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1.
The holarctic subfamily Melitaeinae of Nymphalid butterflies (old genus Melitaea Hbn.) has been split into various genera by morphological systematics, but this division has been debated. This work presents the results of a preliminary survey of European taxa using two types of molecular criteria: analysis of enzyme variation by electrophoresis (19 loci) and sequencing of a mtDNA fragment (ND1 gene). The information provided by both kinds of markers are largely congruent. The division of the subfamily into two monophyletic lines corresponding to the genera Euphyryas s. 1. and Melitaea s. l. is validated. The subsequent division of the former genus into two units, Eurodryas and Hypodryas is also confirmed by molecular criteria. Inside rhe old genus Melitaea, a monophyletic assemblage, corresponding to the ‘Mellicta group’ is disclosed, but the phylogeny of the other species of the group is confused. Uniting them in a ‘Didymaeformia group’ or in a genus Melitaea s. str. risks rhe generation of a paraphyletic assemblage. It remains to be determined whether or not these results are due to insufficient resolution, or whether they reflecr a real evolutionary pattern  相似文献   

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Après avoir revu l'ensemble des caractères morphologiques, anatomiques, caryologiques, embryologiques, phytochimiques, sérologiques et palynologiques les auteurs concluent à la nécessité de séparer les deux genres Cneorum et Neochamaelea et de rattacher la famille aux Rutales. Par l'étude détaillée des caractères du pollen, ils montrent également que l'ultrastructure de l'exine est identique dans les deux genres, bien que l'ornementation et le nombre des apertures soient différents. Le type pollinique des Cneoraceae est comparable à celui des Rutaceae, Simaroubaceae et vient étayer l'opinion fréquemment admise que la famille appartient à l'ordre des Rutales.  相似文献   

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Phylogenetic relationships among Phlebotominae were inferred through a pilot study using parsimony analysis of the D2 domain of ribosomal DNA sequences: 455 pairs of bases were sequenced in nine species of Phlebotomine sandflies which belong to the genera Lutzomyia, Phlebotomus and Sergentomyia. Two taxa are used as outgroups: Psychoda sp. and Nemapalpus flavus which is the sister group of the Phlebotominae. The South American genus Lutzomyia appears to be monophyletic. The Mediterranean species Sergentomyia dentata is its sister group and is not clustered with the Old World genus Phlebotomus. The latter is a paraphyletic genus with an early individualisation of the branch including the closely related subgenera Phlebotomus and Paraphlebotomus, and a late individualisation of the subgenus Larroussius. These results have some consequences on the biogeography of the leishmaniasis in the Old World.  相似文献   

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Le genre Pycnomorphus Thomson est révisé et quatre espèces nouvelles sont décrites: Pycnomorphus guyanensis n. sp., P. pradosiae n. sp.et P. sarryi n. sp. de Guyane, et P. batesi n. sp. du Nicaragua. Un genre nouveau Pycnomorphidiellus n. gen. est créé pour une nouvelle espèce de Guyane, P. polyphagus n. sp. Une analyse cladistique et une clef d’identification des espèces complètent ce travail.  相似文献   

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Intracellular nitrite reductase was found in some species of Saccharomyces (Torulaspora group of Van der Walt 1970) and all Debaryomyces (excepted D. castelli and D. coudertii. The taxonomical relationship between the 2 groupes are discussed.
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Statistical comparison between bird populations from Lower and Middle Pleistocene and present ones makes it possible to demonstrate evolutionnary shifts such as increase in size or, on the contrary, decrease in size in some lineages and to discover some species or subspecies already found in Central Europe, in layers of the same epoch. In some other lineages the observed variations seem to be regarded as possible adaptations to local geographical conditions.Moreover the study of the birds contributes richly to the reconstitution of climates and biotops. The percentage variations of «cold birds in a given site makes it possible to confirm climatic fluctuations already discovered by other methods of study.  相似文献   

