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1.
The duration of larval and pupal stages of two species of predatory flies was investigated at five constant temperatures. Ilione albiseta (Scopoli): Mean duration of first and second instars was shortest at 23°C and there was 100% survival of first instar larvae at all temperatures. Mean third instar larval duration decreased from 104 days at 17°C to 27.5 days at 26°C. Total percentage larval survival was greatest at 17°C and least at 26°C. Mean pupal duration decreased as temperature increased and this occurred also under outdoor conditions. Pherbellia cinerella (Fallén): As temperature increased mean larval duration decreased but the percentage of larvae pupating also decreased (100% at 14°C, 33.3% at 26°C). There was a trend for shorter mean pupal durations at higher temperatures.
Résumé L'action de la température a été examinée à 14, 17, 20, 23 et 26°C. Les 2 espèces sont prédatrices de L. truncatula, vecteur de la douve du foie en Irlande, où elle provoque à l'àgriculture une perte évaluée à 10 millions de livres par an. Les données recuellies en conditions contrôlées du laboratoire doivent permettre de définir les conditions optimales pour l'élevage continu de ces espèces. Ceci est indispensable pour évaluer, dans la nature leurs potentialités pour la lutte biologique. Ilione albiseta: C'est à 23°C que le développement des larves de premier et second stades sont les plus brefs; la survie du premier stade est totale à toutes les températures constantes examinées. La durée moyenne du 3ème stade décroît de 104 jours à 17°C jusqu'à 27,5 jours à 26°C. Le taux de survie total est plus élevé à 17°C qu'à 26°C. La durée moyenne de la nymphose diminue quand la température croît, et ceci se produit aussi à la température ambiante extérieure. On réduit de moitié la durée du développement de l'éclosion de l'oeuf à l'apparition de l'adulte, entre la nature et le laboratoire, en utilisant respectivement: 23°, 17° et 26°C pour les premier et second stades, le troisième stade, la nymphé. Cela devrait aider à multiplier la souche pour la lutte biologique. Pherbellia cinerella: Avec élévation de la température la durée du développement larvaire diminue, mais aussi le nombre de larves parvenant à la pupaison (100% à 14° et 33,3% à 26°C). La nymphose tendait à être plus brève aux températures les plus élevées.
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2.
The variation in response to photoperiod and temperature of different populations of the peacock butterfly, Inachis io (L.) (Lepidoptera: Nymphalidae), was investigated to test the extent to which species can adjust their response to the environment, and therefore maximise their reproductive potential. The photoperiodic (adult) diapause induction response varies between populations, and appears to be finely tuned to the local conditions. There is however variation within populations and the response can be adjusted in a population by selective breeding. The developmental rate is not significantly different between three latitudinally distinct populations, over the range of temperatures tested, and pupal weights are similar at given temperatures. However, pupal weights increase with decreasing development temperature. The implications of these findings are discussed with reference to modelling life history strategies.
Résumé Inachis io (L.), observable dans une grande partie de l'Europe, y présente des différences quant au cycle biologique, au voltinisme et à la durée du développement. Trois populations provenant de la zone de transition entre monovoltinisme et bivoltinisme ont été échantillonnées pour examiner les différences de réponses à la photopériode et à la température, et pour évaluer l'étendue des possibilités d'adaptation de cette espèce à l'environnement et ainsi optimaliser son potentiel reproductif. L'induction photopériodique de la diapause est de type jour long pour toutes les souches examinées, mais la photopériode critique 50 (CPh50) varie suivant les populations et paraît étroitement ajustée aux conditions locales. Il y a cependant assez de variabilité à l'intérieur des populations pour que le seuil puisse être rapidement abaissé dans chaque population par des expériences d'élevage sélectif. Par contre, la vitesse de développement ne varie pas significativement entre les populations pour la gamme de température: 15–27°C. Les poids de chrysalides ne diffèrent pas suivant les populations, bien qu'ils augmentent quand la température de dévelppement diminue. On peut penser que des modèles, prédisant que la diminution du nombre de générations pendant une saison sera accompagnée d'une prolongation de la durée de développement et d'une augmentation de la taille, et que ceci est d'origine génétique et non le résultat seul du refroidissement de l'environnement, ne tiendront pas compte de l'absence de variation entre populations dans la relation entre température et développement.
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3.
