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1.
Conclusions Les auteurs relatent la découverte à Astrida de deux cas de rhinosporidiose nasale chez des anatidés très répandus en Afrique centrale: l'oie d' Egypte et le petit canard siffleur africain.Les lésions observées consistent en polypes des fosses nasales. Histologiquement ces polypes correspondent à des granulomes et leur structure est dans les grandes lignes identique à celle qu'on observe dans les lésions de rhinosporidiose nasale chez l'homme.Le parasite observé dans les lésions est morphologiquement identique àRhinosporidium seeberi, l'agent causal de la rhinosporidose chez l'homme.Les auteurs envisagent les conséquences de cette découverte au point de vue de l'épidémiologie de la rhinosporidiose humaine.  相似文献   

2.
Sommaire Dans le présent travail, sont examinées les associations des plantes ammophiles qui se rencontrent sur les côtes d'ouest du Péloponnèse (voir la carte du texte).Ces côtes sont les plus favorables à la formation des dunes de sable, car, d'une part elles sont plus ou moins escarpées et par suite plus exposées aux vents sud-ouests qui régnent à cette région, et, d'autre part, on rencontre dans cette région les trois facteurs qui sont nécessaires pour la formation des dunes, le vent, le sable et les plantes, qui constituent, d'après Kühnholtz-Lordat (1923) le trinôme dynamique. Les géophytes à rhizome, Ammophila arenaria, Agropyrum junceum ssp. mediterraneum, Galilea mucronata, et Sporobolus pungens, qui sont considérées comme espèces à grand géodynamisme positif sont très abondantes tout le long du cordon littoral de la plage (Tableaux I–III).La classe Cakiletea maritimae est représentée dans cette région par les associations Salsola Kali — Xanthium strumarium Oberd. et Tx. 1950, et Anthemis Muenteriana —Salsola Kali. La première a été trouvée pour la première fois par Oberdorfer (1952) sur les côtes de la Grèce du Nord et a été classifiée par Oberdorfer et Tüxen (1950), tandis que, la seconde, qui n'a pas été trouvée ailleurs, peut-être considérée comme une nouvelle association des plantes.Les associations de la classe ci-dessus sont rencontrées sur les côtes ou les baies abritées du vent et particulièrement aux endroits où il existe une quantité suffisante d'humus et des débris végétales. L'association des plantes Salsola Kali — Xanthium strumarium est plus nitrophile que la seconde et se rencontre sur les régions les plus basses du rivage, où s'est accumulée une quantité suffisante d'humus et des débris végétaux. Ces derniers proviennent, le plus souvent, des espèces Zostera marina, Posidonia oceanica, Arundo Donax et d'autres. L'association des plantes Anthemis Muenteriana — Salsola Kali est moins nitrophile que la précédente et se rencontre sur les dunes basses d'une hauteur de 0.50–1.50 m qu'elle recouvre; ces dunes sont parallèles au rivage. Cette association apparaît le plus souvent dans sa phase optimale. Aux endroits où la quantité d'humus et des débris végétaux est moindre, apparaît l'association Agropyretum mediterraneum dans sa phase initiale (Tableau I et Photos 9–10).L'association Agropyretum mediterraneum apparaît principalement sur les dunes d'une hauteur de 1 à 2 m, sauf dans très peu de cas (Tableau II). La phase optimale de l'association Agropyretum mediterraneum se rencontre sur les dunes d'une hauteur de 1.50 à 2 m. Ces dunes se trouvent aux endroits où la côte est plus escarpée et par suite plus exposée aux vents sudouests, comme sont, par exemple, les côtes de la région Kaïafa (Photos 15–17). La phase optimale de cette association se caractérise par une abondance des espèces caractéristiques et par l'abondance des représentants des géophytes à rhizome, comme les espèces Agropyrum junceum ssp. mediterraneum, Galilea mucronata, et Sporobolus pungens (Tableau II, nos 1–6).L'association des plantes Ammophiletum arundinaceae se rencontre sur les dunes dont la hauteur dépasse les 2 mètres. Ces dunes se trouvent aux endroits où la côte est plus exposée aux vents sud-ouests, comme sont les côtes de Petrochori et de la région Zacharo. Cette association apparaît dans sa phase optimale, et sur des dunes qui sont bien développées et dont la hauteur, est à partir de 2.5 m et peut atteindre les 15 m (Tableau III et Photos 19–23).L'association bien connue Crucianelletum maritimae qui se rencontre sur les dunes stabilisées des côtes ouests de la Mediterranée, est représentée dans cette région par l'association des plantes Euphorbia terracina — Silene nicaeensis. Cette association représentative se devéloppe