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1.
Pseudorhabdosynochus hirundineus n. sp. is described from specimens collected from the gills of Variola louti off Nouméa, New Caledonia, South Pacific. No diplectanid was found on V. albimarginata from the same location. The male sclerotised quadriloculate organ of P. hirundineus is 42 μm in internal length, with a long posterior tube; and the sclerotised vagina, 36 μm in length, is composed of a long tube with anterior open trumpet and two posterior, heavily sclerotised chambers. The two squamodiscs, each with 11–15 rows of rodlets and no central closed row of rodlets, are dissimilar in shape, the ventral being round and the dorsal being oval. By the morphology of its sclerotised vagina, P. hirundineus appears close to P. epinepheli (Yamaguti, 1938) but it is differentiated from it by the shape of its squamodiscs. Pseudorhabdosynochus spp. previously recorded from epinephelines are parasites of species of Epinephelus and Mycteroperca; this is the first species from a species of Variola.
Résumé Résumé Pseudorhabdosynochus hirundineus n. sp. est décrit de spécimens récoltés sur les branchies de Variola louti au large de Nouméa, Nouvelle Calédonie, Pacifique sud. Aucun Diplectanidae n’a été trouvé chez V. albimarginata de la même origine. L’organe mâle sclérifié tétraloculé de P. hirundineus mesure 42μm de longueur interne et a un long tube postérieur, et le vagin sclérifié, long de 36μm, est composé d’un long tube avec une trompe antérieure et deux chambres postérieures très sclérifiées. Les deux squamodisques, chacun avec 11–15 rangées d’osselets et sans rangée close, sont de formes différentes, le ventral rond et le dorsal ovale. Par la morphologie de son vagin sclérifié, P. hirundineus semble proche de P. epinepheli (Yamaguti, 1938), mais s’en distingue par la forme de ses squamodisques. Les espèces de Pseudorhabdosynochus mentionnées auparavant chez les Epinephelinae étaient parasites d’espèces des genres Epinephelus et Mycteroperca; ceci est la première espèce chez Variola.
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2.
Laticola dae n. sp. is described from specimens collected from the gill-filaments of the highfin grouper Epinephelus maculatus, a coral reef fish caught off Nouméa, New Caledonia, South Pacific. The species is characterised by a spoon-shaped sclerotised male copulatory organ, with four thin walls and 73–m in outer length, and a sclerotised vagina in form of a disc, 16–m in diameter, with a smaller hemisphere on one side. Laticola Yang et al., 2006 was described to accommodate diplectanids from Lates calcarifer (Centropomidae); this is the first Laticola described from a serranid. Other diplectanids, including several species of Pseudorhabdosynochus Yamaguti, 1958, were also found on the same species of fish; specimens of L. dae represented about half of the diplectanids collected; all other species were rare.
Résumé Laticola dae n. sp. est décrit à partir de spécimens collectés sur les filaments branchiaux de la loche grisette, Epinephelus maculatus, un poisson de récif corallien pêché au large de Nouméa, Nouvelle-Calédonie, Pacifique Sud. L’espèce est caractérisée par un organe copulateur mâle sclérifié en forme de cuiller, avec quatre parois fines, long de 73–m, et un vagin sclérifié en forme de disque, de diamètre 16–m, avec un hémisphère plus petit d’un côté. Laticola Yang et al., 2006 a été décrit pour rassembler des Diplectanidae de Lates calcarifer (Centropomidae) ; ceci est le premier Laticola décrit d’un Serranidae. D’autres Diplectanidae, y compris plusieurs espèces de Pseudorhabdosynochus, ont aussi été trouvés chez ce poisson ; les spécimens de L. dae représentaient environ la moitié des Diplectanidae récoltés, toutes les autres espèces étaient rares.
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3.
Thaumatocotyle pseudodasybatis Hargis, 1955, has previously been described from Aetobatus narinari in the Atlantic and subsequently recorded from the Pacific. Aetobatus cf. narinari is now considered a species complex; as monocotylids are often strictly species specific, we test the hypothesis that detailed examination of specimens of monocotylids from rays from various localities could reveal morphological differences and eventually help our understanding of the systematics of the host. T. pseudodasybatis, previously known from seven specimens only, is redescribed from an additional 26 specimens from the South Pacific (off New Caledonia, Australia and Ranguiroa, French Polynesia), all from Aetobatus cf. narinari. The female reproductive organs are described in detail. The distal extremity of the male sclerotised copulatory organ, described in detail for the first time, shows a characteristic pattern of longitudinal striations on its edge that might be useful for future distinction from other species. The development of the male and female organs in juveniles is described, showing that growth of the male sclerotised copulatory organ begins with its basal part and precedes development of the ejaculatory bulb. Specimens from New Caledonia, Australia and French Polynesia had similar measurements and morphology, especially in the shape of the distal end of the male sclerotised copulatory organ; they were also similar to the holotype from the Atlantic. This suggests that all specimens from the Pacific and Atlantic belong to a single species; T. pseudodasybatis thus cannot be used to differentiate populations of Aetobatus cf. narinari, perhaps because this monocotylid is not strictly species-specific.
