首页 | 本学科首页   官方微博 | 高级检索  
相似文献
 共查询到20条相似文献,搜索用时 125 毫秒
1.
Studies on the mating and ovipositional responses ofDiopsis macrophthalma Dalman (=D. thoracica Westw.) were carried out under field and screenhouse conditions. Chemoreceptors on the tarsi of the first pair of legs and on the ovipositor have a decisive role in the final selection of a site for oviposition. Generally, there was one egg per rice tiller and also one or two eggs per plant, the egg being laid on either the abaxial or adaxial leaf-blade surfaces or on the leaf sheaths. On the leaf blades, eggs were laid on or near the midribs and, as the plants got older, were either laid on the lower leaf blades or on the sheaths. Preferences for oviposition was observed among six rice cultivars, and rice was preferred for oviposition in comparison with sorghum. The possibility of utilising some of these results in a pest management programme is discussed.
Accouplement et comportement de ponte sur riz deDiopsis macrophthalma (Diopsidae)
Résumé L'accouplement et le comportement de ponte deDiopsis macrophthalma Dalman ont été étudiés dans le champ et sous abri. Les récepteurs chimiques de la tarière et des tarses des pattes antérieures jouent un rôle décisif dans la sélection définitive du lieu de ponte. Il y avait généralement un oeuf par drageon, et ainsi 1 ou 2 oeufs par plant de riz. Les oeufs étaient pondus soit sur les limbes des feuilles les plus éloignées ou les plus proches de l'axe, soit sur les gaines des feuilles; sur les limbes des feuilles, les oeufs étaient pondus sur (ou près) de la nervure médiane, et, quand la plante vieillissait, les oeufs étaient pondus soit sur les feuilles les plus basses, soit sur les gaines. Le choix entre 6 cultivars de riz a été examiné et en présence de sorgho la ponte a lieu de préférence sur riz. La possibilité d'utiliser certains de ces résultats pour l'organisation de la protection a été examinée.
  相似文献   

2.
Wheat (Triticum aestivum L.) and barley (Hordeum vulgare L.) stems in the Negev Desert of southern Israel are subject to mass infestations by stem sawflies larvae, primarily Trachelus tabidus F. (Cephidae, Hymenoptera). Infestations up to 55% and 50% in wheat and barley, respectively, were found in 1982/83. In addition, up to 8.6% of wild oat (Avena sp.) stems were cut by sawfly larvae in June 1983.The phenology of the insects was studied in 1981 to 1983 using yellow watertraps to catch adults and by dissecting infested stems to establish the pre-imaginal stages. Adults emerged at the end of February at magen and at the beginning of March at Gilat. Eggs and newly emerged larvae appeared in April. Larvae in diapause were found in cut stubs at the end of April and beginning of May. Pupae were found at the end of January and February.Of the sawfly specimens trapped in 1982 and 1983, the great majority was identified as T. tabidus and less than 5% as Cephus pygmaeus (Cephidae, Hymenoptera). The males of the sawflies appeared 4–6 days before the females, and were less numerous than them.About 12% of the larvae were parasitised by Tetrastichus sp. (Chalcidoidea, Eulophidae) in wheat, barley and wild oat, and about 4% by Collyria sp. (Ichneumoidea, Ichneumonidae) in wheat and barley stubs.
Résumé Les tiges de blé et d'orge subissent des attaques massives de tenthrèdes dans le désert du Négev au Sud d'Israël. Des attaques atteignant 55 et 50,4% ont été observée respectivement sur blé et orge en 1982/83.De plus, jusqu'à 8,6% de tiges d'avoine sauvage ont été coupées par les larves de tenthrèdes en juin 1983.La phénologie des insectes a été étudiée de 1981 à 83 en utilisant des pièges jaunes pleins d'eau pour capturer les adultes et en disséquant les tiges attaquées pour déterminer les stades préimaginaux.Les adultes ont émergé à fin de février et au début mars. Les oeufs et les larves sont apparus en avril. Les larves en diapause ont été trouvées dans les souches coupées à la fin de janvier et en février.La grande majorité de Cephidae adultes piégés en 1982 et 1983 a été identifiée Trachelus tabidus F., Cephus pygmaeus L. correspondait à moins de 5%. Les mâles de tenthrèdes sont apparus 4 à 6 jours avant les femelles qui étaient plus nombreuses.Environ 12% des larves étaient parasitées par un eulophide (Tetrastichus sp.) sur blé, orge et avoine sauvage, tandis que 3,6% l'étainent par un ichneumonide (Collyria sp.) dans les souches de blé et d'orge.
  相似文献   

3.
Conclusion et résumé Les Abeilles reconnaissent le sexe de la larve transposée dans les ébauches de cellules royales et réagissent en fonction de ce sexe: pour les larves de mâles, l'acceptation est toujours inférieure à celle des ouvrières et, quelquefois, elle peut être nulle pour des petits nombres de larves transposées. En outre, dans la partie orpheline de la ruche, les Abeilles construisent une cellule royale différente suivant le sexe de la larve transposée à l'intérieur.Les larves de mâles transposées dans les ébauches de cellules royales peuvent se nymphoser, mais un grand pourcentage de ces larves meurent peu de temps après l'operculation, mort qui peut être due à ces conditions inhabituelles dans laquelle les larves sont placées, en particulier leur position (verticale au lieu d'être horizontale).  相似文献   