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Conclusion En 1959, dans une note (2) à l'Académie des Sciences, nous écrivions, en conclusion d'un travail préliminaire sur l'étude immunoélectrophorétique desCandida: Si l'avenir apportait la démonstration de résultats similaires obtenus avec d'autres champignons que les levures du genreCandida, on disposerait en mycologie d'une méthode générale d'analyse des fractions antigéniques...; de plus, les connaissances acquises dans ce domaine auraient vraisemblablement d'heureuses répercussions pratiques sur les problèmes taxonomiques en suspens et sur le diagnostic sérologique des mycoses. Six ans plus tard, il nous semble que l'application de l'immunoélectrophorèse à la mycologie ait tenu ses promesses. Sans se substituer à d'autres techniques, ne fut-ce que parce que son objet est limité à l'étude des fractions antigéniques solubles ou à celle des anticorps précipitants, et parce que sa mise en oeuvre est souvent longue et délicate, elle complète heureusement ces techniques, apportant effectivement, dans bien des cas, un argument nouveau, analytique et élégant, à la taxonomie des champignons et ouvrant une voie nouvelle au diagnostic sérologique de certaines mycoses.(avec la collaboration technique deM. Brugge)Communication présentée à l' International Society for human and animal mycology, Third meeting. Edinburgh, July 31st-August 2nd, 1964.  相似文献   

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New topics on ecology and systematics of recent and fossil Lingulids lead to an obvious revision of our knowledges on this zoological group. At first, the recent species need systematics and taxonomy on the bases of new described specific criteria (as, morphology of deltidial areas, muscle disposition); the results are briefly indicated. But, in fossil species, disorder and disparity of used characteristics are emphasized.The general conceiving on ecology of Lingulids are reviewed and discussed, especially on bathymetry and salinity; sediment and oxygenation conditions; taphocoenosis and lingulid «communities. On recent species, all these points are also studied, especially some ecological requirements (salinity, bathymetry, grain size), and mechanism of burrowing ability, burrow living positions in the sediments, as shell preservations after death and fossilization, to facilitate the paleobiotope interpretations. Recent animals are euryhalin, surviving at salinities from about 13 to 42‰; they could be considered as well adapted to waters with strong salinity fluctuations. They show preference to fine sand bottoms (lowest particle size about 40–60 μm). Their bathymetric distribution occurs between 0 and about 500 m (Lingula especially between 5–50 m; Glottidia 15–70 m). The isotherms 8–10°C seem to restrict their geographical and bathymetric distribution.Therefore, some post-palaeozoic lingulid bedsare studied or redescribed on the bases of the above discussed characteristics, and new interpretations on the environmental situation are given (Trias of Vosges Mountains; Oligocene from Japan; Eocene of London Basin). More caution must be used in study of fossil Lingulids that are not especially animals living in infralittoral bottoms with low salinity and deficient oxygenation, as generally accepted.  相似文献   

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L’anatomie des segments, des jonctions et des articulations du métasoma est comparée après dissection de 86 espèces de fourmis représentant les principaux taxons actuellement reconnus, à l’exception des Formicinae, des Dolichoderinae et de quelques taxons isolés. À la suite des travaux modernes, l’attention s’est d’abord portée sur le segment IV et sur la notion de présclérite, mais il s’est avéré que pour bien comprendre la morphologie et l’évolution de ce segment, il fallait étudier le segment III, puis le segment II et enfin le propodeum. Deux concepts nouveaux sont introduits : celui de présegmentation et celui de processus postérograde. La présegmentation d’un segment désigne la transformation de la partie antérieure d’un segment. Elle conduit à la formation d’un ou deux présclérites et dans le cas du segment II à celle d’une structure articulaire compacte, le manubrium, à l’étranglement en arrière du présegment et à la pétiolation ou formation d’un pétiole. L’observation de séries d’ouvrières de fourmis montre que la présegmentation d’un segment est toujours précédée par celle du segment précédent (il n’y a pas de postpétiole sans pétiole, etc.), ce qui aboutit à la transformation progressive du métasoma, de l’avant vers l’arrière à partir du segment II ou processus postérograde. Cette étude est étendue à plusieurs familles d’aculéates parmi lesquelles nous avons sélectionné quelques espèces dont le métasoma antérieur est moins évolué que celui des fourmis actuelles. Le rapprochement de ces espèces avec les fourmis permet de repérer des homologies susceptibles de contribuer à la compréhension de l’évolution ancestrale des fourmis et de leur état actuel, en particulier de l’origine des latérosclérites du segment II. Ceci conduit à un classement des architectures métasomatiques en groupes basés sur une typologie du présegment III. On peut ainsi distinguer trois groupes principaux d’architecture : ponériforme, doryliforme et myrmiciforme. 13 diamètres sont par ailleurs mesurés sur les segments II, III et IV. L’analyse en composantes principales de 12 de ces mesures permet de constater qu’il est possible de caractériser les groupes d’architecture par des combinaisons linéaires de ces mesures. On le vérifie par des AFD des trois grands groupes d’architecture dans lesquels rentrent la presque totalité des fourmis étudiées. Les groupes d’architecture sont presque tous bien discriminés par AFD, mais quelques exceptions doivent être expliquées. Des analyses complémentaires permettent d’imputer cette anomalie à l’existence dans les groupes architecturaux, d’espèces mono et bipétiolées. On obtient en conséquence une discrimination complète des trois groupes en effectuant des AFD séparées des espèces monopétiolées et des espèces bipétiolées. Ceci illustre l’effet de la postpétiolation sur la géométrie des segments au cours du processus postérograde. Ce processus est également illustré par le calcul de coefficients de corrélation entre des mesures effectuées sur les deux premiers segments, et les autres mesures. Ceci peut être expliqué par la propagation postérograde de contraintes de développement. Durant l’évolution, le processus postérograde est combiné à deux autres types de transformations : l’involution progressive des structures intercalaires du segment II, qui préexistaient vraisemblablement chez les ancêtres crétacés des fourmis actuelles, et différentes transformations aléatoires de l’abdomen, plus ou moins directionnelles, mais cumulatives. La classification des sous-familles en groupes Ponéroïde, Doryloïde et Myrmicoïde peut être alors déduite du classement des architectures, mais un petit nombre de genres ne rentre pas dans ces trois groupes. Leurs affinités ne peuvent être comprises que par la prise en compte de caractères anatomiques ou architecturaux de la tête et du thorax. On obtient alors une classification proche de la récente classification « intuitive » de Bolton (2003), mais avec des justifications très différentes. Cette nouvelle classification est la suivante :

