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1.
Résumé L'ensemble des recherches faites sur la sexualisation cytoplasmique a permis de montrer que les faits exprimés par les deux premières lois de sexualisation cytoplasmique traduisent des phénomènes très généraux de la sexualité, mais aucune démonstration expérimentale des lois n'avait été tentée.Les rapports intimes qui existent entre les faits exprimés par ces lois permettent de supposer que les deux énoncés traduisent peut être deux aspects différents d'un même phénomène. Il semble donc illusoire de chercher à donner pour chaque énoncé une démonstration indépendante et nous avons essayé d'établir une démonstration d'ensemble.L'état d'avitominose B entraine dans l'organisme une série de perturbations: 1 dans le métabolisme, 2 dans l'énergétique des tissus, 3 dans la respiration intracellulaire. Cet ensemble de modifications se trouve être analogue à celui qu'entrainerait une diminution du rH intracellulaire.D'autre part, la carence en vitamine B entraine une hyperlipémie qui place les cellules dans des conditions de nutrition nouvelles par rapport aux graisses dont elles disposent.L'ensemble de ces perturbations, tant dans la valeur du rH intracellulaire que dans les conditions de nutrition par rapport aux lipides, réalise, d'après les lois de sexualisation cytoplasmique, des conditions particulièrement défavorables à la polarisation des cellules dans le sens mâle.Or, on peut constater que, dans l'organisme ainsi modifié expérimentalement par l'avitominose, parmi toutes les cellules, ce sont les cellules polarisées dans le sens mâle qui se trouvent être le plus rapidement et le plus fortement frappées.Le rapprochement de ces diverses constatations nous parait constituer une véritable démonstration expérimentale des deux lois de sexualisation cytoplasmique.Une partie des recherches concernant la sexualisation cytoplasmique a été faite avec un microscope offert par la fondationElizabeth Thompson. L'auteur exprime sa gratitude au comité de cette fondation.  相似文献   

2.
Zusammenfassung Fussend auf der Quantentheorie und Wellenmechanik, sowie unter Berücksichtigung der Topik desAristoteles und der SystemeDrieschs undWhiteheads studiert der Autor die Resultate welche die biologische Forschung bis jetzt bezüglich der Erscheinungen der biologischen Induktion, der Stimulation und der Vererbung geliefert hat und umreisst schliesslich eine allgemeine Theorie dieser Erscheinungen, welche sie durch interne, normative Beziehungen zwischen verschiedenen Ganzheiten erklärt. Diese Ganzheiten haben als solche keine Existenz im Raum, sondern nur in der Zeit in derselben Weise wie bei einem grammatikalischen, esthetischen oder ethischen Gesetz. Diese Gesetze äussern sich mittels Symbolen, welche ihren Sinn repräsentieren und die Substanzen, welche Induktion, Stimulation oder Vererbung bewirken, werden als solche Symbole aufgefasst, welche ihre Wirkung nicht produzieren, sondern sie nur in einer andern Ganzheit induzieren, einer Ganzheit, welche auf das betreffende Symbol anspricht und welche dem Gesetz, das durch das Symbol repräsentiert wird, gehorcht.
Résumé Se basant sur la théorie des quanta et sur la mécanique des ondes, ainsi que sur la Topique d'ARistote et les systèmes philosophiques deDriesch et deWhitehead, l'auteur examine les résultats biologiques relatives aux phénomènes de l'induction, de la stimulation et de l'activité des gènes acquis jusqu'à présent et propose en conclusion l'esquisse d'une théorie générale de ces phénomènes qui les explique par des relations internes et normatives ayant lieu entre différentes entités. Ces entités ont une existence non spatiale, mais temporelle, semblablement à des lois grammaticales, esthétiques ou éthiques. Ces lois s'expressent par le moyen de symboles qui représentent leur sens et les substances inducteurs, stimulateurs ou géniques sont interprêtées comme étant des symboles semblables qui ne produisent pas leurs effets mais les induisent seulement dans une autre entité qui répond au symbole et obéit à la loi normative que ce dernier représente.
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3.
L'écologie     
Conclusions L'écologie cherche à connaître les conditions d'existence des organismes par rapport à leur milieu physique et biotique.D'une part elle étudie les exigences des organismes envers le milieu et leurs adaptations à celui-ci; d'autre part, elle recherche comment le milieu influe sur les organismes. Or, puisque chaque être vivant fait partie du milieu des autres et que sa présence et son activité modifient le milieu physique et biotique pour lui-même comme pour les autres, l'écologie est amenée à considérer en général les interactions entre les facteurs constitués par les organismes ainsi que par les agents inorganiques.Toutefois, la complexité de ces interactions est telle qu'à leur analyse physico-chimique s'opposent des difficultés partiellement insurmontables. La raison en est que les multiples facteurs écologiques n'agissent pas isolément, mais en combinaison dans l'espace et dans le temps. Il en résulte des états d'équilibre relatif dont seule l'expérience multiséculaire de la nature nous révèle l'aboutissement avec certitude. Aussi bien l'écologiste qui veut en tenir compte commence-t-il ses recherches par le relevé qualitatif et quantitatif des groupements biologiques spontanés. Le chercheur les reconnaît à la constance relative de leur composition, dans les divers endroits où ils sont réalisés, constance résultant de l'équilibre relatif entre les facteurs. C'est exactement pour de tels groupements queMöbius à créé le terme de biocénose. Ainsi la biocénotique peut être considérée comme la propédeutique d'une écologie justement conçue; elle ne serait que préparatoire et provisoire si la Science pouvait un jour entièrement éclaircir le jeu des forces écologiques.Enfin en essayant de bien situer l'écologie dans le cadre des disciplines biologiques voisines, il est utile d'avoir présent à l'esprit l'ébauche suivante d'un nouveau système de la biologie:
Zusammenfassung Oekologie, Ethologie, Biogeographie und Biocoenotik werden noch häufig miteinander verwechselt. Diese Disziplinen lassen sich an Hand des Schemas unterscheiden, das in vorstehenden Schlussfolgerungen wiedergegeben ist. Dieses Schema ist zugleich ein Beitrag zu einem neuen, dreidimensionalen System der Biologie.Speziell wird auf den methodischen Unterschied zwischen Oekologie und Biocoenotik eingegangen. Die Biocoenotik kann als eine unentbehrliche Vorstufe der Oekologie angesehen werden, insofern sie die natürliche Vergemeinschaftung der Organismen als ein grossartiges, von der Natur selbst eingesetztes Experiment betrachtet. Ihre Aufgabe ist es, dass Ergebnis dieses Experiments zu beschreiben. Die Lebensgemeinschaften, die sie dabei unterscheidet, sind gekennzeichnet durch ihre häufig wiederkehrende, einigermassen konstante Zusammensetzung, entsprechend den relativen Faktoren-Gleichgewichten, welche sich im Laufe der Jahrhunderte einstellen. Die Lebensgemeinschaften sind aber viel leichter zu erfassen als die Faktoren-Gleichgewichte und deren biologische Bedeutung. Ihre Abgrenzung erfolgt, — wie in der Taxonomie diejenige der Arten — auf Grund objektiver Diskontinuitäten. Letztere gründen sich in der Biocoenotik auf die sich ökologisch ersetzenden (vikariirenden) Arten. Sie sind die Prüfsteine für die Grundeinheiten der Biocoenotik: die Biocoenosen.] Soweit die Organismen einer Biocoenose aufeinander einwirken, stellen sie gleichzeitig einen Konnex dar; und soweit sie in ihren Ansprüchen oder Anpassungen übereinstimmen, gehören sie auch zum gleichen Lebensformen-Typ. Es ist praktisch, drei Grössenordnungen von Biocoenosen zu unterscheiden: Synusien, Assoziationen und Biome.