The developmental periods from egg to adult of two stocks of the aphid parasite, Aphidius sonchi Marshall (Hymenoptera: Aphidiidae), were determined under various constant and alternating temperature regimes. The relationship between temperature and rate of development for each of the two stocks under constant conditions was described satisfactorily by the logistic curve. Based on the constant temperature curves, comparisons showed that temperature alternations did not accelerate or decelerate rate of development in either stock. Further analysis indicated that rates of development at extreme temperatures were well described by the logistic curve.The data and subsequent analyses showed that (1) because of the curvilinear form of the relationship, durations of development can differ considerably between constant and varying conditions if comparisons are made using daily mean temperatures; (2) as a result, the development threshold and thermal constant estimated by a hyperbolic transformation of data referred to daily mean temperatures will vary with the amplitude and pattern of fluctuations; and (3) temperature relationships derived from laboratory data can be used safely to predict the development of insects in the field.
Résumé La durée du développement de l'oeuf à l'adulte de deux lignées d'A. sonchi Marshall (Hymenoptera: Aphidiidae) a été déterminée en températures constantes et avec des thermopériodes. La courbe logistique a décrit correctement la relation entre la température et la vitesse de développement pour chacune des deux lignées en conditions constantes. En se basant sur les courbes à température constante, les comparaisons ont montré que l'alternance thermique n'accélère, ni ne ralentit le développement des lignées. Une analyse complémentaire a montré que le développement aux températures extrêmes était correctement décrit par la courbe logistique. Les données et les analyses consécutives ont montré: (1) que par suite de l'aspect curviligne de la relation, les durées de développement en conditions constantes et thermopériodiques peuvent différer considérablement si les comparaisons portent sur les températures quotidiennes moyennes; (2) qu'en conséquence, le seuil de développement et la constante thermique estimés par une transformation hyperbolique des données concernant les températures quotidiennes moyennes varieront avec l'amplitude et le mode de fluctuation; et (3) que les relations thermiques obtenues à partir des données de laboratoire ne peuvent être utilisées en confiance pour prédire le développement des insectes dans la nature.
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4.
Pathogenicity of nuclear polyhedrosis virus (NPV) to western spruce budworm larvae, Choristoneura occidentalis Freeman, increased as temperature increased. In constrast, at temperature extremes, mortality increased for a specified dose of malathion or diflubenzuron, while at the optimal temperatures (20–25°C), mortality decreased. Malathion was the fastest acting insecticide, followed by diflubenzuron and then NPV.Simulation results considered temperature dependent developmental rates of the larvae, energy consumption, time to achieve total mortality, and mortality at specified doses of insecticides. Low temperatures provided the greatest reduction in the amount of energy consumed by spruce budworm relative to the energy consumed when no treatment was applied. This was due to both the percent mortality and because total mortality was realized in the larval stage while at the higher temperatures, mortality was not fully realized until the pupal stage.
Résumé La température modifie la toxicité ou la pathogénie du virus de la polyhédrose nucléaire (NPV), du diflubenzuron, et du malathion consommés par Choristoneura occidentalis Freeman. La pathogénie du NPV augmente avec la température, si bien qu'il y a une relation linéaire entre mortalité et température. Pour le diflubenzuron et le malathion, la température est liée à la mortalité d'une façon gradiatique. Aux températures extrêmes, la mortalité augmente pour une dose donnée de malathion ou de diflubenzuron, tandis qu'aux températures optimales (20 à 25°C), la mortalité diminue. Des modèles multiples ont été utilisés pour évaluer les effets ci-dessus.Le moment de la mortalité finale observée et la mortalité cumulative ont été modifiés par la température, mais non par la dose d'insecticide. L'effet le plus rapide est obtenu avec le malathion, suivi par le diflubenzuron et enfin le NPV.Selon les résultats de simulation,—tenant compte des taux de développement larvaires à différentes températures, de la consommation d'énergie, du temps nécessaire pour obtenir la mortalité totale calculée et de la mortalité calculée, pour une dose donnée d'insecticide à une température particulière —, ce sont les basses températures qui réduisent le plus l'énergie consommée par la population par comparaison avec l'énergie consommée en l'absence de traitement. Ceci est dû au pourcentage de mortalité calculée et au fait que la mortalité est toujours obtenue au stade larvaire, tandis qu'aux températures plus élevées, la mortalité se poursuit jusqu'au stade nymphal.
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5.
Rates of development ofEpisyrphus balteatus (Diptera: Syrphidae) indicate that three generations are possible during the season. Only one develops in the wheat crop. Feeding activity is highest during the night. Functional response curves for newly hatched larvae, 1 and 5 day-old larvae were determined. The high rate of reproduction and the short feeding period makeE. balteatus an excellent exploiter of a temporary habitat: a cereal aphid colony.
