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1.
In four aphid species, individuals with long stylets were abundant on the large veins of potato leaves and ones with short stylets were abundant on the small veins. The greater depth of parenchymatous tissue overlying the phloem of the larger veins prevented the aphids with short stylets from feeding on these veins.The adults of all four species seemed to prefer to feed on the largest veins possible, and Macrosiphum euphorbiae had a higher reproductive rate when feeding on large veins than when feeding on small veins.
Résumé Pour quatre espèces d'Aphides, les individus ayant des stylets longs sont abondants sur les grosses nervures tandis que ceux avec des stylets courts sont abondants sur les petites nervures. Une plus grande épaisseur du parenchyme recouvre le phloème dans les plus grosses nervures, et les Aphides ayant des stylets courts ne peuvent pas se nourrir sur ces nervures, parce que la distance au phloème est supérieure à la longueur de leurs stylets. Les adultes de A. solani et de M. euphorbiae ont les stylets longs et ils se nourrissent sur toutes les nervures; les adultes de M. persicae et surtout ceux de A. nasturtii ont les stylets un peu plus courts et, en général, ils se nourrissent sur des nervures un peu plus petites. Pour chaque espèce, les jeunes ont les stylets plus courts que les adultes, et ils se nourrissent sur des nervures plus petites.Il semble que les grosses nervures sont, du point de vue alimentaire, meilleures pour les Aphides que les petites nervures. Les adultes de M. euphorbiae qui se nourrissent sur des grosses nervures se reproduisent plus vite que ceux qui se nourrissent sur des petites nervures. Les adultes de A. solani et de M. euphorbiae préfèrent les grandes nervures; de même les adultes de M. persicae et de A. nasturtii sont plus abondantes sur les grosses nervures que sur les petites, ce qui suggère également une préférence.
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2.
The eastern swallowtail butterfly, Papilio glaucus, is often classified as a polyphagous species but growth of individuals is hindered rather than aided by feeding on a sequence of plants in no-choice situations. The spicebush swallowtail, Papilio troilus, is a close relative of P. glaucus. P. troilus has restricted its feeding primarily to the Lauraceae and the efficiency of P. troilus larvae in utilizing foodplants in this family is 2 x – 3 x that of the generalized P. glaucus larvae. Again, however, a sequence of acceptable foods reduces rather than favors larval growth rate.
Résumé Les taux de consommation, les rendements de transformation, les bilans de biomasse et d'azote, et la croissance de chenilles herbivores de Papilio glaucus et Papilio troilus ont été déterminés sur les plantes-hôtes naturelles dans des conditions écologiques contrôlées. Les effets d'une alternance périodique des plantes-hôtes tous les 2 jours ont été déterminés dans des expériences supplémentaires. Sur Sassafras (Lauraceae), Papilio troilus, plus spécialiste, croît plus vite et avec un meilleur rendement que Papilio glaucus, espèce généraliste. La croissance des 2 espèces de Papilio est supprimée quand on les oblige à changes d'aliments. Les gains en poids des larves et les poids finaux des chrysalides dans des séries alternantes sont intermédiaires, atteignant les moyennes observées entre les meilleures et pires alimentations avec une espèce végétale unique.Bien que l'on puisse conclure que l'alternance des plantes consommées réduit généralement la consommation et la conversion de la biomasse végétale des plantes-hôtes, Papilio glaucus est capable de survivre sur Lindera benzoin (Lauraceae) alternant avec cerisier et frêne, alors que toutes les chenilles meurent sur L. benzoin seul. D'autres faits montrent que cette Lauraceae ne peut être qu'occasionnellement acceptable comme plante-hôte naturelle par Papilio glaucus, tandis qu'elle est essentielle pour les populations plus spécialisées de P. troilus.Ceci suggère que toute classification en généraliste, ou polyphage, doit être accompagnée d'une discussion se référant à l'espèce, la population ou aux larves elles-mêmes. Des informations quantitatives sur des plantes supplémentaires seraient utiles pour distinguer entre l'aptitude des espèces et celle des individus à consommer des plantes-hôtes fournies alternativement ou simultanément.
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3.
In Drepanosiphum dixoni H. R. L. the heavier the adult the greater the fecundity. However, brachypterous alatae are more fecund than macropterous alatae in the first 10 days of adult life as well as in the first 10 days of reproductive life. There is no difference in the weight at birth between the offspring of brachypterous and macropterous alatae.
Résumé Les ailés brachyptères et les ailés macroptères de Drepanosiphum dixoni sont très semblables dans leurs structures. Les brachyptères sont dépourvus des muscles indirects du vol et leurs ailes, quoique de forme parfaite, sont plus courtes que celles des ailés macroptères.La fécondité est d'autant plus grande que l'insecte adulte est plus lourd. Cependant, les ailés brachyptères sont plus féconds que les ailés macroptères aussi bien pendant les 10 premiers jours de leur vie adulte (Fig. 1A) que pendant les 10 premiers jours de leur reproduction (Fig. 1B). La différence de fécondité est plus marquée quand on se réfère aux 10 premiers jours de la vie adulte, (comparer Fig. 1, A et B), car le délai entre la mue imaginale et le début de la reproduction est plus court chez les brachyptères (2, 4 jours) que chez les macroptères (3, 3 jours).On n'observe pas de différences dans le poids à la naissance de la descendance de chacune des 2 formes.Dans l'évolution de l'aptérisme chez les Aphides il est vraisemblable que l'avantage initial réside dans un accroissement de fécondité, comme chez D. dixoni. Un développement secondaire possible dans l'évolution du dimorphisme alaire chez les Aphides est celui observé chez A. fabae où les ailés produisent une plus petite descendance, la proportion de celle-ci qui naît dans les quelques premiers jours de la vie adulte étant plus élevée que chez les formes aptères.
