首页 | 本学科首页   官方微博 | 高级检索  
相似文献
 共查询到20条相似文献,搜索用时 31 毫秒
1.
Conclusions De tous les éléments du milieu que nous avons étudiés, ce sont la stabilité et le niveau du terrain, par rapport aux marées, qui ont le plus d'importance pour la végétation de la barrière de coquillages. La stabilité du sous-sol dicte la présence ou l'absence de végétation, tandis que la répartition des zones de végétation est déterminée par le niveau du terrain, lequel est soumis à l'action des eaux de la mer. C'est le niveau du terrain qui détermine la salinité du sol et la mesure du succès avec lequel les sauvageons s'enracinent aux bas niveaux.  相似文献   

2.
Résumé 58 échantillons de sol sont collectés dans des parcelles cultivées en blé du Centre et de l'Ouest de la France. Ces sols sont répartis en pots, infestés ou non par une souche agressive ou hypoagressive deGaeumannomyces graminis var.tritici et cultivés en blé pendant 3 mois. Les plantes sont alors arrachées pour appréciation du niveau de maladie et mesure du volume de racines développées dans chaque sol. L'analyse en composantes principales réalisée sur ces variables biologiques et les caractéristiques physicochimiques des sols montre que le niveau de la maladie observé est corrélée négativement avec le niveau potassique et la teneur en sable, corrélé positivement avec la teneur en limon. Dans certains sols il a pu être constaté un développement plus important du système racinaire à la suite de l'infestation par l'un ou l'autre des champignons et l'analyse révèle que ce phénomène est en étroite relation avec la teneur en manganèse échangeable.  相似文献   

3.
René Molinier 《Plant Ecology》1959,8(5-6):340-383
Conclusions La Provence apparaît, en définitive, comme un territoire des plus variés aux divers points de vue climatique, édaphique, biotique.C'est une région d'autant plus favorable aux études phytosociologiques que la variété des milieux s'y double d'une brutalité souvent étonnante des contrastes, conduisant à la juxtaposition parfois extrêmement précise d'associations végétales très différentes, dont les limites peuvent alors être cartographiquement figurées avec une très suffisante exactitude.Cette vigueur des contrastes est surtout marquée en Provence calcaire où les divers termes des séries évolutives dérivant du Quercetum ilicis climacique ou y conduisant, se juxtaposent souvent sans transition de quelque importance.Les contrastes sont cependant moins accusés en Provence cristalline et dans la Basse-Vallée du Rhône.En Crau comme en Camargue, les associations végétales se juxtaposent souvent en ceintures parallèles ou concentriques — elles s'individualisent alors facilement —, souvent en mosaïques irrégulières, au grè des variations locales des deux facteurs déterminants: l'eau en Crau, le sel en Camargue.En Provence cristalline, les Maures étant surtout faites de roches se délitant facilement (grès, micaschistes et phyllades) sous un climat chaud et humide, le sol se reconstitue facilement après sa destruction partielle par l'érosion; les contrastes sont moins tranchés; on observe des transitions nombreuses entre les divers termes des séries évolutives, dont les limites ne peuvent être fixées qu'approximativement. Nous y avons notamment abordé le problème de la forêt de chêne-liège dont la signification est loin d'être connue, non seulement en Provence mais sur toute l'étendue de son aire, en Afrique du Nord, en Espagne, au Portugal, en France méridionale, en Italie et dans les Iles de la Méditerranée occidentale.En provence cristalline, il est certain que l'homme en a considérablement assuré l'extension, directement pour l'utilisation du liège, indirectement par la coupe et le feu, et, en bien des points de la Méditerranée occidentale, le chêne-liège se présente comme une essence cultivée.Par ailleurs rien ne permet de mettre en doute son indigénat. Mais, dans les conditions actuelles du milieu en Provence cristalline:le chêne vert est possible partout;dans les conditions naturelles de la concurrence vitale le chêne vert l'emporte sur le chêne-liège.Si, donc, la forêt originelle a comporté le chêne-liège, ce ne peut être qu'à l'état d'essence secondaire et seulement en quelques points où une faible couverture forestière lui permettait de cohabiter avec le chêne vert.Les documents cartographiques au I/20 000e tendent à montrer, d'aileurs que, dans les conditions naturelles de reconstitution de la forêt ou dans le peuplement naturel des sols neufs (Isthme de Giens), c'est la chênaie de chêne vert, non la chênaie de chêne-liège qui s'installe.Les grandes unités phytosociologiques de la Provence paraissent être maintenant convenablement définies floristiquement; il convient donc d'en poursuivre l'étude écologique, dont certains aspects seulement les plus apparents—mais peut-être pas toujours les plus actifs-, ont été abordés.Notons enfin la démonstration faite, au cours de l'excursion, de la parfaite application possible des méthodes phytosociologiques à l'étude des groupements marins et la nécessité, particulièrement apparente en milieu marin, de considérer tout autant les animaux que les végétaux. L'avenir est bien aux biocénoses dont les grands traits ont été mis en évidence, quant à la côte de la presqu'île de Giens, par Roger Molinier.Reçu par la rédaction le 20. XII. 1958.avec la collaboration de ROGER MOLINIER pour la partie marine et G. TALLON pour la Camargue.  相似文献   