4.
The susceptibility of sorghum to the shoot fly Atherigona soccata Rondani, (Diptera: Muscidae) is affected by seedling age and is highest when seedlings are 8–12 days old. This corresponds with high moisture accumulation on the central leaf which is the path of newly hatched larva as it moves downwards from the oviposition site, towards the growing apex. Studies showed that leaf surface wetness (LSW) of the central shoot leaf was higher in 10-day old seedlings than in seedlings of other ages. Similarly, LSW was much higher in the susceptible sorghum genotype CSH 1 than in the resistant genotype IS 2146. Larvae moved faster towards the growing point and produced deadhearts much earlier in CSH 1 than in IS 2146. They also moved faster in 10-day old seedlings than in seedlings of other ages. It was also shown that the leaf surface wetness of the central shoot leaf is a more reliable parameter of resistance than the glossy leaf trait or trichome density.
L'influence de la humidité de la surface foliaire sur le comportement de la mouche des pousses du sorgho
Résumé La sensibilité du sorgho à la mouche des pousses du sorgho, Atherigona soccata Rondani, est liée à l'âge de la plantule. Elle est plus forte lorsque la plantule est âgée de 8 à 12 jours et la sensibilité est maximale à 10 jours. A ce stade de croissance on observe une forte accumulation d'humidité sur la feuille centrale de la tige. Les jeunes larves traversent cette zone humide lorsqu'elles descendent vers la zone de croissance à partir des pontes déposées sur la face ventrale des feuilles déroulées.Des études ont été menées à l'ICRISAT (Inde) sur la relation entre l'humidité de la feuille centrale de la tige des plantules du sorgho et les dégâts provoqués par la mouche des pousses. L'humidité de la surface des feuilles (HSF) a été estimée grâce à une échelle visuelle graduée 1 à 5 où, 1 = pas d'humidité apparente et 5 = surface de la feuille recouverte de gouttes d'eau. La HSF est plus élevée sur des pousses de sorgho âgées de 10 j que sur les pousses appartenant à d'autres classes d'âge. Les valeurs observées sont également plus fortes pour les variétés non résistantes à ce ravageur (CSH 1,4.8) que pour les variétés résistantes (IS 2146, (2)). La vitesse du déplacement larvaire entre le cornet et la zone de la croissance varie en fonction de l'âge de la plante et des cultivars. Les larves migrent plus rapidement vers la zone de croissance et provoquent la mort du coeur du sorgho plus tôt dans la variété CSH 1 que dans IS 2146. Les larves se déplacent plus rapidement dans les pousses âgées de 10 j que dans les pousses appartenant à d'autres classes d'âge.Des études ont également démontré que la HSF n'est pas directement liée au caractère feuille lisse où à la densité des trichomes. La HSF est faible pour les génotypes résistants présentent où non le caractère feuille lisse. Par contre la HSF est élevée pour les génotypes non résistants présentant le caractère feuille lisse ou non. Aucune relation directe entre la densité des trichomes et les dégâts provoqués par la mouche des pousses n'a pu être mise en évidence. L'analyse des correlations établie pour les caractères de surface des feuilles avec la mort du cur des sorghos indique que les correlations sont faibles et non-significatives pour le caractère feuille lisse (0.49) et la densité des trichomes (0.39 et 0.2). Par contre les correlations sont fortes et significatives pour la HSF (0.82).On conclue que la HSF de la feuille centrale de la tige est un facteur important dans le déterminisme de la résistance du sorgho vis à vis de la mouche des pousses. Les relations entre les processus physiologiques de la plante et les facteurs impliquées dans l'accumulation d'eau sur la surface des feuilles font actuellement l'objet d'études détaillées.
  相似文献   

5.
Planthoppers and leafhoppers (Delphacidae and Deltocephalidae) were reared on a holidic diet for eight generations. On the holidic diet, nymphal stages were prolonged, but they became shorter after the fourth generation. The resulting adults showed no difference in sizes compared with the controls. The survival of nymphs was improved after the third and subsequent generations.
Résumé La Cicadelle Laodelphax striatellus a pu être élevée pendant huit générations successives sur un aliment synthétique de composition chimique connue, dérivé de deux utilisés par divers auterus pour des Aphides. On note un allongement de la durée de développement de chaque stade larvaire, bien qu'après la 4ème génération cette durée diminue, tout en restant plus grande que pour les témoins. Les adultes obtenus ne présentent pas de différence de taille par rapport aux témoins, mais on remarque qu'ils sont tous du type macroptère, alors que quelques brachyptères apparaissent toujours dans les élevages sur pousses de riz, particularité déjà signalée à propos d'Aphides. La mortalité larvaire sur milieu alimentaire synthétique est élevée, mais le pourcentage de survie s'améliore de génération en génération pour égaler ou même surpasser celle des témoins à la 8ème génération. La fertilité des femelles élevées sur aliment synthétique est considérablement amoindrie.D'autres Homoptères, Delphacidae et Deltocephalidae ont été élevés sur ce même milieu de l'éclosion jusqu'au stade adulte.
  相似文献   

