首页 | 本学科首页   官方微博 | 高级检索  
相似文献
 共查询到20条相似文献,搜索用时 15 毫秒
1.
Résumé ChezCalotermes flavicollis, la formation des sexués néoténiques est plus facile, ou plus rapide, dans le sexe femelle que dans le sexe mâle.Les sexués femelles montrent un pouvoir inhibiteur à l'égard des individus femelles; les sexués mâles inhibent les mâles de façon moins complète; la stabilisation complète peut être obtenue dans les élevages unisexués, formés uniquement de mâles ou de femelles.La régulation du nombre des néoténiques ne se fait pas de la même façon dans les élevages et dans les élevages . Dans les premiers, 2 néoténiques subsistent, quelquefois 3; dans les seconds ne persiste qu'un seul néoténique , rarement deux.Ces résultats mettent en lumière le rôle différent joué par les mâles et les femelles dans les sociétés de Termites.  相似文献   

2.
Résumé Nos méthodes expérimentales permettent l'isolement d'une larve de sexe déterminé par hôte de l'ectoparasite grégaire Dinarmus vagabundus et du solaitire, D. basalis. Des hôtes porteurs de 3 à 8 larves par hôte de D. vagabundus sont aussi isolés. Dans ces conditions la quantité de nourriture disponible est la même pour toutes les densités larvaires étudiées.Les larves élevées en solitaire des deux espèces assimilent une quantité de nourriture significativement supérieure à celle assimilée par les . Ceci conduit à des adultes de poids moyen supérieur à celui des . Le poids moyen des et des de D. vagabundus diminue significativement aux fortes densités larvaires. L'intensité de la liaison entre la quantité de nourriture assimilée et la biomasse produite s'affaiblit au fur et à mesure que la densité larvaire par hôte augmente.Les de D. vagabundus de poids moyen (0,42 mg) engendrent deux fois et demi plus de descendants que les lilliputiennes (0,20 mg) émergées d'hôtes à forte densité larvaire. Celles de D. basalis (0,65 g) sont moins prolifiques que les de D. vagabundus.  相似文献   

3.
Résumé Pour rechercher le poireau, Acrolepiopsis assectella doit utiliser des stimulus olfactifs issus du végétal-hôte et notamment les substances soufrées spécifiques. Le pouvoir attractif de l'«odeur» du poireau et celui de différents thiosulfinates et disulfures trouvés dans cette plante sont donc étudiés et comparés par olfactométrie. Le comportement de mâles et de femelles vierges et fécondées est observé, en fonction de l'âge des imagos, pendant la scotophase. Alors qu'un courant d'air sans «odeur» significative déclenche essentiellement l'orientation et l'immobilisation des insectes face au flux, la plus part des mâles et des femelles quel que soit leur état sexuel sont attirés par le courant d'air lorsque celui-ci transporte l'«odeur» du poireau ou les substances volatiles étudiées. La sensibilité à l'«odeur» de la plante-hôte semble se modifier avec l'âge des insectes, les mâles âgés et les jeunes femelles étant les plus attirés. Cependant, ces dernières conservent une forte sensibilité une fois fécondées. Aux âges où l'«odeur» du poireau est la plus efficace, les thiosulfinates déclenchent chez les mâles et les femelles vierges une attraction plus importante que les disulfures, le radical propyle étant plus actif que le méthyle. Le thiosulfinate de dipropyle, labile, très abondant dans le poireau, semble donc avoir un rôle informationnel prépondérant.
Summary To find the leek, Acrolepiopsis assectella uses olfactory stimulants from the hostplant, and specially the specific sulphur compounds. The attractiveness of the leek smell and of different thiosulfinates and disulfides found in this plant were studied and compared in an olfactometer. The behaviour of , and virgin or mated was observed during the scotophase according to to the age of the adults. In a clean air current the insects orient and remain stationary. The majority of and virgin or mated move upwind when the air current bears the leek smell or the voltile sulphur compounds. The sensitivity to the hostplant smell seems to change with the age of the insect, old and young being most attracted. Once mated, the retain a high sensitivity. When the responsiveness to the leek smell is highest (at 1 day and 5 days) the thiosulfinates have a greater effect than the disulfides in both and virgin . The propyl moiety is more active than the methyl one. The labile dipropyl thiosulfinate (propyl propanethiosulfinate), very profuse in the leek, seems to have the major role.
  相似文献   

4.
The seasonal fluctuations in numbers, sex ratios and the changes in the reproductive status of the Mexican fruit fly, Anastrepha ludens, caught in McPhail traps in citrus orchards and the effect of control measures on them, were examined in Belize, Central America. Evidence is presented that the seasonal increase in numbers was derived mainly from infestations in grapefruit and that harvesting played a significant part in controlling numbers by removing infested fruit. In orchards where sprays were not used to control the fruit fly, the sex ratio and the proportion of fecund females were very variable but there were always greater numbers of females — often two to four times as many. During spray programs the sex ratio approached unity and the proportion of fecund females decreased to zero. The sex ratio therefore gave an indication of the mean reproductive status of the female flies in the traps and thus the capacity of a local population to initiate infestations as well as the efficiency of control measures used.
Résumé Effectifs, taux sexuel, périodes de reproduction, ainsi que leurs variations au cours de l'année et après application de mesures de lutte ont été étudiés chez la mouche des fruits mexicaine A. ludens dans des vergers d'agrumes de Belize (Amérique centrale), à l'aide de pièges McPhail.Les effectifs d'A. ludens sont caractérisées par une progression régulière à partir d'un minimum entre juin et septembre, jusqu'à un maximum en février ou mars. Ces variations saisonnières dépendent de la présence de fruits mûrs, de pamplemousses notamment. Le taux sexuel des adultes capturés dans des vergers non traités est très variable, mais les sont toujours plus nombreuses (souvent 2 à 4 fois plus) que les mâles. Pendant la saison des pamplemousses, les peuvent pondre dans les fruits mûrs qui abondent; si la proportion de augmente, celle des fécondes diminue. Après un traitement efficace à l'aide d'un attractif insecticide à base d'hydrolisat de protéines, le taux sexuel tend vers 1 : 1, les fécondes tendant à disparaître et la majorité des caputées étant fraîchement émergées et immatures.Pendant la saison des pamplemousses, le taux sexuel donne des indications sur le potentiel reproducteur des , sur leur aptitude à provoquer une infestation, ainsi que sur l'efficacité et la persistance des attractifs insecticides utilisés pour la lutte contre la mouche des fruits.
  相似文献   