4.
Conclusions Sur la côte méditerranéenne française, entre l'Ouest de Sausset (dans la Chaîne de la Nerthe à l'Ouest de Marseille) et la frontière italienne existe un étage climacique exigeant plus de chaleur que le Quercetum ilicis: l'Oleo-Ceratonion.Eliminé de la dépression rhodanienne par des hivers trop froids en rapport avec la fréquence du mistral qui la balaie fréquemment, ce climax débute sur la côte Sud de la Nerthe où il se localise, comme aux Iles du Frioul et dans les calanques entre Marseille et Cassis, dans quelques fonds de vallons particulièrement chauds.En Provence cristalline, avec un climat plus humide et plus chaud, surtout moins froid en hiver avec des minima absolus moins bas, ce climax se développe davantage, mais les maquis à Myrte, Olivier, Lentisque sous Pin d'Alep qui les représentent, se localisent encore strictement sur le littoral, et dans les fonds de vallons chauds du versant Sud des Maures occidentales où ils atteignent 100, 200 m et plus d'altitude.Dès le Cap Bénat et le Lavandou s'ajoutent des vastes peuplements à Euphorbia dendroides qui étendent le domaine actuel de l'Oleo-Lentiscetum aux pentes rocheuses qu'iis colonisent jusqu'à plus de 300 m d'altitude.La localisation stricte de l'Oleo-Lenticetum entre la bordure halophile et 20–30 m d'altitude seulement aux Iles d'Hyères beaucoup moins dégradées que la côte voisine des Maures, montre que ce climax côtier ne doit son extension actuelle jusqu'à plusieurs kilomètres vers l'intérieur et plus de 300 m d'altitude dans les Maures qu'à une progression récente en rapport peut-être avec un assèchement général du climat, certainement avec le recul, par destruction, des Chênaies de Chêne vert ou de Chêneliège.Dans l'Estérel, l'Oleo-Ceratonion sensu stricto—avec Ceratonia et Euphorbia dendroides—apparait et prend son plein développement entre Nice et Menton, de 0 à 300 m d'altitude.Les limites de ce climax et sa composition floristique sont à préciser en Italie où il doit être mieux représenté dans la partie Sud de la péninsule que plus au Nord où je l'ai vu entre Gênes et le Nord de Rome.C'est à cet étage climacique sous-jacent à celui du Quercetum ilicis que se rattachent les maquis littoraux à Myrte, Olivier, Lentisque, Laurier-rose de Corse où ils atteignent un développement plus considérable qu'en France continentale.L'Oleo-Ceratonion a servi de refuge, lors des dernières grandes glaciations, à de nombreuses espèces dont il a permis le maintien à l'état spontané sur le territoire français. Et c'est peut-être la raison principale de la richesse de certains territoires côtiers de la France méditerranéenne en endémiques. Là peuvent très bien avoir persisté à l'état spontané en particulier l'Olivier, le Laurier-rose, le Caroubier, la Vigne, le Figuier. De là, le Pin d'Alep est peut être parti pour s'étendre largement en Provence et en Languedoc.L'Oleo-Ceratonion au sens large s'étend, toujours en dessous de l'étage du Quercetum ilicis, depuis l'étage semi-aride d'Emberger à l'étage humide c'est-à dire essentiellement dans tout l'étage méditerranéen sub-humide (tempéré) défini par cet auteur. Il est probable qu'aux limites inférieures de cette aire de répartition il passe à d'autres associations affines mais différentes (en Afrique du Nord). L'Oleo-Ceratonion se cantonne dans les régions méditerranéennes à hivers chauds (m > 3 ou 4°) de la Côte d'Azur et de la Corsé, en France; il laisse au Quercetum ilicis, les parties de la région méditerranéenne où la movenne m des minima du mois le plus froid descend largement au-dessous de + 3° ou + 4°.Ce sont probablement ces exigences thermiques qui expliquent la continuité de plus en plus grande des peuplements à Myrte-Olivier-Lentisque, et leur extension altitudinale croissante lorsqu'on gagne de Marseille vers la frontière italienne. Sans doute faut-il considérer tous ces peuplements comme des irradiations, des infiltrations d'un climax de régions chaudes normalement plus méridionales que le Sud-Est méditerranéen français dans lequel, à l'origine—post-glaciaire tout au moins—ils n'ont été conservés qu'en un petit nombre de stations particulièrement favorables d'où ils sont partis pour étendre à nouveau leur aire.L'existence de ce climax justifierait que soit distingué un district ligurien ou pré-ligurien comme le proposait A. Chevalier (1916–18) après Flahault pour la zone à Oleo-Ceratonion, mais en étendant ce district vers l'Ouest, suivant l'étroite bande côtière où, jusqu'à l'Ouest du port de Sausset — à l'Ouest de Marseille — cette Alliance est représentée.  相似文献   

5.
Résumé Au début du printemps les adultes de Coccinella septempunctata L. (Col., Coccinellidae) issus des sites d'hivernation, les larves et les nymphes qui en proviennent, fréquentent le sol et les parties basses du blé. En juin, les adultes nés dans le champ et leur descendance sont dispersés sur toute la hauteur des talles bien qu'une fraction non négligeable de leur population se rencontre à l'extrémité supérieure. La plupart des pontes sont déposées sous les mottes de terre, les pierres et les petites adventices qui constituent des sites privilégiés. Ces variations de la distribution de cette coccinelle peuvent être mises en relation avec le climat, en particulier la température, avec la thermophilie de cette espèce et avec la répartition sur les différentes parties des talles des 3 espèces de puceron qui se succèdent au cours de la saison. Ces observations sont importantes à considérer lors du choix ou de la mise au point d'une méthode d'échantillonnage.  相似文献   