Résumé Thaumatocotyle pseudodasybatis Hargis, 1955 a été décrit d’Aetobatus narinari dans l’Atlantique, et plus tard retrouvé dans le Pacifique. Aetobatus cf. narinari est maintenant considéré comme un complexe d’espèces. Parce que les Monocotylidae sont souvent strictement spécifiques de leur espèce-hôte, nous testons l’hypothèse qu’un examen détaillé des spécimens de Monocotylidae de raies de localités variées pourrait révéler des différences morphologiques et finalement aider à comprendre la systématique de l’hôte. T. pseudodasybatis, connu précédemment par seulement sept spécimens, est redécrit à partir de 26 spécimens supplémentaires de l’Océan Pacifique Sud (Nouvelle-Calédonie, Australie, et Ranguiroa, Polynésie Française), tous de Aetobatus cf. narinari. Les organes reproducteurs femelles sont décrits en détail. L’extrémité distale de l’appareil copulateur sclérifié mâle, décrite en détail pour la première fois, montre un patron caractéristique de striations longitudinales sur son bord, qui pourrait être utile à l’avenir pour différencier cette espèce. Le développement des organes mâles et femelles chez les juvéniles est décrit; cela montre que la croissance de l’appareil copulateur sclérifié mâle commence par son extrémité basale et précède le développement du bulbe éjaculateur. Les spécimens de Nouvelle-Calédonie, Australie et Polynésie Française ont une morphologie et des mensurations similaires, en particulier pour la forme de l’extrémité distale de l’appareil copulateur sclérifié mâle. Ils sont aussi similaires à l’holotype, qui vient de l’Atlantique. Ceci suggère que tous les spécimens du Pacifique et de l’Atlantique appartiennent à une même espèce. T. pseudodasybatis ne peut donc pas être utilisé pour différencier les populations d’Aetobatus cf. narinari, peut-être parce que ce Monocotylidae n’est pas strictement spécifique.
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4.
Specimens of the greasy grouper Epinephelus tauvina (Forssk?l), caught off Moorea, French Polynesia, harboured four species of gill monogeneans. The diplectanid Pseudorhabdosynochus pai n. sp. is characterised by an extremely big male quadriloculate organ (inner length 77 μm, cone length 15, tube length 47), the largest of all members of the genus, and a sclerotised vagina with a very complex structure, including three secondary chambers instead of one as in most species. Pseudorhabdosynochus sp. is a species of the ‘cupatus group’; this species is not formally described but various measurements are provided. The ancyrocephalid Haliotrema sp. and the capsalid Benedenia sp. were rare; they are both mentioned but not described. The diplectanid fauna of E. tauvina corresponds to the pattern already found in a clade of grouper species, the members of which often harbour both a species of the ‘cupatus group’ and another species of Pseudorhabdosynochus Yamaguti, 1958.
Résumé  Des spécimens du mérou Epinephelus tauvina (Forssk?l) pêchés à Moorea, Polynésie Fran?aise, hébergeaient quatre espèces de monogènes sur les branchies. Le Diplectanidae Pseudorhabdosynochus pai n. sp. est caractérisé par un organe tétraloculé male de très grande taille (longueur interne 77 μm, longueur du c?ne 15, longueur du tube 47), le plus grand de toutes les espèces du genre, et un vagin sclérifié à structure très complexe, comprenant trois chambres secondaires, au lieu d’une comme c’est le cas chez la plupart des autres espèces. Pseudorhabdosynochus sp. est une espèce du ‘groupe cupatus’ qui n’est pas formellement décrite, mais des mesures sont indiquées. Un Ancyrocephalidae, Haliotrema sp., et un Capsalidae, Benedenia sp., étaient rares, et sont mentionnés mais non décrits. La faune des Diplectanidae de E. tauvina correspond au patron déjà trouvé dans un clade d’espèces de mérous, dont les membres hébergent souvent à la fois une espèce du ‘groupe cupatus’ et une autre espèce de Pseudorhabdosynochus Yamaguti, 1958.
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5.
Pseudorhabdosynochus epinepheli (Yamaguti, 1938) has been recorded from a variety of hosts, mainly groupers. All type-specimens of Diplectanum epinepheli Yamaguti, 1938, Pseudorhabdosynochus epinepheli Yamaguti, 1958 and Cycloplectanum hongkongensis Beverley-Burton & Suriano, 1981 are figured: it is concluded, as did Kritsky & Beverley-Burton (1986), that the three species are synonymous. In addition, numerous monogenean specimens from a deep-sea grouper, Epinephelus chlorostigma, collected off New Caledonia, South Pacific, were prepared using various methods and described. These specimens are also conspecific with P. epinepheli (Yamaguti, 1938) and represent a new geographical record. This species has a sclerotised vagina with a very characteristic primary chamber. The simultaneous presence of P. lantauensis (Beverley-Burton & Suriano, 1981) and P. epinepheli was noted in both type-slides of D. epinepheli from Japan (host: E. akaara) and C. hongkongensis from Hong Kong (host: E. bruneus). Several causes are suspected for the alleged ‘generalist’ character of P. epinepheli, including the misidentification of either fish or monogeneans and the accidental exchanges of monogeneans between fishes of different species kept alive in the same tank. Finally, the confirmed list of hosts of P. epinepheli includes E. akaara, E. awoara and E. chlorostigma; it is suggested that the latter, a widespread deep-sea fish, serves as a reservoir for the infection of the other species, which are associated with shallow waters. P. satyui n. sp. is described from two specimens found on slides from E. akaara (from the Inland Sea of Japan) deposited by Yamaguti; the new species has a sclerotised vagina with characteristic spherical chambers.
