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1.
During 4-day field exposure intervals, Phenacoccus herreni Cox & Williams, third-instar mealybugs on artificially infested potted cassava plants were reduced 73% from initial densities of 235.7–1100.2/infested plant to 63.7–314.2/plant due to dispersal, rain, and predation. Frequency of parasitoid attack did not differ between high and low mealybug densities. The same species of parasitoids, in approximately the same proportions, were reared from mealybugs on artificially infested potted plants as from field mealybugs (Acerophagus coccois) Smith, 88.1% and Epidinocarsis diversicornis (Howard), 11.3%. Parasitoid attack rates on artificially exposed mealybugs, when combined with a simulation model of parasitism, accurately predicted observed levels of stage-specific parasitism in the field population.
Résumé Pendant des expositions de 4 jours dans la nature de plants en pots de M. esculenta contaminés artificiellement par des P. herreni du troisième stade, les densités de cochenilles ont été réduites de 73%: de 235.7–1100.2/par plant contaminé à 63.7–314.2/par plant, par suite des évasions, de la pluie et de la prédation. Les attaques de parasitoïdes ne changent pas suivant les densités de cochenilles. Les mêmes espèces de parasitoïdes, ont été élevées dans à peu près les mêmes proportions (Acerophagus coccois, 88.1%, et Epidinocaris diversicornis, 11.3%) à partir de cochenilles sur pots artificiellement contaminés ou de manioc de la nature. Les taux d'attaques par les parasitoïdes sur les cochenilles artificiellement exposées, associés à un modèle de simulation du parasitisme, ont permis de prévoir avec précision les niveaux de parasitisme observés pour chaque stade dans la population de la nature.
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2.
In a choice test among six life stages of Phenacoccus herreni Cox & Williams, Epidinocarsis diversicornis (Howard) used its antennae to examine adult and 3rd stadium females more than other stages and preferentially attempted to oviposit in these plus 2nd stadium females. Success of ovipositor insertion was unaffected by host stage. The outcome of these behaviors was preferential oviposition by E. diversicornis in the large female host stages. Acerophagus coccois Smith also preferentially examined larger female mealybugs (second and third stadium nymphs and adults) more than other stages and successfully inserted its ovipositor in these stages more often than in second stadium male nymphs and male cocoons, resulting in a similar preference in this species for larger female host stages. When given a choice between adult female hosts of two species, P. herreni and Phenacoccus gossypii Townsend & Cockerell, E. diversicornis exhibited a clear preference for P. herreni; whereas A. coccois preferred P. gossypii.
Résumé Epidinocarsis diversicornis (Howard), ayant la possibilité de choisir entre six stades différents de Phenacoccus herreni Cox & Williams, examine avec ses antennes plus particulièrement les adultes et les larves femelles du 3ème stade, et essaie de pondre de préférence dans ces stades et les larves femelles de second stade. L'insertion de la tarière s'effectue aussi bien quel que soit le stade de l'hôte. Il résulte de ces différents aspects du comportement que E. diversicornis pond de préférence dans les femelles des stades les plus avancés. Acerophagus coccois Smith préfère aussi examiner les cochenilles femelles les plus grosses (second et 3ème stade larvaires et adulte), et introduit sa tarière avec succès dans ces stades plus souvent que dans les larves mâles de second stade ou les cocons mâles; il en résulte aussi pour cette espèce une préférence pour les femelles des stades les plus gros.Quand on leur a donné le choix entre des femelles des deux espèces de cochenilles (P. herreni et Phenacoccus gossypii Towsend & Cockerell), E. diversicornis manifestait une nette préférence pour P. herreni, tandis que A. coccois préférait P. gossypii.
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3.
Females of Epidinocarsis diversicornis (Howard) killed cassava mealybugs, Phenacoccus herreni Cox & Williams, through host feeding and piercing (i.e. ovipositor insertion and its consequences). Parasitoids fed on 9% of 592 hosts in which ovipositor insertion was achieved. For hosts which were attacked but not fed on, mortality in the first 72 h was significantly greater than that of controls and was highest in the first nymphal instar. No host feeding by Acerophagus coccois Smith was observed in 494 attacks. Mortality due to piercing was significantly greater than control values, but did not differ between host life stages.
Résumé La prise de nourriture et les piqûres (c'est-à-dire l'insertion de la tarière et ses conséquences) de Epidinocarsis diversicornis tuent Phenacoccus herreni. Les adultes s'alimentent sur 9% des 592 cochenilles dans lesquelles la tarière a pénétré. La mortalité au cours des 72 premières heures est beaucoup plus élevée chez les hôtes attaqués mais qui n'avaient pas subi une prise de nourriture, que chez les témoins; elle était particulièrement élevée chez les cochenilles du premier stade larvaire. Pour 494 attaques par Acerophagus coccois, aucune prise de nourriture n'a été observée; la mortalité était plus élevée que chez les temoins, sans qu'il y ait eu de différences suivant les stades.
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4.
Euphyllura phillyreae Foerster (Homoptera: Aphalaridae) which infests olive trees in Greece, is monovoltine and has an aestival-autumnal-hibernal reproductive dormancy as an adult which starts in June. Adult females collected periodically from June through February were maintained for 4 weeks at 12L:12D and 20° L:18° D, then the stage of ovarian development was recorded.In the field, diapause was terminated between mid December and early January. Subsequently, the insects remain in reproductive quiescence until February or early March when environmental conditions allow ovarian development and reproduction.In females collected in June, summerlike laboratory conditions, followed by winterlike, and then by springlike conditions were effective for diapause termination. Springlike conditions alone, or preceded by only summerlike or only by winterlike conditions were not effective. In females collected in August the requirement for summerlike conditions was much less or nil.