6.
The duration of larval and pupal stages of two species of predatory flies was investigated at five constant temperatures. Ilione albiseta (Scopoli): Mean duration of first and second instars was shortest at 23°C and there was 100% survival of first instar larvae at all temperatures. Mean third instar larval duration decreased from 104 days at 17°C to 27.5 days at 26°C. Total percentage larval survival was greatest at 17°C and least at 26°C. Mean pupal duration decreased as temperature increased and this occurred also under outdoor conditions. Pherbellia cinerella (Fallén): As temperature increased mean larval duration decreased but the percentage of larvae pupating also decreased (100% at 14°C, 33.3% at 26°C). There was a trend for shorter mean pupal durations at higher temperatures.
Résumé L'action de la température a été examinée à 14, 17, 20, 23 et 26°C. Les 2 espèces sont prédatrices de L. truncatula, vecteur de la douve du foie en Irlande, où elle provoque à l'àgriculture une perte évaluée à 10 millions de livres par an. Les données recuellies en conditions contrôlées du laboratoire doivent permettre de définir les conditions optimales pour l'élevage continu de ces espèces. Ceci est indispensable pour évaluer, dans la nature leurs potentialités pour la lutte biologique. Ilione albiseta: C'est à 23°C que le développement des larves de premier et second stades sont les plus brefs; la survie du premier stade est totale à toutes les températures constantes examinées. La durée moyenne du 3ème stade décroît de 104 jours à 17°C jusqu'à 27,5 jours à 26°C. Le taux de survie total est plus élevé à 17°C qu'à 26°C. La durée moyenne de la nymphose diminue quand la température croît, et ceci se produit aussi à la température ambiante extérieure. On réduit de moitié la durée du développement de l'éclosion de l'oeuf à l'apparition de l'adulte, entre la nature et le laboratoire, en utilisant respectivement: 23°, 17° et 26°C pour les premier et second stades, le troisième stade, la nymphé. Cela devrait aider à multiplier la souche pour la lutte biologique. Pherbellia cinerella: Avec élévation de la température la durée du développement larvaire diminue, mais aussi le nombre de larves parvenant à la pupaison (100% à 14° et 33,3% à 26°C). La nymphose tendait à être plus brève aux températures les plus élevées.
  相似文献   

7.
Résumé On peut rendre horizontaux les rayons d'une ruche et verticaux ceux d'un nid de guêpes sans perturbations visibles pour l'élevage ou le comportement des ouvrières.Les abeilles réparent très facilement et immédiatement les trous creusés dans les cellules d'ouvrières ou de reines, elles posent sans difficulté un fond aux cellules d'ouvrières si on l'a enlevé. Elles tordent une lame de cire perpendiculaire aux rayons pour la mettre en position parallèle.Les abeilles peuvent déposer leur miel dans les trous d'une plaque de bois, dans des rayons de métal ou de plastique; elles peuvent élever leur couvain dans des rayons de plastique et leurs reines dans des cellules de verre ou de plastique. Les guêpes peuvent operculer avec du carton les rayons des abeilles. Les guêpes souterraines dont on vient de déterrer le nid le couvrent de terre et l'enterrent en creusant au-dessous. Si une plaque de métal glissée au-dessous s'y oppose, elles le reconstruisent peu à peu de manière à l'amener sur le bord de la plaque et à l'enterrer à nouveau.  相似文献   

8.
Fall armyworm larvae, Spodoptera frugiperda (J. G. Smith), were exposed to leaf disks treated with the feeding deterrent aristolochic acid under two types of regimes: In group 1, untreated leaf tissue was replenished as soon as it was consumed; in group 2, the control tissue was not replenished. A strong feeding deterrence was evident during the early stages of the assay in both groups, but eventually declined in group 2. When the experiment was continued through a second 24 h period, the control tissue was not replenished for either group. During this second trial, group 2 larvae, which had previously fed on treated tissue, fed more rapidly on treated tissue than did group 1 larvae. Moreover, group 2 larvae fed more readily and extensively on treated tissue than they had in the first trial.The time for the onset of behavioral desensitization was determined by subtracting the median onset of feeding on untreated tissue from the median interval between when a larva finished all of the control tissue and when it started feeding on treated tissue under no-choice conditions. Once larvae began to feed on treated tissue, their rate of consumption was equal to that of larvae feeding on control tissue.A general model for determining the onset and degree of desensitization was developed. The implications of these results for future experiments aimed at determining the underlying physiological mechanisms and the use of antifeedants in plant protection are discussed.
Résumé L'avenir des phagodissuadants en protection des cultures dépend, en particulier, de l'aptitude des insectes à devenir insensibles à ces substances. Les phagodissuadants sont classés en relatifs ou absolus, suivant que les insectes consomment les tissus traités ou se laissent mourir de faim. Cette propriété dépend beaucoup de la structure chimique, mais les paramètres biologiques n'ont pas été étudiés à fond.Des expériences ont donc été entreprises pour apprécier les effets combinés de jeûne et d'autres facteurs physiologiques dans l'apparition et l'évolution de la désensibilisation chez une espèce polyphage: Spodoptera frugiperda (Lep. Noctuidae). Des expériences préliminaires ont montré qu'un alcaloïde, l'acide aristolochique, est un puissant phagodissuadant pour S. frugiperda. Les chenilles, réparties en deux groupes expérimentaux, ont toutes été isolées et ont reçu chacune deux feuilles de Phaseolus lunatus: une témoin et une traitée avec 1000 ppm. Dans le groupe 1), les feuilles étaient remplacées dès consommation; dans le groupe 2), elles ne l'étaient pas.Un puissant effet dissuadant a été observé tout au long de l'expérience pour le groupe 1); dans le groupe 2), les chenilles ont finalement consommé les feuilles traitées. L'apparition de la désensibilisation était liée au jeûne. Quelques individus ont commencé à s'alimenter sur la rondelle traitée 3,5 heures aprés avoir totalement consommé la rondelle témoin; le temps médian du début de cette consommation a été de 5,7 h. Une fois la répulsion surmontée, les chenilles ont consommé le feuillage traité de la même façon que le feuillage témoin.Les expériences ont été recommencées avec les mêmes insectes, mais sans que les feuilles témoins aient alors été remplacées dans aucun des 2 groupes. Dans cette seconde expérience, les chenilles, qui avaient précédemment consommé des feuilles traitées, sont à nouveau dissuadées lors de choix binaires; cependant elles ont mangé plus rapidement les feuilles traitées, que ne l'ont fait les chenilles qui avaient disposé d'une source inépuisable de feuilles témoins. Elles se sont alimentées aussi plus facilement et plus généralement au cours de cette seconde expérience qu'au cours de la première. Quoi qu'il en soit, les deux groupes ont présenté finalement une désensibilisation.Un modèle mathématique général est proposé pour évaluer l'apparition et l'évolution de la désensibilisation. Les possibilités d'utilisation des phagodissuadants dans la protection des cultures sont discutées à la lumière de ces résultats.
  相似文献   