5.
The effect of different host plant diets on the growth dynamics of the large milkweed bug, Oncopeltus fasciatus, was investigated by rearing this specialized seed feeder on the seeds of seven milkweed species occurring in central Missouri. Growth rate, growth efficiency, and : biomass ratio proved to be the most sensitive measures of growth in detecting significant differences between diets. Asclepias syriaca L., A. verticillata L. and A. hirtella (Pennell) Woods, supported the most rapid and efficient growth, while A. incarnata L., A. purpurescens L., A. viridiflora Raf., and A. quadrifolia Jacq. were less suitable host species. In general, O. fasciatus grew best on the host species it utilizes most commonly in the field, thus supporting the proposed host familiarity hypothesis. The most commonly exploited plant species shared three characteristics of seed production and quality which accounted for 87%–96% of the variability in growth dynamics of O. fasciatus. The most important of these was the mean number of pods produced per plant. Seed nitrogen content was the next best parameter in further accounting for variability in growth rate and : biomass ratio but seed cardenolide content was the second parameter for growth efficiency.
Résumé L'élevage d'Oncopeltus fasciatus sur les graines de 7 espèces d'Asclepias de la région centrale du Missouri a permis d'examiner l'influence de l'alimentation sur différentes plantes hôtes sur la dynamique du développement de cet insecte.La survie, la durée du développement, la biomasse des adultes et les calories de l'aliment consommé ou de la biomasse produite, présentent peu de différences significatives suivant les aliments.Par contre, 3 autres paramètres: le taux de croissance, l'efficacité de la croissance, et le rapport des biomasses /, sont plus sensibles pour la mise en évidence de différences. Asclepias syriaca, A. verticillata et A. hirtella permettent la croissance la plus rapide et la plus efficace, tandis que A. incarnata, A. purpurescens, A. viridiflora et A. quadrifolia sont des hôtes moins favorables. En général, O. fasciatus se développe mieux sur la plante qu'il consomme le plus fréquemment dans la nature, ce que était l'hypothèse des hôtes familiers. 87% de la variabilité du développement sur les différents régimes peut être expliquée par 3 paramètres liés à la production et à la qualité des graines. Le nombre moyen de gousses par plante intervient le plus dans la détermination de la variabilité du taux de croissance. La teneur des graines en azote est le paramètre qui intervient ensuite pour le taux de croissance et le rapport de biomasses /, mais la teneur des graines en cardenolide est le second paramètre pour l'efficacité de la croissance.
  相似文献   

6.
A pilot experiment in genetic control of the German cockroach was conducted aboard a small vessel based at Norfolk, Virginia. It utilized sterile (double translocation heterozygotes) whose sterility effects were due to embryonic lethality plus complete entrapment of any remaining viable embryos within the egg case. Initial infestations were reduced by insecticides prior to male release. Three releases of unmated were made at monthly intervals. Infested harborages, located in the course of insecticide application, were used as release sites. The experiment was terminated after 41/2 months. The results showed that released joined groups near release sites and that they competed well against wild type . Apparently neither they nor with which they mated moved far from these sites. Sterility effects differed in respect to specific sites and general areas. Population growth was retarded markedly in the galley, the area of heaviest initial infestation. Terminal infestation was heaviest in the mess deck, although the highest sterility among occurred at/near the mess-deck release site (only one mess deck-infested site was found prior to initation of the experiment). It is suggested that a slight increase in the number released would have suppressed/eliminated groups inhabiting galley harborages, but that site selection was the major problem in the mess deck. Analyses of nymphal age classes and mating types among led to a hypothesis that insecticide-induced dispersal of nymphs resulted in the infestation of many new mess-deck harborages. Population growth was unchecked at these sites because they were too far removed from the sterile male release sites.
Résumé Une expérience pilote dans la lutte génétique contre Blattella germanica L. a été réalisée sur un petit navire encré à Norfolk, Virginie. La léthalité embryonnaire des mâles stériles utilisés (hétérozygotes à double translocation) était associée au piégeage des quelques embryons viables dans les oothèques. Les pullulations initiales avaient été réduites par des insecticides avant le lâcher des mâles. Des mâles vierges ont été lâchés à trois reprises à un mois d'intervalle. Les abris contaminés, localisés au cours des traitements insecticides, ont été utilisés comme lieux de lâcher. L'expérience s'est achevée au bout de quatre mois et demi. Les résultats montrent que les mâles introduits rejoignent les autres blattes près des lieux de libération et qu'ils ne sont pas défavorisés dans leur compétition avec les autres mâles. Ni eux, ni les femelles avec lesquelles ils se sont accouplés, ne s'éloignent apparemment de ces emplacements. Les effets de stérilisation varient en fonction des sites spécifiques et des zones plus vastes. La croissance de la population est significativement retardée dans la cuisine, zone où l'infestation initiale était la plus élevée. L'infestation finale la plus importante est dans le pont du mess, bien que la stérilité des femelles la plus élevée s'observe à (ou près) du lieu de libération au pont du mess (seulement un lieu d'infestation avait été observé sur le pont du mess avant le début de l'expérience). On pense qu'une légère augmentation de l'effectif libéré aurait supprimé (ou éliminé) les groupes occupant des abris dans la cuisine, mais que la sélection des sites était le principal problème pour le pont du mess. L'analyse des classes d'âges des larves et des catégories de femelles accouplées laisse supposer que la dispersion des larves provoquée par l'insecticide a entrainé la contamination de beaucoup de nouveaux abris dans le pont du mess. La croissance de la population n'a pas été contenue dans ces sites parce qu'ils étaient trop éloignés des lieux de lâcher des mâles stériles.
  相似文献   