Résumé   Pseudorhabdosynochus epinepheli (Yamaguti, 1938) a été mentionné chez différents h?tes, surtout des mérous. Tous les spécimens-types de Diplectanum epinepheli Yamaguti, 1938, Pseudorhabdosynochus epinepheli Yamaguti, 1958 et Cycloplectanum hongkongensis Beverley-Burton & Suriano, 1981 sont figurés, et on conclut, comme Kritsky & Beverley-Burton (1986), que les trois espèces sont synonymes. De plus, de nombreux spécimens de monogènes collectés chez un mérou de profondeur, Epinephelus chlorostigma, de Nouvelle-Calédonie, Pacifique Sud, ont été préparés avec des méthodes variées. Ces spécimens sont aussi conspécifiques de P. epinepheli (Yamaguti, 1938) et la Nouvelle-Calédonie représente une nouvelle mention géographique. L’espèce a une vagin sclérifié avec une chambre primaire très caractéristique. La présence simultanée de P. lantauensis (Beverley-Burton & Suriano, 1981) et P. epinepheli a été notée dans les lames-types de D. epinepheli du Japon (h?te, E. akaara) et de C. hongkongensis de Hong-Kong (h?te, E. bruneus). Plusieurs causes sont soup?onnées pour le caractère prétendument ‘généraliste’ de P. epinepheli, dont les mauvaises identifications de poissons, des monogènes, et l’échange accidentel de monogènes chez des poissons gardés vivants ensemble dans un même contenant. Finalement, la liste des h?tes confirmés de P. epinepheli comprend E. akaara, E. awoara et E. chlorostigma. On fait l’hypothèse que E. chlorostigma, espèce de profondeur, a servi de réservoir pour l’infestation des autres espèces, plus associées aux eaux peu profondes. P. satyui n. sp. est décrit de deux spécimens trouvés dans des lames de parasites de E. akaara (de la mer intérieure du Japon) déposées par Yamaguti. La nouvelle espèce a un vagin sclérifié avec des chambres sphériques caractéristiques.
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6.
Eduard Stadelmann 《Protoplasma》1951,40(3-4):617-623
Résumé Chambre d'observation microscopique à irrigation continue. — Cet appareil permet l'observation microscopique de coupes, etc, en milieu liquide constamment renouvelé. L'alimentation se fait par un réservoir, et la constance du milieu est garantie. L'alimentation peut se faire au choix au moyen du 4 liquides differents: On peut passer très rapidement de l'un à l'autre, et varier à volonté l'ordre de succession des liquides d'alimentation. Pendant ces opérations, l'objet reste constamment sous le microscope, et peut Être observé à volonté; on peut ainsi constater immédiatement les altérations produites par les changements de milieu.La circulation du liquide dans la chambre d'observation est assurée au moyen d'une dépression réglable à la sortie. A l'entrée, un robinet spécial, situé immédiatement en amont de la chambre, permet d'alimenter celle-ci avec le liquide désiré. La chambre elle-mÊme est constituée par des morceaux de lamelles appliquées sur une base également en verre: elle comporte un orifice latéral pour l'admission et l'évacuation du liquide. Sa face supérieure est constituée par une lamelle amovible, permettant l'introduction aisée de l'objet. L'étanchéité est assurée par une couche de vaseline sur les bords de la lamelle et une feuille mince de caoutchouc.

Aus der Inaugural-Dissertation zur Erlangung des philosophischen Doktorgrades an der UniversitÄt Innsbruck, eingereicht am 22. Mai 1951  相似文献   

7.
Resume Les auteurs proposent une technique simple permettant l'étude de la transformation de la cellulose insoluble par un micromycète:Trichoderma viride Pers. ex S. F. Gray. Grâce à cette méthode on obteit une source continue de cellulase. La stérilité finale du matériel a été vérifiée aux microscopes photonique et électroniques. Les modifications provoquées par l'enzyme sont décrites à l'aide de ces instruments.  相似文献   

8.
