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1.
Callosobruchus maculatus (F.) is a tropical insect (Coleoptera: Bruchidae) that develops in Vigna unguiculata (Walp) seeds. In this beetle, there are two distinct adult forms that differ in their morphology, physiology and behaviour, the flight form and the flightless form. The development of C. maculatus is analyzed in a traditional store in Niger. During the dry season, 6 to 7 generations of the flightless form develop in the store. When the atmospheric water content increases during the rainy season, adults of the flight form appear and escape from the store. Experimental studies have shown that the adult polymorphism is induced during post-embryonic development and depends on prevailing abiotic factors during this period. The proportion of flight from adults is high when larvae develop in moist seeds (14–15% of water content). Under dry conditions (6–7% of water content) only flightless adult forms emerge from the seeds. Temperatures during development also influence adult polymorphism. In thermoperiodic conditions with 12–13% seed water content, the proportion of flight from adults increases with increasing duration of the thermophase. However, at low temperatures, a high proportion of flightless adult forms emerge, regardless of seed water content. The adaptive importance of these two abiotic factors on polymorphism induction is examined in this study.
Résumé Callosobruchus maculatus (F.) est un Coléoptère Bruchidae tropical qui se développe aux dépens des graines de Vigna unguiculata. Les adultes présentent un polymorphisme; il y a en effet deux formes, la forme voilière et la forme non voilière, distinctes par des critères morphologiques, physiologiques et comportementaux. L'évolution des populations de C. maculatus a été suivie pendant toute la saison sèche et le début de la saison des pluies dans la région de Niamey au Niger (13° LN) à l'intérieur d'un grenier traditionnel. Pendant toute la saison sèche, 6 à 7 générations de C. maculatus de la forme non voilière se succèdent à l'intérieur du grenier. Les adultes de la forme voilière, très actifs, apparaissent surtout au cours de la saison des pluies lorsque la teneur en eau de l'atmosphère et la teneur en eau des graines augmentent. Les études expérimentales réalisées au laboratoire montrent que le polymorphisme imaginal est induit au cours du développement post-embryonnaire et dépend des conditions climatiques dans lesquelles celui-ci a lieu. Le taux d'adultes de la forme voilière est élevé lorsque les larves se développent dans des graines à forte teneur en eau (14 ou 15%). Lorsque la teneur en eau des graines est faible (6 à 7%), il n'y a émergence que d'adultes de la forme non voilière. Lorsque la teneur en eau des graines est comprise entre 12 et 13%, le taux d'adultes de la forme voilière s'accroit et varie avec la durée de la thermophase. A basse température il y a toujours émergence d'adultes de la forme non voilière, quelle que soit la teneur en eau des graines. L'influence de ces deux facteurs abiotiques sur l'induction du polymorphisme imaginal joue probablement un rôle important dans les mécanismes adaptatifs permettant le maintien de cette espèce en zone tropicale.
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2.
Clarification of factors enabling diapause termination was carried out in a stem borer, Busseola fusca. Diapausing larvae very rarely pupated under dry conditions. Water apparently played a significant role in the termination of late diapause. During the late diapause period, larvae in the field were exposed to rains of the short rainy season. This precipitation, however, terminated diapause in only a few larvae, which indicate that termination requires sustained exposure to wet conditions that are not usually met during the short rains.
Résumé Les causes de la fin de la diapause ont été précisées sur B. fusca. Les chenilles diapausantes se nymphosent très rarement en conditions sèches. L'eau joue apparement un rôle important dans la fin de la dernière phase de la diapause. Dans la nature, les chenilles sont exposées pendant cette période aux plues de la brève saison de pluies. Cependant, ces précipitations n'interrompent la diapause que d'un nombre limité de chenilles, ce qui montre que la fin de la diapause exige une exposition prolongée à des conditions humides que l'on ne rencontre pas généralement pendant la brève saison des pluies.
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3.
La réponse visuelle des adultes de Lasiomma melania Ackl. (Diptera, Anthomyiidae) à des carrés englués de diverses couleurs ou combinaisons de couleurs a été étudiée durant 5 années consécutives dans plusieurs mélèzins (Larix decidua) des Hautes-Alpes. Une préférence pour le jaune et le jaune à bandes pourpres a été mise en évidence chez ce ravageur dont la femelle pond sur les cônes de mélèze. L'attractivité de chaque type de piège est fonction à la fois du sexe et du stade de maturation sexuelle des individus. La couleur jaune attire en majorité des insectes émergents immatures. Elle semble représenter, selon le plan dans lequel elle est située, un signal nutritionnel de type fleur (plan horizontal) ou un signal de reconnaissance du feuillage de mélèze (plan vertical). Les individus mûrs sexuellement, recherchant les arbres produisant des cônes, sont en revanche capturés essentiellement sur les pièges verticaux jaunes à bandes pourpres. Ceux-ci miment, en l'amplifiant, le contraste de réflectance existant entre le feuillage des mélèzes et les cônes. Ce contraste paraît correspondre à un signal permettant la reconnaisance des arbres possédant des cônes. La ponte est cependant limitée à un stade particulier de développment de ces derniers alors que le contraste est à peu près stable dans le temps. D'autres signaux émis par les cônes, vraisemblablement d'ordre olfactif, doivent guider le vol d'approche et l'atterrissage des femelles.  相似文献   