Résumé Euphyllura phillyreae Foerster qui s'attaque sur l'olivier en Grèce, est une espèce oligophage, monovoltine, qui a une dormance reproductive aestivo-autumno-hivernale au stade adulte, qui commence en juin.Des femelles adultes ont été ramassées par les arbres périodiquement de juin au février et maintenues pendant 4 semaines à 12L:12D et 20° L:18° D. Après cette période, le stade du développement des ovaires a été le critère de la termination de leur diapause. La diapause fut considéré comme terminée quand au moins 50% des femelles avaient leurs ovaires au stade III ou même plus avancées.La diapause fut terminé entre mi-decembre et début janvier. En suite, les insectes restent à une quiescence reproductive jusqu'au février ou début de mars, lorsque les conditions environmentales permettent le développement des ovaires et la reproduction.Des femelles ramassées en juin et en août ont été soumises à certaines conditions de photopériode et de temperature en laboratoire, pour faire terminer leur diapause. Pour celles ramassées en juin, qui étaient au commencement de leur diapause, des conditions semblables à l'été, suivies par des conditions semblables à l'hiver et puis par des conditions semblables au printemps furent effectives pour la termination de la diapause. Seules des conditions semblables au printemps, ou précédées par des conditions semblables seulement à l'été, ou seulement à l'hiver, ne furent pas effectives. Pour les femelles ramassées en août, le besoin pour des conditions semblables à l'été fut beaucoup moin ou nul.
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5.
Functions describing instantaneous development rates in constant and natural temperature regimes were obtained for pupae of the Australian sheep blowfly, Lucilia cuprina (Wiedemann). These were derived using a technique that directly calculates rate functions from development-time observations made under any temperature regime. The functions indicated similar instantaneous development rates for constant and natural temperatures up to 30°C. At 30° the constant-temperature function reached a plateau which was maintained to the constant-temperature thermal limit. The natural-temperature function, however, continued its ascending phase to 34°, and then fell sharply to zero at 42°.The median survival temperatures of pupae for single 7-h exposures, daily 7-h exposures, and continuous exposures to high temperatures were 44.7, 39.2, and 34.4°, respectively. Development was completed at constant 15° but not at 10°. Median survival times at constant 10, 5, 0 and-5° were 4.3, 4.2, 2.5 and 1.5 days. Mortality was slight for single or daily 7-h exposures to-5°, but was complete for all except brief single exposures to-10°.
Influence des températures constantes et de la thermopériode sur le taux de développement et la survie des pupes de Lucilia cuprina
Résumé Des fonctions associant les taux de développement aux températures en conditions constantes et en thermopériodes naturelles ont été établies pour les pupes de L. cuprina. La fonction pour les conditions naturelles décrit les taux de développement immédiat-c'est-à-dire les taux de développement existant en réponse à la température pour chaque laps de temps (en réalité, pour un court intervalle), plutôt que le taux moyen pour une gamme de températures. La fonction pour les températures constantes décrit à la fois les taux de développement instantané et moyen (ceux-ci étant équivalents, en ne supposant pas de réponses spécifiques suivant l'âge en conditions constantes). Les fonctions ont été dérivées en utilisant une technique qui calcule directement les fonctions des taux à partir des observations sur les durées de développement faites dans chaque condition de température.Les fonctions ont révélé des taux de développement instantanés semblables pour les températures jusqu'à 30°C. A 30°C la fonction pour la température constante a atteint un plateau qui s'est maintenu jusqu'à la limite thermique. La fonction pour les thermopériodes naturelles a continué de s'élever jusqu'a 34°C, et alors a chuté brutalement jusqu'à zéro à 42°C. Dans la région d'où les lots de pupes ont été obtenus les températures subies par les pupes dans les zones non ombragées dépassent fréquemment 50°C pendant l'été. Les taux de développement des pupes aux températures au dessus de 30°C, où les fonctions avec températures constantes et thermopériodes deviennent différentes, sont cependant cohérent avec les expériences dans la nature avec L. cuprina. Les températures médianes de survie des pupes pour une exposition unique de 7 h, pour des expositions quotidiennes de 7 h et pour une exposition constante à haute température étaient respectivement de 44,7; 39, 2 et 34,4°C. Par comparaison avec des températures estivales du sol de 50°C et plus, il semble vraisemblable que la mortalité nymphale est un facteur important de déclin des populations de L. cuprina au milieu de l'été.
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6.
The amounts of four pteridine compounds, xanthopterin, isoxanthopterin, 6-biopterin and pterin and a further unidentified substance, termed modified xanthopterin, were determined in the heads of adult Pectinophora scutigera (Holdaway) (Lepidoptera: Gelechiidae), aged between 2 and 50 days and reared in the laboratory at 25°C. The level of isoxanthopterin was also determined in the thoraces and abdomens of moths aged between 2 and 40 days. The levels of xanthopterin, and modified xanthopterin decreased markedly in the heads of males and females with increasing moth age, while those of pterin decreased more slowly and 6-biopterin remained largely unchanged. Isoxanthopterin decreased in male heads from 38.3 ng/head at 2 days to 22.7 ng/head at 50 days, but in females levels increased from 41.2 ng/head at 2 days to 150.4 ng/head at 50 days. Similar changes in the amounts of isoxanthopterin with increasing moth age were observed in male and female thoraces and abdomens. The results are discussed in relation to using pteridine compounds for estimating the physiological age of P. scutigera.