L'écologie
Postface Dans mes Analyses et synthèses biocénotiques (1947a), j'ai discuté la conception d'Agrell, qui se base sur des stations-types préétablies. Depuis,Agrell a consacrédeux articles polémiques (Opusc. ent., Lund, 1948) à soutenir que ses Bestandestypen s'identifient aux groupements écologiques tels que je le conçois.Il n'en est rien.Dans l'idée d'Agrell, tous les relevés provenant d'un même type de stations font a priori partie d'un même Bestandestyp. La conséquence en est que certaines espèces en réalité vicariantes, c'est-à-dire ne cohabitant jamais -Tetracanthella wahlgreni etFolsomia brevicauda, par exemple — se trouvent réunies, sur le papier, dans une même communauté. Au contraire, dans mon système, les relevés faits dans un certain type de stations (AH par exemple, cf.Gisin, 1947a) sont classés tantôt dans un groupement (2b), tantôt dans un autre (3a), d'après leur composition faunistique servant d'indicateur. Cette différence explique amplement les discordances qu'Arell relève entre mes indices d'abondance-fréquence et les siens, discordance prouvant une fois de plus que les Bestandestypen et les groupements ne sont pas la même chose. Agrell qualifie de résidu l'un de mes groupements. Or, rien n'est plus résiduel queson Bestandestyp 2, qui représente l'ensemble de 7 stations sur 10, celles qui restent après avoir retranché les 3 stations de milieux extrêmes. Agrell reproche à ma méthode de laisser inclassables certains relevés dépourvusd'espèces vicariantes. Cela n'est-il pas préférable au classement de force de relevés, fragmentaires et aux calculs hasardeux basés sur des unités hétérogènes?Enfin,Agrell estime que le choix des espèces caractéristiques est subjectif. J'ai: montré qu'il ne l'est ni plus ni moins que celui des caractères spécifiques en taxonomie.
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4.
Summary Certain palaeontological observations, of which some examples are described do not fit in either a Lamarckian or Darwinian view of evolution. Both of these mechanistic theories assume small character-changes in the end stages of ontogeny, which gradually (whether through adaptation or selection) accumulate and are supposed thus to have given rise to all evolutionary progress. Palaeontology, on the other hand, teaches that the fundamental qualitative changes in the morphological plan have taken place in a saltatory manner in more or less young ontogenetic stages (Law of early ontogenetic origin of types). Only after the morphological plan has been built in a phylogenetic phase of explosive, early ontogenetic changing of type follows a phase of stable, continous evolution. It is shown that, theoretically, no other kind of fundamental change in the organisation is possible and that many, otherwise inexplicable, phenomena, the lack of transition forms, the question of ancestral stocks, the ideas of the biology of organisms as a whole etc., find their explanation by this means.
Résumé Il y a certaines observations paléontologiques, dont l'auteur donne plusieurs exemples, et qu'on ne pourrait mettre d'accord avec un aspect larmarckienne ou darwinienne. Ce sont là des essais mécaniques d'explication, qui comptent avec de petites modifications de caractères dans les derniers stades de l'ontogénèse qui se totalisent peu à peu (soit par adaptation soit par sélection) et devraient ainsi avoir occasionné tout progrès phylogénétique. Par contre, la paléontologie enseigne que les transformations qualitatives profondes des plans de constructions ont évolué par bonds dans les stades ontogénétiques plus ou moins juvéniles (La loi de la formation des types dans les stades juvéniles de l'ontogénie). C'est seulement après que les types ont été formés dans une phase phylogénétique de transformation explosive et juvénile, qu'une phase d'une évolution stable et continue vient s'y ajouter. On démontre que théoriquement un autre procédé d'un changement profond d'organisation est absolument impossible et que de cette manière un grand nombre de phénomènes par ailleurs incompréhensibles trouvent de la sorte leurs explications: par exemple l'absence des formes transitoires, la question des formes de racines, les conceptions de la biologie du tout de l'organisme etc.
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5.
Summary Great theoretical value has always been attached toBoveri's discovery as regards chromatin diminution inAscaris, for this discovery appeared to expose the mechanism causing the propagative cells, in which all chromatin remains, to originate an entirely new organism, whereas the soma cells of which the chromosomes have been diminished are only capable of specific differentiation.Boveri was further able to show that, not only do the soma and propagative nuclei differ from each other, but that rather the character of the cell-plasma decides whether the nucleus diminishes or not. Considerations are brought forward to prove that the diminisher hypothesis as given byKing andBeams, is untenable. Diminution has always been supposed to result in the loss of the totipotence of the diminished nuclei. In the light of recent chromosome research this course of events does not seem probable. Therefore the following theory is brought forward: When the egg ofAscaris is split, blastomeres originate, which differ from each other as to the plasma. In proportion to the quality of the surrounding plasma, now these now other genes of the totipotent nucleus react in different cells, thus originating the specific differentiation of the cell in question. This cooperation between plasma and nucleus is, however, at first obstructed in the large collective chromosomes ofAscaris, by the presence of their thickened ends. In order to keep up this cooperation a certain quality of plasma is needed, situated in a certain horizontal zone of the egg. As soon as, in the course of the division, nuclei come to rest in different zones, a diminution occurs, and differentiation of the cells in question sets in. Towards the end of the embryonic development the ends of the chromosomes are lost in the propagative cells, and also in these cells differentiation occurs.
Résumé On a toujours attribué une haute signification théorique à la découverte deBoveri, de la diminution des chromatines chez l'ascaris puisqu'elle semblait expliquer le mécanisme qui cause que les cellules propagatrices où séjourne, la totalité de l'effectif des chromatines, font de nouveau sortir d'elles-mêmes un organisme entier, pendant que les cellules somatiques, dont les chromosomes ont été diminués, ne sont plus capables qu'à produire une différenciation spécifique. De plus,Boveri a pu démontrer, que les noyaux somatiques et propagateurs ne sont pas, à peu de chose près, différents, mais que c'est bien plus la qualité du plasme des cellules qui décide si les noyaux qui leur ont été distribués, diminuent ou non. Des arguments sont apportés, qui démontrent que l'hypothèse du diminisher échafaudée parKing etBeams est insoutenable. En général on s'est représenté. l'action de la diminution de telle façon que la totipotentialité des noyaux diminués a été perdue. Cependant, le fait n'est pas acceptable quand on le considère à la lumière de la recherche moderne sur les chromosomes. Par conséquent, nous proposons l'opinion suivante: Dans l'uf de l'ascaris, des blastomères différant plasmatiquement les uns des autres prennent naissance pendant le fendage. Selon l'état du plasme environnant, dans les cellules individuelles on voit réagir certain gène, dans les autres un autre gène du noyau totipotentiel, causant ainsi la différenciation des cellules visées. Cette collaboration entre le plasme et le noyau est cependant premièrement bloquée dans les grands chromosomes collectifs de l'ascaris par la présence des bouts de chromosomes épaissis. Pour leur conservation une certaine qualité de plasme est requise qui se trouve dans une zone horizontale déterminée de l'uf. Dès que, dans le procès du fendage, des noyaux arrivent dans d'autres zones du plasme, la diminution a lieu, et la différenciation des cellules visées s'opère. Cependant, après la conclusion du développement embryonal, les bouts des chromosomes se perdent dans les cellules propagatrices et la différenciation a lieu aussi dans ces cellules.
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6.