4.
A study of the local population of the variegated grasshopper, Z. variegatus on the Nsukka Plateau, Nigeria, has shown that there are two populations, the dry season and the wet season populations, whose life-histories overlap.The average span of life, from nymph to adult of the individuals of either population is 9–10 months, while development from nymph to reproductive maturity in either form is 4–5 months. For the dry season population, nymphs appear in October, young adults by March–April, and by August the last remnants of this population die out. The wet season individuals appear first as nymphs by about February, as young adults by June, and die out by about December. In general, egg pods remain in the soil for 5–6 months (April–October), and for 4–5 months (October–February) for the dry season and wet season individuals respectively, before hatching. The shorter period spent in the soil by the eggs of the wet season individuals appears to be due to the fact of delay of oviposition in the mature females by the extreme wetness of the soil when reproductive maturity is attained.In the laboratory, attempts to mate reproductively mature and copulating adults from either seasonal population with each other, were not successful.The phenology of the dry season population is the same, whether reared in the laboratory or in the field.The growth characteristics of these grasshoppers conform to Dyar's rule. However, while growth as indicated by increases in mean body length is linear, growth as indicated by weight measurements shows a two-phase relationship, the divergence appearing at the IV instar.
Résumé Une étude de la population locale de Z. variegatus sur le Plateau Nsukka au Nigeria, a montré qu'il y a en fait coexistence de deux populations distinctes, dont les cycles biologiques se chevauchent, l'une correspondant à la saison sèche et l'autre à la saison humide.La longévité moyenne des individus (vie larvaire + vie imaginale) dans l'une ou l'autre de ces populations est de 9 à 10 mois, le développement, depuis la larve jusqu'à la maturité sexuelle, étant de 4 à 5 mois. Pour la population de la saison sèche, les larves apparaissent en octobre, les jeunes adultes en mars–avril, et les derniers survivants s'observent jusqu'en août. Les larves des individus de la saison humide apparaissent courant février, leurs jeunes adultes en juin, et la population s'éteint en décembre.En général les coques ovigères n'éclosent qu'après un séjour dans le sol de 5 à 6 mois (avril à octobre) pour la population de la saison sèche, et de 4 à 5 mois (octobre à février) pour la population de la saison humide. Le fait que le temps d'incubations dans le sol soit plus court pour les ufs déposés par les individus de la saison humide serait dû à ce que, lorsque ces femelles auront atteint leur maturité, l'extrême humidité du sol ne permettra pas la ponte qui se trouvera ainsi retardée.Les tentatives faites en laboratoire, pour croiser entre eux des adultes génitalement mûrs provenant de chacune de ces 2 populations, ont échoué.La phénologie de la population de la saison sèche reste la même, que celle-ci soit élevée au laboratoire ou dans la nature.Les caractéristiques de la croissance de ces Orthoptères sont conformes à la règle de Dyar. Toutefois, tandis que cette croissance est linéaire quand on la mesure d'après la longueur du corps, on y relève deux phases si l'on se réfère au poids des individus, la divergence se manifestant à partir du 4 e stade larvaire.
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5.
Résumé Les sources alimentaires deCamponotus acvapimensis proviennent de la prédation et de la récolte systématique d'exsudats d'Homoptères et de sucs de plantes. Cette diversité d'origine des produits procure à l'espèce une alimentation abondante tout au long de l'année. En saison sèche, pendant la période où la végétation est détruite après le passage des feux de brousse, l'alimentation carnée prédomine. En saison des pluies, où les plantes jeunes abondent et par conséquent les Homoptères, de nombreuses ouvrières partent à la recherche d'exsudats.Le comportement constructeur de ceCamponotus ne se manifeste que dans la construction d'abris pour Homoptères.L'espèce sert elle-même de proie à divers groupes d'animaux (Oiseaux, Batraciens, Reptiles...). Elle est d'autre part victime de divers parasites (Chalcidiens, champignons...).
Summary The food ofCamponotus acvapimensis is derived from animal predation and gathering of Homopterans and plants. This diversity of origin of nutrition permits it to avoid periods of food scarcity. During the dry season, the vegetation is destroyed by bush fire and the food is primarily based upon predation. In the wet season, many workers of the species search for exsudates of Homopterans. The building behaviour of thisCamponotus only expresses itself in the building of shelters for Homopterans.This species is preyed upon by differents groups such as birds, frogs and lizards. It is parasitized by calcidid Hymenopterans and fungi.


