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相似文献
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1.
T. Edland 《BioControl》1965,10(4):331-333
Résumé La NoctuelleEupsilia transversa Hufn. était abondante dans l'Ouest de la Norvège en 1962, la chenille causant de graves dégats aux arbres fruitiers. En 1963, une infestation de granulose apparut sur les chenilles et en deux années réduisit la population à un niveau très bas. Le syndrome de la larve malade est décrit. Les résultats de quelques essais d'infection à petite échelle permettent de considérer ce virus comme capable de réduire effectivement la population deE. transversa dans les conditions de laboratoire. La granulose semble être léthale à tous les stades du ravageur sauf le dernier.   相似文献   

2.
Résumé Les larves de deux espèces deSystoechus (somali oldroyd etaurifacies greathead), attaquent les œufs du criquet pèlerin (Schistocerca gregaria Forsk?l) en Afrique orientale. La morphologie des larves et des pupes de ces deux espèces et de deux autres a été étudiée en détail. Les larves sont presque identiques; seulement quelques faibles différences ont été observées dans la forme des sclérites céphaliques. Les pupes, d'autre part, présentent des caractères plus distincts. La distribution duSystoechus parmi les lieux d'oviposition duSchistocerca et parmi les oothèques d'une même station est très irrégulière. Chaque larve demande 8–10 œufs (c'est-à-dire un huitième d'une oothèque) pour le développement complet. On trouve souvent plus d'une larve dans l'oothèque, mais il n'en résulte pas la destruction de tous les œufs. Le développement larvaire et le stade de pupe durent chacun à peu près une semaine, mais la larve développée passe dans le sol une période de repos dont la durée varie de plusieurs mois à plusieurs années. Les pluies déclenchent la formation des pupes; toutes les larves ne se transforment pas à la première pluie; en conséquence, l'éclosion des adultes est très échelonnée.   相似文献   

3.
B. J. Wood 《BioControl》1963,8(1):67-82
Résumé L'application d'insecticides de contact sur lesCitrus à Chypre a apporté des perturbations à l'équilibre naturel si bien que certains insectes nuisibles ont pris une importance accrue et de sévères infestations d'insectes normalement sans importance sont survenues. Ceci est particulièrement sensible dans le cas des Coccides. La situation dans les cultures non traitées révèle de fa?on évidente que, à partLepidosaphes beckii newm., les cochenilles nuisibles ont des ennemis naturels capables d'assurer un contr?le économique en l'absence de facteurs adverses susceptibles de freiner leur activité. L'équilibre naturel du Pou rouge (Aonidiella aurantii mask) est très facilement bouleversé. Il devient spécialement dangereux quand les insecticides de contact sont utilisés. Les ennemis les plus fréquents des Cochenilles desCitrus sont répertoriés. Dans quelques cas, l'importance relative des espèces attaquant certains insectes nuisibles dans des situations variées, est précisée. L'importation de 5 espèces d'Aphytis est notée. L'intégration de la lutte chimique qui est nécessaire avec la lutte biologique est discutée. Enfin, les moyens de détermination des programmes de traitements sont esquissés.   相似文献   

4.
B. Le Rû  Y. Iziquel 《BioControl》1990,35(2):173-183
Résumé Cet article présente les résultats obtenus en 1987 sur des points non encore abordés précédemment dans le cadre de l'étude des circonstances épidémiologiques favorisant le déroulement de l'Entomophthorose àNeozygites fumosa (Speare) Remaudière et Keller, pathogène de la cochenille du maniocPhenacoccus manihoti Matile-Ferrero (Hom.: Pseudococcidae). Il montre notamment que l'évolution de la maladie, très rapide, correspond à la succession de 2 phases: une première phase, d'implantation, fortement liée à la taille et à la structure des colonies et une deuxième phase (épizootique au sens strict) indépendante de leur taille et de leur structure. Son évolution appara?t plus liée à la régularité des pluies qu'à la quantité d'eau. Les conditions sont très favorables quand l'humidité relative est supérieure à 90% pendant au moins 5 heures par jour de fa?on régulière. Le r?le important joué par la durée d'humectation du feuillage est montré ici pour la première fois. La densité des conidies du pathogène dans l'air est proportionnelle aux taux de mycose observés dans les populations deP. manihoti.   相似文献   