6.
The weight of lime aphids consumed by B. angulatus increases at an increasing rate during nymphal development, with the fifth instar contributing 50% of the total consumption. Males and females reach different adult weights, but show no difference in food consumption. The efficiency of conversion of aphid food into body tissues diminishes from the third instar onwards. Females continue to oviposit for 5 weeks at least, laying on average just over one egg per day. The daily food requirements of ovipositing adult females increase as they get older, being more than twice as great as those of fifth-instar nymphs. Nymphs can tolerate a less than optimal food supply, and in the early instars they can compensate for an inadequate diet by converting food into body tissues with increased efficiency. Teneral adult weight is, however, proportional to the weight of food consumed during the fifth instar. B. angulatus can develop successfully on parasitized aphids and can utilise honeydew to prolong survival and, to a limited degree, to increase in weight. Leaf tissue has no significant value as a source of food.
Résumé Les besoins alimentaires de B. angulatus ont été étudiés au laboratoire à une température de 14 degrés.Quand B. angulatus est largement approvisionné avec des pucerons du tilleul, sa consommation de nourriture s'accroît de plus en plus au cours du développement, de même que son poids, de sorte que le 5ème stade larvaire absorbe un peu plus de 50% du poids total de pucerons consommés pendant toute la durée du développement larvaire. Ce 5ème stade larvaire est plus long que le 4ème, lequel est également plus long que chacun des trois premiers stades. La consommation journalière est moindre au début et à la fin de chaque stade, en particulier dans les derniers stades.Le prédateur consomme jusqu'à 90% du poids du corps de la proie. Quand les pucerons lui sont donnés en excès, la larve du 5ème stade de B. angulatus tend à tuer plus de proies qu'elle n'en consomme, ce qui sans doute est dû à la stimulation provoquée par la proie.Le rendement de croissance (efficience de la transformation du poids d'aphides absorbés en poids du corps du prédateur) diminue à partir du 3ème stade larvaire (de 46% pour le ler stade à 19% chez les adultes femelles). Au 5ème stade larvaire le rendement de croissance des mâles est significativement plus faible que celui des femelles, de sorte que les mâles sont plus légers que les femelles à l'état de maturité, bien que les deux sexes consomment le même poids de pucerons.Les femelles adultes commencent à pondre environ deux semaines après la mue imaginale et chacune dépose en moyenne 44 ufs, environ 1, 2 par jour. Les besoins alimentaires des femelles adultes en cours de ponte s'accroissent avec leur âge; leurs besoins journaliers en pucerons sont plus de deux fois aussi grands que ceux des larves du 5ème stade.Les larves peuvent supporter un apport en nourriture réduit par rapport à l'optimum.La résistance à la restriction alimentaire est plus grande au 3ème stade larvaire qu'aux ler et 5ème stades. Le ler et le 3ème stade larvaire peuvent compenser une réduction de l'apport alimentaire, par un meilleur rendement de croissance, ce que ne peuvent faire les larves du 5ème stade. B. angulatus peut se développer de façon satisfaisante en se nourrissant de pucerons parasités et momifiés. Il peut aussi utiliser le miellat en cas de disette ce qui lui permet d'accomplir un développement partiel, d'un stade au suivant, mais pas au-delà. En moyenne B. angulatus ne survit pas plus longtemps quand on ne lui offre que de l'eau ou des feuilles de tilleul, l'insecte peut en effet piquer celles-ci, pour lutter contre la dessication.
  相似文献   

7.
Résumé Chez les souris du Basler Laboratoriumsstamm, atteintes d'une lésion dégénérative héréditaire du neuro-épithélium rétinien, les cellules visuelles se différencient de façon normale au cours de la première semaine post-natale. Les premiers signes de condensation et puis de pycnose nucléaires apparaissent au niveau de la granuleuse externe au moment même où s'ébauche la différenciation de l'article externe des bâtonnets. L'immense majorité des cellules visuelles disparaît au cours des deuxième et troisième semaines de la vie. Quelques rares cellules visuelles survivent pourtant jusqu'aux stades les plus avancés de l'affection dégénérative, et ces cellules conservent des bourgeons cytoplasmiques dont la structure rappelle celle des articles internes des bâtonnets.Parallèlement avec la disparition progressive des cellules visuelles, on observe la prolifération à partir de la région apicale de l'épithéliuni pigmentaire, d'un système lamellaire organisé qui entre en contact étroit avec les cellules visuelles subsistantes, et plus précisément avec ce qui reste de leurs articles internes.Une hypothèse est formulée, selon laquelle ce système lamellaire organisé pourrait être porteur d'un pigment photolabile et pourrait ainsi suppléer à l'absence des articles externes des bâtonnets. Le processus initial de l'excitation visuelle prendrait naissance au niveau de ce système membranaire organisé, l'état d'excitation se propageant ensuite à la membrane plasmique des restes d'articles internes.  相似文献   