sur les dunes stabilisées de la région explorée. Leur hauteur varie, entre 4 et 11 mètres. Elle apparaît comme une association des plantes typiques avec 2 variantes, celle de Rumex bucephalophorus et celle de Centaurea sphaerocephala, et aussi comme les sous-associations Chondrilla juncea — Scolymus hispanicus et Trifolium scabrum —Nigella aristata (Tableau IV et Photos 24–26).En général les associations des plantes ammophiles se rencontrent sur les côtes ouests du Péloponnèse dont le sol est constitué, dans sa plus grande partie, par du sable d'un gros moyen ou moyennement fin.Les associations de la classe Cakiletea maritimae et l'association des plantes Agropyretum mediterraneum se développent sur des endroits où le sol est constitué d'une grande partie, en sable gros (Fig. 4 et 5). Entre eux, les plantes de la classe Cakiletea maritimae se développent sur un sol qui contient, en outre, une assez grande quantité d'humus et des débris végétaux, tandis que, pour l'association Agropyretum mediterraneum, les élements ci-dessus peuvent exister en une très petite quantité ou ne pas s'y trouver.Le sol, sur lequel se développent les associations des plantes Agropyretum mediterraneum et Ammophiletum arundinaceae est différent du sol propre à l'association Euphorbia terracina — Silene nicaeensis, car, dans le premier cas, celui-ci se constitue, en principal d'un sable d'un gros moyen, tandis que, dans le second cas, d'un sable moyennement fin (Fig. 5).Pour tous les sols, propres au développement des associations ammophiles des côtes du Péloponnèse, ou a une abondance de CaCO3. Malgré le fait que l'analogie de CaCO3 varie, a partir d'un pourcentage moyen jusqu'à une grande quantité, l'evolution de la végétation dans ces différentes phases, ne dépend pas de cette quantité.La réaction de ces sols varie, pour la plupart, entre 6.65 et 8.20 (Tableaux 10–14).  相似文献   

3.
A. Mirimanoff 《Protoplasma》1953,42(2):250-260
Résumé Le présent travail expose quelles sont les réactions de la cellule végétale lorsque cette dernière est soumise à l'association d'un toxique et d'un « mouillant » (Netzmittel).Les variables sont: la nature de la cellule végétale, celle du toxique et celle du mouillant.Alors que les mouillants cationiques, eux-mêmes toxiques, exercent une simple action additive, les mouillants anioniques révèlent dans de nombreux cas une synergie de toxicité. Celle-ci se manifeste surtout avec les champignons et les bactéries Gram+, les végétaux supérieurs se montrant indifférents. Cette synergie varie également avec la structure moléculaire du mouillant.Les mouillants non ioniques peuvent au contraire exercer une action antagoniste, c'est-à-dire diminuer la toxicité.Ce dernier phénomène se produit dans certains cas à la suite d'une réaction chimique entre le mouillant et le toxique; la nature de la cellule est alors indifférente. Dans d'autres cas, il y a absence de réaction chimique et le phénomène ne se produit qu'avec certains types de cellules (champignons surtout).La nature chimique du toxique joue, dans la synergie, un rôle moins important que dans l'antagonisme.Des hypothèses sont formulées pour tenter d'élucider le mécanisme des cas de synergie et d'antagonisme.  相似文献   

4.
Seasonal and vertical variations of the main microbial communities (heterotrophic bacteria, autotrophic picoplankton, auto- and heterotrophic nanoflagellates, ciliated protozoa and microalgae) and auto- and heterotrophic activities were estimated in a brown-colored humic and moderately acid lake in central France, the lake of Vassivière. The results demonstrated the dominant role of light in the vertical distribution of autotrophic and mixotrophic microorganisms which are confined to the 0–5 m layer during thermal stratification. The bacterial biomass was high throughout the water column probably because of the great availability of dissolved organic matter. Consequently, the predatory microzooplankton and particularly the various trophic groups of ciliated protozoa, were distributed in the water column according to the vertical distribution of the particular food resources (detritus, bacteria, algae). However, despite the great abundance of algae and bacteria, biomass of flagellated and ciliated protozoa was relatively weak. Most of the phytoplanktonic biomass was filamentous (Diatoms) or colonial (Cyanobacteria) and therefore almost probably difficult to ingest for algivorous microzooplankton. Regarding the low abundance of bacterivorous protozoa, the relation with the special physicochemical properties of this lake is discussed.
