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1.
René Molinier 《Plant Ecology》1959,8(5-6):340-383
Conclusions La Provence apparaît, en définitive, comme un territoire des plus variés aux divers points de vue climatique, édaphique, biotique.C'est une région d'autant plus favorable aux études phytosociologiques que la variété des milieux s'y double d'une brutalité souvent étonnante des contrastes, conduisant à la juxtaposition parfois extrêmement précise d'associations végétales très différentes, dont les limites peuvent alors être cartographiquement figurées avec une très suffisante exactitude.Cette vigueur des contrastes est surtout marquée en Provence calcaire où les divers termes des séries évolutives dérivant du Quercetum ilicis climacique ou y conduisant, se juxtaposent souvent sans transition de quelque importance.Les contrastes sont cependant moins accusés en Provence cristalline et dans la Basse-Vallée du Rhône.En Crau comme en Camargue, les associations végétales se juxtaposent souvent en ceintures parallèles ou concentriques — elles s'individualisent alors facilement —, souvent en mosaïques irrégulières, au grè des variations locales des deux facteurs déterminants: l'eau en Crau, le sel en Camargue.En Provence cristalline, les Maures étant surtout faites de roches se délitant facilement (grès, micaschistes et phyllades) sous un climat chaud et humide, le sol se reconstitue facilement après sa destruction partielle par l'érosion; les contrastes sont moins tranchés; on observe des transitions nombreuses entre les divers termes des séries évolutives, dont les limites ne peuvent être fixées qu'approximativement. Nous y avons notamment abordé le problème de la forêt de chêne-liège dont la signification est loin d'être connue, non seulement en Provence mais sur toute l'étendue de son aire, en Afrique du Nord, en Espagne, au Portugal, en France méridionale, en Italie et dans les Iles de la Méditerranée occidentale.En provence cristalline, il est certain que l'homme en a considérablement assuré l'extension, directement pour l'utilisation du liège, indirectement par la coupe et le feu, et, en bien des points de la Méditerranée occidentale, le chêne-liège se présente comme une essence cultivée.Par ailleurs rien ne permet de mettre en doute son indigénat. Mais, dans les conditions actuelles du milieu en Provence cristalline:le chêne vert est possible partout;dans les conditions naturelles de la concurrence vitale le chêne vert l'emporte sur le chêne-liège.Si, donc, la forêt originelle a comporté le chêne-liège, ce ne peut être qu'à l'état d'essence secondaire et seulement en quelques points où une faible couverture forestière lui permettait de cohabiter avec le chêne vert.Les documents cartographiques au I/20 000e tendent à montrer, d'aileurs que, dans les conditions naturelles de reconstitution de la forêt ou dans le peuplement naturel des sols neufs (Isthme de Giens), c'est la chênaie de chêne vert, non la chênaie de chêne-liège qui s'installe.Les grandes unités phytosociologiques de la Provence paraissent être maintenant convenablement définies floristiquement; il convient donc d'en poursuivre l'étude écologique, dont certains aspects seulement les plus apparents—mais peut-être pas toujours les plus actifs-, ont été abordés.Notons enfin la démonstration faite, au cours de l'excursion, de la parfaite application possible des méthodes phytosociologiques à l'étude des groupements marins et la nécessité, particulièrement apparente en milieu marin, de considérer tout autant les animaux que les végétaux. L'avenir est bien aux biocénoses dont les grands traits ont été mis en évidence, quant à la côte de la presqu'île de Giens, par Roger Molinier.Reçu par la rédaction le 20. XII. 1958.avec la collaboration de ROGER MOLINIER pour la partie marine et G. TALLON pour la Camargue.  相似文献   