9.
Crosses between white and black color morphs of the Colorado potato beetle, Leptinotarsa decemlineata Say, used as genetic markers, showed that male beetles ride and guard females to achieve the three copulations required to fill the spermatheca. Multiple matings are necessary for the females to realize their full reproductive potential. Sperm mixing occurs in the spermatheca providing partial sperm precedence. The data support the competitive mate searching theory.
Résumé Différentes combinaisons d'accouplements entre des mutants noirs et blancs du doryphore de la pomme de terre, Leptinotarsa decemlineata, servirent à étudier le comportement de guarde de la femelle par le mâle après un premier accouplement. Les résultats indiquent que le sperme de deux mâles accouplant la même femelle se mélange dans la spermathèque assurant ainsi un certain niveau de précédence du sperme du dernier mâle.La masse de sperme dans la spermathèque était inférieure à sa capacité chez les femelles ayant été accouplées une ou deux fois. Le doryphore mâle aurait donc avantage à demeurer sur la femelle après un premier accouplement afin d'obtenir le minimum de trois accouplements requis pour remplir la spermathèque avant que les autres mâles puissent accoupler cette femelle. Les autres mâles ont avantage à essayer de dérober cette femelle pour remplir eux mêmes la spermathèque ou tout au moins profiter d'une certaine précédence du sperme du dernier mâle pour fertiliser une partie des oeufs.Sans accouplements multiples, la femelle ne possède pas suffisamment de sperme pour féconder tous ses oeufs. II semble aussi que les accouplements répétés puissent augmenter sa fécondité.Les résultats supportent une stratégie reproductive de compétition plutôt qu'une simple maximisation du nombre d'accouplements.
  相似文献   

10.
The repellent and acaricidal properties of known tick repellents were studied in the laboratory with an in vivo model which utilizes a natural host, the gerbil Meriones tristrami. Diethyl toluamide, benzyl benzoate and dimethyl phthalate were repellent in descending order to the pre-imaginal stages of the ixodid Hyalomma excavatum. While dimethyl phthalate was practically devoid of acaricidal properties, benzyl benzoate was almost as effective an acaricide as a repellent, and diethyl toluamide was a better acaricide than repellent on larvae.Inactivating the gerbil host with tranquilizers greatly enhanced the persistence of dimethyl phthalate. This implies that a good portion of the repellent was eroded mechanically by the animal's activity.
Étude au laboratoire de répulsifs a l'égard des tiques
Résumé Les propriétés répulsives et acaricides des isomères ortho-et meta-diethyl toluamide (O-DET et M-DET), du benzyl benzoate (Bb) et du dimethyl phthalate (DMP) ont été étudiées au laboratoire, par une méthode in vivo, en utilisant le Merion (Meriones tristrami)—un hôte naturel des tiques. Larves et nymphes d'Hyalomma excavatum Koch, ont été employées dans notre étude. Les concentrations de Bb causant 50% et 90% de mortalité (LC50 et LC90) sur les nymphes, ont été respectivement de 1,1% et 2,5%. Les concentrations causant 50% et 90% de répulsion à l'égard des tiques, dans les mêmes conditions, ont été respectivement de 0,88% et 2,0%. Les valeurs de RC50 et RC90 pour le DMP ont été respectivement 0,4% et 1,1% pour les larves et 2,6% et 7,6% pour les nymphes. Du point de vue du pouvoir acaricide, le DMP a montré une très faible activité. Quant à l'O-DET, les doses répulsives et acaricides évaluées par les RC50 et LC50 ont été respectivement de 0,2% et 0,24% pour les larves et de 0,31% et 0,62% pour les nymphes. Les résultats obtenus pour l'isomère meta-DET ont été semblables. La persistance de DMP sur le Merion a été étudiée sur les animaux traités, soit actifs, soit immobilisés par l'administration d'un tranquilisant—le Vetacalm (Veterinaria A.G., Zurich, Suisse).Sur les animaux actifs, traités par du DMP aux concentrations de 2,82% et de 5,64% l'activité répulsive déterminée après 24 heures est tombée respectivement à zéro et à 69% de l'activité initiale. Dans les mêmes conditions, des animaux immobilisés par traitement tranquilisant ont conservé 86% et 100% de l'activité répulsive initiale. Des essais réalisés 72 heures après le traitement avec le DMP ont donné des résultats identiques.L'utilisation des substances répulsives présente certains avantages sur celle des insecticides, notamment, étant non-toxique pour les animaux et ayant un pouvoir sélectif négligeable envers la population de l'arthropode traitée.
  相似文献   