Résumé Les variabilités saisonnière et verticale de l'abondance et de la biomasse des principles communautés de la boucle microbienne (bactéries hétérotrophes, picoplancton autotrophe, protozoaires flagellés auto- et hétérotrophes, protozoaires ciliés, microalgues et microcyanobactéries), et des activités auto- et hétérotrophes, ont été étudiées dans un lac à caractère humique et modérément acide du Massif Central Français, le lac de Vassivière.Le dénombrement des communautés de microorganismes a été réalisé en microscopie inversée et à épifluorescence après mise en oeuvre des fixations et des colorations adéquates. Les activités photosynthétique, photo- et chemohétérotrophes ont été mesurées à partir de l'assimilation de NaH14CO3 et d'un mélange d'acides aminés tritiés grâce à une technique de double marquage. Les résultats obtenus mettent en évidence le rôle prépondérant du facteur lumineux dans la répartition verticale des microorganismes autotrophes et mixotrophes, dont l'essentiel de la biomasse est confiné dans la zone 0–5 m en période de stratification, alors que la biomasse bactérienne est élevée sur l'ensemble de la colonne d'eau en raison, sans doute, de la grande disponibilité en matiére organique dissoute. Consécutivement, le microzooplancton prédateur, et notamment les différents types trophiques de protozoaires ciliés, se répartit dans la colonne d'eau selon la distribution verticale des ressources nutritives particularies. Cependant, compte-tenu de l'abondance bactérienne et algae, la biomasse des protozoaires flagellés et ciliésest relativement peu importante. Concernant les espèces algivores, l'essentiel de la biomasse phytoplanctonique est de nature filamenteuse (Diatomées) ou coloniale (Cyanobactéries) est est donc sans doute difficilement ingérable pour le microzooplancton. Enfin, les relations entre les caractéristiques physico-chimiques spécifiques de ce lac et le faible développement des protozoaires bactérivores sont discutées.
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5.
The susceptibility of sorghum to the shoot fly Atherigona soccata Rondani, (Diptera: Muscidae) is affected by seedling age and is highest when seedlings are 8–12 days old. This corresponds with high moisture accumulation on the central leaf which is the path of newly hatched larva as it moves downwards from the oviposition site, towards the growing apex. Studies showed that leaf surface wetness (LSW) of the central shoot leaf was higher in 10-day old seedlings than in seedlings of other ages. Similarly, LSW was much higher in the susceptible sorghum genotype CSH 1 than in the resistant genotype IS 2146. Larvae moved faster towards the growing point and produced deadhearts much earlier in CSH 1 than in IS 2146. They also moved faster in 10-day old seedlings than in seedlings of other ages. It was also shown that the leaf surface wetness of the central shoot leaf is a more reliable parameter of resistance than the glossy leaf trait or trichome density.
L'influence de la humidité de la surface foliaire sur le comportement de la mouche des pousses du sorgho
Résumé La sensibilité du sorgho à la mouche des pousses du sorgho, Atherigona soccata Rondani, est liée à l'âge de la plantule. Elle est plus forte lorsque la plantule est âgée de 8 à 12 jours et la sensibilité est maximale à 10 jours. A ce stade de croissance on observe une forte accumulation d'humidité sur la feuille centrale de la tige. Les jeunes larves traversent cette zone humide lorsqu'elles descendent vers la zone de croissance à partir des pontes déposées sur la face ventrale des feuilles déroulées.Des études ont été menées à l'ICRISAT (Inde) sur la relation entre l'humidité de la feuille centrale de la tige des plantules du sorgho et les dégâts provoqués par la mouche des pousses. L'humidité de la surface des feuilles (HSF) a été estimée grâce à une échelle visuelle graduée 1 à 5 où, 1 = pas d'humidité apparente et 5 = surface de la feuille recouverte de gouttes d'eau. La HSF est plus élevée sur des pousses de sorgho âgées de 10 j que sur les pousses appartenant à d'autres classes d'âge. Les valeurs observées sont également plus fortes pour les variétés non résistantes à ce ravageur (CSH 1,4.8) que pour les variétés résistantes (IS 2146, (2)). La vitesse du déplacement larvaire entre le cornet et la zone de la croissance varie en fonction de l'âge de la plante et des cultivars. Les larves migrent plus rapidement vers la zone de croissance et provoquent la mort du coeur du sorgho plus tôt dans la variété CSH 1 que dans IS 2146. Les larves se déplacent plus rapidement dans les pousses âgées de 10 j que dans les pousses appartenant à d'autres classes d'âge.Des études ont également démontré que la HSF n'est pas directement liée au caractère feuille lisse où à la densité des trichomes. La HSF est faible pour les génotypes résistants présentent où non le caractère feuille lisse. Par contre la HSF est élevée pour les génotypes non résistants présentant le caractère feuille lisse ou non. Aucune relation directe entre la densité des trichomes et les dégâts provoqués par la mouche des pousses n'a pu être mise en évidence. L'analyse des correlations établie pour les caractères de surface des feuilles avec la mort du cur des sorghos indique que les correlations sont faibles et non-significatives pour le caractère feuille lisse (0.49) et la densité des trichomes (0.39 et 0.2). Par contre les correlations sont fortes et significatives pour la HSF (0.82).On conclue que la HSF de la feuille centrale de la tige est un facteur important dans le déterminisme de la résistance du sorgho vis à vis de la mouche des pousses. Les relations entre les processus physiologiques de la plante et les facteurs impliquées dans l'accumulation d'eau sur la surface des feuilles font actuellement l'objet d'études détaillées.