2.
Conclusions Sur la côte méditerranéenne française, entre l'Ouest de Sausset (dans la Chaîne de la Nerthe à l'Ouest de Marseille) et la frontière italienne existe un étage climacique exigeant plus de chaleur que le Quercetum ilicis: l'Oleo-Ceratonion.Eliminé de la dépression rhodanienne par des hivers trop froids en rapport avec la fréquence du mistral qui la balaie fréquemment, ce climax débute sur la côte Sud de la Nerthe où il se localise, comme aux Iles du Frioul et dans les calanques entre Marseille et Cassis, dans quelques fonds de vallons particulièrement chauds.En Provence cristalline, avec un climat plus humide et plus chaud, surtout moins froid en hiver avec des minima absolus moins bas, ce climax se développe davantage, mais les maquis à Myrte, Olivier, Lentisque sous Pin d'Alep qui les représentent, se localisent encore strictement sur le littoral, et dans les fonds de vallons chauds du versant Sud des Maures occidentales où ils atteignent 100, 200 m et plus d'altitude.Dès le Cap Bénat et le Lavandou s'ajoutent des vastes peuplements à Euphorbia dendroides qui étendent le domaine actuel de l'Oleo-Lentiscetum aux pentes rocheuses qu'iis colonisent jusqu'à plus de 300 m d'altitude.La localisation stricte de l'Oleo-Lenticetum entre la bordure halophile et 20–30 m d'altitude seulement aux Iles d'Hyères beaucoup moins dégradées que la côte voisine des Maures, montre que ce climax côtier ne doit son extension actuelle jusqu'à plusieurs kilomètres vers l'intérieur et plus de 300 m d'altitude dans les Maures qu'à une progression récente en rapport peut-être avec un assèchement général du climat, certainement avec le recul, par destruction, des Chênaies de Chêne vert ou de Chêneliège.Dans l'Estérel, l'Oleo-Ceratonion sensu stricto—avec Ceratonia et Euphorbia dendroides—apparait et prend son plein développement entre Nice et Menton, de 0 à 300 m d'altitude.Les limites de ce climax et sa composition floristique sont à préciser en Italie où il doit être mieux représenté dans la partie Sud de la péninsule que plus au Nord où je l'ai vu entre Gênes et le Nord de Rome.C'est à cet étage climacique sous-jacent à celui du Quercetum ilicis que se rattachent les maquis littoraux à Myrte, Olivier, Lentisque, Laurier-rose de Corse où ils atteignent un développement plus considérable qu'en France continentale.L'Oleo-Ceratonion a servi de refuge, lors des dernières grandes glaciations, à de nombreuses espèces dont il a permis le maintien à l'état spontané sur le territoire français. Et c'est peut-être la raison principale de la richesse de certains territoires côtiers de la France méditerranéenne en endémiques. Là peuvent très bien avoir persisté à l'état spontané en particulier l'Olivier, le Laurier-rose, le Caroubier, la Vigne, le Figuier. De là, le Pin d'Alep est peut être parti pour s'étendre largement en Provence et en Languedoc.L'Oleo-Ceratonion au sens large s'étend, toujours en dessous de l'étage du Quercetum ilicis, depuis l'étage semi-aride d'Emberger à l'étage humide c'est-à dire essentiellement dans tout l'étage méditerranéen sub-humide (tempéré) défini par cet auteur. Il est probable qu'aux limites inférieures de cette aire de répartition il passe à d'autres associations affines mais différentes (en Afrique du Nord). L'Oleo-Ceratonion se cantonne dans les régions méditerranéennes à hivers chauds (m > 3 ou 4°) de la Côte d'Azur et de la Corsé, en France; il laisse au Quercetum ilicis, les parties de la région méditerranéenne où la movenne m des minima du mois le plus froid descend largement au-dessous de + 3° ou + 4°.Ce sont probablement ces exigences thermiques qui expliquent la continuité de plus en plus grande des peuplements à Myrte-Olivier-Lentisque, et leur extension altitudinale croissante lorsqu'on gagne de Marseille vers la frontière italienne. Sans doute faut-il considérer tous ces peuplements comme des irradiations, des infiltrations d'un climax de régions chaudes normalement plus méridionales que le Sud-Est méditerranéen français dans lequel, à l'origine—post-glaciaire tout au moins—ils n'ont été conservés qu'en un petit nombre de stations particulièrement favorables d'où ils sont partis pour étendre à nouveau leur aire.L'existence de ce climax justifierait que soit distingué un district ligurien ou pré-ligurien comme le proposait A. Chevalier (1916–18) après Flahault pour la zone à Oleo-Ceratonion, mais en étendant ce district vers l'Ouest, suivant l'étroite bande côtière où, jusqu'à l'Ouest du port de Sausset — à l'Ouest de Marseille — cette Alliance est représentée.  相似文献   

3.
Conclusion En cas d'infection accidentale de personnes ou du matériel dans le laboratoire avec des virus, il sera indispensable de choisir la substance virulicide avec soin. La concentration doit être beaucoup plus élevée que celle, qui c'est montrée mortelle pour les virus, plus ou moins purifiés. C'est surtout la contenance tissulaire, qui protège le virus et retarde sa destruction. La pénétration de la substance antiseptique, comme le formol et le bichlorure de mercure est en outre ralentie par la coagulation de l'albumine cellulaire. Le formol, la chloramine et l'hexachlorophène se sont montrés utilisable. C'est surtout l'action virulicide rigoureuse de l'hexachlorophène, qui donne des perspectives intéressantes.  相似文献   

