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1.
In Drepanosiphum dixoni H. R. L. the heavier the adult the greater the fecundity. However, brachypterous alatae are more fecund than macropterous alatae in the first 10 days of adult life as well as in the first 10 days of reproductive life. There is no difference in the weight at birth between the offspring of brachypterous and macropterous alatae.
Résumé Les ailés brachyptères et les ailés macroptères de Drepanosiphum dixoni sont très semblables dans leurs structures. Les brachyptères sont dépourvus des muscles indirects du vol et leurs ailes, quoique de forme parfaite, sont plus courtes que celles des ailés macroptères.La fécondité est d'autant plus grande que l'insecte adulte est plus lourd. Cependant, les ailés brachyptères sont plus féconds que les ailés macroptères aussi bien pendant les 10 premiers jours de leur vie adulte (Fig. 1A) que pendant les 10 premiers jours de leur reproduction (Fig. 1B). La différence de fécondité est plus marquée quand on se réfère aux 10 premiers jours de la vie adulte, (comparer Fig. 1, A et B), car le délai entre la mue imaginale et le début de la reproduction est plus court chez les brachyptères (2, 4 jours) que chez les macroptères (3, 3 jours).On n'observe pas de différences dans le poids à la naissance de la descendance de chacune des 2 formes.Dans l'évolution de l'aptérisme chez les Aphides il est vraisemblable que l'avantage initial réside dans un accroissement de fécondité, comme chez D. dixoni. Un développement secondaire possible dans l'évolution du dimorphisme alaire chez les Aphides est celui observé chez A. fabae où les ailés produisent une plus petite descendance, la proportion de celle-ci qui naît dans les quelques premiers jours de la vie adulte étant plus élevée que chez les formes aptères.
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2.
Hylobius abietis migrates by flight to new breeding habitats early in summer. Flight speed and height, wind speeds during flight, and flight direction in relation to wind were studied in the field. Flight duration estimates were obtained from flight mill experiments. Using these data dispersal distances of the females in a population were calculated. According to this tentative estimate a majority of the weevils migrated more than 10 km, and some as far as 80 km, during the entire flight period.
Aire de dispersion de Hylobius abietis (Coleoptera — Curculionidae)
Résumé Hylobius abietis émigre par vol vers de nouveaux habitats tôt en été. La vitesse et la hauteur de vol, la vitesse du vent pendant le vol, et l'orientation du vol en fonction du vent ont été étudiées dans la nature. Après l'envol de nombreux adultes s'élèvent au-dessus des arbres et volent orientés dans le sens du vent, ce qui est certainement une adaptation aux dispersions à distance par le vent. La vitesse de vol est de 1,9 m/s par rapport à celle de l'air. Les captures avec des pièges à succion ont fourni des indications sur la vitesse du vent pendant le vol; en combinant ces données avec les mesures de la vitesse du vol elle-même, une estimation de la fréquence relative des vitesses de disperison a été obtenue.L'estimation de la durée du vol a été obtenue en laboratoire par des expériences avec un moulin de vol. A partir de ces données les distances de dispersion des femelles dans une population ont été calculées. Selon ces essais d'estimation, la majorité des insectes émigrent à plus de 10 kilomètres et certains vont jusqu'à 80 kilomètres pendant l'ensemble de la période de vol.
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3.
The patterns of flight activity of adult Distantiella theobroma were recorded in an actograph placed in the field. Flight activity of virgin females showed a non-linear increase with age, was highest around mid-day and related to sex attraction behaviour. Mated females and males both showed sharp peaks of activity in the late afternoons. Male flight was depressed by low light intensities and all activity declined with falling light intensity in the evenings and ceased entirely during the hours of darkness.
Résumé Un appareil a été conçu pour enregistrer l'activité de vol dans les conditions naturelles et a été utilisé pour étudier le comportement des mâles et des femelles de D. theobroma, aux diverses phases de leur vie imaginale.L'activité de vol de D. theobroma eest exclusivement diurne. Les femelles restent relativement inactives pendant les premiers trois jours de leur vie imaginale. Après le début de maturité et bien que non encore accouplées, on note un accroissement de leur activité qui est maximum vers le milieu du jour, mais s'atténue pendant la fin de l'après-midi, alors qu'elles manifestent un comportement d'appel et se révèlent attractives pour les mâles.Les femelles qui se sont accouplées montrent un début d'activité tôt le matin et qui s'accroît pour atteindre un pic bien marqué en fin de l'après-midi, pour décliner ensuite avec la baisse de l'intensité lumineuse. L'activité des mâles commence plus tard et atteint son maximum vers 16h30. Ceci coïncide avec le moment où le plus grand nombre de femelles manifestent un comportement d'appel. Le vol des mâles n'apparaît qu'au-dessus d'un certain seuil d'intensité lumineuse et est inhibé par la pluie.Le changement avec l'âge de l'activité des femelles vierges présente des modalités caractéristiques qui se révèlent concorder avec les variations du nombre de mâles attirés par les femelles vierges de différents âges.


This work was done as part of the programme of the International Capsid Research Team which was sponsored by the International Office of Cocoa and Chocolate.  相似文献   

4.
The effect of chilling time on the termination of pupal diapause was studied in the Cinnabar moth, Tyria jacobaeae L., Lepidoptera: Arctiidae. Chilling followed by a temperature of 20°C was effective in terminating diapause. Chilling for 120 days immediately after pupation yielded the highest percentage emergence and resulted in the shortest total pupal development time (162 days). A more natural treatment, a warm period before cold treatment, did not result in a higher percentage of emergence or in a shorter total pupal development time.During hibernation this species experiences two successive processes: diapause development during the first three to four months of cold, followed by a period of quiescence. Application of high temperatures in this latter period immediately starts morphogenesis. The impact of a relative humidity of 70% during the pupal stage for complete wing unfolding is demonstrated. The underlying mechanism of diapause is discussed.