5.
P. Grison 《BioControl》1962,7(3):269-270
Résumé L'utilisation des germes pathogènes est une solution du problème de la sélectivité. Des solutions concurrentes existent avec certains pesticides chimiques. L'utilisation des germes pathogènes est donc envisagée d'une manière pragmatique en négligeant les problèmes de recherches fondamentales. Pour cette raison les mycoses et les protozoonoses ne sont pas retenues. Les viroses offrent un exemple de la plus grande spécificité d'action. L'application des virus d'insectes a été surtout développée en sylviculture. Une grande difficulté est la multiplication des virus sur organismes vivants. Les bactérioses peuvent être seules retenues pour l'agriculture et l'arboriculture intensives: elles ont un spectre d'action assez étendu mais suffisamment sélectif; les bactéries qui nous intérresent peuvent être multipliées industriellement. Le statut deBacillus thuringiensis Berliner et les propriétés des préparations commerciales ont fait l'objet de développements récents. Dans une revue critique des applications de ces préparations en arboriculture fruitière, on considère d'abord le cas des Mineuses et des Tordeuses. Presque toutes ces chenilles sont susceptibles àB. thuringiensis. Mais la difficulté d'utilisation des préparations est de nature éthologique. De bons résultats sont obtenus au Canada contreArgyrotaenia et en U.R.S.S. contreHyponomcuta. En U.R.S.S. on utilise des produits mixtes à concentration réduite (0,5%) de préparation bactérienne et à concentration extrêmement faible (0,002%) de D.D.T. Les résultats contre le Carpocapse sont négatifs. Les résultats contre les chenilles défoliatrices sont très satisfaisants: en Hollande et au Canada contreMalacosoma; au Canada contre les Géométrides,Operophtera etAlsophila espèces très susceptibles àB. thuringiensis, à la dose de 1 à 2 pounds de préparation (titrant 30×109 spores viables par gramme) pour 100 gallons, soit environ, 1,5%; en France, ces résultats sont confirmés. En conclusion, l'utilisation en verger des prépararations commerciales deBacillus thuringiensis doit être ?intégrée? dans un programme général de protection comprenant à la fois les traitements chimiques et les méthodes culturales. De tels programmes sont actuellement expérimentés dans certains vergers de Pommiers par l'I.P.O. et le T.N.O. en Hollande.  相似文献   

6.
Résumé Les auteurs relatent les circonstances de l'introduction dans les ?les Leeward (Antilles), deCactoblastis cactorum (Berg.) (Lepid. Phycitidae) qui eut pour résultat la destruction spectaculaire de diversOpuntia, principalementO. triacantha. Introduit en 1957 dans l'?le Nevis,Cactoblastis s'est établi rapidement et, vers 1960, il produisit d'excellents résultats qui se sont maintenus par la suite. Des matériaux provenant de l'?le Nevis ont été introduits dans les ?les voisines de Montserrat et Antigua. Dans la première, lesOpuntia ont été rapidement détruits. mais faute de conditions culturales convenables, ils ont été remplacés par desAcacia sp. si bien que le bénéfice de l'opération est très faible. Dans l'?le d'Antigua, leCactoblastis s'est acclimaté mais, jusqu'à présent, la destruction desOpuntia n'est pas complète. LeCactoblastis s'est aussi répandu, accidentellement ou non, dans les ?les St. Kitts et U.S. Virgin. Les auteurs donnent la liste d'autres régions où l'introduction de cet insecte pourrait être envisagée. Les espècesDactylopius sp. aff.confusus (Ckll.) etD. opuntiae Ckll. (Hemiptera, Coccidae) ont aussi été introduites dans l'?le Nevis mais ne s'y sont pas maintenues. Les auteurs donnent des raisons possibles de cet échec.   相似文献   