8.
Apterous virginoparae of Megoura viciae Buckton starved during the fourth instar lost weight but nevertheless completed their development, showing that growth and development could proceed independently. Their weight at the end of starvation was a function of initial weight. Aphids used considerable amounts of lipid during starvation, and if allowed to feed on becoming adult showed a delayed onset to reproduction. Starvation in the fourth instar arrested embryogenesis, and in small aphids resulted in degeneration of gonadal and somatic tissues.
Résumé Des virginipares de M. viciae Buckton, privées de nourriture à partir de la mue au quatrième stade, achèvent leur développement et muent en adulte en perdant du poids; elles montrent que croissance et développement peuvent être indépendants. Le jeûne pendant le quatrième stade provoque en moyenne la perte de 84% des réserves lipidiques. Le poids à la mue imaginale dépend significativement du poids lors de la mue du quatrième stade: de petits pucerons achèvent leur développement plus lentement que les gros. Le jeûne pendant le 4ème stade interrompt l'ovulation et le développement des gonades; lorsque les adultes peuvent se réalimenter après ce jeûne, la période précédant la ponte est plus longue. L'examen histologique montre que les pucerons les plus petits subissent une régression somatique et gonadale plus importante que les plus lourds: la dégenérescence des gonades apparaît chez les petits pucerons après le jeûne au 4ème stade, tandis que les plus gros voient leur potentiel reproductif réduit par un arrêt de l'embryogenèse.
  相似文献   

9.
Résumé Les auteurs ont étudié quelques enzymes de la chaîne ganglionnaire chezEisenia foetida.La recherche histochimique a permis de révéler la présence dans les pyrénophores des cellules nerveuses d'une réaction positive pour la phosphatase acide, pour l'ATPase, pour la succino-déshydrogénase, pour la cytochrome-oxydase et pour les estérases. L'acétylcholinestérase est sourtout concentrée au niveau du tissu conjonctif de la chaîne ganglionnaire qui forme une gaine épaisse autour des neurocordes et qui enveloppe les pyrénophores ainsi que les différents faisceaux de fibres nerveuses. Dans le cas de tous les enzymes que les auteurs ont pris en considération, l'axoplasme des neurocordes, qui est pauvre en organules cellulaires et très fluide, ne révèle, même lorsque les fibres nerveuses du neuropylème présentent une activité assez nette (phosphatase acide, succino-déshydrogénase), aucune réaction ou, tout au plus, une réaction très faible. Les auteurs discutent les résultats auxquels ils ont abouti en les comparant `a ceux qu'ont obtenus d'autres auteurs qui ont étudié le système nerveux de certains Vertébrés ou Invertébrés.Avec 6 Figures dans le TexteL'agencement du travail est dû à A.Guardabassi.  相似文献   

10.
Conclusion L'hypothèse que nous venons d'esquisser n'est certainement pas une généralisation définitive et elle devra subir de nombreuses retouches avant de pouvoir englober tous les faits connus, mais n'est ce pas là le propre de toutes les généralisations à leur début?Actuellement la théorie du potentiel-force d'attraction et de l'adsorption orientée a le gros avantage d'expliquer la plus grande partie des faits bien établis, ce qui constitue un progrès incontestable et très précieux.  相似文献   

11.
Resumé Une étude en microscopie électronique de la structure des capillaires et des formations cellulaires qui les entourent a été faite au niveau du télencéphale, chez le Poulet, au cours du développement embryonnaire et de la croissance postnatale.L'endothélium capillaire est présent au premier stade embryonnaire étudié (embryon agé de 8 jours). La membrane basale se différencie vers le dix-neuvième jour du développement embryonnaire, et elle est précédée de l'apparition des péricytes qui restent inclus définitivement dans sa structure.L'espace extracellulaire dans l'environnement des capillaires, constitué par de larges lacunes au cours du développement embryonnaire, se réduit dès l'éclosion à des intervalles de 150–200 Å de diamètre. Les astrocytes et leurs prolongements (pieds vasculaires) atteignent leur complet développement, et entourent totalement le capillaire, vers le vingtième jour de la croissance postnatale.Nos observations mettent en évidence la relation étroite existant entre le développement des structures gliales péricapillaires et l'apparition de certains mécanismes du système de la barrière hémo-encéphalique chez le Poulet.
Ultrastructure of the capillaries in the developing telencephalon of the chicken
Summary An electron microscopical study was made of the structure of the capillaries and of the surrounding cell formations in the chick telencephalon, during embryonic development and postnatal growth.The capillary endothelium is present in the embryonic stage first studied (i. e. the 8-day old embryo). The basement membrane differentiates about the nineteenth day of embryonic development, and it is preceded by the appearance of the pericytes which are finally included in its structure.The extracellular space in the vicinity of the capillaries, made of large gaps during the embryonic development, is confined from hatching time to intervals 150–200 Å diameter. The astrocytes and their processes (vascular feet) reach their complete development, and entirely surround the capillaries, on about the twentieth day of the postnatal growth.Our observations reveal the close connection between the development of the pericapillary glial structures and the appearance of some mechanisms of the blood-brain barrier system in the chick.