11.
The resistance to desiccation of six species of centipedes comprising four geophilomorphs, one lithobiomorph and one scolopendromorph, was measured. Spiracle structure was investigated in the geophilomorphs and it is suggested that the size of the spiracular opening and the degree of development of the lappets in the spiracle cup may be important in controlling the rate of water loss in geophilomorph species. The amount of water loss causing death appeared to be the same in all species and is therefore not a cause of different resistances to desiccation in the species studied.
Résumé La résistance à la dessiccation de six espèces de centipèdes (quatre géophilomorphes, une lithobiomorphe et une scolopendromorphe) a été mesurée. La structure des orifices spiraculaires des géophilomorphes a été examinée et l'auteur suggère que les dimensions des orifices spiraculaires et le degré de développement des valves dans la cupule spiraculaire sont importants pour le contrôle du degré de la perte d'eau chez les espèces géophilomorphes. La quantité de perte d'eau causant la mort semblait être la même pour toutes les espèces et n'est donc pas une cause de différentes résistances à la dessiccation chez les espèces examinées.
  相似文献   

12.
The effects of 6, 7-dimethoxy-2, 2-dimethyl chromene (precocene II) on pre-imaginal development in Aedes aegypti were determined by exposure of eggs, larvae and pupae to this botanically derived compound. Precocene II prevented adult emergence when newly hatched larvae were exposed to dosages ranging from 2 to 4 ppm. Pupation was inhibited when early 4th-instar larvae were exposed to dosages ranging between 1 and 10 ppm. Fourth-instar larvae treated at concentrations above 0.1 ppm, also required more time to complete metamorphosis than controls. The pupal and egg stages were insensitive to treatments at concentrations up to 10 ppm.
Les effects du 6, 7-dimethoxy-2, 2-dimethyl chromé sur le développement des stades prémiginaux aegypti, (diptera: Culcicae)
Résumé Les stades préimaginaux d'Aedes aegypti ont été exposés à des concentrations de l'ordre de 0,1 à 10 ppm de 6,7-dimethoxy-2,2-dimethyl chromène un composé extrait des plantes et manifestant des propriétés anti-allatotropes. De telles substances induisent en particulier une métamorphose précoce chez Oncopeltus et pour cette raison ont été appelées «précocènes». Les ufs et le stade nymphal sont insensibles à cette game de doses, mais le ler et le 4ème stade larvaire sont affectés de diverses façons. Les larves nouveaux-nées, soit ne muent pas, soit subissent un assombrissement de leur cuticule quand elles sont exposées à des concentrations de 2 à 6 ppm. La nymphose est empêchée quand les larves du début du 4ème stade larvaire sont exposées à des doses de 1 à 10 ppm. Les individus atteints restent à l'état de larve âgée et ne se transforment pas en nymphe. La durée du développement du ler et du 4ème stade larvaire est accrue de plus de 100% après des expositions à des doses de 4 à 10 ppm, respectivement.A la différence des réponses signalées antérieurement pour Oncopeltus fasciatus, les larves traitées ne subissent pas de métamorphose précoce. Ainsi, il est manifeste que ces composés affectent de façon diverses les processus endocrines associés à la mue, plutôt que d'exercer un effet direct antiallatotrope.
  相似文献   

13.
Females of Adoxophyes orana F. v. R. (Lepidoptera: Tortricidae) could mate after one day, or after up to 7 days, after eclosion. It was recorded how many eggs per female were laid, had been fertilized and ultimately hatched. Mating rate was assessed by counting the spermatophores in a female.Egg production did not depend on mating rate, but proportion fertilization of eggs from females with three or more spermatophores was reduced. Delayed mating promoted longevity and changed the pattern of oviposition in time. No correlation was found between the proportion hatching of fertilized eggs and any of the other variables in the experiments.The data were introduced into a population model to compute the relation between fecundity and probability to mate.
Effets du nombre d'accouplements et du retard de la date du premier accouplement sur la fécondité de Adoxophyes orana
Résumé Des femelles de A. orana F. v. R. (Lep., Tortricid.) ont eu la possibilité de s'accoupler le lendemain de leur émergence. Nous avons dénombré l'effectif d'oeufs pondus par chaque femelle, et calculé leur taux de fertilisation et d'éclosion. Les femelles ont été disséquées et les spermatophores comptés pour déterminer le nombre de copulations. La même procédure a été suivie avec d'autres femelles qui ont pu copuler librement jusquà leur mort, (leur longévité a été notée), mais avec une date du premier accouplement pouvant être retardée jusqu'à 6 jours après l'émergence.La production d'oeufs ne dépend pas du nombre de copulations, mais le taux de fertilisation des femelles avec 3 ou 4 spermatophores a été plus faible. Le retard de la date du premier accouplement augmente la longévité, mais réduit légérement le taux de fertilisation. La production d'oeufs était à peu près proportionnelle à la durée de la vie décomptée à partir du moment où la copulation était possible. Aucune corrélation n'a été mise en évidence entre la taux d'éclosion des oeufs fertilisés et les variables de l'habitat.Pour évaluer ces résultats et obtenir plus de connaissances sur les conséquences des copulations retardées, par exemple provenant de procédures d'interruption des copulations, les données ont été introduites successivement dans un modèle de populations pour établir la relations entre fécondité et probabilité d'accouplement.
  相似文献   