Résumé Les néoblastes de la région postérieure du corps de la PlanaireD. lacteum ont les mêmes propriétés migratrices et histogénétiques que les néoblastes de la région prépharyngienne. En cas de section transversale à quelque niveau que ce soit, les néoblastes du fragment postérieur se déplacent d'arrière en avant pour s'accumuler en un bourgeon de régénération normal. Mais la différenciation de ces cellules ne se produit qu'en cas de section nettement antérieure à la racine du pharynx (alors il y a régénération). Après une section postérieure à la racine du pharynx, les néoblastes dégénèrent.
Neoblasts in the anterior regeneration ofDendrocoelum lacteum, Turbellaria tricladida
Summary Neoblasts of the posterior region of the body in the PlanarianD. lacteum have the same migratory and histogenetic properties as neoblasts of the prepharyngeal region. With transverse cuts at whatever level, neoblasts of the posterior fragment migrate forward to accumulate as a normal regeneration bud. But differentiation of these cells only occurs in ease of a section clearly anterior to the root of the pharynx (regeneration then follows). After a transection posterior to this level, the neoblasts degenerate.
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9.
In Utetheisa pulchella L. the dipeptidases capable of hydrolysing L-alanylglycine and L. leucylglycine are not only intracellular enzymes in the midgut but these enzymes are also secreted into the midgut lumen. Final hydrolysis of protein may occur in the midgut lumen before absorption. The activity of these dipeptidases is also present in the salivary gland extract.
Resume La distribution de l'activité de dipeptidase a été étudiée dans différentes régions du tube digestif de Utetheisa pulchella L. à l'aide de la chromatographie à papier (méthode semi-quantitative). Les dipeptidases, capables d'hydroliser les L-alanylglycine et L-leucylglycine se rencontrent dans l'extrait de la glande salivaire, des tissus de l'intestin moyen et le contenu de la lumière de l'intestin moyen. Comparé à l'extrait du tissu de l'intestin moyen, le contenu de la lumière de l'intestin moyen montra une activité plus élevée. L'auteur suggère que l'hydrolyse finale de la protéine a lieu dans la lumière de l'intestin moyen. Ces dipeptidases ne sont pas limitées à l'une ou l'autre région (p. ex. antérieure, moyenne ou postérieure) de l'intestin moyen. La thèse d'une «chaine de ferment» tel qu'il existe chez les vertébres (Vonk, 1937) et chez Periplaneta orientalis (Scholttke, 1937c) n'est donc pas soutenue par les observations sur U. pulchella.
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10.
Nematode specimens of three species, Terranova scoliodontis (Baylis, 1931) (Ascaridida, Anisakidae), Echinocephalus sinensis Ko, 1975 and E. overstreeti Deardorff & Ko, 1983 (both Spirurida, Gnathostomatidae) were collected from the tiger shark Galeocerdo cuvier, the ray Aetobatus cf. narinari and the blotched fantail ray Taeniura meyeni, respectively, from the coastal waters of New Caledonia, South Pacific. Their examination, including scanning electron microscopy (SEM), made it possible to obtain some new data on their morphology, e.g. in relation to the number and arrangement of male caudal papillae in T. scoliodontis and both Echinocephalus spp., the presence of ventral cuticular ornamentations in T. scoliodontis and the number of transverse spines on the cephalic bulb in Echinocephalus spp. All these species are reported for the first time from New Caledonian waters and G. cuvier is a new host species for T. scoliodontis. SEM examination of the fourth-stage larvae of E. overstreeti from the type-host showed the presence of anterior dorsal and ventral groups of minute spines on the cephalic bulb to be an important taxonomic feature for␣the interspecific distinction of Echinocephalus larvae and questions previous data on the occurrence of E. overstreeti larvae in many elasmobranch fishes and molluscs in Australian waters.
Résumé Des Nématodes appartenant à trois espèces, Terranova scoliodontis (Baylis, 1931) (Ascaridida, Anisakidae), Echinocephalus sinensis Ko, 1975 et E. overstreeti Deardorff & Ko, 1983 (tous deux Spirurida, Gnathostomatidae) ont été collectés respectivement du requin tigre Galeocerdo cuvier et des raies Aetobatus cf. narinari et Taeniura meyeni, des eaux côtières de Nouvelle-Calédonie, Pacifique Sud. Leur étude, en particulier en microscopie électronique à balayage (MEB) a permis d’obtenir de nouvelles informations sur leur morphologie, par exemple sur le nombre et la disposition des papilles caudales mâles chez T. scoliodontis et␣les deux espèces d’Echinocephalus, la présence d’ornementations cuticulaires ventrales chez T. scoliodontis, et le nombre d’épines transversales sur le bulbe céphalique des Echinocephalus. Toutes ces espèces sont mentionnées pour la première fois des eaux de Nouvelle-Calédonie et G. cuvier est un nouvel hôte pour T.␣scoliodontis. L’examen au MEB de la larve de quatrième stade d’E. overstreeti, provenant de l’hôte-type, a montré que les groupes antérieurs et postérieurs de petites épines sur le bulbe céphalique sont un caractère taxonomique important pour la distinction interspécifique des larves d’Echinocephalus et met en doute des informations antérieures sur la présence de larves d’E. overstreeti chez de nombreux Élasmobranches et Mollusques des eaux d’Australie.