Résumé L'effet sur la levée de la diapause de différents régimes de température infligés aux chrysalides est étudié chez Tyria jacobaeae L. (Lepidoptera: Arctiidae). Une mise au froid suivie de hautes températures lève efficacement la diapause. Un refroidissement pendant 120 jours immédiatement après la nymphose entraîne le plus grand pourcentage d'éclosions et la durée totale du développement des chrysalides la plus courte (162.3 j). Un traitement plus naturel, une période chaude avant la période froide, n'entraîne pas un plus grand pourcentage d'éclosions ni une durée plus courte de développement.Il est proposé que durant l'hibernation cette espèce passe par deux processus successifs: un diapause durant les premiers trois ou quatre mois de froid, suivie d'une période de quiescence. Le transfert à des hautes températures pendant cette derpériode déclanche immédiatement la morphogénèse. L'influence d'un taux élevé d'humidité relative durant le stade chrysalide sur le déploiement complet des ailes est démontré. Le méchanisme de diapause sous-jacent est discuté.
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5.
Summary Lotus tenuis was inoculated withRhizobium spp. and grown at three different night temperatures (17, 21 and 27°C) and at two different photoperiods for each temperature: short days (SD) of 8-h light and long days (LD) of 16-h light. Night temperature exerted a stronger effect on dry-matter partitioning than of total dry-matter accumulation. Leaf area increased under LD though less N per leaf area was found. A greater number of leaves under SD might be linked to a day-length effect upon apical dominance and hence on branching, thus resulting in a greater crown growth. Nodulation and nitrogen fixation was greater under SD though specific nodule activity was the same regardless of the environmental conditions of growth. It can be concluded that the best planting time forLotus tenuis would be in the autumn when the days are shortening and the temperature is lower.
Effet de la température nocturne et de la photo-période sur la croissance nodulaire et la fixation d'azote chez Lotus tenuis
Résumé Lotus tenuis a été inoculé avecRhizobium spp. et mis à croître aux trois températures nocturnes, de 17, 21, et 27°C et à deux photo-périodes pour chaque température: des jours courts (SD) de 8 heures de lumière et des jours longs (LD) de 16 heures de lumière. La température nocturne exerce un effet davantage marqué sur la répartition de la matière sèche que sur l'accumulation totale de la matière sèche. La surface foliaire augmente dans le cas des LD bien que l'on trouve moins d'azote par unité de surface foliaire. Dans le cas des SD, de plus grands nombres de feuilles pourraient être liés à un effet de longueur de jours sous dominance apicale, c'est-à-dire en banchement, résultant donc dans la croissance d'une plus grande couronne. La nodulation et la fixation d'azote sont plus grandes dans le cas des SD bien que l'activité spécifique des nodules soit la même, indépendamment des conditions environnementales de croissance. On peut en conclure que le meileur moment de plantation pourLotus tenuis serait l'automne lorsque les jours raccourcissent et que la température est plus basse.
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6.
Résumé L'activité de ponte d'Hydrellia griseola Fall. est étudiée dans différentes conditions expérimentales. Lorsqu'elles sont accouplées et qu'elles bénéficient d'un régime photopériodique, les femelles déposent leurs ufs sur une feuille d'Orge (Hordeum vulgare) exclusivement pendant la phase lumineuse.La ponte quotidienne débute le 3ème jour, augmente jusqu'au 5ème et diminue ensuite. L'activité de ponte n'est donc pas constante au cours du temps, mais aucun cycle n'apparaît.Quand les femelles sont vierges, la ponte est plus faible mais son évolution au cours du temps est la même.A l'obscurité continue la période préreproductrice s'allonge et l'activité de ponte est ralentie, tout en conservant pendant les premiers jours le rythme quotidien observé chez les femelles bénéficiant d'une photopériode.Enfin, l'absence momentanée de la plante-hôte pendant les premiers jours de la vie reproductrice arrête momentanément l'activité de ponte; celle-ci reprend très fortement le jour de la réintroduction du végétal; puis, les jours suivants, elle se stabilise au niveau de celle des témoins, l'ensemble se traduisant par un déficit dans le nombre des ufs pondus quand la plante-hôte est absente plus de 48 h.
Summary The egg-laying activity of Hydrellia griseola was studied. Mated females kept in an artificial photoperiod laid eggs on barley leaves during the light period only. Oviposition began when adults were 3 days old, and egg numbers laid rose to a peak on the 5th day, when it gradually declined. Egg laying was not constant. Virgin females shared the same trends, with oviposition occurring on the 3th day but less eggs were laid.When females were kept in continuous darkness with a male and a host plant for egg laying the preoviposition period was longer and egg laying was reduced during the first few days.The temporary removal of the host plant during the first few days temporarily arrests egg laying, which began again, vigorously, when the host plant was returned. Removal of the host plant for more than 48 h caused a reduction in the number of eggs laid.


Je dédie ce travail à la mémoire du Professeur J. R. le Berre, en hommage respectueux et ému.  相似文献   

7.