4.
Conclusions Cultivé sur un milieu synthétique vitaminé, Phycomyces n'absorbe pas, dans les limites de concentration de nos expériences, une quantité appréciable de vitamine B 1. Le test animal ne permet pas de mettre en évidence une synthèse de la vitamine B 1 par le champignon.La quantité maximum de vitamine B 1 qui, théoriquement pourrait être présente dans le mycélium du champignon, en admettant le cas le plus favorable, est trop faible pour pouvoir agir sur le champignon et activer un milieu synthétique.Il est très probable que l'on doive faire appel au second facteur de croissance de Mucorinées (facteur M). Aux dépens où à la faveur de la présence de la vitamine B 1, Phycomyces fabrique donc, à part le facteur agissant sur la levure (effet bios), une autre substance auxogène activant le développement d'une nouvelle culture du champignon.Si la substance en question, contenue dans l'extrait de Phycomyces, agit sur le développement d'une nouvelle culture, il faut naturellement admettre que dans le premier mycélium, ayant servi à préparer l'extrait, un rôle doit lui être dévolu également.L'action de la vitamine B 1 ne nous semblerait donc pas directe; la présence de cette dernière est indispensable pour permettre au champignon d'effectuer la synthèse des facteurs qui lui sont propres.  相似文献   

5.
Conclusion Les deux faits que j'ai surtout illustrés: 1. apparition d'un carotinoïde rouge avant la chlorophylle, 2. nécessité de la lumière pour obtenir ce carotinoïde rouge, n'ont pas d'importance chacun en soi-même, isolément. Mais ils se valorisent l'un l'autre et ils acquièrent ensemble une signification physiologique spéciale. Je ne dis pas que ce soit un fait général, pas même pour l'Aloe: assurément ce comportement est sous la dépendance de facteurs internes et externes spéciaux. Mais le fait que ce phénomène existe, et qu'il peut même être provoqué par des moyens faciles et contrôlables, est de nature à ouvrir des perspectives nouvelles aux problèmes de la chlorophyllogénèse, et des rapports biologiques entre chlorophylle et carotinoïdes.  相似文献   

6.
Résumé L'ensemble des recherches faites sur la sexualisation cytoplasmique a permis de montrer que les faits exprimés par les deux premières lois de sexualisation cytoplasmique traduisent des phénomènes très généraux de la sexualité, mais aucune démonstration expérimentale des lois n'avait été tentée.Les rapports intimes qui existent entre les faits exprimés par ces lois permettent de supposer que les deux énoncés traduisent peut être deux aspects différents d'un même phénomène. Il semble donc illusoire de chercher à donner pour chaque énoncé une démonstration indépendante et nous avons essayé d'établir une démonstration d'ensemble.L'état d'avitominose B entraine dans l'organisme une série de perturbations: 1 dans le métabolisme, 2 dans l'énergétique des tissus, 3 dans la respiration intracellulaire. Cet ensemble de modifications se trouve être analogue à celui qu'entrainerait une diminution du rH intracellulaire.D'autre part, la carence en vitamine B entraine une hyperlipémie qui place les cellules dans des conditions de nutrition nouvelles par rapport aux graisses dont elles disposent.L'ensemble de ces perturbations, tant dans la valeur du rH intracellulaire que dans les conditions de nutrition par rapport aux lipides, réalise, d'après les lois de sexualisation cytoplasmique, des conditions particulièrement défavorables à la polarisation des cellules dans le sens mâle.Or, on peut constater que, dans l'organisme ainsi modifié expérimentalement par l'avitominose, parmi toutes les cellules, ce sont les cellules polarisées dans le sens mâle qui se trouvent être le plus rapidement et le plus fortement frappées.Le rapprochement de ces diverses constatations nous parait constituer une véritable démonstration expérimentale des deux lois de sexualisation cytoplasmique.Une partie des recherches concernant la sexualisation cytoplasmique a été faite avec un microscope offert par la fondationElizabeth Thompson. L'auteur exprime sa gratitude au comité de cette fondation.  相似文献   