7.
C. A. Dedryver 《BioControl》1981,26(4):381-393
Résumé L'étude comparée de l'action limitative de 3 espèces d'Entomophthoraceae sur les pucerons des céréales a été effectuée dans l'Ouest de la France (Bassin de Rennes essentiellement) de 1975 à 1978. La quasi-totalité des cas de mycose sont dus àErynia neoaphidis Remaud. & Henn.,Conidiobolus obscurus (Hall & Dunn) Remaud. & Keller etEntomophthora planchoniana Cornu. L'analyse de la répartition des différentesEntomophthoraceae au cours de l'année montre queE. neoaphidis est l'espèce qui a la plus grande période d'activité (elle se manifeste pendant pratiquement toute l'année sur les populations anholocycliques) et qui infecte, à un moment donné, le plus de pucerons.C. obscurus dispara?t en général en hiver après la formation abondante de spores durables et ne réappara?t qu'au cours du printemps. D'une année sur l'autre, à un instant donné,C. obscurus est rarement déterminé sur plus de 25% du total des pucerons mycosés récoltés. Enfin,E. planchoniana a une période d'activité essentiellement estivale qui peut se prolonger en automne sur les pucerons pullulant sur ma?s. C'est sur ces derniers qu'elle semble la plus efficace. Sur blé d'hiver, l'action apparente deE. neoaphidis et deC. obscurus n'est pas la même selon l'espèce de pucerons et la position de ceux-ci sur la plante:E. neoaphidis est encore plus pathogène pourM. dirhodum que pourS. avenae etC. obscurus semble davantage parasiter les pucerons situés sur le feuillage que ceux situés sur les épis. Enfin, l'étude de l'action deE. neoaphidis, C. obscurus etE. planchoniana en fonction de la taille de la colonie (ou du ?groupe? de pucerons) montre que l'action deE. neoaphidis semble indépendante de la densité de pucerons alors que le développement deC. obscurus dans les colonies est moins rapide que l'augmentation de taille de celles-ci. D'une manière générale, l'action deE. planchoniana est moins bien connue du fait du manque de matériel. La prédominance deE. neoaphidis s'explique par l'excellente adaptation de cette espèce à l'anholocyclie des pucerons, par sa faible spécificité à l'intérieur du groupe des aphides et par le nombre important de conidies qu'elle projette en atmosphère saturante. Cette espèce semble avoir les meilleures potentialités entomopathogènes en tant qu'agent de lutte biologique en cultures céréalières, mais son emploi futur sera subordonné à sa production de masse sous forme stable et pathogène.
Summary The role of 3 species ofEntomophthoraceae on cereal aphids in the West of France from 1975 to 1978 was compared. Almost all the infected aphids were killed byErynia neoaphidis Remaud. & Henn.,Conidiobolus obscurus (Hall & Dunn), Remaud. & Keller andEntomophthora planchoniana Cornu. A study of the distribution of the different species ofEntomophthoraceae during the year shows thatE. neoaphidis has the longest period of activity and infects most aphids. C. obscurus generally disappears in winter after an abundant formation of resting spores and reappears during the spring. On each sampling date,C. obscurus infects generally no more than 25% of the diseased aphids.E planchoniana occurs essentially during the summer and autumn on aphids living on ma?ze on which it seems to spread efficiently. On winter wheat the action ofE. neoaphidis andC. obscurus is different, depending on the species of aphid and on the position occupied by the aphids on the plant:E. neoaphidis is more pathogenic forM. dirhodum than forS. avenae andC. obscurus seems more pathogenic for the aphids (whatever the species) on leaves than for the aphids on ears. Finally the efficiency ofE. neoaphidis, C. obscurus andE. planchoniana relative to the size of the populations of the different samples was studied: the pathogenicity ofE. neoaphidis seems to be density independant, whereas the development ofC. obscurus in the colonies is slower than the rate at which they increase in size. Little is known about the pathogenicity ofE. planchoniana because of the lack of material. The prevalence ofE. neoaphidis is explained by its adaptation to the anholocycly of the aphids, by the broad spectrum of species it infects and by the numerous conidia it produces in a moist atmosphere. This species seems to have the best potential as an agent of biological control in cereal but currently its mass production poses problems.


Avec la collaboration technique d'Augustine Gellé etSylvie Tanguy  相似文献   

8.
Resumé

Corrélation entre le nombre des chromosomes et les dimensions des microscopores dans la taxonomie botanique. spectre génétique pollinique.

Le concept de proportion domine dans la nature vivante. L'intéraction du noyau et du cytoplasme détermine sur le volume de ce dernier et en conséquence sur la cellule à l'état jeune, une régulation des dimensions cellulaires.

Non seulement la forme des divers pollens, mais aussi leurs dimensions (en tenant compte des fluctuation possibles), constituent des caractères qui peuvent avoir une importance taxonomique, tant par eux memes que par le fait d'etre mis en rapport avec les nombres des chromosomes.

On a déjà constaté que le numéro diploïde 24 est le plus fréquent, soit dans le règne animal que dans le régne végétal et que les numéros diploïdes compris entre 12 et 32 sont plus fréquents dans les plantes, que les autres numéros. Corrélativement l'A. a constaté que le diamètre équatorial le plus fréquent dans les pollens est celui de 23–25 microns; suivent, avec des fréquences décroissantes, les mesures 16–14–18–32–12 etc. microns.