7.
Zusammenfassung Außer an ihren Blutwirten findet man die bei uns heimischen Simuliiden regelmäßig im Frühjahr auf der Weißweide (Salix alba), im Sommer auf den gelbgrünen Blüten und Früchten des Pastinak (Pastinca sativa) und im Herbst auf den grünen Blüten des Efeu (Hedera helix). Die Blüten zumindest von Pastinak und Efeu werden von allen Simuliidenarten selektiv angeflogen. Die übrigen Umbelliferen bleiben, auch wenn sie in unmittelbarer Nähe von Pastinak wachsen, unberührt. Efeu wird auch dann reichlich angeflogen, wenn er in einzelnen Stöcken an entlegenen Plätzen wächst. Alle von Simuhiden nachweislich direkt angeflogenen Blüten haben eine in der Natur unauffällige, entweder gelbe, gelbgrüne oder rein grüne Farbe und offene Nektarien. Aus diesen Gründen scheint mindestens beim Anflug auf Efeu und Pastinak eine olfaktorisch gesteuerte Orientierung vorzuliegen. Sie ist offenbar viel spezifischer als die vorwiegend optische Orientierung derselben Simuliidenarten nach ihren Blutwirten.Durchschnittlich sind etwa doppelt soviele wie auf Blüten anzutreffen. Abends und nachts sowie an kalten, regnerischen Tagen findet man mehr Simuliiden auf Pastinak als an sonnigen Tagen. Die auf Blüten angetroffenen der mammalophilen Simuliidenarten Wilhelmia salopiensis, W. equina, Boophthora erythrocephala und Odagmia ornata sind durchschnittlich zu 90% besamt, die der ornithophilen Art Eusimulium latipes nur zu 32%. Bei allen Arten fanden sich auf Blüten stets auch einige mit Blut im Mitteldarm oder legereifen Eiern im Abdomen. Der Blütenbesuch kann demnach vor und nach dem Blutsaugen stattfinden.Beim Anflug auf den Blutwirt sind die der genannten mammalophilen Arten ebenfalls zu rund 98% besamt, die von E. latipes wiederum nur zu 53%. Das Verhalten dieser Art, welche auch nachts Blut saugt, scheint von dem der mammalophilen Arten hinsichtlich der Geschlechterfindung erheblich abzuweichen.Das bekannte tagesperiodische Anflugsverhalten der auf ihren Säugetierblutwirt mit je einem Maximum nach Sonnenaufgang und vor Sonnenuntergang läßt sich auch bei den zugehörigen feststellen, wean man berücksichtigt, daß die den Blutwirt nicht direkt anfliegen, sondern ihn nur umschwärmen.Das Anflugsverhalten der und ist von der Änderung der Lichtintensität in der Zeiteinheit (Wolfe u. Peterson 1960), das Schwarmverhalten der allein von der absoluten Tageshelligkeit (Wenk 1965b) abhängig. Die Kopulation kann demnach einerseits morgens und abends in der Nähe des Blutwirtes und andererseits tagsüber beim Schwärmen der stafffinden. Wie wir später direkt zeigen konnten, sind beide Arten der Geschlechterfindung zur Kopulation bei drei von den vier genannten mammalophilen Simuliidenarten verwirklicht (Wenk 1965b). Die Kopulation von O. ornata und der ornithophilen Art E. latipes konnten wir dagegen selbst nie beobachten.
Summary Simuliids of South-Western Germany show a marked preference for the white willow (Salix alba) in spring, the yellow blossoms of parsnip (Pastinaca sativa) in summer, and the green blossoms of ivy (Hedera helix) in autumn, whereas all the other Umbelliferae are disregarded, although they may be numerous and in close proximity. Ivy will be found by many simuliids even if growing in single plants at hidden places. All flowers for which a predelection by simuliids can be clearly established are inconspicuous under natural conditions — being of yellow, yellowish green or pure green colour — and their nectaries are of the open type. Therefore orientation of these simuliids to their nectar donors seems to rely on olfactoric senses and is apparantly much more specific than optical orientation to the blood hosts of the same species.On average, about twice as many are found on blossoms than During the evening and night; as well as on cold rainy days, more simuliids are encountered on parsnip than on sunny days. The of the mammalophilic species Wilhelmia salopiensis, W. equina, Boophthora erythrocephala and Odagmia ornata are inseminated at the rate of 90% , the of the ornithophilic species Eusimulium latipes at 32% only. In all species, some have been found with blood in the midgut or eggs in the abdomen, i. e. visiting of flowers may take place before or after bloodsucking.All of mammalophilic species attacking their blood hosts are inseminated at the rate of 98%, the of the ornithophilic species E. latipes at 53% only. The behaviour of the latter, which is bloodsucking also at nighttime, seems to differ considerably with regard to sexfinding orientation from the mammalophilic species.The diurnal periodicity of mammalophilic in attacking the host —with the well-known maxima at sunrise and sunset — is the same for the , bearing in mind that do not attack the hosts of their directly but are flying around them. Consequently, copulation may take place either in the morning and evening near the blood host, or during the day in the swarms of . It has been demonstrated for three of the four mammalophilic species mentioned (WENK, 1965b) that sex-finding and copulation occur at both occasions.
  相似文献   

8.
Résumé G. mellonella infestée au dernier stade larvaire avec 1, 2, 3 ou 5 planidia/hôte (ph/H) produit 1 à 5 pupes/hôte (pu/H). La mortalité des chenilles augmente avec le nombre de pl/H. Le poids des pupes et décroît avec un nombre croissant de pu/H (18,2 à 12,9 mg pour les et 12,5 à 9,7 mg pour les ). Le développement larvaire dure 8,7 j. chez les et 8,3 chez les ; il est peu affecté par le superparasitisme. Avec 1, 2, 3 et 5 pl/H nous obtenons 0,84–1,61–2,17 et 3,43 pu/H et 0,81–1,48–2,10 et 3,11 imagos/H. L'optimum est de 3 pl/H ou 1 à 2=pl/H pour obtenir des parasitoïdes plus lourds.
Summary The influence of superparasitism on larval and pupal development is investigated. Last-larval instar G. mellonella (200±5 mg) were infected with 1, 2, 3 or 5 planidia/host (pl/H) producing 1 to 5 pupae per host (pu/H). Host mortality (8.6–8.3–14.3 and 22.2%) increased with the number of planidia. The planidia may transmit a bacteriosis. Pupal weight ( and ) decreased as number of pu/H increased. pupae were heavier than ones: 12.9 to 18.2 mg for against 9.7 to 12.5 mg for . Larval development lasted slightly longer for (8.7 d.) than for (8.3 d.), and its duration was little affected by superparasitism. 1, 2, 3 or 5 pl/H yielded 0.84–1.61–2.17 and 3.43 pu/H and 0.81–1.48–2.10 and 3.11 adults/H. An optimum was obtained with 3 planidia of L. diatraeae on G. mellonella or 1 to 2 to obtain heavier parasitoids.
  相似文献   