7.
Apterous virginoparae of Megoura viciae Buckton starved during the fourth instar lost weight but nevertheless completed their development, showing that growth and development could proceed independently. Their weight at the end of starvation was a function of initial weight. Aphids used considerable amounts of lipid during starvation, and if allowed to feed on becoming adult showed a delayed onset to reproduction. Starvation in the fourth instar arrested embryogenesis, and in small aphids resulted in degeneration of gonadal and somatic tissues.
Résumé Des virginipares de M. viciae Buckton, privées de nourriture à partir de la mue au quatrième stade, achèvent leur développement et muent en adulte en perdant du poids; elles montrent que croissance et développement peuvent être indépendants. Le jeûne pendant le quatrième stade provoque en moyenne la perte de 84% des réserves lipidiques. Le poids à la mue imaginale dépend significativement du poids lors de la mue du quatrième stade: de petits pucerons achèvent leur développement plus lentement que les gros. Le jeûne pendant le 4ème stade interrompt l'ovulation et le développement des gonades; lorsque les adultes peuvent se réalimenter après ce jeûne, la période précédant la ponte est plus longue. L'examen histologique montre que les pucerons les plus petits subissent une régression somatique et gonadale plus importante que les plus lourds: la dégenérescence des gonades apparaît chez les petits pucerons après le jeûne au 4ème stade, tandis que les plus gros voient leur potentiel reproductif réduit par un arrêt de l'embryogenèse.
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8.
The development of some parasitoids is coordinated by their hosts, via endocrine head or thoracic factors. Ligation of these hosts disrupts parasitoid development. To determine if host ligation affects the solitary, larval endoparasitoid Campoletis sonorensis (Cameron) (Ichneumonidae: Hymenoptera), Heliothis virescens (F.) (Noctuidae: Lepidoptera) larvae were parasitized by C. sonorensis and ligated or starved at various times after parasitization. Ligation and starvation increased parasitoid developmental time and the time of ligation or starvation affected parasitoid emergence. However, ligation and starvation had similar effects on parasitoid development and emergence. Based on our data, C. sonorensis development does not appear to be closely coordinated by hormonal factors produced by the host head and/or thorax.
Résumé Le développement de certains parasitoïdes est coordonné avec celui de leur hôte, via les centres endocrines de la tête et du thorax. La ligature de ces hôtes interrompt le développement du parasitoïde. Pour déterminer si la ligature de l'hôte affecte l'endoparasite larvaire solitaire, C. sonorensis, des chenilles d'Heliothis virescens ont été parasitées par C. sonorensis, et ensuite ligaturées ou mises à jeûner à des temps variables après avoir été parasitées.Tant les chenilles parasitées avec succès que les autres ont présenté une croissance réduite (Fig. 1), mais, 3 jours après avoir été parasitées sans succès l'augmentation de poids a été plus rapide et a pu être distinguée de l'augmentation de poids des chenilles parasitées avec succès. La nymphose des témoins parasités sans succès était retardée par rapport à la nymphose des véritables témoins. La ligature et le jeûne ont eu des effets identiques sur l'émergence des parasitoïdes (Fig. 2), le pourcentage de parasitisme avec succès augmentant avec la durée du délai entre le parasitisme et le traitement (ligature ou jeûne). Les durées de développement des hôtes ligaturés ou mis à jeûner (Fig. 3) étaient toutes significativement plus longues que les durées de développement des témoins. Cependant, les durées de développement des parasitoïdes n'ont pas été modifiées par le traitement des hôtes, le sexe du parasitoïde et le moment du traitement. Le poids des cocons des parasitoïdes (Fig. 4) était lié linéairement avec le jour du traitement, mais sans modification significative par le sexe du parasitoïde ou le traitement de l'hôte.D'après nos travaux, C. sonorensis ne synchronise apparemment pas sa mue et son émergence avec son hôte, H. virescens. La ligature n'empêche pas complètement le développement ou l'émergence de C. sonorensis bien que le pourcentage d'émergence soit réduit par une ligature dans les 7 jours après le parasitisme. De plus, l'effet du jeûne est semblable sur le pourcentage d'émergences. Le pourcentage réduit d'émergence d'hôtes ligaturés ou mis à jeûner était lié significativement avec le moment du traitement, suggérant la responsabilité éventuelle de l'alimentation réduite de l'hôte. Des hôtes parasités ont continué de s'alimenter et de prendre du poids pendant 5 à 7 jours après la ponte, bien que d'une façon bien inférieure aux témoins non parasités, et cette prise d'aliments par l'hôte peut être nécessaire au succès du développement et à la croissance des parasitoïdes. Ligature et jeûne retardent de la mème façon le développement du parasitoïde; ce retard n'est pas lié au moment de la ligature ou du début du jeûne; ainsi, la réduction de la prise d'aliments peut ne pas être la cause première. L'émergence retardée peut être provoquée par un stress général plutôt que par un ou des facteurs céphaliques ou thoraciques spécifiques.
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9.
Résumé Au début du printemps les adultes de Coccinella septempunctata L. (Col., Coccinellidae) issus des sites d'hivernation, les larves et les nymphes qui en proviennent, fréquentent le sol et les parties basses du blé. En juin, les adultes nés dans le champ et leur descendance sont dispersés sur toute la hauteur des talles bien qu'une fraction non négligeable de leur population se rencontre à l'extrémité supérieure. La plupart des pontes sont déposées sous les mottes de terre, les pierres et les petites adventices qui constituent des sites privilégiés. Ces variations de la distribution de cette coccinelle peuvent être mises en relation avec le climat, en particulier la température, avec la thermophilie de cette espèce et avec la répartition sur les différentes parties des talles des 3 espèces de puceron qui se succèdent au cours de la saison. Ces observations sont importantes à considérer lors du choix ou de la mise au point d'une méthode d'échantillonnage.  相似文献   