De même, tandis que les numéros diploïdes éleves (2a = 100–200) sont très rares dans les plantes, les espéces avec des pollens à grains volumineux sont elles aussi en nombre très réduit.

Parmi les Convolvulacées, au nombre chromosomique diploïde 2n = 14 de Cuscuta europaea correspondent des microspores de 18–25 μ à 2n = 50 de Convolvulus arvensis, microspores de 50–70 μ, tandis que les Ipomées ayant un nombre élevé de chromosomes (2n = 60, 2n = 90 ca.) ont des grains de pollen d'un diamètre de 150–210 microns. Parmi les Nyctaginacées, le genre Bougainvillea (2n=20) a des pollens de petites dimensions dont le diamètre equatorial est de 30–40 microns, tandis que le genre Mirabilis (2n = 58) a des graines de pollens de grandes dimensions, de 160–226 microns de diamètre.

Bien d'autres exemples de corrélation semblables, appartenant à plusieurs genres et families de plantes, peuvent être cités, sur la base de l'examen des pollens de plus de 1000 espèces.

Si des espèces de proche parenté et semblables au point de vue de la taxonomie, diffèrent entre elles par le nombre des chromosomes respectifs, elles diffèrent aussi quant aux dimensions des pollens.

Le cardinal diamétrique equatorial des grains de pollens des espèces vraisemblablement élémentaires et de leurs variétés est souvent très proche du cardinal chromosomique diploïde des entités respectives; il est quelquefois un des ses multiples, très rarement un sous-multiple.

Tandis que la proportionalité entre les dimensions des grains de pollen et le nombre des chromosomes est fréquente dans les espèce élémentaires, elle nè se rencontre pas dans beaucoup d'autre cas, à cause de l'interférence de la polyploïdie. Dans les Cucurbitacées, aux pollens avec grains de 20 et 22 μ (Bryonia dioica, Momordica charantia) correspondent 2n = 20 et 2n = 22 respectivement; tandis que dans les espèces à gros grains de pollens (Cucurbita pepo: 170 μ; Cucumis sativus: 72–76 μ) ont a trouvé jusqu'à present: 2n = 40,42 (80) et 2n = 14,28 respectivement.

Une des manifestations de la polyploïdie, est la présence dans les pollens de macro-grains, de grains abortifs, de sillons et de pores aberrants, en somme de grains atypiques par leur forme et parfois aussi par leur coleur, présence qui, outre à indiquer l'origine hybride, peut, dans certains cas, inciter à faire des recherches sur les parents supposés et à tirer un plus grand parti de ces caractères.

Dans bien de cas il est possible de dessiner les spectre des pourcentages selon lesquels les différentes entités on concouru à la constituion de la variété ou de la cultivar.

L'A. propose d'appeler un tel diagramme: spectre génétique pollinique. [Agrave] le définir concourent aussi bien les différences morphologiques et microchimiques, que le pourcentage des grains physiologiquement inactifs (abortifs).

La biométrie est très utile dans l'interprétation des préparations microscopiques hétérogènes des allopolyploïdes.  相似文献   

9.
Dans la nature, les ♀♀ d'A. obtectus pondent dans les gousses sèches de P. vulgaris, par des fentes de déhiscence, ou après avoir pratiqué avec leurs mandibules une perforation sur une suture de la gousse (généralement la suture ventrale). Le taux de contamination est déjà très fort (0.40) après seulement 2 à 3 jours d'exposition au stade phénologique propice à la ponte. Ce taux augmente avec la durée d'exposition mais se stabilise assez vite pour des durées supérieures à 5 jours. Par contre, le nombre d'?ufs déposés par gousse contaminée augmente régulièrement en fonction de la durée d'exposition, les ♀♀ concentrant leur ponte dans certaines gousses en utilisant la même perforation. Ces résultats permettent de discuter les hypothèses émises à la suite de travaux ayant mis en évidence, au laboratoire, l'existence, chez A. obtectus, de «phéromones répulsives» de marquage du lieu de ponte. A. obtectus — P. vulgaris — Oviposition behaviour— Eggs distribution. A. obtectusP. vulgaris — comportement de ponte — distribution des pontes. Nous remercions le Professeur V. Labeyrie pour son aide critique.  相似文献   

