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1.
Experiments are described in which young adult Eurygaster integriceps were kept in cages on various diets including dry wheat ears, ears in the stage of milky ripeness, green camel-thorn (Albagi camelorum) and water in various combinations. The sufficiency of the various diets was compared by estimating the mortality, change in live weight and final fat content of the insects, and by the extent of feeding as shown by feeding scars on the wheat grains.
Resume Des expériences en cage sont décrites, faites dans la région de Varamine près de Téhéran, Iran, avec pour buts de rechercher si les grains de blé mûrs et durs conviennent pour l'alimentation des adultes nouvellement sortis de Eurygaster integriceps (Hemiptera; Scutelleridae), comment on peut les comparer, avec les grains tendres au stade plus précoce de maturité laiteuse et dans quelles circonstances les grains durs peuvent être effectivement ingérés et assimilés.On conclu que les insectes ne peuvent utiliser le blé sec sans eau. Celle-ci peut être fournie sous la forme d'eau ordinaire, ou peut être également obtenue des plantes fraiches, telles que les mauvaises herbes qui poussent dans les champs de blé, le camel-thorn (épine de chameau) Albagi camelorum Fisch. étant utilisé dans ces expériences. Les expériences indiquent que de cette manière, le blé sec fournit de meilleures conditions d'alimenattion que le blé tendre. On obtient également quelques indications que le camel-thorn vert est meilleur que l'eau ordinaire comme addition au blé sec, peut-être parce qu'il fournit des éléments nutritifs aussi bien que de l'eau.L'aptitude des différentes combinaisons alimentaires utilisées dans les différentes cagés a été comparée par l'estimation de la mortalité des insectes, les changements dans leur poids vif, le contenu en graisse des insectes survivants à la fin de l'expérience, et l'activité alimentaire indiquée par le nombre de traces d'alimentation.Les conclusions tirées des expériences sont d'une importance économique du fait qu'elles indiquent, dans les régions où la pluie d'été est inexistante ou négligeable, et où la récolte de blé mûrit avant que les adultes nouvellement sortis aient terminé leur très importante alimentation et leur accumulation de réserves alimentaires, qu'Eurygaster integriceps peut seulement le faire si des plantes sauvages vertes, telles que le camel-thorn sont présentes; l'élimination de ces mauvaises herbes, comme politique à long terme peut de ce fait avoir pour effet de réduire le nombre d'Eurygaster. Les expériences suggèrent aussi que des expériences ultérieures sur les éléments nutritifs les meilleurs pour l'élevage de laboratoire d'Eurygaster, en vue de la propagation de parasites oophages, seraient intéressantes.
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2.
Crowding of lepidopterous larvae can influence adult morphology and physiology. With P. gamma and P. brassicae increasing emergence weight was not accompanied by proportionately as great increases in wing area. Larval crowding decreases both weight and wing area and accentuates thedisproportion in the relation between wing area and weight. In the two species fore- and hind-wings are differently affected and the sexes were also affected differently. A warmer season also decreases fore- and hind-wing areas but distinct differences exist in the relative extent of the decreases. To obtain adequate data, both fore- and hind-wings must be measured.
Résumé Le groupement chez les larves de lépidoptères provoque la réduction du poids et des dimensions des ailes chez les adultes, et il est possible qu'elle contribue à provoquer la migration par son effet sur la morphologie et la fonction. Le rapport entre le poids total et la surface des ailes est souvent appelé wing loading et on sait que ce rapport croît avec l'accroissement de poids des différentes espèces animales qui volent.L'effet du groupement larvaire sur le poids du corps et le wing loading chez Plusia gamma L. et Pieris brassicae L. a été étudié en comparant les adultes nouvellement éclos d'élevage de larves solitaires et de larves groupées. Le groupement réduit le poids et la surface des ailes d'une façon non proportionnelle, mais toutefois décroissante, wing loading. Pour chaque espèce et chaque sexe, le wing loading décroît pour un poids à l'éclosion décroissant, et ceci explique partiellement l'effet du groupement sur le wing loading.Chez P. gamma l'aile antériure était plus grande que l'aile postérieure. Toutefois l'aile antérieure était la plus réduite en dimensions par le groupement, l'effet étant le plus marqué chez la femelle. La température affectait aussi le poids et la surface des ailes. Dans les élevages d'individus isolés, des températures plus élevées réduisaient principalement le poids des mâles, et la surface de leurs ailes postérieures, tandis que les surfaces des ailes antérieures et postérieures des femelles étaient plus affectées, de sorte que le wing loading décroissait chez les mâles et augmentait chez les femelles.Chez P. brassicae l'aile postérieure est la plus grande et décroissait davantage avec le groupement. Le groupement ne paraissait pas affecter différemment les deux sexes, mais les résultats semblaient indiquer que l'effet pouvait être accentué chez les mâles et diminué chez les femelles quand les températures baissaient. Comme chez P. gamma des températures plus élevées diminuaient le poids et la surface des ailes chez P. brassicae mais du fait que la surface des ailes était la plus affectée, le wing loading augmentait chez les deux sexes. Le groupement, cependant, accentuait l'effet de la température sur le poids tandis qu'elle réduisait le wing loading. ainsi chez les deux espèces, les réductions du poids et de la surface des ailes dûes à l'élévation de la température ne sont pas identiques avec les réductions dûes au groupement.Les expériences ont montré également que, alors que les mesures directes de certaines dimensions pouvaient présenter une précision adéquate, les renseignements sur les ailes antérieures et postérieures devaient être groupés.
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3.
Résumé Des disques imaginaux de patte, prélevés dans des larves de fin de 3e stade de drosophile, ont été cultivés dans le milieu M de Mandaron, en l'absence d'hormone ou en présence soit d'- soit de -ecdysone. L'incorporation de précurseurs marqués (3H-uridine,3H-leucine ou3H-proline) a été étudiée en fonction du stade de développement des disques.En l'absence d'hormone de mue, l'incorporation d'uridine décroît dès que les disques ont été explantés; l'incorporation de leucine et de proline ne décroît que 6 à 12 heures après l'explantation.- et -ecdysone stimulent l'incorporation des trois précurseurs; toutefois celle-ci varie en fonction du développement morphologique du disque.Les maxima et les minima d'incorporation d'uridine précèdent dans le temps ceux de la leucine et de la proline.Les maxima d'incorporation peuvent être mis en rapport avec des évènements morphologiques marquants du développement: évagination, sécrétion des cuticules nymphale et maginale.Il n'y a pas de différences significatives d'incorporation d'uridine en présence d'-ecdysone ou de -ecdysone; en revanche les maxima d'incorporation de leucine et de proline sont plus élevés en présence d'-ecdysone que de -ecdysone.Ces résultats montrent que l'-ecdysone—et à un degré moindre la -ecdysone—peuvent induire les synthèses de macromolécules nécessaires au développement des appendices in vitro.
RNA and protein synthesis inDrosophila leg discs cultured in vitro
Summary Imaginal leg discs from late third instarDrosophila larvae were cultured in Mandaron's medium without hormone or with -ecdysone or -ecdysone. Incorporation of labelled precursors (tritiated uridine, tritiated leucine or tritiated proline) was studied as a function of the stage of in vitro disc development.In the absence of moulting hormone, uridine incorporation decreased as soon as the discs were explanted; leucine and proline incorporation however began to decrease only after 6 to 12 h.- and -ecdysone stimulated the incorporation of all three precursors; however the rate of the incorporation varied as a function of the morphological disc development.The maxima and minima of uridine incorporation preceeded in time those of proline and leucine incorporation.The peaks of incorporation were coincident with salient morphological events of development: evagination, secretion of pupal and imaginal cuticles.There were no significant differences in uridine incorporation in the presence of -ecdysone or -ecdysone. Leucine and proline incorporation maxima however were significantly higher in the presence of -ecdysone than of -ecdysone.The results show that -ecdysone—and to a lesser extent also -ecdysone—can induce the macromolecular syntheses required for the development of the appendage in vitro.