9.
Summary Sounds produced during prefeeding, feeding and postfeeding behaviour of the tsetse, Glossina m. morsitans Westw. were investigated. Males and virgin very seldom sang before feeding but mated sang in more than 20% of the cases before taking a meal. Sound production during engorgement was negligible among all 3 groups. Postfeeding sounds were the most commonly produced, mated singing significantly more than virgin and both these groups more than . The mean duration of the postfeeding sounds did not differ between the sexes. Within each group, postfeeding sound production did not significantly change with age. There were, however, significant differences in the patterns of postfeeding sound production when were compared to over a period of 8 weeks.Oscillograms of these sounds indicated that the songs differed between the sexes and also varied from time to time. The sounds were composed of frequencies up to 50 kHz with the exception of the prefeeding sounds which did not contain any ultrasonic components. The most dominant frequency was centered between 1.5–2.5 kHz. Peaks were also observed between 0.5–0.8 kHz and around 5 kHz and 9 kHz. Prefeeding songs were of a weaker intensity than postfeeding songs.It is suggested that the sounds associated with feeding behaviour play a role in attracting hungry flies to suitable hosts and that, the low frequency components having higher intensities (30–40 dB) than the ultrasonic frequencies (10 dB) carry the most important part of the acoustic information.
Résumé L'étude a porté sur les sons produits pendant les comportements préalimentaire, alimentaire et postalimentaire de la mouche Tsétsé, Glossina morsitans morsitans.Les mâles et les femelles vierges chantent très rarement avant l'alimentation, mais les femelles fécondées chantent dans plus de 20% des cas avant de prendre un repas. La production de sons pendant la prise de nourriture était négligeable pour les trois catégories. Les sons postalimentaires étaient plus fréquents, les femelles fécondées chantant plus que les femelles vierges et l'ensemble des femelles plus que les mâles. La durée des sons postalimentaires ne différait pas suivant les sexes. Dans chaque catégorie, les sons postalimentaires ne changaient pas significativement avec l'âge. Il y a eu, cependant, des différences significatives dans les caractéristiques de la production de son postalimentaire lorsque les mâles étaient comparés aux femelles pendant une période de 8 semaines.Les oscillogrammes de ces sons différaient suivant le sexe et variaient de temps en temps. Les sons comportaient des fréquences jusqu' à 50 kHz, à l'exception des sons préalimentaires des mâles qui ne contenaient pas d'ultrasons. Les fréquences les plus dominantes étaient concentrées entre 1,5–2,5 kHz. Des pics étaient observés entre 0,5–0,8 kHz et autour de 5 kHz et 9 kHz. Les sons préalimentaires étaient plus faibles que les sons postalimentaires. On en suggère que les sons associés au comportement alimentaire jouent un rôle en attirant les mouches affamées vers un hôte convenable et que la plus grande partie de l'information acoustique est portée par les composantes à basse fréquence qui ont une intensité plus élevée (30–40 dB) que les fréquences ultrasoniques (10 dB).
  相似文献   

10.
Zusammenfassung Junge Halsbandschnäpper wurden handaufgezogen, flogen im Flugkäfig aus und wurden dort selbständig. Darauf wurden sie 90 km nach Süden verfrachtet und in einem von dieser Art unbewohnten Gebiet freigelassen. Im nächsten Frühjahr siedelten sich mindestens 9 dort an, was 19% Rückkehrern entspricht, wenn die Hälfte der Vögel waren. kehrten in geringerer Zahl zurück und wurden nicht restlos erfaßt.Eine weitere Gruppe wurde erst vor Ende der Jugendmauser verfrachtet. Auch davon kehrten 18-19% der zurück. Ein Zeitraum von rund 2 Wochen vor dem Wegzug reichte also zur Prägung auf ein Gebiet als Heimat aus.Von einer dritten Gruppe von insgesamt 68 Schnäppern (= ca. 34 ), die erst nach Ende der Jugendmauser zur Wegzugzeit aufgelassen wurde, konnte später keiner nachgewiesen werden, auch nicht am Aufzuchtsort. Letzteres könnte an der Ungunst der örtlichen Verhältnisse liegen.Mit Unterstützung der Deutschen Forschungsgemeinschaft.  相似文献   

11.
    
Zusammenfassung Beim wildenPlatypoecilus maculatus aus Mexiko, der im männlichen Geschlecht heterogamet ist (Gordon 1946), ist neben dem gonosomalen noch ein autosomales System von Geschlechtsrealisatoren am Werke (vgl.Öktay 1959). Es vermag in extremen Konstellationen, die zufalls- oder selektionsbedingt sein können, denXY-Mechanismus epistatisch zu überlagern, so da\XY-Individuen zu determiniert werden können.XY- sind voll vital und fertil und ergeben in Paarungen mitXY- nebenXX- undXY- voll vitale und fertileXY-.Auf Grund der vorliegenden Kreuzungsergebnisse und der Befunde anderer Autoren wird angenommen, daß der normalerweise rein gonosomale Geschlechtsbestimmungsmodus vonPlatypoecilus maculatus aus dem primitiveren autosomal polyfaktoriellen, der unter anderem bei einem nahen Verwandten dieser Art,Xiphophorus helleri, vorkommt (Kosswig 1931 ff.), hervorgegangen ist.Mit 1 Textabbildung  相似文献   

