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1.
The supercooling point (SCP) of individual Epirrita autumnata eggs (approx. 60 eggs batch-1) was tested each month from September (eggs newly laid) to April under laboratory conditions simulating winter temperatures in the field (from +4 to-30 °C). Parallel to each test, one batch of eggs was transferred from the acclimation treatment to room temperature (22 °C) and the incubation duration to the first 50% hatch was recorded, giving a measure of embryo growth at the time of the SCP test. Data also give information on egg mortality, which generally was low.The SCP was found to be equivalent to the lower lethal temperatures for this species. Already in autumn, the SCP was in a low range of-34.9 to-36.5 °C and either rose (at a storage temperature of -3 °C) to a range between-28.3 and-29.8 °C in February, due to reduced cold hardiness during embryogenesis, or remained unchanged because the eggs were in quiescence (at -10 °C).The time to 50% hatch at 22 °C decreased from 60 days to 10–14 days in January when it either continued to decrease up to hatch (at -3 °C), or remained unchanged, indicating end of diapause in January. In December, 260 degree-days (DD) above a threshold of +5.8 °C was required for 50% hatch; in February the corresponding figures were 362 DD and-2 °C.When the supercooling point moved from the low to the high SCP range, the frequency distribution of the individual SCPs changed from positively to negatively skewed. The transition was rapid, intermediary distributions being flat and covering both ranges.Thus, in the field the eggs run the risk of freezing mainly at two temperature levels: below about-36 °C during diapause and post-diapause quiescence (in midwinter) and below about-29 °C during embryogenesis (in late winter spring).
Résumé La température de congélation (supercooling point: SCP) de chaque uf de E. (Oporinia) autumnata (Lépido, géométride) (environ 60 ufs par ponte) a été examinée chaque mois, de septembre (ufs venant d'être pondus) à avril, dans des conditions simulant les températures hivernales de la nature (de-30° à +4 °C). Parallèlement à chaque expérience, une ponte était transférée aux fins d'acclimatation à la température du laboratoire (22 °C) pour noter la durée d'incubation des premiers 50% d'ufs éclos, afin d'avoir une donnée sur la durée du développement embryonnaire à l'époque de l'expérience de congélation, et sur la mortalité embryonnaire, d'ailleurs généralement basse.Le point de congélation (SCP) a correspondu pour cette espèce aux températures létales les plus basses. En automne déjà, la SCP avait une gamme basse de-34.9 à-36.5 °C et, soit s'élevait (pour une température de conservation >-3 °C) à une gamme de-28.3 à-29.8 °C en février, par suite de la diminution de la résistance au froid pendant l'embryogenèse, soit demeurait inchangée parce que les ufs étaient quiescents (<10 °C).Le temps d'éclosion 50 à 22 °C s'est abaissée de 60 j à 10–14 j en janvier pour ensuite, soit continuer de diminuer jusqu'à l'éclosion (>-3 °C), soit rester inchangé indiquant la fin de la diapause en janvier. En décembre, 260 degrés-jours (DD) au-dessus du seuil de +5.8 °C ont été nécessaires pour obtenir 50% d'éclosions, en février il a fallu 362 DD et-2 °C.Quand la température de congélation était déplacée de faibles à fortes valeurs de la SCP, la distribution des fréquences des SCP individuelles passait d'un biais positif à un biais négatif. La transition était rapide, les distributions intermédiaires étant plates et recouvrant les deux gammes.Ainsi les risques de congélation des ufs dans la nature se situent à deux niveaux: environ audessous de-36 °C pendant la diapause et la quiescence post-diapause (au milieu de l'hiver), et au-dessous d'environ-29 °C pendant l'embryogenèse (en fin d'hiver et au printemps).
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2.
The distribution and biology of Tribolium castaneum Herbst on temperature gradients varying in steepness was studied. It was found that the distribution of adults, eggs and pupae differed markedly on a shallow (0.08° C per cm) and steep (0.23° C per cm) gradient. However, this was not the case for the egg to adult developmental period, survival and eclosion pattern of adults. Clearly, some difference between adult distributions, or egg distributions, in gradient environments does not necessarily result in a noteworthy difference in biology though this possibility is not precluded.
Résumé On a étudié la distribution et la biologie de Tribolium castaneum dans des gradients de température de pente variable. Il a été trouvé que la distribution des adultes, des ufs et des nymphes varie de façon importante dans un gradient peu rapide (0,085° C/cm) et dans un gradient rapide (0.238° C/cm). Cependant ce ne fut pas le cas pour la période de développement depuis l'uf jusqu'à l'adulte, la survie et le rythme d'éclosion des adultes. Evidemment, quelque différence dans les distributions des adultes, ou des ufs, dans des gradients de l'environnement, ne se traduit pas nécessairement par une différence remarquable dans la biologie bien que cette possibilité ne soit pas exclue.
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3.
    
The effect of various relative humidities on the eggs of artificially reared olive fruit flies, Dacus oleae, was examined at 20°. At constant humidities no eggs hatched below 90% r.h., while egg hatch at 100% and 95% r.h. was 96.7% and 72%, respectively. Reduced hatchability was observed when eggs were exposed to non-saturated atmospheres either at the beginning or at intermediate stages of embryonic development. The lower the humidity and the longer the exposure, the lower was the egg hatch. The early stages of development were more sensitive to non-saturated humidities than stages older than 24 hr. Egg development was extended at lower humidities and longer exposures.Effect of humidity on olive fruit fly eggs is compared with other insects, and discussed in relation to egg handling in the mass rearing of the fly.