Zusammenfassung Man unterscheidet in der Organisation verschiedener Tiere folgende Kategorien von Parallelismen: 1) die Homologien, welche auf einen gemeinsamen Ursprung der betreffenden Organe hinweisen, 2) die Analogien, die als eine Folge von ähnlichen Funktionen (typische Analogie) oder der äusseren Wirkungen (Isomorphie) sekundär enstehen, 3) die Homomorphien, wodurch ich diejenigen Übereinstimmungen im Körperbau von verschiedenen Tieren bezeichne, welche auf Grund der allgemeinen Gesetze der Morphogenese zustande kommen. Das Studium der Homologien ist historischer Art, dasjenige der Homomorphien und Analogien typologischer Art.Man kann weiter unterscheiden: eine allgemeine Homomorphie, welche sich im Tierreiche überall, wo dazu günstige Bedingungen vorhanden sind, offenbart (z.B. trajektorielle Strukturen), und eine spezielle Homomorphie, welche als eine der Möglichkeiten bei einer begrenzten Anzahl von Tierformen hervortritt (z.B. die Komplexaugen neben den anderen drei Haupttypen von Sehorganen). Die Grenze zwischen diesen beiden Kategorien ist natürlich nicht sehr deutlich, ebenso wie manchmal die Grenze zwischen Homologien, Homomorphien und Analogien. Alle diese Erscheinungen beruhen letzten Endes auf morphogenetischen Gesetzen, können also als Homomorphien im weitesten Sinne des Wortes bezeichnet werden.
Sur l'homomorphie générale et spéciale
Résumé Dans l'organisation des divers animaux on peut distinguer les parallélismes suivants: 1) les homologies qui dénotent la descendance des porteurs des organes similaires d'un seul et même ancêtre, 2) les analogies qui se forment sous l'influence d'une fonction analogue ou des mêmes conditions extérieures, et 3) les homomorphies qui représentent la manifestation des propriétés fondamentales de la substance animée. Les homologies sont les phénomènes de l'ordre historique, tandis que les homomorphies et les analogies doivent être étudiées d'après une méthode typologique.Si une similitude homomorphique des formes se manifeste partout dans le règne animal ou au moins dans tous les cas où se trouvent des conditions favorables, il faut parler d'une homomorphie générale (p. ex. les structures trajectorielles). Si au contraire on observe le parallélisme seulement dans les cas isolés, comme p. ex. les yeux composés chez les Arthropodes, les Vers et les Mollusques, il faut parler de l'homomorphie spéciale. La limite entre ces deux catégories des phénomènes n'est pas très précise. De même il est difficile parfois de définir strictement si nous avons à faire à une homologie, à une analogie ou à une homomorphie. Tous ces phénomènes-là dépendent finalement des lois morphogénètiques. C'est pourquoi qu'on peut les indiquer comme des homomorphies dans le sens le plus étendu de ce mot.
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7.
Summary The Yellow oat-grass association (Trisetetum flavescentis) was already described and referred to by several authors in Switzerland, originally by Stebler & Schroeter in 1892. It represents the manured meadows for haymaking in the mountain regions (Alps and Jura) in the widest sense. Similar associations are found in the Pyrenean Mountains (Braun-Blanquet), the French Central Mountains (Braun 1915, Luquet 1926), the Vosges (Issler 1936), the German Central Mountains Tüxen 1937) and the Carpathian Mountains (Szafer, Pawlowski & Kulcynski 1923 & 1927).200 grassland inventories forming the basis of the investigations were made in 15 different regions within the area, in which Yellow oat-grass associations occur. Method and evaluation of results are based upon the principles of the School Zurich-Montpellier (Braun-Blanquet 1928).A comparison of the said inventories from the different regions mainly led to the distinction of geographical variants. Three distinct types thereof are to be considered as subassociations (Jura, Tavetsch, Lower Leventina); the other types may be divided into two groups, viz. the Yellow oat-grass associations of the northern Lower Alps on the one hand and that of the central alpine valleys on the other hand (see Table I). However, the rather large number of common characteristic species as well as the permanent companion species indicate that all studied grassland samples belong to one and the same association, viz. the Trisetetum flavescentis (see Table II).The most important factors affeting the formation of the Yellow oat-grass association are humidity, manuring, utilization and altitude. Soil conditions, exposition, slope etc. are factors mainly responsible for the establishment of subassociations and facies within the association.In the last chapter, the author gives a survey on the systematic position and the sociological subdivision of the Trisetetum flavescentis.
Resume La prairie de l'avoine jaunâtre (Trisetetum flavescentis) fut décrite par Stebler et Schröter en 1892. Depuis, plusieurs auteurs suisses l'ont mentionnée ou décrite. Elle représente plus ou moins toutes les prairies grasses de l'étage subalpin des montagnes (Jura, Alpes). Des associations semblables se rencontrent dans les Pyrenées (Braun-Blanquet), dans le Massif central de France (Braun 1915, Luquet 1926), dans les Vosges (Issler 1936), dans les montagnes de l'Allemagne centrale (Tüxen 1937) et dans les Carpathes (Szafer, Pawlowski et Kulcynski 1923, 1927).200 relevés de 15 régions différentes, répandues dans une grande partie de la Suisse, forment la base de notre recherche (v. fig. 1, p. 3). La méthode et l'évaluation des résultats suivent les principes de l'école Zurico-montpelliéraine.La comparaison des relevés, arrangés en tableaux pour chaque region, menait tout d'abord à la distinction de races géographiques. Trois de ces variantes sont si bien caractérisées qu'on doit les considérer comme sous-associations (Jura, Tavetsch, Tessin). Les autres types sont divisés en deux groupes: les prairies à Trisetum flavescens des Préalpes septentrionales et celles des vallées des Alpes centrales (v. tableau I). Le grand nombre d'espèces communes, caractéristiques et compagnes, prouvent que tous nos relevés appartiennent à la même association, au Trisetetum flavescentis (v. tableau II).Les facteurs les plus importants qui décident de l'existence de l'association sont l'altitude, l'humidité (du sol), la fumure, et le fauchage. Les autres facteurs édaphiques, l'exposition, l'inclinaison etc. président à l'individualisation des sous-associations et des faciès.Le dernier chapitre donne un aperçu de la position systématique et de la subdivision du Trisetetum flavescentis.In der vorliegenden Abhandlung sind die Vegetationsaufnahmen aus der vom Verfasser 1947 publizierten Arbeit: F. Marschall: Die Goldhaferwiese (Trisetetum flavescentis) der Schweiz. Eine soziologisch-oekologische Studie. Beitr. z. geob. Landesaufnahme der Schweiz 26, Bern 1947 verwertet. Eine grössere Zahl von eigenen weiteren Aufnahmen sowie eingehenderes Literaturstudium machten indessen eine wesentlich andere Darstellung und Auswertung der Ergebnisse nötig, insbesondere was die Charakterartenliste und die Einteilung der Untereinheiten anbetrifft.


Manuskript eingegangen am 2-XII-1949.  相似文献   

8.