12.
Zusammenfassung Dinophilus gyrociliatus bildet zwei Oocytentypen, einen größeren, aus dem hervorgehen (-Oocyte) und einen kleineren, der sich zu entwickelt (-Oocyte). Diese beiden Oocytentypen sind von frühen Stadien der Vitellogenese an durch ihr unterschiedliches Größenwachstum zu unterscheiden. Da bei Oogonien und prävitellogenen Oocyten keine zwei unterschiedlichen Zelltypen festzustellen sind, muß man annehmen, daß die Differenzierung in - und -Oocyten in einem zwischen der Prävitellogenese- und der Vitellogenesephase gelegenen Übergangsstadium beginnt. Während der Prävitellogenesephase finden Zellverschmelzungen statt, aber es konnten keine Beziehungen zwischen der Fusion von Oocyten und der späteren Differenzierung nachgewiesen werden.Die -Oocyte beginnt schon auf einem frühen Stadium der Vitellogenese mit der Produktion von Mucopolysaccharid-Granula, die -Oocyte erst später. Diese Granula bilden nach der Ablage der Eier die Ei- oder die Kokonhülle.Die -Oocyte bildet größere Proteindottergranula als die kleinere -Oocyte. Eine Trennung zweier Zellsorten nach Granulagrößen läßt sich schon auf dem Übergangsstadium durchführen. Der absolute RNS-Gehalt der reifen -Oocyte liegt wesentlich über dem der -Oocyte; dagegen ist die Konzentration der RNS in der -Oocyte höher. Die RNS-Synthese verläuft in beiden Oocytentypen parallel zur Volumenzunahme und dauert bis zum Ende der Vitellogenesephase.
Egg dimorphism and oogenesis in the archiannelid Dinophilus gyrociliatus
Summary Dinophilus gyrociliatus produces two types of oocytes, a big, female producing -oocyte, and a smaller, male-producing -oocyte. They may be distinguished by their different volume from the beginning of the vitellogenic phase. Neither oogonia nor previtellogenic oocytes show two types of cells, and the beginning of differentiation in -oocytes and -oocytes has to be located in a connecting stage after the previtellogenic and before the vitellogenic phase. On previtellogenic stages the cells fuse and form bigger ones, but there is no connection to be found with the differentiation of the egg cells.The -oocyte starts the production of mucopolysaccharid granules at an early vitellogenic stage; the -oocyte does so only at later stages. These granules form the egg capsule after the eggs have been laid.The -oocyte contains bigger protein yolk granules than the smaller -oocyte. Already on the connecting stage it is possible to distinguish two groups of cells by the size of their granules.The ribonucleic acid content in the -oocyte exceeds greatly that of the -oocyte. The RNA-concentration, however, is higher in the latter one. During the vitellogenic stages the rate of RNA-synthesis in either type of oocytes parallels the increase in cell volume, the synthesis lasting up to the end of the vitellogenic phase.
Für die Aufenthalte in Lille standen mir ein Forschungsstipendium der französischen Regierung sowie eine Beihilfe der Gesellschaft der Freunde und Förderer der Universität des Saarlandes zur Verfügung.  相似文献   

13.
The effect of the temperature-humidity factor on the reaction of two different visual stimuli has been investigated with Chorthippus brunneus (Thunb.) (= Chorthippus bicolor Charp.), Chorthippus longicornis (Latr.) (= Ch. parallelus Zett.) and Mecostethus grossus (L.). At low and high temperatures (high and low relative humidities), the three species show a greater preference for surroundings with vertical stripes than for white surroundings. At medium temperature and relative humidity, the preference for white surroundings is greater than for surroundings with vertical stripes. In a comparison between the three species at high temperature, they show regarding their intensity of preference for surroundings with vertical stripes a ranking order which is identical with that of their preference for dense grass vegetation in natural environments. In a comparison between and at high temperature, show a greater preference for surroundings with vertical stripes than .
zusammenfassung Die Wirkung des Temperatur-Luftfeuchtigkeits-Faktors auf die Reaktion gegenüber zwei optischen Reizen wurde bei Chorthippus brunneus (Thunb.) (= Chorthippus bicolor Charp.). Chorthippus longicornis (Latr.) (= Ch. parallelus Zett.) und Mecostethus grossus (L.) untersucht. Bei niederen und hohen Temperaturen (hoher und niederer relativer Luftfeuchtigkeit) zeigen die drei Arten eine größere Bevorzugung für Umgebungen mit vertikalen Streifen als für weiße Umgebungen. Bei mittlerer Temperatur und relativer Feuchtigkeit ist die Bevorzugung weißer Umgebung größer als für Umgebungen mit vertikalen Streifen. Bei einem Vergleich der drei Arten bei hoher Temperatur ergibt sich hinsichtlich der Stärke ihrer Bevorzugung für vertikal gestreifte Umgebung eine Rangfolge, die mit der ihrer Bevorzugung dichter Grasvegetation in natürlicher Umgebung identisch ist. Bei einem Vergleich zwischen und bei hoher Temperatur zeigen die eine größere Präferenz für Umgebung mit Vertikalstreifung als die .
  相似文献   

14.
Zusammenfassung 1. Von den in einer intensiv untersuchten Population des Baumpiepers in Nordbelgien beringten Nestlingen kehrten 24 junge und 3 junge zurück. 12 von 17 farbberingten Jungvögeln stammten dabei aus Erstbruten.2. 6 und die beiden waren Heimatansiedler, 1 Fremdansiedler, 6 geburtsortstreu und 2 Geburtsorts-Rücksiedler.3. Die mittlere Entfernung des Revieres vom Geburtsnest betrug bei den geburtsortstreuen 184±118 m, bei den anderen 818±368 m.4. Alte zeigen größere Umsiedlungsentfernungen als alte .5. Einjährige haben in der Population einen sehr hohen Anteil.6. 79 % der und 50 % der kehrten wieder in die Population zurück.7. Die Population umfaßte durchschnittlich 42 Brutpaare. Der Anteil an ledigen Altvögeln betrug 7 %. Die Siedlungsdichte erreichte einen Wert von 3,6 Brutpaaren pro 10 ha (ohne Gewässer).8. Angaben zu Paartreue, Paarauflösung, Bigynie und Paarbildung werden mitgeteilt.9. Aus den Rückkehrzahlen errechnet sich eine durchschnittliche Mortalität der jungen von etwa 65 %, eine Lebenserwartung von einem Jahr und ein Durchschnittsalter von 1,5 Jahren.10. 2,5 % der gelegten Eier bzw. 4,6 % der ausgeflogenen Jungvögel erbrachten brutreife Rückkehrer.11. Für alte errechnet sich eine Mortalität von 47,5 %, für alte von 66,7 % und eine Lebenserwartung von 1,6 bzw. 1,0 Jahren.12. Zum Erhalt der Population müssen jährlich etwa 46 % der ausgeflogenen Jungvögel bis zum nächsten Jahr überleben.13. Die untersuchte Population ist durchschnittlich aus 4,6 % geburtsortstreuen Jungvögeln, 41,3 % fremden Jungvögeln, 37,4 % ortstreuen Altvögeln und 16,7 % unbekannter Altvögel zusammengesetzt.
Site-tenacity, age structure and mortality in a population of the tree pipit(Anthus t. trivialis) in northern Belgium
Summary 1. 24 first year and 3 first year , ringed as nestlings, returned in next years. 12 of 17 colour-ringed birds came from first broods.2. 6 and the 2 were Heimatansiedler, 1 Fremdansiedler, 6 geburtsortstreu and 2 Geburtsorts-Rücksiedler.3. The mean distances between the first territory and the birth nest of the geburtsortstreue and of the other were 818±368 m and 184±118 m respectively.4. Adult showed greater settling distances than adult .5. The percentage of first year was very high.6. 79 % and 50 % returned to their breeding population in next years.7. The mean density of the population was 42 pairs or 3,6 pro 10 ha. Unpaired adults amounted 7 %.8. Data on pair formation, mate-faithfulness and bigyny are treated.9. Calculation of mortality from the data of returned birds yielded a mortality of young of 65 %, a life expectancy of one year and a mean life time of 1,5 years.10. Sexual mature individuals derived from 2,5 % of all eggs laid and from 4,6 % of all youngs fledged.11. The computed mortality of adult is 47,5 % and of adult 66,7 %. The life expectancy is 1,6 and 1,0 years for adult and respectively.12. Allowing for the annual losses of adults a survival rate of first year birds of about 46 % is necessary.13. The mean annual composition of the population should be: 4,6 % geburtsortstreue juveniles, 41,3 % non-autochthonous juveniles, 37,4 % ortstreue adults and 16,7 % unknown adults.