Résumé A 20°, différentes humidités relatives ont été testées sur des ufs de mouche de l'olive, Dacus oleae, élevées sur régime artificiel. Quand l'H.R. était constamment inférieure à 90% aucun uf n'éclosait, à 95% il y en avait 72% et 64% des ufs non éclos contenaient des embryons avec des crochts oraux mélanisés, tandis qu'à 100% H.R. 96,7% des ufs éclosaient. Des ufs mis à incuber dans de l'eau ventilée ou dans de l'acide propionique à 0, 3% se développaient normalement, mais dans de l'eau non-ventilée il n'y avait que 62% d'éclosions. Une exposition des ufs après la ponte à 45% H.R. pendant plus de 6 heures avant leur transfert à 100% H.R. a réduit les éclosions de plus de 50%, tandis que pour une diminution similaire à 60%, 75% et 90% H.R. il fallait 8, 12 et 72 heures. Quatre heures d'exposition à 45% H.R. donnent 63% d'éclosions (contre 97,5% après une heure). Quand les ufs ont d'abord incubé à 100%, pour être transférés à 60% avant d'être remis à 100%, des expositions supérieures à 12 heures affectent le taux d'éclosion quand le transfert à 60% a eu lieu pendant les premières 24 heures. Cependant, quand le temps de latence entre la ponte et le transfert dépassait 24 heures, il n'y avait pas modification du taux d'éclosion. Le développement embryonnaire était plus long aux basses hygrométries ou après les expositions les plus prolongées.Par comparaison aux durées de développement à 100% la prolongation était de 5% pour 4 heures d'exposition à 45% H.R., de 20% pour 12 heures à 75% et de 10% pour 24 heures à 90%.Ces résultats sont comparés à ceux de différentes espèces de différents taxas, et leurs conséquences sur les manipulations d'insectes dans les élevages de masse de mouches de l'olive ont été examinées.
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4.
After a chill (5°) period of >16 weeks, the mean post-chill time to initial hatch of eggs of the western corn rootworm, diabrotica virgifera, was 19 days; peak hatch occurred a mean of 5 days after the initiation of hatch, and hatch lasted a mean of 5 weeks. The postchill time to initial hatch was influenced negatively by chill periods lasting up to ca. 3 weeks; however, chilling for >3 weeks and <60 weeks did not significantly affect the time to initial hatch. The duration of hatch was not significantly altered by chill periods up to 4 weeks, however, no longer had an effect. The viability of rootworm eggs was not influenced by chill periods up to 12 weeks, but, as chill periods were extended beyond 16 weeks, the eggs slowly begin to lose viability; over a period of about a year, the viability had been reduced by 80%.
Résumé Après avoir été exposés, avant expérimentation, à un séjour de 2 semaines à une température de 20°–22°, des ufs de Diabrotica virgifera sont soumis à des périodes de refroidissement à 5°, variant de 1 à 60 semaines. La viabilité des ufs est appréciée après retour à une température d'incubation de 20°–22°, en analysant les variations qui affectent le délai d'apparition des premières et des dernières éclosions ainsi que le maximum journalier d'éclosions.Aprés un séjour à 5° d'une durée égale ou supérieure à 16 semaines les ufs de Diabrotica virgifera commencent à éclore en moyenne le 19ème jour suivant la fin du traitement; le maximum des éclosions intervient le 23ème jour (5 jours en moyenne après les premières éclosions), et celles-ci se prolongent pendant 5 semaines.Des périodes de refroidissement inférieures à 3 semaines réduisent le délai d'apparition des premières éclosions, mais ce délai n'est plus modifié de façon significative pour des périodes comprises entre 4 et 60 semaines.La durée pendant laquelle se prolongent les éclosions n'est pas altérée de façon significative par des traitements à 5° inférieurs à 4 semaines, mais celle-ci est nettement réduite aprés des traitements de 8 à 12 semaines. Cependant au-delà de 16 semaines, le refroidissement n'a plus d'effet.La viabilité des ufs de Diabrotica virgifera n'est pas modifiée par des traitements à 5° d'une durée inférieure à 12 semaines, mais celle-ci est affectée au-delà de 16 semaines et décroît régulièrement; le taux d'éclosion est réduit de 80% après un séjour à 5° de près d'un an.
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5.
Résumé Bruchus affinis Frölich (Coléoptère, Bruchidae), est une espèce univoltine attirée sélectivement par les fleurs de L. sylvestris, qui constitue l'une des trois plantes dont les larves consomment les graines. Il s'agit d'un insecte typiquement spécialisé à l'exploitation de plantes particulières. Cependant, les femelles distribuent leurs ufs sur les gousses jeunes de L. sylvestris sans tenir compte, ni de leur disponibilité en graines, ni du nombre d'ufs déjà présents, alors que le développement des larves est solitaire. Les larves néonates perforent la gousse et gagnent des ovules. Plusieurs larves peuvent atteindre le même ovule, mais une seule se développe dans la graine en formation. Le nombre d'ufs pondus sur les premières gousses dépasse largement le nombre de graines qui se développeront dans ces gousses. La surabondance d'ufs sur les premières gousses entraîne une forte mortalité.Les déplacements des larves dans les gousses et leur comportement de pénétration dans les graines en croissance ne suppriment pas la compétition intraspécifique larvaire.Aucune adaptation n'ajuste la distribution des ufs et la répartition des larves à l'utilisation optimale des disponibilités en graines. Aucune stratégie adaptative ne limite le gaspillage de progéniture; la spécialisation trophique n'a pas entraîné un comportement reproducteur optimisant l'utilisation des ressources et la survie de la descendance.Bien que la période étudiée corresponde à moins de 10% de la durée du cycle annuel de B. affinis, la très forte mortalité observée entre la ponte et l'installation dans les graines constitue vraisemblablement le facteur-clé des fluctuations annuelles de la population. Les causes de cette mortalité varient d'une station à l'autre, et il est impossible de les hiérarchiser.  相似文献   

6.
