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1.
J. Dufrenoy 《Protoplasma》1930,11(1):303-311
Conclusions Les pédicelles des poils absorbants deDrosera, les nodosités radicales deMelampyre ou deMyrica, l'insertion des hampes florales de Phanérogames parasites, c'est-à-dire les organes qui servent plus spécialement à l'absorption, et qui sont la voie de transport de matières nutritives solubles, sont pauvres en bois: autour des vaisseaux ligneux, rares et peu différenciées, nous trouvons toujours, dans le tissu libérien, des cellules vivantes, allongées et disposées en files, contenant des vacuoles tanniques. Dans les pédicelles des poils deDrosera, nous savons depuisDarwin que le système vacuolaire se fragmente en une série de petites vacuoles filamenteuses lorsque les cellules sont le lieu de passage de matériaux nutritifs solubles (en particulier de protides).Des modifications identiques affectent le vacuome des cellules périvasculaires des nodosités radicales ou des hampes florales de Phanérogames parasites, et y font apparaître des formes filamenteuses de vacuoles analogues à celles qui caractérisent le «phénomène de l'agrégation». Ces vacuoles filamenteuses sont colorables vitalement par le rouge neutre. Elles sont mises en évidence, après fixation mitochondriale, sous forme de canalicules homologues des «canalicules de Holmgren» ou des «Canaux de Golgi».Ces vacuoles filamenteuses s'observent dans les territoires cytoplasmiques riches en mitochondries. Leur présence parait trahir la formation ou le passage de matériaux nutritifs solubles, et plus particulièrement, de protides solubles.  相似文献   

2.
Résumé 58 échantillons de sol sont collectés dans des parcelles cultivées en blé du Centre et de l'Ouest de la France. Ces sols sont répartis en pots, infestés ou non par une souche agressive ou hypoagressive deGaeumannomyces graminis var.tritici et cultivés en blé pendant 3 mois. Les plantes sont alors arrachées pour appréciation du niveau de maladie et mesure du volume de racines développées dans chaque sol. L'analyse en composantes principales réalisée sur ces variables biologiques et les caractéristiques physicochimiques des sols montre que le niveau de la maladie observé est corrélée négativement avec le niveau potassique et la teneur en sable, corrélé positivement avec la teneur en limon. Dans certains sols il a pu être constaté un développement plus important du système racinaire à la suite de l'infestation par l'un ou l'autre des champignons et l'analyse révèle que ce phénomène est en étroite relation avec la teneur en manganèse échangeable.  相似文献   

3.
Deux types de diffuseurs en caoutchouc (Michelin) et en plastique polystratifié (Hercon®) sont testés en laboratoire pour étudier quelques aspects des phénomènes de diffusion. Trois composantes phéromonales, le Z9-12: Ac, le 12: Ac et le Z9-14: Ac imprégnées dans ces différents supports servent à détermineer le rôle joué par la longueur de la chaîne de la molécule et la présence de doubles liaisons sur la vitesse de diffusion. L'influence de la température, de la vitesse du vent et de l'humidité est déterminée en cellules climatisées.Parmi les facteurs relatifs à la structure chimique, l'influence de la longueur de la chaîne est prédominante par rapport à la présence d'une double liaison. Parmi les facteurs climatiques, le vent agit plus que la température sur la diffusion, alors que l'humidité paraît secondaire.  相似文献   

4.
Bésumé La décomposition profonde des roches dans les tropiques humides exerce une grande influence sur l'écologie de la végétation tropicale. L'épaisseur des couches de sol peut atteindre à peu près 20 mètres dans l'Etat de Saint Paul (Brésil). Elle permet la constitution de réserves d'eau considérables dans les couches inférieures du sol.Cette réserve, alimentée par les pluies de l'été, ne s'épuise pas facilement dans la saison sèche, de sorte qu'une végétation relativement hygrophile, en particulier forestière se maintient en bon état pendant toute la période sèche.Une conséquence moins favorable est le lessivage des sols par les fortes précipitations. Les sols tropicaux s'opposent moins à la lixiviation que ceux des climats tempérés. Ainsi, une grande quantité de sels disparaît en profondeur inaccessible aux racines les plus profondes. Par la même raison, les racines ne peuvent compenser les pertes du lessivage en récuperant des ions de la roche mère. Après le déboisement surtout le contact des racines profondes avec les roches est interrompu. Les nouvelles plantations, aux plantes faiblement enracinées, n'établissent plus ce contact; l'ensemble de ces phénomènes explique la détérioration rapide des terres tropicales, après le déboisement de la forèt vierge.Des photographies prises à Campos do Jordâo-région montagneuse d'une hauteur d'environ 1.800 mètres-montrent la décomposition des roches. Les couches visibles sur les photos 1–4 sont attribuées à la formation de S. Roque (Algonkien). L'amollissement du matériel se reconnaît à la manière dont il est travaillé (fig. 1 et 2). Parfois, un filon de quartz est le seul indice indiquant qu'il s'agit de matériel décomposé in loco (fig. 3 et 4).La décomposition profonde ne peut pas être expliquée par des grandes variations de temperature, puisqu'elle s'effectue dans des profondeurs où les températures sont à peu près constantes. Elle ne peut être due non plus aux températures élevées des régions tropicales, puisque dans les montagnes de Campos do Jordâo la moyenne annuelle de la température correspond, à peu près, à 12°C. La richesse des eaux tropicales en H2CO3 pourra être invoquée difficilement, car on observe aussi une forte attaque des roches siliceuses comme les foyaites dans les montagnes de l'Itatiaya vers 2400 m. d'altitude (fig. 5, 6). L'érosion est due aux eaux de pluie et l'eau de pluie stagnante creuse des trous (fig. 5). Peut-être la richesse des précipitations tropicales en HNO2 (tableau 2) en est la cause; l'oxydation du fer bivalent produirait l'amollissement rapide des roches aussi bien dans le climat tempéré des montagnes tropicales que dans les plaines basses et chaudes.