The role of light intensity and temperature in determining the onset of flight in the crepuscular dung beetle Onitis alexis Klug (Coleoptera: Scarabaeidae) was examined. Flight under natural light was highly synchronized, with two-thirds of the beetles that flew flying over a period of 10–12 min. In six flights on different days, the mean time of onset varied by up to 13 min, but mean onset occurred at fixed light intensity. Absolute light intensity therefore appears to be a vital cue in determining flight onset. Mean onset remained at this intensity when dusk was advanced artificially by up to about 8 min. However, when dusk was brought further forward, mean flight occurred at lower intensities and onset of flight took place over a longer period. This is interpreted as an overlapping of the period of light intensities suitable for flight with the circadian rhythm that brings the beetles to the surface. No beetles flew when kept under constant bright light or in the dark during the dusk period. Under conditions of constant dusk, the beetles appeared uncoordinated and, although the median time of onset of flight was only 3 min later than in the control flight, onset of flight was spread out over a much longer period. At soil temperatures of 20–22 °C, over 90% of the beetles flew. This percentage decreased with decreasing temperature, and less than 10% flew at temperatures of 16–17 °C.
L'incitation quotidienne au vol chez e bousier crépusculaire Onitis alexis Klug (Col. Scarabaeidae)
Résumé L'examen a porté sur le rôle de l'intensité lumineuse et de la température sur l'incitation au vol chez Onitis alexis. Le vol en lumière naturelle est fortement synchronisé, avec les deux tiers des adultes qui s'envolent en 10–12 min. Sur six vols pour différents jours, le moment moyen d'envol variait de 13 min, mais l'envol moyen avait lieu à une intensité lumineuse déterminée. La valeur absolue de l'intensité lumineuse paraît ainsi un signal crucial dans la détermination et l'incitation au vol. Le moment d'envol se maintient à cette intensité quand le crépuscule est artificiellement avancé jusqu'à 8 min environ. Cependant, quand le crépuscule est rendu encore plus précoce, l'envol moyen se produit à des intensités plus basses et est étalé. Ceci peut être interprété comme un chevauchement de la période des intensités lumineuses favorables à l'envol avec le rythme circadien qui conduit les bousiers à la surface. Aucun adulte ne vole quand il y a maintien de lumière constante ou d'obscurité à l'heure du crépuscule. En présence de crépuscule constant, les réponses sont hétérogènes, et, bien que le moment médian d'envol ne soit retardé que de 3 min, par rapport aux témoins, l'incitation à l'envol est étalée sur une période plus longue. Avec des températures au sol de 20–22 °C, plus de 90% des adultes s'envolent. Le pourcentage diminue avec la température, et moins de 10% s'envolent à 16–17 °C.
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8.
The method of rearing Delia brassicae (Bouché) on rutabaga, one of its favoured hostplants, was improved and partly mechanized. During 3 months in 1978, about 2 million pupae were produced at an approximate cost of $ 720 U.S. The pupal yield averaged 50% of the number of eggs inoculated. Special attention was given to the number of eggs inoculated/g of plant food, to the conditions used during the rearing process and to the choice of a substrate suitable for larval pupation. The pupae were maintained at laboratory temperature until the first adults emerged and then they were stored for a maximum of 24 days at 3°. When such pupae were returned to laboratory temperatures, flies emerged from about 62% of them within 7days. A system for marking and collecting the emerging adults is described. The effects that rearing, storage, irradiation, marking and handling had on the quality of the adult flies are discussed.
Résumé L'élevage de la Mouche du chou, Delia brassicae (Bouché), sans conditionnement spécial et sur l'une des ses plantes-hôtes, le rutabaga, a été amélioré et partiellement mécanisé. En 1978, deux millions de pupes ont été produites en trois mois pour un prix de revient de 720 U.S. $. Un bon rendement est obtenu (50% des ufs donnent des pupes de poids supérieur ou égal à 12 mg) en inoculant 0,7 à 0,9 uf par gramme de rutabaga, dont la durée de conservation à 3° n'a pas excédé les six mois.L'influence du moment de refroidissement et de la durée de conservation des pupes à 3°, sur le taux et l'échelonnement des éclosions des adultes, a été examinée; 62% des pupes refroidies pendant un mois à partir du moment de l'éclosion des premiers adultes, ont donné des adultes en 7 jours après avoir été replacées dans les conditions ambiantes. Une méthode de marquage et de collecte des adultes est décrite.L'influence des techniques d'élevage, du stockage des pupes, de l'irradiation, du marquage et de la collecte sur la qualité des mouches est discutée en détails. La limitation à 30 jours de la période de stockage des pupes afin d'éviter une forte diminution de la qualité, constitue un obstacle capital à la réalisation de lâchers inondatifs.Bien qu'un stockage des pupes à 3° pendant 3 à 4 semaines, diminue de 5 jours la longévité des mâles, un schéma approprié de lâchers peut compenser cette diminution de qualité.
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9.
The cocoa-capsid Distantiella theobroma flies from its canopy substrate spontaneously but when disturbed first falls 1.2 to 1.9 m before flying. Adults are capable of flight 18 to 20 hr after the final moult. Flight is directly sunwards when the sun is low, but when it is high the bugs fly upwards in spirals and zigzags. Flight is terminated by the sight of vertical objects. Mean flight speed is 3.1±0.5 m/sec at 23°. Potential range is at least 1.1 km in females, 2.3 km in males. The other cocoa-capsid, Sahlbergella singularis, differs in being markedly nocturnal in its dispersal flights. Males fly far more often than females.Other factors affecting flight are discussed and the implications of the flight potential for control methods are mentioned. No part of Ghana's cocoa is out of range of colonisation by either species.
