles et les femelles émergent respectivement de pupes brunes et blanches. Les taux d'éclosion et d'obtention de pupes sont plus faibles avec cette souche qu'avec la souche souvage Sohag; par contre, la taille des pupes, le taux d'émergence des adultes et l'aptitude au vol étaient plus élevés. La fréquence totale des adultes capables de voler par rapport au nombre initial d'ufs a été de 0,297 contre environ 0,311 pour Sohag. Cependant, la production d'ufs a été réduite à environ 56% de celle de Sohag. Les tableaux de contrôle de la qualité ont révélé un niveau de variation acceptable à l'interieur rieur des lots de données, mais la variabilité entre les lots excédait les normes admissibles. Ceci implique des paramètres incontrôlés pendant l'élevage de masse, probablement liés à des variations de la qualité de l'aliment. On peut en conclure que la qualité de la souche T : Y(wp +)30C la rend utilisable pour un élevage de masse dans des programmes d'utilisation d'insectes stériles (SIT) exigeant l'élimination des femelles avant le lâcher de mâles stériles. La prochaine étape impliquera de nouvelles épreuves de qualité dans des cages en champ et dans les conditions de libération dans la nature. L'importance des conditions optimales d'une alimentation standardisée est soulignée par la qualité des mouches obtenues en élevage de masse.
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4.
The reproductive biology of G. pallidipes Austen was studied at 28°, 25° and 22° C. Experiments showed that incubation of puparia at 28° C resulted in sterility of both males and females. Incubation at 22° C resulted in a reduced fecundity of the females due to egg retention; the fertility of the males was not affected.Comparative studies with G. m. morsitans Westw. showed that G. m. morsitans puparia are less affected by a temperature of 28° C than are G. pallidipes puparia.
Effet de la température sur la reproduction de Glossina pallidipes, avec référence à G. m. morsitans
Résumé Les productivités de G. pallidipes Austen élevés au laboratoire pendant tout leur cycle à 22, 25 et 28° C, ont été comparées.A 28° C, la vie intrapupale est réduite à environ 23 jours, contre 30 jours environ à 25° C; la survie des adultes est plus brève qu'à 25° C et les mouches ne s'accouplent pas. Les ovaires présentent une rétention d'oeufs et seulement 1/3 des mâles contient des spermatozoïdes mobiles. A 22° C, le cycle est considérablement prolongé, la vie intrapupale durant environ 40 jours. Les femelles s'accouplaient environ 14 jours après l'émergence. Les ovaires présentaient une rétention d'oeufs, bien que moins souvent qu'à 28° C. Les mâles contenaient des spermatozoïdes mobiles.Des expériences avec changements de température à différents moments du cycle ont montré que la stérilité des mâles et des femelles est provoquée par l'incubation de pupes de G. pallidipes à 28° C. La mensuration des ovocytes montre à 28° C un effet nocif sur leur maturation. Des observations sur les testicules dans les pupes révèlent, par comparaison avec 25° C, que l'enroulement des testicules et des spermatozoïdes est retardé à 28° C, tandis que la pigmentation des testicules est retardée à 22° C. Les pupes de G. m. morsitans sont moins affectées à 28° C que celles de G. pallidipes.
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5.
During the developmental period from egg to pupae Tribolium confusum (Coleoptera: Tenebrionidae; DuVal 1886) beetles were exposed to homogeneous and heterogeneous environments at two initial egg densities as well as undiluted and diluted media. The medium consisted of flour, flour and yeasts or flour and yeasts diluted with sawdust. Initial egg density had a strong influence on the variability of pupal weight: the weight was more variable in high density, where the coefficients of variation ranged between 0.121–0.189, compared to the coefficients of variation in low density ranging between 0.058–0.183. The dilution of the medium did not influence the pupal weight variability. Heterogeneity influenced pupation site choice. In the majority of cases larvae chose the apparently less crowded, poorer compartment, to pupate. Survival and developmental time were influenced by egg density. Environmental heterogeneity acted only as reinforcer, not as a factor itself causing variability.
Résumé Pendant le développement de l'uf à la chrysalide, des ufs de Tribolium confusum (Coleoptera: Tenebrionidae; DuVal 1886) ont été soumis à differents traitements de façon à établir un lieu entre la variabilité phénotypique chez les chrysalides de cet espèce et la composition de l'habitat. L'hypothèse voulait que la variabilité phénotypique soit releé au degré de complexité de l'habitat a été testé en modifiant la qualité du substrat nutritif et la concentration initiale des ufs dans le milieu.Un milieu hétérogène a été obtenu en separant un bocal par une cloison contenant d'une côté un substrat nutritif de haute qualité et de l'autre un substrat nutritif de pauvre qualité. Le milieu de haute qualité était composé de 95% de farine et 5% de levain alors que le pauvre milieu se composait de farine et levain dilués dans 3 portions de sciure pour 1 potion de farine et levain. Deux témoins ont été préparés: l'un deux comprenait deux bocaux contenant un substrat nutritif de même valeur et l'autre comprenant le même milieu mais sans cloison. Les différentes expériences ont été repétées avec des ufs concentration initiale élevée (100 ufs/1 g de substrat) ou faible (25 ufs/1 g de substrat).La proportion moyenne d'insects qui ont survécu jusqu'à la nymphose était de 0.705±0.161 (SE) à faible densité et de 0.312±0.163 (SE) à densité élevé. La phase larvaire s'étola sur 27 jours (durée médiane) à faible densité sur 42 à densité élevée.L'hétérogéneité du milieu a aussi influencé le choix du lieu de nymphose: la majorité des larves se sont metamorphosées du côté du substrat de faible valeur nutritive. La densité initiale de ufs dans le milieu influença le poids de chrysalides: à densité élevée la variabilité phénotypique (CV) du poids de ces chrysalides était de 0.121–0.189 et de 0.058–0.183 à faible densité. Les differences des associations statistiques du poids de chrysalides entre densité et hétérogéneité, densité et dilution, hétérogéneité et dilution étaient toutes significatives.