Episyrphus balteatus (Syrphidae), prédateur deSitobion aveane (Aphididae) sur blé d'hiver
Résumé Les durées de développement deE. balteatus dépendent de la température. L'incubation a duré 14.2 jours à 7.5°C et 1.59 jour à 25°C. Le développement larvaire jusqu'à la dernière défécation a demandé 35.8 jours à 7.5°C, et 10.1 jours à 20°C. Seule une génération peut se développer chaque année sur blé d'hiver, car la durée totale de l'ontogenèse, dans les conditions de température des champs, est comprise entre 30 et 45 jours. Les larves s'alimentent surtout la nuit. La prédation maximale à 20°C augmente avec l'âge de la larve, depuis 2.34 pucerons du troisième stade par jour pour une larve de syrphe néonate jusqu'à 5.04 pucerons du troisième stade quand les larves ont un jour. Les consommations les plus élevées, de 38.6 et 42.7 pucerons par nuit de 7 heures, ont été obtenues avec des larves de 4 à 5 jours, élevées à 21/13°C.A 20°C, le temps consacré à l'alimentation par des larves néonates de syrphes augmente avec la taille de la proie; il passe de 63.6 min pour des pucerons du premier stade à 131.2 min pour ceux du second stade. La relation entre le poids de la larve et le nombre de pucerons consommés est linéaire.E. balteatus a besoin, pour son développement, de moins deS. avenae que deA. fabae.
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6.
The development time, survivorship and age-specific fecundity of apterous and alate virginoparae of the sowthistle aphid, Hyperomyzus lactucae (L.) (Homoptera: Aphididae), reared on Sonchus oleraceus L., were measured under various temperature and light regimes. Within the temperature range of daily means of 12.5–24°C, speed of development and reproductive rate increased, while life span and total fecundity decreased, with an increase in temperature. The relationship between temperature and rate of development was nearly linear, with a notional development threshold estimated at about 2°C. The intrinsic rate of increase (rm) was positively correlated with temperature when calculated on a daily basis, but was inversely related to temperature when measured on a physiological time scale. Alatae generally had a longer development time, and achieved a lower reproductive rate and life-time fecundity, than apterae reared under identical conditions.Comparison of aphid performance under constant and alternating temperature regimes, and between successive generations under the same regime, showed that (1) the conditions experienced by the aphid as an embryo within its mother are important in determining survival and development and (2) tolerable temperature limits vary with the pattern and amplitude of the fluctuations of temperature.At 22°C, changes of photoperiod within the range of 12D:12L to 8D:16L had little effect on aphid performance.
Résumé La durée du développement, le taux de survie et la fécondité en fonction de l'âge ont été suivis chez les virginipares aptères et ailés du puceron: Hyperomyzus lactucae L., élevé sur Sonchus oleraceus L., et soumis à différentes conditions de température et de lumière. A l'intérieur de la gamme de températures moyennes de 12,5 à 24°C, la vitesse de développement et le rythme de reproduction augmentent, tandis que la longévité et la fécondité totale diminuent. La relation entre la température et la durée du développement est presque linéaire, avec un seuil théorique de développement évalué à environ 2°C. Le taux intrinsèque d'accroissement est lié positivement à la température calculée sur une base quotidienne, mais la relation est inversée quand la température est mesurée sur une échelle physiologique. Pour des conditions d'élevage identiques, les ailés ont eu, dans l'ensemble, une durée de développement plus longue, un taux de reproduction et une fécondité totale plus faibles que les aptères.La comparaison des performances des pucerons sous thermopériodes ou températures constantes, ou entre les générations en conditions identiques, a montré (1) que les conditions subies par l'embryon dans la mère conditionnent la survie et le développement; (2) que les limites des températures tolérables changent en fonction du type et de l'amplitude des fluctuations de température.A 22°C, des modifications de la photopériode, dans la gamme; 12D:12L à 8D:16L, ont eu peu d'effet sur les performances des pucerons.
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7.
Young onion flies were placed in cages at four temperatures, 15°, 18°, 21° and 24°. Every 2 days the development of the egg chambers in the ovarioles, mating, egg production and mortality were scored. Influence of the temperature on the speed of egg-chamber development was very distinct. There was a high positive correlation between the development of the first and the second egg chamber. At 24° a significant difference in speed of egg-chamber development was found at two low levels of light intensity.
Résumé L'influence de la température sur la maturation des follicules de la mouche de l'oignon, Hylemya antiqua Meigen, a été analysée.Des jeunes adultes ont été mis en 4 cages et soumis au régime des températures suivantes: 15°, 18°, 21° et 24°. La maturation des follicules de huit femelles a été vérifiée pour chaque température et après 2 jours, par examen des ovaires sur le vivant. L'activité d'accouplement a été également contrôlée, ainsi que la ponte et la mortalité.L'effet de la température sur la vitesse dé développement des follicules est très net. À 15° le premier follicule n'a pas encore atteint la maturité après 26 jours. Par contre aux températures plus élevées la maturation se déroule plus vite. Le développement du deuxième follicule est en corrélation positive avec celui du premier (r=0.866).À 24°, deux niveaux relativement bas de l'intensité de la lumière causent des différences dans la vitesse de développement des premiers follicules.