Resume et conclusions La région de Beni-Ounif, Figuig et Ben Zireg, cadre de cette étude, est située sur la bordure méridionale de l'Atlas saharien et supporte un climat de caractère désertique par la faiblesse et l'irrégularité des précipitations. A la suite de périodes relativement pluvieuses, l'apparition de nombreuses thérophytes, l'acheb des indigènes, permet de faire l'étude des groupements végétaux dans leur développement optimum. Trois types de stations se montrent particulièrement riches en ces espèces: les stations cultivées et rudérales, les dépressions sablo-limoneuses du reg et des plateux rocheux, les pentes rocailleuses des montagnes et des collines. Seuls les deux dernières stations ont fait de notre part l'objet d'une étude phytosociologique approfondie.o| li]I.|Les d\'epressions non sal\'ees portent trois associations: association \`a Althaea Ludwigii et Trigonella anguina des cuvettes limoneuses, association \`a Lotononis dichotoma des ravinelles, association \`a Asphodelus pendulinus des talus sableux. La composition floristique et le sol de la premi\`ere sont nettement diff\'erents des deux autres, qui sont au contraire tr\`es voisines. Ce sont les diff\'erences dans la teneur en limon et argile qui sont d\'eterminantes dans la localisation respective des trois groupements: 28% en moyenne d'\'el\'ements fins (limon + argile) dans l'Althaeetum, 8,5% dans le Lotononidetum, 5% dans l'Asphodeletum; c'est pour une teneur de l'ordre de 12% d'\'el\'ements fins que s'\'etablit le passage entre l'Althaeetum et le Lotononidetum. La teneur plus \'elev\'ee en argile du sol du premier groupement lui conf\`ere une plus grande hygroscopicit\'e; mais tr\`es rapidement, apr\`es les pluies, la teneur en eau du sol des trois groupements dans les 10 cm sup\'erieurs se r\'eduit \`a l'eau d'hygroscopicit\'e. Les autres caract\`eres d'habitat sont semblables.Aux abords des habitations, l'enrichissement en matières organiques provoque le remplacement de ces associations par un groupement nitrophile, l'association à Peganum Harmala et Bassia muricata.L'élément floral saharo-sindien est nettement prédominant dans tous ces groupements, avec une représentation de 2,5 à 5 fois plus grande que celle de l'élément méditerranéen. li]II.|Les associations des pentes rocailleuses, contrairement aux pr\'ec\'edentes, sont peu sensibles \`a la nature physico-chimique du substratum, mais sont \'etroitement li\'ees aux conditions climatiques locales, elles-m\^emes sous la d\'ependance de l'exposition, de l'altitude et de la situation g\'eographique de la cha\^ine. Ce caract\`ere est particuli\`erement apparent dans le territoire que nous avons \'etudi\'e, par sa situation \`a la limite commune de deux groupes d'associations de rocailles, l'un saliarien que nous appelons l'Atractyletalia babelii, l'autre m\'editerran\'een, le Sedetalia altissimae.Au premier appartient l'association à Morettia canescens et Fagonia longispina qui colonise les rocailles des chaînons les plus méridionaux de l'Atlas saharien occidental jusqu'à une altitude de 1100 m eviron, à l'exception des fortes pentes d'exposition Nord où se localise une association à Senecio flavus et Centaurea incana var. Saharae, groupement moins héliophile, plus riche en formes méditerranéennes et faisant transition avec le Sedetalia.Le groupe du Sedetalia est représenté au Dj. Antar de Ben Zireg par l'association à Ferula Cossoniana et Leucanthemum paludosum var. gaetulum, avec une sous-association à Aristida Adscensionis aux expositions Sud à Est et Ouest depuis 1100 m jusqu'à plus de 1600 m, et une sous-association à Rosmarinus officinalis aux expositions Nord au dessus de 1500 m. Ces deux groupements ont le même aspect de steppe montagnarde d'halfa, mais les formes sahariennes sont encore dans la proportion de 4/5 des espèces méditerranéennes dans le premier, alors qu'elles n'y sont plus que dans la proportion de 1/2 dans le second. La présence du Juniperus phoenicea dans la sous-association rosmarinetosum, son absence totale de la sous-association aristidetosum donnent une indication précieuse pour des essais éventuels de reboisement. On trouvera dans Vegetationsbilder, 6 (4), T. 19, une photographie d'un de ces groupements de rocailles, le Morettieto-Fagonietum anabasidetosum, au pied d'une pente occupée par le M.-F. artemisietosum. Au fond, la face Sud de l'Antar, couverte dans sa plus grande partie par le Feruleto-Leucanthemetum.Les caractères physico-chimiques du substratum ont peu d'influence sur la composition des groupements; seuls les grès tendres, dont les éboulis se colmatent de sable, ont permis dans le Morettieto-Fagonietum l'établissement de psammophytes qui différencient une sous-association à Aristida floccosa.Ainsi, alors que les groupements sahariens des surfaces planes ou de faible relief sont des indicateurs très sensibles des conditions édaphiques, ceux des montagnes se montrent le plus influencés par les facteurs climatiques locaux. Une étude des associations de rocailles étendue à l'ensemble de l'Atlas saharien occidental permettrait sans doute d'établir avec une grande précision les moindres variations du climat dans cette région et apporterait une documentation précieuse pour une mise en valeur de ces territoires déshérités.Reçue par la rédaction le 14.XII.1951.  相似文献   

9.
Summary The laws of vital phenomena are to a high degree in contradiction with the principle of absolute causality. Hence the problem arises, what position and rank this principle occupies in biology. The solution of this contradiction might be found in a relaxation of the principle, or in its broadening or by means of the addition of a second heterogenic principle of relationship.The first solution is today rather in favour, since modern physics, especially based on the Uncertainty Principle ofHeisenberg, is inclined to repudiate a strictly causal connection of events in the realm of atomic processes.Broadening of the principle of causality is aimed at to a certain degree by the doctrine of holism. According to this theory biological axioms, principles, and laws are the more universal and the more widely valid, and physical laws should be deduced from them by simplification (Ad. Meyer).The third way is followed by vitalistic doctrines.The trialistic doctrine, presented by the author, represents a development of vitalistic theory. It does not content itself with establishing the fact of the heterogenity of causal and biological laws, but tries to go beyond this and to understand, why the laws of the organic world are of just their special kind and not of another. Moreover it attempts to fit these distinctive principles into the universal system of laws. The trialistic theory divides the wholeness of events into three fundamentally different dimensions, into matter, psyche and spirit, or within the special sphere of living forms into: material, vital and organismic dimension. While in the material sphere the causal connection remains dominant, solely and absolutely, the spiritual or organismic dimension is ruled by finality, a mode of connection of a special kind, caracterized by an active influence on the present of the non-realised future.The interposition of a neutral sphere opens up the possibility of understanding the interweaving of causal and final laws, without interference with one another.
Résumé Les lois des apparitions de la vie sont difficilement conciliables avec le principe d'une causalité absolue. Le problème se pose donc de savoir, quelle position et quel rÔle ce principe occupe en biologie. La solution de cette contradiction pourrait Être trouvée dans une atténuation ou un élargissement de ce principe comme tel ou par l'adjonction d'un second principe de liaison hétérogène.La première solution est en faveur aujourd'hui depuis que la physique moderne, s'appuyant principalement sur la Unsicherheitsrelation deHeisenberg, tend à renoncer à une liaison strictement causale de ce qui se passe dans le domaine des processus atomiques.L'élargissement du principe de causalité est désiré en un certain sens par le holisme. Selon cette théorie les axiomes, les principes et les lois biologiques sont plus universels et d'une valeur plus étendue et il faut en déduire les règles physiques par dérivation simplifiante (Ad. Meyer).La troisième solution nous est donnée par les doctrines vitalistes.La théorie présentée par l'auteur, appelée trialiste, met en avant un développement de la doctrine vitaliste. Il ne lui suffit pas de s'arrÊter à l'existence de l'hétérogénité des lois causales et biologiques, mais elle veut aller plus loin, afin de savoir pourquoi les règles déterminant l'organisme sont telles et pas autres. Et elle cherche à mettre de l'ordre dans les principes déterminants en les ènboÎtant dans le système universel de lois. La théorie trialiste divise l'univers des événements en trois dimensions qui sont: Matière, Psyché et Esprit, ou dans le domaine spécial des formes vivantes en: Matière, Dimension vitale et Dimension organismique. Tandis que dans la dimension matérielle la connexion causale est uniquement et absolument valable, la dimension spirituelle ou organismique est régie par la Finalité, un mode de connexion d'un genre spécial, désigné par une influence active du présent par le futur non réalisé.L'interposition d'une sphère neutre nous amène à la possibilité de comprendre l'enchaÎnement es lois causales et finales sans que les unes détruisent les autres.
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10.