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6.
As the temperature at which larvae of C. capitata were reared decreased from 30° to 25° to 20° the yield of pupae from eggs increased from 15% to 25% to 30% and the mean weight of pupae decreased. Within each temperature regime the weight of pupae produced on successive days declined and the fat content of those pupae varied.
Résumé On a étudié l'effet de température d'élevage larvaire de 20°, 25° et 30°. La durée du développement s'accroît de 7 à 13 jours pour des températures respectives de 30° et 20°. Lorsque la température d'élevage baisse, le nombre de pupes produites par rapport aux oeufs s'accroîts de 15% à 20% et 30% et le poids moyen des pupes diminue.Pour chaque régime de température il y a une nette réduction du poids des pupes produites au cours des jours successifs et la teneur en lipides de celles-ci varie également. L'émergence moyenne des adultes à partir de pupes produites dans un élevage à 30° est plus élevée que celle obtenue dans des élevages à 25° et 20°.Tandis que la vitesse du développement, le contrôle du métabolisme des graisses et la production de pupes peuvent être des facteurs primaires intervenant dans le choix de la température d'élevage pour la production de masse de la mouche des fruits, il faudrait aussi considérer les effets de cette température d'élevage sur d'autres aspects de la biologie de l'insecte.
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7.
Virgin females of Distantiella theobroma (Dist.) produced a sex attractant capable of attracting males, which was emitted only during the late afternoon. Females first became attractive 3 to 5 days after the final moult when the first eggs matured in the ovarioles.Few wild males were caught in specially designed traps each containing a virgin female, and females had to adopt a characteristic calling position as a pre-requisite to male attraction. Female age affected attractiveness: a large catch of males on the day after calling began was followed by a decline before the numbers captured increased to maximum about 9 days later. No males were captured after the 18th day of calling.Few marked males were recaptured, and these in traps closest to the point of release. The capture of wild males was enhanced by a slight breeze but depressed in dim light and rain. The degree of trap exposure to the sun did not significantly affect the numbers captured although the positioning of traps may be important.No sex attractant was found in the related cocoa capsid Sahlbergella singularis.
Résumé Les femelles vierges de la Capside du Cacaoyer Distantiella theobroma se révèlent produire un attractif sexuel capable d'attirer les mâles; seules les femelles qui prennent une posture caractéristique d'appel sont attractives. Cet appel apparaît 3 à 5 jours après la dernière mue et ne se manifeste que dans la fin de l'après-midi, de 15h30 jusqu'au crépuscule. Les mâles seuls sont alors attirés.Un piège appâté avec une femelle vierge a été conçu pour capturer vivants les mâles attirés. Pendant deux mois de piègeage sexuel (en Octobre et Novembre 1970) correspondant à 893 jours de piègeage, on a capturé seulement 73 mâles de D. theobroma. On a noté une légère tendance à un accroissement du nombre des captures quand le piège renfermait 2 femelles vierges, au lieu d'une seule, mais la différence n'est pas significative; en outre cellesci mouraient plus précocement.Les captures sont les plus nombreuses le jour même où la femelle commence à appeler, vient ensuite un déclin suivi d'un second maximum du 10e au 13e jour. Il n'y a plus de captures de mâles 18 jours après le début de la manifestation d'appel sexuel, bien que certaines femelles non accouplées continuent à prendre la position d'appel jusqu'à leur mort, soit 34 jours.Deux mâles seulement ont été recapturés sur approximativement 125 qui avaient été lâchés à partir d'un arbre fonctionnant comme marqueur radioactif. Ces 2 mâles ont été capturés dans un des pièges les plus proches du point de lâcher.L'avantage d'une légère brise sur les captures et l'orientation de vol des mâles face au vent suggèrent que ce dernier intervient sur la dispersion d'un attractif chimique. Ce n'est que dans le cas de très faibles éclairements, conséquence de nuages épais habituellement accompagnés de pluie, que la capture des mâles est réduite de façon significative.Les femelles deviennent attractives quand leurs ovarioles renferment les premiers ufs mûrs, 4 jours après la dernière mue, bien que la position d'appel commence un peu avant cette époque.Il n'y a pas de différence significative entre les captures des mâles dans deux pièges différant par leur niveau d'éclairement; mais la variance entre ces pièges est très grande et le fait que les captures sont beaucoup plus nombreuses dans l'un des pièges suggèrent que la position du piège peut avoir un effet important sur la capture des mâles.Au cours de recherches préliminaires, concernant une autre Capside voisine, Sahlbergella singularis, aucune substance attractive sexuelle n'a été trouvée.
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8.
The susceptibility of sorghum to the shoot fly Atherigona soccata Rondani, (Diptera: Muscidae) is affected by seedling age and is highest when seedlings are 8–12 days old. This corresponds with high moisture accumulation on the central leaf which is the path of newly hatched larva as it moves downwards from the oviposition site, towards the growing apex. Studies showed that leaf surface wetness (LSW) of the central shoot leaf was higher in 10-day old seedlings than in seedlings of other ages. Similarly, LSW was much higher in the susceptible sorghum genotype CSH 1 than in the resistant genotype IS 2146. Larvae moved faster towards the growing point and produced deadhearts much earlier in CSH 1 than in IS 2146. They also moved faster in 10-day old seedlings than in seedlings of other ages. It was also shown that the leaf surface wetness of the central shoot leaf is a more reliable parameter of resistance than the glossy leaf trait or trichome density.