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8.
Deux types de diffuseurs en caoutchouc (Michelin) et en plastique polystratifié (Hercon®) sont testés en laboratoire pour étudier quelques aspects des phénomènes de diffusion. Trois composantes phéromonales, le Z9-12: Ac, le 12: Ac et le Z9-14: Ac imprégnées dans ces différents supports servent à détermineer le rôle joué par la longueur de la chaîne de la molécule et la présence de doubles liaisons sur la vitesse de diffusion. L'influence de la température, de la vitesse du vent et de l'humidité est déterminée en cellules climatisées.Parmi les facteurs relatifs à la structure chimique, l'influence de la longueur de la chaîne est prédominante par rapport à la présence d'une double liaison. Parmi les facteurs climatiques, le vent agit plus que la température sur la diffusion, alors que l'humidité paraît secondaire.  相似文献   

9.
Résumé Au début du printemps les adultes de Coccinella septempunctata L. (Col., Coccinellidae) issus des sites d'hivernation, les larves et les nymphes qui en proviennent, fréquentent le sol et les parties basses du blé. En juin, les adultes nés dans le champ et leur descendance sont dispersés sur toute la hauteur des talles bien qu'une fraction non négligeable de leur population se rencontre à l'extrémité supérieure. La plupart des pontes sont déposées sous les mottes de terre, les pierres et les petites adventices qui constituent des sites privilégiés. Ces variations de la distribution de cette coccinelle peuvent être mises en relation avec le climat, en particulier la température, avec la thermophilie de cette espèce et avec la répartition sur les différentes parties des talles des 3 espèces de puceron qui se succèdent au cours de la saison. Ces observations sont importantes à considérer lors du choix ou de la mise au point d'une méthode d'échantillonnage.  相似文献   

10.
Maize plants were grown under four moisture regimes (wet to extreme deficit) and three constant temperatures (20°, 25° & 30°C) in a phytotron. Each plant was infested with one E-race European corn borer [Ostrinia nubilalis (Hubn.)] (ECB) egg mass at pollen shed. ECB development, location, and establishment were recorded over the course of 12 destructive sample dates (4/temperature). ECB developmental rates were not significantly affected by soil moisture treatments, but were significantly affected by temperature. In spite of successful establishment of four distinctly different soil moisture regimes, the maize stalk tissue water levels were not significantly different among soil water treatments. Instead, the maize plants exhibited accelerated leaf senescence in response to the water deficit conditions. Among the soil water treatments, differences were found in larval establishment, vertical distribution and dispersion, and feeding site selection; however, those effects were slight and could not explain the similarity in ECB developmental rates observed in these treatments.In maize, the larval environment within the stalk was effectively insulated from changes in the external environment by the plant's ability to maintain a relatively high and stable stalk tissue water content. Thus, large changes to the soil environment had essentially no effect on ECB development, though drastic consequences for the plant. This study indicates that ECB rates of development are relatively insensitive to changes in the soil water environment as well as the associated changes in the maize plant that accompany severe drought stress. The significance of these findings to insect modelling, crop physiology, and insect-crop interactions is discussed.
Résumé Des plants de maïs se développent dans un phytotron dans 4 conditions d'humidité du sol (de la saturation à la dessication) et à 3 températures constantes (20°, 25° & 30°C). Chaque pied est contaminé au moment de l'émission du pollen, par une ooplaque d'O. nubilalis Hübn. (ECB) de race européenne E. L'installation, la colonisation et le développement des chenilles sont notés lors de 12 périodes de prélèvements destructifs (4 par température). La vitesse de développement d'O. nubilalis est affectée par la température, main non par l'humidité du sol. Les 4 niveaux d'humidité du sol n'ont aucun effet sur la teneur en eau des tiges de maïs. En fait, les feuilles de maïs présentent une senescence précoce lorsqu'il y a déficit en eau dans le sol. La teneur en eau du sol agit sur l'installation, sur la distribution verticale, la dispersion et le lieu d'alimentation des chenilles; mais ces effets sont légers et ne modifient pas la vitesse de développement.L'environnement larvaire dans la tige de maïs est efficacement isolé des variations externes par l'aptitude de la plante à maintenir la teneur en eau des tiges relativement élevée et stable. Ainsi, des changements importants au niveau du sol n'ont pratiquement pas d'effets sur le développement d'O. nubilalis, malgré les conséquences brutales pour la plante. Cette étude montre que la vitesse de développement d'O. nubilalis est relativement insensible aux modifications de la teneur en eau du sol ainsi qu'aux effets de ce stress de sécheresse sévère sur le pied de maïs. La discussion porte sur l'importance de ces résultats pour la modélisation de la dynamique de l'insecte, la physiologie de la culture et les interactions entre insecte et plante.