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6.
Gehu  Jean-Marie 《Plant Ecology》1977,34(2):117-125
Résumé Le concept de sigmassociation (sensu Tüxen 1973–1976) est discuté dans une première partie. Il dérive de la notion des complexes de groupements, progressivement développée par Braun-Blanquet dans les éditions successives de sa Pflanzensoziologie (1928, 1951, 1964). Le Tableau 1 résume les différences essentielles entre sigmassociation et complexe de groupements.Dans la deuxième partie de l'exposé, des examples de sigmassociations sont étudiés sur les côtes atlantiques françaises: ceux, notamment, des falaises cristallines armoricaines et des falaises crétaciques normandes. Le tableau 2 explicite bien les variations dans la combinaison des groupements pour chaque cas. A une combinaison différente des groupements constitutifs des sigmassociations correspond une physionomic totalement autre du paysage. Quelques problèmes concernant les sigmasystèmes sont présentés en conclusion.Parce que le concept de sigmassociation paraît spécialement fructueux pour le développement d'une science chère et tout particulièrement utile dans l'approche scientifique des problèmes de l'environnement végétal, j'ose dédier, très amicalement et à l'occasion de son 60ème anniversaire, cette modeste note, au Professeur V. Westhoff, éminent spécialiste de la végétation néerlandaise et inlassable protecteur de la Nature.
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7.
Fragments of the Orgueil meteorite were macerated in mineral acids (HNO3-HF-HNO3) to dissolve the mineral matrix and separate the acid-resistant organic residues; a routine procedure in the extraction of pollen and spores from terrestrial sediments. Numerous spherical hollow objects were found, optically resembling the brown amorphous residual organic matrix of the meteorite. Their morphology, size-distribution, and chemical composition, revealed by electron microprobe with reference to carbon and phosphorus, are described, and evaluated in connection with criteria of biogenicity. The intrinsic criteria are satisfactorily met, but the extrinsic requirement of a sedimentary environment is not met. A review of the literature concerning the meteoritic environment suggests an explanation of these spheres based on the environment of their formation. It is proposed that they are organic coatings on olivine microchondrules, magnetite and glass globules, the mineral component of which has been dissolved by the acid maceration. They could have initially resulted from the polymerization of dispersed small organic molecules condensing on the surface of the microchrondrules. The latter were injected from a volcanic nuée ardente into the dispersed cold primordial cosmic dust of hydrated silicates and organic molecules, around the meteorite parent-body. This presumably occurred before the cosmic dust accreted as the carbonaceous chondritic outer layer of the parent-body. Upsurging reducing hot gases from the nuée ardente would polymerize part of the dispersed organic matter as the insoluble brown amorphous matrix, possibly the sticking agent when the cosmic dust accreted. The spiraled form of several of the organic structures described here are suggestive of atmospheric heat microturbulences. Organic membranes and comet-form tails of spherical coatings suggest polymerization in the wake of injected microchondrules. These diverse organic structures would result in our view from the abiogenic thermal organization of organic matter in an extraterrestrial gas-solid system.
Résumé Plusieurs fragments de la météorite d'Orgueil ont été macérés dans des acides minéraux (HNO3, HF, HNO3), afin de dissoudre la fraction minérale et isoler la fraction résiduelle résistant aux acides. C'est là un procédé utilisé couramment en palynologie pour extraire les grains de pollen et les spores des sédiments terrestres.De nombreux objets microscopiques, sphériques et creux, ont été mis en évidence. Ils sont optiquement similaires au résidu organique brun, amorphe, dans lequel ils sont enrobés. Leur morphologie, leur répartition en fonction de leur taille, et leur composition chimique élémentaire, analysée par la microsonde électronique, qui révèle la présence de carbone et de phosphore, sont décrites, puis évaluées en fonction des critères disponibles d'une éventuelle origine biologique. Les critères intrinsèques aux objets sont bien satisfaits, mais non le critère extrinsèque d'un environnement sédimentaire convenable.L'analyse des hypothèses qui ont été avancées pour décrire l'environnement originel de la météorite, permet de suggérer une explication de ces sphères creuses organiques, qui repose entièrement sur cet environnement à l'époque de leur formation. Ce sont des revêtements organiques à la surface de microchondrules d'olivine, de globules de verre et de magnétite, minéraux de haute température appartenant à la fraction minérale de la météorite qui a été dissoute par la macération acide.Ces coques organiques résulteraient de la polymérisation de petites molécules organiques dispersées, qui se seraient condensées à la surface de gouttelettes minérales en fusion. Ces dernières ont pu être éjectées par une nuée ardente volcanique issue du corps parent de la météorite, et projetées dans la poussière cosmique primitive froide en suspension autour de ce corps parent, composée de silicates hydratés et de petites molécules organiques.C'est ensuite seulement que cette suspension de poussière primitive aurait subi l'accrétion pour former finalement la couche extérieure froide de matière étéoritique carbonée du corps parent. En outre, des gaz réducteurs à haute température, s'élevant de la nuée ardente, ont pu polymériser en partie la matière organique en suspension, pour former la matière météoritique organique amorphe, résistant aux acides, qui a peut-être été l'agent agglomérant lors de l'accrétion.Les formes spiralées de plusieurs des structures organiques décrites ici suggèrent des microturbulences atmosphériques dûes à la chaleur. Des membranes organiques, et l'appendice en forme de queue de comète d'une sphérule, suggèrent une polymérisation organique dans le sillage de la trajectoire de microchondrules. Selon notre opinion, ces diverses structures organiques résultent donc de l'organisation abiogénique sous l'effet de la température, de matière organique préexistante, plus simple, dans un système solide-gaz extraterrestre.