L'influence de la humidité de la surface foliaire sur le comportement de la mouche des pousses du sorgho
Résumé La sensibilité du sorgho à la mouche des pousses du sorgho, Atherigona soccata Rondani, est liée à l'âge de la plantule. Elle est plus forte lorsque la plantule est âgée de 8 à 12 jours et la sensibilité est maximale à 10 jours. A ce stade de croissance on observe une forte accumulation d'humidité sur la feuille centrale de la tige. Les jeunes larves traversent cette zone humide lorsqu'elles descendent vers la zone de croissance à partir des pontes déposées sur la face ventrale des feuilles déroulées.Des études ont été menées à l'ICRISAT (Inde) sur la relation entre l'humidité de la feuille centrale de la tige des plantules du sorgho et les dégâts provoqués par la mouche des pousses. L'humidité de la surface des feuilles (HSF) a été estimée grâce à une échelle visuelle graduée 1 à 5 où, 1 = pas d'humidité apparente et 5 = surface de la feuille recouverte de gouttes d'eau. La HSF est plus élevée sur des pousses de sorgho âgées de 10 j que sur les pousses appartenant à d'autres classes d'âge. Les valeurs observées sont également plus fortes pour les variétés non résistantes à ce ravageur (CSH 1,4.8) que pour les variétés résistantes (IS 2146, (2)). La vitesse du déplacement larvaire entre le cornet et la zone de la croissance varie en fonction de l'âge de la plante et des cultivars. Les larves migrent plus rapidement vers la zone de croissance et provoquent la mort du coeur du sorgho plus tôt dans la variété CSH 1 que dans IS 2146. Les larves se déplacent plus rapidement dans les pousses âgées de 10 j que dans les pousses appartenant à d'autres classes d'âge.Des études ont également démontré que la HSF n'est pas directement liée au caractère feuille lisse où à la densité des trichomes. La HSF est faible pour les génotypes résistants présentent où non le caractère feuille lisse. Par contre la HSF est élevée pour les génotypes non résistants présentant le caractère feuille lisse ou non. Aucune relation directe entre la densité des trichomes et les dégâts provoqués par la mouche des pousses n'a pu être mise en évidence. L'analyse des correlations établie pour les caractères de surface des feuilles avec la mort du cur des sorghos indique que les correlations sont faibles et non-significatives pour le caractère feuille lisse (0.49) et la densité des trichomes (0.39 et 0.2). Par contre les correlations sont fortes et significatives pour la HSF (0.82).On conclue que la HSF de la feuille centrale de la tige est un facteur important dans le déterminisme de la résistance du sorgho vis à vis de la mouche des pousses. Les relations entre les processus physiologiques de la plante et les facteurs impliquées dans l'accumulation d'eau sur la surface des feuilles font actuellement l'objet d'études détaillées.
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9.
The effects of parasitism by Praon pequodorum Viereck (Hymenoptera: Aphidiidae) on the survival, development and reproduction of apterous pea aphids, Acyrthosiphon pisum (Harris) (Homoptera: Aphididae), were studied in the laboratory. Ten cohorts of aphids differing in age from 0.5 h to 9 days were tested. At 20°C, pea aphids survived an average of 7 days after parasitization. Parasitized first and second instars died before reaching the adult stage. Third instars died as adults but without producing any offspring. Parasitized fourth instars and adult aphids produced a variable number of offspring; their mean total fecundity increased as an exponential function of the age at parasitization. Host age did not significantly affect the period from the beginning of parasitism to the end of reproduction. Equations are provided to estimate the length of the reproductive period, the total fecundity, the intrinsic rate of increase, and the doubling time as functions of aphid age at parasitization. The data are discussed with regard to host population growth. It is shown that a parasite's potential impact on an aphid population is critically dependent on its preference for and successful oviposition in early host instars.
Résumé Les effets du parasitisme par P. pequodorum Viereck (Hym.: Aphidiidae), sur la survie, le développement et la reproduction des aptères de A. pisum, ont été examinés au laboratoire. L'étude a porté sur 10 cohortes de pucerons dont les âges différaient de 0,5 heure à 9 jours. A 20°C, les pucerons parasités ont survécu en moyenne pendant 7 jours après avoir été parasités. Leur évolution ultérieure dépend au stade auquel ils ont été parasités: au premier et second stades, ils sont morts avant de devenir adultes; au troisième stade, ils sont morts adultes avant de se reproduire; au quatrième stade et adultes, ils ont donné un nombre variable de descendants. La fécondité totale moyenne a crû comme une fonction exponentielle de l'âge au moment où ils avaient été parasités. L'âge de l'hôte n'a pas modifié significativement la durée de la période entre le moment où ils ont été parasités et la fin de la phase de reproduction. Des équations ont été établies en fonction de l'âge des pucerons au moment où ils ont été parasités, pour estimer la longueur de la période de reproduction, la fécondité totale, le taux intrinsèque d'accroissement et le temps de doublement des cohortes de pucerons. Les résultats sont discutés sous l'angle de la dynamique de la population. On en déduit que l'impact potentiel d'un parasite sur une population de pucerons dépend d'abord de ses préférences pour les premiers stades de l'hôte et du succès de sa ponte sur ces stades.
