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1.
A 3 year study of spider mites in a corn-peanut agroecosystem indicated that the persistance and pest status of mite populations depended on dispersal among a succession of temporarily suitable cultivated and non-cultivated hosts. In the spring, mites crawled from overwintering sites in vegetation along field margins into both peanut and corn fields, but became established only in corn. Initiation of aerial dispersal from corn was coincident with and appeared dependent upon mites moving to the top of the corn canopy, where they were exposed to the wind. Mites were first observed in peanut immediately following the onset of aerial dispersal from corn, and these aerial dispersers were the primary source of subsequent mite infestations in peanut. As populations grew in peanut, mites dispersed into vegetation along peanut field margins and became the nucleus of populations which persisted over the winter. This pattern of host utilization was reinitiated in the spring if corn was planted adjacent to infested field borders. This pattern commonly occurs since corn is planted following peanut in the predominant crop rotation sequence in this area.
Résumé Des populations d'acariens ont été étudiées pendant 3 ans sur maïs, arachide et végétation spontanée, dans 7 fermes commerciales de Chowan Co., Caroline du Nord. Les déplacements d'acariens parmi ces plantes ont été notés en fonction de la croissance de la population et de la phénologie des hôtes. Un schéma cohérent de croissance de la population d'acariens et de leurs mouvements en découle, dont seule la taille change suivant les fermes et les années. Les acariens provenant de populations hivernantes sur la végétation spontanée bordant les champs migrèrent dans les champs cultivés adjacents quelle qu'en soit la nature de la culture. Cependant, à cette époque, les populations d'acariens ne s'établissaient que dans le maïs. Dans le maïs, les acariens se répandirent à travers le champ et se multiplièrent sur des pieds particuliers jusqu'à ce qu'ils eussent atteint le sommet de la canopée du maïs. Les premiers acariens transportés par le vent ont été capturés la semaine suivant la première apparition d'acariens au sommet de la canopée du maïs et aussitôt après la découverte des premiers acariens dans les arachides voisines. Ceci suggère que les acariens dispersés par le vent sont à l'origine des contaminations ultérieures des arachides voisines. Plus tard dans la saison, les acariens se dispersèrent à partir de l'arachide vers les sites d'hibernation dans la végétation spontanée poussant autour du champ d'arachide. Puisque des champs semés en arachides sont généralement semés en maïs l'année suivante, les acariens se dispersant au printemps depuis les sites d'hibernation rencontrèrent souvent du maïs qu'ils colonisèrent. Ce cycle répétitif d'utilisation de l'hôte et de dispersion est considéré comme fortement responsable de la pérennité des acariens et de leur danger potentiel dans les agroécosystèmes à maïs-arachide, caractéristiques du canton de Chowan (N.C.).Les problèmes potentiels posés par les acariens sur arachide ont paru être liés à l'intensité de l'attaque d'acariens sur le maïs voisin, qui sert de réservoir pour les populations d'acariens. Ceci suggère que le contrôle des populations d'acariens sur maïs peut être une stratégie viable pour limiter les infestations ultérieures sur arachide et, en dernier lieu, les populations hivernantes.
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2.
Ovariole number in univoltine populations of the grasshoppers Melanoplus femurrubrum (De Geer) and M. scudderi scudderi (Uhler) (Orthoptera: Acrididae) from Virginia was studied. Ovariole number in M. femurrubrum was found to vary among three geographic populations, and between years. Ovariole number did not vary between years in one population of M. s. scudderi. Ovariole number in M. femurrubrum was positively correlated with the mean length of the growing season at each site and precipitation during August-September of the previous year (adult season of the maternal generation). In the laboratory, nymphal rearing temperatures did not affect ovariole number in M. femurrubrum, but it was found to be weakly correlated with egg size.
Résumé Le nombre d'ovarioles des criquets détermine le nombre maximum d'oeufs par ponte. Si la variabilité du nombre d'ovarioles des criquets a souvent été signalée, l'origine de ces variations n'a été examinée que pour quelques espèces migratrices, et cela, au laboratoire.Le nombre d'ovarioles des populations monovoltines de M. femurrubrum a changé suivant les populations et suivant les années. Une étude par régressions multiples a montré que le nombre d'ovarioles est lié à des caractéristiques écologiques de la génération maternelle: durée de la saison de développement, indiquée par la somme des températures au-dessus de 10°C, et précipitations en août et septembre. La durée de la saison de développement détermine le temps disponible pour la reproduction: les populations, aux saisons de développement les plus longues, ont plus de temps pour former une oothèque, et ainsi disposent des moyens métaboliques pour avoir plus d'ovarioles. Août-septembre est l'époque où les criquets deviennent adultes, commencent à s'alimenter avant la ponte, et pondent la majorité de leurs oothèques. On estime que l'effet des précipitations est indirect, par son action sur la quantité et la qualité des plantes-hôtes disponibles. Le nombre d'ovarioles n'est pas lié à la taille de M. femurrubrum ou de M. scudderi scudderi.Les effectifs de M. s. scudderi étaient insuffisants pour permettre de telles analyses; cependant, nous n'avons observé dans une station aucune modification du nombre d'ovarioles au cours des années.
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3.
The paper describes seasonal growth variation in a free living population of Mastomys natalensis (Smith, 1834) from Morogoro, Tanzania. Growth patterns are associated with rainfall patterns. Young animals enter a growth stop at the end of the dry season (October-November) and growth is only resumed after the first heavy rains. Reproduction is more related to size than to age. If the heavy rains come early in the rainy season, animals start reproducing in the beginning of the year. The resulting young reach their maximal size without growth stop and start reproducing immediately. Possible causes for the growth stop are discussed. Growth phenomena are thought to explain at least partially the relation between rainfall and reproduction in Mastomys .