La présente étude entre dans le cadre des recherches poursuivies à la Station d'Ecologie tropicale de Lamto (Côte-d'Ivoire), installée par l'Ecole normale supérieure avec l'aide du Centre national de la recherche scientifique (RCP no 60) dans le but d'analyser la structure et la vie d'une biocénose terrestre.  相似文献   

6.
Résumé Nous avons observé depuis longtemps déjà que la FourmiCremastogaster scutellaris forme de grandes colonnes de récolte, formations stables pendant toute une saison. Dans une note précédente (1) nous avons montré qu'il est relativement facile d'étudier l'activité collective des ouvrières hors du nid en faisant varier les facteurs du milieu et en observant le comportement de ces colonnes. Il nous a été ainsi possible de déterminer l'existence d'un thermo-preferendum (situé aux environs de 25° pour cette espèce), pour lequel l'activité de la colonne est maxima. De même nous avons pu montrer que l'activité journalière de ces colonnes est arythmique et se trouve uniquement sous l'influence directe et mesurable de la température.Dans l'étude qui suit, nous avons cherché à savoir de quelle façon les facteurs externes déterminaient l'arrêt d'activité hivernal (hibernation) et la reprise d'activité printanière (rupture d'hibernation) des fourmilières deCr. scutellaris. Nous ne nous occuperons pas ici de ce qui se passe à l'intérieur de la fourmilière ni des incidences de l'hibernation sur le cycle biologique de la colonie (ceci fera l'objet de publicationsultérieures), mais simplement des phénomènes qui sont visibles à l'extérieur du nid et qui affectent les colonnes d'ouvriéres.  相似文献   

7.
Bruchidius atrolineatus (Pic) présente en zone sahélienne une diapause reproductrice durant la saison sèche et une partie de la saison des pluies. Les femelles diapausantes ne produisent pas de vitellogénine et le germarium des ovarioles est seul développé. Chez les mâles la spermatogenèse est très ralentie et les glandes annexes sont inactives. Lorsque les insectes diapausants sont placés en présence d'inflorescences de Vigna unguiculata Walp, leurs organes reproducteurs deviennent fonctionnels après un temps de latence de 15 à 20 jours. Il n'y a par contre aucune levée de la diapause chez des bruches placées en présence de gousses sèches de V. unguiculata dans une atmosphère saturée. Des informations sensorielles issues des pièces florales ou (et) des facteurs nutritionnels sans doute liés a la consommation de nectar semblent être à l'origine de cette levée de la diapause. Le pollen fort peu consommé n'a par contre aucun rôle. Cette régulation du cycle reproducteur de B. atrolineatus par les inflorescences de V. unguiculata permet l'émission des oeufs dès que les gousses commencent à se former à la fin de la saison des pluies.
Summary Bruchidius atrolineatus (Pic) is a widely distributed bruchid in the Sahelian zone which shows a reproductive diapause during the dry season and part of the rainy season. Diapausing females do not produce vitellogenin and their ovaries are reduced to the germarium. Spermatogenesis is very much reduced and male accessory glands are inactive. When these insects were placed in the presence of inflorescences of Vigna unguiculata which were renewed daily, the reproductive diapause of both males and females was interrupted after 15–20 days. Vitellogenesis occurred in the females and spermatogenesis increased in the males whilst their accessory glands became functional. When diapausing bruchids, found in stores of on V. unguiculata seeds during the dry season, were placed near the host plant's inflorescences, diapause was also terminated. In all cases, diapause was not interrupted when the insects were offered dry pods of V. unguiculata in a water-saturated atmosphere. The pollen, which is hardly eaten by this bruchid, did not seem to stimulate termination of diapause. Sensory stimulations derived from the flowers or/and nutritional factors may be the cause of the development of the reproductive organs. After termination of the diapause the males showed normal sexual activity whereas female fecundity was rather low, at least in our experimental conditions. This type of reproductive regulation allows this sahelian bruchid to resume its sexual activity when the host plant's flowers appear in the field at the end of the rainy season. Then the beetles lay their eggs on the pods as soon as the pods are developed.
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8.
Bésumé La décomposition profonde des roches dans les tropiques humides exerce une grande influence sur l'écologie de la végétation tropicale. L'épaisseur des couches de sol peut atteindre à peu près 20 mètres dans l'Etat de Saint Paul (Brésil). Elle permet la constitution de réserves d'eau considérables dans les couches inférieures du sol.Cette réserve, alimentée par les pluies de l'été, ne s'épuise pas facilement dans la saison sèche, de sorte qu'une végétation relativement hygrophile, en particulier forestière se maintient en bon état pendant toute la période sèche.Une conséquence moins favorable est le lessivage des sols par les fortes précipitations. Les sols tropicaux s'opposent moins à la lixiviation que ceux des climats tempérés. Ainsi, une grande quantité de sels disparaît en profondeur inaccessible aux racines les plus profondes. Par la même raison, les racines ne peuvent compenser les pertes du lessivage en récuperant des ions de la roche mère. Après le déboisement surtout le contact des racines profondes avec les roches est interrompu. Les nouvelles plantations, aux plantes faiblement enracinées, n'établissent plus ce contact; l'ensemble de ces phénomènes explique la détérioration rapide des terres tropicales, après le déboisement de la forèt vierge.Des photographies prises à Campos do Jordâo-région montagneuse d'une hauteur d'environ 1.800 mètres-montrent la décomposition des roches. Les couches visibles sur les photos 1–4 sont attribuées à la formation de S. Roque (Algonkien). L'amollissement du matériel se reconnaît à la manière dont il est travaillé (fig. 1 et 2). Parfois, un filon de quartz est le seul indice indiquant qu'il s'agit de matériel décomposé in loco (fig. 3 et 4).La décomposition profonde ne peut pas être expliquée par des grandes variations de temperature, puisqu'elle s'effectue dans des profondeurs où les températures sont à peu près constantes. Elle ne peut être due non plus aux températures élevées des régions tropicales, puisque dans les montagnes de Campos do Jordâo la moyenne annuelle de la température correspond, à peu près, à 12°C. La richesse des eaux tropicales en H2CO3 pourra être invoquée difficilement, car on observe aussi une forte attaque des roches siliceuses comme les foyaites dans les montagnes de l'Itatiaya vers 2400 m. d'altitude (fig. 5, 6). L'érosion est due aux eaux de pluie et l'eau de pluie stagnante creuse des trous (fig. 5). Peut-être la richesse des précipitations tropicales en HNO2 (tableau 2) en est la cause; l'oxydation du fer bivalent produirait l'amollissement rapide des roches aussi bien dans le climat tempéré des montagnes tropicales que dans les plaines basses et chaudes.