Ce travail a été réalisé avec l'aide du CNRS (Action thématique programmée «Différenciation cellulaire», contrat no A 6554324)

Ce mémoire représente une partie de la thèse qui sera soutenue par l'auteur devant l'Université Scientifique et Médicale de Grenoble  相似文献   

4.
Résumé L'évolution des cellules gonadotropes préhypophysaires ß et a été étudiée au cours de cycles de 4 jours chez la ratte.Ces 2 catégories cellulaires subissent au cours du cycle ovarien des variations morphologiques et numériques qui paraissent témoigner d'une activité folliculostimulante pour les cellules ß et d'une activité ovulatoire pour les cellules .Les cellules ß se dégranulent une lère fois pendant la nuit du dioestrus II au prooestrus, puis une 2e fois, lors de la phase préovulatoire, l'après-midi du prooestrus.Les cellules présentent, au cours de l'après-midi du prooestrus, une dégranulation massive, qui peut etre mise en rapport avec la décharge de L. H. qui se produit à ce stade du cycle.La lère dégranulation des cellules ß en dioestrus II correspondrait à la vague de croissance folliculaire qui, selon Long et Evans, a lieu à ce stade du cycle et mènerait certains follicules à la rupture. La seconde traduirait une décharge de FSH synergique de l'excrétion de L. H. par les cellules , pendant la phase préovulatoire du cycle ovarien.
Summary Morphological and numerical variations of the pituitary gonadotrophs ß and were studied during 4 days cycles at different stages of the oestrous cycle in the Rat.The highest degree of degranulation of the ß cells was observed first during the night of dioestrous II to prooestrous and afterwards on the afternon of prooestrous.The degranulation of the cells began in the morning of prooestrous and reached its higher degree at 4 p. m. in prooestrous.The first peak of degranulation of the ß cells was supposed to be related to the wave of follicular growth which occurs on the day of dioestrous II according to Long and Evans. The second phase of degranulation of these cells was considered as a prooestrous diurnal discharge of FSH synergically with the ovulatory discharge of LH by the cells during the critical period of the cycle.
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5.
Against present trends towards the homogenization and the hegemony of one world intellectual koine, the author underscores the richness contained in the plurality of intellectual styles, discursive paradigms and cultural configurations. He shows that all encounters encompass a tragic dimension, that of power and dependence, that cannot be neutralized by the most sensitive individual empathy. Seven rules are finally offered for guiding Western and non-Western scholars on the road towards the transnational and transcultural dialogue.
Sommaire La richesse que représente le pluralisme des styles intellectuels et la multiplicité des configurations discursives et culturelles est mise en paralléle avec l'appauvrissement qu'engendre le processus d'homogénéisation et d'hégémonie croissante d'une koine intellectuelle à prétention universelle. L'auteur souligne la dimension tragique qui s'inscrit dans toute rencontre, une dimension de pouvoir et de dépendence qui ne peut être annulée par les meilleures qualités individuelles d'empathie. Pour guider les scientifiques tant occidentaux que non-occidentaux sur la voie du dialogue transculturel et transnational, l'auteur présente brièvement sept règles.
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6.
Résumé L'action exercée par le sulfate d'atropine et le méprobamate sur les cellules gonadotropes de la préhypophyse a été étudiée chez des rattes offrant des cycles de 4 jours, dans des conditions où ces 2 substances bloquent les phénomènes de ponte ovulaire. La dégranulation des cellules, qui se produit durant l'après-midi du prooestrus, pendant la phase préovulatoire du cycle, chez des rattes non traitées, est inhibée par ces 2 substances antiovulatoires. De même l'atropine et le meprobamate suppriment les modifications des cellules que l'on observe normalement du matin, 11 h, à la fin de l'après-midi du prooestrus. Chez les femelles soumises à l'action antiovulatoire de ces deux substances, les cellules conservent l'après-midi du prooestrus l'aspect qu'elles offrent le matin de ce même jour, elles ne présentent donc plus les phénomènes, d'abord, de charge granulaire, puis, de dégranulation que l'on observe chez des rattes non traitées. On peut donc admettre que l'atropine et le méprobamate bloquent à la fois l'excrétion de LH et celle de FSH par les cellules respectivement et de la pars distalis et que la ponte ovulaire résulte de l'action synergique de ces deux hormones gonadotropes sur l'ovaire.
Influence of antiovulatory agents in the proestral phase of the ovarian cycle on the excretory gonadotropic aactivity of the - and -cells in the rats anterior hypophysis
Summary Cytological and numerical modifications of the and pituitary gonadotroph cells caused by antiovulatory doses of atropine and meprobamate have been studied in 4-day cyclic female wistar rats. The cells degranulation which normally occurs on the afternoon of prooestrus during the preovulatory stage of the cycle was inhibited in treated animals. Both antiovulatory substances also suppressed the morphological changes of the cells observed in control animals from the morning (11 a.m.) to the late afternoon of prooestrus. The successive stages of secretory and excretory activities of these cells noted in non treated females during the prooestrous period of the cycle were no more observed in blocked animals. The cells of these animals appeared unmodified at 5–6 p. m. with respect to those of females sacrificed earlier at 11 a.m. Atropine and meprobamate may be therefore supposed to prevent the release of both gonadotrophic hormones L. H. and F. S. H. which act synergically in the determinism of ovulation in the Rat.
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7.
Production of exocellular -mannan- and xylan-degrading enzymes by eight wood rotting fungi was studied. Although all organisms excreted -mannanase, endoxyfanase and acetylxylan esterase, production ofl--arabinosidase and 4-O-methylglucuronidase was variable. -Mannanosidase was not detected in any culture filltrate. Righest -mannanase and endoxylanase activities were observed in cultures ofPolyporus versicolor andSchizophyllum commune grown in Avicel-supplemented media. While crude -mannanases fromLinzites saepiria andS. commune exhibited equivalent affinities for gluco- and galactomannan substrates,P. versicolor -mannanase preferred a glucomannan substrate and did not use galactomannan from guar sum as a substrate.
Résumé On a étudié la production de -mannanases et de xylanases exo-cellulaires chez huit moisissures pourrissant le bois. Bien que tous les organismes excrètent la -mannanase, l'endoxylanase et l'esterase de l'acétylxylane, la production del--arabinosidase et de la 4-O-méthyl-glucuronisade a été variable. La -mannanoxidase n'a été détectée dans aucun filtrat de culture. Les activilés les plus élevées en -mannanase et en endoxylanase ont été observées dans des cultures dePolyporus varsicolor et deSchizaphyllum commune, développées en milleu supplémenté en Avicel. Alors que les -mannanases brutes deLinzites saepiria et deS. commune ont montré des affinités équivalentes pour les substrats gluco- et galacto-mannanes, la -mannanase deP. versicolor préfère un substrat gluco-mannane et n'a pas utillisé le galacto-mannane de la gomme guar comme substrat.
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8.
Résumé L'autoradiographie révèle, au niveau du pied, une incorporation massive et sélective de la 3H-Proline dans la glande blanche de Mytilus edulis. Cette étude a permis de suivre le processus qui mène de la synthèse de la sécrétion dans la partie basale des cellules jusqu'a son émission dans le sillon pédieux où elle participe à la formation du filament. La collagénase détruit la presque totalité du marquage, attestant ainsi la nature collagénique du produit sécrété. Les autres glandes pédieuses ainsi que la glande du byssus proprement dite, située à la base du pied, montrent une incorporation très faible, sans commune mesure avec celle de la glande blanche. Ceci démontre de façon définitive que le collagène présent dans le filament prend naissance dans cette glande et justifie la dénomination de glande du collagène. Des contrôles réalisés dans différentes régions (bords du manteau, manteau, branchies) montrent que l'injection du précurseur dans le bord palléal constitue une méthode satisfaisante pour marquer de façon relativement rapide et différentielle le collagène de la glande.
The collagen of the byssus in Mytilus edulis L.II. Autoradiographic study on the incorporation of 3H-Proline
Summary Autoradiographic studies reveal a strong specific incorporation of 3H-Proline in the white gland in the foot of Mytilus edulis. The author could trace the radioactive secretory product from its synthesis in the basal part of the cells down to its outflow into the pedial groove where it takes part in the formation of the filament. Purified collagenase takes out radioactivity from the sections. This observation confirms the collagenous nature of the secretion.The other foot-glands as well as the main byssus gland located at the base of the foot show but a very weak labelling not comparable with that of the white gland. This clearly evidences that the collagen occuring in the filament originates from the latter. The white gland may be properly called: collagen gland.Control sections through different parts of the body (mantle-edge, mantle, gills) confirm that our injection technique of the precursor into the palleal margin is a suitable method for a rather quick and specific labelling of the glandular collagen.
Cette note fait partie d'un travail pour l'obtention d'une thèse de doctorat.  相似文献   