Résumé


Cet article décrit la variation de croissance saisonnière d'une population de Mastomys natalensis (Smith, 1834) vivant en libertéà Morogoro, en Tanzanie. Les graphiques de croissance sont associés à ceux des chutes de pluie. Les jeunes animaux connaissent un arrêt de la croissance à la fin de la saison sèche (octobre-novembre) et la croissance ne reprend qu'après les premières fortes pluies. La reproduction est plus liée à la taille qu'à l'âge. Si les fortes pluies surviennent tôt en saison des pluies, les animaux commencent à se reproduire au début de l'année. Les jeunes atteignent alors leur taille maximale sans avoir connu d'arrêt de croissance et commencent à se reproduire immédiatement. On pense que les phénomènes de croissance expliquent au moins partiellement la relation entre les chutes de pluie et la reproduction chez Mastomys .  相似文献   

4.
Résumé L'examen de la croissance de nombreuses levures, isolées de liqueurs tannantes et d'insectes xylophages, en présence de divers extraits tannants végétaux montre que les extraits riches en tanins condensés sont mieux supportés que ceux contenant essentiellement des tanins hydrolysables. Environ 20 % des souches étudiées ont une certaine activité hydrolytique sur les tanins pyrogalliques, mais seules quelquesunes d'entre elles ont une action intense.
Summary The authors study the growth of many yeasts isolated from tanning liquors and xylophagous insects upon some vegetable tanning extracts. Condensed tannins are better tolerated than hydrolysable ones. About 20 % of studied strains have an hydrolytic activity on hydrolysable tannins, but only few of them operate strongly.


Ce travail a été effectué avec la collaboration technique deM. C. Berton.  相似文献   

5.
The variation in response to photoperiod and temperature of different populations of the peacock butterfly, Inachis io (L.) (Lepidoptera: Nymphalidae), was investigated to test the extent to which species can adjust their response to the environment, and therefore maximise their reproductive potential. The photoperiodic (adult) diapause induction response varies between populations, and appears to be finely tuned to the local conditions. There is however variation within populations and the response can be adjusted in a population by selective breeding. The developmental rate is not significantly different between three latitudinally distinct populations, over the range of temperatures tested, and pupal weights are similar at given temperatures. However, pupal weights increase with decreasing development temperature. The implications of these findings are discussed with reference to modelling life history strategies.
Résumé Inachis io (L.), observable dans une grande partie de l'Europe, y présente des différences quant au cycle biologique, au voltinisme et à la durée du développement. Trois populations provenant de la zone de transition entre monovoltinisme et bivoltinisme ont été échantillonnées pour examiner les différences de réponses à la photopériode et à la température, et pour évaluer l'étendue des possibilités d'adaptation de cette espèce à l'environnement et ainsi optimaliser son potentiel reproductif. L'induction photopériodique de la diapause est de type jour long pour toutes les souches examinées, mais la photopériode critique 50 (CPh50) varie suivant les populations et paraît étroitement ajustée aux conditions locales. Il y a cependant assez de variabilité à l'intérieur des populations pour que le seuil puisse être rapidement abaissé dans chaque population par des expériences d'élevage sélectif. Par contre, la vitesse de développement ne varie pas significativement entre les populations pour la gamme de température: 15–27°C. Les poids de chrysalides ne diffèrent pas suivant les populations, bien qu'ils augmentent quand la température de dévelppement diminue. On peut penser que des modèles, prédisant que la diminution du nombre de générations pendant une saison sera accompagnée d'une prolongation de la durée de développement et d'une augmentation de la taille, et que ceci est d'origine génétique et non le résultat seul du refroidissement de l'environnement, ne tiendront pas compte de l'absence de variation entre populations dans la relation entre température et développement.
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6.
Résumé et conclusions Les recherches deTasman etPondman confirment et amplifient les n?tres. La souche 132 fait fermenter 100% de glucose et donne des variantes qui ne font plus fermenter le glucose comme toutes les souches dePl. tetani, qui ont été étudiées avant eux et sous cet angle. Les filaments longs etGram-négatifs qu'ils ont pris pour une contamination sont des cadavres de bactéries dont la population est arrivée à la phase de mortalité logarithmique.  相似文献   