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10.
Rearing larvae of Ips calligraphus (Germar) (Coleoptera: Scolytidae) in bolts of typical slash pine, Pinus elliottii Engelm. var. elliottii, with thin (TN; 0.5–1.5 mm) phloem (inner bark) relative to adult beetle body width significantly reduced body weight and lipid content of emerging adults compared with thick (TK; 2.5–3.5 mm) phloem-reared adults. Unmated (pre-nuptial) TK beetles averaged 2-fold longer daily and life-time flight duration than TN beetles. Daily flights were highly variable, averaging <20 min (longest daily flight=173 min). TK and TN beetles initiated flight, and the greatest number flew, on the first or second day after emergence form their rearing bolt; % of beetles flying and survival gradually declined to zero by day 9. Males (both TK and TN) averaged 2.5 days of flight, ca. 1 day longer than females. Fliers lived ca. 2-fold longer than non-fliers. Among TK and TN fliers, significant but weak positive correlations occurred between body weight and lifetime flight duration. Poor correlation between lifetime flight duration and longevity suggests little physiological cost to flight, but effects on fecundity were not assessed. Flight by mated, egg-laying (post-nuptial) beetles was substantially delayed (peaking on day 6), suggesting degeneration and subsequent regeneration of flight muscles.
Résumé Le comportement de vol d'Ips calligraphus GERMAR (Scolytidae) a été examiné au laboratoire par une technique de vol captif. La génération parentale avait été artificiellement introduite, suivant la taille des adultes (1,6 à 2,1 mm) dans des morceaux de Pinus elliottii Engelm. variété elliottii au phloeme épais (TK=2,5 à 3,5 mm) ou fin (TN=0,5 à 1,5 mm) les larves se sont développées dans ces morceaux de pin. Le poids et la teneur en lipide des adultes obtenus à partir de TN étaient significativement inférieure à ceux de TK. Le poids des mâles les plus gros a été plus réduit que celui des femelles; les mâles les plus petits semblaient être moins efficaces dans l'initiation des attaques sur les arbres, et les femelles les plus petites ont eu une fécondité réduite.Les durées de vol quotidiennes pendant la vie des mâles TK vierges étaient en moyenne deux fois plus longues que celles des mâles TN. Les durées de vol quotidiennes étaient très variables: en moyenne moins de 20 minutes, mais la plus longue a été de 173 mn. En moyennes les adultes TN et TK ont commencé à voler, et volaient en plus grand nombre, le premier et le second jour après l'émergence. Ensuite la fréquence d'adultes volants et le pourcentage de surviveants, ont graduellement diminué jusqu'à tomber à zéro le neuvième jour. Les mâles TN et TK avaient des vols quotidiens plus longs et volaient environ 1 jour de plus que les femelles. L'activité de vol accrue des mâles reflète leur besoin de trouver dans la nature des arbres convenables; les vols des femelles peuvent généralement être plus brefs, étant plus directement orientés comme une réponse aux phéromones mâles.Les voiliers ont vécu environ 2 fois plus longtemps que les non-voiliers. Parmi les voiliers TK et TN il y avait une corrélation positive étroite entre le poids du corps et la durée totale des vols. Il n'y en a qu'une faible corrélation entre cette durée totale des vols et la longévité, suggérant un faible coût physiologique du vol. L'influence de cette durée des vols et du prélèvement consécutif de lipides sur la fécondité n'a pas été examinée. L'initiation au vol chez les individus fécondés a été sérieusement retardée (maximum le sixième jour) par rapport aux vierges, ce qui suggère un dégénérescence des muscles du vol associée à la reproduction, suivie d'une régénération importante, comme cela a été signalé chez d'autres Scolytes.Ces résultats contribuent à notre compréhension des facteurs conditionnant le comportement de vol et d'autres aspects fondamentaux de la biologie des insectes des pins. Une telle connaissance est nécessaire au développement d'une politique efficace de protection.
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11.
Under midsummer photoperiod regimens (16: 8 LL: DD with 1,5 hr simulated crepuscular periods), the Balloki, Pakistan strain of Culex tritaeniorhynchus Giles mated synchronously during the simulated dusk and to a lesser extent dawn periods. Swarming and pairing commenced on the second night of life and was stimulated by the gradual transition in illumination from light to dark; abrupt changes such as the turning-off of either fluorescent or incandescent lights in an environmental chamber inhibited mating. Males swarmed readily at illuminations less than 250 lux, but female participation was apparently inhibited until the illumination dropped to between 20 and 8 lux.Males mated with an average of 5.2 sexually mature females during their lifetime. Most mating activity occurred before the males were 4 days old, but mating continued throughout the lifetime with periods of mating activity followed by rest periods and subsequent renewed mating activity.