Résumé En chromatographie liqudde à haute performance (HPLC) à détection par fluorescence, 4 composés ptéridiniques: la xanthoptérine, l'isoxanthoptérine, la 6-bioptérine et la ptérine ont été décelés dans les têtes de P. scutigera Holdaway (Lep. Gelechiidae) adultes. Un autre composé, dénommé xanthoptérine modifiée, a été décelé aussi dans les têtes de papillons; de même l'isoxanthoptérine a été décelée dans les thorax et abdomens.Les concentrations de ces ptérines ont été dosées dans les têtes des papillons de 2 à 50 jours au laboratoire à 25°C. Les concentrations d'isoxatthoptérine ont été dosées dans les thorax et les abdomens de 2 à 40 jours. La xanthoptérine de la xanthoptérine modifiée diminuent nettement avec l'âge, tandis que la ptérine diminue plus lentement et que la 6-bioptérine se maintient pratiquement sans changements. L'isoxanthoptérine diminue dans les têtes de mâles de 38,3 ng/tête à 2 j à 22,7 ng/tête à 50 j, mais chez les femelles les concentrations augmentent nettement de 41,2 ng/tête à 2 j à 150,4 ng/tête à 50 j. Des modifications de même type ont été observées dans les thorax et les abdomens des mâles et des femelles.Les modifications de concentration de la xanthoptérine modifiée des têtes de papillons peuvent être utilisées pour évaluer l'âge physiologique de mâles et des femelles de P. scutigera. La confiance dans ces estimations peut être améliorée en se référant aux concentrations d'isoxanthoptérine dans les thorax des mâles et au rapport isoxanthoptérine/xanthoptérine modifiée dans les têtes de femelles.
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7.
Secondary effects of the entomopathogenic hyphomycete Beauveria bassiana (Bals.) Vuill. were investigated on adults of Leptinotarsa decemlineata Say (Coleoptera:Chrysomelidae) treated as newly moulted 4th-instar larvae. Fecundity and egg hatching were monitored in surviving females mated with surviving males. When reared at 22°C, adult survivors showed a lessening of their reproductive potential during their whole life. According to the fungal inoculum dosage, the reductions of the total number of eggs laid per female and the mean number of eggs per egg mass ranged from 20% to 56% and from 18% to 46%, respectively. In contrast, at 25°C, the fecundity of survivors was not affected by the fungal infection. This variability of the secondary effects of B. bassiana according to temperature conditions might be related to the lower infection level of treated larvae at 25°C. Moreover, at both temperatures, eggs laid by females surviving fungal infection as larvae were as fertile as eggs laid by control insects. It is concluded that secondary effects of B. bassiana on the fecundity of the Colorado Potato Beetle are temperature-dependent and that they could become negligible at high temperatures under field conditions.
Résumé Les effets secondaires de l'hyphomycète entomopathogène, Beauveria bassiana (Bals.) Vuill. sur la fécondité et la fertilité des insectes survivant à l'infection fongique ont été étudiés chez les adultes du doryphore Leptinotarsa decemlineata Say (Coleoptera:Chrysomelidae) issus de larves contaminées en début de 4ème stade. Les insectes maintenus à 22°C ont présenté une réduction de leur potentiel reproductif. Ainsi, suivant la dose d'inoculum fongique, le nombre total d'oeufs pondus par femelle et le nombre moyen d'oeufs par opplaque ont baissé de 20% à 56% et de 18% à 46%, respectivement. En revanche, à 25°C la fécondité des adultes survivants n'a pas été affectée par la maladie. Cette variabilité en fonction des conditions thermiques peut être liée à la diminution de l'effet-dose du champignon sur les larves à 25°C par rapport à 22°C. Par ailleurs, quelles que soient les conditions thermiques (22°C ou 25°C) on ne constate aucun changement significatif de la fertilité des oeufs pondus par les femelles survivantes. Les auteurs concluent que les effets secondaires de B. bassiana sur la fécondité du doryphore dépendent des conditions thermiques et qu'ils pourraient devenir négligeables à des températures élevées en plein champ.
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8.
Field and laboratory observations of the relationships between the performance of Elatobium abietinum (Walker), Homoptera, Aphididae, and various species of spruce were undertaken from January 1980 to April 1981. The study included sampling for aphids in established field plots of spruce during May and June respectively before and after the migration period in spring. The aphid's performance (weight and mean relative growth rate) at different seasons on pot grown plants of selected spruce species was monitored, covering, in all, 20 species of spruce.Aphid performance was greatest on the North American spruces, especially Picea sitchensis (Bong) Carr and P. mexicana Martinez; the Asian spruces were the least favoured, especially P. glehnii (Schmidt) Mast. Between these two geographical groups the Eurasian spruce species (sensu Wright, 1955) demonstrated an intermediate aphid performance.
Résumé Les observations dans la nature et au laboratoire sur les performances d'E. abietinum Walker et différentes espèces d'épicéas ont été effectuées de janvier 1980 à avril 1981. Les observations dans la nature comprenaient des prélèvements de pousses d'épicéa pour dénombrer les pucerons avant (mai) et après (juin) la période de migration du printemps. Les performances des pucerons (poids et taux moyen de croissance relative) ont été examinées à différentes saisons sur des plantes en pot sur un total de 20 espèches sélectionnées d'épicéas.Les performances du puceron ont été supérieures sur les espèces d'épicéa de l'Amérique du nord Picea sitchensis et P. mexicana; les espèces asiatiques étaient les moins favorables, particulièrement P. glehnii. Entre ces deux groups géographiques, les espèces eurasiennes (sensu Wright, 1955) ont permis des performances intermédiares chez les pucerons.