10.
Conclusion et résumé Les Abeilles reconnaissent le sexe de la larve transposée dans les ébauches de cellules royales et réagissent en fonction de ce sexe: pour les larves de mâles, l'acceptation est toujours inférieure à celle des ouvrières et, quelquefois, elle peut être nulle pour des petits nombres de larves transposées. En outre, dans la partie orpheline de la ruche, les Abeilles construisent une cellule royale différente suivant le sexe de la larve transposée à l'intérieur.Les larves de mâles transposées dans les ébauches de cellules royales peuvent se nymphoser, mais un grand pourcentage de ces larves meurent peu de temps après l'operculation, mort qui peut être due à ces conditions inhabituelles dans laquelle les larves sont placées, en particulier leur position (verticale au lieu d'être horizontale).  相似文献   

11.
Résumé Pour toutes les classifications introduites entre 1923 et 1930, y compris le genreSabouraudides de la classificationOta &Langeron 1923, nous avons utilisé comme diagnoses celles que j'ai donné en 1924.Ces mêmes diagnoses peuvent être appliquées aux anciens genres cliniquesAchorion, Microsporon, Trichophyton etEpidermophyton, que les Dermatologistes préfèrent. Ces genres auront de ce fait une valeur mycologique basée sur les formes de reproduction des espèces et, ce que les Mycologues ne sauraient valablement contester. Nous pouvons ainsi adopter une seule classification sans préjudice pour le progrès de la Mycologie et qui sera en même temps accepté par les Dermatologistes que les nouveaux noms créés par les diverses classifications ont choqué et cet avis a été soutenu déjà par le Prof.Benedek.  相似文献   

12.
The vast majority of wild-type females of Lucilia cuprina are anautogenous. The survival of wild-type anautogenous females following emergence was compared with that of females from laboratory-selected autogenous strains, when deprived of sucrose and given ad lib access to water, deprived of water and given ad lib access to sucrose, or deprived of both water and sucrose.Anautogenous females survived substantially longer than autogenous females when only sucrose was supplied, but the opposite applied when the flies were supplied with water only. Anautogenous females survived somewhat longer than autogenous females in the absence of both sucrose and water. Thus, autogenous females might be at a disadvantage in the dry conditions which often prevail in areas occupied by the species.
Résumé La grande majorité des femelles de L. cuprina est anautogène. Cependant, l'observation de femelles autogènes dans la nature, et la sélection au laboratoire d'une lignée autogène à partir d'une souche anautogène indique que cette espèce est susceptible de devenir autogène.Le stade de développement ovarien des femelles capturées dans la nature montre que l'habitat est généralement carencé en aliments riches en protéines susceptibles de permettre le développement ovarien de L. cuprina. Dans de telles conditions, les femelles autogènes devraient être avantagées; leur très grande rareté indique que certains désavantages doivent être associés au génotype autogène. On a constaté que les femelles autogénes qui viennent d'émerger ont une teneur en eau plus faible que les anautogènes; ceci suggère que l'un des coûts possibles de l'autogénie pourraît être une aptitude réduite à supporter les périodes de privation d'eau suivant l'émergence. Pour cette raison, la survie de femelles sauvages anautogènes a été comparée à celles de lignées autogènes sélectionnées au laboratoire, en absence de sucrose, en présence ad lib. de sucrose, ou sans eau ni sucre.Pouvues uniquement de sucrose, les femelles anautogènes survivent 12 heures de plus que les autogènes, tandis qu'en présence exclusive d'eau les femelles autogènes survivent 19 heures de plus. En absence de sucrose et d'eau les femelles anautogènes survivent environ 5 heures de plus. Il semble que la mortalité des femelles autogènes privées totalement d'aliments est due principalement à un stress hydrique, tandis que le sucrose et le stress hydrique ensemble paraissent jouer un rôle dans la mort des femelles anautogènes. Ces résultats montrent que l'autogénie des femelles peut être un désavantage lors des conditions sèches fréquentes dans l'aire de cette espèce.
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13.
The influence of odours of fresh larval rearing medium and of con-specific adult males and females on the distribution of eggs laid by E. cautella, was studied in choice experiments. Odours of larval rearing medium localised oviposition in the vicinity of the medium. Airborne stimuli from pairs of con-specific males and females exerted a similar influence. The strength of the response of ovipositing females increased linearly with a logarithmic increase in the number of con-specific paris.Odours from adult males exerted a major influence in this response to pairs, although airborne stimuli from females may have played a minor role. Positive responses were obtained to odours from methylene chloride extracts of the wings and genitalia of males, but not to extracts of the rest of the body of males, or to female body parts.This response of ovipositing females is discussed briefly in relation both to its possible biological function and to the control of E. cautella.
Influence de stimuli odorants issus des adultes d'ephestia cautella, et véhiculés par l'air, sur le comportement de ponte de cette espéce