Résumé Le Capside du Cacao Distantiella theobroma s'envole spontanément et directement de son support, mais quand l'insecte est dérangé, il se laisse d'abord tomber et ne prend son vol qu'après une chute de 1,2 à 1,9 m. Les adultes sont capables de voler dans un délai de 18 à 20 h. après la dernière mue. Leur vol est orienté en direction du soleil quand celui-ci est bas sur l'horizon, mais s'il est haut l'insecte s'élève vers le ciel en effectuant des spirales et zig-zags. La vue de tout objet vertical provoque l'arrêt du vol et la pose sur ce support. La vitesse moyenne du vol est de 3,1±0,5 m/sec. à une température de 23°. Le rayon de vol est au moins de 1,1 km pour les femelles et de 2,3 km pour les mâles. L'autre punaise du cacao Sahlbergella singularis diffère de la précédente, ses vols de dispersion étant nettement nocturnes. Les mâles volent beaucoup plus souvent que les femelles.D'autres facteurs affectant le vol sont également discutés ainsi que les conséquences des potentialités de vol pour la mise au point de méthode de lutte. Toutes les zones du Ghana où se trouvent des plantations de cacao sont dans le périmètre de dispersion de chacune des deux espèces.
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10.
Several endocrine-mediated processes in insects are influenced by environmental factors including the density and sex ratio of populations. Effects of grouping on total egg production and rate of vitellogenic ovary development were assessed in virgin Acheta domesticus (L.). Females midway through their last nymphal instar were isolated from a stock population of adults and nymphs of both sexes and maintained in groups or as isolates at 26–27°C, 70% relative humidity, on a 12L-12D photoperiod. The number of fully grown oocytes produced during the first 18 days of adult life was lower for animals in groups of 10 or 15 than for isolates, but antennectomy abolished this group effect. By contrast, terminal and penultimate oocyte length and ovary dry weight were greater in 5-day-old - pairs than in isolates. The presence of mature males during the first 21 days of adult life did not affect total egg production. Whether these group effects on cricket ovary development are mediated by the endocrine system is not yet known.
Interaction entre les facteurs sociaux et le développement ovarien d'Acheta domesticus
Résumé L'étude a examiné les effets de groupement sur la production d'oeufs et sur la vitesse de la vitellogenèse chez les femelles vierges d'Acheta domesticus. Des femelles à la moitié de leur dernier stade larvaire, isolées d'une population adulte de base, et des nymphes des deux sexes ont été conservées en groupes ou isolées dans des récipients en plastique de 150 mm de diamètre et de 25 mm de hauteur à 26–27°C, 70% d'humidité relative et avec une photopériode de 12/12. La production totale des oeufs mûrs formés pendant les 18 premiers jours de vie imaginale était plus faible pour les animaux en groupes de 10 ou 15 que pour ceux qui étaient isolés, mais l'antennotectomie a éliminé cet effet de groupe. Au contraire, la longueur des derniers et avant-derniers ovocytes et le poids sec des ovaires étaient supérieurs pour les paires de 2 femelles de 5 jours que chez les individus isolés. La présence de mâles mûrs pendant les 21 premiers jours de vie imaginale n'a pas eu d'effet sur la production totale d'oeufs. L'hypothèse avancée est que ces effets de groupe (négatifs et positifs) sur le développement des ovaires d'Acheta domesticus ont reflété respectivement des accélérations et ralentissements de la vitellogenèse. La dépendance de l'induction de la vitellogenèse chez Acheta domesticus par les hormones juvéniles est connue (Benford, 1983) ainsi que les changements dans la quantité de produits neurosécréteurs, susceptibles d'être colorés dans la pars intercerebralis au cours du cycle reproductif (Bradley et Simpson, 1981). Nous ne savons pas si ces effets de groupement sur le développement des ovaires de grillon sont médiatisés par le système endocrine.
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11.
Résumé L'influence de la photopériode sur la sex ratio a été testée chez un hyménoptère parasitoïde, Pteromalus puparum, qui présente une parthénogenèse arrhénotoque facultative. Les adultes ont été élevés à 20° sous deux photopériodes: LD 10:14 et LD 14:10 pendant 14 jours.Aucun effet n'a été enregistré sur la fécondité des femelles pendant la durée de l'expérience, ni sur la proportion de femelles fécondées. En revanche les adultes vivant sous LD 10:14 ont produit deux à trois fois plus de femelles dans leur descendance que ceux vivant sous LD 14:10.Cette influence de la photopériode sur la sex ratio peut s'exercer soit au niveau de l'insémination des femelles, en modifiant le comportement sexuel des adultes ou la vitalité des spermatozoïdes, soit sur le fonctionnement de la spermathèque au moment de la ponte.La signification adaptative de ces fluctuations de la sex ratio est discutée en relation avec l'existence chez cette espèce d'une diapause larvaire elle aussi induite par les photopériodes courtes.
Summary The effect of day length on the sex ratio of this arrhenotokous wasp was tested by exposing the adults to two photoperiods: LD 10:14 and LD 14:10 at 20° for 14 days.The fecundity of females was not affected nor the proportion of inseminated ones. However, adults living at LD 10:14 produced two to three times more females in their progeny than those living at LD 14:10.Day length is presumed to act either at the time of insemination of females, through changing the sexual behaviour of adults or the viability of sperms; alternatively, it could act on the functioning of the spermatheca at the time of oviposition.The adaptive significance of these sex ratio fluctuations is discussed in connection with the existence of a larval diapause in this species, which is also induced by short photoperiods.