10.
C. A. Dedryver 《BioControl》1979,24(4):443-453
Résumé Deux expérimentations ont été faites en serre, dans le but de déclencher des épizooties àEntomophthora surAphis fabae Scop. par dissémination de pucerons vivants, infectés parE. fresenii Nowal. dans des colonies saines et par brumisation. Un relèvement moyen de l'humidité relative ambiante, obtenu par brumisation, même assez faible (10%), est suffisant pour avancer la saturation nocturne et retarder la baisse matinale de l'humidité relative. Ceci, ainsi que le maintien d'eau liquide sur les plantes pendant une grande partie de la journée, a permis le déclenchement des processus épizootiques. Durant la 1re expérimentation, la croissance des colonies est arrêtée 13 j après la distribution de l'inoculum et les populations sont détruites à 80% 27 j après cette distribution. Durant la 2e expérimentation la croissance des colonies est arrêtée 6 j après la distribution de l'inoculum et les populations sont détruites à 90% 24 j après cette distribution. Les meilleurs résultats (2e expérimentation) ont été obtenus avec une serre complètement fermée et un inoculum distribué très peu de temps après l'installation des pucerons. Les r?les respectifs de l'eau libre et de l'humidité relative ambiante sur l'épizootiologie du champignon sont discutés, ainsi que les problèmes posés par l'influence de la brumisation sur les champignons phytopathogènes, par l'action des fongicides sur lesEntomophthora, et par la compatibilité de telles méthodes de lutte avec les traitements insecticides.
Summary Two experiments were carried out in a glasshouse, in order to control the populations ofA. fabae on broad beans by dissemination of living infected aphids (E. fresenii) in the healthy colonies, and enhancement of the relative humidity by means of brumization. Sprinkling was released by an electronic detector of moisture. During the 1st experiment the detector ran permanently, in the 2nd experiment from 4h p.m. to 10h a.m. only. The results showed that the induced increase of the relative humidity through sprinkling was weak (10%) but enough to carry the nocturnal saturation forward and to delay it during the morning. During the 1st experiment (16th May–12th June 1978) the colony growth was arrested 13 days after the spread of the infected aphids had occurred and the proportion of dead aphids reached a high of 80%, 27 days after the spreading of the infected ones. During the 2nd experiment (18th October–13th November) the growth of the colonies was arrested in the treated plot from the 6th day after the spreading of the infected aphids and the proportion of dead aphids exceeded 90% 24 days after the spreading of the infected ones. In the untreated plot the highest level of population was three fold the one in the treated plot. The best results (2nd experimentation) were obtained when the glasshouse was completely closed and when the inoculum (infected aphids) was spread a very short time (2 days) after the infestation of the beans by the healthyA. fabae. Many questions are stated, especially concerning the role of water covering the beans and aphids on the epizootiology, the influence of sprinkling on the plant fungal diseases, the influence of fungicides on theEntomophthora or the best way to spread the inoculum. The solution may be to consider theEntomophthora as a component of integrated control in glasshouses.