A direct causal relationship was demonstrated between soil temperature and insect ovipositional propensity. When ovipositional substrates (soils) at 5, 15, 22, 30, 35, and 40°C were presented in multiple treatment (choice) tests with air temperature at 15 or 22°C, onion flies, Delia antiqua (Meigen) (Diptera: Anthomyiidae), laid the most eggs in the 22°C substrate. Only 50 eggs were laid when air temperature was increased to 30°C, as compared to 454 and 1128 eggs at 22 and 15°C, respectively. Thus, an air temperature of 30°C appears to be near the upper limit of onion fly ovipositional activity. The numbers of flies observed (counts taken every 15 min) on substrates ranging from 15 to 40°C were not significantly different. Reduced alightment/arrestment does not explain reduced oviposition on the warmer substrates; however, it may partly explain reduced oviposition on 5°C substrates. The range of substrate temperatures facilitating substantial oviposition was narrower than that eliciting alightment/arrestment on the substrate. The ca. 20°C ovipositional optimum corresponds well with temperatures favoring egg survival and development.
Résumé La température du sol est réglée, dans les pondoirs de D. antiqua, par un thermoblock, tandis que toutes les autres variables, associées au succédané d'oignon servant de stimulus de ponte, sont maintenues constantes. Une relation causale entre température du sol et activité de ponte est mise en évidence. Quand il y a choix entre des substrats de ponte à 5, 15, 22, 30 et 40°C, avec une température de l'air de 22°C, les mouches pondent surtout dans le substrat à 22°C. L'optimum thermique est de 20°C quand la température de l'air est abaissée à 15°C. La ponte n'est que de 50 ufs quand la température de l'air est portée à 30°C, contre respectivement 454 et 1128 ufs à 22 et 15°C. Ainsi, une température de l'air de 30°C paraît proche de la limite supérieure de l'activité de ponte de D. antiqua. Le nombre de mouches observées sur le substrat (toutes les 15 min.) ne varie pas significativement quand la température du substrat est entre 15 et 40°C. La gamme de températures provoquant la fixation sur le substrat est plus large que celle des températures provoquant une ponte importante. L'optimum de 20°C correspond bien aux températures favorables à la survie et à la croissance de D. antiqua.Ce travail montre l'effet important de facteurs abiotiques sur l'acceptation de la plante-hôte.
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7.
Under field conditions in eastern South Dakota, USA three different planting dates of corn and three times of egg infestation were used to imposed synchronous and asynchronous timing of corn growth and Diabrotica virgifera virgifera LeConte egg hatch and subsequent development. Median occurrence of each of the three larval stages and of the adult stage for each of the infestation-planting treatments was determined by relating occurrence to thermal units and to days after infestation. No significant differences were found among the treatments for median occurrence of each life stage when the thermal unit approach was used. However, significant differences were found among treatments for median occurrence when the day after infestation approach was used. Consistent parameters are needed for prediction of the occurrence of life stages of this insect. Despite the various imposed conditions, this study indicates that the least variable method of predicting life stage occurrence and adult emergence of D. v. virgifera was the use of thermal unit accumulations (base 11°C).
Résumé Dans les conditions de l'est du Sud Dakota (USA), 3 dates de semailles de maïs et 3 dates de contamination avec des ufs de D. virgifera virgifera LeConte ont servi à imposer ou à empêcher la synchronisation des éclosions des ufs et par conséquent des développements ultérieurs. Les dates médianes d'apparition de chacun des 3 stades larvaires et des imagos ont été déterminées en relation avec les unités de température et le nombre de jours depuis la contamination. Aucune différence significative entre les dates médianes d'apparition n'a été mise en évidence par utilisation des unités de température; par contre, ces différences deviennent significatives lorsque l'on utilise le nombre de jours depuis la contamination. Des paramètres fiables sont nécessaires pour prédire la présence des différentes stades de cet insecte. En dépit des différentes conditions imposées pour cette étude, la méthode la moins capricieuse pour prédire l'apparition d'un stade larvaire et l'émergence des adultes est la somme de températures avec une base de 11°C.
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8.
Eggs of Diabrotica virgifera from subtropical Mexico, when compared with those from South Dakota, are more resistant to desiccation and have a more intense diapause. Diapause occurs at the same embryological stage in the two populations and both can be dormant at humidities below 100%. The data suggest that the diapause mechanism evolved in a tropical climate to overcome a dry season and that same mechanism also adapts the species to a temperate climate.
Diapuse chez diabrotica virgifera (Coleoptera: chrysomelidae): comparaison de lévolution des oeufs provenant de populations adaptées au climat tempéré ou au climat subtropical
Résumé La diapause des ufs de Diabrotica virgifera, dans la zone subtropicale du Mexique, est plus intense que celle des ufs des populations du South Dakota, et ces ufs sont en même temps plus résistants à la dessication. La diapause intervient au même stade embryonnaire dans les deux populations et, dans les deux cas, la dormance peut se maintenir pour une humidité relative inférieure à 100%. Les faits observés suggèrent que le mécanisme de la diapause chez Diabrotica virgifera s'est développé sous un climat tropical pour assurer la survie pendant la saison sèche, ce même mécanisme ayant aussi permis à l'espèce de s'adapter à un climat tempéré.