Manuskript eingegangen am 23-IV-1949.  相似文献   

9.
Résumé Pour déterminer la structure du nid et l'étendue des zones de chasse deCamponotus acvapimensis Mayr et deC. congolensis Emery, plusieurs sociétés furent marquées à l'108Au mélangé à du miel. Les marqueurs sont disposés en T sur le terrain à l'intérieur d'une zone de chasse préalablement repérée, 15 à 20 heures avant la manipulation. La détection s'effectue, après ouverture du sol et récolte des Fourmis, à l'aide d'un compteur de Geiger-Müller.Les nids deC. acvapimensis s'étendent sur 15 m2 environ. Ils sont constitués par un ensemble de chambres groupées (19 en moyenne), ensemble auquel s'adjoignent quelques cavités périphériques. Ces nids abritent de 4000 à 6000 individus. Pour une population identique, les nids deC. congolensis présentent une structure qui paraît analogue, mais dont la surface moyenne est plus grande d'un tiers (25 m2).Les zones de chasse exploitées se répartissent dans plusieurs directions. 10% du domaine vital potentiel est réellement exploité à un moment donné. La surface totale exploitable représente 400 m2 environ chezC. acvapimensis et 600 m2 chezC. congolensis. ChezC. acvapimensis,les ouvrières ne s'éloignent guère à plus de 12 mètres du centre du nid.Les femelles fondatrices deC. acvapimensis installent autant que possible leurs loges initiales en dehors des zones à forte densité des sociétés déjà installées de la même espèce. Comme ces surfaces sont occupées par des espèces différentes, on peut en déduire que la compétition intraspécifique est plus forte que la compétition interspécifique.Il semble découler, de la position relative des sociétés d'espèces étudiées, que les rivalités respectives empêchent toute implantation importante d'une société à l'intérieur du domaine d'une autre.
Summary To know the structure of the nest (number and positions of cavities, spatial dispersion, etc.) and the hunting area of a colony ofCamponotus acvapimensis Mayr andCamponotus congolensis Emery, three colonies of each species were fed on the field in a savannah of Ivory Coast with honey containing108Au. The morning after, the soil is opened and the spatial position of every encountered cavity is indicated on a map of the studied area. All the ants living in the cavities are collected, their radioactivity is detected and indicated on the map.Nests ofC. acvapimensis have a surface of about 15 m2. They are composed of twenty or so chambers with some peripheric cavities. Such a nest contains 4000 to 6000 ants. Nests ofC. congolensis contain the same number of ants but their surface is greater (25 m2).The surface of the potential hunting area around the nest is about 400 m2 forC. acvapimensis and 600 m2 forC. congolensis. The really prospected area is about 10% of the potential hunting area. Workers ofC. avapimensis can hunt within a radius of twelve meters around the nest.Alates females ofC. acvapimensis cannot settle their brood chamber in the area occupied by an important colony ofCamponotus. The relative positions of the studied nests seem to indicate that the competition between species ofCamponotus prevents all implantation of a new congeneric society inside the limits of the nest but not the implantation of females belonging to different ant genus. So we can conclude that the intraspecific competition is stronger than the interspecific competition.