7.
Des adultes et des larves deC. septempunctata ont été observés individuellement dans un champ de blé afin de préciser, au cours de la journée et en fonction de la saison, leur distribution sur le végétal, la durée des principales séquences de leur comportement et leurs relations avec les pucerons. Au début du printemps, cette espèce thermophile est présente sur le sol et sur les feuilles basses des talles où elle est très mobile. Les adultes font très fréquemment la toilette des appendices de la tête. En juin, la population larvaire et imaginale se regroupe sur la partie supérieure des talles où se trouvent les pucerons. A cette époque, l'immobilité domine. Ces variations de la distribution verticale sont confirmées par la position sur le végétal des proies capturées. Les données suggèrent que, dans les champs, cette coccinelle consacre peu de temps à son alimentation. Le faible nombre de proies ingérées pose le problème de la couverture de ses besoins trophiques. Summary Observations were made in a wheat field during daylight hours to determine how the vertical distribution of adults and larvae ofCoccinella septempunctata changed with season and in response to aphid populations on which this coccinellid feeds. In early spring, this thermophilic coccinellid (larvae and adults) remained close to the ground and on the lower part of tiller leaves where it was highly active. Adults frequently groomed their head appendages. By June, most adults and larvae were found on the upper parts of tillers, the area preferred by their aphid prey. The beetles remained close to such sites and hence their vertical distribution corresponded to that of the aphids on which they fed. The fact that the beetles appeared to spend most of their time resting and moving within wheat crops, and little time feeding, raises the question of how the larvae and adults satisfy their dietary needs.
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8.
Dieldrin is a potent inducer of microsomal naphthalene hydroxylase and heptachlor epoxidase in the housefly, causing up to five-fold increases in the activities of these enzymes. The activation of these detoxifying enzymes is also demonstrated in vivo by a reduction in the susceptibility of the dieldrin-treated insects to carbaryl. The inductive effect is prevented in insects treated with the drug cycloheximide, an inhibitor of protein synthesis. Dieldrin-treated flies also incorporate more amino acid into protein. Under similar experimental conditions, DDT is a less effective inducer. Three housefly strains, all resistant to dieldrin but with differing levels of microsomal oxidase activity, were compared in terms of dieldrin dose, rate of appearance of the inductive effect, response on aging, and response to a second treatment with dieldrin. All of the strains, both male and female, were induced, as indicated by increased epoxidation of heptachlor. However, the strain with the lowest pretreatment microsomal oxidase activity, dieldrin-curly wing, responded least while the strain with the highest basal microsomal oxidase activity, Isolan, responded most to the dieldrin treatment. Comparing the three strains on the basis of maximum increases in heptachlor epoxide production, induction in the Isolan and Orlando strains was approximately three and two times, respectively, that found in the dieldrin-curly wing strain. It is suggested that this difference in response to the inducing agent represents differences in the number of structural genes for oxidase synthesis in the three strains. The results are discussed in terms of genetic control.
Résumé Chez la mouche domestique, la dieldrine est un inducteur efficace de la naphtalène-hydroxylase et de l'heptachlore-epoxydase, augmentant jusqu'à cinq fois l'activité de ces enzymes. L'activation de ces enzymes de détoxification est démontrée aussi in vivo, par une baisse de la sensibilité au carbaryl des insectes traités à la Dieldrine. L'effet inducteur est supprimé par un inhibiteur de la synthèse des protéines, la cyclo-heximide. De même l'incorporation des acides aminés dans les protéines est diminuée chez les mouches traitées à la Dieldrine. Dans des conditions expérimentales équivalentes, le D.D.T. est un inducteur moins efficace. Trois souches de mouches domestiques, toutes les trois résistantes à la Dieldrine, mais dont les oxydases possèdent des niveaux d'activité différents, ont été comparées pour les facteurs suivants: dose de Dieldrine, taux d'apparition de l'effet inducteur, âge, et effet d'un second traitement à la Dieldrine. L'induction se vérifia, dans toutes les souches, à la fois chez les mâles et les femelles, par une augmentation du taux d'époxydation de l'heptachlore. Cependant, la souche possédant à l'origine la plus faible activité oxydasique, la souche «dieldrin-curly wing», a une réponse inférieure à la souche «Isolan» dont les oxydases possèdent la plus forte activité originelle. En comparant les 3 souches pour leur production d'époxyde d'heptachlore, l'induction chez les souches «Isolan» et «Orlando» est respectivement environ 3 et 2 fois celle trouvée dans la souche «dieldrin-curly wing». Il est suggéré que cette différence de réponse à l'agent inducteur, représente des différences dans le nombre des gènes de structure responsables de la synthèse des oxydases dans les 3 souches. Les résultats sont discutés en termes de déterminisme génétique.