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12.
Résumé Nous avons étudié l'évolution de la tendance au vol de criquets élevés isolément au cours de plusieurs générations! Les vols ont eu lieu dans des enceintes isolées excluant tout stimulus externe à l'obscurité, à la lumière naturelle et à la lumière artificielle.Des vols continus et limités ne s'observent qu'en première génération d'isolement. On observe souvent des séries de très courts vols se succédant très vite. L'expression la plus courante de l'activité de vol est une succession de vols de quelques minutes séparés par des moments de repos de durée voisine. L'activité à la lumière est très faible, comparée à celle exprimée à l'obscurité. Elle varie, comme à l'obscurité, en fonction de la tendance au vol. Chez les deux sexes, celle-ci devient maximum le plus souvent avec la maturité sexuelle. L'activité est plus précoce chez les femelles; elle est aussi supérieure à celle des mâles.L'isolement réduit la tendance au vol de façon déterminante dès la première génération. Les femelles conservent mieux leur tendance au vol au cours des générations d'isolement.
Summary The flight tendency of locusts reared solitarily for several generations has been studied. Locusts were suspended for two hours every other day from individual roundabouts in isolated enclosures excluding all external stimuli; in darkness, artificial or natural light.The results include all types of locust flights as the best flyers were not selected beforehand. Limited continuous flights only occur during the first generation of solitary locusts. Series of very short flights following one another in rapid succession can often be observed. These series of flights have been called «linked flights». The most usual form of flight activity is a succession of flights each lasting from one to five minutes, separated by rest periods of about the same lenght.Flight activity in light is very low compared with activity in darkness. Natural light inhibits flight much less than artificial light. Flight activity in light as well as in darkness varies according to the individual locust's flight tendency.For both sexes, flight tendency increases to begin with during the first two weeks then becomes irregular or decreases, according to the individual or it's generation. This tendency then increases again and reaches a maximum generally coinciding with sexual maturity. Activity, for both sexes is formed of successive bursts varying in duration and importance. General flight tendency decreases in both sexes after the period corresponding to the first oviposition. Maximum activity is earlier in females than in males. The former possess a superior flight tendency. However there is a certain simultaneity between both sexes during the increase phase of general activity, and the decrease phase caused by ageing.The effect of isolation reaches almost total inhibition as soon as the first generation. Females maintain their flight tendency better throughout all successive generations reared solitarily.
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13.
Résumé L'oviducte de Nectophrynoïdes occidentalis Angel, petit crapaud vivipare d'Afrique occidentale, peut être divisé en quatre parties: le pavillon, la trompe, l'utérus et le tronc commun utérin distal.Seul le pavillon ne varie pas au cours de l'année; il reste toujours transparent et dépourvu de cellules glandulaires. Un épithélium cilié tapisse sa lumière.La trompe est un conduit rectiligne de 7 à 10 millimètres de long qui peut être divisé en quatre segments principaux, différenciés par la constitution chimique des substances de la muqueuse. La structure de la trompe est relativement simple et comparable à celle des autres Vertébrés inférieurs. Elle apparait alternativement sous deux aspects principaux: trompe au repos et trompe active. La période de repos se poursuit pendant une bonne partie de la gestation; la reprise d'activité sécrétrice s'effectue plusieurs semaines avant la parturition et atteint son maximum dans les jours qui précèdent l'ovulation.L'utérus subit continuellement des remaniements. Tour à tour vide et gravide, il passe par trois phases essentielles: une phase de nécrose s'étendant sur les douze jours qui suivent la parturition et correspondant à l'élimination de la couche superficielle de la muqueuse; une phase de prolifération, allant du douzième jour après la mise-bas jusqu'à lóvulation suivante; caractérisée par le régénération progressive de la muqueuse à partir de la couche profonde restée en dehors des processus de nécrose; une phase de sécrétion et d'hypérémie qui dure pendant toute la gestation.La partie terminale de l'oviducte, formée par la confluence des deux conduits müllériens, subit les mêmes variations que l'utérus gestant. Son épithélium est tout-à-fait comparable à celui de l'utérus; son chorion, en revanche, est beaucoup plus dense et développé mais ne possède qu'une faible vascularisation.
The cycle of the female genital tract in Nectophrynoides occidentalis angel, a viviparous anuran amphibian
Summary The oviduct of Nectophrynoides occidentalis Angel, a small viviparous toad of West Africa, is divided into four parts: ostium, tube, uterus and the distal common uterine segment.Only the ostium does not show seasonal variations: it always remains transparent and is devoid of glandular cells. A ciliated epithelium lines its lumen.The tube is rectilinear, about 7–10 millimeters long and may be subdivided into four principal segments, on the basis of the chemical composition of the substances of the mucosa. Its structure is relatively simple and comparable to that of other lower vertebrates. Its appearance differs according to whether it is at rest or in activity. For most of the gestation period the tube is at rest but secretory activity starts several weeks before birth. It reaches its maximum during the days immediately preceding ovulation.Unlike the tube, the uterus undergoes continuous changes, which can be pregnant, divided into three essential phases: a phase of necrosis, extending to twelve days following birth, and corresponding to the elimination of the superficial layer of the mucosa; a phase of proliferation, extending from the twelfth day after birth until the subsequent ovulation, characterized by the progressive regeneration of the mucosa, which is initiated by the deep layer which was not involved in necrosis; a phase of secretion and hyperemia which lasts during the whole period of gestation.The terminal part of the oviduct, formed by the confluence of the two Müllerian ducts, undergoes the same variations as the uterus, its epithelium being completely comparable to that of the uterus; its chorion, however, is much denser and better developed but its vascularization is less intense.