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8.
Summary Scarification of a cleared Cladonia-Polytrichum site type on a deteriorated sandy area resulted, after 3 years, in a marked increase in height of white spruce (Picea glauca (Moench) Voss) transplants. This increase was presumably due to the incorporation of ground-vegetation organic matter in the surface soil. Additions of buckwheat residue, N, P, and K fertilizers, and bacterial compost, did not significantly increase height over that observed for seedlings in the scarified areas.In unscarified surface and root-zone soils, nutrients, pH, and organic-matter levels showed no appreciable difference over a period of 5 years. In scarified or in scarified-fertilized surface soils, nutrients and organic matter levels decreased during the 5 years after treatment, while soil acidity increased. In the root zone of the treated soils, potassium content increased with time, while phosphorus and pH levels remained almost constant, and nitrogen and organic matter contents declined.Nutrient-element levels in the needles of white spruce planted in treated soils exhibited changes somewhat similar to those found in the root zone of treated soils, while concentrations of N, P, and K in control transplants did not vary significantly over 5 years.
Sommaire Dans une station sablonneuse, déboisée, épuisée par l'argiculture et du type Cladonia-Polytrichum, la scarification a considérablement favorisé, après trois années, la croissance en hauteur des semis d'épinette blanche (Picea glauca (Moench) Voss). On attribue cette augmentation de croissance à l'incorporation de la matière organique, dérivant de la strate muscinale, dans la couche supérieure du sol. L'addition de sarrazin pulvérisé, d'engrais minéraux à N, P, et K, et d'un compost bactérien, n'a pas davantage favorisé la croissance en hauter des semis.Dans les places témoins, le pH, la quantité de matière organique et d'éléments nutritifs dans le sol de surface et au niveau des racines sont restés sensiblement les mêmes entre 1959 et 1963. Dans les placettes scarifées et dans d'aurtes scarifiées et fertilisées, le contenu en éléments nutritifs et en matière organique dans le sol de surface a décru avec les années, tandis que le degré d'acidité a augmenté. De 1959 à 1963, au niveau des racines, le contenu en potassium a augmenté, celui du phosphore et le pH n'ont pas changé tandis que celui de l'azote et de la matière organique a décru.On constate, en outre, une variation similaire entre la teneur en éléments nutritifs dans les aiguilles des semis plantés en sol modifié et le contenu en éléments nutritifs de ces mêmes sols échantillonnés au niveau des racines. En revanche, les concentrations de N, P, et K dans les aiguilles n'ont pas varié d'une manière significative avec les années dans les places témoins.
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9.
Mayaudon  Jacques  Simonart  Paul 《Plant and Soil》1958,9(4):367-375
Conclusions Par l'emploi de substrats radioactifs, il a été possible de montrer que le glucose, le ray-grass tel quel, la fraction soluble, les hemicelluloses et la fraction cellulosique du ray-grass ne sont pas, dans les conditions expérimentales appliquées, entièrement transformés en CO2 dans le sol après une période de deux mois.La décomposition du glucose est plus rapide que celle des hemicelluloses et celle-ci est plus rapide que celle de la fraction cellulosique. Pour le glucose et pour la fraction cellulosique, 11% et 15% respectivement ne se retrouvent pas sous forme de C14O2 tandis que pour la fraction soluble, pour les hemicelluloses et pour le ray-grass tel quel, c'est près de 20% qui ne sont pas oxydés en CO2.La décomposition de chacun de ces substrats radioactifs donne encore lieu à la production de produits organiques radioactifs que l'on trouve dans la fraction des substances solubles, dans la fraction groupant l'- et le -humus et dans l'humine. La radioactivité de cette dernière fraction est du même ordre de grandeur que la somme des deux autres fractions.Travail effectué sous les auspices de l'Institut pour l'Encouragement de la Recherche Scientifique dans l'Industrie et l'Agriculture (I.R.S.I.A.).  相似文献   

10.