Avec la collaboration technique d'Augustine Gellé.  相似文献   

11.
Résumé En Bretagne les cultures de pommes de terre sont colonisées parAulacorthum solani,kltb,Macrosiphum euphorbiae thomas etMyzus persicae sulz. Lorsque le vol de contamination initiale par A.solani etM. persicae est de grande amplitude, le vol de dissémination est virtuellement absent, et inversement. Nous montrons que ceci est d? au très fort parasitisme qui affecte les populations dès leur installation sur les pommes de terre. En ce qui concerneA. solani, attaqué en particulier parAphidius urticae Hal. le r?le de la digitale en tant que producteur de pucerons et de parasites est mis en évidence. Le synchronisme entre la production de pucerons ailés et de parasites varie selon les biotopes et à ce titre la température para?t avoir une action prédominante.
Summary In western France, the potato crops are regularly invaded byA. solani kltb,Myzus persicae sulz. andMacrosiphum euphorbiae thomas. Whenever the primary infestation by winged aphids is low, then the dissemination flight is relatively important and conversely (fig. 1). The reason is that aphidiids exert a good control as soon as aphid populations are building up. These parasites may be carried as eggs or young larvae in the alate aphids ofA. solani (table 1) and asD. purpurea constitutes one of its main winter host (A. solani is anholocyclic), the impcrtance of this plant was investigated as regards to aphid, parasite and hyperparasite production.Aphidius urticae hal-was the only parasite recorded so far with five hyperparasite species. On potato plants, too,A. urticae seems specifically concerned withA. solani otherwise attacked byAphidius picipes nees andAphidius ervi hal. It was shown some discrepancies between different biotopes as regards to the rate of parasitism at the same time (table 2) and attention is stressed on apparent differences between parasitization of apterous and winged instars (table 3), the importance of which is discussed regarding to the amount of winged invaders the foxglove may produce by the time the potato plants are shooting. Temperature appears to exert an important r?le in this respect.
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12.
A. Dejean 《BioControl》1991,36(1):29-54
Résumé L'activité prédatrice de 12 sociétés d'Oecophylla longinoda Latreille a été étudiée durant 124 h d'observations pendant lesquelles 2 482 proies ont été capturées. La prédation s'exerce sur les arbres supportant les nids ainsi que sur des territoires ?secondaires? habituellement situés sur le sol. Les 7 situations suivantes sont comparées: 1) En forêt, durant les périodes ?habituelles?; 2) Durant le passage d'une colonne de Magnans; 3) Le territoire de chasse ?secondaire? d'une société installée sur un arbre situé en bordure de rivière correspond à une zone où de nombreux insectes se concentrent pour s'abreuver; 4) L'arbre support est un manguier dont on suit le cycle biologique (inter-saison, floraison, fruits m?rs) et son impact sur la prédation par lesOecophylla; 5) On compare la situation ?habituelle? à ce qui se passe lorsqu'un essaimage de Termites est rabattu sur les territoires d'une société; 6) Le territoire ?secondaire? est situé sous la véranda d'une maison éclairée chaque nuit où de nombreux insectes ailés sont attirés; 7) Les territoires ?secondaires? de 2 sociétés étant contigus, on compare les périodes de combats aux périodes calmes. Les territoires ?secondaires? sont situés sur des zones de concentration en proies (insectes de la litière des forêts, zones où ils viennent s'abreuver, attraction par la lumière, la nuit). LesOecophylla y capturent souvent des insectes aptères, cas relativement rare sur l'arbre support. Ces territoires sont défendus contre les ouvrières d'autres sociétés. Du fait de leur territorialité très marquée avec surveillance permanente du territoire et un recrutement très efficace, lesOecophylla répondent très rapidement à toute prolifération en proies. A cela s'ajoute une grande diversité de proies potentielles de sorte que cette espèce peut être considérée comme très efficace en lutte biologique, les ouvrières réagissant spécifiquement à toute abondance d'un type d'insecte. Pour une société comprenant 12 calies, le nombre de proies capturées par an est de l'ordre de 45 000. Ramené à un nombre équivalent d'individus et de jours d'activité, il est du même ordre que celui desFormica lugubris (Cherix, 1986).   相似文献   

13.
G. Morel 《BioControl》1974,19(1):85-95
Le scorpionButhus occitanus (Amoreux) infectéper os élimineBacillus thuringiensis (Berliner) dans ses déjections d'une manière progressive et en relation avec la prise de nourriture. Après inoculation dans l'hémocoele les germes peuvent persister longtemps dans l'hémolymphe sans que les animaux présentent des symptômes pathologiques. Seules les doses très élevécs conduisent à une septicémie. La DL 50, supérieure à 2,5 millions de bactéries, montre la très grande résistance de ces Arachnides à cette infection bactérienne.  相似文献   

14.
A. Delobel 《BioControl》1989,34(3):351-363
Résumé Le trichogrammeUscana caryedoni Viggiani se développe aux dépens des œufs deCaryedon congense Decelle et de ceux de la bruche de l'arachide,Caryedon serratus (Olivier), sur les fruits d'une légumineuse arbustive commune au Congo,Poliostigma thonningii (Schum.). Dans la région de la Bouenza, dans le sud du pays, les taux de parasitisme dus àU. caryedoni s'accroissent au cours de l'année, à mesure que m?rissent les gousses, pour atteindre en novembre près de 40% (taux cumulé). La biologie du parasito?de a été étudiée au laboratoire sur œufs deC. serratus. A 30°C, la femelle pond en moyenne 66 œufs et vit un peu plus de 5 jours. Le développement préimaginal s'effectue en 16 jours à 26° et 12 jours à 30°. L'effet de la densité de l'h?te sur divers paramètres biologiques du parasite a été étudié. Un essai réalisé dans les conditions du laboratoire a révélé chezU. caryedoni de très faibles potentialités comme agent de limitation des populations deC. serratus dans les stocks d'arachide.   相似文献   