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9.
The effects of photoperiod and temperature on the production of sexual forms by two clones of Sitobion avenae, the grain aphid, were examined. One clone did not produce sexual forms, whereas the other did under conditions of short light (<14 h) and low temperature (15°C). Temperature and photoperiod interacted to some extent both in the production of oviparae and of males. Even when the sexual forms were produced there was always a proportion of virginoparae.
Production de sexués par Sitobion avenae, puceron monoécique
Résumé Un clone de Sitobion avenae a produit sans difficulté jusqu'à 7 générations de sexués en réaction à des photopériodes courtes (<14 h) et à de faibles températures (15°C) tandis qu'un autre clone n'en produit aucune.La proportion de sexués différait suivant les parents. La production de mâles avait une nette tendance à apparaître lors des reproduction les plus tardives. Dans les générations tardives avec jours courts, les vivipares (virginopares et gynopares) avaient eu tendance à être produits à la fin de la période de reproduction.Les gynopares (c'est à dire les parents d'ovipares) de S. avenae étaient surtout aptères, mais comprenaient beaucoup plus d'ailés que les virginopares obtenus dans les mêmes conditions. Un vivipare était induit comme gynopare (ou ses embryons étaient déterminés comme ovipares) avant la naissance, mais cette détermination pouvait apparemment encore être inversée en soumettant l'insecte à de longues photopériodes et à de hautes températures jusqu'à deux jours après la naissance.Aucun S. avenae ovipare n'a été produit jusqu'à la troisième génération. Aucun ovipare n'a été produit avec des photopériodes supérieures à 13 H 30 à 10°C, 13 H à 15°C et 8 H à 20°C. La proportion d'individus produisant des ovipares à 15°C a été plus faible qu'à 10°C pour toutes les photopériodes, et à cette dernière température beaucoup plus de vivipares étaient gynopares que virginopares.Les basses températures ont été vraisemblablement le facteur dominant de stimulation de la production de mâles de S. avenae, mais cependant il semble qu'un plus grand nombre de mâles a été produit aux températures et photopériodes intermédiaires qu'aux extrêmes.La capture de mâles ailés de S. avenae dans des pièges à succion a été généralement limitée à Octobre-soit à peu prés le moment prévu par les expériences de laboratoire. Des mâles de S. avenae sont aussi capturés fréquemment et été, ce qui peut être lié à des hivers précédents doux.
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10.
The reproductive biology of G. pallidipes Austen was studied at 28°, 25° and 22° C. Experiments showed that incubation of puparia at 28° C resulted in sterility of both males and females. Incubation at 22° C resulted in a reduced fecundity of the females due to egg retention; the fertility of the males was not affected.Comparative studies with G. m. morsitans Westw. showed that G. m. morsitans puparia are less affected by a temperature of 28° C than are G. pallidipes puparia.
Effet de la température sur la reproduction de Glossina pallidipes, avec référence à G. m. morsitans
Résumé Les productivités de G. pallidipes Austen élevés au laboratoire pendant tout leur cycle à 22, 25 et 28° C, ont été comparées.A 28° C, la vie intrapupale est réduite à environ 23 jours, contre 30 jours environ à 25° C; la survie des adultes est plus brève qu'à 25° C et les mouches ne s'accouplent pas. Les ovaires présentent une rétention d'oeufs et seulement 1/3 des mâles contient des spermatozoïdes mobiles. A 22° C, le cycle est considérablement prolongé, la vie intrapupale durant environ 40 jours. Les femelles s'accouplaient environ 14 jours après l'émergence. Les ovaires présentaient une rétention d'oeufs, bien que moins souvent qu'à 28° C. Les mâles contenaient des spermatozoïdes mobiles.Des expériences avec changements de température à différents moments du cycle ont montré que la stérilité des mâles et des femelles est provoquée par l'incubation de pupes de G. pallidipes à 28° C. La mensuration des ovocytes montre à 28° C un effet nocif sur leur maturation. Des observations sur les testicules dans les pupes révèlent, par comparaison avec 25° C, que l'enroulement des testicules et des spermatozoïdes est retardé à 28° C, tandis que la pigmentation des testicules est retardée à 22° C. Les pupes de G. m. morsitans sont moins affectées à 28° C que celles de G. pallidipes.
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11.
Maximum consumption rates were determined for two carabids, Bembidion lampros Herbst. and Pterostichus cupreus L., feeding on the cereal aphid Rhopalosiphum padi L. at different temperatures in the laboratory. Mean daily consumption increased with increasing temperature for both species, B. lampros consuming a maximum of 16 1–3 instar nymphs and 9 apterous adult aphids at 25°C. P. cupreus was particularly voracious and consumed 125 apterous adult R. padi per day at 20°C. The behaviour of both species was analysed by video filming starved beetles, maintained at different constant temperatures, in arenas sown with spring barley. The behavioural components (1) still; (2) run/walk; (3) search and (4) confrontation were identified and were common to both species. P. cupreus was more active over the temperature range tested; B. lampros was inactive under 10°C. The proportion of time spent searching, number of plants searched, and velocity increased with increasing temperature for both species. When observed in similar arenas seeded with R. padi colonies, individuals of P. cupreus significantly increased their time spent searching in arenas with increasing aphid density. Following discovery of an aphid colony, individuals climbed and searched the host plant and its nearest neighbours. Plants in aphid free arenas were rarely climbed. B. lampros was not observed climbing in either aphid free arenas or in arenas with increasing aphid densities, and did not significantly increase its time spent searching in response to increased prey density. The few B. lampros that found aphids caught them walking on the soil surface. The relative efficiences of these two carabids as predators of R. padi are discussed, and the results are compared with similar studies elsewhere with predators of Sitobion avenae on winter wheat.