Biotypology     
Résumé L'auteur décrit dans cette troisième communication le développement de la constitution humaine basant sur une différente célérité de la différentiation des parties élémentaires du corps. L'isodromie des parties homologiques de deux individus est représentée par la même célérité de leurs phases de la différentiation, l'anisodromie par une célérité différente. Chapitre B: Le phénomène de la retardation ou de l'accélération de la differentiation est appliqué à une classification typologique de l'homme. Chapitre C: La normalité biologique est le degré moyen de la célérité de la différentiation des parties élémentaires. Chapitre D: Le phénomène de la célérité différente des phases de la différentiation est appliqué au domaine de l'écologie de l'homme. La normalité de la biocénose (van der Klaauw) et la normalité biologique de la constitution d'un groupe d'individus représentent la base typologique de la personalité de l'homme.  相似文献   

11.
Summary Kleinschmidt's definition of the Weltformenkreis as the smallest systematical unit of affinity removes any danger of obliterating the type and at the same time opens a way for judging the superior taxonomic groups on principle differently from the subspecies of a Formenkreis.It is demonstrated that the characters of geographical subspecies (Rassen) are characters of apparent shaping, those of the species however are characters of construction and qualitative and autonomic ones. It is the type differentiating in quality that justifies the definition of species. As the characters of type do not necessarily appear gradual and quantitative, but are qualitative, the types cannot be derived from one another, unless they are conceived by the common superordinate idea of the superior systematical category next in order.The distinct division of species is opposed to the hypothetical continuity of the pedigree, which cannot be explained by a consanguinity nor by an affinity based on reproduction. The pedigree, however, is an expression of the spiritual order of nature, in which the types appear as units hierarchically graduated and determined by entelechy, not by dead matter.Within the systematical units there is a creative evolution, steadily pursuing its aim and leading from the primitive stage to the differentiated one, beginning with a juvenile phase, which is followed by orthogenetic maturity and, finally, by the aged stage with its detypification. The adaptation to the environment (biotope) may be also proved for the primitive forms and is an organic part of the whole design of the world for them as well as for the specialized and differentiated forms. — The formation of new types cannot be explained in a merely mechanical way; everywhere, even in the gens and genoms, we state ingenious modifications, which do not only bring about a reaction of a single modification to the whole, but operate from the whole. Since the origin of man, since the tertiary formation, the creation of species has completely ceased. There are only alterations of subspecific character.After a digressive treatise on the fundamental difference of man and animal in order to explain the type the superior systematical categories are characterized as spiritual realities. It is especially for the genus that a revision is necessary. The reality of the common origin of certain species within the genus is not based on reproduction (as it is the case in the Formenkreis), but on the superior totality comprising the species. Individuals can be conceived by the character of the species, species by the character of genus only. This is an evidence for the methodicalness of creative nature. It excludes any evolution of the genus from bottom to top, which is irregular, accidental or immediately formed by environment. From this we derive the comprehensive right of a natural system which now is more than mere classification.
Résumé Kleinschmidt qui donne une définition du Weltformenkreis comme la plus petite unité d'affinité systématique, déjoue le danger d'oblitérer le type et offre, en même temps, la possibilité de juger les groupes taxonomiques supérieurs par principe différemment de la souspèce d'un Formenkreis.Nous démontrons que les caractères des souspèces géographiques sont des caractères du façonnement extérieur, tandis que ceux de l'espèce sont des caractères de la construction d'une manière qualitative et autonome. Le type différent en qualité justifie seulement la définition de l'espèce. Comme les caractères du type n'apparaissent pas nécessairement graduels et quantitatifs, mais sont au contraire, qualitatifs, les types ne se dérivent pas l'un de l'autre, à moins qu'ils ne soient compris par la commune idée supérieure du plus sublime groupe systématique.La division distincte des espèces s'oppose à la continuité hypothétique de la généalogie, qui ne s'explique pas par une consanguinité ni par une affinité se fondant sur la reproduction, mais qui est plutôt une expression du régime spirituel de la nature, dans lequel les types se présentent comme des unités rangées hiérarchiquement et réglées par l'entéléchie et non par la matière.Dans les unités systématiques il y a une évolution créatrice qui tend continuellement à son but et mène de la phase primitive à la phase différentiée commençant par un état juvénile, qui est succédé par la maturité orthogénétique et enfin par l'âge avec sa détypification. L'adaptation au milieu est démontrée pour les formes primitives et représente un élément organique du grand projet mondial pour elles aussi bien que pour les formes spécialisées et différentiées. — La formation de types nouveaux ne s'explique pas seulement d'une manière mécanique; partout, même dans les genes et les genomes, nous observons des transformations ingénieuses, qui ne sont pas seulement une réaction d'une modification particulière à l'ensemble, mais un effet de l'ensemble. Depuis l'origine de l'homme, depuis la période tertiaire la formation d'espèces est complètement finie. À présent il n'y a plus que des variations d'un caractère souspécifique. Après un traité digressif sur la différence essentielle de l'homme et de l'animal pour expliquer le type les groupes systématiques supérieurs sont caractérisés comme des réalités spirituelles. C'est surtout pour le genre (genus) qu'une révision est nécessaire. La réalité de la racine commune de certaines espèces dans le genre (genus) ne se fonde pas sur la reproduction (comme cela est juste pour le Formenkreis), mais sur la totalité supérieure qui implique toutes les espèces. Des individus sont compris par le caractère d'espèce, des espèces seulement par le caractère de genre. C'est une preuve de la méthode de la nature créatrice. Elle exclut une évolution de genre du bas en haut, qui est irrégulière, faite par hasard ou formée directement par le milieu. De là nous dérivons le droit compréhensible d'un système naturel, qui est désormais plus qu'une simple classification.
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12.
Résumé La distribution du butin a été suivie individuellement chez des ouvrières deFormica polyctena à l'extérieur de la colonie. On a observé la distribution effectuée par une ou plusieurs butineuses nourries avec du miel radioactif, après des temps variables.Malgré la distribution d'une quantié de nourriture surabondante, on constate que certains individus en reçoivent plus que d'autres. Il n'y a jamais égalité de niveau entre tous les individus d'un groupe.Les ouvrières de l'extérieur, qui avaient reçu une large part au commencement de la distribution, en avaient encore la plus grande partie à la fin de l'expérience, tandis que celles qui n'avaient rien ou reçu une part minime ne les égalaient jamais.Le même résultat a été observé quand la nourriture a été offerte directement sans passer par l'intermédiaire de butineuses. En utilisant des ouvrières ramassées à l'extérieur dans la forêt six heures avant l'expérience, on trouve également les mêmes résultats. Les ouvrières ayant reçu une ration importante refusent de la nourriture aux quémandeuses quand on les met au contact d'ouvrières affamées. Après avoir séparé les fourmis ayant reçu une grosse ration et celles n'anyant rien rçu ou très peu, il est apparu que ces dernières n'étatient pas aussi actives en ce qui concerne la distribution. Cela est également vrai quand on offre le butin directement sans l'intermédiaire des butineuses.L'observation individuelle et l'enregistrement du butin montrent que l'activité des quémandeuses ne provoque pas toujours la transmission. Celle-ci peut être refusée par des fourmis au jabot bien rempli.Le comportement des fourmis ayant reçu une grande ration et conservant la nourriture dans leur jabot est discuté en liaison avec la circulation de la nourriture dans le nid et l'existence d'insectes «transporteurs».