15.
Résumé Les auteurs ont mis au point un procédé d'estimation de la virulence des Entomophthorales à l'égard des adultes du moustiqueAedes aegypti. Ce paramètre est estimé en termes de CL 50 de conidies/mm2. C'est la 1re fois qu'une telle méthodologie est appliquée à ces champignons vis-à-vis de Diptères. L'activité de 2 souches deZoophthora radicans isolées le même jour dans la même localité a ainsi pu être comparée à des intervalles successifs après la mise en culture. Au début de l'expérience, les 2 souches se sont révélées capables d'entra?ner des taux de mortalité de 100% et leur virulence était comparable. La symptomatologie de la mycose était caractéristique, avec formation de conidiophores chez la quasitotalité des cadavres. Par la suite, une discordance a été notée dans le comportement respectif des 2 souches. Alors que la virulence de l'une est restée stable pendant les 6 mois qu'a duré l'expérience, celle de l'autre a diminué très rapidement, le taux maximum de mycose ne dépassant plus 20% après le 1er essai. Le passage sur l'h?te expérimental n'a pas eu pour effet de modifier cette situation. Ces résultats, ainsi que leurs implications, sont discutés. Ils soulignent l'importante variabilité comportementale qui peut exister au sein d'une même espèce d'Entomophthorale. Avec la collaboration technique deMonique Arnault et deNelly Delatre.  相似文献   

16.
A. Vey  J. M. Quiot 《BioControl》1976,21(3):275-279
Résumé Les filtrats de cultures du champignon ZygomycèteMucor hiemalis Wehmer ont une action toxique sur les cellules de Dictyoptères cultivéesin vitro. Ils provoquent des altérations très marquées au niveau du cytoplasme, fortement vacuolisé et chargé de lipides, et plus discrètes mais irréversibles au niveau du noyau, déformé et dont la chromatine appara?t dense et marginée. Les substances toxiques produites par leMucor agissent même à de très fortes dilutions, et sont élaborées par ce champignon dès les stades précoces de son développement. Ces résultats permettent de conclure à la validité des hypothèses concernant l'intervention de toxines dans les infections de blessures àM. hiemalis.
Summary The filtrates ofMucor hiemalis Wehmer cultures have toxic effects on the cells of Dictyoptera culturedin vitro. They induce severe lesions into the cytoplasm that appears vacuolated with abundant lipids. Less important but irreversible alterations are also observed into the nucleus which becomes irregularly shaped and displays a dense and peripheral chromatine. The substances produced byMucor from the early stages of its development have toxic effects even at low concentrations. These results enable us to support the hypothesis concerning the role of toxins in the infection induced byM. hiemalis.
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17.
Résumé L'incidence de la nutrition sur la biologie des Aphélinides est étudiéc et analysée sous ses différents aspects: maturation sexuelle, spécificité parasitaire (adaptation à un nouvel h?te) et longévité. Les faits observés sont rapprochés de certains phénomènes d'adaptation à des facteurs du milieu connus chez d'autres groupes d'insectes. D'importants travaux ont été effectués sur un Aphélinide monophage,Aphelinus mali Haldeman depuis son introduction en Europe en 1929 pour freiner les pullulations du puceron lanigèreEriosoma lanigerum Hausm. Ce n'est que depuis une quinzaine d'années que les chercheurs américains ont orienté leurs recherches vers un autre Aphélinide,Aphelinus asychis Walker (=semiflavus Howard), susceptible d'attaquer un grand nombre d'espèces d'Aphides-h?tes. Cependant, la polyphagie de ce parasite fut très peu étudiée et c'est seulement en 1970 queRaney etal.,Manglitz & Schalk déterminant la fécondité du parasite en présence de divers h?tes, ont observé des différences de fécondité qui les ont conduits à considérer que certains h?tes étaient préférés par le parasite.
Summary A study of polyphagous Aphelinids, parasites of aphids, revealed the existence of host conditioning. The physiology and behaviour of the female is influenced by the aphid species on which it feeds: sexual maturation, fecundity (measured by number of aphids mummified by one female) and longevity are impaired when this species differs from the one from which the female hatched. When females are fed with honey and water, longevity decreases (is reduced by about 15 days). Nutritive elements accumulated during larval life are used and eggs are progressively resorbed. This condition is not irreversible: if such females are reared with aphids, mature eggs can be observed after two days. Fecundity and longevity are decreased when one female (Aphelinus asychis), hatched from an aphid species A, is reared on an aphid species B. In the F2 generation, the parasite is better adapted to the new host; in F3 fecundity may be comparable with that recorded in females reared on aphid host A. However, if F3 females hatched from species B mummies are now placed on aphid host A, the same kind of biological disturbances are observed as in the original transfer (A to B). After disproving the hypothesis of genetical selection of individuals adapted to the new host, the influence of nutrition on female physiology is demonstrated. This conditioning may be compared with that inAcrididae, attributable to a density factor, or that inNemeritis andDrosophila, to the odour of certain chemicals.