9.
Individuals and societies embody illnesses in different ways, in part determined by the way a person knows and lives his or her diagnosis and prognosis. Based on research in Northern Italy, on the experiences and meanings of cancer and on the practice of nondisclosure of the diagnosis, we find nondisclosure reflects a world divided - life/death, good/bad, mind/body — with the unwanted converted to other. The strong association of cancer with death, suffering, and hopelessness in much of Italy, coupled with the tremendous power attributed to naming and sentencing makes nondisclosure a major mechanism for keeping the condemned in this social world, and keeping death, decay, and suffering in the other. It is the social reality that is dominant here, such that informing a patient of cancer can be tantamount to social death.
Résumé Les individus et les sociétés incorporent la maladie de façon différente, déterminée en partie de comment une personne connait et vit son diagnostic et prognostic. A partir de la recherche des experiences des significations du cancer et de la pratique de ne pas dire la diagnostic au Nord de l'Italie, on a remarqué que l'habitude de ne rien dire reflète un monde séparé entre la vie et la mort, entre le bon et le mal, entre l'esprit et le corps, de sorte que ce qui West pas voulu soit transfomé en l'autre. L'association forte du cancer à la mort, à la souffrance, au désespérance en toute l'Italie, unie au grand pouvoir donne au fait de dénommer et de donner une sentence, rend ne pas dire un méchanisme important pour garder le condamnd dans ce monde social et pour garder la mort, la décadence et la souffrance dans l'autre. C'est la réalité sociale qui est ici dominante, tel que le fait d'informer un patient de cancer soit comme une mort sociale.
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10.
Representative plant allelochemicals were tested for toxicity to larvae of the cigarette beetle Lasioderma serricorne (F.) that were either untreated, treated with fungicides, or treated to render them free of symbiotic yeast (aposymbiotic) through surface sterilization of eggs. Insects rendered symbiont-free had higher mortality and/or developmental rates than controls when fed diets containing flavone, resorcinol or tannic acid. Fungicides reduced symbiont populations and/or caused morphological abnormalities. Two hydrolytic enzymes, which made up a significant protion of mycetome hydrolytic activity, were absent when symbionts were not present, as indicated by gel electrophoresis. This information indicates symbionts do contribute to the survival of their host by detoxifying toxins.
Résumé La toxicité relative de substances allélochimiques végétales typiques a été examinée sur des larves de L. serricorne F. traitées aux fongicides et rendues aposymbiotiques par stérilisation superficielle des ufs. La toxicité de la nicotine est relativement inaffectée chez les larves aposymbiotiques; cependant les toxicités des resorcinol, flavone et acide tannique sont significativement augmentées chez les insectes ayant reçu un traitement pour éliminer leurs symbiontes. L'électrophorèse sur gel a montré que quelques enzymes responsables de l'hydrolyse du 1-naphthyl acétate, réaction enzymatique de la détoxification enzymatique, sont absentes chez les insectes aposymbiotiques. L'acide sorbique a réduit significativement l'effectif de symbiontes, tandis que le bénomyl a réduit leur gamme provoquant la multiplication anormale d'autres espèces. Ces résultats montrent que les symbiontes contribuent aux possibilités de détoxification de l'insecte. L'élimination des symbiontes peut être une technique efficace pour lutter contre les insectes qui en contiennent, puisqu'elle les priverait de leur contribution à l'alimentation et à la détoxification. Cette stratégie est vraisemblablement compatible avec des programmes de lutte intégrée, puisque les prédateurs et parasites ne contiennent pas de symbiontes.
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11.
F. Collot 《Acta biotheoretica》1991,39(3-4):287-298
Resume Pour étendre la notion d'entropie, l'auteur tente de dégager la signification de la probabilité relative w de Boltzmann dans sa formule S = k.log.w. Celui-ci introduit implicitement une partition d'un ensemble E de molécules en classes d'équivalence, les divers états macroscopiques du gaz; w est le rapport de la probabilité de l'état dont on cherche à définir l'entropie à celle de l'état le plus improbable.L'auteur propose de généraliser le concept toutes les fois ob sur un ensemble probabilisable E il sera possible de faire une partition.La complexité d'une structure peut être définie par le nombre d'aspects différents que peut prendre le graphe sous-jacent à celle-ci. Alors toute stricture a une probabilité d'occurrence, et l'on peut y définir une G-entropie.Appliquant ensuite ce concept à la théorie de l'information de Shannon, l'auteur montre que la quantité d'information apportée par un message est différente de la G-entropie, mais que les deux grandeurs y prennent fortuitement la même valeur. Le concept permet également d'introduire une information liée au message, une autre au code, et une information totale.Le concept d'émergence permet ensuite de comprendre la raison pour laquelle celle-ci s'accompagne d'une augmentation de G-neguentropie.L'entropie est considérée depuis Boltzmann comme une borne mesure du désordre d'un gaz, d'où son intérêt en morphogénèse, en théorie des systèmes, et de l'information. Cependant son application directe pose des problèmes, et il parait préférable de tenter auparavant de généraliser le concept en le randant plus abstrait. La première difficulté à laquelle on se heurte alors est l'interprétation du nombre w de la formule de Boltzmann.  相似文献   