Résumé Au Pakistan, l'essaimage et (ou) l'accouplement de Cx. tritaeniorhynchus dans les champs reste mystérieux. Aussi, une série d'expériences de laboratoire a été réalisée pour étudier le comportement sexuel des mâles de Cx. tritaeniorhynchus. Les accouplements, mesurés par le nombre de femelles inséminées quand elles cohabitent avec les mâles pendant des périodes déterminées, se produisaient synchroniquement au moment de la simulation de l'aube et du crépuscule. Il n'y en avait pas pendant la scotophase et la photophase.L'essaimage et l'appariement ont été observés avec des lanternes rouges pour des adultes d'âges différents sous le régime d'éclairement de l'insectarium (16/8 LL/DD avec 1.50 h d'aube et de crépuscule). Les essaims se formaient avec le début du crépuscule et cessaient au début de la photophase. La lumière rouge était perçue par les adultes et interferait avec le rythme et le comportement sexuel normaux entrainant les mâles à essaimer et à s'apparier au cours de la scotophase. Les couples ont toujours été formés au cours du vol en relation avec l'accroissement de l'activité de vol du mâle. Une modification graduelle de l'illumination est nécessaire pour induire l'accouplement: des changements abruptes réduisent significativement l'activité copulatrice.Quand des mâles fraichement éclos cohabitent avec des groupes de femelles vierges, sexuellement mûres, leur activité copulatrice maximale avait lieu avant 4 jours. Le nombre de femelles inséminées par mâle et le nombre de mâles copulant par jour diminuent avec l'âge des mâles, bien que les accouplements s'observent pendant toute la vie des mâles. D'une façon surprenante, des périodes d'accouplement sont suivies par des périodes de repos, suivies à nouveau par de nouvelles périodes d'activité sexuelle, ce qui laisse penser que des mâles sexuellement épuisés sont capables de renouveler suffisamment le stock de spermatozoïdes et (ou) les substances mâles annexes nécessaires à un accouplement ultérieur.
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12.
Labotatory mosquitos are commonly maintained using larval media based on crude food materials such as powdered animal chows, dried yeast, liver powder, etc. Males of Culex tarsalis so reared for use in studies of sterile male control methods proved unsuccessful in competition for mates against wild males in the field, even if tested after one generation of laboratory rearing. Such laboratory-reared adults had much lower levels of an essential fatty acid, eicosapentaenoic acid (EPA) than wild C. tarsalis adults from the sterile-male-control experimental sites. Hypothesizing that suboptimal essential fatty acid status might reduce adult vigor, we attempted to raise levels of EPA in tissues of laboratory-reared C. tarsalis by supplementing the larval food mixture with fish oils, which are rich sources of EPA and related n3 polyunsaturated fatty acids. Supplementation with codliver oil doubled tissue phospholipid EPA levels compared with unsupplemented controls, and a proprietary fish oil, Walgreen EPA 500, trebled the level, as high as for wild adults. Oil-supplemented diets improved growth, as judged by bigger pupae and increased female adult longevity, and flight mill studies provided some evidence that improved EPA status improved flight. Although the phenotypic contribution to mating inferiority of laboratory-reared mosquitos remains unclear, this work illustrates how an apparently satisfactory stock rearing regimen may be cryptically suboptimal with respect to an essential nutrient.
Résumé Les souches de laboratoire de moustiques sont généralement conservées en utilisant un régime larvaire brut tel que pâtée pour animaux domestiques, levure desséchée, poudre de foie, etc. Les mâles de C. tarsalis élevés de la sorte se sont révélés défavorisés dans la compétition sexuelle avec des mâles sauvages dans la nature, lors d'expériences sur l'utilisation de mâles stériles dans la lutte contre les moustiques, même si la compétition a eu lieu après un seul cycle larvaire en élevage au laboratoire. Les adultes provenant de ces élevages avaient une teneur en acide eicosapentaenoique (EPA),-acide gras essentiel-, beaucoup plus faible que les adultes provenant de la nature. En envisageant qu'une teneur suboptimale en acides gras essentiels pouvait diminuer la vigueur des adultes, nous avons tenté d'augmenter la teneur en EPA des tissus de C. tarsalis élevés au laboratoire en complétant le régime avec des huiles de poisson qui sont riches en EPA et en acides gras polyinsaturés n3 apparentés. L'addition d'huile de foie de moure double la teneur des tissus en phospholipides EPA par rapport aux témoins, et la spécialité Walgreen EPA 500, triple la teneur en EPA, la mettant au niveau des adultes de la nature. Les régimes complétés en huile ont amélioré la croissance (pupes plus grosses et longévité des femelles accrue), et quelques études en moulin à vol ont montré que l'amélioration de la teneur en EPA modifiait les caractéristiques du vol. Bien que ce travail n'ait pas permis de clarifier la part phénotypique de l'infériorité des mâles des moustiques élevés au laboratoire, son intérêt général a été de montrer comment un régime apparemment satisfaisant peut être en réalité suboptimal en ce qui concerne un aliment essentiel.
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13.
Groups of Glossina morsitans morsitans Westwood fed at emergence and thereafter daily, every second or third day respectively, up to the end of their first pregnancy cycle, survived well (73–79%) and produced virtually the same number of puparia/ (0.83–0.85) in the same puparial weight class (23–24 mg). However, adult survival (29%), number of puparia/ (0.30) and puparial weight (19 mg) were much lower in the group consistently fed every 4th day after the initial meal at emergence. It is proposed that tsetse colonies could be fed on Mondays, Wednesdays and Fridays without jeopardising adult survival, puparial production/ and the size (weight) of puparia produced.
Performances en Zambie de la mouche Tsé-Tsé (Glossina morsitans morsitans) élevée en utilisant différents régimes alimentaires
Résumé Afin d'estimer si une alimentation quotidienne de G. morsitans morsitans présente un avantage sur une alimentation moins fréquente, nous avons enrigestré la survie des adultes, la production et le poids des pupes chez des individus nourris à l'émergence et, ensuite, tous les jours ou tous les 2, 3 ou 4 jours. Les femelles alimentées quotidiennement, ou tous les 2 ou 3 jours, ont produit le même nombre de pupes (0,83–0,85), avec des poids de même ordre (23–24 mg), et avec une aussi bonne survie (73 à 79%). Alimentées tous les 4 jours, elles ont produit 0,30 pupe/femelle, pesant 19 mg/pupe et avec une plus faible survie (29%). Ces résultats montrent qu'il est inutile de nourrir les mouches chaque jour au lieu de tous les 2 ou 3 jours. Cependant une alimentation à des intervalles supérieurs à 3 jours, a eu des conséquences clairement défavorables. Ainsi, peuvent être considérablement réduits et le travail et le coût des élevages, sans porter préjudice à la production, en alimentant les mouches 3 fois par semaine, par ex. les lundis, mercredis et vendredis.