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4.
Crosses between white and black color morphs of the Colorado potato beetle, Leptinotarsa decemlineata Say, used as genetic markers, showed that male beetles ride and guard females to achieve the three copulations required to fill the spermatheca. Multiple matings are necessary for the females to realize their full reproductive potential. Sperm mixing occurs in the spermatheca providing partial sperm precedence. The data support the competitive mate searching theory.
Résumé Différentes combinaisons d'accouplements entre des mutants noirs et blancs du doryphore de la pomme de terre, Leptinotarsa decemlineata, servirent à étudier le comportement de guarde de la femelle par le mâle après un premier accouplement. Les résultats indiquent que le sperme de deux mâles accouplant la même femelle se mélange dans la spermathèque assurant ainsi un certain niveau de précédence du sperme du dernier mâle.La masse de sperme dans la spermathèque était inférieure à sa capacité chez les femelles ayant été accouplées une ou deux fois. Le doryphore mâle aurait donc avantage à demeurer sur la femelle après un premier accouplement afin d'obtenir le minimum de trois accouplements requis pour remplir la spermathèque avant que les autres mâles puissent accoupler cette femelle. Les autres mâles ont avantage à essayer de dérober cette femelle pour remplir eux mêmes la spermathèque ou tout au moins profiter d'une certaine précédence du sperme du dernier mâle pour fertiliser une partie des oeufs.Sans accouplements multiples, la femelle ne possède pas suffisamment de sperme pour féconder tous ses oeufs. II semble aussi que les accouplements répétés puissent augmenter sa fécondité.Les résultats supportent une stratégie reproductive de compétition plutôt qu'une simple maximisation du nombre d'accouplements.
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5.
In the Australian sheep blowfly, Lucilia cuprina, the number of ovarioles, and hence the maximum number of eggs developed in each ovarian cycle, is a linear function of adult size (headwidth). Field females have a mean headwidth of 3.0 mm (range=2.30–3.50 mm) and a mean potential fecundity/cycle of 232 eggs (range=111–318 eggs). Realised fecundity is influenced by the quality and amount of protein in the adult diet. All field females appear to have the same minimum protein requirement for egg maturation, i.e., whatever their size (potential fecundity) females must obtain sufficient protein to mature at least 110 eggs in order to become gravid. Females whose protein intake exceeds this minimum but falls short of the amount needed for maturation of their full egg complements resorb some of their oocytes and mature the remainder. Since potential fecundity increases with fly size, large females resorb more oocytes than small females under suboptimal protein regimes, i.e., the proportion of oocytes resorbed increases with fly size. Under field conditions, females rarely matured full complements of eggs, which indicates a general shortage of protein-rich material. The mean reduction in fecundity of field females during these studies was 53.4 eggs/cycle (23.2%).
Résumé Chez Lucilia cuprina Wied., le nombre d'ovarioles, et ainsi le nombre maximum d'oeufs développés au cours de chaque cycle ovarien, est une fonction linéaire de la taille de l'adulte (largeur de la tête). La largeur moyenne de la tête des femelles de la nature est 3 mm (2,3 à 3,5) et la fécondité potentielle moyenne par cycle de 232 oeufs (111 à 318).La fécondité réelle est influencée par la qualité et la quantité de protéines dans le régime alimentaire. Toutes les femelles de la nature semblent avoir les mêmes exigences minimales en protéines pour la maturation des ovocytes, c'est à dire que quelle que soit leur taille (fécondité potentielle) les femelles doivent obtenir les protéines suffisantes à la formation d'au moins 110 ovocytes pour devenir gravides. Les femelles dont l'absorption de protéines dépasse ce minimum, mais est insuffisant pour permettre la maturation de la totalité de leurs ovocytes, en résorbent quelques uns et conduisent à maturité le reste. Puisque la fécondité potentielle augmente avec la taille des mouches, les grosses femelles résorbent plus d'ovocytes que les petites avec un régime suboptimal en protéines, c'est à dire que la proportion d'ovocytes résorbés augmente avec la taille des mouches. Dans les conditions de la nature, la totalité des ovocytes parvient rarement à maturité, ce qui indique une limitation générale en aliments riches en protéines. La réduction moyenne de la fécondité chez les femelles de la nature a été au cours de cette étude de 53.4 oeufs par cycle (23,2%).
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6.
A 3 year study of spider mites in a corn-peanut agroecosystem indicated that the persistance and pest status of mite populations depended on dispersal among a succession of temporarily suitable cultivated and non-cultivated hosts. In the spring, mites crawled from overwintering sites in vegetation along field margins into both peanut and corn fields, but became established only in corn. Initiation of aerial dispersal from corn was coincident with and appeared dependent upon mites moving to the top of the corn canopy, where they were exposed to the wind. Mites were first observed in peanut immediately following the onset of aerial dispersal from corn, and these aerial dispersers were the primary source of subsequent mite infestations in peanut. As populations grew in peanut, mites dispersed into vegetation along peanut field margins and became the nucleus of populations which persisted over the winter. This pattern of host utilization was reinitiated in the spring if corn was planted adjacent to infested field borders. This pattern commonly occurs since corn is planted following peanut in the predominant crop rotation sequence in this area.