Oregon Agricultural Experiment Station, Technical Paper No. 2814.

This work was supported by grant no. ES00362-12, USPHS.  相似文献   

9.
Feeding behavior of biotype E greenbugs from populations maintained either on corn or sorghum was studied on four corn germplasm entries and two sorghums using a computerized electronic insect feeding monitor. Greenbug fecundity and weight were also measured. Both populations showed differences in time to committed phloem ingestion and time spent ingesting phloem among plant entries, but the two populations did not respond similarly to each entry. Corn-reared greenbugs fed more readily on resistant sorghum than did sorghum-reared greenbugs, whereas sorghum-reared greenbugs fed more readily on some corn. Feeding behavior was not correlated with fecundity. Corn-reared greenbugs were equally or more fecund than sorghum-reared greenbugs on all entries. Time to committed phloem ingestion was negatively correlated with adult weight in the corn-reared population. Offspring of corn-reared greenbugs attained equal or greater weight than those of sorghum-reared ones, even though corn-reared greenbugs weighed less on their colony host (OH45) than did sorghum-reared greenbugs on their colony host (NC + 630X). Weight and fecundity were positively correlated across both populations and all entries, but both greenbug populations were more fecund and weighed more on sorghum and Antigua corn than on the other corn entries. The results confirm that biotype E greenbugs can colonize and use corn as a host, although they are more fecund on sorghum. The results also suggest that corn-reared greenbugs are different from sorghum-reared greenbugs because of either genetic or physiological adaptation, with a corresponding change in fecundity and adult weight. The implications of these results for biotype development are discussed.
Résumé Le comportement alimentaire du biotype E de S. graminum, provenant de souches maintenues soit sur maïs (OH45), soit sur sorgho (NC + 630X) a été examiné sur 4 cultivars de maïs (Antigua, AP670, OH45 et 2570), un sorgho sensible (NC + 630X) et un résistant (PI264453), à l'aide d'un enregistreur électronique à programme d'analyse. La fécondité et la poids ont été analysés séparément. Les résultats des souches on été comparés en fonction des cultivars, et les relations entre comportement alimentaire, fécondité et poids analysées.Le comportement alimentaire des différentes souches sur sorghos résistants et sur 2 cultivars de maïs (2570 OH45) ont divergé, mais pas toujours dans la même direction. Par exemple, les insectes élevés sur maïs ont consommé plus facilement le sorgho résistant que ne l'ont fait les insectes élevés sur sorgho, tandis que le contraire a été observé avec le maïs OH45. Les 2 souches ont montré le même comportement alimentaire sur les différents cultivars. Le maximum de temps à été consacré à s'alimenter sur sorgho résistant et le moins sur le maïs AP6.70.Bien qu'il n'y ait eu aucune différence entre les comportements alimentaires des souches élevées sur maïs et sur sorgho, elles ont présenté des différences de poids et de fécondité. Ces résultats ont montré l'absence de corrélation entre l'ingestion de phloème (PI) et le moment de la première consommation de phloème (CPI) d'une part, et la fécondité d'autre part. Sur tous les cultivars, les insectes élevés sur maïs ont toujours été au moins aussi féconds que ceux élevés sur sorgho. Il en est de même pour le poids de leurs descendants, bien que les insectes élevés sur maïs pèsent moins sur leur hôte propre (OH45) que les insectes élevés sur sorgho sur leur hôte propre (NC + 630X). Les corrélations entre poids et fécondité ont été positives dans les 2 souches et pour tous les cultivars, mais les 2 souches ont été plus fécondes et ont gagné plus de poids sur sorgho et sur le cultivar Antigua de maïs que sur les autres cultivars de maïs. Or, les sorghos et le maïs Antigua sont considérés comme manquant de DIMBOA, qui doit être vraisemblablement présent dans les autres cultivars de maïs. DIMBOA est undacide hydoxamique commun dans le maïs connu pour réduire la fécondité, la survie et la prise de nourriture des hétéroptères.Ces résultats confirment les possibilités de colonisation du maïs par le biotype E de S. graminum, bien qu'il ait été plus fécond sur sorgho. Ces résultats suggèrent aussi que les insectes élevés sur maïs sont différents des insectes élevés sur sorgho, par adaptation génétique ou physiologique, avec modification concomitante du poids des adultes et de la fécondité. Par suite de ces différences, les insectes élevés sur maïs sont plus aptes à utiliser le maïs et le sorgho résistant que les insectes élevés sur sorgho. Tout ceci suggère les possibilités de développement d'un biotype dangereux pour le maïs.
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10.
A study of the local population of the variegated grasshopper, Z. variegatus on the Nsukka Plateau, Nigeria, has shown that there are two populations, the dry season and the wet season populations, whose life-histories overlap.The average span of life, from nymph to adult of the individuals of either population is 9–10 months, while development from nymph to reproductive maturity in either form is 4–5 months. For the dry season population, nymphs appear in October, young adults by March–April, and by August the last remnants of this population die out. The wet season individuals appear first as nymphs by about February, as young adults by June, and die out by about December. In general, egg pods remain in the soil for 5–6 months (April–October), and for 4–5 months (October–February) for the dry season and wet season individuals respectively, before hatching. The shorter period spent in the soil by the eggs of the wet season individuals appears to be due to the fact of delay of oviposition in the mature females by the extreme wetness of the soil when reproductive maturity is attained.In the laboratory, attempts to mate reproductively mature and copulating adults from either seasonal population with each other, were not successful.The phenology of the dry season population is the same, whether reared in the laboratory or in the field.The growth characteristics of these grasshoppers conform to Dyar's rule. However, while growth as indicated by increases in mean body length is linear, growth as indicated by weight measurements shows a two-phase relationship, the divergence appearing at the IV instar.
Résumé Une étude de la population locale de Z. variegatus sur le Plateau Nsukka au Nigeria, a montré qu'il y a en fait coexistence de deux populations distinctes, dont les cycles biologiques se chevauchent, l'une correspondant à la saison sèche et l'autre à la saison humide.La longévité moyenne des individus (vie larvaire + vie imaginale) dans l'une ou l'autre de ces populations est de 9 à 10 mois, le développement, depuis la larve jusqu'à la maturité sexuelle, étant de 4 à 5 mois. Pour la population de la saison sèche, les larves apparaissent en octobre, les jeunes adultes en mars–avril, et les derniers survivants s'observent jusqu'en août. Les larves des individus de la saison humide apparaissent courant février, leurs jeunes adultes en juin, et la population s'éteint en décembre.En général les coques ovigères n'éclosent qu'après un séjour dans le sol de 5 à 6 mois (avril à octobre) pour la population de la saison sèche, et de 4 à 5 mois (octobre à février) pour la population de la saison humide. Le fait que le temps d'incubations dans le sol soit plus court pour les ufs déposés par les individus de la saison humide serait dû à ce que, lorsque ces femelles auront atteint leur maturité, l'extrême humidité du sol ne permettra pas la ponte qui se trouvera ainsi retardée.Les tentatives faites en laboratoire, pour croiser entre eux des adultes génitalement mûrs provenant de chacune de ces 2 populations, ont échoué.La phénologie de la population de la saison sèche reste la même, que celle-ci soit élevée au laboratoire ou dans la nature.Les caractéristiques de la croissance de ces Orthoptères sont conformes à la règle de Dyar. Toutefois, tandis que cette croissance est linéaire quand on la mesure d'après la longueur du corps, on y relève deux phases si l'on se réfère au poids des individus, la divergence se manifestant à partir du 4 e stade larvaire.
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11.
Résumé