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14.
The possible usefulness of sex pheromones for controlling Adoxophyes orana (F. v. R.) has been tested in field experiments.The mating frequency of the female moths and the period of flight activity in the night have been determined. Light trap catches and random samples showed that 50–60% of the female moths mated once only and 22–37% mated twice. The percentage of virgin female moths was 4–8. These percentages were fairly constant throughout the whole summer flight period, except during the first days. Old female moths were especially attracted to the light trap. A. orana is a typical night flier with its maximum activity around midnight, as shown by light and sex traps. The length of the flight period depends on the length of the dark period.Some comparative catching experiments with sex traps were carried out. More males were caught in traps which contained two instead of one virgin female, or which contained more female equivalents. More than two virgin females per trap did not increase the catches. Mating caused considerable decrease in female attractiveness which recovered partly after a period of oviposition.Minimum night temperatures below 12° C lowered the flight activity and also the sex trap catches. The wind is a determining factor for the upwind orientation of the male moths to the attractive females. The ratio of moths caught flying upwind: flying downwind was 80 : 20 at wind velocities below 7m/sec; at wind velocities above 7m/sec this ratio altered to 60 : 40. More overshootings and downwind casts took place. During a preliminary release experiment all male moths were recaptured in the section of the area upwind from the release centre.
Résumé L'utilisation possible des phéromones sexuelles pour la lutte contre Adoxophyes orana a été testée dans une série d'expérimentations dans la nature.La fréquence des accouplements et la période d'activité de vol des papillons femelles ont été précisées. Les récoltes aux pièges lumineux et les échantillonages faits au hasard ont montré que 50 à 60% des femelles ne s'accouplaient qu'une fois, et 22 à 37% deux fois. Le pourcentage des femelles vierges était de 4 à 8%. Ces pourcentages furent à peu pr`es constants pendant toute la période de vol au cours de l'été, sauf durant le début de saison. Les femelles âgées étaient spécialement attirées par les pièges lumineux. A. orana est un insecte typiquement nocturne, dont l'activité de vol est maximum vers minuit, comme le révèlent les captures avec les pièges lumineux ou les attractifs sexuels. La durée de la période de vol dépend de la longueur de la nuit.Quelques expériences comparatives de capture avec des pièges à base d'attractifs sexuels ont été réalisées. Les mâles sont capturés en plus grand nombre dans les pièges contenant 2 femelles vierges, au lieu d'une seule, ou qui contenaient davantage d'attractif sexuel. Le nombre de mâles capturé ne s'accroît pas plus si le piège renferme plus de 2 femelles vierges. L'attraction des femelles diminue considérablement après leur accouplement, mais se manifeste à nouveau partiellement après une période de ponte.Une température nocturne inférieure à 12° diminue l'activité de vol et le rendement des pièges sexuels. Le vent est un facteur déterminant, car les mâles s'orientent face au vent pour repérer et rejoindre les femelles attractives. La proportion des papillons capturées volant vent debout ou vent arrière est de 80 : 20 quand la vitesse du vent est inférieure ou égale à 7 m/sec. ; pour les vitesses du vent supérieures à 7 m/sec. cette proportion est modifiée et passe à 60 : 40. Plus la vitesse du vent s'accroît et dépasse cette valeur, plus on capture d'insectes emportés par le vent. Au cours d'expériences préliminaires de lâchers de papillons mâles, tous ceux-ci ont été recapturés dans la zone balayée par le vent à partir du point de lâcher.
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15.
Reproductive data were collected on individually-held adult oriental fruit flies, Dacus dorsalis, melon flies, Dacus cucurbitae, and Mediterranean fruit flies, Ceratitis capitata including age-by-parity relations, birth interval, frequency distribution of individual egg production levels and the concentration of reproduction among females in a cohort. Specific findings include: i) delay in reproductive peaks in a cohort after eclosion is due almost entirely to the variance in attainment of reproductive maturity among individuals; ii) low reproductive output of reproductively mature melon flies is due mostly to long birth intervals; iii) high egg production in both the medfly and the oriental fruit fly is due to their consistency of egg laying levels and frequency (short birth intervals). Discussion stresses the importance of viewing reproduction, not as a singular and discrete life history trait, but as consisting of subcomponents of daily parity, cumulative parity and birth interval.
Résumé Les informations sur la reproduction ont été obtenues à partir d'adultes de Dacus dorsalis, D. cucurbitae, C. capitata, élevés individuellement. Elles portent sur les paramètres suivants: distribution par âge en fonction de la fécondité, échelonnement des pontes, distribution des niveaux quotidiens de ponte, fréquence des pondeuses par cohorte.Différents caractères spécifiques ont été mis en évidence: 1) La variabilité de la date d'apparition de la maturité reproductive est pour l'essentiel responsable du retard dans les dates de reproduction maximale; 2) De 30 à 50% des femelles de D. dorsalis âgées de 10 jours pondent plus de 50 oeufs/jour pendant les deux semaines qui suivent, tandis que seulement 10 à 20% des femelles des deux autres espèces parviennent à pondre cette quantité d'oeufs à n'importe quel âge; 3) D. cucurbitae ayant atteint sa maturité pond environ pendant 40% des jours (c.à.d. chaque 2,5 j), tandis que les deux autres espèces pondent au moins quelques oeufs pendant 80% des jours (c.à.d. chaque 1,25 j); 4) La production élevée d'oeufs de C. capitata et de D. dorsalis est due à la régularité de leur niveau de ponte et à la fréquence (faible espacement); 5) Les fractions des effectifs qui ont pondu au moins 600 oeufs en 30 jours étaient approximativement de 0,8, 0,7, et 0,4 pour D. dorsalis, C. capitata, D. cucurbitae; 6) 50% des femelles de chacune des trois espèces contribuent en gros pour 65% à la ponte.