12.
Résumé Nos méthodes expérimentales permettent l'isolement d'une larve de sexe déterminé par hôte de l'ectoparasite grégaire Dinarmus vagabundus et du solaitire, D. basalis. Des hôtes porteurs de 3 à 8 larves par hôte de D. vagabundus sont aussi isolés. Dans ces conditions la quantité de nourriture disponible est la même pour toutes les densités larvaires étudiées.Les larves élevées en solitaire des deux espèces assimilent une quantité de nourriture significativement supérieure à celle assimilée par les . Ceci conduit à des adultes de poids moyen supérieur à celui des . Le poids moyen des et des de D. vagabundus diminue significativement aux fortes densités larvaires. L'intensité de la liaison entre la quantité de nourriture assimilée et la biomasse produite s'affaiblit au fur et à mesure que la densité larvaire par hôte augmente.Les de D. vagabundus de poids moyen (0,42 mg) engendrent deux fois et demi plus de descendants que les lilliputiennes (0,20 mg) émergées d'hôtes à forte densité larvaire. Celles de D. basalis (0,65 g) sont moins prolifiques que les de D. vagabundus.  相似文献   

13.
Paul Sentein 《Chromosoma》1968,24(1):67-99
Résumé L'acide butyrique M/1000 agit sur les mitoses de segmentation en provoquant trois sortes d'anomalies: 1) dispersion de systèmes fibrillaires mitotiques monocentriques (cytasters) ou monopolaires (hémifuseaux), 2) concentration en un système multipolaire plus ou moins cohérent, 3) systèmes fibrillaires mitotiques en sphère creuse. Le premier type apparaît à l'ana-télophase, le second à la métaphase, le troisième à la prophase; une forme de transition s'observe à la télo-prophase. La dispersion des centres secondaires à l'ana-télophase est en relation avec le fait que ces phases correspondent à la période normale de fibrillogenèse externe, où les fibrilles se tendent des pôles vers la membrane. Normalement elles commencent à régresser aussitôt après avoir atteint celle-ci (phénomène de feed-back). Leur réorganisation anormale vers de multiples centres de convergence confirme d'une part que tout affaiblissement de l'activité polaire entraîne une libération de centres cellulaires autonomes, d'autre part que cette activité est insuffisamment affaiblie pour déterminer une diminution très importante de la fibrillogenèse. La concentration en un système multipolaire, à la métaphase (maximum de la fibrillogenèse interne) correspond à l'orientation de la fibrillogenèse vers les centromères des chromosomes et celle-ci persiste même quand ceux-ci sont ramollis et fortement agglutinés par l'action de l'acide butyrique. Les systèmes fibrillaires en sphères creuses à la prophase sont la manifestation d'une intermittence qui se produit à la régression de la fibrillogenèse interne: il s'agit d'une sorte de vague, qui entraîne tous les systèmes fibrillaires vers une région centrale. Le système fibrillaire du diastème est toujours en balancement avec les systèmes fibrillaires de la mitose, c'est-à-dire qu'il tend à s'épandre et à bourgeonner, chaque fois que ceux-ci sont plus ou moins diminués. Les relations de ces systèmes entre eux sont expliquées par une conception générale de la genèse des fibrilles.La concentration à M/100 agit plus vite et produit seulement des pôles creux: à la prophase on observe une inversion de la fibrillogenèse qui se développe vers l'extérieur, comme l'aster, au lieu de former un fuseau vers le noyau.En face des mitoses habituelles, qui ont une fonction distributive, car elles se bornent à répartir dans les cellules-filles le matériel genétique et cytoplasmique de la cellule-mère, il faut placer celles qui n'ont pas seulement une fonction distributive, mais aussi une fonction de conservation et de construction: ce sont les mitoses de segmentation, qui doivent préserver jusqu'à la gastrulation l'architecture structurée du cytoplasme de l'uf avec ses différenciations corticales présomptives.
Butyric acid M/1000 induces abnormalities of the segmentation mitoses: 1) dispersion of monocentric mitotic systems at ana-telophase, 2) concentration into a multipolar system at metaphase, 3) fibrillar systems in hollow sphere at prophase. The first corresponds to the external fibrillogenesis (building of aster and orientation of cytoskeleton), the second to the metaphasic internal fibrillogenesis of the spindle, the third to a sweeping of fibrillar system during the reversion of the first to the second mechanism. The diastematic fibrillar system, always in balance with mitotic fibrillogenesis, is abnormal and not efficient. Concentration M/100 acts more quickly and produces an inverted fibrillogenesis at prophase. — The absence of regulation into a predominant bipolar system and the precedence of the furrow inhibition explain the failure of parthenogenesis by butyric acid in amphibians.