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11.
A method is described of determining the increment of air temperature which would produce a physiological effect on man equivalent to that induced by the solar radiation load imposed under open summer conditions in mid-latitude deserts. The method consists of: (a) exposing subjects to solar radiation in a transparentchamber with controlled temperature, humidity, and air movement; (b) exposing the same subjects to the same conditions with the solar radiation excluded, but at various temperatures above that used in the solar exposure; (c) establishing regression equations of physiological reactions on air temperature from the preceding step; (d) determining the air temperature which, acting alone, would have produced the same reaction as the solar exposure; (e) determining the increment of air temperature equivalent to the radiation load.
Zusammenfassung Eine Methode zur Bestimmung derjenigen Zunahme der Lufttemperatur, die eine physiologische Wirkung beim Menschen auslöst,Äquivalent derjenigen durch Sonnenstrahlung im Sommer in der Wüste, wird beschrieben: (a) Exponierung einer Person in einer transparenten Kammer mit kontrollierter Temperatur, Feuchte und Luftbewegung; (b)Abschirmung der Sonnenstrahlung und Exponierung der Person bei höheren Temperaturen unter sonst gleichen Bedingungen; (c) Berechnung der Beziehung zwischen Lufttemperatur und physiologischer Reaktion; (d) Bestimmung der Temperatur, die die gleiche Reaktion auslöst wie die Sonnenstrahlung durch Berechnung; (e) Bestimmung derjenigen Zunahme der Lufttemperatur, die der Bestrahlungsbelastung Äquivalent ist.

Resume On décrit ici une méthode permettant de déterminer quelle hausse de température déclen une réaction physiologique équivalente à celle provoquée par le soleil d'été en plein désert: (a) On expose un sujet au rayonnement solaire dans une cellule transparente dont la température, l'humidité et le mouvement de l'air sont contrÔlés; (b) On supprime alors le rayonnement solaire et l'on expose le mÊme sujet à des températures plus élevées, les autres éléments restant les mÊmes; (c)On calcule ensuite la relation entre la température de l'air et les réactions physiologiques observées précédemment; (d) On détermine la température qui déclenche, selon le dit calcul, la mÊme réaction que le rayonnement solaire; (e) On peut alors déterminer la hausse de température qui équivaut aux effects du rayonnement.


Studies were made while the authors were employed by the U.S. Army Quartermaster Research & Development Command, Natick, Mass.  相似文献   

12.
As the temperature at which larvae of C. capitata were reared decreased from 30° to 25° to 20° the yield of pupae from eggs increased from 15% to 25% to 30% and the mean weight of pupae decreased. Within each temperature regime the weight of pupae produced on successive days declined and the fat content of those pupae varied.
Résumé On a étudié l'effet de température d'élevage larvaire de 20°, 25° et 30°. La durée du développement s'accroît de 7 à 13 jours pour des températures respectives de 30° et 20°. Lorsque la température d'élevage baisse, le nombre de pupes produites par rapport aux oeufs s'accroîts de 15% à 20% et 30% et le poids moyen des pupes diminue.Pour chaque régime de température il y a une nette réduction du poids des pupes produites au cours des jours successifs et la teneur en lipides de celles-ci varie également. L'émergence moyenne des adultes à partir de pupes produites dans un élevage à 30° est plus élevée que celle obtenue dans des élevages à 25° et 20°.Tandis que la vitesse du développement, le contrôle du métabolisme des graisses et la production de pupes peuvent être des facteurs primaires intervenant dans le choix de la température d'élevage pour la production de masse de la mouche des fruits, il faudrait aussi considérer les effets de cette température d'élevage sur d'autres aspects de la biologie de l'insecte.
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13.
A direct causal relationship was demonstrated between soil temperature and insect ovipositional propensity. When ovipositional substrates (soils) at 5, 15, 22, 30, 35, and 40°C were presented in multiple treatment (choice) tests with air temperature at 15 or 22°C, onion flies, Delia antiqua (Meigen) (Diptera: Anthomyiidae), laid the most eggs in the 22°C substrate. Only 50 eggs were laid when air temperature was increased to 30°C, as compared to 454 and 1128 eggs at 22 and 15°C, respectively. Thus, an air temperature of 30°C appears to be near the upper limit of onion fly ovipositional activity. The numbers of flies observed (counts taken every 15 min) on substrates ranging from 15 to 40°C were not significantly different. Reduced alightment/arrestment does not explain reduced oviposition on the warmer substrates; however, it may partly explain reduced oviposition on 5°C substrates. The range of substrate temperatures facilitating substantial oviposition was narrower than that eliciting alightment/arrestment on the substrate. The ca. 20°C ovipositional optimum corresponds well with temperatures favoring egg survival and development.