Résumé Les taux maximum de consommation de R. padi L. à différentes températures ont été déterminés au laboratoire chez deux carabes, B. lampros Herbstet P. cupreus L. La consommation moyenne a augmenté avec la température chez les deux espèces, B. lampros consommant un maximum de 15,9 larves des stades 1 à 3 et 9,1 pucerons adultes aptères, à 25°C. P. cupreus a été particulièrement vorace et a consommé 125,3 adultes aptères par jour à 20°C. Le comportement des deux espèces a été observé en filmant en vidéo des carabes à jeun, maintenus à différentes températures constantes, dans des enceintes semées en orge de printemps. Des éléments du comportement, communs aux deux espèces, ont été définis: 1) immabilité, 2) marche et course, 3) recherche, 4) affrontement. P. cupreus a été plus actif à toutes les températures, B. lamprosa été inactif au-dessous de 10°C. La part de temps consacrée à la recherche, le nombre de plantes prospectées, et la vitesse ont augmenté avec la température chez les deux espèces. Dans des enceintes similaires colonisées par R. padi, P. cupreus a significativement augmenté le temps consacré à la recherche dans les enceintes, parallèlement à l'augmentation de la densité des pucerons. Après la découverte d'une colonie de pucerons, P. cupreus escalade et prospecte la plante et ses voisines immédiates; tandis que les plantes des enceintes sans pucerons sont rarement escaladées. B. lampros n'a pas été observé escaladant des plantes d'enceintes avec ou sans pucerons, et il n'a pas accru son temps de prospection en fonction de la densité de pucerons. Les quelques B. lampros qui ont capturé des pucerons l'ont fait lorsque ceux-ci marchaient sur la surface du sol. La discussion a porté sur l'efficacité relative des deux carabes comme prédateurs de R. padi, et les résultats ont été comparés à ceux d'études du même type, menées ailleurs, avec des prédateurs de Sitobion avenae sur blé d'hiver.
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12.
Mythimna convecta adults, reared at 22°C on semi-artificial diet or oat seedlings (Avena sativa L.), were exposed to a range of constant temperatures between 10° and 30°C. Pre-oviposition period and adult life span were inversely proportional to temperature. Mean life span was significantly longer in virgin than in mated females. Actual fecundity and fertility of eggs peaked at 20°C and declined towards both high and low temperatures. Most eggs were laid during the first few days after mating, irrespective of temperature. Potential fecundity varied with pupal weight and larval nutrition. Mean daily oviposition was expressed as % potential fecundity realized and, like survival, the relationship with time was summarized using non-linear regression models. The optimum temperature for the survival of males and virgin females was 22.5°C.
Résumé Des adultes de Mythimna convecta, élevés à 22° avec un aliment semi-artificiel ou sur des pousses d'Avena sativa L, ont été exposés à une gamme de températures constantes entre 10 et 30°. Les durées de la période précédent la ponte et la longvité ont été inversement proportionnelles à la température. La longvité des femelles vierges était significativement supérieure à celle des femelles accouplées. La fécondité réelle et la fertilité des oeufs ont été maximales à 20° et se sont abaissées tant pour les températures faibles qu'élevées. Quelle que soit la température, plus d'oeufs ont été pondus dans les jours suivant l'accouplement. La fécondité potentielle changeait avec le poids des nymphes et l'alimentation larvaire. La ponte moyenne quotidienne a été déterminée comme la pourcentage exprimé de la fécondité potentielle, et, ainsi que la survie, la relation avec le temps a été résumée en utilisant des modèles de régression non-linéaires. La température optimale pour la survie des mâles et des femelles vierges a été de 22.5°.
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13.
Developmental history and behavior of Eretmocerus mundus Mercet, a parasitoid of Bemisia tabaci was studied at 25°C. The eggs may be laid under all four nymphal instars but not under the pupa. Yet the second and third instars are preferred. The egg hatches only under the fourth instar or the pupa. Developmental medians at 25°C are: Instar I-2.5, II-4, II-4, prepupa-2 and pupa 8 days. When ovipositing, the female stands at an angle of 90° to the host, with wings raised and inserts the ovipositor under the whitefly nymph. The egg is laid close to the insertion point of the whitefly's proboscis into the leaf. After oviposition, the female apparently marks the host while drumming on it with her hind legs. She distinguishes already parasitized hosts from unparasitized ones and refrains from laying under the former. Discrimination is accomplished after antennal drumming only.