Mit Unterstützung des Nat. Fonds v. Wetenschappelijk Onderzcek, Brüssel.  相似文献   

15.
    
Zusammenfassung Junge Waldbaumläufer saßen an ihren letzten Nestlingstagen wie an den ersten Tagen nach dem Ausfliegen tagsüber auf Tuchfühlung an der senkrechten Innenwand der Bruthöhle bzw. draußen an Baumstämmen. Die Zeit, in der die Jungen beieinandersaßen, nahm vom 19. bis zum 24. Lebenstag stetig ab. Am 25. Lebenstag sah ich sie nur noch einzeln. Ein Junges suchte am 24. Lebenstag wiederholt den Kontakt mit einem Geschwister. Bald darauf starb es.Abends kuschelten sich die Jungen an verschiedenen Stellen in flache Mulden, bis sie zur Schlaftraube zusammenfanden. Die Volierevögel verteidigten ihre Schlafplätze durch Drohstellungen und -laute.In der Regel schlafen alte wie junge Baumläufer aufgeplustert mit dem Kopf im Rückengefieder. Nacheinander plustern sie die Federn der Unterseite, des Hinterrückens, des Vorderrückens und des Kopfes. Das Rückengefieder wird in umgekehrter Reihenfolge entplustert. Die Färbung der Rückenfedern tarnt die geplusterten Baumläufer nachts gut.Ein Gartenbaumläufer- schlief nach der Besetzung des Nachbarrevieres durch ein anderes einige Nächte dort. Während zweier Monate hatte das mindestens 7 Schlafplätze, das wechselte seine fast täglich. Das schlief in ausgefaulten Mulden von Eichenstämmen und -ästen, mindestens 12 m hoch, das in flachen Mulden der borkigen Rinde oder unter schräg abgehenden Ästen, nach Ablage des 1. oder 2. Eies in der Bruthöhle. Beide Arten erweitern ihre Schlafmulden durch Hacken, Zupfen und Scharren. Auf dem Höhepunkt der Balz schlief ein Paar Gartenbaumläufer eine Nacht auf Tuchfühlung.Das Gartenbaumläufer- erwachte morgens stets eher als das und begann wohl immer sofort zu singen, während sich das erst eine Zeitlang am Schlafplatz putzte. Morgens verließ das seinen Schlafplatz bei geringerer Helligkeit und viel pünktlicher, als es ihn abends aufsuchte. Im Gegensatz zum flog das morgens während einzelner Fortpflanzungsphasen zu sprunghaft wechselnden Zeiten vom Schlafplatz fort.Mit Unterstützung der Dentschen Forschungsgemeinschaft  相似文献   

16.
Zusammenfassung Im Buchenwald des Naturschutzgebietes Serrahn (Mecklenburg) achtete Verf. seit 1949 auf den Zwergschnäpper. 1956 und 1957 brüteten dort über 12 Paare.Ankunft frühestens am 9. Mai. Als Erste erscheinen vorwiegend ältere (rotkehlige) . Den ersten folgen sehr bald die ersten .Balzflug, Zeigen der Nisthöhle, Copula sowie Variationen des Neststandes werden beschrieben.Fast stets baute nur das , in einem Falle 3 Tage lang. Während der Bauzeit setzt das seine Singflüge eifrig fort. Gepaarte verstummen, sobald ihr begonnen hat, fest auf dem Gelege zu brüten. Nur Junggesellen singen den ganzen Sommer über.An einem günstig gelegenen Nest wurde das Verhalten des Paares vom 4.(?) Bruttag ab bis zum Ausfliegen der Jungen (im Alter von 13 Tagen) aus einem dicht davor angebrachten Schirm genau beobachtet und aufgezeichnet. Nach dem Verlassen des Nestes suchen die Jungen unter Führung ihrer Eltern die nächste Dickung auf. Sobald sie selbständig geworden sind, beginnt die Jugendmauser, 3 Wochen danach die Wanderung ins Winterquartier. Die letzten Zwergschnäpper verschwanden meist vor Mitte September.Angaben über Gesang, Bedeutung der Rufe, Nahrung.Attrappen-Versuche am Nest ergaben, daß die Eltern genau zwischen dem (gefährlichen) Sperber und dem (ungefährlichen) Kuckuck zu unterscheiden wußten und ihnen gegenüber unterschiedliche Alarmlaute brachten. Tannenhäher und Wacholderdrossel lösten keine Abwehr-Reaktion aus.  相似文献   

17.
    