Zusammenfassung Bei der individuellen Verfolgung von radioaktiven Futter bei kleinen Gruppen von Aussendiensttieren der AmeiseFormica polyctena treten auch bei optimalem Futterangebot unterschiedliche Mengen bei den Einzelindividuen am Ende ciner Verteilung auf.In den Aussendienstgruppen haben meist die Tiere, die am Anfang viel erhalten haben, auch am Ende noch das meiste, oft noch stark gesteigert, während Tiere, die am Anfang wenig erhalten hatte, auch am Ende noch am tiefsten lagen. Eine Parallelität zeichnet sich klar ab; auch bei freier Aufaahme von Futter.Frisch gefangene Aussendiesttiere zeigten ein ähnliches Ergebnis.Die von Einzeltieren aufgenommene grosse Menge wird auch beim Zusetzen hungriger Tiere oft im Kropf zurückbehalten.Wurden in einer Gruppe Tiere, die viel, und Tiere, die wenig erhalten hatten, separiert, dann zeigten die schwach-radioaktiven Tiere eine weit geringere Verteilungs- und Aufnahmeaktivität als die Gruppe der starkradioaktiven Tiere. Dies gilt auch für die Aufnahme und Weiterverteilung von freiem Futter.Bei der individuellen Beobachtung und Ausmessung weitergegebenen Futters zeigte sich, dass nich unbedingt die Bettelaktivität für die erhaltenen Futtermenge entscheidend ist. Tiere mit gefülltem Kropf verweigerten häufig bei Anbettelung eine Weitergabe.Das Verhalten von Tieren, die während der verschiedenen Verteilungen das meiste erhielten und auch speicherten, wird im Zusammenhang mit dem Nahrungsfluss im Nest diskutiert, wobei auch das Vorhandensein von «Transporttieren» im Aussendienstbereich erörtert wird.
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13.
Summary The orthogenetic development of some characteristic features during the evolution of the Hominidae has been pointed out. Especially brain- and skull development have been dwelt on (see Fig. 1). A parallel has been drawn with the orthogenetic development of some characteristic features during the evolution of the Equidae. It appears that during human evolution early-ontogenetic features come more and more to the front whereas during the evolution of Horses these characters are more and more pushed back in ontogeny. By this, human evolution, at least as concerns the orthogenetically developing features which happen to be very characteristic of the organisation of Man, shows a generalising developmental tendency whereas that of Horses shows on the whole a specialising tendency.Some modes in which early-ontogenetic characters can be present in the adult stages are dealt with such asBolk's theory of retardation andSchindewolf's theory of proterogenesis which are considered not to differ very much in essentials. Also the principle of development along a roundabout way (Prinzip der umwegigen Entwicklung. ofNauck) is mentioned in this connection and some examples are given.A better understanding of orthogenetic evolution and of the differences existing between that of the Hominidae and that of the Equidae is found in the principle of heterochronic development, the change of developmental intensity and the rate of growth of features in the ontogenies of allied forms. This is illustrated by the two diagrams of Fig. 2. Here we also established connection with the science of genetics which can explain experimentally the heterochronous shifting of features in compared ontogenies by difference in rate of action and quantitative action value of genes or sets of genes.
Zusammenfassung Es wird gezeigt wie die phylogenetische Entwicklung einiger charakteristischen Merkmale bei den Hominiden orthogenetisch verläuft. Vor allem werden Gehirn- und Schädelentwicklung (s. Fig. 1) in dieser Weise betrachtet. Vergleichenderweise wird die orthogenetische Entwicklung von einigen charakteristischen Merkmalen während der Phylogenie der Equidae besprochen. Es ergibt sich, dass während der menschlichen Evolution früh-ontogenetische Merkmale immer mehr in den Vordergrund treten während solche in der Phylogenie der Equiden immer mehr zurück treten in der Ontogenie. In dieser Weise zeigt sich die menschliche Evolution, wenigstens was den sich orthogenetisch entwickelnden Merkmalen anbelangt, welche gerade sehr charakteristisch für die Organisation des Menschen sind, eine verallgemeinerende Entwicklungstendenz, die der Equidae dagegen eine spezialisierende.Einige Möglichkeiten durch welche früh-ontogenetische Merkmale im erwachsenen Zustand auftreten können werden besprochen, so die Retardationstheorie vonBolk und die Proterogenesistheorie vonSchindewolf. Diese werden als nicht grundverschieden betrachtet. Auch das Prinzip der umwegigen Entwicklung vonNauck wird in diesem Zusammenhang genannt und einige Beispiele gegeben.Das Prinzip der heterochronischen Entwicklung, die Abänderung der Entwicklungsintensität und der Wachstumsgeschwindigkeit bei Merkmalen von verwandten Formen bietet uns einen besseren Begriff von der orthogenetischen Evolution und von dem oben angeführten Unterschied zwischen der menschlichen Phylogenie und der der Equidae. Dies wird näher ausgeführt und mit Beispielen belegt mit Hilfe der beiden Diagramme von Fig. 2. In dieser Weise wird auch eine Verbindung hergestellt mit der genetischen Wissenschaft, die in experimenteller Weise im Stande ist die heterochrone Verschiebung von Merkmalseigenschaften in vergleichbaren Ontogenesen durch Unterschiede in der Geschwindigkeit der Wirkung und in dem quantitativen Verwirklichungswert der Gene zu erklären.

Résumé Il est démontré que le développement phylogénétique de certains caractères morphologiques chez les Hominides est orthogénétique. Principalement le développement du cerveau et du crâne (Fig. 1) est discuté dans cette connection. Comparativement le développement orthogénétique de certains caractères pendant la phylogénie des Equides est traité. Il résulte que pendant l'évolution humaine des caractères fetaux se misent progressivement en premier plan dans les ontogénèses pendant que ceux dans la phylogénie des Equides se misent de plus en plus en arrière-plan ontogénétiquement. Dans cette manière l'évolution humaine montre, aux moins relative aux caractères orthogénétiques, qui sont exactement très caractéristiques pour l'organisation de l'Homme, une tendence généralisante de développement, celle des Equides au contraire une tendence spécialisante.Quelques possibilités avec lesquelles des caractères fetaux peuvent paraître dans la phase adulte sont discutées comme la théorie de retardation deBolk et la théorie de développement proterogénétique deSchindewolf. Celles-ci sont regardées comme principalement pas différentes. Aussi le principe de développement selon un détour (Prinzip der umwegigen Entwicklung deNauck) est nommé dans cette connection et quelques exemples en sont donnés.Le principe du développement hétérochronique, le changement de l'intensité et de la vitesse du développement chez des caractères des formes alliés, nous donne un meilleur notion de l'évolution orthogénétique et de la différence, cité ci-dessus, entre la phylogénie humaine et celle des Equides. Ceci est démontré détaillé avec des exemples à l'aide des deux diagrammes de Fig. 2. Dans, cette façon une connection est mise avec la science génétique, qui peut expliquer expérimentalement le développement hétérochronique des caractères morphologiques dans des ontogénèses comparables par des différences dans la vitesse d'action et dans la réalisation quantitative des gènes.
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14.
The main permanent habitats of the Red Locust (Nomadacris septemfasciata (Serv.)) in tropical Africa lie between latitudes 7° and 9° S and between 10° and 16° N. Breeding is confined to the rainy season, which occurs during the longest days of the year in these areas. Both north and south of the equator, the adults emerge as day-length is diminishing and undergo a prolonged imaginal diapause until the next rainy season.When reared in the laboratory in London, adults which emerge in spring or early summer become sexually mature within two months; those which emerge in late summer and autumn, although kept at the same temperature and humidity, enter diapause and do not copulate or oviposit until the following spring. By controlling the length of the daily photoperiod, it has been shown that the seasonal differences in day-length are responsible for the onset of diapause. Constant short photoperiods usually induce a rather shorter diapause than photoperiods diminishing so as to simulate autumn day-length at this latitude (51.5° N). The critical constant photoperiod for the establishment of diapause lies between 12 and 13 hours which corresponds approximately to maximum and minimum day-lengths at 7° N or S. It is therefore possible that day-length is responsible for the establishment of the natural diapause.