Ce travail a été effectué en liaison avec MM.P. Marini etP. Lespinat, Ingénieurs du Commissariat à l'Energie Atomique, mis à la disposition de l'ORSTOM, Laboratoire des radio-isotopes, B.P. 20 Adiopodoumé, Abidjan (Côted'Ivoire). Je tiens à leur adresser ici mes vifs remerciements pour leur efficace et très amicale collaboration.  相似文献   

10.
M. P. Arvy 《Plant and Soil》1985,84(3):437-443
Résumé Nous avons analysé la teneur en sélénium de sols argileux de la région de La Roche-Posay ainsi que celle deHelminthia echioïdes etTrifolium repens qui s'y développent. Sur trente emplacements, la concentration en Se total du sol varie de 1,7 à 4,5 ppm et le pH oscille de 6,1 à 7,2. La teneur en sélénium des plantes est élevée: de l'ordre de 2 à 32,5 ppm, mais aucune corrélation n'a été notée entre ces valeurs et d'une part le pH du sol ou d'autre part la teneur totale en Se du sol.Seize éléments minéraux ont également été dosés. Les deux espèces présentent des concentrations élevées en Al, Fe, Ni, Co et Cr. Les Teneurs les plus fortes en Se ont été retrouées dans les plantes possédant les taux les plus bas en Al, Fe, As et Mn. Chez Trifolium, une corrélation négative est observée entre la concentration en Se et celle en Al (r=–0,44), en Fe (r=–0,47) et en As (r=–0,47). Par ailleurs, des corrélations positives sont obtenues entre les teneurs en Al, Fe et As chez les deux espèces.Une corrélation positive existe entre la teneur en Se et celle en P chez Helminthia, mais chez Trifolium les plus faibles concentrations en Se se retrouvent à la fois dans les échantillons présentant les niveaux les plus faibles et les plus forts en P.Chez l'une ou l'autre des espèces étudiées, des corrélations positives apparaissent entre les teneurs en Se et celles en Co, Mo ou même Mn lorsqu'il est présent à des taux relativement élevés dans la plante.  相似文献   

11.
The survival of adults of Clausenia josefi was investigated as a function of temperature and relative humidity. Natural severe climatic conditions were simulated and the adaptability of the parasites to such conditions was determined.
Résumé Clausenia josefi, parasite interne de Planococcus vitis, cochenille qui attaque la vigne, a été trouvé dans la zone aride du sud d'Israël (Negev). La moyenne de la température maximum en été (Juillet-Août) est dans cette région de 34° et l'humidité relative moyenne à 14h00 est de 40%. Le début de l'été (Mai-Juin) est la période la plus sévère, quant à l'instabilité des conditions climatiques. L'apparition saisonnière de C. josefi est caractérisée par 2 pics, un premier en Juin et un second, plus petit, en Octobre-Novembre. L'objet de cette étude était de déterminer les effets de la température et de l'humidité sur la longévité des adultes de Clausenia josefi et d'expliquer les raisons de la réduction de ses populations en été.A 28°, des humidités relatives comprises entre 20% et 80% n'ont aucun effet mesurable sur la survie des adultes de C. josefi (Fig. 1). L'effet d'une baisse d'humidité relative (20%) est plus prononcé pour des durées d'exposition de 2h et plus à de hautes températures (43°) (Fig. 3). A 43°, l'augmentation de l'humidité relative provoque un accroissement marqué de la survie (Fig. 4).Les conditions extrêmes dans les vignobles en Mai-Juin, même pendant de courtes périodes de temps, pourraient affecter les populations de ce parasite entomophage. Le fait que les populations de l'hôte sont à un maximum entre Mai et Juin, masque probablement les effets défavorables des conditions extrêmes sur l'entomophage, de sorte que le pic de ses populations apparaît à ce moment. Puisque les conditions climatiques sont moins extrêmes en Juillet et Août, la réduction des populations du parasite pendant ces mois n'est pas due aux effets climatiques mais plutôt à la réduction des populations de son hôte.


Contribution from the Agricultural Research Organization, The Volcani Center, Bet Dagan. Israel. 1972 Series, No. 2226-E.  相似文献   