A la mémoire d'Eugène Bataillon.  相似文献   

14.
The phagostimulant effectiveness of substances used in artificial diets for Schistocerca was assessed by comparing the amounts of faecal material produced by hungry hoppers allowed to feed on filter paper soaked in solutions of the substances with the amounts produced when water alone was used on the paper. Sucrose, glucose and wheatgerm oil caused markedly greater faecal production than distilled water alone. Chlorophyll, carotene, casein, peptone, olive oil, a nutritional salt mixture, a mixture of B vitamins, choline chloride and ascorbic acid were no more effective than water. Aqueous extracts of yeast were generally as effective as sugar but sometimes seemed inhibitory at high concentrations. As growth could occur on diets lacking yeast, sugar and wheatgerm oil, the only dietary components found to have pronounced phagostimulatory properties, it appears that special gustatory stimuli are unnecessary for initiating feeding activity in hungry hoppers. This view was later borne out in experiments in which the amounts of various complete diets eaten and the faeces produced from them were compared. No major differences in feeding attributable to palatability were apparent, but the amounts of food taken were found to be related to differences in utilisability. With both Schistocerca and Locusta, the lower the utilisability of the food the greater the amount eaten and for a range of diets of various utilisabilities, including fresh grass, the values obtained by multiplying the amount eaten (dry weight) by the coefficient of utilisation were similar for each species. It is suggested that in locust hoppers special gustatory stimuli are unnecessary for the initiation of feeding and of minor importance in sustaining it. The amount of food taken appears to be largely regulated by its overall utilisability where food of more or less adequate nutritional composition is concerned, a situation not wholly unexpected in insects able to thrive on diverse food plants.
Resume L'effet phagostimulant des substances employées dans les régimes artificiels pour Schistocerca a éte évalué en comparant les quatités de matière fécale produites par des nymphes affamées auxquelles étaient offertes du papier filtre trempé dans de l'eau ou dans des solutions des substances à expérimenter. Le sucrose, le glucose, l'huile de germe de blé et un extrait éthéré de son ont occasioné une excrétion nettement plus grande que celle produite par l'eau distillée seule. La chlorophylle, le carotène, la caséine, la peptone, l'huile d'olive, un mélange salin, un mélange de vitamines du complexe B, le chlorure de choline et l'acide ascorbique n'étaient pas plus efficaces que l'eau. Des extraits aquex de levure étaient en général aussi efficaces que le sucre, mais quelquefois semblaient inhibiteurs à des concentrations fortes. Le Cerophyll, une spécialité de jus d'herbe qui a amélioré la croissance quand on l'a ajouté à certains régimes artificiels, semblait répulsif à des concentrations fortes et moins efficace que le sucre une fois dilué. Comme les régimes qui manquaient de sucre, de levure ou d'huile de germe de blé, les seules parties constituantes des régimes synthétiques à manifester des effets nettement phagostimulants, étaient au début capables d'entretenir une bonne croissance, il paraît probable que la faim est plus importante que la présence de stimuli gustatifs spéciaux pour déclencher l'activité alimentaire. On a comparé les quantités de nourriture mangée et les faeces produits par des nymphes du 5ème stade de Schistocerca auquelles étaient offertes des régimes artificiels divers ou de l'herbe fraîche. La première intention était de déterminer si un régime synthétique contenant de la protéine non raffinée d'herbe, qu'on avait trouvée supérieure dans des expériences de croissance à un régime analogue qui manquait de la protéine d'herbe, devait sa supériorité à un goût amélioré. On n'a pas découvert de différences importantes au point de vue de l'alimentation dues à des différences de goût, mais on a trouvé que les quantités de nourriture prises étaient liées à des différences considérables d'utilisation digestive. En ce qui concerne le poids sec, l'herbe n'a été utilisée qu'à moitié aussi bien que le régime synthétique tandis que le régime herbe protéine était intermédiaire à cet égard. Ceci a suggéré que la meilleure croissance effectuée en incorporant l'herbe protéine, pouvait se relier avec la diminution d'utilisation. En reformulant un régime synthétique contenant davantage de cellulose pour donner une utilisation digestive de l'ordre trouvé pour l'herbe, on a obtenu une croissance aussi bonne que celle du régime herbe-protéine. Le travail subséquent avec Schistocerca et Locusta a montré que l'utilisation digestive était un élément important qui réglait la quantité de nourriture prise. En général, plus l'utilisation était basse, plus la quantité mangée augmentait, et pour des variétés de régimes de digestibilité différente, y compris l'herbe, les valeurs obtenues en multipliant la quantité mangée (poids sec) par le coefficient d'utilisation étaient semblables pour chaque espèce. Afin d'expliquer ces résultats, il est proposé que des stimuli spéciaux gustatifs ne sont pas nécessaires au déclenchement de l'activité alimentaire chez les nymphes des criquets pélerins et qu'ils sont d'une petite importance dans la sustentation de l'alimentation. Il paraît que la quantité de nourriture prise est en grande partie réglée par son utilisation digestive en ce qui concerne une nourriture d'une composition plus ou moins suffisante, situation qui n'est pas étonnante chez des insectes qui sont capables de se développer sur des plantes diverses.
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15.
Résumé Après une injection unique d'antigène à des souris C 57 B1, la poussée plasmocytaire dans la médullaire ganglionnaire se développe parallèlement à la montée du taux des anticorps circulants du sérum. Ces plasmocytes semblent provenir principalement de la transformation de grandes cellules pyroninophiles. Celles-ci, présentes préalablement dans le cortex, pourraient provenir de la dislocation précoce des centres germinatifs. Elles ne peuvent se transformer en plasmocytes que dans la médullaire. Ces modifications ne pourraient se faire que lorsque la cellule pyroninophile est intégrée au sein d'un ilôt plasmocytaire, c'est-à-dire d'un ilôt dans lequel cette cellule pyroninophile entre étroitement en contact avec un macrophage. A côté de cette origine principale, des plasmocytes peuvent provenir directement de la transformation du lymphoblaste. Enfin, nous avons observé que certaines cellules réticulées se modifient après l'injection de l'antigène. Ces transformations aboutissent à la formation de cellules ayant plusieurs caractères du plasmocyte, sans cependant les présenter tous, d'oú le qualificatif de plasmocytoïde que nous leur avons donné.