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11.
Summary The axial skeletal rod of Veretillum cynomorium consists of a fibrillar collagenous matrix calcified with calcite. The present paper describes ultrastructural and crystallographic details of its organization and deposition.At the inferior end of the rod is a calcification gradient between the noncalcified tip and the rest of the axis. Initial mineral deposits, which are sometimes associated with cell debris, give rise to calcitic nodules which enlarge by the radial growth of several lobes. These nodules fuse and form the core of the axis. Subsequent increase in diameter of the rod involves the radial development of irregular columns of calcite which arise from the peripheral nodules. Mineral surfaces exhibit a distinctive microarchitecture which can be related to the predominantly c-axis parallel growth of the calcite. Particular attention is paid to the relationship between mineral and matrix. The collagen fibrils, embedded in the calcite but never impregnated with it, are not responsible for the initial nucleation of mineral. The crystallographic orientation of the calcite also appears to be independent of these fibrils.
Résumé L'axe squelettique de Veretillum cynomorium se compose d'une matrice fibrillaire de nature collagène, minéralisée par de la calcite. Le présent article fournit des données ultrastructurales et cristallographiques quant à l'organisation de cette structure et au dépôt du minéral dans la matrice.La pointe inférieure de l'axe constitue un gradient de calcification entre l'extrémité non minéralisée et le corps entièrement calcifié. Les dépôts initiaux de calcite, parfois associés à des débris cellulaires, donnent naissance à des nodules qui s'accroissent de façon rayonnée, par bourgeonnement de plusieurs lobes. Ces nodules fusionnent et forment le coeur de l'axe dont la croissance ultérieure en diamètre, se réalise par le développement de colonnes irrégulières de calcite à partir des nodules externes du coeur. Les surfaces minéralisées présentent une microarchitecture qui peut être reliée aux axes cristallographiques de la calcite. Les relations entre le minéral et la matrice ont particulièrement retenues notre attention. Les fibres de collagène, enrobées par la calcite et non imprégnées par elle, n'interviennent jamais comme initiateur de nucléation du minéral. L'orientation cristallographique ultérieure de la calcite est aussi totalement indépendante de la matrice.
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12.
Résumé Au cours de l'été 1983 dans un agrosystème de Charente (Nord du Bassin Aquitain), les auteurs ont utilisé la technique du piégeage lumineux associée à des lâchers d'insectes marqués. Afin de mimer les émergences possibles des papillons à partir de chenilles hivernantes, les insectes colorés étainent lâchés dans une parcelle de blé (Triticum) (à antécédent cultural maïs), à égale distance de 4 pièges disposés dans 4 parcelles adjacentes. Les captures d'insectes colorés montrent clairement que les femelles quittent le blé et se dirigent vers le maïs, confirmant par là le rôle de l'antécédent cultural sur les infestations annuelles. Les captures d'insectes sauvages indiquent à cette époque une prédominance des mâles due probablement à la protandrie d'environ 8 jours chez l'espèce et à une mobilité naturelle supérieure à celle des femelles. Les implications écologiques et agronomiques de ces déplacements sont discutées et un schéma d'explication des différents types de mouvements des papillons de pyrale: déplacements d'émergence et déplacements quotidiens alternatifs, est proposé.  相似文献   

13.
The cocoa-capsid Distantiella theobroma flies from its canopy substrate spontaneously but when disturbed first falls 1.2 to 1.9 m before flying. Adults are capable of flight 18 to 20 hr after the final moult. Flight is directly sunwards when the sun is low, but when it is high the bugs fly upwards in spirals and zigzags. Flight is terminated by the sight of vertical objects. Mean flight speed is 3.1±0.5 m/sec at 23°. Potential range is at least 1.1 km in females, 2.3 km in males. The other cocoa-capsid, Sahlbergella singularis, differs in being markedly nocturnal in its dispersal flights. Males fly far more often than females.Other factors affecting flight are discussed and the implications of the flight potential for control methods are mentioned. No part of Ghana's cocoa is out of range of colonisation by either species.
Résumé Le Capside du Cacao Distantiella theobroma s'envole spontanément et directement de son support, mais quand l'insecte est dérangé, il se laisse d'abord tomber et ne prend son vol qu'après une chute de 1,2 à 1,9 m. Les adultes sont capables de voler dans un délai de 18 à 20 h. après la dernière mue. Leur vol est orienté en direction du soleil quand celui-ci est bas sur l'horizon, mais s'il est haut l'insecte s'élève vers le ciel en effectuant des spirales et zig-zags. La vue de tout objet vertical provoque l'arrêt du vol et la pose sur ce support. La vitesse moyenne du vol est de 3,1±0,5 m/sec. à une température de 23°. Le rayon de vol est au moins de 1,1 km pour les femelles et de 2,3 km pour les mâles. L'autre punaise du cacao Sahlbergella singularis diffère de la précédente, ses vols de dispersion étant nettement nocturnes. Les mâles volent beaucoup plus souvent que les femelles.D'autres facteurs affectant le vol sont également discutés ainsi que les conséquences des potentialités de vol pour la mise au point de méthode de lutte. Toutes les zones du Ghana où se trouvent des plantations de cacao sont dans le périmètre de dispersion de chacune des deux espèces.