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16.
When reared in short days (LD 12:12) at 15°C, apterous Acyrthosiphon pisum gave birth to sexual females (oviparae) exclusively for the first eight days of larviposition. After this time they switched to the production of parthenogenetic females (viviparae). Topical application of juvenile hormones I, II and III to fourth instar or adult ovipara-producers induced the precocious appearance of parthenogenetic females in the progeny sequence. Various forms intermediate between oviparae and viviparae were also produced and repetitive JH-I treatments resulted in a few alatiform progeny. However, many of the JH induced apterous, parthenogenetic females appeared to be normal viviparae and were capble of reproduction. Thus, prenatal treatment of oviparous embryos with JH diverts development towards the viviparous form. JH-I treatment of long-day reared A. pisum had no effect on the type of progeny produced.
Effets de l'hormone juvénile sur le polymorphisme d'Acythosiphon pisum
Résumé Quand il est élevé sous jours courts (LN 12/12) à 15°C, le type anglais vert d'Acyrthosiphon pisum ne donne naissance qu'à des femelles sexuées (ovipares) pendant la première partie de sa période de reproduction. Ensuite quelques types intermédiaires ovipares/vivipares peuvent apparaitre avant que les pucerons ne bifurquent spontanément vers la production de femelles parthénogénétiques (vivipares). L'application cutanée d'hormones juvéniles (JH I, II, et III) aux larves de quatrième stade ou à des adultes producteurs d'ovipares provoque l'apparition prématurée d'intermédiaires et de vivipares dans la descendance. Les différentes formes intermédiaires produites par des applications répétées de J.H. comprenaient des types ailés ou partiellement ailés. Cependant, les vivipares aptères induits par J.H. étaient morphologiquement normaux et beaucoup étaient capables de se reproduire. Des traitements semblables aux J.H. de vivipares élevées en jours longs (LN 16/8) n'ont pas eu d'effets sur le type de la descendance.On ne sait pas si l'action de JH exogène sur l'induction des vivipares est direct ou indirect. La reprogrammation des embryons, autrement destinés à se développer comme ovipares, est examinée en relation avec notre connaissance du contrôle endocrine du polymorphisme des pucerons.
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17.
The freeflight behavior of Carpophilus hemipterus (L.) (Coleoptera: Nitidulidae) was investigated in a vertical flight chamber to measure takeoff propensity relative to beetle age and to determine the effect of food odors on phototactic orientation. A high-pressure sodium lamp presented from above induced a phototactic flight response, especially in beetles 3–7 days old. The majority of phototactic flights lasted less than 15 min for both males (73%) and females (85%), but ranged up to 100 min. A bimodal periodicity in flight propensity was recorded during the photophase with a small peak in activity occurring 14–10 h prior to scotophase and a large 4 h peak occurring from 3 h prior to scotophase to 1 h after when the onset of scotophase would normally have occurred. Beetles maintained with water as adults usually displayed higher levels of flight activity than did beetles maintained with artificial diet.After a period of vertical flight, photokinetic and phototactic response declined, and flight instability increased, as indicated by an overall decrease in the mean rate of climb, accompanied by an increase in the variability of this measure and an increase in horizontal displacement.When food odor (apple cider vinegar) was introduced the rate of climb dropped rapidly and beetles usually landed regardless of how long they had been in flight. When the food odor was removed, takeoff occurred and the beetle returned to its previous rate of climb. When food odor was repeatedly introduced during the same flight, there was no apparent cumulative effect, and each time it was removed, the beetle re-initiated phototactic flight. Unlike true migratory flight in which response to vegetative cues is temporarily inhibited until the insect has engaged in a period of phototactic flight, C. hemipterus flight could be better characterized as extended foraging in which phototactic flight is readily interrupted by encounters with food odor.
Résumé Le comportement de vol libre de C. hemipterus L. a été examiné dans une chambre à vent verticale pour déterminer la tendance au vol après l'émergence et observer l'influence de l'odeur d'aliments sur le vol phototactique. Une lampe à haute pression de sodium induit une réponse de col phototactique, qui débute le 3e jour et reste puissante jusqu'au 8e jour. La majorité des vols phototactiques duraient moins de 15 pour les mâles (73%) et les femelles (85%), mais pouvait se prolonger jusqu'à 100. Les femelles nourries sur régime artificiel présentaient la plus forte proportion de vol dépassant 35. Cependant, les adultes maintenus exclusivement en présence d'eau ont présenté un niveau d'activité de vol encore supérieur. Une tendance au vol à périodicité quotidienne bimodale a été notée avec un petit pic d'activité à 14–10 heures avant la scotophase et un grand pic durant 4 heures, de 3 heures avant la scotophase à une heure après le début de la scotophase.Après une période de vols verticaux, les réactions photocinétiques et phototactiques ont diminué, et l'instabilité des vols augmenté comme en a témoigné la diminution du taux total d'ascensions et l'accroissement de la variabilité de ce paramètre et des déplacements horizontaux. L'introduction d'odeurs d'aliments pendant le vol phototactique provoque une diminution immédiate du taux d'ascension et conduit généralement à un atterrissage indépendamment du temps antérieur de vol. Quand l'odeur était supprimée le décollage avait lieu et l'insecte retrouvait sont taux antérieur d'ascension. Quand la même odeur d'aliment a été réintroduite à répétition pendant le même vol, il n'y a pas eu d'effets cumulatifs apparents. Par opposition avec d'autres insectes présentant un véritable comportement migrateur pour lesquels la désinhibition des réactions végétatives ne se produit qu'après une longue période de locomotion continue, le vol de C. hemipterus est mieux caractérisé comme un comportement de prospection pour lequel les aliments inhibent immédiatement la dispersion.
