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1.
Dennis R. Nelson James S. Buckner 《Comparative biochemistry and physiology. Part B, Biochemistry & molecular biology》1995,111(4)
Third instar larvae of Heliothis virescens and Helicoverpa zea could be distinguished based on the hydrocarbons of their surface lipids. Hydrocarbons were the major components of the surface lipids and a distinctive capillary gas chromatographic profile could be obtained from a hexane extract of the surface lipids of a single larva. Analysis of hexane extracts of the surface lipids by capillary gas chromatography-mass spectrometry (CGC-MS) showed several obvious differences between the two species: (1) in their gas chromatographic profiles; (2) in the presence of a major alkene, hentriacontene, only in H. zea; (3) in H. virescens the CGC-MS peak with a KI of approximately 2860 was 2-methyloctacosane, but in H. zea it was a mixture of 4-methyloctacosane plus 9,13- and 8,12-dimethyloctacosanes; and (4) in the methyl branch positions of dimethyl-branched alkanes with carbon backbones of C31, C33, C35, C45, C47, C49 and C51. The methyl branch points of H. virescens dimethylalkanes were separated by seven or nine methylenes, while in H. zea the methyl branch points of the dimethylalkanes were separated by three and sometimes five methylenes. 相似文献
2.
An olfactometer was used to determine the effect of pheromones released by females of the bollworms Heliothis armigera (Hübner) and H. zea (Boddie) on females of the same species. Four combinations of virgin and mated females were tested for repellency of one to the other. Evidence is presented that females of the two bollworms were repelled by females of the same species. In addition, extracts of virgin female abdomens of each species repelled virgin females of the other species.
Résumé L'examen en olfactomètre a porté sur les réactions face à d'autres femelles de la même espèce, de femelles vierges ou ayant copulé d'Heliothis armigera Hübner et H. zea Boddie. Le lot comprenait 8 femelles, vierges ou ayant copulé en présence d'une femelle vierge ou ayant copulé. Les 4 combinaisons possibles de femelles vierges et de femelles ayant copulé ont été examinées avec 12 répétitions pour chaque espèce. Un extrait de l'extrémité de l'abdomen de femelles vierges d'une espèce a été présenté aux femelles de l'autre espèce pour examiner les possibilités de réactions interspécifiques aux phéromones.Pour chaque espèce, les réactions interspécifiques de répulsion entre femelles ont été hautement significatives par rapport aux témoins, à l'exception toutefois des réactions de femelle ayant copulé face à des femelles ayant elles aussi copulé. Les répulsions moyennes chez H. armigera et H. zea pour les 8 femelles de chaque expérience ont été: a) vierges en présence d'une vierge: 7,33 et 7,66; b) vierges en présence d'une femelles ayant copulé: 5,76 et 5,58; c) femelles ayant copulé en présence d'une vierge: 4,67 et 4,83. Les différences sont hautement significatives entre chaque paire de moyennes et entre chaque paire et le lot témoin; 3,17; 3,17; 3,42; 4,00 pour H. armigera; 3,17; 3,50; 2,83 et 3,75 pour H. zea.Les femelles vierges des deux espèces, H. armigera et H. zea ont présenté une réaction de répulsion en présence d'un extrait de l'abdomen de l'autre espèce; les répulsions moyennes étant respectivement 5,53 et 5,33 contre 3,83 et 3,58 pour le lot trémoin.On peut en conclure que ces répulsions doivent entraîner une tendance à la répartition uniforme.相似文献
3.
Susceptibility of laboratory and field colonies of Helicoverpa zea (Boddie) and Heliothis virescens F. to Vip3A insecticidal protein was studied in diet incorporation and diet overlay assays from 2004 to 2008. Responses of field populations were compared to paired responses of University of Arkansas laboratory susceptible H. zea (LabZA) and H. virescens (LabVR) colonies. After 7 d of exposure, observations were made on number of dead larvae (M) and the number of larvae alive but remaining as first instars (L1). Regression estimates using M (LC50) and M plus L1 (MIC50) data were developed for laboratory and field populations. Susceptibility of laboratory and field populations exposed to Vip3A varied among different batches of protein used over the study period. Within the same batch of Vip3A protein, susceptibilities of laboratory colonies of both species (LabZA and LabVR) were similar. Field colonies were significantly more susceptible to Vip3A than the respective reference colonies of both species. Within field populations, susceptibility to Vip3A varied up to 75-fold in H. zea and 132-fold in H. virescens in LC50 estimates. Variabilities in MIC50s were up to 59- and 11-fold for H. zea and H. virescens, respectively. 相似文献
4.
Perception of the oviposition deterring pheromone by contact chemoreceptors in female Pieris brassicae was studied employing a tip recording technique. Electrophysiological responses of tarsal taste hairs to eggwash solutions show a marked increase in frequency of spikes originating from only one sensory cell. This suggests that in foretarsal taste hairs females, apart from the glucosinolate cells also possess sense cells specifically sensitive to the oviposition deterring pheromone.Morphological studies by means of the scanning electron microscope revealed that the ovipositor of P. brassicae is provided with two groups of contact chemoreceptors. Electrophysiological recordings from these sensilla indicate the presence of at least three sensory cells, one of them being a mechanoreceptor. Stimulation with eggwash evokes a slight increase in spike frequency which cannot be ascribed to one particular sense cell. This indicates that abdominal taste hairs in some way may participate in the perception of the oviposition deterring pheromone. Responses to glucosinolates do not differ significantly from control stimulations.
Résumé Une technique d'enregistrement apical a été utilisée pour examiner la perception d'une phéromone dissuadant la ponte par les poils récepteurs chimiques de contact des femelles de Pieris brassicae. Les réponses électrophysiologiques des poils gustatifs des tarses en présence de solutions de rinçage d'oeufs présentent une fréquence marquée des potentiels d'action provenant principalement d'une cellule sensorielle. Ceci suggère que les poils gustatifs des tarses des pattes antérieures des femelles possèdent, en plus de cellules répondant aux glucosinolates, des cellules sensorielles sensibles spécialement à la phéromone dissuadant la ponte.Des études morphologiques au microscope à balayage révèlent que l'oviposition de P. brassicae est pourvu de deux groupes de chimiorécepteurs de contact. Des enregistrements électrophysiologiques de ces sensilles révèlent la présence d'au moins trois cellules sensorielles, l'une d'entre elles étant un mécanorécepteur. La stimulation avec la solution de rinçage des oeufs évoque un léger accroissement de la fréquence des potentiels d'action qui ne peut être attribué à une cellule sensorielle particulière. Ceci indique que les poils gustatifs abdominaux peuvent participer d'une certaine façon à la perception de la phéromone dissuadant la ponte. Les réponses aux glucosinolates ne diffèrent pas significativement des stimulations témoin.相似文献