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14.
Summary Triops granarius and Streptocephalus spp. show an orthokinetic response and swim faster in light than in darkness. Triops is negatively, Streptocephalus positively phototactic. The lethal temperature for 24 hours' exposure is 34°C for Triops, 35°C for Streptocephalus. Temperatures around 29°–30°C are preferred by both to 20°C or 33°C. Phototaxis overrides these temperature reactions in Streptocephalus but not in Triops. Both swim against water currents: Triops does not become habituated to mechanical stimuli upon responses to which its survival may depend.
Résumé Le Triops granarius et le Streptocephalus spp. ont une réaction orthocinétique et se déplacent plus vite dans la lumière que dans le noir. Le Triops est négativement phototactique, le Streptocephalus l'est positivement. La température mortelle pour une exposition de 24 h. est 34°C pour le Triops et 35°C pour le Streptocephalus. Tous les deux préfèrent des températures de l'ordre de 29°–30°C plutôt que de 20°C ou 33°C. Le phototactisme domine ces réactions aux température chez le Streptocephalus mais pas chez le Triops. Tous les deux se déplacent contre les courants: le Triops ne peut pas s'accoutumer aux excitents méchaniques, même si sa vie dépend de sa réaction à ces excitents.
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15.
The duration of intensive searching behaviour of third-instar larvae ofCoccinella septempunctata L. following feeding, and the searching behaviour of fourth instar larvae following an unsuccessful prey encounter, was determined. Even though the speed of search and track width of third instar larvae is less than that of fourth instar larvae and adults, their intensive searching behaviour was found to be of similar duration. Intensive searching behaviour was elicited even after an unsuccessful prey encounter, an important strategy for early instar larvae whose capture efficiency is low.
Effet du stade sur le comportement intensif de prospection des Coccinelles
Résumé On a déterminé au laboratoire la durée du comportement intensif de prospection du 3è stade larvaire deCoccinella septempuncatata après un repas, et le comportement de prospection du 4è stade après rencontre infructueuse avec une proie.La durée de la recherche intensive pendant le 3è stade, après privation d'aliment pendant 20 h, était de 28,8 sec. Bien que l'aire parcourue par unité de temps pour ce stade ait été inférieure à la moitié de celles parcourues par des larves de 4è stade et des adultes, les durées de recherches intensives étaient voisines. Le comportement de recherche intensive a été provoqué même après une rencontre infructueuse avec une proie, et il durait autant qu'après une rencontre fructueuse. Ce comportement est particulièrement important pour les stades précoces dont l'efficacité de capture est faible, puisqu'une rencontre infructueuse est l'indication qu'un groupe de proies a été découvert. La recherche intensive succédant à un échec accroît les probabilités de localisation ultérieure de proies et ainsi augmente les probabilités de capture.
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16.
Résumé La chambre d'ionisation introduit dans le milieu irradié par les électrons de haute énergie une perturbation du flux qui se manifeste par une discordance des courbes d'ionisation en profondeur obtenues avec différentes chambres.Pour les électrons de 20 MeV il est apparu possible avec les chambres étudiées de déterminer lepoint de mesure, c'est-à-dire aussi de déduire des mesuresla courbe idéale d'ionisation en profondeur qui serait obtenue avec une cavité infiniment petite.La correction de polarisation étant appliquée, cette courbe se trouve en accord avec la courbe de rendement obtenue par le SO4 Fe avec une précision suffisante pour la plupart des applications pratiques. Il persiste cependant un léger désaccord dont la cause ne peut être précisée et qui doit faire préférer la dosimétrie chimique lorsqu'une grande précision est requise.Pour les électrons de 10 MeV aucune règle générale de correction des mesures d'ionisation n'a pu être trouvée étant donné la diversité des résultats d'une chambre à l'autre.
Summary The ionisation chamber introduces in the medium irradiated by high energy electrons a disturbance of the electronic flux which appears in the discrepancies between the depth ionisation curves obtained with different chambers.For 20 MeV electrons it has been possible for the chambers which have been used to assess apoint of measurement i.e. also to derive from the measurements theideal ionisation curve which would be obtained with a cavity of vanishing dimensions. Using the polarisation correction factor thisideal curve is brought in close agreement with the depth dose curve given by Fe SO4 dosimetry; this agreement is satisfactory for most of the practical applications.However there remains a slight discrepancy, the origin of which could not be demonstrated and the Fe SO4 seems to be more reliable when a high accuracy is required.For 10 MeV electrons no general rule of correction could be found on account of the great diversity between the curves relevant to the different chambers.
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17.