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9.
Immature Chrysopa sp. and Nabis capsiformis required 335 and 325 d°, respectively, for development from egg to adult, while larvae of Micromus tasmaniae were able to complete development at 5°. Mean adult female longevity and oviposition rate at 23° were 52 d (max. 83 d) and 18.1 eggs/d, and 30 d (max. 43 d) and 10.4 eggs/d for C. sp. and N. capsiformis respectively, and oviposition rate of M. tasmaniae averaged 19.1 eggs/d during 5 weeks. Reduced longevity and increased oviposition rate at higher temperatures were accounted for by basing adult biology on physiological time above the immature developmental thresholds. Intrinsic rates of increase were thus calculated as 9.820, 6.868, and 8.366 eggs/103 d° above thresholds of 10.5°, -2.9°, and 11.3° for C. sp., M. tasmaniae, and N. capsiformis, respectively.
Résumé L'examen a porté sur l'influence de différentes températures constantes sur le développement et la biologie imaginale de trois espèces prédatrices (Chrysopa sp., peut-être C. signata, Micromus tasmaniae et Nabis capsiformis) récoltées dans des champs de coton du sud-est du Queensland en Australie. C. sp. et N. capsiformis ont besoin respectivement de 335° au dessus d'un seuil de 10.5° et de 325° au dessus d'un seuil de 11.3°, pour se développer de l'oeuf à l'adulte. Les larves de M. tasmaniae pouvant effectuer la totalité de leur dévelopment a 5°.-A 23° les longévités des femelles adultes et les taux de ponte de C. sp. et N. capsiformis sout en moyenne de 52 j. (maximum 83) et 30 j. (maximum 43) d'une part et 18.1 et 10.4 ufs par jour d'autre part. Le taux de ponte de M. tasmaniae est de 19,1 ufs par jour pendant 5 semaines à 23°. La longévité réduite et le taux de ponte accru aux températures supérieures sont interprétés en basant la biologie imaginale sur le temps physiologique au dessus des seuils de développement.Les taux d'accroissement intrinsèque (rm) sont plus élevés aux températures élevées, principalement à la suite du taux de développement accru. M. tasmaniae possède le rm le plus élevé à toutes les températures par suite d'un développement rapide et de seuils thermiques bas, d'une brève période précédant la ponte et d'une date de ponte maximum précoce. Le rm de C. sp. est plus élevé que celui de N. capsiformis à la suite de son taux de ponte plus élevé.Les valeurs de rm fixées à partir du temps physiologique sont respectivement: 9,820, 6.868 et 8,366 ufs femelles/103 d° au dessus des seuils de 10,5°, -2,9° et 11,3° pour C. sp., M. tasmaniae et N. capsiformis.
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10.
The duration of larval and pupal stages of two species of predatory flies was investigated at five constant temperatures. Ilione albiseta (Scopoli): Mean duration of first and second instars was shortest at 23°C and there was 100% survival of first instar larvae at all temperatures. Mean third instar larval duration decreased from 104 days at 17°C to 27.5 days at 26°C. Total percentage larval survival was greatest at 17°C and least at 26°C. Mean pupal duration decreased as temperature increased and this occurred also under outdoor conditions. Pherbellia cinerella (Fallén): As temperature increased mean larval duration decreased but the percentage of larvae pupating also decreased (100% at 14°C, 33.3% at 26°C). There was a trend for shorter mean pupal durations at higher temperatures.
Résumé L'action de la température a été examinée à 14, 17, 20, 23 et 26°C. Les 2 espèces sont prédatrices de L. truncatula, vecteur de la douve du foie en Irlande, où elle provoque à l'àgriculture une perte évaluée à 10 millions de livres par an. Les données recuellies en conditions contrôlées du laboratoire doivent permettre de définir les conditions optimales pour l'élevage continu de ces espèces. Ceci est indispensable pour évaluer, dans la nature leurs potentialités pour la lutte biologique. Ilione albiseta: C'est à 23°C que le développement des larves de premier et second stades sont les plus brefs; la survie du premier stade est totale à toutes les températures constantes examinées. La durée moyenne du 3ème stade décroît de 104 jours à 17°C jusqu'à 27,5 jours à 26°C. Le taux de survie total est plus élevé à 17°C qu'à 26°C. La durée moyenne de la nymphose diminue quand la température croît, et ceci se produit aussi à la température ambiante extérieure. On réduit de moitié la durée du développement de l'éclosion de l'oeuf à l'apparition de l'adulte, entre la nature et le laboratoire, en utilisant respectivement: 23°, 17° et 26°C pour les premier et second stades, le troisième stade, la nymphé. Cela devrait aider à multiplier la souche pour la lutte biologique. Pherbellia cinerella: Avec élévation de la température la durée du développement larvaire diminue, mais aussi le nombre de larves parvenant à la pupaison (100% à 14° et 33,3% à 26°C). La nymphose tendait à être plus brève aux températures les plus élevées.
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11.