Manuskript eingegangen am 23-IV-1949.  相似文献   

5.
Résumé La sexualisation de la gonade chezViviparus viviparus se manifeste d'abord au niveau morphologique: tandis que l'ovaire s'organise en un tubule très peu ramifié, à large lumière, le testicule compact bourgeonne de nombreuses excroissances. Dans l'ovaire les cellules non germinales, futures cellules folliculeuses, se mettent en place autour des cellules germinales et les processus de la préméiose débutent précocement. Au contraire plusieurs étapes se succèdent au cours de la morphogenèse de la gonade mâle: après une phase d'intense multiplication cellulaire, accompagnée de la ramification du testicule, la lumière se creuse par dégénérescence des cellules centrales. Contre la lame basale, les cellules non germinales évoluent en cellules nourricières tandis que se différencient les spermatogonies primaires. La différenciation des premiers gamètes mâles est tardive.  相似文献   

6.
Conclusions Nous ne méconnaissons pas le caractère encore hypothétique de ces considérations générales. Nous les croyons cependant utiles, car elles permettent de rattacher certaines constatations cellulaires à un ensemble plus vaste de modifications tissulaires dont elles représentent seulement un élément.Ces modifications tissulaires peuvent être provoquées par diverses conditions extérieures dont la plus immédiate et la plus essentielle pourraît bien être un excès local de CO2. On retrouve là, semble-t-il, un exemple assez net du rôle joué par CO2 en physiologie tissulaire et cellulaire.Comment cet excès de CO2 arrive-t-il à provoquer les altérations structurales qui viennent d'être décrites? Nous l'ignorons encore complètement. Que des processus enzymatiques, liés souvent aux infrastructures membraneuses, jouent un rôle en cette affaire, ceci paraît probable.Mais on se heurte là à un domaine encore inconnu. Il serait fort intéressant de préciser le rôle du CO2 dans ces phénomènes. De telles recherches mèneraient certainement à des conclusions fort importantes au point de vue de la pathologie pulmonaire. Toutefois, jusqu' à présent, nous restons encore dans le domaine de l'hypothèse.Avec la collaboration technique de C. Reuet.  相似文献   

7.
Résumé L'ensemble des recherches faites sur la sexualisation cytoplasmique a permis de montrer que les faits exprimés par les deux premières lois de sexualisation cytoplasmique traduisent des phénomènes très généraux de la sexualité, mais aucune démonstration expérimentale des lois n'avait été tentée.Les rapports intimes qui existent entre les faits exprimés par ces lois permettent de supposer que les deux énoncés traduisent peut être deux aspects différents d'un même phénomène. Il semble donc illusoire de chercher à donner pour chaque énoncé une démonstration indépendante et nous avons essayé d'établir une démonstration d'ensemble.L'état d'avitominose B entraine dans l'organisme une série de perturbations: 1 dans le métabolisme, 2 dans l'énergétique des tissus, 3 dans la respiration intracellulaire. Cet ensemble de modifications se trouve être analogue à celui qu'entrainerait une diminution du rH intracellulaire.D'autre part, la carence en vitamine B entraine une hyperlipémie qui place les cellules dans des conditions de nutrition nouvelles par rapport aux graisses dont elles disposent.L'ensemble de ces perturbations, tant dans la valeur du rH intracellulaire que dans les conditions de nutrition par rapport aux lipides, réalise, d'après les lois de sexualisation cytoplasmique, des conditions particulièrement défavorables à la polarisation des cellules dans le sens mâle.Or, on peut constater que, dans l'organisme ainsi modifié expérimentalement par l'avitominose, parmi toutes les cellules, ce sont les cellules polarisées dans le sens mâle qui se trouvent être le plus rapidement et le plus fortement frappées.Le rapprochement de ces diverses constatations nous parait constituer une véritable démonstration expérimentale des deux lois de sexualisation cytoplasmique.Une partie des recherches concernant la sexualisation cytoplasmique a été faite avec un microscope offert par la fondationElizabeth Thompson. L'auteur exprime sa gratitude au comité de cette fondation.  相似文献   