Résumé La production des castes, notamment des nymphes, futurs imagos ailés et des ouvriers chez leReticulitermes lucifugus est soumise à un cycle biologique annuel. L'auteur montre que dans les colonies naturelles les nymphes apparaissent quelques semaines après l'essaimage des jeunes imagos, vers la fin du printemps en une fois et en grande quantité. Elles se développent pendant l'été et arrivent en automne à l'avant-dernier ou même au dernier stade avant la mue imaginale. En hiver le développement de la colonie est normalement arrêté par le froid. Au début du printemps les nymphes se transforment en imagos et quittent la colonie. Pendant le repos hivernal les sexuées femelles accumulent beaucoup de corps gras et, au moment où les grandes nymphes se transforment en imagos, une ponte massive se produit dans le nid. Après la disparition des imagos la colonie voit son potentiel nutritif considérablement augmenté, puisqu'il n'y a plus de nymphes à nourrir. Pour cette raison les larves, à leur tour bien alimentées, peuvent se transformer en nymphes. Celles-ci, par leur croissance et leur constant besoin de nourriture, abaissent de nouveau le potentiel alimentaire. En conséquence de cette baisse, les larves qui apparaissent pendant l'été et l'automne sont mal nourries et donnent des ouvriers.Si les colonies deReticulitermes l. santonensis ont leur nid dans une maison bien chauffée en hiver, comme c'est le cas dans quelques immeubles de La Rochelle, lecycle annuel peut se transformer encycle semestriel. Les nymphes formées au printemps arrivent à l'état imaginal en automne et essaiment alors. Quand ils quittent la colonie un nouveau cycle commence qui permet un autre essaimage cinq à six mois plus tard, au printemps.L'auteur suppose que le facteur climatique et le facteur alimentaire jouent le rôle principal dans la formation des nymphes et dans le cycle biologique des Termitières.  相似文献   

11.
Summary Alates ofTrinervitermes appear in the mounds two or three weeks before their first flights. Those ofT. carbonarius fly first towards the end of May, the other four species in mid-June. Development of alates inT. ebenerianus was accelerated by moisture. The mean sex ratio of all five species in 3664 per cent, males to females, comparable to the percentages of soldiers and workers in young colonies. Flights of alates are late nocturnal, most often at low air temperatures with high relative humidities. «Tandem behaviour» follows wing shedding and precedes «digging-in». A relatively strong stimulus is needed to initiate flight. Thimogtaxis is important in nest site selection. Development of young colonies was followed in glass plate observation nests. The timetable of main events is given for all five species; oviposition and hatching rates and lengthsof instars are tabulated comparatively. The rates of development of young colonies are discussed in relation to their possible adaptive significance.
Résumé On trouve les ailés deTrinervitermes dans leurs termitières de deux à trois semaines avant les premiers vols. ChezT. carbonarius, les vols commencent vers la fin de mai, et chez les autres espèces à la mi-juin. On accélérait la croissance des nymphes deT. ebenerianus en humidifiant les termitières. Le rapport moyen des sexes est 36,64 pour cent, mâles à femelles, et c'est en proportion comparable au rapport entre les soldats et les ouvriers dans les colonies jeunes. Les vols des ailés ont lieu à une heure avancée de la nuit, et ils se présentent le plus souvent en conditions de températures peu élevées, et d'humidités relatives élevées. Le «comportement en tandem» suit l'amputation des ailes et précède le creusement d'une chambre nuptiale. La thygmotaxie est importante en ce qui concerne le choix d'un emplacement pour cette chambre. On a observé le développment des colonies nouvelles dans des nids sous verre. La table chronologique des événements d'importance est donnée pour les cinq espees. On a disposé en tables les données relatives à l'oviposition et à l'éclosion pour effectuer des comparaisons entre les cinq espèces. On examine les vitesses de croissance des jeunes colonies en fonction de leurs significations adaptives.
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12.