12.
Life table studies were conducted to assess the effect of constant temperature on the rate of population growth of the cassava mealybug, Phenacoccus manihoti Matile-Ferrero. Four temperatures, between 20 and 30.5°C, were tested. An inverse relationship was observed between temperature and most demographic parameters.The intrinsic rate of natural increase (rm) increased from 0.1 at 20°C to 0.2 at 27°C and 30.5°C. The net reproductive rate varied between 426.3 at 30.5°C and 584.7 at 20°C. The mealybug population reached 50% mortality after 37.5, 21.5, 19.0 and 19.0 days respectively at 20, 23.5, 27 and 30.5°C. The results indicate that P. manihoti can persist and increase in numbers within the range between 20 and 30.5°C.
Influence de températures constantes sur les taux de croissance de populations de la cochenille du manioc Phenococcus manihoti
Résumé Des tables de vie ont été établies pour déterminer l'effet de températures constantes sur les taux de croissance de populations de la cochenille du manioc, Phenacoccus manihoti Mat.-Ferr., et ainsi comprendre les changements au sein des populations du ravageur dans les champs et mener à bien le programme de lutte biologique organisé à l'I.I.T.A. contre cette cochenille. P. manihoti, introduit à partir de l'Amérique latine en Afrique, y menace la production du manioc (Manihot esculenta Crantz).Le taux intrinsèque d'accroissement natural (rm) a augmenté de 0.114 à 20°C, à 0.185 à 27°C, avant de descendre à 0.182 à 30.5°C. Le taux net de reproduction (Ro) a été relativement élevé (426–584 oeufs femelles/génération). Dans nos conditions expérimentales, la mortalité a atteint 50% au bout de 37.5, 21.5, 19.0 jours respectivement à 20, 23.5, 27 et 30.5°C. La durée du cycle et le coefficient d'accroissement () étaient inversement liés à la température. Le ravageur possède la capacité de doubler sa population en 6.08 jours à 20°C alors que 3.81 jours seulement suffisent pour doubler la population à 30.5°C.Ces résultats nous ont permis de comprendre et d'expliquer l'énorme pouvoir de pullulation de la cochenille observé dans les champs pendant la saison sèche; il s'ensuit que les lâchers des entomophages produits en élevages doivent se faire très tôt au début de la saison sèche, afin de contrecarrer la grande fertilité et la capacité d'augmentation rapide des populations de P. manihoti.
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13.
Conclusions Ces essais effectués en plein champ prouvent que les nitrites produisent dans plusieurs cas des dégâts parfois conséquents aux cultures et que les plantes présentent une sensibilité variable à leur action. Il n'est cependant pas encore possible de déduire des résultats si l'utilisation des nitrites comme herbicides sélectifs peut être envisagée. L'action des nitrites semble cependant de courte durée probablement en raison de la prompte transformation des nitrites; plusieurs résultats portent d'ailleurs à croire que l'azote des nitrites à été eventuellement après transformation, utilisée par les plantes. Il n'en reste pas moins vrai, que l'emploi de nitrites comme engrais ferait courir le risque grave de voir occasionner d'importantes brûlures. Mais nous estimons que la présence de faibles quantité de nitrite, à l'état d'impureté dans d'autres engrais, ne peut pas provoquer de sérieux dégâts aux cultures.  相似文献   

14.
Résumé Les auteurs ont étudié quelques enzymes de la chaîne ganglionnaire chezEisenia foetida.La recherche histochimique a permis de révéler la présence dans les pyrénophores des cellules nerveuses d'une réaction positive pour la phosphatase acide, pour l'ATPase, pour la succino-déshydrogénase, pour la cytochrome-oxydase et pour les estérases. L'acétylcholinestérase est sourtout concentrée au niveau du tissu conjonctif de la chaîne ganglionnaire qui forme une gaine épaisse autour des neurocordes et qui enveloppe les pyrénophores ainsi que les différents faisceaux de fibres nerveuses. Dans le cas de tous les enzymes que les auteurs ont pris en considération, l'axoplasme des neurocordes, qui est pauvre en organules cellulaires et très fluide, ne révèle, même lorsque les fibres nerveuses du neuropylème présentent une activité assez nette (phosphatase acide, succino-déshydrogénase), aucune réaction ou, tout au plus, une réaction très faible. Les auteurs discutent les résultats auxquels ils ont abouti en les comparant `a ceux qu'ont obtenus d'autres auteurs qui ont étudié le système nerveux de certains Vertébrés ou Invertébrés.Avec 6 Figures dans le TexteL'agencement du travail est dû à A.Guardabassi.  相似文献   

15.
Résumé L' adaptation de Agrotis segetum Schiff. (Lep. Noctuidae), dans différentes zones géographiques de son aire de distribution, est dûe à la variabilité de caractères bio-écologiques (vitesse de développement, seuil thermique de nymphose). II existe un gradient latitudinal dans la variation de ces différents caractères permettant à l'espèce d'hiverner au dernier stade larvaire, le plus favorable à sa survie.Des sélections conduites au laboratoire, montrent que ces caractères sont héréditaires. Une pression de sélection, exercée uniquement sur l'un d'entre eux (durée de développement longue ou courte à 25°LO 12:12), se répercute également sur les autres, en accord avec les variations observées dans les populations naturelles. II est ainsi possible, à partir d'une population de la région Parisienne, de sélectionner des souches qui ont les caractéristiques des populations naturelles du sud ou du nord de l'aire de répartition de S. segetum. Ces résultats sont discutés dans le contexte général de l'ajustement du cycle évolutif en fonction des zones géographiques où l'espèce a été étudiée.  相似文献   