Resume On a déjà constaté que, quand on élève le criquet rouge, Nomadacris septemfasciata (Serv.), au laboratoire à Londres, les adultes, malgré le fait qu'on les retient dans une ambiance très constante, montrent de grandes différences saisonnières dans la durie du développement qui conduit à la maturité sexuelle. Les adultes qui émergent à partir du mois d'avril jusque'au mois de juillet deviennent matures sexuellement sans diapause en 11/2 à 2 mois; tandis que ceux qui émergent au début de l'automne, à partir de la mi-août approximativement jusqu'à la fin de septembre, ont une diapause prolongée de 7 à 8 mois; et ceux qui émergent encore plus tard dans l'année, du mois d'octobre jusqu'à mi-décembre, ont une diapause plus courte de 41/2 à 51/2 mois. Les périodes de maturation des adultes qui émergent à partir de janvier et plus tard, diminuent progressivement, en se fondant dans les groupes des non-diapause, qui commencent à émerger au début d'avril. Les expériences exposées dans cette thèse indiquent que les différences saisonnières de la longueur des jours, sont responsables des temps de maturation.Certains groupes de criquets, émergeant comme adultes vers la fin de l'été ou en automne, ont été soumis à des journées de longueur artificielle qui correspondait à la durée des jours de printems qui n'exerce son influence que sur la vie adulte, suffit à produire ce dans les délais semblables à ceux des groupes qui émergent au printemps. La longueur des jours de printemps qui n'excerce son influence que sur la vie adulte, suffit à produire ce résultat.Quelques larves étaient élevées simultanément dans les conditions d'une durée artificielle des jours du printemps, d'une durée artificielle des jours d'automne, et d'une lumière naturelle des jours d'été à Londres. Les adultes qui avaient émergé au mois de juin étaient ou maintenus dans le même régime de longueur de journée que les larves, ou transférés dans une des autres conditions. Tous les temps de maturation étaient appropriés aux saisons qui correspondaient au régime de durée du jour auquel les adultes étaient retenus, et il n'y avait nulle évidence qu'ils étaient influencés par la durée des jours pendant leur vie larvaire.Les groupes diapause, quand ils étaient soumis à la lumière normale du laboratoire, sont devenus matures, au printemps, au moment où les jours s'allongeaient. Pourtant la maturation n'est pas due à la stimulation causée par un accroissement de la longueur du jour, car on à observé qu'elle arrive en même temps si les criquets ne la subissent pas. Ceci est vrai également à l'égard des deux groupes, celui de longue diapause (qui émerge au début de l'automne) et celui de courte diapause (qui émerge vers la fin de l'automne); il s'ensuit que la diapause plus courte du dernier groupe n'est pas attribuable, comme il semblait probable, au fait qu'on l'avait exposé à la longueur des jours du printemps plus tôt dans la vie adulte. On a trouvé que ces groupes de la dernière partie de l'automne étaient devenus matures dans le même temps s'ils étaient retenus aux courtes photo-périodes constantes de 8 ou 11 heures, ou à la durée changeante des jours d'hiver. On a conclu qu'ils répondent comme à la durée de constants jours courts.Les groupes intermédaires (qui émergent à partir de janvier jusqu'a mars) d'autre part, sont exposés aux jours plus longs du printemps et de l'été encore plus tôt dans la vie adulte, et dans leur cas la diapause est empêchée, ou au moins abrégée, par les jours plus longs. Quand ces groupes sont retenus aux constantes photo-périodes courtes, ils deviennent matures plus lentement que s'ils étaient maintenus à la lumière du jour, et ils ont une diapause de la même longueur que les groupes de courte-diapause.On a conclu de ces résultats que, quand les groupes sont retenus dans conditions de jours-courts, les processus de maturation (manifestés par un accroissement du poids du corps, et par le développement de l'ovaire) sont repris à un certain stade indépendamment de la longueur du jour et sous l'action de stimuli internes. L'exposition aux conditions de jours longs n'est effective que pour accélérer la maturation si elle a lieu avant que ce stade soit atteint.L'observation que les adultes émergeant au début de l'automne ont une diapause plus longue que ceux qui émergent vers la fin de l'automne, reste sans explication. Ceux-là sont exposés à la durée de jours qui décroissent rapidement pendant la vie larvaire et du commencement de la vie adulte, et il semble probable que le changement propre des jours longs aux jours courts puisse amener une diapause plus longue que ne le feraient des jours courts dès le début. A présent, on étudie les effets de la variation de durée des jours.Les adultes retenus dans l'obscurité constante sont devenus matures sans diapause.La grande fluctuation de la longueur des jours, caractéristique de la latitude de Londres, n'est pas nécessaire pour induire les deux types de maturation diapause ou non-diapause. Les plus grandes différences de réponse aux photo-périodes constantes ont eu lieu entre les moyennes correspondant à peu près avec les minimum et maximum de longueurs de jour (y compris les périodes de crépuscule) dans les habitats tropicaux du criquet.Il est discuté ici de la probabilité que le cours de la diapause dans l'habitat tropical naturel soit influencé par la faible fluctuation des longueurs de jour de cet habitat.


The author is Mrs O. W. Richards  相似文献   

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Conclusion En cas d'infection accidentale de personnes ou du matériel dans le laboratoire avec des virus, il sera indispensable de choisir la substance virulicide avec soin. La concentration doit être beaucoup plus élevée que celle, qui c'est montrée mortelle pour les virus, plus ou moins purifiés. C'est surtout la contenance tissulaire, qui protège le virus et retarde sa destruction. La pénétration de la substance antiseptique, comme le formol et le bichlorure de mercure est en outre ralentie par la coagulation de l'albumine cellulaire. Le formol, la chloramine et l'hexachlorophène se sont montrés utilisable. C'est surtout l'action virulicide rigoureuse de l'hexachlorophène, qui donne des perspectives intéressantes.  相似文献   

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Ohne ZusammenfassungCe n'est pas sans raison queDuchesne qualifiait cette espèce de polymorphe: aucune autre, dans la famille des Cucurbitacées (et peut-être dans tout le règne végétal), ne subit des métamorphoses aussi nombreuses et aussi brusques ...  相似文献   

17.
Summary Certain problems about the autonomic nervous system — as f.i. those about the development of ortho- and parasympathetic system — have to be seen in the light of synthetic morphologic-functional considerations. As for the origin of the vegetative nervous elements, the phylogenetic dates show, how the theory of ectodermal descent is one-sided from functional synthetic point of view. Every intercellular function has her place. Therefore the principle of holosynaptic toponomy conditions the possibilities of morphological development of every tissue conducting stimuli. In the case of the autonomic system this principle stresses the meaning of the importance of the mesoderm as a base of differentiation to certain nervous elements. Histological, comparative anatomical facts as well as the theory of neurobiotaxis are shown to be very well in harmony with the developed conception.
Résumé Les problèmes actuels, se trouvant sur le terrain du système nerveux organo-végétatif ont besoin d'être considérés d'un point de vue synthétique, qui unit les données morphologiques et fonctionnelles. Quant au développement phylogénique du système autonome on est obligé de reconnaître l'insuffisance de la théorie de l'origine ectodermale. Les dates phylogéniques montrent que le système susnommé doit être une differentiation d'une fonction intercellulaire et amboceptoire chez les organismes primitives. Dans ce sens chaque fonction a sa place. Le principe de la toponomie holosynaptique exprime la condition spatiale à laquelle doivent obéir toutes les possibilités de développement morphologique d'un système conducteur. Quant à la phylogénie du système végétatif ces considérations mènent jusqu'à une croissance de l'importance du rôle du mésoderme. Ce tissu, surtout considéré dans les théories plutôt en disgrace deTello et d'autres, doit présenter l'origine de quelques éléments tissulaires nerveux. Les données histologiques et celles de l'anatomie comparative, tant que la théorie de la neurobiotaxis sont en accord avec la conception développée.