Résumé Les auteurs ont étudié le rein de Triturus cristatus carnifex (Laur.) au point de vue anatomique, cytologique et cytochimique. Venant confirmer des données d'auteurs précédents, ils ont signalé la présence dans le rein de cet Urodèle de deux régions, rein génital et rein pelvien, lesquelles diffèrent quant à leur aspect, à la disposition des néphrons et aux rapports que la première de ces région entretient, chez le mâle, avec la gonade. Ils soulignent les différences qui caractérisent les néphrons du rein génital chez les deux sexes.Ce recherches confirment la présence dans le néphron du Triton de cinq segments qui se suivent dans l'ordre ci-après: collet cilié, segment à bordure en brosse que l'on peut diviser en deux tronçons P1 et P2, segment intermédiaire cilié, segment à bâtonnets, segment d'union. De nombreux néphrostomes constituent autant de communications entre les néphrons et le coelome. De ces néphrostomes part un canal néphrostomial souvent assez long, canal qui, après un parcours ondulé, débouche dans un collet. Dans le rein génital du mâle, les néphrostomes font défaut.La position des différents segments du néphron dans le rein correspond à celle observée par d'autres auteurs chez des Urodèles d'espèces différentes: les glomérules, les segment à bâtonnets et les néphrostomes sont situés dans la région ventrale; dans les régions dorsale et dorso-latérale, on trouve au contraire les segments à bordure en brosse; les collets et les segments intérmédiaires sont situés entre ces deux régions.Le diamètre du néphron est variable; il atteint son minimum au niveau du collet et du segment intermédiaire.Dans la région apicale des cellules du collet on a observé des granulations P.A.S. positives qui font défaut dans les autres segments ciliés du néphron (canal néphrostomial et segment intermédiaire). Parmi les activités enzymatiques étudiées, seule la 5-nucléotidase est présente dans le collet.La distribution différente des substances P.A.S. positives et du pigment permet de diviser le segment à bordure en brosse en deux tronçons P1 et P2 qui passent progressivement l'un dans l'autre. Dans P1 le matériel P.A.S. positif est formé de fines granulations presque toujours situées au dessus du noyau — granulations qui sont aussi Hale et F.P. positives — et d'amas irréguliers situés à la base de la cellule et le long des limites cellulaires. Dans P2 les substances P.A.S. positives sont formées par contre de granulations de dimension variable; généralement d'une certaine dimension, ces granulations sont situées en position paranucléaire; elles sont Hale, F.P. positives et nettement acidophiles.Tout le matériel P.A.S. positif mentionné ci-dessus ne semble guère être de nature mucopolysaccharide acide ni de nature glycogénique.Dans P2 on observe des gouttes de pigment jaune-brun, faiblement F.P. positif, pigment qui constitue le caractère le plus typique de ce segment.Dans tout le segment à bordure en brosse les cellules revèlent une faible pyroninophylie cytoplasmatique qui semble légèrement plus accentuée dans P2. Dans P2, et plus particuliérement dans sa moitié distale, on observe de fréquentes images difficiles à préciser au microscope optique; ces images pourraient être attribuées aussi bien à des phénomènes de sécrétion que d'absorption.Le segment à bordure en brosse est le le segment où l'on peut démontrer histochimiquement le plus grand nombre d'activités enzymatiques. On a pu confirmer en effet la présence et la localisation de l'activité phosphatasique alcaline non spécifique aussi bien que de celle acide et décrire la localisation de celles lipasique, glucose 6-phosphatasique et 5-nucléotidasique. L'activité succinodéshydrogénasique et celle ATPasique, au niveau du chondriome, sont très faibles.Le segment intermédiaire cilié est caractérisé par l'absence de substances P.A.S. positives dans ses cellules.Le caractère le plus évident du segment à bâtonnets est fourni par sa richesse en chondriome, par la présence de matériel bleu alcian positif dans quelques-unes de ses cellules, et par l'intensité des réactions ATPasique et succino-déshydrogénasique. Dans le tiers distal de ce segment on peut mettre en évidence une faible activité lipasique.Lors de la discussion, les auteurs insistent tout particulièrement sur les données histochimiques obtenues, notamment en ce qui concerne le comportement des systèmes enzymatiques et le caractère spécifique des réactions obtenues dans le cadre des conditions tecniques adoptées.Recherche conduite et publiée avec une contribution du Consiglio Nazionale delle Ricerche.  相似文献   

13.