14.
René Molinier 《Plant Ecology》1959,8(5-6):340-383
Conclusions La Provence apparaît, en définitive, comme un territoire des plus variés aux divers points de vue climatique, édaphique, biotique.C'est une région d'autant plus favorable aux études phytosociologiques que la variété des milieux s'y double d'une brutalité souvent étonnante des contrastes, conduisant à la juxtaposition parfois extrêmement précise d'associations végétales très différentes, dont les limites peuvent alors être cartographiquement figurées avec une très suffisante exactitude.Cette vigueur des contrastes est surtout marquée en Provence calcaire où les divers termes des séries évolutives dérivant du Quercetum ilicis climacique ou y conduisant, se juxtaposent souvent sans transition de quelque importance.Les contrastes sont cependant moins accusés en Provence cristalline et dans la Basse-Vallée du Rhône.En Crau comme en Camargue, les associations végétales se juxtaposent souvent en ceintures parallèles ou concentriques — elles s'individualisent alors facilement —, souvent en mosaïques irrégulières, au grè des variations locales des deux facteurs déterminants: l'eau en Crau, le sel en Camargue.En Provence cristalline, les Maures étant surtout faites de roches se délitant facilement (grès, micaschistes et phyllades) sous un climat chaud et humide, le sol se reconstitue facilement après sa destruction partielle par l'érosion; les contrastes sont moins tranchés; on observe des transitions nombreuses entre les divers termes des séries évolutives, dont les limites ne peuvent être fixées qu'approximativement. Nous y avons notamment abordé le problème de la forêt de chêne-liège dont la signification est loin d'être connue, non seulement en Provence mais sur toute l'étendue de son aire, en Afrique du Nord, en Espagne, au Portugal, en France méridionale, en Italie et dans les Iles de la Méditerranée occidentale.En provence cristalline, il est certain que l'homme en a considérablement assuré l'extension, directement pour l'utilisation du liège, indirectement par la coupe et le feu, et, en bien des points de la Méditerranée occidentale, le chêne-liège se présente comme une essence cultivée.Par ailleurs rien ne permet de mettre en doute son indigénat. Mais, dans les conditions actuelles du milieu en Provence cristalline:le chêne vert est possible partout;dans les conditions naturelles de la concurrence vitale le chêne vert l'emporte sur le chêne-liège.Si, donc, la forêt originelle a comporté le chêne-liège, ce ne peut être qu'à l'état d'essence secondaire et seulement en quelques points où une faible couverture forestière lui permettait de cohabiter avec le chêne vert.Les documents cartographiques au I/20 000e tendent à montrer, d'aileurs que, dans les conditions naturelles de reconstitution de la forêt ou dans le peuplement naturel des sols neufs (Isthme de Giens), c'est la chênaie de chêne vert, non la chênaie de chêne-liège qui s'installe.Les grandes unités phytosociologiques de la Provence paraissent être maintenant convenablement définies floristiquement; il convient donc d'en poursuivre l'étude écologique, dont certains aspects seulement les plus apparents—mais peut-être pas toujours les plus actifs-, ont été abordés.Notons enfin la démonstration faite, au cours de l'excursion, de la parfaite application possible des méthodes phytosociologiques à l'étude des groupements marins et la nécessité, particulièrement apparente en milieu marin, de considérer tout autant les animaux que les végétaux. L'avenir est bien aux biocénoses dont les grands traits ont été mis en évidence, quant à la côte de la presqu'île de Giens, par Roger Molinier.Reçu par la rédaction le 20. XII. 1958.avec la collaboration de ROGER MOLINIER pour la partie marine et G. TALLON pour la Camargue.  相似文献   

15.
Feeding behavior of biotype E greenbugs from populations maintained either on corn or sorghum was studied on four corn germplasm entries and two sorghums using a computerized electronic insect feeding monitor. Greenbug fecundity and weight were also measured. Both populations showed differences in time to committed phloem ingestion and time spent ingesting phloem among plant entries, but the two populations did not respond similarly to each entry. Corn-reared greenbugs fed more readily on resistant sorghum than did sorghum-reared greenbugs, whereas sorghum-reared greenbugs fed more readily on some corn. Feeding behavior was not correlated with fecundity. Corn-reared greenbugs were equally or more fecund than sorghum-reared greenbugs on all entries. Time to committed phloem ingestion was negatively correlated with adult weight in the corn-reared population. Offspring of corn-reared greenbugs attained equal or greater weight than those of sorghum-reared ones, even though corn-reared greenbugs weighed less on their colony host (OH45) than did sorghum-reared greenbugs on their colony host (NC + 630X). Weight and fecundity were positively correlated across both populations and all entries, but both greenbug populations were more fecund and weighed more on sorghum and Antigua corn than on the other corn entries. The results confirm that biotype E greenbugs can colonize and use corn as a host, although they are more fecund on sorghum. The results also suggest that corn-reared greenbugs are different from sorghum-reared greenbugs because of either genetic or physiological adaptation, with a corresponding change in fecundity and adult weight. The implications of these results for biotype development are discussed.
Résumé Le comportement alimentaire du biotype E de S. graminum, provenant de souches maintenues soit sur maïs (OH45), soit sur sorgho (NC + 630X) a été examiné sur 4 cultivars de maïs (Antigua, AP670, OH45 et 2570), un sorgho sensible (NC + 630X) et un résistant (PI264453), à l'aide d'un enregistreur électronique à programme d'analyse. La fécondité et la poids ont été analysés séparément. Les résultats des souches on été comparés en fonction des cultivars, et les relations entre comportement alimentaire, fécondité et poids analysées.Le comportement alimentaire des différentes souches sur sorghos résistants et sur 2 cultivars de maïs (2570 OH45) ont divergé, mais pas toujours dans la même direction. Par exemple, les insectes élevés sur maïs ont consommé plus facilement le sorgho résistant que ne l'ont fait les insectes élevés sur sorgho, tandis que le contraire a été observé avec le maïs OH45. Les 2 souches ont montré le même comportement alimentaire sur les différents cultivars. Le maximum de temps à été consacré à s'alimenter sur sorgho résistant et le moins sur le maïs AP6.70.Bien qu'il n'y ait eu aucune différence entre les comportements alimentaires des souches élevées sur maïs et sur sorgho, elles ont présenté des différences de poids et de fécondité. Ces résultats ont montré l'absence de corrélation entre l'ingestion de phloème (PI) et le moment de la première consommation de phloème (CPI) d'une part, et la fécondité d'autre part. Sur tous les cultivars, les insectes élevés sur maïs ont toujours été au moins aussi féconds que ceux élevés sur sorgho. Il en est de même pour le poids de leurs descendants, bien que les insectes élevés sur maïs pèsent moins sur leur hôte propre (OH45) que les insectes élevés sur sorgho sur leur hôte propre (NC + 630X). Les corrélations entre poids et fécondité ont été positives dans les 2 souches et pour tous les cultivars, mais les 2 souches ont été plus fécondes et ont gagné plus de poids sur sorgho et sur le cultivar Antigua de maïs que sur les autres cultivars de maïs. Or, les sorghos et le maïs Antigua sont considérés comme manquant de DIMBOA, qui doit être vraisemblablement présent dans les autres cultivars de maïs. DIMBOA est undacide hydoxamique commun dans le maïs connu pour réduire la fécondité, la survie et la prise de nourriture des hétéroptères.Ces résultats confirment les possibilités de colonisation du maïs par le biotype E de S. graminum, bien qu'il ait été plus fécond sur sorgho. Ces résultats suggèrent aussi que les insectes élevés sur maïs sont différents des insectes élevés sur sorgho, par adaptation génétique ou physiologique, avec modification concomitante du poids des adultes et de la fécondité. Par suite de ces différences, les insectes élevés sur maïs sont plus aptes à utiliser le maïs et le sorgho résistant que les insectes élevés sur sorgho. Tout ceci suggère les possibilités de développement d'un biotype dangereux pour le maïs.
  相似文献   