Résumé L'influence des odeurs propres d'un milieu d'élevage larvaire et celle des odeurs émises par les adultes de chaque sexe de même espèce, sur le choix du substrat de ponte des femelles d'E. cautella, ont été étudiées expérimentalement. Il est reconnu que les odeurs sui-generis du milieu d'élevage larvaire provoquent la ponte dans le voisinage immédiat de ce milieu; une influence analogue est mise en évidence, des stimuli odorants issus des mâles ou des femelles de cette même espèce. La réponse positive des femelles pondeuses s'accroît de façon linéaire et en fonction logarithmique avec le nombre de couples en présence (Fig. 1).Les odeurs émises par les mâles adultes exercent une influence prépondérante, bien que les mêmes stimuli issus des femelles puissent jouer un rôle mineur. Des réponses positives sont obtenues à partir d'extraits d'ailes et de genitalia mâles dans le chlorure de méthylène; les autres parties du corps du mâle ne sont pas attractives, de même que les extraits du corps des femelles.Cette réponse des femelles d'E. cautella, dans leur comportement de ponte, est discutée quant à sa signification biologique, mais aussi en vue d'une orientation plus localisée et plus efficace de la lutte contre cet insecte, dans les entrepôts de grains ou farine.
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14.
Résumé Pendant l'essaimage, les imagos ailés deNeotermes tectonae sont attirés en grand nombre par les branches mortes ou les chicots des cimes des arbres de teck (Tectona grandis). Ces parties mortes, pour la plupart d'origine non pathologique, s'observent en abondance dans les plantations serrées, et elles restent attachées aux arbres longtemps, se décomposant peu à peu. Pour établir leur loge, les imagos attaquent très souvent la moelle exposée aux endroits où une partie terminale s'est détachée, ou bien ils transpercent latéralement les branches pourrissantes. Ils n'utilisent que rarement d'anciens forages abandonnés. Les colonies primaires sont saprophages. Leurs galeries initiales suivent le fil du bois et sont tantôt dirigées vers le sommet, tantôt et le plus souvent vers la base des branches, ce qui s'explique peut-être par le plus fort degré hygrométrique des parties basales. Ordinairement, les galeries des colonies juvéniles s'étendent après un ou deux ans dans les parties vivantes de la cime ou du tronc, mais les colonies peuvent subsister pendant trois ans et plus sur le bois mort, atteignant exceptionnellement dans ce milieu la phase de première apparition des individus ailés. On peut trouver jusqu'à six colonies primaires dans la même branche. Bien qu'occupant la même partie limitée d'un arbre et possédant des galeries entremêlées, les colonies peuvent rester séparées très longtemps, du moins lorsque leur nombre n'excède pas deux. Les jeunes colonies vivent côte à côte avec d'autres espèces d'insectes utilisant le bois pourri comme nourriture ou, tels que les fourmis, comme abri. Une fois établies, les colonies paraissent ne subir que peu de pertes à la suite d'influences défavorables ou de prédateurs; chose curieuse, elles ne sont pas recherchées par les pics.

The preparation of this paper has been made possible thanks to a grant received from the Netherlands Organization for the Advancement of Pure Research (Z. W. O.).  相似文献   

15.
W. H. Schopfer 《Protoplasma》1941,36(1):546-557
Conclusions Nous confirmons la perméabilité et l'intrabilité du thiochrome pour les cellules des épidermes supérieurs des écailles de bulbesd'Allium. La très belle fluorescence bleue du thiochrome peut-être utilisée pour la détection intravacuolaire de cette substance à l'aide du microscope à luminescence. Le thiochrome fonctionne comme un fluorochrome vital, à action colorante très intense, dépourvu de toxicité dans les limites utilisées.Un certain nombre de caractéristiques sont indiquées, qui peuvent être utiles lors de l'utilisation du thiochrome en cytophysiologie: destruction par les UV, influence du pH sur la fluorescence. Dans des conditions de concentration déterminées du thiochrome et de l'acide ascorbique, le premier peut être utilisé comme indicateur fluorescent intracellulaire rendant visible l'intrabilité de l'acide ascorbique dans les cellules étudiées. La modification intracellulaire de la fluorescence bleue du thiochrome doit être attribuée avant tout à l'acidité de ce dernier. L'acide ascorbique utilisé sans solution tampon exerce une action toxique nette en concentration M/500, après 12 heures.La méthode peut-être éventuellement utilisée pour l'étude de l'intrabilité des acides.  相似文献   