8.
Résumé Un comportement d'agrégation est fréquemment observé chez les larves et les adultes de Forficula auricularia L. L'hypothése d'un contrôle phéromonal de ce comportement est confirmée expérimentalement par un test biologique qui, en condition de choix, met en évidence le regroupement des forficules dans des abris déjà visités par d'autres individus de l'espèce, préférentiellement aux abris témoins. Une interattractivité existe entre tous les stades de développement et la phéromone intervient également pendant la phase de soins maternels: les traces de larves du premier stade encore confinées dans le terrier maternel, ainsi que de femelles en période de soins, provoquent l'agrégation de larves âgées. La comparaison de l'attractivité de différents extraits par l'hexane (traces, fractions de corps, feces) indique la localisation de la sécrétion phéromonale au niveau des pattes, et désigne les glandes tibiales comme organes sécréteurs.  相似文献   

9.
Résumé Nous avons observé depuis longtemps déjà que la FourmiCremastogaster scutellaris forme de grandes colonnes de récolte, formations stables pendant toute une saison. Dans une note précédente (1) nous avons montré qu'il est relativement facile d'étudier l'activité collective des ouvrières hors du nid en faisant varier les facteurs du milieu et en observant le comportement de ces colonnes. Il nous a été ainsi possible de déterminer l'existence d'un thermo-preferendum (situé aux environs de 25° pour cette espèce), pour lequel l'activité de la colonne est maxima. De même nous avons pu montrer que l'activité journalière de ces colonnes est arythmique et se trouve uniquement sous l'influence directe et mesurable de la température.Dans l'étude qui suit, nous avons cherché à savoir de quelle façon les facteurs externes déterminaient l'arrêt d'activité hivernal (hibernation) et la reprise d'activité printanière (rupture d'hibernation) des fourmilières deCr. scutellaris. Nous ne nous occuperons pas ici de ce qui se passe à l'intérieur de la fourmilière ni des incidences de l'hibernation sur le cycle biologique de la colonie (ceci fera l'objet de publicationsultérieures), mais simplement des phénomènes qui sont visibles à l'extérieur du nid et qui affectent les colonnes d'ouvriéres.  相似文献   