Zusammenfassung In meinem Wohnhaus in Okahandja hielt ich in einem geräumigen Käfig ein und ein des südafrikanischen LaufhühnchensTurnix sylvatica lepurana. Bei allenTurnix-Arten, also auch bei dieser, ist das größer und lebhafter gefärbt als das . Mit der körperlichen Überlegenheit geht eine psychische einher. Das des südafrikanischen Laufhühnchens wirbt mit einem geschlechtsgebundenen Ruf um das und vollzieht nach hinreichender Stimulation die Begattung, indem sie ihn besteigt.Bei beginnender Brutstimmung scharrte das mehrere Mulden in den Sand des Käfigs und drehte sie aus. Eine davon wurde vom zur Ablage ihres Geleges gewählt. Dann bauten beide Partner, einzeln oder gemeinsam, aus Halmen ein Nest. Sie beförderten die Halme durch Schleudern über die Schulter allmählich in Nestnähe. Von drei gebauten Nestern wurde eines mit Grasrispen überdacht.Nur das bebrütet das Gelege und führt die Jungen. Das bekundet gleich nach Ablage des letzten Eies durch lebhafte Balzrufe die wiedererwachte Fortpflanzungsstimmung, sucht also, da sie polyandrisch veranlagt ist, gleich ein zweites herbeizulocken, das ich ihr nicht bieten konnte.Aus dem ersten Gelege (4 Eier) ging, nachdem das 13 Tage lange gebrütet hatte, ein Junges hervor. Danach legte ihm das drei Eier, die einen Tag vor dem voraussichtlichen Schlupftermin vom zerstört wurden. Das anschließende dritte Gelege (wiederum nur 3 Eier) lieferte 2 Junge.Dem Jungen der ersten Brut wurden in den ersten 7 Tagen vom Vater kleine Insekten und dgl. in der Schnabelspitze vorgehalten. Im Alter von 10 Tagen fraß es ganz selbständig, schon mit 13 Tagen benahm es sich wie ein Erwachsener, mit 15 Tagen flog es spontan.Mit Aufnahmen des Verfassers  相似文献   

18.
Zusammenfassung Körpergrösse, Epinotaldornlänge, Kopulationsorgane der , Form des Clypeus und Färbung von und sind beiLeptothorax (Mychothorax) muscorum Nyl. undL. (M.) gredleri Mayr so verschieden, dass beide Arten eindeutig zu unterscheiden sind. In der Umgebung von Würzburg kommen beide Arten eng nebeneinander vor und schwärmen zur gleichen Zeit ohne sich zu kreuzen. Sie sollten daher als gute Arten betrachtet werden.
Summary Length of body and epinotal spines, male genitalia, structure of clypeus and colour of and ofLeptothorax (Mychothorax) muscorum Nyl. andL. (M.) gredleri Mayr are as much different that the two species are clearly to distinguish. Around Würzburg both species are found closely together and swarm simultaneously without crossbreeding. Therefore they should be considered as valable species.

Résumé La longueur du corps et des épines épinotales, les génitalia mâles, la façon du clypeus et la coloration de et deLeptothorax (Mychothorax) muscorum Nyl. etL. (M.) gredleri Mayr sont assez différentes que l'on peut distinguer les deux espèces nettement. Autour de Würzburg les deux espèces sont trouvées souvent ensemble; l'essaimage a lieu au même temps sans croisement. C'est pourquoi elles doivent être considérées comme des espèces valables.
  相似文献   

19.
Summary The honeybee can reach the nectar from the mouth of the hairy vetch blossom by tripping it, or she can insert her tongue between the petals at the base of the corolla tube and reach the nectar. These non-trippers are called base workers. The foraging method is learned and becomes fixed through success at foraging from a very few blossoms in one manner during almost random attempts to reach the nectar. A slightly larger percentage of trippers reached the nectar by inserting the tongue to their right than to their left of the sexual column. There were never many bees in the field that foraged some blossoms as trippers and others as base workers, nor were there many that foraged for pollen only. When there was a good nectar flow early in the season there were few bees foraging as base workers, and the number of trippers foraging for nectar only was about equal to the number gathering both pollen and nectar. After a few days with a poor nectar flow the percentage of tripping bees gathering nectar only decreased sharply, the percentage gathering both nectar and pollen increased slightly, and the percentage of base workers increased sharply. There was a larger proportion of base workers in vetch with scattered blossoms than in vetch with numerous blossoms, and also a larger proportion of base workers in vetch with a heavy aphid infestation than in vetch in which these insects were controlled. During a poor nectar flow base worker gathered larger loads of nectar than trippers. To explain these observations, it is proposed that bees prefer to gather nectar which yields the greatest return in sugar per unit expenditure of energy, and that base workers expend less energy in foraging from blossoms than trippers. It is believed that base workers are more sensitive than trippers to competing foragers, and thus are more likely to be forced into areas with the least competition, that as the nectar flow deteriorates more trippers than base workers cease to forage, and that most of the bees that normally trip blossoms but have had some experience as base workers, and possibly some other trippers, begin to forage exclusively as base workers.
Zusammenfassung Die Honigbiene kann vom Munde der behaarten rauhhaarigen Wickenblüte (Vicia villosa) aus an den Nektar kommen, indem sie die Blüte oben aufschnellen läßt, oder sie kann den Rüssel, zwischen den Blütenblättern am unteren Ende der Korollenröhre hindurchzwängen und so den Nektar erreichen. Diese Blüten nicht schnellenden öffnenden Arbeitsbienen nennt man Bodenarbeiterinnen. Die Sammelmethode wird erlernt und beibehalten durch erfolgreiches Sammeln nach derselben Methode an einigen wenigen Blüten bei fast planlosen Versuchen, den Nektar zu erreichen Ein etwas größerer Prozentsatz von blutenschnellendern Bienen erreichten den Nektar, indem sie den Rüssel rechts statt links an dem Stempel vorbeizwängten. Es gab nur wenige Bienen im Felde, die einige Blüten als Schnellerinnen, andere Blüten dagegen als Bodenarbeiterinnen besuchten; auch waren nicht viele da, die nur Pollen einsammelten. Bei reichlicher Nektartracht im Frühjahr gab es nur wenige Bodensammlerinnen, und die Anzahl von Schnellerinnen, die nur Nektar sammelten, war etwa der Anzahl derer gleich, die sowohl Nektar als auch Pollen sammelten. Nach ein paar Tagen mit schlechtem Nektarertrag ging der Prozentsatz von schnellenden Nur-Nektar-Sammlerinnen stark zurück; der Prozentsatz von Bienen, die zugleich Nektar und Pollen sammelten, nahm um ein weniges zu; und der Prozentsatz von Bodensammlerinnen erfuhr eine starke Erhöhung. Es wurden mehr Bodensammlerinnen in Wicken mit verstreuten Blüten festgestellt als in denen mit zahlreichen Blüten. Dasselbe gilt für Wicken, die stark mit Blattläusen verseucht sind, gegenüber solchen worin die Schädlinge im Zaum gehalten werden. Wenn wenig Nektar erzeugt wird, sammeln die Bodensammlerinnen mehr Nektar als die Schnellerinnen. Um diese Beobachtungen zu deuten, folgern wir so: die Bienen sammeln am liebsten da, wo die größte Ausbeute an Zucker je Einheit Energieverbrauch zu erzielen ist, und die Bodensammlerinnen verbrauchen weniger Energie beim Besuch der Blüten als die Schnellerinnen. Man glaubt weiter, daß die Bodenarbeiterinnen konkurrierenden Insekten gegenüber empfindlicher als die Schnellerinnen seien, und daß sie so mit größerer Häufigkeit gezwungen werden, Gebiete mit wenigern Konkurrenten zu besuchen; daß wenn die Tracht versiegt, mehr Schnellerinnen als Bodenarbeiterinnen zu sammeln aufhören, und daß die meisten Bienen, die normalerweise zu den Schnellerinnen gehören, aber außerdem etwas Erfahrung als Bodenarbeiterinnen haben (und vielleicht auch einige andere Schnellerinnen) jetzt ausschließlich als Bodenarbeiterinnen zu sammeln anfangen.