16.
Résumé Les auteurs exposent les résultats de leurs recherches concernant l'existence, chez les dermatophytes, d'une exoenzyme capable de digérer la kératine. Ces recherches ont été motivées par le fait que, malgré la kératinophilie incontestable des dermatophytes, on ne trouve pas dans la littérature de spécialité, que peu de travaux concernant ce sujet, excepté peut-être le travail deStahl et collab. sur les ferments duMicrosporum gypseum. En imaginant un dispositif expérimental très simple, les auteurs ont obtenu la lyse complète de la kératine, par les dermatophytes, non seulement d'une façon directe, mais aussi indirecte, ce qui prouve l'existence, chez ces champignons, d'une exoenzyme capable de digérer la kératine. D'après les constations des auteurs, le ferment kératinolytique des dermatophytes ne provoque pas la disjonction des ponts, de forme — S — S —, qui unissent les chaînes polypeptidiques de la kératine. Son action se traduit par l'apparition et puis par la disparition, dans les lysats de la kératine, des noyaux cycliques dicétopipéraziniques et elle se poursuit jusqu'à ce que la kératine se décompose en amino-acides. Ces aminoacides ont pu être mis en évidence au moyen de la méthode chromatographique.
Summary The authors report on the results of their research concerning the existence of an exoenzym in dermatophytes able to digest keratin. These investigations were promoted by the fact that, inspite of their keratinophily, dermatophytes are almost unknown in the literature, as source of keratinolitic enzyms. Except for the work ofStahl and coll., concerning the keratinolitic enzym ofMicrosporum gypseum, this problem was little studied up to now. The authors of the present article, suggesting a very simple experimental model, demonstrated the complete digestion of keratin, by the dermatophytes, not only directly, but indirectly too, thus proving the existence, in this fungus, of an exoenzym able to decompose keratin. The authors were not able to demonstrate the disjunction of molecular bridges — S 3- S —, between polypeptidic chains, as caused by the ferment. Its activity manifests itself in the appearance and later disappearance of diketopiperazin rings in the products of keratin digestion. At last, keratin is decomposed into aminoacids, which could be evidenced by chromatographic method.
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17.
Résumé Nous avons observé depuis longtemps déjà que la FourmiCremastogaster scutellaris forme de grandes colonnes de récolte, formations stables pendant toute une saison. Dans une note précédente (1) nous avons montré qu'il est relativement facile d'étudier l'activité collective des ouvrières hors du nid en faisant varier les facteurs du milieu et en observant le comportement de ces colonnes. Il nous a été ainsi possible de déterminer l'existence d'un thermo-preferendum (situé aux environs de 25° pour cette espèce), pour lequel l'activité de la colonne est maxima. De même nous avons pu montrer que l'activité journalière de ces colonnes est arythmique et se trouve uniquement sous l'influence directe et mesurable de la température.Dans l'étude qui suit, nous avons cherché à savoir de quelle façon les facteurs externes déterminaient l'arrêt d'activité hivernal (hibernation) et la reprise d'activité printanière (rupture d'hibernation) des fourmilières deCr. scutellaris. Nous ne nous occuperons pas ici de ce qui se passe à l'intérieur de la fourmilière ni des incidences de l'hibernation sur le cycle biologique de la colonie (ceci fera l'objet de publicationsultérieures), mais simplement des phénomènes qui sont visibles à l'extérieur du nid et qui affectent les colonnes d'ouvriéres.  相似文献   