16.
Visual symptoms of malnutrition associated with the unsatisfactory development of natural and planted black spruce seedlings in a 20-year-old burn suggested low supply and uptake of nitrogen, phosphorus, and possibly other nutrients as the primarily adverse factors.In order to test the hypothesis, both soil and foliage of the species there and in another climatic region were compared and the diagnosis partly confirmed. Of the elements studied (K, Mg, Ca, P, Mn, Fe, and N) only nitrogen was found to be related to needle colour and poor leader growth.A lichen crustLecidea granulosa rich in nutrients, especially nitrogen, dominates the sites. The crust decomposes very slowly and retains large proportions of available nutrients in its tissues. Incorporation of the crust in the mineral soil is suggested as a means of accelerating nutrient cycling and promoting development of future plantations.
Sommaire Nous basant sur certains symptômes de déficiences minérales, nous avons émis l'hypothèse que la faible croissance des jeunes épinettes noires et de celles plantées dans le brûlis de 1941 de la rivière York, était surtout attribuable à la carence de l'azote et du phosphore et peut-être aussi à d'autres éléments dans le sol et les tissus. L'hypothèse a été vérifiée et partiellement confirmée. De tous les éléments étudiés (K, Mg, Ca, P, Mn, Fe et N), seul l'azote est relié à la couleur des aiguilles et à la croissance de la flèche terminale. Cette relation cependant est beaucoup plus marquée lorsque la couleur est estimée à l'aide de comparaison avec des semis recueillis sur la place même de l'étude plutôt qu'avec le guide des couleurs de Munsell.Les résultats de cette étude ont été comparés avec d'autres déjà obtenus avec l'épinette noire, ayant le même âge et croissant dans un sol de même texture mais dans des régions climatiques différentes. Même si le contenu minimum en azote d'un sol est susceptible de varier d'une région climatique à l'autre, il semblerait que la disponibilité de l'azote dans le brûlis de la rivière York est nettement insuffisante pour espérer le développement normal d'une plantation d'épinettes noires.A la suite de travaux préliminaires faits en serre, nous avons constaté que le lichenLecidea granulosa, riche en azote et qui recouvre en partie l'aire étudiée, favorisait la croissance des jeunes épinettes quand il était broyé et incorporé au sol minéral. On suggère donc, comme moyen d'amélioration du sol en vue de futures plantations, de broyer sur place ce lichen et de l'incorporer au sol.
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17.
L. Lison 《Protoplasma》1928,4(1):367-387
Resumé Dans la première partie de ce travail, nous avons montré que, contrairement à la conception deFauré-Fremiet, les mouvements que présentent les amibocytes des Invertébrés à l'état actif ne peuvent s'expliquer par le seul jeu des forces de tension superficielle. Ces forces, si elles interviennent das le mécanisme du mouvement, ne peuvent en expliquer l'origine; l'amibocyte, tel qu'il est constitué, est un système inerte, incapable de se mouvoir sans apport d'énergie.Les faits exposés dans la seconde partie montrent qu'on peut dissocier physiologiquement le granuloplasme nucléé de l'hyaloplasme. Des coelamibocytes d:'Allobophora longa soumis à l'action de toxiques ou d'anesthésiques peuvent présenter des mouvements de leur hyaloplasme longtemps après que le granuloplasme nucléé a cessé toute activité fonctionnelle (mort ou anesthésie). Ces substances inhibent les activités complexes du granuloplasme, probablement les activités diastasiques, tout en conservant intactes les activités d'ordre plus simple qui président aux mouvements de l'hyaloplasme.  相似文献   