La sélection du substrat de ponte par des souches de la bruche de l’arachide, Caryedon serratus, issues d’hôtes différents est étudiée au laboratoire. Des tests de choix sur des gousses de différentes plantes ont été d’abord effectués. Les distributions des oeufs sur les différents substrats de ponte sont comparées. Les niveaux d’adaptation des souches dites sauvages (Bauhinia rufescens, Cassia sieberiana, Piliostigma reticulatum et Tamarindus indica) sur l’arachide et les capacités de développement de la souche ? arachide ? sur les graines des plantes hôtes ? sauvages ? sont aussi testés. Les résultats révèlent que, d’une manière générale, les souches évoluent selon le principe de sélection d’hôtes de Hopkins puisque la ponte se fait de manière privilégiée sur la gousse de la plante d’où est issue la femelle. La souche ? Piliostigma ? dépose ses oeufs de manière indifférenciée sur gousses de P. reticulatum et sur gousses d’arachide. Les résultats des tests sur les niveaux d’adaptation révèlent du point de vue de la durée de développement, qu’on peut considérer les différentes souches comme identiques quant à leurs possibilités intrinsèques de développement sur l’arachide. Le paramètre poids des adultes, montre que la souche ? Bauhinia ? est intrinsèquement moins bien adaptée que les autres souches sur l’arachide. Les taux fécondité révèlent que les différentes souches sont identiques quant à leurs possibilités intrinsèques de développement sur l’arachide mais, ici également, la souche ? Bauhinia ? paraît moins bien adaptée à l’arachide. Le passage de la souche ? arachide ? aux plantes hôtes sauvages est possible mais, élevée sur graines plantes hôtes sauvages, celle-ci se comporte généralement moins bien que sur arachide.  相似文献   