10.
Resume et conclusions La région de Beni-Ounif, Figuig et Ben Zireg, cadre de cette étude, est située sur la bordure méridionale de l'Atlas saharien et supporte un climat de caractère désertique par la faiblesse et l'irrégularité des précipitations. A la suite de périodes relativement pluvieuses, l'apparition de nombreuses thérophytes, l'acheb des indigènes, permet de faire l'étude des groupements végétaux dans leur développement optimum. Trois types de stations se montrent particulièrement riches en ces espèces: les stations cultivées et rudérales, les dépressions sablo-limoneuses du reg et des plateux rocheux, les pentes rocailleuses des montagnes et des collines. Seuls les deux dernières stations ont fait de notre part l'objet d'une étude phytosociologique approfondie.o| li]I.|Les d\'epressions non sal\'ees portent trois associations: association \`a Althaea Ludwigii et Trigonella anguina des cuvettes limoneuses, association \`a Lotononis dichotoma des ravinelles, association \`a Asphodelus pendulinus des talus sableux. La composition floristique et le sol de la premi\`ere sont nettement diff\'erents des deux autres, qui sont au contraire tr\`es voisines. Ce sont les diff\'erences dans la teneur en limon et argile qui sont d\'eterminantes dans la localisation respective des trois groupements: 28% en moyenne d'\'el\'ements fins (limon + argile) dans l'Althaeetum, 8,5% dans le Lotononidetum, 5% dans l'Asphodeletum; c'est pour une teneur de l'ordre de 12% d'\'el\'ements fins que s'\'etablit le passage entre l'Althaeetum et le Lotononidetum. La teneur plus \'elev\'ee en argile du sol du premier groupement lui conf\`ere une plus grande hygroscopicit\'e; mais tr\`es rapidement, apr\`es les pluies, la teneur en eau du sol des trois groupements dans les 10 cm sup\'erieurs se r\'eduit \`a l'eau d'hygroscopicit\'e. Les autres caract\`eres d'habitat sont semblables.Aux abords des habitations, l'enrichissement en matières organiques provoque le remplacement de ces associations par un groupement nitrophile, l'association à Peganum Harmala et Bassia muricata.L'élément floral saharo-sindien est nettement prédominant dans tous ces groupements, avec une représentation de 2,5 à 5 fois plus grande que celle de l'élément méditerranéen. li]II.|Les associations des pentes rocailleuses, contrairement aux pr\'ec\'edentes, sont peu sensibles \`a la nature physico-chimique du substratum, mais sont \'etroitement li\'ees aux conditions climatiques locales, elles-m\^emes sous la d\'ependance de l'exposition, de l'altitude et de la situation g\'eographique de la cha\^ine. Ce caract\`ere est particuli\`erement apparent dans le territoire que nous avons \'etudi\'e, par sa situation \`a la limite commune de deux groupes d'associations de rocailles, l'un saliarien que nous appelons l'Atractyletalia babelii, l'autre m\'editerran\'een, le Sedetalia altissimae.Au premier appartient l'association à Morettia canescens et Fagonia longispina qui colonise les rocailles des chaînons les plus méridionaux de l'Atlas saharien occidental jusqu'à une altitude de 1100 m eviron, à l'exception des fortes pentes d'exposition Nord où se localise une association à Senecio flavus et Centaurea incana var. Saharae, groupement moins héliophile, plus riche en formes méditerranéennes et faisant transition avec le Sedetalia.Le groupe du Sedetalia est représenté au Dj. Antar de Ben Zireg par l'association à Ferula Cossoniana et Leucanthemum paludosum var. gaetulum, avec une sous-association à Aristida Adscensionis aux expositions Sud à Est et Ouest depuis 1100 m jusqu'à plus de 1600 m, et une sous-association à Rosmarinus officinalis aux expositions Nord au dessus de 1500 m. Ces deux groupements ont le même aspect de steppe montagnarde d'halfa, mais les formes sahariennes sont encore dans la proportion de 4/5 des espèces méditerranéennes dans le premier, alors qu'elles n'y sont plus que dans la proportion de 1/2 dans le second. La présence du Juniperus phoenicea dans la sous-association rosmarinetosum, son absence totale de la sous-association aristidetosum donnent une indication précieuse pour des essais éventuels de reboisement. On trouvera dans Vegetationsbilder, 6 (4), T. 19, une photographie d'un de ces groupements de rocailles, le Morettieto-Fagonietum anabasidetosum, au pied d'une pente occupée par le M.-F. artemisietosum. Au fond, la face Sud de l'Antar, couverte dans sa plus grande partie par le Feruleto-Leucanthemetum.Les caractères physico-chimiques du substratum ont peu d'influence sur la composition des groupements; seuls les grès tendres, dont les éboulis se colmatent de sable, ont permis dans le Morettieto-Fagonietum l'établissement de psammophytes qui différencient une sous-association à Aristida floccosa.Ainsi, alors que les groupements sahariens des surfaces planes ou de faible relief sont des indicateurs très sensibles des conditions édaphiques, ceux des montagnes se montrent le plus influencés par les facteurs climatiques locaux. Une étude des associations de rocailles étendue à l'ensemble de l'Atlas saharien occidental permettrait sans doute d'établir avec une grande précision les moindres variations du climat dans cette région et apporterait une documentation précieuse pour une mise en valeur de ces territoires déshérités.Reçue par la rédaction le 14.XII.1951.  相似文献   

11.
Conclusions De tous les éléments du milieu que nous avons étudiés, ce sont la stabilité et le niveau du terrain, par rapport aux marées, qui ont le plus d'importance pour la végétation de la barrière de coquillages. La stabilité du sous-sol dicte la présence ou l'absence de végétation, tandis que la répartition des zones de végétation est déterminée par le niveau du terrain, lequel est soumis à l'action des eaux de la mer. C'est le niveau du terrain qui détermine la salinité du sol et la mesure du succès avec lequel les sauvageons s'enracinent aux bas niveaux.  相似文献   