Résumé Des populations d'acariens ont été étudiées pendant 3 ans sur maïs, arachide et végétation spontanée, dans 7 fermes commerciales de Chowan Co., Caroline du Nord. Les déplacements d'acariens parmi ces plantes ont été notés en fonction de la croissance de la population et de la phénologie des hôtes. Un schéma cohérent de croissance de la population d'acariens et de leurs mouvements en découle, dont seule la taille change suivant les fermes et les années. Les acariens provenant de populations hivernantes sur la végétation spontanée bordant les champs migrèrent dans les champs cultivés adjacents quelle qu'en soit la nature de la culture. Cependant, à cette époque, les populations d'acariens ne s'établissaient que dans le maïs. Dans le maïs, les acariens se répandirent à travers le champ et se multiplièrent sur des pieds particuliers jusqu'à ce qu'ils eussent atteint le sommet de la canopée du maïs. Les premiers acariens transportés par le vent ont été capturés la semaine suivant la première apparition d'acariens au sommet de la canopée du maïs et aussitôt après la découverte des premiers acariens dans les arachides voisines. Ceci suggère que les acariens dispersés par le vent sont à l'origine des contaminations ultérieures des arachides voisines. Plus tard dans la saison, les acariens se dispersèrent à partir de l'arachide vers les sites d'hibernation dans la végétation spontanée poussant autour du champ d'arachide. Puisque des champs semés en arachides sont généralement semés en maïs l'année suivante, les acariens se dispersant au printemps depuis les sites d'hibernation rencontrèrent souvent du maïs qu'ils colonisèrent. Ce cycle répétitif d'utilisation de l'hôte et de dispersion est considéré comme fortement responsable de la pérennité des acariens et de leur danger potentiel dans les agroécosystèmes à maïs-arachide, caractéristiques du canton de Chowan (N.C.).Les problèmes potentiels posés par les acariens sur arachide ont paru être liés à l'intensité de l'attaque d'acariens sur le maïs voisin, qui sert de réservoir pour les populations d'acariens. Ceci suggère que le contrôle des populations d'acariens sur maïs peut être une stratégie viable pour limiter les infestations ultérieures sur arachide et, en dernier lieu, les populations hivernantes.
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7.
Tri-o-cresyl phosphate was added to the food of Acheta domesticus (L.) at 0.7%. Symptoms of vitamin E deficiency induced by tri-o-cresyl phosphate were a diminished fecundity and egg viability as well as a prolonged pre-oviposition period. The maximum effect on fecundity was observed when treated food was fed to the adult, whereas a partial effect was produced when treated food was fed only to the larva. Spermatogenesis was unaffected. The diminished viability was due to a reduction in sperm motility, from which it was inferred that vitamin E plays a rôle in sperm motility. This is the first evidence for such a function for vitamin E. The effect on sperm motility was observed when treated food was fed to either the larva or to the adult.
Le mode d'action du trio-o-cresyl phosphate, substance stèrilisant le grillon domestique
Résumé 0,7% de tri-o-cresyl phosphate (PTOC) a été ajouté à la nourriture d'Acheta domesticus. Les symptomes d'avitaminose E, induits par le PTOG ont été: un retard de la période de ponte, une diminution de la fécondité et une réduction de la fertilité des oeufs.L'effet sur la fécondité a été plus important quand l'aliment a été absrbé par les adultes, que par les larves, ou il n'était que partiel. La spermatogénèse n'a pas été a ffectée. La réduction de la fertilité a été provoquée par une diminution de la mobilité des spermatozoïdes. Ceci est la première démonstration d'une telle fonction de la vitamine. E. Le même effet sur la mobilité des spermatozoïdes a été observé quand les larves ou les adultes ont consommé la nourriture traitée au P.T.O.C.
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8.
Investigation of a range of solvents for topical application acaricide tests on mites indicated that the choice was limited by solvent power, viscosity and toxicity. Acetophenone and anisole proved useful solvents but acetophenone appeared to have poor wetting power which caused variability in acaricide LD50 levels compared with other solvents when tested on Tetranychus urticae.
Résumé La recherche d'une gamme de solvants pour les essais d'acaricide sur acariens par application locale a montré que le choix est limité par le pouvoir dissolvant, la viscosité et la toxicité.L'acétophénone et l'anisole se sont révelés des solvants utilisable mais l'acétophénone est apparue avoir un faible pouvoir mouillant qui provoque une variabilité dans les valeurs de la DL50 de l'acaricide par rapport à d'autres solvants dans les essais sur Tetranychus urticae Koch.
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9.
Résumé Macrotermes gilvus est fréquent dans les rizières de la plaine du Mékong, inondées plusieurs mois chaque année. L'architecture des nids est décrite et comparée à celle d'autres régions.Le problème de l'alimentation des Termites pendant les hautes eaux est examiné; il semble que les meules à champignons jouent le rôle de réserves alimentaires, permettant la survie des sociétés.
Summary Macrotermes gilvus is common in the paddy-fields of the Mekong plain which are inondated for several months of the year. The architecture of the nests is described and compared with that of nests from the other regions.The problem of the food supply of these Termites during floods is examined. The fungus gardens appear to be food reserves that enable the survival of the colonies.
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10.
Résumé La thiourée incorporée à l'alimentation des imagos de Musca domestica entraîne une diminution de la fécondité et de la fertilité qui croît avec la concentration. La dose de 1% provoque une réduction de la ponte de 63% et du pourcentage de nymphose de 14%. Dans les croisements où un des sexes seulement est traité, la réduction de fécondité est supérieure si les femelles sont traitées (51%) plutôt que les mâles (29 et 21%). En outre le produit s'avère plus efficace lorsqu'il est incorporé à du sucre plutôt qu'à du lait. Une modification du rythme de la ponte est observée quand les deux sexes sont traités. Il ne semble pas y avoir de récupération de la fertilité avec le temps. Enfin la toxicité du produit est plus élevée pour les mâles que pour les femelles.