Les auteurs remercient Madame R. Hatier de son excellente collaboration technique.  相似文献   

12.
Chrysopa nigricornis Burm, exhibits a facultative diapause during the third instar within the cocoon. The first, second, and free-living third instars must experience short-day (LD 12 : 12) for diapause to occur; however, the third instar within the cocoon and the egg appear to have no role in diapause induction. As day-lengths decreased from 13 to 12.5 hours. diapause incidence increased from 50% to 100%, whereas at LD 13.5 : 10.5 no diapause resulted.Diapause ended spontaneously under LD 12 : 12 and after 142 days (s.d.±32) larva-pupal ecdysis occurred. Exposure to long-day conditions (LD 16 : 8) 4 or 6 weeks after the beginning of diapause hastened diapause termination; i.e. larval-pupal ecdysis occurred in about 40 days. Apparently during the first 6 weeks of diapause under short-day, little or no diapause development took place.It seems that the short days of late summer-early fall, which act on the three free-living instars, initiate diapause and that subsequent to diapause development, which occurs under short-day conditions, the insect's temperature requirements and temperature summations govern the rate of development and the proper timing of ecdysis in the spring.
Résumé Chrysopa nigricornis qui est prédateur à la fois à l'état larvaire et à l'état adulte, hiverne sous la forme de larve de 3ème stade à l'intérieur du cocon. Une alimentation à base de Myzus persicae assure le développement et la reproduction de cette espèce, tandis que les Pucerons desfèves se révèlent impropres. C. nigricornis montre une diapause facultative induite par des jours courts (LD 12 : 12) agissant sur le premier, le second stade larvaire ainsi que sur la phase libre du 3ème stade. L'exposition d'un quelconque de ces stades larvaires à un jour long (LD 16 : 8) empêche la diapause. Ni le stade uf ni le 3ème stade larvaire inclus dans le cocon ne semblent avoir de rôle dans l'induction ou l'inhibition de la diapause.Les conditions de développement des stades de prédiapause ne sont pas affectées par les régimes de photopériode qu'ils ont subis.Dans les populations de C. nigricornis que nous avons étudiées, et qui proviennent d'Ithaca, New York (42° 27 latitude N) des jours de 13 heures ou moins, provoquaient plus de 50% de diapause, tandis que des jours de 13h.30 ou plus empêchaient la diapause.Sous les conditions d'induction de la diapause (LD 12 : 12), celle-ci se termine spontanément, la mue nymphale du 3ème stade larvaire intervenant 20 semaines après la secrétion du cocon de nymphose. Cependant, si les larves ont subi une LD 16 : 8, la diapause s'achève beaucoup plus tôt, dans un délai de 6 semaines (40 jours) après la secrétion du cocon de nymphose. Durant ces 6 semaines et peut-être plus, peu ou pas développement de diapause ne semble avoir pris place.Nous suggérons que dans la nature les jours courts de la fin de l'été et du début de l'automne agissent sur le ler, le second et le 3ème stade larvaire (phase libre) pour induire la diapause du 3ème stade larvaire inclus dans son cocon de nymphose. Après que le développement de type diapause ait pris place sous l'influence des jours courts, les conditions saisonnières de température et les exigences thermiques de l'insecte interviennent pour régler la vitesse de la morphogénèse et en conséquence le moment même de la mue nymphale.

  相似文献   

13.
Diets prepared from lyophilized and powdered current-year (1983) shoots of white spruce Picea glauca (Moench) Voss were offered to 6th-instar larvae of spruce budworm, Choristoneura fumiferana (Clemens) (Lepidoptera: Tortricidae). With increasing age of current-year shoots, time to pupation increased whereas survival, assimilation efficiency, efficiency of conversion of diet to moth biomass, and moth dry weight generally decreased. Sex of the larvae influenced amount ingested, time to pupation, and subsequent moth weight but not survival, assimilation efficiency, and efficiency of conversion of diet to moth biomass.
Résumé De la poudre lyophilysée de pousses de l'année de Picea glauca a été introduite dans le régime de chenilles du 6ème stade de Choristoneura fumiferana: 20% de poudre de pousses, 1.2% de gélifiant, 78.8% d'eau. Il est ainsi possible de déterminer à 2 mg près la quantité d'aliment consommée par chaque chenille, et, ainsi, de calculer, pour chacune, l'indice alimentaire, dont la prise de nourriture est l'une des variables. Avec de tels régimes préparés à partie de pousses recueillies au cours de 1983, on a constaté que la date de nymphose, la quantité consommée, et le poids ultérieur des papillons dépendaient du sexe de la chenille. En général, les chenilles femelles se nymphosent plus tard, consomment plus et donnent des papillons plus lourds (poids sec) que les chenilles mâles. L'efficacité de l'assimilation et celle de la transformation en biomasse de papillon ne différent pas suivant les sexes, c'est-à-dire qu'ils ont la même aptitude à digérer les pousses. Les taux de survie de chenille à nymphe et de nymphe à imago ne différent donc pas.Cependant, certains de ces paramètres et d'autres changent en fonction de l'âge des pousses annuelles. Quand elles ont été récoltées 7 jours après le débourrement (il a lieu le 20 mai), la survie jusqu'en nymphe est de 93% contre 74% de survie totale; avec des pousses récoltées 52 jours après le débourrement (11 juillet) les taux de survie sont respectivement 7% et 1.4%; avec des pousses récoltées 146 jours après le débourrement (13 octobre) les survies sont 71% et 50%. Des pousses récoltées 28 jours ou plus après le débourrement, retardent la date de nymphose de 25% par rapport à celles récoltées entre 7 et 14 après le débourrement; parallèlement, elles abaissent l'efficacité de l'assimilation de 39%, l'efficacité de conversion de la biomasse de 125%, et le poids des papillons de 54%. Ces changements sont liés à une diminution de la teneur en azote des pousses de 2.1% à environ 1% du poids sec. Cependant la corrélation entre la survie des chenilles et la teneur en azote n'est pas rigoureuse et un facteur encore inconnu est supposé responsable de l'augmentation de la mortalité quand les chenilles consomment (dans leur régime) des pousses récoltées début juillet, 52 jours après le débourrement. Les travaux destinés à identifier ce facteur inconnu sont en cours.
  相似文献   