12.
An energy budget was constructed for A. fabae reared on synthetic diets and compared with that published for aphids living on broad bean. Larval aphids living on broad bean utilized 54% of their energy intake for growth, 4% was lost during respiration and 42% was excreted as honeydew. Aphids living on a synthetic diet utilized 26% of their energy intake for growth and 4% was lost during excretion. 76% was excreted as honeydew. The growth efficiency on a synthetic diet was 20% compared with a value of 50% on plants. The value of synthetic diet experiments in furthering our understanding of aphid nutrition is discussed in the light of these results.
Résumé Les budgets énergétiques d'Aphis fabae élevé sur des aliments artificiels ont été établis. Du 14C radioactif a été ajouté aux aliments pour faciliter l'évaluation de la quantité ingérée. Au cours des quatre premiers jours de la vie larvaire le puceron utilise pour sa croissance 0.82 Joules de l'énergie absorbée; les exuvies représentent 0.26 Joules, la respiration 0.16 Joules et l'équivalent de 2.97 Joules sont excrétés sous forme de miellat. Le rendement de croissance est de 20% et la croissance larvaire est de 0,037 mg en poids sec/jour. Ces données sont comparées avec celles obtenous pour des aphides vivant sur fève.Ces pucerons élevés sur fève ont un rendement de croissance de 50% et la croissance larvaire est de 0,056 mg en poids sec/jour. Les pucerons élevés sur milieux artificiels montrent donc une diminution appréciable de leur rendement de croissance et de leur vitesse de croissance, ce qui conduit à discuter les implications de ces observations pour les études nutritionnelles des aphides.
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13.
La nervation des élytres d’Acrididae de la région ouest paléarctique a été étudiée au moyen de 2 méthodes de morphométrie de manière à faire ressortir les caractères adaptatifs relatifs à la stridulation et les marqueurs de phylogénie. Huit Points de Repère (PR) situés dans la région proximale des élytres, incluant le champ médian, ont été considérés pour l’analyse de morphométrie géométrique. L’importance relative des champs a été appréhendée par ACP. Il apparaît que le dimorphisme sexuel des PR caractérise les espèces à stridulation de forte intensité chez le mâle (Gomphocerinae et Stethophyma grossum). Les mâles présentent par rapport aux femelles un élargissement des champs sous-costaux antérieur et postérieur, et du champ radial, lié à un déplacement distal de la bifurcation entre les radiales antérieure et postérieure, ce qui entraîne un élargissement de la surface de résonance. L’élargissement du champ cubital antérieur est une déformation propre à la tribu des Locustini et n’a pas de valeur adaptative apparente.  相似文献   

14.
Résumé La toxicité du méthidathion a été mesurée sur 7 souches dePhytoseiulus persimilis provenant de collections de laboratoire, d'unités de production ou du terrain. Les résultats obtenus se sont avérés être très variables: la CL50 de la souche la plus résistante est 100 fois plus élevée que celle de la souche la plus sensible. Chaque souche a ensuite été sélectionnée pour la résistance à cet insecticide; toutes les souches ont répondu à la sélection et ont atteint des niveaux de résistance similaires. Elles ont ensuite été mélangées, à nouveau sélectionnées pour la résistance au méthidathion et à d'autres insecticides et utilisées dans les programmes de lutte intégrée. La résistance a pu ainsi être légèrement augmentée et la souche obtenue, bien qu'encore affectée par le méthidathion sur le terrain, n'est plus complètement éliminée par les traitements et est moins sensible aux résidus présents sur les feuilles.   相似文献   