Summary After a single injection of sheep erythrocytes to C 57 Bl mice, the increase in the number of plasma cells in the medullary cords of lymph nodes parallels the humoral antibody titers.The appearance of these plasma cells has been followed ultrastructurally. Most of them arise by modification of the large pyroninophilic cells. These appear at first in the cortex, and could be formed by an early dislocation of the germinal centers. However, the transformation into plasma cells finds place only in the medulla. These changes seem to occur only when pyroninophilic cells are included in a rosette (ilôt plasmocytaire), where they surround a macrophage and develop close connections with it.Other plasma cells may originate directly from lymphoblasts.After the injection of the antigen, some reticular cells are modified into plasmacytoid cells sharing some, but not all, of the morphological characteristics of plasma cells.
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16.
The main permanent habitats of the Red Locust (Nomadacris septemfasciata (Serv.)) in tropical Africa lie between latitudes 7° and 9° S and between 10° and 16° N. Breeding is confined to the rainy season, which occurs during the longest days of the year in these areas. Both north and south of the equator, the adults emerge as day-length is diminishing and undergo a prolonged imaginal diapause until the next rainy season.When reared in the laboratory in London, adults which emerge in spring or early summer become sexually mature within two months; those which emerge in late summer and autumn, although kept at the same temperature and humidity, enter diapause and do not copulate or oviposit until the following spring. By controlling the length of the daily photoperiod, it has been shown that the seasonal differences in day-length are responsible for the onset of diapause. Constant short photoperiods usually induce a rather shorter diapause than photoperiods diminishing so as to simulate autumn day-length at this latitude (51.5° N). The critical constant photoperiod for the establishment of diapause lies between 12 and 13 hours which corresponds approximately to maximum and minimum day-lengths at 7° N or S. It is therefore possible that day-length is responsible for the establishment of the natural diapause.
Resume On a déjà constaté que, quand on élève le criquet rouge, Nomadacris septemfasciata (Serv.), au laboratoire à Londres, les adultes, malgré le fait qu'on les retient dans une ambiance très constante, montrent de grandes différences saisonnières dans la durie du développement qui conduit à la maturité sexuelle. Les adultes qui émergent à partir du mois d'avril jusque'au mois de juillet deviennent matures sexuellement sans diapause en 11/2 à 2 mois; tandis que ceux qui émergent au début de l'automne, à partir de la mi-août approximativement jusqu'à la fin de septembre, ont une diapause prolongée de 7 à 8 mois; et ceux qui émergent encore plus tard dans l'année, du mois d'octobre jusqu'à mi-décembre, ont une diapause plus courte de 41/2 à 51/2 mois. Les périodes de maturation des adultes qui émergent à partir de janvier et plus tard, diminuent progressivement, en se fondant dans les groupes des non-diapause, qui commencent à émerger au début d'avril. Les expériences exposées dans cette thèse indiquent que les différences saisonnières de la longueur des jours, sont responsables des temps de maturation.Certains groupes de criquets, émergeant comme adultes vers la fin de l'été ou en automne, ont été soumis à des journées de longueur artificielle qui correspondait à la durée des jours de printems qui n'exerce son influence que sur la vie adulte, suffit à produire ce dans les délais semblables à ceux des groupes qui émergent au printemps. La longueur des jours de printemps qui n'excerce son influence que sur la vie adulte, suffit à produire ce résultat.Quelques larves étaient élevées simultanément dans les conditions d'une durée artificielle des jours du printemps, d'une durée artificielle des jours d'automne, et d'une lumière naturelle des jours d'été à Londres. Les adultes qui avaient émergé au mois de juin étaient ou maintenus dans le même régime de longueur de journée que les larves, ou transférés dans une des autres conditions. Tous les temps de maturation étaient appropriés aux saisons qui correspondaient au régime de durée du jour auquel les adultes étaient retenus, et il n'y avait nulle évidence qu'ils étaient influencés par la durée des jours pendant leur vie larvaire.Les groupes diapause, quand ils étaient soumis à la lumière normale du laboratoire, sont devenus matures, au printemps, au moment où les jours s'allongeaient. Pourtant la maturation n'est pas due à la stimulation causée par un accroissement de la longueur du jour, car on à observé qu'elle arrive en même temps si les criquets ne la subissent pas. Ceci est vrai également à l'égard des deux groupes, celui de longue diapause (qui émerge au début de l'automne) et celui de courte diapause (qui émerge vers la fin de l'automne); il s'ensuit que la diapause plus courte du dernier groupe n'est pas attribuable, comme il semblait probable, au fait qu'on l'avait exposé à la longueur des jours du printemps plus tôt dans la vie adulte. On a trouvé que ces groupes de la dernière partie de l'automne étaient devenus matures dans le même temps s'ils étaient retenus aux courtes photo-périodes constantes de 8 ou 11 heures, ou à la durée changeante des jours d'hiver. On a conclu qu'ils répondent comme à la durée de constants jours courts.Les groupes intermédaires (qui émergent à partir de janvier jusqu'a mars) d'autre part, sont exposés aux jours plus longs du printemps et de l'été encore plus tôt dans la vie adulte, et dans leur cas la diapause est empêchée, ou au moins abrégée, par les jours plus longs. Quand ces groupes sont retenus aux constantes photo-périodes courtes, ils deviennent matures plus lentement que s'ils étaient maintenus à la lumière du jour, et ils ont une diapause de la même longueur que les groupes de courte-diapause.On a conclu de ces résultats que, quand les groupes sont retenus dans conditions de jours-courts, les processus de maturation (manifestés par un accroissement du poids du corps, et par le développement de l'ovaire) sont repris à un certain stade indépendamment de la longueur du jour et sous l'action de stimuli internes. L'exposition aux conditions de jours longs n'est effective que pour accélérer la maturation si elle a lieu avant que ce stade soit atteint.L'observation que les adultes émergeant au début de l'automne ont une diapause plus longue que ceux qui émergent vers la fin de l'automne, reste sans explication. Ceux-là sont exposés à la durée de jours qui décroissent rapidement pendant la vie larvaire et du commencement de la vie adulte, et il semble probable que le changement propre des jours longs aux jours courts puisse amener une diapause plus longue que ne le feraient des jours courts dès le début. A présent, on étudie les effets de la variation de durée des jours.Les adultes retenus dans l'obscurité constante sont devenus matures sans diapause.La grande fluctuation de la longueur des jours, caractéristique de la latitude de Londres, n'est pas nécessaire pour induire les deux types de maturation diapause ou non-diapause. Les plus grandes différences de réponse aux photo-périodes constantes ont eu lieu entre les moyennes correspondant à peu près avec les minimum et maximum de longueurs de jour (y compris les périodes de crépuscule) dans les habitats tropicaux du criquet.Il est discuté ici de la probabilité que le cours de la diapause dans l'habitat tropical naturel soit influencé par la faible fluctuation des longueurs de jour de cet habitat.