  • 1. – Architectures du métasoma semblables dans chaque groupe et cohérence architecturale

  • 1.1. – Complexe Ponéroïde (présegment III hémi-annulaire, architecture thoracique ponériforme)

  • 1.1.1. – Groupe Ponéroïde: Amblyoponinae, Ponerinae, Ectatomminae, Paraponerinae

  • 1.1.2. – Groupe Myrmécioïde: Myrmeciinae, Pseudomyrmecinae

  • 1.2. – Complexe Doryloïde (présegment III pseudo-annulaire, architecture doryliforme): Cerapachynae, Dorylinae, Ecitoninae, Aenictinae

  • 1.3. – Complexe Myrmicoïde (présegment III annulaire, architecture myrmiciforme): Myrmicinae, Agroecomyrmecinae (non disséqués)

  • 2. – Architectures du métasoma dissemblables au sein de chaque groupe. Classement basé sur d’autres critères

  • 2.1. – Complexe Apomyrmoïde (1) (basé sur l’architecture thoracique); Apomyrminae (présegment III hémi-annulaire), Leptanillinae (présegment III atypique par rapport aux types annulaire, pseudo-annu- laire et hémi-annulaire)

  • 2.2. – Complexe Procératinoïde (basé sur l’architecture céphalique): Proceratiini (présegment III annulaire: Discothyrea, présegment III pseudo-annulaire: Proceratium); Probolomyrmecini (présegment III hémi-annulaire: Probolomyrmex)

  • 3. – Architectures inclassables: Aneuretinae (présegment III pseudo-annulaire); Leptanilloidinae (présegment III annulaire selon Brandao et al., 1999)

  • 4. – Architectures formiciformes (presegment III différent des précédents): Dolichoderinae, Formicinae (non étudiées en détail)

Lanalyse conduit à l’établissement d’un cladogramme. Celui-ci est implicitement une phylogénie non enracinée, mais incomplète. La présente étude montre que les complexes Ponéroïde, Doryloïde et Myrmicoïde sont monophylétiques. Mais la topologie des sous-familles qui les composent ne peut pas être résolue par l’étude du métasoma parce que toutes les fourmis connues sont déjà parvenues au stade 3 ou en limite 2–3 (genre Adetomyrma). Pour établir des liens de parenté entre ces complexes, il faudrait recourir à l’étude de l’architecture céphalique ou thoracique. On a limité ici cette recherche à celle de synapomorphies permettant de renforcer l’identité des trois grands complexes et d’établir une parenté entre quelques sous-familles réunies dans les complexes Apomyrmoïde et Procératinoïde dont les repré- sentants possèdent des architectures métasomatiques très différentes.  相似文献   

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