18.
Résumé Bruchus affinis Frölich (Coléoptère, Bruchidae), est une espèce univoltine attirée sélectivement par les fleurs de L. sylvestris, qui constitue l'une des trois plantes dont les larves consomment les graines. Il s'agit d'un insecte typiquement spécialisé à l'exploitation de plantes particulières. Cependant, les femelles distribuent leurs ufs sur les gousses jeunes de L. sylvestris sans tenir compte, ni de leur disponibilité en graines, ni du nombre d'ufs déjà présents, alors que le développement des larves est solitaire. Les larves néonates perforent la gousse et gagnent des ovules. Plusieurs larves peuvent atteindre le même ovule, mais une seule se développe dans la graine en formation. Le nombre d'ufs pondus sur les premières gousses dépasse largement le nombre de graines qui se développeront dans ces gousses. La surabondance d'ufs sur les premières gousses entraîne une forte mortalité.Les déplacements des larves dans les gousses et leur comportement de pénétration dans les graines en croissance ne suppriment pas la compétition intraspécifique larvaire.Aucune adaptation n'ajuste la distribution des ufs et la répartition des larves à l'utilisation optimale des disponibilités en graines. Aucune stratégie adaptative ne limite le gaspillage de progéniture; la spécialisation trophique n'a pas entraîné un comportement reproducteur optimisant l'utilisation des ressources et la survie de la descendance.Bien que la période étudiée corresponde à moins de 10% de la durée du cycle annuel de B. affinis, la très forte mortalité observée entre la ponte et l'installation dans les graines constitue vraisemblablement le facteur-clé des fluctuations annuelles de la population. Les causes de cette mortalité varient d'une station à l'autre, et il est impossible de les hiérarchiser.  相似文献   

19.
The length of the time young gypsy moth, Lymantria dispar L. (Lepidoptera: Lymantriidae), larvae remain in litter after failing from trees would help in understanding the impact of predation by ants, as ants appear to be important predators of gypsy moths only in litter. To obtain information on caterpillar litter residence times, visual activity of larvae was investigated in the laboratory by presenting them with vertical dark silhouettes of various widths in a 1 m wide cylindrical arena. Their limit of angular resolution was about 1°. This value helped to determine distances to trees caterpillars could be expected to orient toward from randomly-located points in a forest. These data were used with results on litter crawling speed of instars 1, 2, and 3 in a simulation model that generated litter residence times averaging serveral hours. By combining results with a previously-developed model of ant predation in forest litter, it was estimated that about half of unfed first instars falling into the litter would survive, whereas only about 10% of 2nd and 3rd instars would. The implications these results have for control of the gypsy moth are discussed.
Résumé La prédation par les fourmis du genre Formica spp. a une influence importante sur les premiers stades de L. dispar (Lepido., Lymantriidae) en Amérique du Nord. La durée du temps passé dans la litière par les jeunes chenilles après être tombées des arbres doit permettre de comprendre l'impact de la prédation par les fourmis. Pour connaître le temps de séjour des chenilles dans la litière, l'acuité visuelle des chenilles a été examinée au laboratoire en leur présentant des silhouettes noires verticales de différentes largeurs dans une arène circulaire de 1 m de diamètre. La limite de leur angle de résolution était d'environ 1°. Cette valeur a été utilisée pour déterminer les distances (jusqu'à 5 m) quelles que soient les orientations dans la forêt, d'arbres supposés susceptibles d'orienter les chenilles. Les arbres aux silhouettes acceptables étaient distribués uniformément entre 1 et 5 m.Les vitesses de déplacement dans la litière des stades 1, 2, et 3 ont été mesurées par observation directe dans la forêt (elles variaient de 0.9 à 1,54 cm/min). La distance des arbres et la vitesse de déplacement on servi à construire un modèle de simulation qui a donné un temps moyen de séjour de plusieurs heures. En combinant ces résultats avec un modèle précédemment publié de la prédation par les fourmis dans la litière de la forêt, qui utilisait le temps de contact des chenilles avec les fourmis et les taux de captures victorieuses pour estimer la mortalité, nous avons déterminé que la moitié environ des chenilles non alimentées de premier stade tombées dans la litière pourraient survivre, tandis que la survie pour le second et le troisième stade ne serait que de 10%. La discussion porte sur l'importance de ces résultats dans la lutte contre L. dispar.
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20.
A calculated correction factor due to food respiration is applied to the consumption term in energy budgets for invertebrates. The factor is expressed as a function of the growth rate of the invertebrates, the food respiration rate and the fraction of food remaining when changed. It is shown that applying this correction factor to several energy budgets balances them.
Résumé Il est bien connu que, dans les bilans énergétiques des invertébrés l'assimilation, calculée comme différence entre la consommation et la defécation, est supérieure à celle calculée comme addition de la production et de la respiration. Un terme de correction tenant compte de la respiration de la nourriture a été calculé pour être utilisé dans le calcul de la consommation. Il dépend de la vitesse de croissance des invertébrés, du taux de respiration de l'aliment et de la fraction qui en est consommée. Mais on constate que la vitesse de croissance des invertébrés n'influence que peu ce terme de correction, tandis que les deux autres facteurs, particulièrement la fraction de nourriture consommée, peuvent être très importants. La vitesse de croissance peut donc être considérée comme constante, ce qui permet un calcul exact du terme de correction. En l'appliquant à différents bilans énergétiques, les différences entre les deux estimations qui atteignaient 30% et 250%, se trouvent réduites à moins de 4%.
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