The author is Mrs O. W. Richards  相似文献   

17.
Résumé Les hypophyses de 22 Pigeons des deux sexes sacrifiés soit pendant la couvaison, soit pendant la période de soins aux jeunes, ou lactation, ont été comparées à celles de 43 Pigeons des deux sexes, adultes non lactants ou prépubères, normaux ou soumis à divers traitements (lumière permanente, métopirone, thyroxine). Elles ont toutes été examinées en microscopie optique et 13 d'entre elles ont été en outre étudiées au microscope électronique.Sur la base de leurs affinités tinctoriales et de leurs caractères histochimiques, 6 types cellulaires ont pu être identifiés (Tableau 2). Seuls trois d'entre eux, tous localisés dans le lobe céphalique de l'adénohypophyse, sont intensément modifiés pendant la couvaison et la lactation. D'une part, la cellule eta, érythrosinophile, et la cellule kappa, cyanophile mais PAS négative, sont fortement stimulées. D'autre part, la cellule delta, cyanophile et PAS positive, est déprimée.Les caractères ultrastructuraux de ces six types cellulaires sont décrits et plus particulièrement ceux des cellules sollicitées pendant la couvaison et la lactation.La confrontation de l'évolution respective de ces trois types cellulaires avec celle de la paroi du jabot montre que la cellule eta érythrosinophile élabore la prolactine. La signification fonctionnelle de la cellule kappa demeure hypothétique: elle élaborerait l'hormone mélanophorotrope, MSH. La valeur thyréotrope des cellules delta est démontrée par les modifications déclenchées à leur niveau par des injections de thyroxine; ces modifications sont identiques à celles observées pendant la lactation.
Summary The pituitaries of 22 pigeons of both sexes fixed either during incubation or lactation (care for the young) were compared with those of 43 adult pigeons that were either adult but non-lactating, or prepuberal; these were either normal or variously treated (permanent illumination, administration of metopirone or thyroxin). All were studied with the light microscope and 13 among them were also examined with the electron microscope. On the basis of their staining properties and histochemical characteristics, six cellular types were identified. Only three among these, all located in the cephalic lobe of the adenohypophysis are intensively modified during incubation and lactation On the one hand, the eosinophilic eta cell and the cyanophilic but PAS-negative kappa cell are strongly stimulated. On the other hand, the cyanophilic and PAS-positive delta cell is depressed. The ultrastructural characteristics of these six cell types are described, in particular of those involved in incubation and lactation. Comparison of the development of these three cell types and of the crop shows that the eta cell furnishes prolactine. The functional significance of the kappa cell remains hypothetical; it may produce the melanophorotropic hormone (MSH). The thyrotropic nature of the delta cell is demonstrated by its modification in response to thyroxin administration; these changes are identical with those observed during lactation.


Ce travail est dédié à M. le Prof. Bargmann à l'occasion de son 60e anniversaire et en témoignage de notre respectueuse admiration.

Avec la collaboration technique de Mmes Denise Lescanne, et Renée Picart et de M. Claude Pennarun pour les photos.  相似文献   