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14.
A simple grass-thatched hut was used to rear Glossina pallidipes Austen. Constructed to allow free flow of air, the temperature and humidity inside correspond to that of the outside environment. Pupae used to start the colony were obtained from pregnant females from Lambwe Valley, Western Kenya. Nine day-old females were paired with 12 day-old males for 7 days after which they were separated.Colony performance was evaluated on the basis of female survival, number and weight of puparia produced, and mortality rates. The emergence rate of puparia weighing more than 30 mg was above 80%. Data on the performance of the colony between June 1985 and June 1986 are presented. We suggest that the simple nature of the rearing facility and its direct contact with the outside environment have facilitated the colonization of the flies.
Résumé Une cage très simple, conçue pour assurer l'arrivé d'air, et le maintien de l'humidité et de loa température extérieure, a été employée pour conserver et élever G. pallidipes. Les pupes utilisées pour constituer la souche provenaient de Lambwe valley (ouest du Kénya). Des couples de femelles vieilles de 9 jours et de mâles de 12 jours ont été consitués, les sexes ont ensiute été séparés. La performance de la souche a été estimée en fonction de la survie des femelles et du nombre et du poids des pupes produites, et des taux de mortalité. Plus de 80% des pupes ont pesé 30 mg et plus, et le taux d'émergence a été de 80%. Les résultats fournis concernent les performances observées entre juin 1985 et juin 1986. Nous estimons que la simplicité du dispositif d'élevage et le contact direct avec les conditions écologiques externes ont facilité l'éstablissement de la souche.
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15.
Observations of adult Agromyza frontella (Rondani) (Diptera: Agromyzidae) in alfalfa, Medicago sativa L. (cv. Saranac), fields in two regions of Quebec, Canada, demonstrated that males were most abundant on alfalfa plants early in the morning and in the late afternoon/early evening, which coincided with the occurrence of bimodal mating activity. Male abundance and incidence of mating were usually negatively correlated with air temperature, solar insolation and wind speed and positively correlated with relative humidity. The daily pattern of female abundance on alfalfa varied less than that of males. Females fed and oviposited throughout the day, and the frequency of these activities were usually positively correlated with air temperature and solar insolation and negatively correlated with relative humidity. Possible reasons for the sexual dimorphism in the daily activity patterns of this leaf miner, and their significance for individual fitness, are discussed.
Résumé L'observation visuelle des adultes de la mineuse virgule de la luzerne, A. frontella, dans des champs de luzerne de deux regions differentes du Québec, ont démontré que les mâles étaient plus nombreux sur les plantes tôt le matin, vers la find de l'après — midi et tôt en soirée, ce qui a coincidé avec l'occurence bimodale de l'accouplement. L'abondance diurne des femelles variait moins que celle des mâles et les femelles se nourrissaient activement pendant toute la journée. La fréquence de l'alimentation et de la ponte chez les femelles (les mâles n'étant observé que très rarement en train de se nourrir) étaient corrélées positivement à la température ambiante de l'air de méme qu'à l'insolation mais étaient négativement corrélées à l'humidité relative. Contrairement aux femelles, l'abondance des mâles et l'incidence de l'accouplement étaient habituellement corrélées négativement à la température ambiante de l'air, à l'insolation et à la vitesse du vent alors qu'elles étaient positivement corrélées à l'humidité relative. Plusieurs hypothèses pouvant expliquer le dimorphisme sexuelle des activitées diurnes de cette mineuse ainsi que leurs implications quant à la fitness, des individus, sont discutés.
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16.
Many larvae from wild-caught female Glossina palpalis palpalis R.-D. treated topically with dieldrin or sumicidin or sumithrin or permethrin failed to pupariate and many larvae from mothers treated with sumicidin or sumithrin or neopynamin formed small or malformed puparia which failed to eclode. Puparia produced soon after maternal handling often did not emerge and many produced by flies starved more than 3 days also did not emerge. Very many puparia from dieldrin-treated mothers failed to emerge and non-emergence was common for puparia from flies treated with endosulfan or sumithrin or deltamethrin. Non-emerging puparia were produced soon after pyrethroid-treatment, probably due to effects on larval integumentand muscles, but were produced later after organochlorine-treatment, due to ingestion of insecticide by larvae while in utero.