Résumé La température du sol est réglée, dans les pondoirs de D. antiqua, par un thermoblock, tandis que toutes les autres variables, associées au succédané d'oignon servant de stimulus de ponte, sont maintenues constantes. Une relation causale entre température du sol et activité de ponte est mise en évidence. Quand il y a choix entre des substrats de ponte à 5, 15, 22, 30 et 40°C, avec une température de l'air de 22°C, les mouches pondent surtout dans le substrat à 22°C. L'optimum thermique est de 20°C quand la température de l'air est abaissée à 15°C. La ponte n'est que de 50 ufs quand la température de l'air est portée à 30°C, contre respectivement 454 et 1128 ufs à 22 et 15°C. Ainsi, une température de l'air de 30°C paraît proche de la limite supérieure de l'activité de ponte de D. antiqua. Le nombre de mouches observées sur le substrat (toutes les 15 min.) ne varie pas significativement quand la température du substrat est entre 15 et 40°C. La gamme de températures provoquant la fixation sur le substrat est plus large que celle des températures provoquant une ponte importante. L'optimum de 20°C correspond bien aux températures favorables à la survie et à la croissance de D. antiqua.Ce travail montre l'effet important de facteurs abiotiques sur l'acceptation de la plante-hôte.
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14.
Recovery time after experience of a given minimum temperature below torpor threshold is related to the value of that minimum, the length of time spent at that minimum, and the temperature prevailing during the recovery period above torpor threshold. A model can predict recovery time for flies experiencing a given temperature fluctuation if the length of time spent at the minimum is expressed as a proportion of LE50 at that minimum.The model has applications in defining the optimal protocol for chilling insects for use in the Sterile Insect Release Method. The model was confirmed by experiments showing that it is likely that flies will recover from non-lethal frosts before ant predators become active.
Résumé Le temps de récupération après avoir subi une température minimal située au-dessous du seuil d'engourdissement dépend de la valeur de ce minimum, du temps passé à ce minimum, et de la température au-dessus du seuil d'engourdissement pendant la période de récupération. Un modèle mathématique permet d'estimer le temps de récupération après avoir subi une chute de température déterminée, en fonction du temps passé au minimum thermique exprimé comme une fraction du LE50 (temps nécessaire pour tuer 50% des mouches) à ce minimum.Ce modèle s'est trouvé étayé par des observations montrant qu'il est probable que les mouches se remettent des gelées sublétales avant la reprise d'activité des fourmis prédatrices. Ce modèle peut être utilisé pour définir les conditions optimales de refroidissement des insectes utilisés lors de la libération d'individus stériles.
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15.
Alder aphid oviparae produced 14 eggs at constant temperature but in the field the average was 6. Favoured oviposition sites were bud axils and bark crevices. Summer pruning of host trees reduced the availability but not the choice of site. Oviparae reared on leaf regrowth of summer pruned alder were smaller and contained fewer eggs than those on mature leaves. Winter pruning resulted in the loss of 41% buds and 25% eggs. Total winter egg mortality was 65%, being greatest in early winter due to insect predation. Spring egg hatch was synchronised with bud burst and both were affected by temperature.
Distribution des oeufs et mortalité Pterocallis alni
Résumé Les ovipares de P. alni ont pondu 14 oeufs à température constante mais dans la nature la moyenne n'était que de 6. La taille estivale a réduit les disponibilités, mais n'a pas modifié le choix des lieux de ponte. Les ovipares élevés sur feuilles de repousses estivales d'aulnes taillént plus petits et contenaient moins d'oeufs que ceux élevés sur feuilles adultes. La taille hivernale a provoqué la perte de 41% des bourgeons et 25% des oeufs. La mortalité hivernale totale des oeufs a été de 65%, la partie la plus importante, due à la prédation par les insectes, ayant eu lieu au début de l'hiver. L'éclosion des oeufs au printemps était synchronisée avec l'éclatement des bourgeons, tous les deux étant conditionnés par la température.
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16.