12.
Résumé Les auteurs ont étudié le rein de Triturus cristatus carnifex (Laur.) au point de vue anatomique, cytologique et cytochimique. Venant confirmer des données d'auteurs précédents, ils ont signalé la présence dans le rein de cet Urodèle de deux régions, rein génital et rein pelvien, lesquelles diffèrent quant à leur aspect, à la disposition des néphrons et aux rapports que la première de ces région entretient, chez le mâle, avec la gonade. Ils soulignent les différences qui caractérisent les néphrons du rein génital chez les deux sexes.Ce recherches confirment la présence dans le néphron du Triton de cinq segments qui se suivent dans l'ordre ci-après: collet cilié, segment à bordure en brosse que l'on peut diviser en deux tronçons P1 et P2, segment intermédiaire cilié, segment à bâtonnets, segment d'union. De nombreux néphrostomes constituent autant de communications entre les néphrons et le coelome. De ces néphrostomes part un canal néphrostomial souvent assez long, canal qui, après un parcours ondulé, débouche dans un collet. Dans le rein génital du mâle, les néphrostomes font défaut.La position des différents segments du néphron dans le rein correspond à celle observée par d'autres auteurs chez des Urodèles d'espèces différentes: les glomérules, les segment à bâtonnets et les néphrostomes sont situés dans la région ventrale; dans les régions dorsale et dorso-latérale, on trouve au contraire les segments à bordure en brosse; les collets et les segments intérmédiaires sont situés entre ces deux régions.Le diamètre du néphron est variable; il atteint son minimum au niveau du collet et du segment intermédiaire.Dans la région apicale des cellules du collet on a observé des granulations P.A.S. positives qui font défaut dans les autres segments ciliés du néphron (canal néphrostomial et segment intermédiaire). Parmi les activités enzymatiques étudiées, seule la 5-nucléotidase est présente dans le collet.La distribution différente des substances P.A.S. positives et du pigment permet de diviser le segment à bordure en brosse en deux tronçons P1 et P2 qui passent progressivement l'un dans l'autre. Dans P1 le matériel P.A.S. positif est formé de fines granulations presque toujours situées au dessus du noyau — granulations qui sont aussi Hale et F.P. positives — et d'amas irréguliers situés à la base de la cellule et le long des limites cellulaires. Dans P2 les substances P.A.S. positives sont formées par contre de granulations de dimension variable; généralement d'une certaine dimension, ces granulations sont situées en position paranucléaire; elles sont Hale, F.P. positives et nettement acidophiles.Tout le matériel P.A.S. positif mentionné ci-dessus ne semble guère être de nature mucopolysaccharide acide ni de nature glycogénique.Dans P2 on observe des gouttes de pigment jaune-brun, faiblement F.P. positif, pigment qui constitue le caractère le plus typique de ce segment.Dans tout le segment à bordure en brosse les cellules revèlent une faible pyroninophylie cytoplasmatique qui semble légèrement plus accentuée dans P2. Dans P2, et plus particuliérement dans sa moitié distale, on observe de fréquentes images difficiles à préciser au microscope optique; ces images pourraient être attribuées aussi bien à des phénomènes de sécrétion que d'absorption.Le segment à bordure en brosse est le le segment où l'on peut démontrer histochimiquement le plus grand nombre d'activités enzymatiques. On a pu confirmer en effet la présence et la localisation de l'activité phosphatasique alcaline non spécifique aussi bien que de celle acide et décrire la localisation de celles lipasique, glucose 6-phosphatasique et 5-nucléotidasique. L'activité succinodéshydrogénasique et celle ATPasique, au niveau du chondriome, sont très faibles.Le segment intermédiaire cilié est caractérisé par l'absence de substances P.A.S. positives dans ses cellules.Le caractère le plus évident du segment à bâtonnets est fourni par sa richesse en chondriome, par la présence de matériel bleu alcian positif dans quelques-unes de ses cellules, et par l'intensité des réactions ATPasique et succino-déshydrogénasique. Dans le tiers distal de ce segment on peut mettre en évidence une faible activité lipasique.Lors de la discussion, les auteurs insistent tout particulièrement sur les données histochimiques obtenues, notamment en ce qui concerne le comportement des systèmes enzymatiques et le caractère spécifique des réactions obtenues dans le cadre des conditions tecniques adoptées.Recherche conduite et publiée avec une contribution du Consiglio Nazionale delle Ricerche.  相似文献   

13.
Hydrology and Plankton of Eleiyele Reservoir Ibadan,Nigeria   总被引:5,自引:4,他引:1  
Summary This study describes seasonal variation in the numbers of planktonic organisms in relation to hydrological changes in a flood-controlled reservoir at Ibadan, Nigeria. Results of fortnightly estimations of water-level, temperature, transparency, and oxygen content have been presented. The reservoir is thermally stratified for most of the year but the periodic flooding following heavy rainfall and the occasional breakdown of the periodic flooding following heavy rainfall and the occasional breakdown of the thermal stratification by winds during the dry season dominate the habitat, causing regular seasonal fluctuation in plant nutrients and the transparency of the water.Such effects have also been shown to exert an important influence directly on the zooplankton as well as on the phytoplankton. The highest plankton densities were recorded during periods of maximum water level and the lowest during the beginning of the filling process. Some evidence suggests that the zooplankton feeds directly on bacteria-rich detritus and that the phytoplankton probably plays an insignificant part as food source for the zooplankton. The phytoplankton may be controlled primarily by the limitation and decline of plant nutrients from the reservoir bed.
Résumé Etude concernant les variations de la quantité de plancton en rapport avec les changements de l'eau dans un reservoir a Ibadan (Nigéria). Les résultats des mensurations bimensuelles du niveau de l'eau, de sa température et de sa transparence ont été étudiés. L'auteur a fait une stratification thermale pour une grande partie de l'année, mais l'inondation périodique qui suit chaque grande précipitation ainsi que la perturbation occasionelle de la stratification thermale efectuée par les vents pendant la saison sèche, dominent le milieu et occasionnent des variations régulières dans la quantité des plantes nutritives et dans la transparence de l'eau.Ces phénomènes ont une grande influence directe sur le zooplancton aussi bien que sur le phytoplancton. Les densités les plus considérables de plancton sont enrégistrées pendant la saison où le niveau de l'eau est au maximum et les plus basses au début de la saison d'inondation. Les résultats montrent que le zooplancton se nourrit du détritus très riche en bactéries et que le phytoplancton ne joue qu'un rôle insignifiant comme source de nourriture pour le zooplancton. On peut d'ordinaire contrôler le phytoplancton par la limitation et la diminution des plantes nutritives dan le lit du réservoir.