Résumé Les expériences ont porté sur des femelles sauvages de Glossina palpalis palpalis R.D. capturées dans la nature. Les comparaisons ont porté sur l'état et les performances de lots de pupes provenant de mouches non-traitées et de larves mûres traitées localement avec de l'acétone (témoin) ou avec 14 insecticides différents.Toutes les larves témoin se sont nymphosées, mais le taux d'échec augmentait avec la diéldrine, la sumicidine, la sumithrine et la permethrine. Les pupes anormales (petites ou déformées) étaient plus nombreuses dans le lot témoin que dans le lot non-traité, et les fréquences étaient plus élevées que chez le témoin avec la sumidicine, la sumithrine et la néopynamine.Seulement 3 mouches sont issues de 107 pupes anormales; il n'y a eu aucune éclosion pour 28% des pupes du lot témoin contre 15% pour le lot non-traité. Pour le témoin le taux d'émergence était faible dans les pupes formées le premier jour (jour du traitement), par suite de la manipulation maternelle; il n'a pas augmenté jours 2 et 3, mais a diminué par la suite à cause du jeûne in utero. Les doses élevées de tous les insecticides réduisent plus les émergences que les doses faibles. Les organophosphates et le propoxur ne limitent pas les émergences, mais elles sont réduites par l'endosulfane, la sumithrine et la deltaméthrine, et très fortement par la diéldrine. Les pupes stériles ont été surtout formées dès le traitement aux pyréthroïdes (jour 1); et surtout plus tard (jours 2 et 3) lors des traitements aux organochlorés. L'ingestion par la larve in utero de grandes quantités d'insecticides pendant les 3 jours précédant la parturition était la principale cause de mortalité, et aussi de la forte tolérance aux organochlorés des femelles prégnantes. Les effets de pyréthroïdes sur l'activité musculaire réduisent aussi les émergences.Aucune mouche ne s'est alimentée après les traitements.
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17.
Laboratory experiments at 16°–30°C showed that the cabbage root fly can only be induced into aestivation during the early part of the pupal stage. The relationship between the percentage of pupae entering aestivation (y) and the average daily temperature (T) was the same under both constant and alternating temperatures. The percentage of pupae entering aestivation at a particular temperature was given by y=13T–255. An additional 13% of the pupae entered aestivation for each degree rise between 20° and 27°C. There was no constant period of arrested development following the induction of aestivation. Aestivating pupae started to develop into flies as soon as the temperature fell below 20°C. The reinduction of aestivation occurred more readily than the initial induction. Insect survival was not reduced after a month of aestivation. The effects of aestivation on forecasting the time of the second (summer) generation of flies are discussed.
Étude au laboratoire de l'estivation de la mouche du Chou (Delia radicum)
Résumé Au laboratoire, à 10°–30°C, l'induction de l'estivation ne peut être obtenue qu'avec des pupes formées depuis peu.Le rapport pourcentage de pupes entrant en estivation (y) température journalière moyenne (T) a été le même, que la température soit constante ou alternée. La relation entre la température et ce pourcentage est donnée par y=13 T–255. Le pourcentage de pupes entrant en estivation a augmenté de 13% pour chaque élévation d'un degré entre 20° et 27°C. L'estivation une fois induite, la période d'arrêt de développement n'est pas constante. Dès que la température est devenue inférieure à 20°C, la formation d'imagos a commencé dans les pupes en estivation. Une nouvelle estivation a été plus facile à provoquer que l'estivation initiale. Le taux de survie des insectes n'avait pas diminué après un mois d'estivation. La discussion examine l'utilisation des conséquences de l'estivation dans la prédiction de la seconde génération d'adultes: génération d'été.
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18.
Squash bugs, Anasa tristis DeGeer (Heteroptera: Coreidae), overwinter as adults in reproductive diapause. To study factors influencing the induction of diapause, nymphs and adults were reared on pumpkin, Cucurbita moschata Duchesne (Cucurbitaceae), in the laboratory and field. Respiratory rates in diapausing adults were less than half the rate of non-diapausing adults. Short daylengths induced diapause in immature and mature adults, and as overwintered adults that had completed diapause. Oviposition by new and overwintered adult females ceased about 30 days after the onset of diapause-inducing conditions. No evidence of a period of insensitivity to photoperiod after the completion of diapause was found. The critical photoperiod for induction of diapause depended on temperature and on the stage of development at which experimental photoperiods were introduced. Incidence of diapause in adult females increased as bugs were transferred to experimental photoperiods as new adults, 5th-, and 4th-instars. Diapause induction in the field in central Illinois (latitude 40°N) occurs during the first week in August, resulting in only a small partial second-generation.
Résumé A. tristis est un ravageur important des cucurbitacées en Amérique du Nord, particulièrement de Cucurbita sp. Cette punaise hiverne avec une diapause reproductive des adultes. Dans le centre de l'Illinois (latitude 40°N), il y a chaque été une génération complète et une génération partielle. L'étude a porté sur les facteurs endogènes et écologiques influençant l'induction de la diapause. Des larves et des adultes ont été élevés sur pousses de Cucurbita moschata en conditions naturelles et de laboratoire. Au laboratoire, la photopériode critique dépendait du stade de développement des punaises lors de l'introduction des photopériodes expérimentales. A 27°C, la photopériode critique des punaises transférées de jours longs en conditions expérimentales a été: environ 14,8 L/9,2 D lorsque le transfert a eu lieu au 5ème stade; et environ 14,3 L/9,7 D pour un transfert comme jeunes adultes. La température influe aussi sur la photopériode critique. A 21°C, pour le 5ème stade la photopériode critique a été environ 15,5 L/8,5 D.Les larves, les adultes immatures et mûrs, ainsi que les adultes après hibernation ont été sensibles à la photopériode. Les femelles mûres cessent de pondre dans les 30 jours suivant l'introduction des conditions induisant la diapause. Rien ne laisse supposer la présence d'une période d'insensibilité à la photopériode après la fin de la diapause.
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19.