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18.
A reproductive age-grading system is presented for female Musca vetustissima based on length and yolk content of developing follicles. Ovarian development rate models are also presented for estimating reproductive and chronological ages of females under laboratory and field conditions. Maturation rates are determined primarily by temperature, but are also influenced by protein-availability and fly size (adult headwidth). Females of average size (2 mm headwidth) require 70 and 38 day degrees above 8°C respectively to mature their first and subsequent egg complements. Under suboptimal protein-feeding regimes in the laboratory, females experienced variable periods of arrested development prior to vitellogenesis. These females also resorbed part of their egg complements, but their ovarian development rates were unaffected by oocyte resorption. Under field conditions, females develop their ovaries at near expected rates, requiring only 5 and 2 day degrees more than expected, repectively, to complete their first and each subsequent ovarian cycle.
Résumé Une échelle de classement est élaborée d'après l'âge des femelles de Musca vetustissima, en se basant sur la longueur et la teneur en vitellus des follicules en croissance. Des modèles de développement ovarien sont proposés pour évaluer les âges chronologique et reproductif, dans les conditions de laboratoire et de la nature. La vitesse de maturation est déterminée avant tout par la température, mais elle est aussi influencée par la disponibilité en protéines et la taille de l'adulte (largeur de la tête). Des femelles de taille moyenne (2 mm de largeur de tête) ont besoin de 70 et 38 degrés/jours au-dessus de 8°C pour conduire successivement à maturité leur premier et leur second lots d'oeufs. Au laboratoire, avec une alimentation protéique inférieure à l'optimum, le développement des femelles est interrompu pendant des durées variables avant le début de la vitellogenèse. Ces femelles résorbent aussi une fraction de leur lot d'oeufs, mais les vitesses de développement ovarien n'ont pas été modifiées par cette résorption. Dans la nature, le développement ovarien s'effectue à peu près à la vitesse prévue, demandant seulement 5 jours de plus que les prévisions pour accomplir leur premier cycle ovarien, et ensuite 2 jours de plus que prévu pour accomplir chaque cycle supplémentaire.
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19.
The use of the system described here makes it possible to measure the flight activity of insects. The basic apparatus is a roundabout actuated by the insect in flight. Twelve roundabouts can be used simultaneously. Each roundabout consists of a vertical frame carrying a rotatable unit between two small conical ball races. The extremely low inertia of this unit part facilitates starting and stopping by the flier. This unit carries a horizontal disc pierced with holes on its circumference, which turns between an infrared emitter and a receptor. Each receptor receives a signal each time a hole passes between it and the emitter. The signals, appropriately treated, are fed into three recorder units. An opto-electronic visualizer provides information on the time elapsed since the beginning of the experiment, the code number of the insect concerned and the number of revolutions of the roundabout. At regular, chosen intervals, a printer automatically prints out this information. A graphical recorder shows the flight activity pattern of each insect during the test and the progress of its flight speed.
Résumé Le système décrit ici permet d'étudier avec précision le vol des insectes. Il comporte principalement une série de manèges. La très faible inertie de leur partie mobile facilite l'envol et l'arrêt du vol de l'insecte permettant ainsi une très bonne expression du comportement de vol. Le rayon, rigide et léger, auquel est suspendu l'insecte est fixé à un axe vertical mobile entre deux fins roulements coniques à billes. La partie mobile comporte, en outre, un disque percé à sa périphérie de trous équidistants. Les trous, défilant entre un émetteur et un capteur d'infra rouge, envoient des signaux à un appareillage électronique.Ces signaux, convenablement traités, parviennent à un visualisateur optoélectronique consultable à tout instant sur commande manuelle. Il renseigne à la fois sur le temps écoulé depuis le début de l'expérience, le numéro de l'insecte concerné et le nombre de tours de manège effectués. Il explore successivement les données relatives à l'ensemble des manèges. Aux intervalles choisis, une imprimante imprime automatiquement ces données. En complément, un enregistreur graphique indique sous forme de courbes la répartition temporelle du vol de chaque insecte et l'évolution de sa vitesse au cours du test.
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20.
L'influence de la photopériode sur le développement de la chrysope Tjederina gracilis (Schneider) a été étudiée an laboratoire. Les photopériodes constantes ne provoquent jamais d'arrêt du développement jusqu'au stade imaginal. Par contre ces photopériodes constantes ainsi que la combinaison jours longs suivis de jours courts, entraînent toujours une inhibition de l'oviposition consécutive à une diapause reproductrice. La reprise de la ponte peut toutefois survenir spontanénent.Le transfert des insectes au cours de leur développement, ou pendant la vie imaginale, de jours courts ou moyens vers des jours longs, permet d'éviter ou de rompre la diapause. Les valeurs minimales agissant sont de 16 h de lumière pour les jours longs et de 2 h pour la discrimination.Les exigences photopériodiques sont comparées avec celles d'autres espèces à diapause imaginale (Chrysoperla).  相似文献   

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