Summary When thiourea is incorporated into the diet of adult Musca domestica, the fecundity of crosses decreases with increasing doses. The decrease is about 40%, 52%, 56%, 63%, 69% and 77% respectively for concentrations of 0.25%, 0.50%, 0,75%, 1.0%, 1.5% and for a saturated solution. The decrease varies for a given concentration depending on the direction of the parental cross. The females are more sensitive than the males; at a dose of 1%, when a male parent has been treated, the decrease in fecundity of the female is only 20–29%, compared with up to 56% in crosses where the female parent has been treated. When both sexes have been treated fecundity decreases by 72–84% depending on the type of food given. In fact, the thiourea appears to be more effective when it is incorporated in milk rather than in sugar.Fertility is likewise reduced; the percentage of eggs hatching and larvae emerging decrease from 25 to 50% according to the type of cross made. The larvae are less affected than the eggs and it seems that the thiourea has more effect on the eggs than on larval development. Full fertility is apparently not regained.The rhythm of laying is similarly modified in cases where the two sexes have been treated. Fewer eggs are laid at the beginning of the cycle than at the end; 72% and 42% of the eggs are laid at the end of the cycle in crosses made from individuals fed on sugar and milk respectively.The toxicity of the substance varies according to the sex. The males are more sensitive than the females and their longevity is likewise more affected than that of the females.
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11.
The number of ovarioles in female Musca vetustissima (potential fecundity/ovarian cycle) is positively correlated with fly size (headwidth) and potential fecundity does not vary between successive ovarian cycles. Field females of average headwidth (2 mm) have a mean potential fecundity of 25 eggs/cycle. Females are anautogenous, needing to ingest protein-rich material in order to mature their oocytes. Females that obtain insufficient protein material for maturation of full egg complements may cease ovarian development before or during early vitellogenesis, or resorb some of their oocytes and mature the remainder. Field females consistently matured in excess of 85% of their egg complements, indicating that female M. vetustissima have ready access to protein-rich material in the field.
Résumé Le nombre d'ovarioles des Musca vetustissima femelles (fécondité potentielle/cycle ovarien) est lié directement à la taille de la mouche (largeur de la tête); la fécondité potentielle ne varie pas entre les cycles ovariens successifs. Les femelles de la nature, d'une largeur de tête moyenne (2 mm) ont une fécondité potentielle moyenne de 25 oeufs par cycle. Les femelles anautogènes, ont besoin d'un repas riche en protéines pour produire des oeufs mûrs. Les femelles qui n'obtiennent pas la quantité suffisante de protéines pour permettre la maturation d'un lot complet d'oeufs peuvent interrompre leur développement avant ou pendant le début de la vitellogenèse, ou résorber certains ovocytes tout en conduisant à maturité le reste. Les femelles de la nature conduisent a maturité 85% de leurs lots d'oeufs, montrant ainsi que les femelles de M. vetustissima y ont un accès facile à des aliments riches en protéines.
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12.
Sommaire Dans le présent travail, sont examinées les associations des plantes ammophiles qui se rencontrent sur les côtes d'ouest du Péloponnèse (voir la carte du texte).Ces côtes sont les plus favorables à la formation des dunes de sable, car, d'une part elles sont plus ou moins escarpées et par suite plus exposées aux vents sud-ouests qui régnent à cette région, et, d'autre part, on rencontre dans cette région les trois facteurs qui sont nécessaires pour la formation des dunes, le vent, le sable et les plantes, qui constituent, d'après Kühnholtz-Lordat (1923) le trinôme dynamique. Les géophytes à rhizome, Ammophila arenaria, Agropyrum junceum ssp. mediterraneum, Galilea mucronata, et Sporobolus pungens, qui sont considérées comme espèces à grand géodynamisme positif sont très abondantes tout le long du cordon littoral de la plage (Tableaux I–III).La classe Cakiletea maritimae est représentée dans cette région par les associations Salsola Kali — Xanthium strumarium Oberd. et Tx. 1950, et Anthemis Muenteriana —Salsola Kali. La première a été trouvée pour la première fois par Oberdorfer (1952) sur les côtes de la Grèce du Nord et a été classifiée par Oberdorfer et Tüxen (1950), tandis que, la seconde, qui n'a pas été trouvée ailleurs, peut-être considérée comme une nouvelle association des plantes.Les associations de la classe ci-dessus sont rencontrées sur les côtes ou les baies abritées du vent et particulièrement aux endroits où il existe une quantité suffisante d'humus et des débris végétales. L'association des plantes Salsola Kali — Xanthium strumarium est plus nitrophile que la seconde et se rencontre sur les régions les plus basses du rivage, où s'est accumulée une quantité suffisante d'humus et des débris végétaux. Ces derniers proviennent, le plus souvent, des espèces Zostera marina, Posidonia oceanica, Arundo Donax et d'autres. L'association des plantes Anthemis Muenteriana — Salsola Kali est moins nitrophile que la précédente et se rencontre sur les dunes basses d'une hauteur de 0.50–1.50 m qu'elle recouvre; ces dunes sont parallèles au rivage. Cette association apparaît le plus souvent dans sa phase optimale. Aux endroits où la quantité d'humus et des débris végétaux est moindre, apparaît l'association Agropyretum mediterraneum dans sa phase initiale (Tableau I et Photos 9–10).L'association Agropyretum mediterraneum apparaît principalement sur les dunes d'une hauteur de 1 à 2 m, sauf dans très peu de cas (Tableau II). La phase optimale de l'association Agropyretum mediterraneum se rencontre sur les dunes d'une hauteur de 1.50 à 2 m. Ces dunes se trouvent aux endroits où la côte est plus escarpée et par suite plus