18.
The duration of larval and pupal stages of two species of predatory flies was investigated at five constant temperatures. Ilione albiseta (Scopoli): Mean duration of first and second instars was shortest at 23°C and there was 100% survival of first instar larvae at all temperatures. Mean third instar larval duration decreased from 104 days at 17°C to 27.5 days at 26°C. Total percentage larval survival was greatest at 17°C and least at 26°C. Mean pupal duration decreased as temperature increased and this occurred also under outdoor conditions. Pherbellia cinerella (Fallén): As temperature increased mean larval duration decreased but the percentage of larvae pupating also decreased (100% at 14°C, 33.3% at 26°C). There was a trend for shorter mean pupal durations at higher temperatures.
Résumé L'action de la température a été examinée à 14, 17, 20, 23 et 26°C. Les 2 espèces sont prédatrices de L. truncatula, vecteur de la douve du foie en Irlande, où elle provoque à l'àgriculture une perte évaluée à 10 millions de livres par an. Les données recuellies en conditions contrôlées du laboratoire doivent permettre de définir les conditions optimales pour l'élevage continu de ces espèces. Ceci est indispensable pour évaluer, dans la nature leurs potentialités pour la lutte biologique. Ilione albiseta: C'est à 23°C que le développement des larves de premier et second stades sont les plus brefs; la survie du premier stade est totale à toutes les températures constantes examinées. La durée moyenne du 3ème stade décroît de 104 jours à 17°C jusqu'à 27,5 jours à 26°C. Le taux de survie total est plus élevé à 17°C qu'à 26°C. La durée moyenne de la nymphose diminue quand la température croît, et ceci se produit aussi à la température ambiante extérieure. On réduit de moitié la durée du développement de l'éclosion de l'oeuf à l'apparition de l'adulte, entre la nature et le laboratoire, en utilisant respectivement: 23°, 17° et 26°C pour les premier et second stades, le troisième stade, la nymphé. Cela devrait aider à multiplier la souche pour la lutte biologique. Pherbellia cinerella: Avec élévation de la température la durée du développement larvaire diminue, mais aussi le nombre de larves parvenant à la pupaison (100% à 14° et 33,3% à 26°C). La nymphose tendait à être plus brève aux températures les plus élevées.
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19.
Conclusions Les auteurs relatent la découverte à Astrida de deux cas de rhinosporidiose nasale chez des anatidés très répandus en Afrique centrale: l'oie d' Egypte et le petit canard siffleur africain.Les lésions observées consistent en polypes des fosses nasales. Histologiquement ces polypes correspondent à des granulomes et leur structure est dans les grandes lignes identique à celle qu'on observe dans les lésions de rhinosporidiose nasale chez l'homme.Le parasite observé dans les lésions est morphologiquement identique àRhinosporidium seeberi, l'agent causal de la rhinosporidose chez l'homme.Les auteurs envisagent les conséquences de cette découverte au point de vue de l'épidémiologie de la rhinosporidiose humaine.  相似文献   

20.
Ovarian maturation was prevented in 7-, 22-, 23- and 28-day-old females of Dacus oleae (Gmelin) (Diptera: Tephritidae), developed in the pre-imaginal stages at LD 12:12, 19±1°C and kept as adults at LD 16:8, 26±1°C without access to olive fruits. In females of the above ages having continuous access to olive fruits and held under the same photoperiod and temperature conditions, 54, 87 and 100%, respectively, had mature oocytes. When the females had access to domes of paraffin wax, the percentages of females with mature oocytes were intermediate between those with and those without access to olive fruits. Under the above photoperiod and temperature conditions unfavorable for maturation, 50% of 4-week-old females had mature oocytes if exposed for one week to olive fruits during their first week and 91% if exposed during their 4th week of adult life. The respective percentages with wax domes in the cages were again intermediate between those with olives and those without olives or wax domes. The presence of olive fruits had also a strong positive effect on the ovarian maturation of females which developed from egg through the adult stage at LD 16:8, 26±1°C, a condition favoring ovarian maturation. Access to wax domes had again an intermediate effect on maturation. It is concluded therefore that the lack of ovarian maturation of D. oleae females which is observed under a short photophase during the pre-imaginal stages if followed by a long photophase and an increase of temperature during the adult stage, continues at least till the end of the 4th week of adult life in the absence of olive fruits but is averted when such fruits are offered to the adult flies.
Résumé La maturation ovarienne des femelles adultes agées de 7, 22–23 et 28 jours de D. oleae ayant accompli leur développement embryonnaire, larvaire et nymphal en LD 12:12, 19±1°C et maintenues en LD 16:8, 26±1°C, sans accès à des olives, est inhibée. Dans les mêmes conditions, mais avec accès permanent à des olives, 54% des femelles ont des ovocytes mûrs à 7 jours, 87% à 22–23 jours et 100% à 28 jours. Avec des femelles ayant accès à des domes de paraffine, les pourcentages d'individus ayant des ovocytes mûrs sont intermédiaires entre ceux des deux situations précédentes. Dans les conditions cidessus défavorables à la maturation ovarienne, 50% des femelles de 28 jours ont des ovocytes mûrs si elles sont en présence d'olives durant leur première semaine de vie imaginale et 91% si elles sont en présence la 4éme semaine. Les pourcentages respectifs concernant les femelles pourvues de dômes de paraffine sont encore intermédiaires entre ceux des femelles avec olives et ceux de femelles privées de tout substrat. La présence d'olives a aussi un effet fortement positif sur la maturation ovarienne de femelles ayant accompli leur développement pre-imaginal et maintenues aussi à l'etat adulte en conditions LD 16:8, 26±1°C, favorisant la maturation ovarienne. L'accès à des dômes de paraffine a, là encore, un effet intermédiaire. On conclut par conséquent que la non maturation ovarienne des femelles de D. oleae qui est causée par une photopériode à jour court pendant la vie pre-imaginale accompagné par une photopériode à jour long et une augmentation de la température pendant la vie imaginale persiste au moins jusqu'à la fin de la quatrième semaine de la vie imaginale en absence d'olives, mais ne se produit pas si on met les femelles adultes en présence d'olives.
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