Encapsulation of Epidinocarsis lopezi (De Santis) (Hymenoptera, Encyrtidae) by the cassava mealybug Phenacoccus manihoti Matile-Ferrero (Homoptera, Pseudococcidae) was studied in the laboratory under controlled conditions (thermohygrometry and photoperiod as close as possible to field conditions): temperature, 26±1 °C; relative humidity, 80±10%; photoperiod, 12 h. Encapsulation began with melanin deposits forming on the parasitoid envelopes at different developmental stages: egg chorion and cuticle of L2 and L3 larvae. It led to the formation of an amorphous capsule from which parasitoids could occasionally escape. Encapsulation affected 26.7% of all parasitoids in solitary parasitism. There was a highly significant increase in the level of encapsulation (83.3%) in superparasitism. Encapsulation was more likely when egg laying occurred in the median body zone of host mealybugs but it was not related either to the sequence of eggs deposited or to the duration of egg laying. These results have significant implications for the assessment of E. lopezi parasitoid efficiency and should be considered in the current biological control program on P. manihoti in Africa.
Mélanisation et encapsulement des ufs et des larves d'Epidinocarsis lopezi par son hôte Phenacoccus manihoti: effets du superparasitisme et des modalités de la ponte
Résumé L'encapsulement d'Epidinocarsis lopezi (De Santis) (Hyménoptère, Encyrtidae) par la cochenille du manioc Phenacoccus manihoti Matile-Ferrero (Homoptère, Pseudococcidae) a été étudié au laboratoire en conditions standardisées de thermohygrométrie et de photopériode aussi proches que possible de celle existant sur le terrain: température: 26±1 °C; hygrométrie relative: 80±10%; photopériode: 12 heures.Le phénomène débute par un dépot de mélanine sur les enveloppes du parasitoïde à différents stades de son développement: chorion de l'uf ou cuticule des larves L2 et L3. Il aboutit à la formation d'une capsule amorphe dont le parasitoïde parvient parfois à s'échapper. L'encapsulement affectant 26,7% des individus en situation de parasitisme solitaire est très significativement augmenté dans le cas de superparasitisme où ce taux concerne jusqu'à 83,3% des Hyménoptères en développement mais dans ces situations de superparasitisme, un Hyménoptère adulte est toujours obtenu d'une cochenille infestée.L'encapsulement est par ailleurs favorisé lorsque la ponte du parasitoïde s'effectue dans la région médiane de la cochenille mais ne dépend pas du rang de ponte des ufs et de la durée de la piqûre.Nos résultats, confirmés par des travaux de terrain au Congo, indiquent qu'un tel taux d'encapsulement a une incidence sur l'efficacité parasitaire d'Epidinocarsis lopezi et qu'il doit être pris en considération dans le progamme de lutte biologique en cours en Afrique contre Phenacoccus manihoti.
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12.
Bruchidius atrolineatus (Pic) (Bruchidae: Coleoptera) is a bruchid beetle infesting Vigna unguiculata (Walp). During the dry season, adults are in reproductive diapause. Studies of adult populations in a traditional store containing contaminated pods of V. unguiculata show that the reproductive diapause is induced during the first larval instars. The temperature decrease from November to January probably is the main climatic factor inducing this diapause. The percentage of diapausing adults depends on the duration of the larval development at low temperatures. Experiments in climatic boxes confirm these results. At 12 h 25 °T-12 h 20° C 11–13 LD, a high proportion of the adults emerging from the V. unguiculata seeds are in reproductive diapause and the duration of their growth is variable. L1 L2 L3 larvae probably are sensitive stages to the thermal variations and the processes allowing emergence of diapausing adults probably are induced during these larval instars.
Résumé Bruchidius atrolineatus (Pic) est un Coléoptère Bruchidae se développant en zone sahélienne aux dépens d'une légumineuse Vigna unguiculata. Pendant la saison sèche, les adultes sont en diapause reproductrice. Un suivi des populations d'adultes a été réalisé dans un grenier traditionnel en terre séchée contenant des gousses récoltées dans la nature et portant des ufs de B. atrolineatus. Il a permis de constater que la diapause reproductrice était induite durant les premières phases du développement larvaire. La décroissance des températures de Novembre à Janvier avec des minima de 15 ° C et des maxima de 25 °C est probablement le principal facteur permettant l'induction de cette diapause. L'introduction dans le grenier de gousses portant des ufs venant d'être émis à différentes périodes de la saison sèche montre que le pourcentage d'adultes diapausants dépend de la durée du développement larvaire aux températures basses. Des expériences réalisées dans des étuves programmées confirment ces résultats. A 12 h 25 °T/12 h 20 °C 11–13 LD, un taux élevé d'adultes émergeant des graines est en diapause reproductrice et la durée de leur développement post-embryonnaire est très variable. En conditions plus chaudes 12 h 40 °C/12 h 25 °C 11–13 LD, le taux d'adultes diapausants est plus réduit et la durée du développement plus courte. L'analyse de la croissance larvaire montre que les premiers stades larvaires sont probablement des stades sensibles aux variations thermiques. Les modifications physiologiques permettant l'émergence d'adultes diapausants ou sexuellement actifs seraient induites durant ces stades.
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13.
The rice green leafhopper, Nephotettix cincticeps, was reared from the first instar to the adult stage on a holidic diet. Adult emergence from the diet-reared nymphs was ca. 53.3%, similar to rice seedlingreared; nymphal period being 22.5 days at 25°. The diet-reared females did not lay eggs under artificial feeding conditions although they had normal eggs in their ovarioles and could oviposit on rice seedlings in a test tube. The diet containing 1.68% (w/v) amino acid mixture and 5% (w/v) sucrose was best for growth and development.