exposée aux vents sudouests, comme sont, par exemple, les côtes de la région Kaïafa (Photos 15–17). La phase optimale de cette association se caractérise par une abondance des espèces caractéristiques et par l'abondance des représentants des géophytes à rhizome, comme les espèces Agropyrum junceum ssp. mediterraneum, Galilea mucronata, et Sporobolus pungens (Tableau II, nos 1–6).L'association des plantes Ammophiletum arundinaceae se rencontre sur les dunes dont la hauteur dépasse les 2 mètres. Ces dunes se trouvent aux endroits où la côte est plus exposée aux vents sud-ouests, comme sont les côtes de Petrochori et de la région Zacharo. Cette association apparaît dans sa phase optimale, et sur des dunes qui sont bien développées et dont la hauteur, est à partir de 2.5 m et peut atteindre les 15 m (Tableau III et Photos 19–23).L'association bien connue Crucianelletum maritimae qui se rencontre sur les dunes stabilisées des côtes ouests de la Mediterranée, est représentée dans cette région par l'association des plantes Euphorbia terracina — Silene nicaeensis. Cette association représentative se devéloppe sur les dunes stabilisées de la région explorée. Leur hauteur varie, entre 4 et 11 mètres. Elle apparaît comme une association des plantes typiques avec 2 variantes, celle de Rumex bucephalophorus et celle de Centaurea sphaerocephala, et aussi comme les sous-associations Chondrilla juncea — Scolymus hispanicus et Trifolium scabrum —Nigella aristata (Tableau IV et Photos 24–26).En général les associations des plantes ammophiles se rencontrent sur les côtes ouests du Péloponnèse dont le sol est constitué, dans sa plus grande partie, par du sable d'un gros moyen ou moyennement fin.Les associations de la classe Cakiletea maritimae et l'association des plantes Agropyretum mediterraneum se développent sur des endroits où le sol est constitué d'une grande partie, en sable gros (Fig. 4 et 5). Entre eux, les plantes de la classe Cakiletea maritimae se développent sur un sol qui contient, en outre, une assez grande quantité d'humus et des débris végétaux, tandis que, pour l'association Agropyretum mediterraneum, les élements ci-dessus peuvent exister en une très petite quantité ou ne pas s'y trouver.Le sol, sur lequel se développent les associations des plantes Agropyretum mediterraneum et Ammophiletum arundinaceae est différent du sol propre à l'association Euphorbia terracina — Silene nicaeensis, car, dans le premier cas, celui-ci se constitue, en principal d'un sable d'un gros moyen, tandis que, dans le second cas, d'un sable moyennement fin (Fig. 5).Pour tous les sols, propres au développement des associations ammophiles des côtes du Péloponnèse, ou a une abondance de CaCO3. Malgré le fait que l'analogie de CaCO3 varie, a partir d'un pourcentage moyen jusqu'à une grande quantité, l'evolution de la végétation dans ces différentes phases, ne dépend pas de cette quantité.La réaction de ces sols varie, pour la plupart, entre 6.65 et 8.20 (Tableaux 10–14).  相似文献   

13.
The fecundity of asexual and sexual morphs of Sitobion avenae (F.) is compared. The cost of sex is quantified in terms of the reduction in numbers of offspring produced. The cost is much greater than the halving of fecundity that is usually assumed to be associated with the production of males.
Résumé Les fécondités des virginipares ailés, des gynopares ailés et des ovipares d'un même clone de Sitobion avenae ont été déterminées à 12°C. Bien que les types qui ayant donné naissance à des sexués aient eu une fécondité initiale plus élevée que celle de la lignée asexuée, celle-ci a été significativement plus féconde après 15 jours de reproduction.Les résultats du laboratoire ont été utilisés pour évaluer la fécondité de lignées sexuées et asexuées pendant quatre générations à 12°C. La reproduction parthénogénétique a présenté un avantage numérique sur la reproductions sexuée dans le rapport 320/1. La reproduction sexuée a été accompagnée d'une diminution significative de la fécondité potentielle. Bien que la reproduction sexuée de S. avenae soit avantageuse dans les régions où les hivers sont durs, parce que les oeufs sont résistants au froid, les lignées asexuées présentent un avantage considérable en ce qui concerne la fécondité potentielle pour l'augmentation de la population en automne et elles conservent de plus la capacité d'un accroissement numérique ultérieur si l'hiver est doux.
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14.
The fecundity, reproductive rates, and adult survival of Aphidius sonchi Marshall (Hymenoptera: Aphidiidae) parasitizing second and third instar nymphs of the sowthistle aphid, Hyperomyzus lactucae (L.) (Homoptera: Aphididae) were measured at six different host densities under constant laboratory conditions. At host densities of less than 50 aphids per flowering shoot per female per day, oviposition constraints resulting from the lack of hosts reduced the number of eggs laid, enhanced the extent of superparasitization and, as a result, effectively lowered the fecundity and reproductive rates of the parasites. Above this host density the parasites laid on average 220–230 eggs, but the effective fecundity and reproductive rates continued to increase with the host density. By contrast, the survivorship of the parasites seemed unaffected by host density, with an average adult life span of 4–5 days at all densities. Analysis of the data showed that the intrinsic rate of increase (rm) of the parasite varied with the host density and could reach values higher than that of the host under identical conditions. The response of rm to changes in host density and parasite sex ratio is illustrated.Overall, A. sonchi showed a typical convex functional response, to host density. However, the response showed obvious changes through the parasite's adult life and, furthermore, the rates of changes were not consistent at all host densities. The frequency distributions of parasite eggs were generally indistinguishable from random, and the number of hosts parasitized were predicted satisfactorily by the random oviposition equation.