14.
Résumé L'injection à l'aide d'une solution d'encre de Chine gélosée du réseau vasculaire de la trompe utérine humaine, permet d'observer une angioarchitectonie typique du réseau sous-muqueux.Une étude histologique des vaisseaux préalablement injectés permet par ailleurs de mieux préciser ce dispositif vasculaire.La mise en évidence de variations de la microvascularisation au niveau de la muqueuse tubaire pendant le cycle ovarien autorise à concevoir l'angioarchitectonie de la muqueuse tubaire comme dépendant étroitement d'influences hormonales.Les variations de l'architecture vasculaire de la trompe au cours du cycle ovarien (fig. 5; fig. 6; fig. 7) sont, sur le plan morphologique, comparables aux modifications vasculaires cycliques de l'endomètre (Markee, 1932; Wilkin, 1960) et traduisent, les premières comme les secondes, une réponse du système vasculaire de la muqueuse tubaire et de celui de la muqueuse utérine à la sécrétion hormonale de l'ovaire.Comme au niveau de l'endomètre, au terme de la lère phase du cycle, en fin de phase proliférative (Dalgaard, 1946), la spiralisation des artérioles de la muqueuse tubaire (fig. 5, A) semble débuter à l'origine de chacune d'elles pour s'étendre vers le sommet du pli ou de la frange au début de la 2ème phase du cycle, folliculino-lutéinique (fig. 6, A). A la manière des artérioles de l'endomètre (Ober, 1949; Wilkin, 1960), à la fin de la 2ème phase du cycle en phase secrétoire tardive, la spiralisation des artérioles de la muqueuse tubaire va s'accentuer considérablement pour atteindre un maximum au moment de la menstruation (fig. 7, A).Le système veineux et le réseau capillaire subissent une vasodilatation marquée au moment de l'ovulation et maximale en phase secrétoire tardive lors de la période prémenstruelle.
The angioarchitecture of the submucous network of the human uterine tube and its variations during the ovarian cycle
Summary Injection of a solution of India ink and gelatine into the vessels of the human uterine tube allows one to observe the angioarchitecture of the submucosal vascular network. This injected vascular system was examined histologically.The variations of the microvascularisation in the tubal mucous membrane during the ovarian cycle reflect a close dependence of the mucosal vascular system on hormonal factors. The morphological variations of the tubal vascular architecture during the ovarian cycle are similar to the cyclic vascular alterations in the endometrium, demonstrating an intimate relationship between the tubal and uterine mucosal vessels, and the ovarian hormones. As is true of the endometrium, at the end of the first part of the cycle, that is the end of the proliferation phase, the arteries of the tubal mucosa become increasingly coiled. These changes are first observed at the origin of the vessels and proceed towards the outer layers of the mucosa at the beginning of the second part of the cycle. At the end of the second phase of the cycle, during the late secretory phase, the coiling of the arteries increases further to reach its maximum during menstruation. The same can be observed in the arterioles of the endometrium.The venous system and the capillary bed undergo a marked vasodilatation, reaching its maximum during the late secretory phase, at the time of premenstruation.


Herrn Prof. Dr. K. Goerttler zum 70. Geburtstag in Verehrung gewidmet.  相似文献   

15.
Résumé Au cours de l'été 1983 dans un agrosystème de Charente (Nord du Bassin Aquitain), les auteurs ont utilisé la technique du piégeage lumineux associée à des lâchers d'insectes marqués. Afin de mimer les émergences possibles des papillons à partir de chenilles hivernantes, les insectes colorés étainent lâchés dans une parcelle de blé (Triticum) (à antécédent cultural maïs), à égale distance de 4 pièges disposés dans 4 parcelles adjacentes. Les captures d'insectes colorés montrent clairement que les femelles quittent le blé et se dirigent vers le maïs, confirmant par là le rôle de l'antécédent cultural sur les infestations annuelles. Les captures d'insectes sauvages indiquent à cette époque une prédominance des mâles due probablement à la protandrie d'environ 8 jours chez l'espèce et à une mobilité naturelle supérieure à celle des femelles. Les implications écologiques et agronomiques de ces déplacements sont discutées et un schéma d'explication des différents types de mouvements des papillons de pyrale: déplacements d'émergence et déplacements quotidiens alternatifs, est proposé.  相似文献   

16.
J. Daget 《Hydrobiologia》1961,18(1-2):95-108
Résumé L'existence d'une faune aquatique relicte a été reconnue en trois points différents du revers oriental du plateau de Bandiagara. Cette faune comprend dix espèces de Poissons et huit de Mollusques; les autres groupes zoologiques Wont pas été étudiés. Elle proviendrait du bassin de la Volta et serait isolée depuis le Quaternaire ancien, époque où la capture de la Volta Noire supérieure par la Volta moyenne aurait provoqué l'assèchement définitif de la dépression du Séno. Au cours des périodes sèches du Préouljien et du Préflandrien, cette faune se serait maintenue dans des conditions comparables à celles existant aujourd'hui dans l'Adrar mauritanien et le Tibesti. Au même titre que les faunes aquatiques de ces regions, celle du revers oriental du plateau de Bandiagara mériterait donc d'être considérée comme une faune désertique.  相似文献   