Résumé Nephotettix cincticeps a été élevé des larves venant d'éclore à l'adulte sur un régime holidique. Le taux d'adulte obtenus (53,3%) est voisin de celui obtenu avec élevage sur pousses de riz. Le développement larvaire demande 22,5±0,4 jours à 25°. Les femelles élevées avec ce régime ne pondent pas d'ufs en alimentation artificielle bien qu'elles aient un nombre normal d'ufs dans les ovarioles et pondent sur pousses de riz dans un tube témoin. Un régime contenant 1,68% d'acides aminés mélangés et 5% de sucrose assure la meilleure croissance et le développement le plus rapide.
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14.
Oviposition rate and developmental capacity was determined for Amblyseius hibisci (Chant), A. limonicus Garman and McGregor, A. largoensis (Muma), Metaseiulus pomoides Schuster & Pritchard, M. occidentalis (Nesbitt), Typhloseiopsis arboreus (Chant), Typhodromus pyri Scheuten, Phytoseiulus persimilis Athias-Henriot, and Iphiseius degenerans (Berlese) on both artificial and natural diets. Oviposition and development occurred in seven of nine species when fed artificial diet and in all species when fed natural diets (phytophagous mites or pollen). The combined mean oviposition rate (21-d tests) for all species which oviposited on artificial diet was ca. one third the rate achieved by these species when tested on natural diets. Eggs and immature stages derived from oviposition tests with artificial diet showed no abnormalities and developmental times (egg to egg) were similar to those observed on natural diets. Predator cultures maintained on artificial diet showed gradual declines in viability within 2–3 months and only A. hibisci survived longer than 6 months. Adult predators of species which failed to oviposit when fed artificial diet survived longer than adults tested in the absence of food and water. Immature stages of these species failed to develop on artificial diet.
Ponte et developpement d'acariens predateurs alimentes a partir d'un regime artificiel et d'un regime naturel (Acari: Phytoseiidae)
Résumé Le nombre d'ufs pondus par 7 espèces de Phytoseiidae nourries sur milieu artificiel a varié de 0,1 à 1,2 uf/femelle/jour. Pour l'ensemble des espèces, le nombre moyen d'ufs pondus a été de 0,5 uf/femelle/jour pour une période de ponte moyenne de 18,5 jours.Deux espèces, Phytoseiulus persimilis et Metaseiulus occidentalis nourries sur milieu artificiel, n'ont pas pondu; leurs longévités moyennes ont été respectivement de 11,3 et de 10,3 jours.Avec un régime naturel (acariens phytophages ou pollen), le nombre d'ufs pondus, pour 9 espèces de Phytoseiidae a varié de 0,8 à 3,2 ufs/femelle/jour. Pour l'ensemble des espèces, le nombre moyen d'ufs pondus a été de 1,7 uf/femelle/jour pour une durée moyenne de la période de ponte de 19,0 jours.La viabilité des ufs provenant des expériences de ponte avec régime artificiel était elevée chez toutes les espèces prédatrices et les durées du développement sur milieu artificiel étaient semblables à celles observées avec régime naturel. La viabilité des élevages de prédateurs maintenus sur milieu artificiel a diminué progressivement et la plupart des élevages avaient disparu en moins de 6 mois. Les tentatives d'élevage de P. persimilis et M. occidentalis sur milieu artificiel ont été négatives bien que les prédateurs adultes femelles aient eu une plus grande longévité sur milieu artificiel qu'en absence de nourriture et d'eau.
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15.
The development time, survivorship and age-specific fecundity of apterous and alate virginoparae of the sowthistle aphid, Hyperomyzus lactucae (L.) (Homoptera: Aphididae), reared on Sonchus oleraceus L., were measured under various temperature and light regimes. Within the temperature range of daily means of 12.5–24°C, speed of development and reproductive rate increased, while life span and total fecundity decreased, with an increase in temperature. The relationship between temperature and rate of development was nearly linear, with a notional development threshold estimated at about 2°C. The intrinsic rate of increase (rm) was positively correlated with temperature when calculated on a daily basis, but was inversely related to temperature when measured on a physiological time scale. Alatae generally had a longer development time, and achieved a lower reproductive rate and life-time fecundity, than apterae reared under identical conditions.Comparison of aphid performance under constant and alternating temperature regimes, and between successive generations under the same regime, showed that (1) the conditions experienced by the aphid as an embryo within its mother are important in determining survival and development and (2) tolerable temperature limits vary with the pattern and amplitude of the fluctuations of temperature.At 22°C, changes of photoperiod within the range of 12D:12L to 8D:16L had little effect on aphid performance.
Résumé La durée du développement, le taux de survie et la fécondité en fonction de l'âge ont été suivis chez les virginipares aptères et ailés du puceron: Hyperomyzus lactucae L., élevé sur Sonchus oleraceus L., et soumis à différentes conditions de température et de lumière. A l'intérieur de la gamme de températures moyennes de 12,5 à 24°C, la vitesse de développement et le rythme de reproduction augmentent, tandis que la longévité et la fécondité totale diminuent. La relation entre la température et la durée du développement est presque linéaire, avec un seuil théorique de développement évalué à environ 2°C. Le taux intrinsèque d'accroissement est lié positivement à la température calculée sur une base quotidienne, mais la relation est inversée quand la température est mesurée sur une échelle physiologique. Pour des conditions d'élevage identiques, les ailés ont eu, dans l'ensemble, une durée de développement plus longue, un taux de reproduction et une fécondité totale plus faibles que les aptères.La comparaison des performances des pucerons sous thermopériodes ou températures constantes, ou entre les générations en conditions identiques, a montré (1) que les conditions subies par l'embryon dans la mère conditionnent la survie et le développement; (2) que les limites des températures tolérables changent en fonction du type et de l'amplitude des fluctuations de température.A 22°C, des modifications de la photopériode, dans la gamme; 12D:12L à 8D:16L, ont eu peu d'effet sur les performances des pucerons.