Summary Lethal temperatures for 24 hours' exposure below 10 per cent relative humidity were highest for scorpions and camel-spiders and higher for tenebrionid beetles than for crickets, cockroaches and earwigs. The rate of water-loss increased around the lethal temperature: pre-conditioning for 24 hours resulted in enhanced resistance to high temperatures for up to four hours. Heat death in Ocnera bispida is not related to water-loss and excess moisture adversely affected survival. Death was associated with a decrease in blood pH in this species and in the scorpion Leiurus quinquestriatus. It is suggested that heat death cannot be attributed to a single factor, but that in these cases it may be primarily related to the accumulation of acid waste products of metabolism.
Résumé Un nombre d'arthropodes déserticoles a été exposé à des températures létales pendant 24 heures à une humidité relative inférieure à 10%. Les températures létales des scorpions et des Solifuges étaient beaucoup plus élevées que celles des insectes; les températures létales des coléoptères tenébrionides dépassent celles des espèces d'insectes cryptobiontes. Le degré de perte d'eau augmente au voisinage de la température létale.La résistance aux températures élevées est augmentée d'un maximum de 4 heures par une acclimatisation préalable de 24 heures. La mort d'Ocnera bispida par la chaleur n'est pas causée par une perte d'eau; la présence d'un excès d'humidité exerce un effet néfaste sur la survivance. Chez cette espèce et chez le scorpion Leiurus quinquestriatus la mort est associée à une baisse du pH sanguin. L'auteur suggère que la mort ne peut être attribuée à un seul facteur, mais qu'elle est causée, dans le cas des espèces mentionnées, par l'accumulation de produits résiduels acides du métabolisme.
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17.
Functions describing instantaneous development rates in constant and natural temperature regimes were obtained for pupae of the Australian sheep blowfly, Lucilia cuprina (Wiedemann). These were derived using a technique that directly calculates rate functions from development-time observations made under any temperature regime. The functions indicated similar instantaneous development rates for constant and natural temperatures up to 30°C. At 30° the constant-temperature function reached a plateau which was maintained to the constant-temperature thermal limit. The natural-temperature function, however, continued its ascending phase to 34°, and then fell sharply to zero at 42°.The median survival temperatures of pupae for single 7-h exposures, daily 7-h exposures, and continuous exposures to high temperatures were 44.7, 39.2, and 34.4°, respectively. Development was completed at constant 15° but not at 10°. Median survival times at constant 10, 5, 0 and-5° were 4.3, 4.2, 2.5 and 1.5 days. Mortality was slight for single or daily 7-h exposures to-5°, but was complete for all except brief single exposures to-10°.
Influence des températures constantes et de la thermopériode sur le taux de développement et la survie des pupes de Lucilia cuprina
Résumé Des fonctions associant les taux de développement aux températures en conditions constantes et en thermopériodes naturelles ont été établies pour les pupes de L. cuprina. La fonction pour les conditions naturelles décrit les taux de développement immédiat-c'est-à-dire les taux de développement existant en réponse à la température pour chaque laps de temps (en réalité, pour un court intervalle), plutôt que le taux moyen pour une gamme de températures. La fonction pour les températures constantes décrit à la fois les taux de développement instantané et moyen (ceux-ci étant équivalents, en ne supposant pas de réponses spécifiques suivant l'âge en conditions constantes). Les fonctions ont été dérivées en utilisant une technique qui calcule directement les fonctions des taux à partir des observations sur les durées de développement faites dans chaque condition de température.Les fonctions ont révélé des taux de développement instantanés semblables pour les températures jusqu'à 30°C. A 30°C la fonction pour la température constante a atteint un plateau qui s'est maintenu jusqu'à la limite thermique. La fonction pour les thermopériodes naturelles a continué de s'élever jusqu'a 34°C, et alors a chuté brutalement jusqu'à zéro à 42°C. Dans la région d'où les lots de pupes ont été obtenus les températures subies par les pupes dans les zones non ombragées dépassent fréquemment 50°C pendant l'été. Les taux de développement des pupes aux températures au dessus de 30°C, où les fonctions avec températures constantes et thermopériodes deviennent différentes, sont cependant cohérent avec les expériences dans la nature avec L. cuprina. Les températures médianes de survie des pupes pour une exposition unique de 7 h, pour des expositions quotidiennes de 7 h et pour une exposition constante à haute température étaient respectivement de 44,7; 39, 2 et 34,4°C. Par comparaison avec des températures estivales du sol de 50°C et plus, il semble vraisemblable que la mortalité nymphale est un facteur important de déclin des populations de L. cuprina au milieu de l'été.
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18.
Coccinellids were sampled at intervals from natural hibernation sites, to determine mortality in relation to fat content. The fat content was reduced by 65%, while fresh weight remained constant. A 36% mortality occurred in early spring, which was independent of the fat content and attributable to fungal pathogens.