Résumé L'étude a porté sure l'influence de 6 densités différentes d'Hyperomyzus lactucae (L.) (Homoptera: Aphididae), en conditions constantes de laboratoire, sur la fécondité, le taux de reproduction et la survie des adultes d'Aphidius sonchi Marshall (Hym. Aphidiidae, parasite des larves de 2e et 3e stades. A des densités inférieures à 50 pucerons par tige fleurie de Sonchus oleraceus L, par femelle et par jour, la limitation de la ponte due à l'absence d'hôtes a réduit le nombre d'oeufs émis, élevé le taux de superparasitisme et, en conséquence, diminué la fécondité et le taux de reproduction des parasites. Aux densités d'hôtes supérieures, les parasites ont pondu, en moyenne, 220 à 230 oeufs, mais la fécondité réelle et les taux de reproduction ont continué à augmenter avec la densité des pucerons. Par contre, la longévité des parasites n'a pas été affectée par la densité des hôtes, avec une durée moyenne de vie de 4 à 6 jours. L'analyse des données a montré que le taux d'accroissement intrinsèque (rm) du parasite a changé avec la densité des hôtes, et pourrait atteindre des valeurs supérieures à celles de l'ôte sous des conditions identiques. Les réponses de rm aux changements de densité des hôtes et au taux sexuel du parasite sont expliquées.Globalement, A. sonchi a présenté une réponse fonctionnelle convexe typique à la densité des hôtes. Cependant, cette réponse a changé au cours de la vie des images et, de plus, les taux de changement ne sont pas logiques à toutes les densités d'hôtes La fréquence de distribution des oeufs n'est généralement pas séparable d'une distribution au hasard, et le nombre d'hôtes parasites peut être prédit d'une façon satisfaisante en utilisant une équation de ponte au hasard.
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15.
Development, adult size and fecundity of the aphid parasite, Aphidius sonchi Marshall (Hymenoptera: Aphidiidae), which began their development in the first and third instar nymphs of Hyperomyzus lactucae (L.) (Homoptera: Aphididae), were studied in the laboratory. Survival and development times were almost identical in the two host instars. However, adult parasites reared in the first instar hosts were smaller and had fewer eggs at emergence than those reared from the third instar.Further analysis showed that the size of an adult parasite, irrespective of host stage at reception of the parasite egg, was largely determined by the size of the host when the parasite was in its destructive feeding phase. Furthermore, within parasites reared from each of the two host instars, the earlier emerging individuals were larger and contained more eggs on emergence. However, the relationships between size, development time and fecundity in the parasites differed significantly between cohorts reared from the two host instars.These results indicate that (1) the suitability of the aphid to the development of the parasite varies as the aphid develops, and (2) several aspects of the parasite biology must be studied to show the relative suitability of the aphids of a given instar.
Résumé L'étude a porté sur le développement, la fécondité et la taille des adultes d'A. sonchi Marshall (Hym: Aphidiidae) qui commence son développement dans le ler et le 3ème stades larvaires d'H. lactucae (Homopt: Aphididae). La survie et la durée de développement sont presque identiques dans les hôtes des deux stades. Cependant les adultes élevés dans le ler stade de l'hôte étaient plus petits et avaient moins d'oeufs à l'émergence que ceux élevés dans le 3ème stade.Des observations ultérieures ont montré que la taille de l'adulte, indépendamment du stade de l'hôte au moment de la réception de l'oeuf, était fortement déterminée par la taille de l'hôte au moment où la larve du parasite était dans sa phase alimentaire destructrice. De plus, parmi les parasites élevés à partir des hôtes de chacun des deux stades, les premiers émergés étaient plus gros et contenaient plus d'oeufs. Cependant la relation entre taille, durée de développement et fécondité des parasites différait significativement suivant les cohortes élevées à partir des hôtes des deux stades.Ces résultats indiquent (1) que l'adéquation du puceron au développement du parasite change pendant que le puceron se développe et (2) que différents aspects de la biologie du parasite doivent être étudiés pour montrer l'adéquation relative des pucerons d'un stade donné.
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16.
Larvae of the bean weevil C. maculatus feeding in a single bean apparently respond to vibrations from each other's chewing: one larva feeds normally, the other is inhibited. If the burrows of the larvae intersect, the inhibited larva dies. If the dominant larva pupates or dies without the burrows intersecting, the inhibited larvae then feeds and matures if enough food remains. Since females add second eggs to the largest beans after most beans carry a single egg, competition is most common in the largest available beans, precisely where inhibited larvae can benefit from avoiding a contest.
Résumé Lors de la compétition, les larves réagissent l'une par rapport à l'autre, même lorsque leurs galeries sont séparées. L'une est inhibée, tandis que l'autre se comporte comme si elle était seule. Le signal provoquant ces réactions, qui peut traverser du papier métallique, est dû vraisemblablement aux vibrations de mastication des larves; ces dernières perçoivent ces signaux tout au long de leur vie active. La larve la plus âgée ne l'emporte pas obligatoirement, ce qui signifie que le signal indique plus que l'âge.Les conditions expérimentales peuvent inverser les réponses des unes et des autres, bien que la larve la plus âgée puisse souvent mourir de ces conditions anormales de compétition. L'avantage potentiel associé à l'inhibition du futur perdant est mis en évidence en collant ensemble des graines. Quand la larve dominante se nymphose, la larve inhibée recommence à s'alimenter et achève son développement. En ayant eu son alimentation interrompue et en restant dans une galerie superficielle, la larve inhibée évite les affrontements et peut se développer lorsque la larve dominante meurt ou se nymphose, puisque la galerie de la larve inhibée n'avait pas été sectionnée.La stratégie de ponte réduit la fréquence de la compétition en uniformisant la distribution des oeufs; elle augmente les chances de survie des larves vaincues avec l'addition des oeufs sur les graines les plus grosses quand les disponibilités sont limitées. L'étude de l'évolution de ces adaptations a été possible puisque, comme on le sait, C. maculatus est génétiquement polymorphe pour les caractères déterminant le comportement de ponte des femelles et la compétition larvaire.