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16.
Population dynamics of the blackfaced leafhopper, Graminella nigrifrons (Forbes) (Homoptera: Cicadellidae), was studied at five temperatures (18, 21, 24, 27, & 30°C) in the laboratory on seedling maize (Zea mays L.), oats (Avena sativa L.), and the perennial johnsongrass (Sorghum halepense (L.) Pers.). Effects of temperature and host plant on egg to adult mean development time, adult size and weight, and fecundity were determined. Leafhoppers on all three hosts developed fastest at the highest temperature tested (21.3 days), and slowest at the lowest temperature tested (73.2 days). The duration from first to last adult eclosion was shortest at 30°C, (11.5 days) and longest at 18°C (43 days). The sex ratio of males to females did not differ from 1:1, but males developed an average of 1.2 days faster than females on all three hosts. Mean percent development/day ranged from 1.4% at 18°C to 4.7% at 30°C. The relationship of this development rate and temperature was determined using both a linear model and a variable parameter biophysical model. Based on these models, the developmental threshold is estimated at 12–15°C. The lowest temperature yielded larger and heavier adults (312 g, dry weight) than did the highest temperature (225 g). Fewer leafhoppers developed on the perennial than the annuals at 30°C and fewer on the annuals than the perennial at 18°C. Our results suggest that early in the season johnsongrass and perhaps other perennials are the superior developmental hosts for this leafhopper, whereas in midsummer when temperatures are highest, annuals are the better hosts.
Résumé La dynamique des populations (durée de développement de l'uf à l'adulte, poids et taille des adultes, fécondité) de G. nigrifrons Forbes (Homop. Cicadellidae) a été étudiée au laboratoire à 5 températures sur plantules de maïs (Zea mays L.), avoine (Avena sativa L.) et sorgho vivace (Shorgum halepense (L.) Pers.). Sur les 3 plantes, les mâles se développent en moyenne 1,2 j plus vite que les femelles. Les relations entre vitesse de développement et température ont été déterminées en utilisant à la fois un modèle linéaire et le modèle biophysique à 2 paramètres de Sharpe & DeMichele (1977).Les températures plus basses donnent des adultes des 2 sexes plus gros et plus lourds. Moins de G. nigrifrons se sont développés sur la graminée vivace que sur les 2 graminées annuelles à la température la plus élevée (30°C), tandis qu'à la température la plus basse (18°C) moins de cicadelles se sont développées sur les graminées annuelles. La température semble jouer un rôle significatif en déterminant l'adéquation des plantes comme hôtes convenant au développement de G. nigrifrons. Le potentiel de ponte de cette cicadelle avait été sous-estimé par les étudies précédentes.
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17.
Résumé L'activité reproductrice d'une souche de Caryedon serratus provenant de stocks d'arachide a été étudiée au Congo dans des conditions de température et d'hygrométrie simulant celles d'un grenier paysan ainsi qu'à la température constante de 30°C. L'ovogénèse est stimulée, quoique faiblement, par la présence de gousses de la plante hôte. La présence du mâle est sans effet sur l'ovogénèse. La présence de gousses d'arachide n'a pas d'influence sur la copulation; la femelle est généralement réceptive dès qu'un premier ovocyte est parvenu à maturité. La ponte est fortement stimulée par la présence d'une gousse d'arachide. La rétention ovocytaire est très faible chez les femelles inséminées, même en l'absence de gousse. On observe chez les femelles vierges une rétention des ovocytes dans les oviductes latéraux, qui s'accompagne apparemment d'une résorption partielle; environ un tiers des ufs est néanmoins émis. A 30°C, des femelles régulièrement nourries de pollen présentent une fécondité moyenne d'environ 650 ufs; le maximum observé est de 1457 ufs. La longévité moyenne de ces femelles est d'environ trois mois, mais certaines vivent près de six mois, en l'absence de toute diapause.
Summary Reproductive activity in a strain of Caryedon serratus originating from groundnut stores was studied in Congo under humidity, temperature and daylength conditions similar to those prevailing in farmers' stores as well as at constant 30°C. Oogenesis was slightly stimulated in the presence of unshelled groundnuts. The presence of males did not affect oogenesis. Groundnuts had no effect on mating. Females usually became sexually receptive after a first oocyte had matured. Oviposition by virgin females was strongly stimulated by the presence of nuts. Oocyte retention was very low in inseminated females, even in the absence of groundnuts. Virgin females exhibited oocyte retention in lateral oviducts, apparently together with resorption. Egg chorions were occasionnally observed in the bursa copulatrix of old virgin females, but no proof is given of the existence of resorption mechanisms in that gland. About one third of the eggload was eventually laid. At 30°C, the fecundity of inseminated and regularly pollen-fed females was about 650 eggs. Maximum lifetime egg production was 1457. These females had a mean length of life of about three months, and some individuals survived almost six months, with no sign of diapause.
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18.