In continuation of previous work on Eugaster guyoni (Nielsen 1971) stridulation and locomotor activity has been investigated under various conditions of temperature and illumination.The theory of continuously increasing sensitization was further corroborated, and it is attempted to determine the relative thresholds of release and cessation of stridulation.The subspecies E.g. fernandezi from the Sahara is in its daily stridulation activity adapted to a higher temperature than E.g. berlandi from the Sous valley; however, at the same temperature the number of chirps per minute is the same in the two subspecies.
Résumé Les deux sous-espèces d'Eugaster guyoni, fernandezi du Sahara et berlandi d'Agadir, diffèrent par leur activité stridulatoire. La sous-espèce du désert semble être adaptée à une température plus élevée de 5° que celle d'Agadir (E. berlandi).Les très jeunes adultes ont une très grande activité locomotrice pendant que la stridulation se développe graduellement pendant une période d'une semaine. Il semble y avoir un certain degré d'inhibition réciproque entre les deux activités locomotrice ou stridulatoire.Dans des conditions semi-naturelles l'activité du matin et du soir dépend de la température maximum atteinte durant la période de repos vers la fin de matinée.En condition d'éclairage permanent, les périodes de stridulation alternent irrégulièrement avec celles de repos. La quantité d'activité dépend de la température.Avec une alternance de 12 heures de lumiére et 12 heures d'obscurité l'activité stridulatoire dépend de la température comme en codition d'éclairage permanent. Cependant cette activité se répartit de façon caractéristique en deux périodes précédant et suivant le changement d'éclairement.Avec 12 heures de pleine lumière et 12 heures de lumière atténuée il n'y a normalement qu'une seule période de stridulation qui se manifeste surtout pendant la phase de lumière atténuée. Pour une température donnée l'activité est plus grande en lumière faible qu'en pleine lumière ou en obscurité.Une tentative est faite, dans la discussion, pour établir les valeurs relatives de la sensibilisation aux différents seuils de déclenchement et d'arrêt de la stridulation.
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18.
The freeflight behavior of Carpophilus hemipterus (L.) (Coleoptera: Nitidulidae) was investigated in a vertical flight chamber to measure takeoff propensity relative to beetle age and to determine the effect of food odors on phototactic orientation. A high-pressure sodium lamp presented from above induced a phototactic flight response, especially in beetles 3–7 days old. The majority of phototactic flights lasted less than 15 min for both males (73%) and females (85%), but ranged up to 100 min. A bimodal periodicity in flight propensity was recorded during the photophase with a small peak in activity occurring 14–10 h prior to scotophase and a large 4 h peak occurring from 3 h prior to scotophase to 1 h after when the onset of scotophase would normally have occurred. Beetles maintained with water as adults usually displayed higher levels of flight activity than did beetles maintained with artificial diet.After a period of vertical flight, photokinetic and phototactic response declined, and flight instability increased, as indicated by an overall decrease in the mean rate of climb, accompanied by an increase in the variability of this measure and an increase in horizontal displacement.When food odor (apple cider vinegar) was introduced the rate of climb dropped rapidly and beetles usually landed regardless of how long they had been in flight. When the food odor was removed, takeoff occurred and the beetle returned to its previous rate of climb. When food odor was repeatedly introduced during the same flight, there was no apparent cumulative effect, and each time it was removed, the beetle re-initiated phototactic flight. Unlike true migratory flight in which response to vegetative cues is temporarily inhibited until the insect has engaged in a period of phototactic flight, C. hemipterus flight could be better characterized as extended foraging in which phototactic flight is readily interrupted by encounters with food odor.
Résumé Le comportement de vol libre de C. hemipterus L. a été examiné dans une chambre à vent verticale pour déterminer la tendance au vol après l'émergence et observer l'influence de l'odeur d'aliments sur le vol phototactique. Une lampe à haute pression de sodium induit une réponse de col phototactique, qui débute le 3e jour et reste puissante jusqu'au 8e jour. La majorité des vols phototactiques duraient moins de 15 pour les mâles (73%) et les femelles (85%), mais pouvait se prolonger jusqu'à 100. Les femelles nourries sur régime artificiel présentaient la plus forte proportion de vol dépassant 35. Cependant, les adultes maintenus exclusivement en présence d'eau ont présenté un niveau d'activité de vol encore supérieur. Une tendance au vol à périodicité quotidienne bimodale a été notée avec un petit pic d'activité à 14–10 heures avant la scotophase et un grand pic durant 4 heures, de 3 heures avant la scotophase à une heure après le début de la scotophase.Après une période de vols verticaux, les réactions photocinétiques et phototactiques ont diminué, et l'instabilité des vols augmenté comme en a témoigné la diminution du taux total d'ascensions et l'accroissement de la variabilité de ce paramètre et des déplacements horizontaux. L'introduction d'odeurs d'aliments pendant le vol phototactique provoque une diminution immédiate du taux d'ascension et conduit généralement à un atterrissage indépendamment du temps antérieur de vol. Quand l'odeur était supprimée le décollage avait lieu et l'insecte retrouvait sont taux antérieur d'ascension. Quand la même odeur d'aliment a été réintroduite à répétition pendant le même vol, il n'y a pas eu d'effets cumulatifs apparents. Par opposition avec d'autres insectes présentant un véritable comportement migrateur pour lesquels la désinhibition des réactions végétatives ne se produit qu'après une longue période de locomotion continue, le vol de C. hemipterus est mieux caractérisé comme un comportement de prospection pour lequel les aliments inhibent immédiatement la dispersion.