16.
Summary Optimal conditions for the production of glucoamylase from rice bran usingAspergillus terreus in stationary culture were a medium containing 20 g rice bran/l, 0.3% (w/v) (NH4)2SO4 and 0.2% (w/v) peptone at 30°C with an initial pH of 3.0. Enzymatic activity was maximal after 4 d. Glucose was the major reducing sugar produced by hydrolysis of starch. Carbohydrates favouring induction of glucoamylase were, in order: maltose, starch, cellobiose, lactose, glucose, fructose and galactose. Amino acids, in particular glycine, lysine, isoleucine and histidine, were vital for glucoamylase synthesis. Tween 80 and Triton X-100 enhanced the growth but suppressed glucoamylase synthesis.
Conditions de culture pour la production de glucoamylase à partir de son de riz parAspergillus terreus
Résumé Les conditions optimales pour la production de glucoamylase à partir de son de riz en utilisantAspergillus terreus en culture en état stationnaire, consistent en un milieu contenant 20 g de son de riz par litre, 0.3 % (poids/vol.) de (NH4)2 SO4 et 0.2 % (poids/vol.) de peptone, à 30 °C avec un pH initial de 3.0. L'activité enzymatique est maximum après 4 jours. Le glucose est le principal sucre réducteur produit par hydrolyse de l'amidon. Les hydrates de carbone qui favorisent l'induction de la glucoamylase, sont, dans l'ordre: le maltose, l'amidon, la cellobiose, le lactose, le glucose, le fructose et le galactose. Les acides aminés, en particulier la glycine, la lysine, l'isoleucine et l'histidine sont vitales pour la synthèse de glucoamylase. Le tween 80 et le triton X-100 augmentent la croissance mais suppriment la synthèse de glucoamylase.
  相似文献   

17.
High performance liquid chromatography was used for amino acid analysis of phloem sap from oats and barley. The sap was obtained from severed stylets of the aphid Rhopalosiphum padi (L.) excised by means of high frequency microcautery. Qualitative differences between the cereals were negligible. The proportions of different amino acids largely resembled those demonstrated for whole leaf extracts. Samples gave very weak detector responses when dissolved in water and kept at room temperature. Explanations for this are discussed and a technique to prevent this deterioration is described.
Résumé Au cours d'un programme de sélection contre Rhopalosiphum padi L. nous avons utilisé la micro-cautérisation à haute fréquence et la chromatographie liquide à haute performance pour obtenir de la sève du phloème de variétés sensibles d'avoine et d'orge, et pour analyser les acides aminés libres d'échantillons réduits (nl) de sève. Les résultats ont montré des teneurs en acides aminés libres plus élevées dans l'avoine que dans l'orge. Il n'y avait pas de différences qualitatives entre les deux céréales et les proportions en différents acides aminés correspondaient à celles obtenues par extraits totaux de feuilles. Quand les échantillons ont été dissous dans l'eau, les réponses obtenues étaient très faibles et une nouvelle technique a été utilisée pour y palier. L'utilité de cette méthode dans l'étude de l'écologie alimentaire des insectes suçeurs de sève est indiquée.
  相似文献   