Le présent article est extrait de la thèse de Doctorat d'état soutenue le 20 mars 1972 à l'Université Paris VI.  相似文献   

18.
An outbreak of cottony maple scale,Pulvinaria innumerabilis (Rathvon) was not controlled by chemical treatments, but large numbers of the coccinellid,Hyperaspis signata (Say), almost eliminated the scale in the succeding year.
Résumé La Cochenille cotonneuse de l'érable,Pulvinaria innumerabilis (Rathvon) fut très abondante près de Harrow, Ontario, en 1967. Le feuillage des érables argentés fut très éclairci et certaines des basses branches furent tuées. Un seul traitement au malathion provoqua quelque réduction des cochenilles mais seulement pendant une semaine. En 1968, la CoccinelleHyperaspis signata (Say) est apparue en grand nombre. Les larves prédatrices mangèrent les œufs et les formes mobiles de la Cochenille et réduisirent en une saison les populations de celles-ci à un niveau endémique. Les adultes deH. signata étaient encore présents en 1969 et 1970.
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19.
Les analyses polliniques ont été effectuées sur 40 échantillons de miel qui proviennent des deux grandes régions phytogéographiques situées dans la province de León (N.O. de l'Espagne). La densité pollinique (grains de pollen/g de miel), est de moins de 10.000 grains/g dans 27 échantillons, de 10.000 à 50.000 grains/g dans 12 miels et de 50.000 à 100.000 grains/g dans 1 seul cas.

Treize miels monofloraux ont été typifiées: 3 de châtaignier (Castanea sativa) 1 de bruyère dont 4 d'Erica sp, 2 d'E. umbellata et 1 d'E. arborea, 1 de tournesol (Helianthus annuus) et 2 de lavande (type Lavandula pedunculata). Les autres miels sont tous multifloraux.

Dans l'ensemble des miels analysés, 122 formes de pollen on pu être identifiées. Les types polliniques Erica australis, Genista florida, Lotus corniculatus, Trifolium repens, Mentha aquatica, Plantago lanceolata, Poaceae, Prunus, Rubus ulmifolius et Salix fragilis ont été identifiées dans 80% des échantillons provenant des deux régions phytogéographiques alors que ceux de Cistus ladanifer et de Lavandula pedunculata sont typiques des seuls miels de la région Méditerranéenne. Dans la région phytogéographique Eurosibérienne, les communautés végétales les mieux représentées dans les spectres polliniques ce sont celles à gênets, à bruyères et à épineux. Dans les miels de la région Méditerranéenne il y a également une bonne représentation des genêts, des bruyères et des épineux qui font cependant partie d'associations végétales différentes comme l'indique la présence de Lavandula pedunculata, Lavandula sampaiana et Cistus sp.  相似文献   

20.
In a survey involving the abundance of the parasites ofLeucoptera meyricki Chesq. in relation to the height of the canopy level from 4 sites (altitudes 1524–1676 m) 10 hymenopterans were reared. Of these 7 were parasites and 3 hyperparasites. The mines from which most parasites emerged were collected at 90, 150 and 210 cm above the ground. Capped and uncapped canopies provided different ecosystems for mine colonization by parasites, althoughL. meyricki infestations occurred at all height levels within the canopy. The most abundant parasite species at all sites wereAchrysocharella ritchiei Ferriere,Zagrammosoma variegatum Masi,Pediobius coffeicola Ferrière andAgeniaspis sp.
Résumé A l'occasion d'un inventaire de l'abondance des parasites deLeucoptera meyricki Ghesq. selonla hauteur de la couronne des caféiers dans 4 sites (altitudes de 1 524 à 1 676 m), 10 hyménoptères ont été élevés. 7 d'entre eux sont parasites, les 3 autres hyperparasites. Les mines larvaires d'où la plupart des parasites fut obtenue ont été récoltées à 90, 150 et 210 cm au-dessus du sol. Les couronnes taillées et non taillées constituent des écosystèmes différents pour la colonisation des mines par les parasites, bien que les infestations parL. meyricki se produisent à tous les niveaux de la couronne. Les parasites les plus abondants dans tous les sites furentAchrysocharis ritchiei Ferrière,Zagrammo soma variegatum Massi,Pediobius coffeicola Ferrière etAgeniaspis sp.
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