17.
Résumé Les auteurs ont étudié le rein de Triturus cristatus carnifex (Laur.) au point de vue anatomique, cytologique et cytochimique. Venant confirmer des données d'auteurs précédents, ils ont signalé la présence dans le rein de cet Urodèle de deux régions, rein génital et rein pelvien, lesquelles diffèrent quant à leur aspect, à la disposition des néphrons et aux rapports que la première de ces région entretient, chez le mâle, avec la gonade. Ils soulignent les différences qui caractérisent les néphrons du rein génital chez les deux sexes.Ce recherches confirment la présence dans le néphron du Triton de cinq segments qui se suivent dans l'ordre ci-après: collet cilié, segment à bordure en brosse que l'on peut diviser en deux tronçons P1 et P2, segment intermédiaire cilié, segment à bâtonnets, segment d'union. De nombreux néphrostomes constituent autant de communications entre les néphrons et le coelome. De ces néphrostomes part un canal néphrostomial souvent assez long, canal qui, après un parcours ondulé, débouche dans un collet. Dans le rein génital du mâle, les néphrostomes font défaut.La position des différents segments du néphron dans le rein correspond à celle observée par d'autres auteurs chez des Urodèles d'espèces différentes: les glomérules, les segment à bâtonnets et les néphrostomes sont situés dans la région ventrale; dans les régions dorsale et dorso-latérale, on trouve au contraire les segments à bordure en brosse; les collets et les segments intérmédiaires sont situés entre ces deux régions.Le diamètre du néphron est variable; il atteint son minimum au niveau du collet et du segment intermédiaire.Dans la région apicale des cellules du collet on a observé des granulations P.A.S. positives qui font défaut dans les autres segments ciliés du néphron (canal néphrostomial et segment intermédiaire). Parmi les activités enzymatiques étudiées, seule la 5-nucléotidase est présente dans le collet.La distribution différente des substances P.A.S. positives et du pigment permet de diviser le segment à bordure en brosse en deux tronçons P1 et P2 qui passent progressivement l'un dans l'autre. Dans P1 le matériel P.A.S. positif est formé de fines granulations presque toujours situées au dessus du noyau — granulations qui sont aussi Hale et F.P. positives — et d'amas irréguliers situés à la base de la cellule et le long des limites cellulaires. Dans P2 les substances P.A.S. positives sont formées par contre de granulations de dimension variable; généralement d'une certaine dimension, ces granulations sont situées en position paranucléaire; elles sont Hale, F.P. positives et nettement acidophiles.Tout le matériel P.A.S. positif mentionné ci-dessus ne semble guère être de nature mucopolysaccharide acide ni de nature glycogénique.Dans P2 on observe des gouttes de pigment jaune-brun, faiblement F.P. positif, pigment qui constitue le caractère le plus typique de ce segment.Dans tout le segment à bordure en brosse les cellules revèlent une faible pyroninophylie cytoplasmatique qui semble légèrement plus accentuée dans P2. Dans P2, et plus particuliérement dans sa moitié distale, on observe de fréquentes images difficiles à préciser au microscope optique; ces images pourraient être attribuées aussi bien à des phénomènes de sécrétion que d'absorption.Le segment à bordure en brosse est le le segment où l'on peut démontrer histochimiquement le plus grand nombre d'activités enzymatiques. On a pu confirmer en effet la présence et la localisation de l'activité phosphatasique alcaline non spécifique aussi bien que de celle acide et décrire la localisation de celles lipasique, glucose 6-phosphatasique et 5-nucléotidasique. L'activité succinodéshydrogénasique et celle ATPasique, au niveau du chondriome, sont très faibles.Le segment intermédiaire cilié est caractérisé par l'absence de substances P.A.S. positives dans ses cellules.Le caractère le plus évident du segment à bâtonnets est fourni par sa richesse en chondriome, par la présence de matériel bleu alcian positif dans quelques-unes de ses cellules, et par l'intensité des réactions ATPasique et succino-déshydrogénasique. Dans le tiers distal de ce segment on peut mettre en évidence une faible activité lipasique.Lors de la discussion, les auteurs insistent tout particulièrement sur les données histochimiques obtenues, notamment en ce qui concerne le comportement des systèmes enzymatiques et le caractère spécifique des réactions obtenues dans le cadre des conditions tecniques adoptées.Recherche conduite et publiée avec une contribution du Consiglio Nazionale delle Ricerche.  相似文献   

18.
Résumé Les organes sensoriels du scape et du pédicelle sont essentiellement propriocepteurs. Le fouet est très riche en chimiorécepteurs (plus de 100000) mais chez Periplaneta et Blatta, on observe un net dimorphisme sexuel qui n'existe pas chez Blaberus. La relation entre un tel dimorphisme et la perception des phéromones sexuelles est discutée. L'ultrastructure des trois principaux types de sensilles est décrite: Ce sont des grandes soies gustatives et mécanoréceptrices, des petites soies olfactives à paroi mince et percée de pores et de tubules qui sont innervées par un ou deux neurones, des petites soies olfactives à paroi épaisse et striée qui contiennent toujours quatre neurones. L'étude électrophysiologique préliminaire confirme les résultats ci dessus en ce qui concerne le rôle des sensilles: La phéromone grégaire peut être perçue au niveau de certaines petites soies olfactives striées.
The antennal sensilla of some cockroaches with special reference to Blaberus craniifer (Burm.)
Summary The antennae of cockroaches were studied with both scanning and transmission electron microscope. The sense organs of the scape and pedicel are essentially proprioceptors. The chemoreceptors are very numerous on the flagellum (more than 100000) but in the case of Periplaneta and Blatta, a significant sexuel dimorphism is noticed. Such a dimorphism does not exist in Blaberus and its relation with the perception of the sexual attractants is discussed. Three principal sense organs of Blaberus are described: big thick walled hairs with gustatory and mechanoreceptive function; thin walled olfactory hairs with pore-tubules innervated by one or two neurons; thick walled grooved hairs with four neurons and olfactory function. Special attention was given to the secretory aspect of the accessory cells in the olfactory sensilla. A preliminary electrophysiological investigation confirms the above mentioned functional interpretations. The gregarious pheromone seems to be perceived by some little thick walled grooved hairs.
  相似文献   