18.
The egg laying pattern of the spotted stalk borer on sorghum and maize, Chilo partellus (Swinhoe) (Lepidoptera: Pyralidae) was studied during the first three nights of oviposition under laboratory conditions. More than 50% of both eggs and egg batches are laid during the first night of oviposition. Batch size decreases with time, whereas mean egg weight remains constant.Larger females lay both larger eggs and egg batches than smaller ones. They are also more fecund but it is only the second night of oviposition that contributes significantly to this difference.The reproductive effort decreases much with time. Allocation of reproductive reserves to early eggs seems more important than having eggs evenly distributed over time. Larger females use proportionally more resources to the production of late eggs. Large eggs are likely to contain more yolk which could be of importance for the ballooning behaviour of newly hatched larvae.
Résumé La ponte de C. partellus Swinhoe a été étudiée au laboratoire pendant les trois premières nuits de la ponte. Plus de 50% des ooplaques et des oefs ont été pondus pendant la première nuit. La taille des ooplaques diminue avec le temps, tandis que le poids moyen des oeufs reste constant.Les grosses femelles pondent des ooplaques et des oeufs plus grands que les petites. Elles sont aussi plus fécondes, mais c'est seulement à la seconde nuit de ponte qu'est due cette différence.Le reproduction diminue beaucoup avec le temps. L'affectation aux premiers oeufs des réserves utilizées pour la reprodution semble plus importante que l'émission d'oeufs régulièrement répartis dans le temps. Les grosses femelles utilisent proportionnellement plus de ressources à la production d'oeufstardifs. Les gros oeufs contiennent vraisemblablement plus de vitellus que pourrait être nécessaire pour le comportement aérostatique des chenilles néonates.
  相似文献   

19.
A reproductive age-grading system is presented for female Musca vetustissima based on length and yolk content of developing follicles. Ovarian development rate models are also presented for estimating reproductive and chronological ages of females under laboratory and field conditions. Maturation rates are determined primarily by temperature, but are also influenced by protein-availability and fly size (adult headwidth). Females of average size (2 mm headwidth) require 70 and 38 day degrees above 8°C respectively to mature their first and subsequent egg complements. Under suboptimal protein-feeding regimes in the laboratory, females experienced variable periods of arrested development prior to vitellogenesis. These females also resorbed part of their egg complements, but their ovarian development rates were unaffected by oocyte resorption. Under field conditions, females develop their ovaries at near expected rates, requiring only 5 and 2 day degrees more than expected, repectively, to complete their first and each subsequent ovarian cycle.
Résumé Une échelle de classement est élaborée d'après l'âge des femelles de Musca vetustissima, en se basant sur la longueur et la teneur en vitellus des follicules en croissance. Des modèles de développement ovarien sont proposés pour évaluer les âges chronologique et reproductif, dans les conditions de laboratoire et de la nature. La vitesse de maturation est déterminée avant tout par la température, mais elle est aussi influencée par la disponibilité en protéines et la taille de l'adulte (largeur de la tête). Des femelles de taille moyenne (2 mm de largeur de tête) ont besoin de 70 et 38 degrés/jours au-dessus de 8°C pour conduire successivement à maturité leur premier et leur second lots d'oeufs. Au laboratoire, avec une alimentation protéique inférieure à l'optimum, le développement des femelles est interrompu pendant des durées variables avant le début de la vitellogenèse. Ces femelles résorbent aussi une fraction de leur lot d'oeufs, mais les vitesses de développement ovarien n'ont pas été modifiées par cette résorption. Dans la nature, le développement ovarien s'effectue à peu près à la vitesse prévue, demandant seulement 5 jours de plus que les prévisions pour accomplir leur premier cycle ovarien, et ensuite 2 jours de plus que prévu pour accomplir chaque cycle supplémentaire.
  相似文献   

20.
Résumé La production des castes, notamment des nymphes, futurs imagos ailés et des ouvriers chez leReticulitermes lucifugus est soumise à un cycle biologique annuel. L'auteur montre que dans les colonies naturelles les nymphes apparaissent quelques semaines après l'essaimage des jeunes imagos, vers la fin du printemps en une fois et en grande quantité. Elles se développent pendant l'été et arrivent en automne à l'avant-dernier ou même au dernier stade avant la mue imaginale. En hiver le développement de la colonie est normalement arrêté par le froid. Au début du printemps les nymphes se transforment en imagos et quittent la colonie. Pendant le repos hivernal les sexuées femelles accumulent beaucoup de corps gras et, au moment où les grandes nymphes se transforment en imagos, une ponte massive se produit dans le nid. Après la disparition des imagos la colonie voit son potentiel nutritif considérablement augmenté, puisqu'il n'y a plus de nymphes à nourrir. Pour cette raison les larves, à leur tour bien alimentées, peuvent se transformer en nymphes. Celles-ci, par leur croissance et leur constant besoin de nourriture, abaissent de nouveau le potentiel alimentaire. En conséquence de cette baisse, les larves qui apparaissent pendant l'été et l'automne sont mal nourries et donnent des ouvriers.Si les colonies deReticulitermes l. santonensis ont leur nid dans une maison bien chauffée en hiver, comme c'est le cas dans quelques immeubles de La Rochelle, lecycle annuel peut se transformer encycle semestriel. Les nymphes formées au printemps arrivent à l'état imaginal en automne et essaiment alors. Quand ils quittent la colonie un nouveau cycle commence qui permet un autre essaimage cinq à six mois plus tard, au printemps.L'auteur suppose que le facteur climatique et le facteur alimentaire jouent le rôle principal dans la formation des nymphes et dans le cycle biologique des Termitières.  相似文献   

设为首页 | 免责声明 | 关于勤云 | 加入收藏

Copyright©北京勤云科技发展有限公司  京ICP备09084417号