Sommaire L'Abeille peut atteindre par la bouche le nectar de la fleur de la vesce velue (Vicia villosa) en la tripping ou elle peut insérer la langue entre les pétales à la base de la corolle et ainsi attindre le nectar. Ces Abeilles non-tripping s'appellent les ouvrières de base. Cette méthode de butiner est apprise et devient fixe à cause du succès à butiner une petite quantité de fluers d'une seule façon pendant pour ainsi dire des essais d'atteindre le nectar à l'aventure. Un pourcentage plus grand de trippers ont atteint le nectar en insérant la langue à droite de la colonne sexuelle que celles qui l'ont insérée à gauche. Il n'y avait jamais beaucoup d'Abeilles dans le champ qui butinaient les fleurs tantôt comme trippers, tantôt comme ouvrières de base. Il n'y avait pas non plus beaucoup d'Abeilles qui butinaient le pollen uniquement. Quand il y avait une bonne miellée dans la première partie de la saison, il y avait peu d'Abeilles butinant comme ouvrières de base, et le nombre d'Abeilles tripping butinant le nectar uniquement était à peu près égal au nombre recueillant et le nectar et le pollen. Après quelques jours d'une miellée pauvre, le pourcentage des Abeilles tripping recueillant le nectar uniquement diminuait nettement, le pourcentage des Abeilles recueillant et le nectar et le pollen augmentait un peu, et le pourcentage des ouvrières de base augmentait nettement. Il y avait une plus grande proportion d'ouvrières de base dans la vesce aux fleurs dispersées que dans la vesce aux nombreuses fleurs, et aussi une plus grande proportion d'ouvrières de base dans la vesce infestée d'Aphides que dans la vesce dans laquelle les insectes étaient maîtrisés. Pendant une miellée pauvre, les ouvrières de base ont recueilli de plus grandes quantités de nectar que les trippers. Pour expliquer ces observations, il pense que les Abeilles aiment mieux recueillir le nectar qui donne le plus grand renvoi de sucre par unité d'énergie dépensée et que les ouvrières de base dépensent moins d'énergie à butiner les fleurs que les trippers. Je crois que les ouvrières de base sont plus sensibles que les trippers à la concurrence des autres butineuses et, donc, peuvent être plus facilement obligées d'aller dans les sections moins compétitives, que plus de trippers que d'ouvrières de base cessent de butiner quand la miellée s'amenuise, et que la plupart des Abeilles qui trip les fleurs habituellement, mais qui ont un peu d'expérience comme ouvrières de base, et, probablement quelques autres trippers, commencent à butiner exclusivement comme ouvrières de base.


Published as technical contribution No. 2403, Texas Agricultural Experiment Station.  相似文献   

20.
Zusammenfassung Zur Klärung des Problems der Kastendetermination bei Formiciden konnte durch die Untersuchung der endomitotischen Polyploidisierung im Verlauf der Larvenentwicklung beigetragen werden. Endomitosen können hierbei nicht direkt beobachtet werden, die Polyploidisierung ist nur aus dem Wachstum der Kerne zu erschließen.Die Polyploidisierung sieben verschiedener Gewebe von Myrmica- wurde untersucht. Alle Tiere wachsen unter ständiger Polyploidisierung bis zum Puppenstadium heran. Während der Metamorphose werden alle hochpolyploiden Gewebe abgebaut. Besonders hohe Polyploidiegrade erreichen Gewebe der Stoffwechselorgane, wie Mitteldarm und Malpighische Gefäße. Oenocyten zeigen sehr unübersichtliche Verhältnisse. Die Spinndrüse wird im Zusammenhang mit dem Sekretionszyklus hochpolyploid. Fettzellen, Epidermis und Ganglien zeigen dagegen nur geringe Polyploidiegrade.Die Unterschiede in den verschiedenen Kasten werden festgestellt. Es zeigte sich, daß a anfänglich haploid sind and Geschlechtstiere einen Endomitoseschritt mehr ausführen als .Die Polyploidisierung entsprechender Gewebe von Lasius niger zeigt die gleiche Entwicklungstendenz. Futter- ud Temperatureinflüsse konnten festgestellt werden. Zwerg- zeigten Polyploidiegrade, die von denen der Normal- abweichen und dadurch auf blastogene Determination schließen lassen.-Brut gibt bei Ausschluß der Nestbegattung stets , die sick in ihren Kerngrößen nicht von den aus weiselrichtigen Nestern unterscheiden.Alle untersuchten Formicidenarten weisen die gleiche Entwicklungstendenz auf.Beobachtungen über Entwicklungsdauer, Eiablage und -Brut-Entwicklung werden angefügt.Auf Grund der Ergebnisse wurde zu Fragen der endomitotischen Polyploidisierung Stellung genommen. Die Gründe, die zur Annahme eines Polyploidisierungsvorganges in der Larvenentwicklung der Formiciden führen, werden diskutiert. Polyploidie wird in Beziehung gesetzt zur Körpergröße der Tiere, zur phylogenetischen Entwicklungshöhe und zur Gewebsfunktion (Deutung als Sparsamkeitsmaßnahme). Hypothesen zur Kastendetermination werden durch die Ergebnisse unterstützt.  相似文献   

设为首页 | 免责声明 | 关于勤云 | 加入收藏

Copyright©北京勤云科技发展有限公司  京ICP备09084417号