Les parasitoïdes de Bemisia tabaci (aleyrodidae) en Israel: développement, ponte et sélection des hôtes ches Eretmocerus mundus (aphelinidae)
Résumé Le développment et le comportement de E. mundus, parasitoïde de B. tabaci, ont été étudiés à 25°C. Les oeufs sont pondus sous les quatre stades larvaires (les deuxième et troizième sont préférés) mais pas sous les nymphes. Les oeufs n'éclosent que sous les larves du quatrième stade ou les nymphes. Les temps de développement médiaux sont à 25°, les suivants: stade I: 2,5j; stade II: 4j; stade III: 4j et nymphe 8j. Pendant la ponte, la femelle est à 90° sur son hôte, les ailes dressées, et insère sa tarière sous la larve d'aleurode. L'oeuf est déposé près du point d'insertion de la trompe dans la feuille. Après l'émission, la femelle marque apparemment son hôte pendant qu'elle tambourine avec ses pattes postérieures. Elle distingue les hôtes parasités ou non, et limite sa ponte dans les premiers. La sélection est effectuée seulement après tambourinage antennaire.
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14.
The developmental threshold and heat-unit requirements for larval eclosion of the winter moth, Operophtera brumata (L.) [Lepidoptera: Geometridae], were determined from experiments involving eggs exposed to various chilling and warming treatments. The developmental threshold was determined to be 4 °C. Eggs which were chilled below the developmental threshold required fewer heat-units for larval eclosion than did eggs not given a chill treatment. Eggs cultured at 14 °C required 470 (±47) degree-days for 50% larval eclosion. However, eggs chilled for 2 weeks at 1 °C and subsequently placed at 14 °C required 382 (±33) degree-days while eggs chilled for 12 weeks at 1 °C and subsequently placed at 14 °C required 156 (±12) degree-days. The results are discussed in relation to chilling intensity, diapause, and physiological-time models.
Résumé Le seuil de développement et la quantité de chaleur nécessaires pour l'éclosion larvaire chez Operophtera brumata (L.) (Lepidoptera: Geometridae) ont été déterminés en exposant les oeufs à différents régimes de refroidissement suivis de périodes de réchauffement. Le seuil de développement déterminé est de 4 °C. Les oeufs placés d'abord à des températures inférieures à celle du seuil de développement demandent moins de quantité de chaleur pour l'éclosion larvaire, que les oeufs qui n'ont pas été exposés à de basses températures. Les oeufs maintenus à 14 °C demandent 470 (±47) degrés-jours pour permettre 50% d'éclosion. Cependant, des oeufs maintenus pendant 2 semaines à 1 °C, puis à 14 °C, exigent 382 (±33) degrés-jours; ceux placés pendant 12 semaines à 1 °C, puis à 14 °C, en exigent 156 (±12). Les résultats sont discutés en relation avec l'intensité du refroidissement, la diapause et les modèles physiologico-temporels.
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15.
Rates of development ofEpisyrphus balteatus (Diptera: Syrphidae) indicate that three generations are possible during the season. Only one develops in the wheat crop. Feeding activity is highest during the night. Functional response curves for newly hatched larvae, 1 and 5 day-old larvae were determined. The high rate of reproduction and the short feeding period makeE. balteatus an excellent exploiter of a temporary habitat: a cereal aphid colony.
Episyrphus balteatus (Syrphidae), prédateur deSitobion aveane (Aphididae) sur blé d'hiver
Résumé Les durées de développement deE. balteatus dépendent de la température. L'incubation a duré 14.2 jours à 7.5°C et 1.59 jour à 25°C. Le développement larvaire jusqu'à la dernière défécation a demandé 35.8 jours à 7.5°C, et 10.1 jours à 20°C. Seule une génération peut se développer chaque année sur blé d'hiver, car la durée totale de l'ontogenèse, dans les conditions de température des champs, est comprise entre 30 et 45 jours. Les larves s'alimentent surtout la nuit. La prédation maximale à 20°C augmente avec l'âge de la larve, depuis 2.34 pucerons du troisième stade par jour pour une larve de syrphe néonate jusqu'à 5.04 pucerons du troisième stade quand les larves ont un jour. Les consommations les plus élevées, de 38.6 et 42.7 pucerons par nuit de 7 heures, ont été obtenues avec des larves de 4 à 5 jours, élevées à 21/13°C.A 20°C, le temps consacré à l'alimentation par des larves néonates de syrphes augmente avec la taille de la proie; il passe de 63.6 min pour des pucerons du premier stade à 131.2 min pour ceux du second stade. La relation entre le poids de la larve et le nombre de pucerons consommés est linéaire.E. balteatus a besoin, pour son développement, de moins deS. avenae que deA. fabae.
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16.
Population dynamics of the blackfaced leafhopper, Graminella nigrifrons (Forbes) (Homoptera: Cicadellidae), was studied at five temperatures (18, 21, 24, 27, & 30°C) in the laboratory on seedling maize (Zea mays L.), oats (Avena sativa L.), and the perennial johnsongrass (Sorghum halepense (L.) Pers.). Effects of temperature and host plant on egg to adult mean development time, adult size and weight, and fecundity were determined. Leafhoppers on all three hosts developed fastest at the highest temperature tested (21.3 days), and slowest at the lowest temperature tested (73.2 days). The duration from first to last adult eclosion was shortest at 30°C, (11.5 days) and longest at 18°C (43 days). The sex ratio of males to females did not differ from 1:1, but males developed an average of 1.2 days faster than females on all three hosts. Mean percent development/day ranged from 1.4% at 18°C to 4.7% at 30°C. The relationship of this development rate and temperature was determined using both a linear model and a variable parameter biophysical model. Based on these models, the developmental threshold is estimated at 12–15°C. The lowest temperature yielded larger and heavier adults (312 g, dry weight) than did the highest temperature (225 g). Fewer leafhoppers developed on the perennial than the annuals at 30°C and fewer on the annuals than the perennial at 18°C. Our results suggest that early in the season johnsongrass and perhaps other perennials are the superior developmental hosts for this leafhopper, whereas in midsummer when temperatures are highest, annuals are the better hosts.