18.
Summary The mucus content in the mormyromast ofGnathonemus petersii (Mormyridae) has been studied with specific histochemical methods for mucopolysaccharides; P.A.S. reaction, toluidine blue and alcian blue. The present work reports observations concerning the use of buffered toluidine blue according to Lison's technique.The existence of the polysaccharides of different constitutions is demonstrated: in the intraepidermal cavity and on the top of the sensory cells (cs 1) the mucus is P.A.S. negative and metachromatic. On the contrary, the mucus is P.A.S. positive in the canal which joins the intraepidermal cavity and in the sensory cavity of the sensory cells (cs 2). The metachromatic reaction of mucopolysaccharides filling the intraepidermal cavity is due to the sulfuric acid radicals; the reaction occurs at very low pH (0.6) and is suppressed by methanol HCL. The successive use of P.A.S. reaction and alcian blue demonstrates the coexistence of acid and neutral mucus.The structure situated on the top of the sensory cells (cs 2) and considered by Szabo and Barets (1963) as a statolith does not contain any calcium salts. It is constituted of polysaccharides much similar to the mucopolysaccharides of the intraepidermal cavity.The mucus identified in the mormyromasts are different from those present in the ampullary organs (Denizot, 1970) and in the Knollenorgan. This indicates a specificity of the mucopolysaccharides for each type of organ.Résumé Les mucus présents au niveau des mormyromastes deGnathonemus petersii (Mormyridés) ont été étudiés avec des techniques histochimiques spécifiques des mucopolysaccharides: réaction au P.A.S., au bleu alcian et au bleu de toluidine. Dans le présent travail, nous donnons des précisions quant à l'emploi du bleu de toluidine en solution tampon selon la méthode de Lison.Ces méthodes nous ont permis de démontrer que les polysaccharides existant dans cet organe sensoriel sont de constitution différente: au niveau de la cavité intraépidermique et des cellules sensorielles (cs 1), le mucus est P.A.S. négatif et métachromatique; par contre, au niveau du canal reliant la cavité intraépidermique et la loge sensorielle des cellules sensorielles (cs 2) le mucus est P.A.S. positif. La métachromasie se manifeste même aux pH très bas (0,6) pour les mucopolysaccharides de la cavité; elle est détruite par l'alcool méthylique acide, la métachromasie étant due à des radicaux acides sulfuriques. L'emploi successif de la réaction au P.A.S. et au bleu alcian montre qu'au niveau de la cavité intraépidermique et du canal, les mucus acides et neutres coexistent.Les différents fixateurs conservent la structure située à l'apex des cellules sensorielles (cs 2) qui a été, en raison de sa position, assimilée par Szabo et Barets (1963) à un statolithe; cependant, ce dernier n'est pas lié à des sels calcaires, mais à des polysaccharides présentant beaucoup de similitudes avec les mucopolysaccharides de la cavité intraépidermique. Les mucus identifiés dans le mormyromaste diffèrent de ceux présents dans l'organe ampullaire (Denizot, 1970) et au niveau du Knollenorgan (Denizot, en préparation). Ceci indique une spécificité des mucopolysaccharides pour chaque type d'organe.

Ce travail a été réalisé avec l'aide du contrat no 659440 accordé au Dr. T. Szabo par la Direction de Recherches et Moyens d'Essais (D.R.M.E.).  相似文献   

19.
Summary The present ultrastructural study deals with the lateral cephalic nerve plexus of Sphaeroma serratum, a neurohemal organ joined to the Y organ (ecdysial gland). This plexus acts as a storage centre for neurosecretory products from two sources: the two autochtonous cells (plexus cells) within the plexus itself, and the neurosecretory cells in various parts of the central nervous system, particulary the mandibular ganglion (A-cells).In prepuberal animals, plexus cells and subesophageal A-cells produce neurosecretory granules of two types measuring 1550±50Å and 1570±40Å respectively. Five categories of axon terminals were distinguished in the plexus. The granules found in two of these terminal types are believed to come from the plexus cells and from the mandibular ganglion A-cells.Cessation of production of neurosecretory granules in these A cells and plexus cells was observed in puberal animals, in the plexus with concomitant depletion and disappearance of different granule categories. The first axon terminals affected by this process are the two categories containing granules originating in the plexus and mandibular ganglion A-cells. Degeneration of the ecdysial gland in male Sphaeroma serratum might be connected with the cessation of granule formation in these two types of cell.
Résumé Chez Sphaeroma serratum, la mue de puberté est suivie d'une dégénérescence de l'organe Y (glands de mue). Le plexus nerveux céphalique latéral, organe neurohémal accolé à cette glande a été l'objet de la présente étude ultrastructurale. Cet organe représente un centre de stockage de neurosécrétions qui proviennent d'une part, de deux cellules autochtones (cellules plexales) situées au sein même de ce plexus, d'autre part, de cellules neurosécrétrices situées dans le ganglion mandibulaire (cellules de type A).Chez les individus pubères, les cellules plexales et les cellules A du ganglion sous-oesophagien synthétisent des granules de neurosécrétion dont la taille est respectivement 1550±50Å et 1570±40Å. Il a été reconnu au sein du plexus 5 catégories de terminaisons dont les granules proviendraient pour deux d'entre elles des cellules plexales et des cellules A du ganglion mandibulaire. Chez les animaux pubères on observe un arrêt de la synthèse des granules de neurosécrétion au sein des cellules plexales et des cellules A du ganglion mandibulaire. Simultanément on enregistre dans le plexus la raréfaction puis la disparition des divers types de granules. Ce processus atteint en premier les terminaisons correspondant aux cellules plexales et aux cellules A du ganglion mandibulaire. La dégénérescence de la glande de mue chez les mâles pourrait être en relation avec l'arrêt de synthèse de ces cellules.
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20.
Mayaudon  Jacques  Simonart  Paul 《Plant and Soil》1958,9(4):367-375
Conclusions Par l'emploi de substrats radioactifs, il a été possible de montrer que le glucose, le ray-grass tel quel, la fraction soluble, les hemicelluloses et la fraction cellulosique du ray-grass ne sont pas, dans les conditions expérimentales appliquées, entièrement transformés en CO2 dans le sol après une période de deux mois.La décomposition du glucose est plus rapide que celle des hemicelluloses et celle-ci est plus rapide que celle de la fraction cellulosique. Pour le glucose et pour la fraction cellulosique, 11% et 15% respectivement ne se retrouvent pas sous forme de C14O2 tandis que pour la fraction soluble, pour les hemicelluloses et pour le ray-grass tel quel, c'est près de 20% qui ne sont pas oxydés en CO2.La décomposition de chacun de ces substrats radioactifs donne encore lieu à la production de produits organiques radioactifs que l'on trouve dans la fraction des substances solubles, dans la fraction groupant l'- et le -humus et dans l'humine. La radioactivité de cette dernière fraction est du même ordre de grandeur que la somme des deux autres fractions.Travail effectué sous les auspices de l'Institut pour l'Encouragement de la Recherche Scientifique dans l'Industrie et l'Agriculture (I.R.S.I.A.).  相似文献   

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