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19.
Résumé La glande sternale de Kalotermes flavicollis est un épaississement épidermique du cinquième sternite abdominal. Elle sécrète une phéromone de piste dissoute dans un lipide. Deux types cellulaires principaux se reconnaissent: des cellules glandulaires basales et des cellules intercalaires. On peut en outre distinguer deux régions. La partie antérieure où les cellules glandulaires, plus développées, sont emplies de gouttelettes lipidiques, la cuticule y est formée d'endoeuticule et d'épicuticule. A la partie postérieure, les cellules glandulaires contiennent du glycogène, la cuticule est formée de mésocuticule et d'épicuticule.Les cellules glandulaires de la région antérieure élaborent des globules lipidiques associés aux mitochondries. La sécrétion gagne les cellules intercalaires et, par l'intermédiaire du reticulum endoplasmique, paraît se libérer depuis les microvillosités; elle traverse la cuticule par les canaux poraires qui aboutissent à de fines perforations de l'épicuticule. La partie postérieure est moins différenciée, mais la structure de la cuticule indique également une activité sécrétoire dans cette région. L'accent est mis sur la nature complexe de la sécrétion.
Exocrin glands of termitesI. Histochemical and ultrastructural study of the sternal gland of Kalotermes flavicollis Fab. (Isoptera, Kalotermitidae)
Summary The sternal gland of Kalotermes flavicollis is an epidermal thickening of the fifth abdominal sternite. It secretes a trail pheromone dissolved in a lipid substance. Two main cells types constitute the gland: basal glandular cells and columnar cells-with a brush border beneath the cuticle. We can also recognize two regions in the gland. At the anterior part the glandular cells, full of lipid droplets, are more developed; the cuticle is composed of endocuticle and epicuticle. At the posterior part, the glandular cells contain glycogen; the cuticle is made of mesocuticle and epicuticle.The glandular cells of the anterior part secrete lipid droplets associated with mitochondria. The secretion passes into the columnar cells and, by way of the smooth reticulum, seems to be discharged by the microvilli; it crosses the cuticle by means of pore-canals perforating the epicuticle. The posterior part is less developed, but the structure of cuticle suggests also a secretory activity at this level. The complexity of the secretion is emphasized.
Nous exprimons notre gratitude au Professeur Ch. Noirot qui a mis à notre disposition ses résultats personnels et qui a suivi avec bienveillance la réalisation de ce travail.  相似文献   

20.
In ambiphasic females of Acyrthosiphon pisum Harris the antero-posterior disposition of the amphigonic and parthenogenetic ovarioles varies in accordance with the conditions under which they were produced.In ambiphasic females born when the mother stops producing parthenogenetic daughters and starts producing amphigonic daughters, the parthenogenetic ovarioles are located anteriorly. On the other hand, in ambiphasic females born when the mother stops producing amphigonic daughters and starts producing parthenogenetic daughters, the parthenogenetic ovarioles are located nearer the posterior region. This shows that when differentiation of the ovarioles takes place contemporaneously with the switching of the maternal tendency affecting the daughter's reproductive category, the asynchrony in the development of the different ovarioles determines whether or not the ovary becomes ambiphasic.
Résumé Chez Acyrthosiphon pisum l'apparition de femelles ambiphasiques dans la descendance d'une génitrice parthénogénétique ne peut avoir lieu que lorsque celle-ci cesse de produire des femelles de l'une catégorie génétique et commence à en produire de l'autre catégorie.L'examen de la gonade des femelles ambiphasiques a mis en évidence l'existence de deux types différents d'ovaires caractérisés par la disposition particulière des ovarioles amphigoniques et parthénogénétiques.Chez les femelles ambiphasiques qui naissent quand les génitrices cessent de donner des femelles parthénogénétiques et commencent à engendrer des femelles amphigoniques, les ovarioles du type parthénogénétique sont situés près de la région céphalique, tandis que ceux du type amphigonique se situent au voisinage de la région postérieure. Au contraire, chez les ambiphasiques qui naissent quand les génitrices cessent de produire des femelles amphigoniques et commencent à donner des femelles parthénogénétiques, les ovarioles de la région céphalique sont du type amphigonique, tandis que ceux de la région postérieure sont du type parthénogénétique.Cette donnée, ainsi que l'asynchronisme dans le développement des différents ovarioles qui a pu être vérifié par l'analyse cytologique des embryons femelles, indique que la détermination de l'ovaire ambiphasique est provoquée par le changement des conditions physiologiques de la génitrice. Celles-ci règlent la détermination des femelles ambiphasiques à condition que ce changement ait lieu en même temps que la différenciation de la gonade embryonnaire.
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