15.
Summary The rhizobial strain isolated from wild arboreal legumes viz.Butea monosperma, Glyricidia sepium andAcacia nilotica effectively increased nodulation, shoot weight, pod weight, nitrogenase activity and also showed high competitive ability as compared to the homologous strains NC92 and G2 as well as chemical and absolute controls in groundnut. Thus, the findings of present study open a new field for exploring superior rhizobia from wild legumes, which can be used for improving the yield of cultivated legumes.
Réponse de l'arachide (Arachis hypogaea L.) à l'inoculation par des souches de Rhizobium isolées de légumes arboricoles sauvages
Résumé Les souches rhizobiennes isolées de légumes sauvages arboricoles commeButea monosperma,Glyricidia sepium etAcacia nilotica ont effectivement augmenté la nodulation, le poids de la racine, le poids des cosses, l'activité de nitrogénase. Elles ont aussi montré une aptitude à la forte compétition par comparaison avec les souches homologues NC92 et G2 de même qu'un contrôle chimique et absolu de l'arachide. Aussi, les résultats de la présente étude ouvrent un nouveau champ pour l'exploration des rhizobia supérieurs de légumes sauvages, qui peuvent être utilisés pour l'amélioration du rendement de légumes cultivés.
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16.
Résumé Quelle que soit l'origine de la souche (sol, arthropodes, lésions humaines), les conidies de l'EntomophthoraleConidiobolus coronatus sont capables d'infecter le puceronAcyrthosiphon pisum (Hémiptères, Aphididae) et les chenilles deGalleria mellonella (Lépidoptères, Pyralidae). De plus, les filtrats, de culture en milieu liquide agité des huit souches éprouvées sont toxiques par inoculation à l'égard de ces derniers insectes; cette toxicité se traduit d'abord par une hémorragie au trou de pip?re, qui peut durer plusiers heures, puis par un noircissement du corps de l'insecte et enfin par la mort de celui-ci. L'effet anticoagulant de substances produites par une Entomophthorale est ici signalé pour la première fois. Les deux souches les plus virulentes à l'égard deAcyrthosiphon pisum, parmi lesquelles se trouve celle isolée de lésions humaines, sont également les plus toxinogènes. L'étude de la vitesse de croissancein vitro du champignon à des températures comprises entre 4 et 37°C révèle une adaptation des souches aux conditions thermiques en relation avec la région d'origine de l'isolat. Notamment, les souches d'origine tropicale se développent plus, rapidement à 26–29°C que les souches originaires de France. La vitesse maximale de croissance est constatée à 29°C pour les différentes souches, sauf pour celle isolée de lésions humaines qui se développe le plus rapidement à 37°C. Cette température est létale pour les autres souches sauf pour une souche isolée d'un myriapode de l'?le de la Réunion. C'est la première fois que l'aptitude à cro?tre à cette température est reconnue chez un isolat deConidiobolus coronatus provenant d'un arthropode.
Summary Whatever the substrate of origin of the strain (soil, arthropods, human phycomycosis), conidia ofConidiobolus coronatus (Zygomycotina, Entomophthorales) are able to infect the pea aphid,Acyrthosiphon pisum (Hemiptera, Aphididae) and the greater wax moth,Galleria mellonella (Lepidoptera, Pyralidae). Moreover, intrahemocoelic injections of filtrates from shake cultures of all the 8 strains tested proved to be toxic for the later insect; the symptoms are successively haemorrhage, which could last for a few hours, blackening of the blood and at last death. This is the first mention of an anti-coagulant effect of metabolic products from any Entomophthorale. The strain isolated from an human phycomycosis is both the most virulent against the pea aphid and the most effective with regard to toxicity. Comparison of fungal growthin vitro at different temperatures, ranging from 4 to 37°C, revealed a certain relation between the temperature for the optimal growth and the locality of origin of a strain. In particular, strains from tropical areas were growing at 26–29°C faster than those from temperate regions. The higher growth rate was noticed at 29°C for all the 8 tested strains, except for the strain from human phycomycosis, for which the optimum temperature was 37°C. This temperature was lethal for the other strains, but for a strain isolated from a myriapod from the Reunion Island. It is the first time that the ability of a strain ofC. coronatus isolated from an arthropod to growth at 37°C is ascertained.
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17.
Resumé L'influence de 4 herbicides couramment utilisés en agriculture sur la croissance, la morphologie et l'infectivité de cultures pures de Frankia a été étudiée. Aux doses prescrites par le fabricant, la croissance des cultures et la morphologie de Frankia ne sont pratiquement pas affectées par le Légurame, le Dévrinol ou le Fulton. A fortes concentrations le Comodor inhibe totalement la croissance de certaines souches. La formation de nodules est fortement affectée par tous les herbicides utilisés.
Effects of some herbicides on the growth and infectivity ofFrankia strians
Summary Effects of four herbicides, widely used against weeds, on Frankia strains grownin vitro were studied. At the recommended rate, Legurame, Devrinol and Fulton had significant effect on growth and morphology of Frankia strains. At a high concentration Comodor inhibited growth of 6 strains. Infectivity was affected by al herbicides; 6 weeks after inoculation nodules were not yet formed.
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18.
B. Papierok  N. Wilding 《BioControl》1981,26(3):241-249
Résumé Au sein de l'espèceConidiobolus obscurus (Hall & Dunn) Remaudière & Keller, les souches différant par leur comportement en culturein vitro présentent également des différences dans leur comportementin vivo. Les souches qui poussent rapidement, plissent le milieu et forment facilement des azygospores (type A) sont moins virulentes à l'égard deAcyrthosiphon pisum Harris et deSitobion avenae F. que les souches de type B, qui poussent plus lentement, plissent peu le milieu et ne produisent pas de spores de résistance. La durée d'incubation de la maladie chez les 2 espèces de pucerons est plus longue chez les individus infectés par une souche de type B que chez ceux infectés par une souche de type A. La formation d'azygospores à l'intérieur des pucerons morts de mycose placés à 2°C sur de la cellulose mouillée n'est observée que dans le cas des souches de type A. En dernier lieu le nombre de conidies émis par un cadavre lors de la sporulation est en moyenne plus élevé dans le cas des souches de type B que dans celui des souches de type A. Les 2 types de souches doivent être regardés comme des races biologiques au sein de l'espèceC. obscurus.
Summary The 2 types of strain ofConidiobolus obscurus (Hall & Dunn) Remaudière & Keller which can be separated by differences in their growthin vitro, differed also in characteristics of their developmentin vivo. Strains which,in vitro, grow rapidly, fold the surface of agar media and readily produce azygospores (strains of type A), were less infective forAcyrthosiphon pisum Harris andSitobion avenae F. than strains of type B which grow more slowly, hardly fold the surface of agar media and fail to produce resting spores. However, the incubation period of the disease in both these aphid species was longer for type B than type A strains. Azygospores formed in aphids infected experimentally with type A strains but not in those infected with type B strains when the cadavers were placed on moist cellulose at 2°C. The mean number of conidia produced from aphids infected with strains of both types varied greatly but strains of type B produced more conidia per aphid than those of type A. The 2 types of strain should be considered as biological races within the speciesC. obscurus.