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17.
In response to residue of a sublethal dose of the synthetic pyrethroid fenvalerate, twospotted spider mites, Tetranychus urticae Koch, exhibited an aerial dispersal behavior in addition to a previously documented walk-off response. The magnitudes of the two responses were positively correlated, although the peak incidence of aerial dispersal behavior occurred 1.3 h after the peak of walk-off. Mite response was the same on treated and untreated non-feeding surfaces (31.2 and 36.2% walk-off, 58.4 and 55.6% aerial, respectively), suggesting that fenvalerate did not induce dispersal by direct irritancy. Response on treated leaf disks (40.6% walk-off, 41.6% aerial) was similar to that on the non-feeding surfaces, but few mites exhibited dispersal behaviors on untreated leaf disks (7% walk-off, 0% aerial). The difference between mite dispersal from treated and untreated leaf disks was attributed to a direct antifeedant effect of fenvalerate, which was thought to hasten desiccation by preventing imbibition. This hypothesis was supported by experiments in which mites on non-feeding surfaces responded more rapidly and in greater numbers when held at 10% relative humidity than at 95% r.h. regardless of fenvalerate residues on the substrate. The relationship among the different types of fenvalerate-induced mite dispersal behavior is discussed.
Résumé T. urticae réagit, après une réaction de fuite, par un comportement de dispersion aérienne, à la présence de résidus sur disques de feuilles d'une dose subléthale (25 ppm=0,025 g AI/L) du fenvalerate pyréthroïde de synthèse: Pydrin 2.4 EC. Ces résponses ont été aussi observées chez des acariens enfermés avec des surfaces inertes. La corrélation entre les deux formes de réponses de dispersion était positive, bien que le pic des dispersions aériennes ait eu lieu 1,3 h après le pic des fuites. La dispersion était la même avec des surfaces non-allimentaires traitées ou non (respectivement départs: 31,2 et 36,2%, et dispersions aériennes: 58,4 et 55,6%), tandis que le comportement de dispersion était rare sur feuilles non traitées (départ 7%, dispersion aérienne 0). Les réactions des acariens aux surfaces inertes traitées ou non au fenvalerate laissent penser que ce produit p'induit pas une réaction par irritation directe, sinon la réaction des acariens aurait dû être plus importante sur surfaces inertes traitées. Ainsi, la différence entre les dispersions à partier de disques de feuilles traitées ou non a été attribuée à une phagodissuasion directe.Comme l'alimentation fournit nourriture et eau aux acariens, la dispersion par le fenvalerate peut répondre, soit à la privation de nourriture, soit à celle d'eau, soit enfin aux deux. La dessication, supposée résulter de la carence en eau, peut aussi être favorisée par l'induction de pertes d'eau. Pour séparer effets de privation et de dessication, les acariens ont été maintenus sur des surfaces inertes à 10% et à <95% H.R.; à 10%, ils ont réagi en plus grand nombre et plus tôt qu'à <95%, montrant que la dessication a été, plus que le jeûne, le stimulus primaire de la dispersion, bien que l'on ne doive négliger l'importance du jeûne, surtout quand il se prolonge plusieurs heures.Selon nos résultats, fuite et comportement de dispersion aérienne induits par le fenvalerate, proviennent de son action phagodissuadante, et peuvent être des manifestations différentes d'une réaction générale de dispersion. Nous suggérons que les acariens répondent par ces comportements à une perte d'eau en-dessous d'une seuil qui aurait permis l'adaptation à la détérioration de la plante hôte. Les relations entre dispersion induite par le fenvalerate (par comparaison avec les autres modes de dispersion) et mortalité dans la nature restent à éclaircir.
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18.
Groups of females of Glossina austeni and G. morsitans morsitans fed on rabbits with 75 ppm sulphaquinoxaline and 7.5 ppm pyrimethamine in their diets had markedly lower fecundity than other groups fed on rabbits supplied with additive-free diets. There was little effect on the longevity of female flies. Females of G. austeni produced normal numbers of puparia for one reproductive cycle, large numbers of aborted larvae in succeeding reproductive cycles and many females eventually became sterile. The effect on G. m. morsitans was less marked but when the dose rate of the additives in the rabbit diet was quadrupled this species also showed greatly reduced fecundity, with no effect on longevity. In G. austeni, those puparia which were produced in later reproductive cycles were lighter and less viable than those produced in the first cycle.It is concluded that the toxicant in the rabbit diet was sulphaquinoxaline acting as a systemic insecticide but, at these low dose rates, at a sub-lethal level. The possible mode of action of sulphaquinoxaline and the significance of the results for the laboratory rearing of haematophagous arthropods are discussed.