This is part of the material present for a Ph.D. Thesis of the University of London.  相似文献   

14.
L. Lison 《Protoplasma》1929,7(1):489-504
Conclusions Envisageant le comportement général des amibocytes des Invertébrés au point de vue de son expression physique et mécanique, nous en arrivons à la conclusion qu'aucun des phénomènes spécifiques qu'ils présentent ne peut Être rapporté à une simple application de pures lois physico-chimiques. Dans la physiologie des pseudopodes lamellaires des amibocytes, on avait voulu faire intervenir pour une large part les phénomènes de tension superficielle. Nous avons montré que le rôle de ces derniers est en réalité absolument secondaire et ne peut Être pris en considération. La genèse des ptéropodes avec leur forme typique ne peut Être assurée qu'avec le concours de forces étrangères, difficiles à déterminer d'ailleurs. Bien plus, le maintien des ptéropodes ne peut Être assuré qu'en dépit mÊme des forces de tension superficielle; ces dernières tendent à faire rétracter le pseudopode; et si celui-ci jouit d'une stabilité considérable, celle-ci est due précisément à des forces antagonistes des forces de tension superficielle et qui disparaissent à la mort de la cellule.La rétraction physiologique des ptéropodes est d'une complexité telle qu'on ne peut raisonnablement la regarder comme résultant du libre jeu des lois physiques connues.MÊme des manifestations assez comparables, morphologiquement tout au moins, à des phénomènes physiques simples, tels que l'étalement des lames hyaloplasmiques ou leurs propriétés d'adhésivité aux corps solides révèlent des propriétés qui ne peuvent Être rapportées à des lois physiques connues.Bref, le comportement général de la lamelle hyaloplasmique de l'amibocyte ne peut Être situé dans le domaine physique dont certains auteurs avaient voulu le faire dépendre. Son étude relève du domaine biologique.  相似文献   

15.
Résumé A différents temps après le début de l'infection, puis de la réinfection du cobaye par T. mentagrophytes, furent pratiqués des tests de détection de l'hypersensibilité retardée in vivo (intra dermo réaction) et in vitro (inhibition de la migration des macrophages péritonéaux) ainsi qu'un test destiné à mettre en évidence la secrétion de lymphotoxines actives vis à vis des éléments fongiques.Les résultats obtenus concernant l'évolution cinétique des réactions plaident en faveur de la plus grande sensibilité du test d'inhibition de la migration des macrophages pour la détection de l'hypersensibilité retardée. Ils confirment le rôle prépondérant des réactions de type cellulaire dans la résistance et soulignent la particularité de ce modèle expérimental oú se manifestent des phénomènes d'immunité locale. L'ensemble de nos résultats et, notamment, la démonstration de l'existence de médiateurs d'origine lymphocytaire toxiques pour les spores de T. mentagrophytes sont discutés dans le cadre de la réaction cutanée à l'agression parasitaire.  相似文献   

16.
L. Lison 《Protoplasma》1928,4(1):367-387
Resumé Dans la première partie de ce travail, nous avons montré que, contrairement à la conception deFauré-Fremiet, les mouvements que présentent les amibocytes des Invertébrés à l'état actif ne peuvent s'expliquer par le seul jeu des forces de tension superficielle. Ces forces, si elles interviennent das le mécanisme du mouvement, ne peuvent en expliquer l'origine; l'amibocyte, tel qu'il est constitué, est un système inerte, incapable de se mouvoir sans apport d'énergie.Les faits exposés dans la seconde partie montrent qu'on peut dissocier physiologiquement le granuloplasme nucléé de l'hyaloplasme. Des coelamibocytes d:'Allobophora longa soumis à l'action de toxiques ou d'anesthésiques peuvent présenter des mouvements de leur hyaloplasme longtemps après que le granuloplasme nucléé a cessé toute activité fonctionnelle (mort ou anesthésie). Ces substances inhibent les activités complexes du granuloplasme, probablement les activités diastasiques, tout en conservant intactes les activités d'ordre plus simple qui président aux mouvements de l'hyaloplasme.  相似文献   