Résumé La dynamique des populations (durée de développement de l'uf à l'adulte, poids et taille des adultes, fécondité) de G. nigrifrons Forbes (Homop. Cicadellidae) a été étudiée au laboratoire à 5 températures sur plantules de maïs (Zea mays L.), avoine (Avena sativa L.) et sorgho vivace (Shorgum halepense (L.) Pers.). Sur les 3 plantes, les mâles se développent en moyenne 1,2 j plus vite que les femelles. Les relations entre vitesse de développement et température ont été déterminées en utilisant à la fois un modèle linéaire et le modèle biophysique à 2 paramètres de Sharpe & DeMichele (1977).Les températures plus basses donnent des adultes des 2 sexes plus gros et plus lourds. Moins de G. nigrifrons se sont développés sur la graminée vivace que sur les 2 graminées annuelles à la température la plus élevée (30°C), tandis qu'à la température la plus basse (18°C) moins de cicadelles se sont développées sur les graminées annuelles. La température semble jouer un rôle significatif en déterminant l'adéquation des plantes comme hôtes convenant au développement de G. nigrifrons. Le potentiel de ponte de cette cicadelle avait été sous-estimé par les étudies précédentes.
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17.
Walking speeds of female Trichogramma exiguum Pinto & Platner were fastest on maize and soybean (12 cm/min), intermediate on tomato (8 cm/min), and slowest on woolly mullein, Verbascum thapsus (3 cm/min). Similarly, rates of turning along the paths of walking T. exiguum were smallest on maize (median angle=0°±15°), intermediate on soybean and tomato, and greatest on V. thapsus (median angle=30°±15°). Leaf trichome density and morphology influenced walking behavior. Walking was slowed and flight initiation delayed for T. exiguum walking on Amaranthus hybridus leaves compared to either maize or filter paper. When inundative releases are conducted, the effects of plant surfaces on searching rates and arrestment should be considered in determining release rates of Trichogramma spp.
Résumé La vitesse de marche a été déterminée en lâchant des individus sur chaque substrat végétal et en traçant leur parcours sur une plaque de verre placée à 9 mm au dessus du sujet. Les déviations angulaires de portions successives des tracés, longues de 1 mm, ont été utilisées pour mesurer les taux de changement de direction. Dans une deuxième expérience, des individus ont été lâchés au milieu d'une cercle de 40 mm de diamètre sur chaque substrat et les temps écoulés avant l'envol ou pour atteindre le bord du cercle à la marche ont servi à évaluer respectivement la propension au vol et la vitesse de déambulation.Les vitesses de marche ont été plus rapides sur maïs et soja (12 cm/min), moyennes sur tomate (8 cm/min) et les plus lentes sur Verbascum thapsus (Scrophulariaceae) (3 cm/min). De le même façon, les angles de changement de direction au cours des marches effectuées par T. exiguum ont été plus petits sur maïs, moyens sur soja et tomate, et plus grands sur V. thapsus. Chez T. exiguum marchant sur des feuilles d'Amaranthus hybridus L. (Amaranthaceae), la marche a été plus lente et l'envol plus tardif que sur maîs ou papier filtre.Lors de lâchers inondatifs, les effets des surfaces végétales sur les vitesses d'exploration et d'arrêt devraient être pris en compte pour déterminer les vitesses de lâcher des Trichogramma spp.
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18.
Life table studies were conducted to assess the effect of constant temperature on the rate of population growth of the cassava mealybug, Phenacoccus manihoti Matile-Ferrero. Four temperatures, between 20 and 30.5°C, were tested. An inverse relationship was observed between temperature and most demographic parameters.The intrinsic rate of natural increase (rm) increased from 0.1 at 20°C to 0.2 at 27°C and 30.5°C. The net reproductive rate varied between 426.3 at 30.5°C and 584.7 at 20°C. The mealybug population reached 50% mortality after 37.5, 21.5, 19.0 and 19.0 days respectively at 20, 23.5, 27 and 30.5°C. The results indicate that P. manihoti can persist and increase in numbers within the range between 20 and 30.5°C.
Influence de températures constantes sur les taux de croissance de populations de la cochenille du manioc Phenococcus manihoti
Résumé Des tables de vie ont été établies pour déterminer l'effet de températures constantes sur les taux de croissance de populations de la cochenille du manioc, Phenacoccus manihoti Mat.-Ferr., et ainsi comprendre les changements au sein des populations du ravageur dans les champs et mener à bien le programme de lutte biologique organisé à l'I.I.T.A. contre cette cochenille. P. manihoti, introduit à partir de l'Amérique latine en Afrique, y menace la production du manioc (Manihot esculenta Crantz).Le taux intrinsèque d'accroissement natural (rm) a augmenté de 0.114 à 20°C, à 0.185 à 27°C, avant de descendre à 0.182 à 30.5°C. Le taux net de reproduction (Ro) a été relativement élevé (426–584 oeufs femelles/génération). Dans nos conditions expérimentales, la mortalité a atteint 50% au bout de 37.5, 21.5, 19.0 jours respectivement à 20, 23.5, 27 et 30.5°C. La durée du cycle et le coefficient d'accroissement () étaient inversement liés à la température. Le ravageur possède la capacité de doubler sa population en 6.08 jours à 20°C alors que 3.81 jours seulement suffisent pour doubler la population à 30.5°C.Ces résultats nous ont permis de comprendre et d'expliquer l'énorme pouvoir de pullulation de la cochenille observé dans les champs pendant la saison sèche; il s'ensuit que les lâchers des entomophages produits en élevages doivent se faire très tôt au début de la saison sèche, afin de contrecarrer la grande fertilité et la capacité d'augmentation rapide des populations de P. manihoti.