19.
RésuméMorphologie des myosynapses d'Insectes Les terminaisons nerveuses motrices des muscles squelettiques (à l'exclusion des muscles fondamentaux du vol) de la Mouche domestique et de quelques autres Diptères, ainsi que de l'Abeille et du Bourdon, se présentent le plus souvent comme de simples bifurcations des fibres nerveuses, mais il arrive qu'elles comportent un plus grand nombre de rameaux. Chez les Orthoptéroïdes, on observe des terminaisons de types différents, la structure pouvant être, comme chez la Blatte, comparable à celle des Diptères, mais plus complexe chez le Criquet où la ramure terminale est irrégulière et abondamment divisée. Les terminaisons motrices des Orthoptéroïdes sont très fréquemment composées, c'est-à-dire constituées par la superposition de plusieurs ramures terminales.La structure fine de ces myosynapses semble identique à celle des myosynapses de guêpe, décrites d'après des micrographies électroniques.Des noyaux siègent parfois au niveau des myosynapses, mais de façon inconstante. Ce sont essentiellement des noyaux du névrilemme.Les terminaisons motrices des muscles des larves de Diptères semblent morphologiquement plus simples que celles des imagos, mais leur structure reste encore mal connue.Les myosynapses des Insectes se distinguent de celles des Vertébrés par l'absence d'appareil sous-neural et de cholinestérases décelables histochimiquement à son niveau, alors que ces enzymes peuvent être aisément mis en évidence dans les nerfs et le système nerveux central.Différents modes d'innervation motrice de la fibre musculaire des Insectes Chez tous les insectes examinés ici, chaque fibre musculaire reçoit plusieurs terminaisons motrices réalisant une innervation dite multiterminale. Toutes les terminaisons motrices d'une seule fibre musculaire sont parfois issues des divisions d'un même axone: il s'agit alors d'une innervation multiterminale mononeuronale. Dans d'autres cas, tout un muscle est innervé par plusieurs axones jumelés qui se bifurquent simultanément et, le plus souvent, cheminent parallèlement jusqu'à la fibre musculaire, chaque rameau du nerf formant généralement une terminaison motrice composée: une seule fibre musculaire est alors innervée à la fois par plusieurs axones, son innervation est multiterminale polyneuronale. Plusieurs physiologistes ont pu démontrer sur certains insectes que ces axones jumelés ne déterminaient pas les mêmes effets moteurs, mais ces résultats ne sauraient être généralisés à l'ensemble des cas d'innervation polyneuronale, sans recherches physiologiques plus complètes. Ce mode d'innervation polyneuronale n'a pas un caractère général chez les Insectes.  相似文献   

20.
Résumé La production des castes, notamment des nymphes, futurs imagos ailés et des ouvriers chez leReticulitermes lucifugus est soumise à un cycle biologique annuel. L'auteur montre que dans les colonies naturelles les nymphes apparaissent quelques semaines après l'essaimage des jeunes imagos, vers la fin du printemps en une fois et en grande quantité. Elles se développent pendant l'été et arrivent en automne à l'avant-dernier ou même au dernier stade avant la mue imaginale. En hiver le développement de la colonie est normalement arrêté par le froid. Au début du printemps les nymphes se transforment en imagos et quittent la colonie. Pendant le repos hivernal les sexuées femelles accumulent beaucoup de corps gras et, au moment où les grandes nymphes se transforment en imagos, une ponte massive se produit dans le nid. Après la disparition des imagos la colonie voit son potentiel nutritif considérablement augmenté, puisqu'il n'y a plus de nymphes à nourrir. Pour cette raison les larves, à leur tour bien alimentées, peuvent se transformer en nymphes. Celles-ci, par leur croissance et leur constant besoin de nourriture, abaissent de nouveau le potentiel alimentaire. En conséquence de cette baisse, les larves qui apparaissent pendant l'été et l'automne sont mal nourries et donnent des ouvriers.Si les colonies deReticulitermes l. santonensis ont leur nid dans une maison bien chauffée en hiver, comme c'est le cas dans quelques immeubles de La Rochelle, lecycle annuel peut se transformer encycle semestriel. Les nymphes formées au printemps arrivent à l'état imaginal en automne et essaiment alors. Quand ils quittent la colonie un nouveau cycle commence qui permet un autre essaimage cinq à six mois plus tard, au printemps.L'auteur suppose que le facteur climatique et le facteur alimentaire jouent le rôle principal dans la formation des nymphes et dans le cycle biologique des Termitières.  相似文献   

设为首页 | 免责声明 | 关于勤云 | 加入收藏

Copyright©北京勤云科技发展有限公司  京ICP备09084417号