17.
Résumé Les observations photoniques et ultramicroscopiques concernant les Blastodinium, parasites de Copépodes, étudiés à tous les stades de leur développement intra-intestinal nous ont apporté les résultats suivants:Le Trophocyte subit de profondes transformations nucléaires avant de commencer à se diviser (éndettement nucléolaire et passage des grains ribonucléoprotéiques dans le cytoplasme); les sphères archoplasmiques liées aux noyaux se divisent avant eux et apportent leur contribution dans les synthèses membranaires; la division nucléaire est une pleuromitose simple, sans cinétochores et sans centrioles: on peut observer tous les stades définis de, la mitose, exceptée l'interphase; la métaphase est très difficile à saisir, surtout dans les espèces à mitoses accélérées. Les faisceaux de microtubules contenus dans les plasmodendrites qui perforent les noyaux toujours en mitoses au cours de la sporogenèse, ne sont jamais en contact avec les chromosomes; nous avons entrevu leur rôle dans la cyclose hyaloplasmique. Durant les phénomènes sporogenétiques, un cycle régulier de condensation chromosomique s'effectue, sans perte de DNA. Dans les stades peu condensés, l'arrangement fibrillaire des chromosomes est inorganisé, puis ceux-ci montrent un agencement en séries d'arceaux réguliers qui disparaît dans les stades les plus condensés.L'enveloppe nucléaire joue un rôle prépondérant dans la traction, l'orientation et la ségrégation du matériel chromosomique. Nous avons recherché également une série d'explications concernant le déterminisme des phénomènes de condensation chromatique.Dans cet exemple précis, noyaux et phénomènes mitotiques démontrent parfaitement cette situation intermédiaire des Dinoflagellés, entre Bactéries et Eucaryotes.
Nuclear structures of Blastodinium Chatton (parasitic dinoflagellates)Division and chromatic Condensation
The mitotic mechanism in Blastodinium Chatton has been studied by photonic and electronic microscopy. Divisions of the archoplasmic spheres precede that of the nuclei and their movements are interconnected. Stages of mitosis follow one another without interphase; they are telescoped, which makes the study of the chromosome cycle more difficult. Progressive condensation of nuclei and chromosomes takes place in the various sporogenetic layers within the same parasite. Cytophotometric measurements show that there is no loss of DNA during successive mitosis. The nuclear envelope plays an important part in the traction, orientation and segregation of the chromosomes. The cytoplasmic invagination which perforate the nuclei contain considerable masses of microtubules whose role in the activation of the hyaloplasmic cyclosis and membranous synthesis is suggested.—In longitudinal section, the chromosomes show a fibrillar arrangement in regular arches in the non-condensed stages and irregular arches in more condensed stages, with a lesser diameter.—The type of nuclear division is a very simple pleuromitosis without kinetochores and centrioles; the role of the nuclear envelope in the chromosomal mechanism appears to be preponderant.
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18.
Résumé On décrit le système neurosécrétoire caudal de Jenynsia lineata. L'urophyse de cette espèce est un organe bien différencié, séparé de la moelle par une membrane méningée discontinue, et formé de fibres qui y arrivent après avoir constitué un pédoncule principal. Les fibres ne pénètrent pas par celui-ci, le font par les orifices de la membrane méningée.Dans l'urophyse comme dans les cellules neurosécrétoires du système, la neurosécrétion se colore à l'aldéhyde fuchsine après oxydation par le KMnO4/ H2SO4; à l'hématoxyline chromique de Gomori elle se colore aussi, mais faiblement, et toujours après mordançage par de l'alun chromique dans le Bouin. On en discute les causes, par rapport aux données obtenues par d'autres auteurs.Il n'y a pas de cellules géantes, si caractéristiques du systéme neurosécréteur caudal d'autres Téléostéens. Les cellules neurosécrétoires du système sont petites et peu remarquables.Nous tenons à remercier le Dr. Juan H. Tramezzani de la lecture du manuscrit de ce travail, et des précieuses suggestions qu'il a bien voulu nous faire parvenir.  相似文献   