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19.
Diets prepared from lyophilized and powdered current-year (1983) shoots of white spruce Picea glauca (Moench) Voss were offered to 6th-instar larvae of spruce budworm, Choristoneura fumiferana (Clemens) (Lepidoptera: Tortricidae). With increasing age of current-year shoots, time to pupation increased whereas survival, assimilation efficiency, efficiency of conversion of diet to moth biomass, and moth dry weight generally decreased. Sex of the larvae influenced amount ingested, time to pupation, and subsequent moth weight but not survival, assimilation efficiency, and efficiency of conversion of diet to moth biomass.
Résumé De la poudre lyophilysée de pousses de l'année de Picea glauca a été introduite dans le régime de chenilles du 6ème stade de Choristoneura fumiferana: 20% de poudre de pousses, 1.2% de gélifiant, 78.8% d'eau. Il est ainsi possible de déterminer à 2 mg près la quantité d'aliment consommée par chaque chenille, et, ainsi, de calculer, pour chacune, l'indice alimentaire, dont la prise de nourriture est l'une des variables. Avec de tels régimes préparés à partie de pousses recueillies au cours de 1983, on a constaté que la date de nymphose, la quantité consommée, et le poids ultérieur des papillons dépendaient du sexe de la chenille. En général, les chenilles femelles se nymphosent plus tard, consomment plus et donnent des papillons plus lourds (poids sec) que les chenilles mâles. L'efficacité de l'assimilation et celle de la transformation en biomasse de papillon ne différent pas suivant les sexes, c'est-à-dire qu'ils ont la même aptitude à digérer les pousses. Les taux de survie de chenille à nymphe et de nymphe à imago ne différent donc pas.Cependant, certains de ces paramètres et d'autres changent en fonction de l'âge des pousses annuelles. Quand elles ont été récoltées 7 jours après le débourrement (il a lieu le 20 mai), la survie jusqu'en nymphe est de 93% contre 74% de survie totale; avec des pousses récoltées 52 jours après le débourrement (11 juillet) les taux de survie sont respectivement 7% et 1.4%; avec des pousses récoltées 146 jours après le débourrement (13 octobre) les survies sont 71% et 50%. Des pousses récoltées 28 jours ou plus après le débourrement, retardent la date de nymphose de 25% par rapport à celles récoltées entre 7 et 14 après le débourrement; parallèlement, elles abaissent l'efficacité de l'assimilation de 39%, l'efficacité de conversion de la biomasse de 125%, et le poids des papillons de 54%. Ces changements sont liés à une diminution de la teneur en azote des pousses de 2.1% à environ 1% du poids sec. Cependant la corrélation entre la survie des chenilles et la teneur en azote n'est pas rigoureuse et un facteur encore inconnu est supposé responsable de l'augmentation de la mortalité quand les chenilles consomment (dans leur régime) des pousses récoltées début juillet, 52 jours après le débourrement. Les travaux destinés à identifier ce facteur inconnu sont en cours.
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20.
The duration of larval and pupal stages of two species of predatory flies was investigated at five constant temperatures. Ilione albiseta (Scopoli): Mean duration of first and second instars was shortest at 23°C and there was 100% survival of first instar larvae at all temperatures. Mean third instar larval duration decreased from 104 days at 17°C to 27.5 days at 26°C. Total percentage larval survival was greatest at 17°C and least at 26°C. Mean pupal duration decreased as temperature increased and this occurred also under outdoor conditions. Pherbellia cinerella (Fallén): As temperature increased mean larval duration decreased but the percentage of larvae pupating also decreased (100% at 14°C, 33.3% at 26°C). There was a trend for shorter mean pupal durations at higher temperatures.
Résumé L'action de la température a été examinée à 14, 17, 20, 23 et 26°C. Les 2 espèces sont prédatrices de L. truncatula, vecteur de la douve du foie en Irlande, où elle provoque à l'àgriculture une perte évaluée à 10 millions de livres par an. Les données recuellies en conditions contrôlées du laboratoire doivent permettre de définir les conditions optimales pour l'élevage continu de ces espèces. Ceci est indispensable pour évaluer, dans la nature leurs potentialités pour la lutte biologique. Ilione albiseta: C'est à 23°C que le développement des larves de premier et second stades sont les plus brefs; la survie du premier stade est totale à toutes les températures constantes examinées. La durée moyenne du 3ème stade décroît de 104 jours à 17°C jusqu'à 27,5 jours à 26°C. Le taux de survie total est plus élevé à 17°C qu'à 26°C. La durée moyenne de la nymphose diminue quand la température croît, et ceci se produit aussi à la température ambiante extérieure. On réduit de moitié la durée du développement de l'éclosion de l'oeuf à l'apparition de l'adulte, entre la nature et le laboratoire, en utilisant respectivement: 23°, 17° et 26°C pour les premier et second stades, le troisième stade, la nymphé. Cela devrait aider à multiplier la souche pour la lutte biologique. Pherbellia cinerella: Avec élévation de la température la durée du développement larvaire diminue, mais aussi le nombre de larves parvenant à la pupaison (100% à 14° et 33,3% à 26°C). La nymphose tendait à être plus brève aux températures les plus élevées.
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