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18.
Résumé On peut rendre horizontaux les rayons d'une ruche et verticaux ceux d'un nid de guêpes sans perturbations visibles pour l'élevage ou le comportement des ouvrières.Les abeilles réparent très facilement et immédiatement les trous creusés dans les cellules d'ouvrières ou de reines, elles posent sans difficulté un fond aux cellules d'ouvrières si on l'a enlevé. Elles tordent une lame de cire perpendiculaire aux rayons pour la mettre en position parallèle.Les abeilles peuvent déposer leur miel dans les trous d'une plaque de bois, dans des rayons de métal ou de plastique; elles peuvent élever leur couvain dans des rayons de plastique et leurs reines dans des cellules de verre ou de plastique. Les guêpes peuvent operculer avec du carton les rayons des abeilles. Les guêpes souterraines dont on vient de déterrer le nid le couvrent de terre et l'enterrent en creusant au-dessous. Si une plaque de métal glissée au-dessous s'y oppose, elles le reconstruisent peu à peu de manière à l'amener sur le bord de la plaque et à l'enterrer à nouveau.  相似文献   

19.
Summary The word Umwelt is not translated as yet and can perhaps not be translated. In its orginal and well known sense, inaugurated byUexküll, it means of the relations of an organism to its surroundings only those going over the receptive (sense-) organs and the effective organs (muscles, glands), while vegetative relations to the medium,e.g. respiration are excluded. The Umwelt-conception of ecology has always been a wider one, but by feeling only, without definition. H.Weber has tried to develop a general biological Umwelt-conception, including a 11 relations. In spite of this claim he states, the Umwelt of a species be only those external conditions which are indispensable for its life. Here is demonstrated that this conception is quite insufficient, especially because it does not contain so fundamentally important relations as the enemies of an organism and the reactions of the organism upon its surroundings (e.g. formation of limestone, humification of soil, turning of lakes into land by vegetation). Furthermore, that conception of Umwelt does not contain external conditions determinating the phenotype but not indispensable for the life of the species. A general biological conception of Umwelt, asWeber claims to have created, is impossible; the conception is divided in steps corresponding to its application in different branches of science. In physiologye.g. only the direct relations of an organism come in question, in epidemiology the vital relations only. The ecological conception is the most comprehensive (the real general one), containing all those parts of the surroundings to which an organism has direct or definite indirect relations, and is the complex of them.
Résumé Le mot Umwelt n'est pas traduit et ne peut pas être traduit peut-être. Dans son sens original et bien connu, créé parUexküll, il comprend des relations d'un organisme à ses environs celles seulement, qui passent par les organes recepteurs (organes de sens) et les organes effectuants (muscles, glandes), pendant que les relations végétatives au médium, p.e. respiration ne sont pas comprises. L'écologie toujours a fait usuage du mot Umwelt dans un autre sens, mais intuitivement, sans définition. H.Weber a essayé de développer une conception Umwelt, dont il prétend la signification dans toute la biologie et qui comprenne toutes les relations. Malgré cette prétention,Weber comprend dans sa définition de la Umwelt d'une espèce ces relations seulement, qui sont indispensables pour leur vie. Ici est démontré que cette conception est tout à fait insuffisante, surtout pare qu'elle ne comprend pas des relations d'une importance si fondamentale comme l'ennemi d'un être vivant et les réactions de l'être vivant qui transforment ses environs (p.e. formation de pierre à chaux, humification du sol, transformation en terre d'un lac par la végétation). Y manquent aussi des conditions extérieures, déterminantes le phénotype, mais qui ne sont indispensables pour la vie de l'espèce. Une signification générale du mot Umwelt pour toute la biologie est impossible, la conception est divisée en échelons qui correspondent à l'application dans des branches différentes de la science. En physiologie p.e. il ne s'agit que des relations directes, en épidémiologie des relations d'importance vitale seulement. La signification écologique est la plus ample (la vraiment générale), comprenant toutes ces parties du milieu, auxquelles un organisme a des relations directes ou indirectes, dont la Umwelt est le complexe.
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20.
René Molinier 《Plant Ecology》1959,8(5-6):340-383
Conclusions La Provence apparaît, en définitive, comme un territoire des plus variés aux divers points de vue climatique, édaphique, biotique.C'est une région d'autant plus favorable aux études phytosociologiques que la variété des milieux s'y double d'une brutalité souvent étonnante des contrastes, conduisant à la juxtaposition parfois extrêmement précise d'associations végétales très différentes, dont les limites peuvent alors être cartographiquement figurées avec une très suffisante exactitude.Cette vigueur des contrastes est surtout marquée en Provence calcaire où les divers termes des séries évolutives dérivant du Quercetum ilicis climacique ou y conduisant, se juxtaposent souvent sans transition de quelque importance.Les contrastes sont cependant moins accusés en Provence cristalline et dans la Basse-Vallée du Rhône.En Crau comme en Camargue, les associations végétales se juxtaposent souvent en ceintures parallèles ou concentriques — elles s'individualisent alors facilement —, souvent en mosaïques irrégulières, au grè des variations locales des deux facteurs déterminants: l'eau en Crau, le sel en Camargue.En Provence cristalline, les Maures étant surtout faites de roches se délitant facilement (grès, micaschistes et phyllades) sous un climat chaud et humide, le sol se reconstitue facilement après sa destruction partielle par l'érosion; les contrastes sont moins tranchés; on observe des transitions nombreuses entre les divers termes des séries évolutives, dont les limites ne peuvent être fixées qu'approximativement. Nous y avons notamment abordé le problème de la forêt de chêne-liège dont la signification est loin d'être connue, non seulement en Provence mais sur toute l'étendue de son aire, en Afrique du Nord, en Espagne, au Portugal, en France méridionale, en Italie et dans les Iles de la Méditerranée occidentale.En provence cristalline, il est certain que l'homme en a considérablement assuré l'extension, directement pour l'utilisation du liège, indirectement par la coupe et le feu, et, en bien des points de la Méditerranée occidentale, le chêne-liège se présente comme une essence cultivée.Par ailleurs rien ne permet de mettre en doute son indigénat. Mais, dans les conditions actuelles du milieu en Provence cristalline:le chêne vert est possible partout;dans les conditions naturelles de la concurrence vitale le chêne vert l'emporte sur le chêne-liège.Si, donc, la forêt originelle a comporté le chêne-liège, ce ne peut être qu'à l'état d'essence secondaire et seulement en quelques points où une faible couverture forestière lui permettait de cohabiter avec le chêne vert.Les documents cartographiques au I/20 000e tendent à montrer, d'aileurs que, dans les conditions naturelles de reconstitution de la forêt ou dans le peuplement naturel des sols neufs (Isthme de Giens), c'est la chênaie de chêne vert, non la chênaie de chêne-liège qui s'installe.Les grandes unités phytosociologiques de la Provence paraissent être maintenant convenablement définies floristiquement; il convient donc d'en poursuivre l'étude écologique, dont certains aspects seulement les plus apparents—mais peut-être pas toujours les plus actifs-, ont été abordés.Notons enfin la démonstration faite, au cours de l'excursion, de la parfaite application possible des méthodes phytosociologiques à l'étude des groupements marins et la nécessité, particulièrement apparente en milieu marin, de considérer tout autant les animaux que les végétaux. L'avenir est bien aux biocénoses dont les grands traits ont été mis en évidence, quant à la côte de la presqu'île de Giens, par Roger Molinier.Reçu par la rédaction le 20. XII. 1958.avec la collaboration de ROGER MOLINIER pour la partie marine et G. TALLON pour la Camargue.  相似文献   

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