19.
Summary The effect of sludge adaptation on biodegradation of phenol was studied. The adapted sludge was obtained in a fermenter by stepwise increase in the concentration of phenol. The microorganisms within sludge, adapted to the utilization of phenol, subsequently degraded phenol more rapidly (14 mg/l/day) than organisms within unadapted sludge (8.8 mg/l/day). When the phenol concentration was increased, the organisms within adapted sludge grew almost without change up to 500 mg/phenol/l while a sharp decline in growth was observed for organisms within the unadapted sludge. Microbial isolates in the adapted sludge differed in their phenol-degrading capacity showing that the adaptation ability to degrade phenol was dependent on the presence of specific microorganisms. Among the isolates,Pseudomonas sp. andArthrobacter sp. showed the higher degradation rates. However, they were inferior to that of the adapted sludge, suggesting the existence of a synergistic effect between the organisms present.
Influence de l'adaptation de la boue sur la biodégradation du phénol
Résumé On étudie l'effet de l'adaptation de la boue sur la biodégradation du phénol. La boue adaptée est obtenue en fermenteur par l'augmentation étagée de la concentration en phénol. Les microorganismes dans la boue, adaptés à l'utilisation du phénol, dégradent par la suite plus rapidement le phénol (14 mg par litre par jour) que les microorganismes dans la boue non adaptée (8.8 mg par litre par jour). Quand on augmente la concentration en phénol, les microorganismes dans la boue adaptée croissent quasi sans modification jusqu'à 500 mg de phénol par litre, tandis qu'on observe une diminution remarquable de la croissance chez les microorganismes dans la boue non adaptée. Les souches microbiennes isolées à partir de la boue adaptée démontrent des capacités différentes de dégradation du phénol, ce qui montre que le capacité adaptée de dégrader le phénol dépend de la présence de microorganismes spécifiques. Parmi les isolats,Pseudomonas sp. etArthrobacter sp. démontrent les vitesses de dégradation les plus élevées. Toutefois, celles-ci sont inférieures à celles de la boue adaptée, ce qui suggère l'existence d'un effet synergique entre les microorganismes présents.
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20.
René Molinier 《Plant Ecology》1959,8(5-6):340-383
Conclusions La Provence apparaît, en définitive, comme un territoire des plus variés aux divers points de vue climatique, édaphique, biotique.C'est une région d'autant plus favorable aux études phytosociologiques que la variété des milieux s'y double d'une brutalité souvent étonnante des contrastes, conduisant à la juxtaposition parfois extrêmement précise d'associations végétales très différentes, dont les limites peuvent alors être cartographiquement figurées avec une très suffisante exactitude.Cette vigueur des contrastes est surtout marquée en Provence calcaire où les divers termes des séries évolutives dérivant du Quercetum ilicis climacique ou y conduisant, se juxtaposent souvent sans transition de quelque importance.Les contrastes sont cependant moins accusés en Provence cristalline et dans la Basse-Vallée du Rhône.En Crau comme en Camargue, les associations végétales se juxtaposent souvent en ceintures parallèles ou concentriques — elles s'individualisent alors facilement —, souvent en mosaïques irrégulières, au grè des variations locales des deux facteurs déterminants: l'eau en Crau, le sel en Camargue.En Provence cristalline, les Maures étant surtout faites de roches se délitant facilement (grès, micaschistes et phyllades) sous un climat chaud et humide, le sol se reconstitue facilement après sa destruction partielle par l'érosion; les contrastes sont moins tranchés; on observe des transitions nombreuses entre les divers termes des séries évolutives, dont les limites ne peuvent être fixées qu'approximativement. Nous y avons notamment abordé le problème de la forêt de chêne-liège dont la signification est loin d'être connue, non seulement en Provence mais sur toute l'étendue de son aire, en Afrique du Nord, en Espagne, au Portugal, en France méridionale, en Italie et dans les Iles de la Méditerranée occidentale.En provence cristalline, il est certain que l'homme en a considérablement assuré l'extension, directement pour l'utilisation du liège, indirectement par la coupe et le feu, et, en bien des points de la Méditerranée occidentale, le chêne-liège se présente comme une essence cultivée.Par ailleurs rien ne permet de mettre en doute son indigénat. Mais, dans les conditions actuelles du milieu en Provence cristalline:le chêne vert est possible partout;dans les conditions naturelles de la concurrence vitale le chêne vert l'emporte sur le chêne-liège.Si, donc, la forêt originelle a comporté le chêne-liège, ce ne peut être qu'à l'état d'essence secondaire et seulement en quelques points où une faible couverture forestière lui permettait de cohabiter avec le chêne vert.Les documents cartographiques au I/20 000e tendent à montrer, d'aileurs que, dans les conditions naturelles de reconstitution de la forêt ou dans le peuplement naturel des sols neufs (Isthme de Giens), c'est la chênaie de chêne vert, non la chênaie de chêne-liège qui s'installe.Les grandes unités phytosociologiques de la Provence paraissent être maintenant convenablement définies floristiquement; il convient donc d'en poursuivre l'étude écologique, dont certains aspects seulement les plus apparents—mais peut-être pas toujours les plus actifs-, ont été abordés.Notons enfin la démonstration faite, au cours de l'excursion, de la parfaite application possible des méthodes phytosociologiques à l'étude des groupements marins et la nécessité, particulièrement apparente en milieu marin, de considérer tout autant les animaux que les végétaux. L'avenir est bien aux biocénoses dont les grands traits ont été mis en évidence, quant à la côte de la presqu'île de Giens, par Roger Molinier.Reçu par la rédaction le 20. XII. 1958.avec la collaboration de ROGER MOLINIER pour la partie marine et G. TALLON pour la Camargue.  相似文献   

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