Résumé Des groupes de femelles de Glossina austeni et Gl. morsitans morsitans sont nourris sur des lapins, euxmêmes alimentés avec des aliments artificiels de type commercial, qui ont été ou non additionnés de composés chimiques coccidiostatiques, soit 75 ppm de sulfaquinoxaline et 7,5 ppm de pyrimethamine. Quand les glossines sont nourries sur des lapins ayant reçu l'aliment additionné des substances coccidiostatiques, la fécondité de G. austeni (en termes de production de pupes viables par femelle) est réduite de façon nette, bien que la longévité demeure inaffectée; G. m. morsitans se révèle moins sévèrement touchée.Dans les expériences conçues pour étudier l'effet de la sulfaquinoxaline et de la pyrimethamine, les lapins reçoivent un aliment en poudre auquel sont ajoutées des quantités appropriées de ces substances. Des groupes de femelles de G. austeni nourries sur des lapins ayant reçu un aliment contenant 75 ppm de sulfaquinoxaline et 7,5 ppm pyrimethamine se reproduisent normalement pendant un premier cycle reproducteur, après quoi elles engendrent un grand nombre de larves avortées et beaucoup de femelles deviennent éventuellement stériles. Les pupes produites par G. austeni au cours des cycles reproducteurs plus tardifs sont plus légères et moins viables que celles produites lors du ler cycle. Quand le taux des composés coccidiostatiques est quadruplé dans l'aliment des lapins, la fécondité de Gl. m. morsitans est aussi fortement réduite, sans effet sur la longévité. Quand Gl. morsitans est alimentée artificiellement sur du sang contenant 75 et 300 ppm. de sulfaquinoxaline, la fécondité des femelles est sérieusement réduite. Aucune différence ne se décèle quant aux effets relatifs de ces deux doses du composé coccidiostatique; il est possible que les mouches en absorbent une même petite quantité dans les deux cas, en raison de la faible solubilité du produit, qui n'est soluble que dans des solutions alcalines. La sulfaquinoxaline, aux faibles doses absorbées agit comme un insecticide systémique à des doses sub-létales. Ce coccidiostatique peut agir en interférant avec le métabolisme du folate au niveau des ovaires; les effets sur la fécondité deviennent progressivement plus marqués chez les femelles âgées et chez celles qui ont cessé de se reproduire on observe des ovaires atrophiés.L' incidence de ces faits sur les conditions d'élevage des Glossines, et d'autres arthropodes hématophages, est discuté.
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19.
We document individual and age-specific variation in reproductive output and clutch size of Anastrepha ludens Loew. (Diptera: Tephritidae). The influence of host size, color, and density on clutch size are also examined. Individual and groups of flies were offered artificial hosts composed of agar spheres wrapped in Parafilm. The gross reproduction rate of individual flies was 1000 eggs/female and 165 clutches/female with a range of 1 to 40 eggs/clutch. Mean clutch sizes for these females ranged from 4.5 to 10.6 eggs/clutch. The number of eggs/clutch laid by females held in groups was highly correlated with host size, ranging from about 4.4 eggs/clutch in 2 cm diameter hosts to 12.7 eggs/clutch in 11 cm hosts. Host color, host density, fly density, and fly age did not affect clutch size. This study suggests that variation among females and host size are the principal determinants of clutch size in A. ludens.
Résumé L'examen a porté sur l'influence du polymorphisme et des modifications dues à l'âge des mouches sur la fécondité et la taille des pontes de A. ludens Loew (Dipt. Tephritidae). L'étude a concerné aussi l'influence de la dimension, de la couleur et de la densité des hôtes sur la taille des pontes. Des mouches isolées ou par groupes ont reçu des hôtes artificiels formés de sphères d'agar enveloppées dans du parafilm. La fécondité brute de femelles isolées a été de 1000 oeufs/femelle et de 165 pontes/femelle, avec une variation de 1 à 40 oeufs/ponte. La taille moyenne des pontes des différentes femelles isolées s'étalait de 4,5 à 10,6 oeufs/ponte. Le nombre d'oeufs/ponte des femelles groupées était fortement liée à la dimension de l'hôte, s'étalant de 4,4 oeufs/ponte pour des hôtes de 2 cm de diamètre à 12,7 oeufs/ponte pour ceux de 11 cm de diamètre. Ni la couleur et la densité des hôtes, ni la densité et l'âge des mouches n'ont influé sur la taille des pontes. Ces résultats suggèrent que les variabilités du comportement des femelles et de la dimension des hôtes déterminent par priorité la taille des pontes de A. ludens.
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20.
Mythimna convecta adults, reared at 22°C on semi-artificial diet or oat seedlings (Avena sativa L.), were exposed to a range of constant temperatures between 10° and 30°C. Pre-oviposition period and adult life span were inversely proportional to temperature. Mean life span was significantly longer in virgin than in mated females. Actual fecundity and fertility of eggs peaked at 20°C and declined towards both high and low temperatures. Most eggs were laid during the first few days after mating, irrespective of temperature. Potential fecundity varied with pupal weight and larval nutrition. Mean daily oviposition was expressed as % potential fecundity realized and, like survival, the relationship with time was summarized using non-linear regression models. The optimum temperature for the survival of males and virgin females was 22.5°C.
Résumé Des adultes de Mythimna convecta, élevés à 22° avec un aliment semi-artificiel ou sur des pousses d'Avena sativa L, ont été exposés à une gamme de températures constantes entre 10 et 30°. Les durées de la période précédent la ponte et la longvité ont été inversement proportionnelles à la température. La longvité des femelles vierges était significativement supérieure à celle des femelles accouplées. La fécondité réelle et la fertilité des oeufs ont été maximales à 20° et se sont abaissées tant pour les températures faibles qu'élevées. Quelle que soit la température, plus d'oeufs ont été pondus dans les jours suivant l'accouplement. La fécondité potentielle changeait avec le poids des nymphes et l'alimentation larvaire. La ponte moyenne quotidienne a été déterminée comme la pourcentage exprimé de la fécondité potentielle, et, ainsi que la survie, la relation avec le temps a été résumée en utilisant des modèles de régression non-linéaires. La température optimale pour la survie des mâles et des femelles vierges a été de 22.5°.
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