Observations were made on the calling behaviour of virgin female Epiphyas postvittana, and on associated factors. The amount of calling varied with the age of the female, the longest total durations being on days 2 and 6 of adult life and the shortest on day 4. It is probable that the peak of activity occurs on day 2. The pattern of calling on day 6 was abnormal, probably as a result of the onset of senescence.Total pheromone content and the number of mature eggs in the ovary also varied with age. The pheromone content increased until day 5 and then dropped sharply — probably again due to senescence — and the number of mature eggs increased until days 3 and 4. The number on day 4 was not significantly different from that on day 3, but the high variance on day 4 indicated some females had oviposited. A 2-hour call by day-3 females caused a substantial drop in total pheromone content.
Résumé Des femelles vierges d'Epiphyas postvittana sont étudiées pour déterminer l'influence de l'âge sur les manifestations d'appel sexuel, sur la teneur en phéromone et sur la maturation des ufs. L'appel sexuel qui se reconnaît à l'abaissement et à l'incurvation de l'abdomen vers l'avant ainsi qu'à l'éversion des glandes à phéromone, n'est pas continu chaque nuit mais se répartit en nombreuses périodes dont la durée peut varier de 5 minutes à 2 heures.La manifestation de l'appel sexuel varie avec l'âge; les plus longues durées s'observent au 2e et au 6e jour de la vie imaginale, les plus courtes au 4e jour. Ces variations dans la durée totale résultent des changements qui interviennent d'un jour au suivant dans la longueur des périodes d'appel, dans le nombre de ces périodes et du pourcentage des femelles actives. Il est probable que le pic d'activité se situe à l'âge de 2 jours, l'aspect anormal de l'appel à l'âge de 6 jours étant dû à un début de sénescence.La teneur totale en phéromone de femelles âgées de 1 à 11 jours est étudiée par des tests biologiques utilisant les extraits bruts à l'éther des glandes à phéromone. Cette teneur s'accroît de façon significative jusqu'au 5e jour et diminue brusquement au 6e jour. La teneur en phéromone reste alors approximativement à ce bas niveau. Cette diminution est sans doute une autre indication du début de la sénescence.On a étudié la quantité de phéromone perdue par les femelles pendant une période d'appel. L'activité d'un extrait de femelles âgées de 3 jours et fait au début de leur 1ère période d'appel est comparée avec un extrait réalisé sur des femelles qui ont manifesté un appel sexuel pendant 2 heures. Après 2 heures d'appel la teneur en phéromone est tombée au 1/5 de la teneur initiale.L'examen des ovaires de femelles vierges âgées de 1 à 4 jours montre que le nombre d'ufs mûrs s'accroît jusqu'aux 3e et 4e jour. Bien que le nombre d'ufs pour chacun de ces 2 jours ne diffère pas de façon significative, les variances, elles, le sont. La haute variance observée au 4e jour comparée avec la faible variance du 3e jour, indique que la ponte a commencé. Des observations directes montrent que les femelles vierges commencent à pondre 1e 4e jour.
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20.
The amounts of four pteridine compounds, xanthopterin, isoxanthopterin, 6-biopterin and pterin and a further unidentified substance, termed modified xanthopterin, were determined in the heads of adult Pectinophora scutigera (Holdaway) (Lepidoptera: Gelechiidae), aged between 2 and 50 days and reared in the laboratory at 25°C. The level of isoxanthopterin was also determined in the thoraces and abdomens of moths aged between 2 and 40 days. The levels of xanthopterin, and modified xanthopterin decreased markedly in the heads of males and females with increasing moth age, while those of pterin decreased more slowly and 6-biopterin remained largely unchanged. Isoxanthopterin decreased in male heads from 38.3 ng/head at 2 days to 22.7 ng/head at 50 days, but in females levels increased from 41.2 ng/head at 2 days to 150.4 ng/head at 50 days. Similar changes in the amounts of isoxanthopterin with increasing moth age were observed in male and female thoraces and abdomens. The results are discussed in relation to using pteridine compounds for estimating the physiological age of P. scutigera.
Résumé En chromatographie liqudde à haute performance (HPLC) à détection par fluorescence, 4 composés ptéridiniques: la xanthoptérine, l'isoxanthoptérine, la 6-bioptérine et la ptérine ont été décelés dans les têtes de P. scutigera Holdaway (Lep. Gelechiidae) adultes. Un autre composé, dénommé xanthoptérine modifiée, a été décelé aussi dans les têtes de papillons; de même l'isoxanthoptérine a été décelée dans les thorax et abdomens.Les concentrations de ces ptérines ont été dosées dans les têtes des papillons de 2 à 50 jours au laboratoire à 25°C. Les concentrations d'isoxatthoptérine ont été dosées dans les thorax et les abdomens de 2 à 40 jours. La xanthoptérine de la xanthoptérine modifiée diminuent nettement avec l'âge, tandis que la ptérine diminue plus lentement et que la 6-bioptérine se maintient pratiquement sans changements. L'isoxanthoptérine diminue dans les têtes de mâles de 38,3 ng/tête à 2 j à 22,7 ng/tête à 50 j, mais chez les femelles les concentrations augmentent nettement de 41,2 ng/tête à 2 j à 150,4 ng/tête à 50 j. Des modifications de même type ont été observées dans les thorax et les abdomens des mâles et des femelles.Les modifications de concentration de la xanthoptérine modifiée des têtes de papillons peuvent être utilisées pour évaluer l'âge physiologique de mâles et des femelles de P. scutigera. La confiance dans ces estimations peut être améliorée en se référant aux concentrations d'isoxanthoptérine dans les thorax des mâles et au rapport isoxanthoptérine/xanthoptérine modifiée dans les têtes de femelles.
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