During the developmental period from egg to pupae Tribolium confusum (Coleoptera: Tenebrionidae; DuVal 1886) beetles were exposed to homogeneous and heterogeneous environments at two initial egg densities as well as undiluted and diluted media. The medium consisted of flour, flour and yeasts or flour and yeasts diluted with sawdust. Initial egg density had a strong influence on the variability of pupal weight: the weight was more variable in high density, where the coefficients of variation ranged between 0.121–0.189, compared to the coefficients of variation in low density ranging between 0.058–0.183. The dilution of the medium did not influence the pupal weight variability. Heterogeneity influenced pupation site choice. In the majority of cases larvae chose the apparently less crowded, poorer compartment, to pupate. Survival and developmental time were influenced by egg density. Environmental heterogeneity acted only as reinforcer, not as a factor itself causing variability.
Résumé Pendant le développement de l'uf à la chrysalide, des ufs de Tribolium confusum (Coleoptera: Tenebrionidae; DuVal 1886) ont été soumis à differents traitements de façon à établir un lieu entre la variabilité phénotypique chez les chrysalides de cet espèce et la composition de l'habitat. L'hypothèse voulait que la variabilité phénotypique soit releé au degré de complexité de l'habitat a été testé en modifiant la qualité du substrat nutritif et la concentration initiale des ufs dans le milieu.Un milieu hétérogène a été obtenu en separant un bocal par une cloison contenant d'une côté un substrat nutritif de haute qualité et de l'autre un substrat nutritif de pauvre qualité. Le milieu de haute qualité était composé de 95% de farine et 5% de levain alors que le pauvre milieu se composait de farine et levain dilués dans 3 portions de sciure pour 1 potion de farine et levain. Deux témoins ont été préparés: l'un deux comprenait deux bocaux contenant un substrat nutritif de même valeur et l'autre comprenant le même milieu mais sans cloison. Les différentes expériences ont été repétées avec des ufs concentration initiale élevée (100 ufs/1 g de substrat) ou faible (25 ufs/1 g de substrat).La proportion moyenne d'insects qui ont survécu jusqu'à la nymphose était de 0.705±0.161 (SE) à faible densité et de 0.312±0.163 (SE) à densité élevé. La phase larvaire s'étola sur 27 jours (durée médiane) à faible densité sur 42 à densité élevée.L'hétérogéneité du milieu a aussi influencé le choix du lieu de nymphose: la majorité des larves se sont metamorphosées du côté du substrat de faible valeur nutritive. La densité initiale de ufs dans le milieu influença le poids de chrysalides: à densité élevée la variabilité phénotypique (CV) du poids de ces chrysalides était de 0.121–0.189 et de 0.058–0.183 à faible densité. Les differences des associations statistiques du poids de chrysalides entre densité et hétérogéneité, densité et dilution, hétérogéneité et dilution étaient toutes significatives.
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19.
As the temperature at which larvae of C. capitata were reared decreased from 30° to 25° to 20° the yield of pupae from eggs increased from 15% to 25% to 30% and the mean weight of pupae decreased. Within each temperature regime the weight of pupae produced on successive days declined and the fat content of those pupae varied.
Résumé On a étudié l'effet de température d'élevage larvaire de 20°, 25° et 30°. La durée du développement s'accroît de 7 à 13 jours pour des températures respectives de 30° et 20°. Lorsque la température d'élevage baisse, le nombre de pupes produites par rapport aux oeufs s'accroîts de 15% à 20% et 30% et le poids moyen des pupes diminue.Pour chaque régime de température il y a une nette réduction du poids des pupes produites au cours des jours successifs et la teneur en lipides de celles-ci varie également. L'émergence moyenne des adultes à partir de pupes produites dans un élevage à 30° est plus élevée que celle obtenue dans des élevages à 25° et 20°.Tandis que la vitesse du développement, le contrôle du métabolisme des graisses et la production de pupes peuvent être des facteurs primaires intervenant dans le choix de la température d'élevage pour la production de masse de la mouche des fruits, il faudrait aussi considérer les effets de cette température d'élevage sur d'autres aspects de la biologie de l'insecte.
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20.
Egg production under laboratory conditions was examined over the lifespan of Heliothis zea (Boddie) and Spodoptera ornithogalli Guenée (Lepidoptera: Noctuidae). Although H. zea oviposits singly and S. ornithogalli oviposits in masses, temporal trends were similar. Egg numbers peaked shortly after mating and then rapidly declined. Egg weights also peaked shortly after mating, but decreased gradually over time. Temporal oviposition patterns were more erratic for unmated than mated females, suggesting the importance of mating in establishing the shape of the oviposition curve.
Résumé La production d'ufs d'Heliothis zea (Boddie) et de Spodoptera ornithogalli Guenée (Lepidoptera: Noctuidae) durant toute la vie adulte a été examinée au laboratoire. Bien que H. zea dépose ses ufs isolément et que S. ornithogalli les dépose en groupes, les courbes temporelles d'oviposition chez des individus fécondés sont similaires. Le nomber d'ufs culmine peu après l'accouplement, puis décline rapidement. Le poids des ufs culmine aussi peu après l'accouplement, puis décroît graduellement. Des femelles fécondées produisent environ deux fois autant d'ufs que les femelles non fécondées, quoique la longévité ne diffère pas significativement entre les deux groupes. Des femelles non fécondées montrent des distributions temporelles plus irrégulières que des femelles fécondées, en ce qui concerne le nombre des ufs et leur poids. Ces irrégularités ont été attribuées à la tendance des femelles non fécondées à retenir leur ufs, ce qui suggère que l'accouplement exerce une influence sur la forme de la courbe temporelle d'oviposition. Des femelles d'H. zea contenant un, deux ou trois spermatophores n'ont pas produit des nombres d'ufs significativement différents.
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