Résumé Des échantillons de coccinelles ont été récoltés à plusieurs reprises au cours de l'hiver, dans leurs lieux naturels d'hibernation, pour déterminer la mortalité en fonction de l'épuisement des réserves en graisse.Le poids frais reste constant pendant l'hibernation, tandis que la teneur en graisse baisse de 65% par un taux moyen de 0,01 mg par jour. On constate que la teneur en graisse dépend du poids sec et de la taille de la coccinelle. Une mortalité de 36% se produit au début du printemps, indépendemment de la teneur en graisse, par suite de l'action de champignons pathogènes.
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19.
Diapause requirements of eggs of Zeiraphera canadensis Mutuura and Freeman (Lepidoptera: Tortricidae) are satisfied by 15 weeks of storage at 0.5°C. Temperatures above 30°C are lethal for this life stage. Temperature-dependent development of larvae fed on white spruce, Picea glauca (Moench) Voss, and of pupae was observed under laboratory conditions. The shortest development times were observed at 28°C. Larvae are tolerant to heat, and developed at 32°C, a lethal temperature for pupae. There was little variation of development rates in all stages of the life cycle, explaining the high degree of phenological synchrony reported in populations of this species. A phenological model was developed and calibrated to simulate the relative abundance of the various immature stages under field conditions. The calibration process suggested that temperature in the microhabitat of eggs may be very close to air temperature, but that temperatures under bud caps where larvae are feeding may rise several degrees above air temperature. For the purposes of planning the timing of survey and control practices, degree-day requirements for 10% egg hatch and 75% adult emergence were estimated based on a 4.4°C threshold temperature.
Résumé La diapause des oeufs de Zeiraphera canadensis Mutuura et Freeman (Lepidoptera: Tortricidae) a été complétée après 15 semaines d'élevage à 0,5°C. A ce stade de leur développement, une température supérieure à 30°C leur est létale. Les relations entre la température et le développement des larves sur l'épinette blanche, Picea glauca (Moench) Voss, et des pupes ont été observées au laboratoire. Les temps de développement les plus courts ont été observés à 28°C. Les larves sont tolérantes à la chaleur et se développent à 32 C, une température qui est létale aux pupes. II y a peu de variabilité des taux de développement de tous les stades immatures. Ceci explique le haut degré de synchronie observé au sein de populations de cet insecte. Un modèle simulant la phénologie a été mis au point et calibré pour prédire la fréquence des divers stades du cycle vital sous des conditions de terrain. La processus de calibration a révélé que la température dans le microhabitat des oeufs est très semblable à celle de l'air, mais que les larves, retrouvées sous l'enveloppe des bourgeons, sont exposées à des températures pouvant excéder celle-ci de plusieurs degrés. Pour des fins de planification du synchronisme entre le développement de l'insecte et des programmes de suivi et de lutte, le nombre de degré-jours nécessaires pour atteindre 10% d'éclosion des oeufs ou 75% d'émergence des adultes ont été estimés à partir d'une température seuil de 4,4°C.
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20.
Laboratory experiments at 16°–30°C showed that the cabbage root fly can only be induced into aestivation during the early part of the pupal stage. The relationship between the percentage of pupae entering aestivation (y) and the average daily temperature (T) was the same under both constant and alternating temperatures. The percentage of pupae entering aestivation at a particular temperature was given by y=13T–255. An additional 13% of the pupae entered aestivation for each degree rise between 20° and 27°C. There was no constant period of arrested development following the induction of aestivation. Aestivating pupae started to develop into flies as soon as the temperature fell below 20°C. The reinduction of aestivation occurred more readily than the initial induction. Insect survival was not reduced after a month of aestivation. The effects of aestivation on forecasting the time of the second (summer) generation of flies are discussed.
Étude au laboratoire de l'estivation de la mouche du Chou (Delia radicum)
Résumé Au laboratoire, à 10°–30°C, l'induction de l'estivation ne peut être obtenue qu'avec des pupes formées depuis peu.Le rapport pourcentage de pupes entrant en estivation (y) température journalière moyenne (T) a été le même, que la température soit constante ou alternée. La relation entre la température et ce pourcentage est donnée par y=13 T–255. Le pourcentage de pupes entrant en estivation a augmenté de 13% pour chaque élévation d'un degré entre 20° et 27°C. L'estivation une fois induite, la période d'arrêt de développement n'est pas constante. Dès que la température est devenue inférieure à 20°C, la formation d'imagos a commencé dans les pupes en estivation. Une nouvelle estivation a été plus facile à provoquer que l'estivation initiale. Le taux de survie des insectes n'avait pas diminué après un mois d'estivation. La discussion examine l'utilisation des conséquences de l'estivation dans la prédiction de la seconde génération d'adultes: génération d'été.
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