Avec la collaboration technique de MesdamesM. Arnault etS. K. Best.  相似文献   

19.
Host-specific development and survival rates were measured and population parameters computed for both a wild and a laboratory strain of the oriental fruit fly (Dacus dorsalis Hendel) in Hawaii. Gross fecundities of the wild and laboratory strains were 241 and 1551 eggs per female, respectively. Egg to eclosion developmental rates were 27 days for the wild strain and 24 days for the laboratory strain. The preovipositional period of the wild strain was 19 days compared to 9 days in the laboratory strain.Differences of this magnitude in fecundity and developmental rates between laboratory and wild strains have not been observed in other recent demographic studies of tephritids. The results suggest that the laboratory strain of the oriental fruit fly may have undergone more intense selection than laboratory strains of the other species.
Résumé Pour deux souches, l'une sauvage, l'autre de laboratoire, de D. dorsalis de Hawaï, les mesures ont porté sur la durée de développement et le taux de survie, les paramètres caractéristiques de la population ont été traités sur ordinateur. Pour les souches sauvage et de laboratoire, les fécondités brutes ont été respectivement de 241 et 1551 oeufs par femelle. Les durées de développement larvaire et nymphal ont été de même de 27 jours pour la souche sauvage et de 24 j pour celle de laboratoire; les périodes de latence avant la ponte ont été de 19 j pour la souche sauvage contre 9 j pour celle de laboratoire.Jamais de telles différences de fécondités et de durées de développement entre souches sauvages et de laboratoire n'avaient été observées lors des études récentes sur des téphritidae. Ces résultats suggèrent que la sélection subie par la souche de laboratoire de D. dorsalis été plus intense que celles subies par d'autres espèces.
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20.
Résumé La composition en sucres des parois de 13 souches de Conidiobolus coronatus et de 1 souche de Conidiobolus incongruus a été étudiée par chromatographie en phase gazeuse. Deux sucres principaux ont été mis en évidence: du glucose et du mannose. L'étude du rapport mannose/ glucose montre que les souches se répartissent en 3 groupes. Dans le premier groupe figurent les souches de C. coronatus ayant un rapport compris entre 0,92 et 1,3; ces souches ont été isolées de l'homme et du chimpanzé. Dans le second groupe figurent les souches de C. coronatus isolées du sol ou des lésions du cheval dont le rapport varie de 2,7 à 4,1; enfin, à part, Conidiobolus incongruus qui est caractérisé par un rapport de 0,44. La température léthale de chacune des souches étudiées ainsi que la présence éventuelle de spores villeuses est également signalée. Deux séries apparaissent donc chez Conidiobolus coronatus qui correspondent peut-être à des groupes biologiques différents.
The composition in the cell wall sugars of 13 strains of Conidiobolus coronatus and 1 strain of Conidiobolus incongruus has been determined. Glucose and mannose were found to be the main sugars. The study of the ratio mannose/glucose has shown that there are 3 groups of strains. The first group which contains the strain of C. coronatus isolated from man or chimpanzee is characterized by a ratio lying between 0.92 and 1.3. The second group containing the strains of C. coronatus isolated from horse lesion or from soil is characterized by a ratio lying between 2.7 and 4.1. The last group which contains C. incongruus whose ratio mannose/glucose is 0.44. These results suggest the existence of two groups among the strains of C. coronatus. Lethal temperature of each strain and eventual presence of villosus spores are also mentioned.
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