Résumé La greffe de pancréas foetal chez le rat alloxanisé (une injection d'alloxane de 100–250 mg/kg) corrige immédiatement et définitivement le diabète. La sécrétion d'insuline est, au début, assurée par le greffon puisque dans les îlots du pancréas de l'hôte l'alloxane a provoqué la destruction totale des cellules B. Durant les deux premières semaines qui suivent la bréphoblastie, les îlots sont le lieu d'une prolifération massive de cellules A; les premières cellules B néoformées apparaissent vers le 15e jour mais la proportion normale des cellules AB n'est rétablie que 1 1/2 à 2 mois après l'implantation de la greffe. Au fur et à mesure de la régénération des cellules B, la fonction insulinique des îlots du pancréas de l'hôte se substitue à celle du greffon qui dégénère progressivement.Chez les rats pancréatectomisés et greffés, la sécrétion d'insuline est également assurée par le greffon pendant le 1er mois environ. La régénération du pancréas à partir de reliquats pancréatiques laissés dans la région de la confluence des canaux de Wirsung et biliaire, aboutit, à 3 1/2 mois, à une polynésie d'îlots, souvent volumineux et irréguliers, formés presqu'exclusivement de cellules B. La glycémie restant constamment normale, la sécrétion d'insuline est ici encore dans une première phase, assumée par le greffon qui dégénère, par la suite, au fur et à mesure que les îlots du régénérat sont capables de secréter de l'insuline en quantité suffisante pour assurer l'équilibre glycémique.La prolifération et la néogenèse des cellules A, comme celles des cellules B, se font essentiellement aux dépens des cellules des acini exocrines qui perdent leurs caractères de cellules exocrines (disparition des granulations de zymogène et de la réserve de RNA) et prolifèrent en gros bourgeons plasmodiaux A ou B. La différenciation de cellules endocrines se fait également, mais plus rarement, à partir de l'épithélium des petits canalicules secrétoires sous acineux.Bréphoplastie = greffe d'organe foetal; terme créé par R. M. May.  相似文献   

14.
Résumé Les observations photoniques et ultramicroscopiques concernant les Blastodinium, parasites de Copépodes, étudiés à tous les stades de leur développement intra-intestinal nous ont apporté les résultats suivants:Le Trophocyte subit de profondes transformations nucléaires avant de commencer à se diviser (éndettement nucléolaire et passage des grains ribonucléoprotéiques dans le cytoplasme); les sphères archoplasmiques liées aux noyaux se divisent avant eux et apportent leur contribution dans les synthèses membranaires; la division nucléaire est une pleuromitose simple, sans cinétochores et sans centrioles: on peut observer tous les stades définis de, la mitose, exceptée l'interphase; la métaphase est très difficile à saisir, surtout dans les espèces à mitoses accélérées. Les faisceaux de microtubules contenus dans les plasmodendrites qui perforent les noyaux toujours en mitoses au cours de la sporogenèse, ne sont jamais en contact avec les chromosomes; nous avons entrevu leur rôle dans la cyclose hyaloplasmique. Durant les phénomènes sporogenétiques, un cycle régulier de condensation chromosomique s'effectue, sans perte de DNA. Dans les stades peu condensés, l'arrangement fibrillaire des chromosomes est inorganisé, puis ceux-ci montrent un agencement en séries d'arceaux réguliers qui disparaît dans les stades les plus condensés.L'enveloppe nucléaire joue un rôle prépondérant dans la traction, l'orientation et la ségrégation du matériel chromosomique. Nous avons recherché également une série d'explications concernant le déterminisme des phénomènes de condensation chromatique.Dans cet exemple précis, noyaux et phénomènes mitotiques démontrent parfaitement cette situation intermédiaire des Dinoflagellés, entre Bactéries et Eucaryotes.
Nuclear structures of Blastodinium Chatton (parasitic dinoflagellates)Division and chromatic Condensation
The mitotic mechanism in Blastodinium Chatton has been studied by photonic and electronic microscopy. Divisions of the archoplasmic spheres precede that of the nuclei and their movements are interconnected. Stages of mitosis follow one another without interphase; they are telescoped, which makes the study of the chromosome cycle more difficult. Progressive condensation of nuclei and chromosomes takes place in the various sporogenetic layers within the same parasite. Cytophotometric measurements show that there is no loss of DNA during successive mitosis. The nuclear envelope plays an important part in the traction, orientation and segregation of the chromosomes. The cytoplasmic invagination which perforate the nuclei contain considerable masses of microtubules whose role in the activation of the hyaloplasmic cyclosis and membranous synthesis is suggested.—In longitudinal section, the chromosomes show a fibrillar arrangement in regular arches in the non-condensed stages and irregular arches in more condensed stages, with a lesser diameter.—The type of nuclear division is a very simple pleuromitosis without kinetochores and centrioles; the role of the nuclear envelope in the chromosomal mechanism appears to be preponderant.
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15.
Résumé Chez le cobaye, une injection intracardiaque d'alloxane de 200 à 400 mg/kg provoque des altérations hépatiques bien caractérisées:4–12 heures après l'injection, les lésions sont déjà étendues: stase sanguine avec dilatation considérable des veines périlobulaires et des capillaires, immigration massive, par voie sanguine, de granulocytes neutrophiles, rupture des capillaires des zones périportales par destruction pycnotique des cellules endothéliales. Les cellules hépatiques de la zone périlobulaire dégénèrent par vacuolisation aqueuse aboutissant à la lyse cellulaire.24 heures après l'injection, les altérations hépatiques ont atteint leur degré maximum, de vastes lacunes, résultant de la lyse cellulaire et remplies de sang extravasé, encerclent des espaces de Kiernan plus ou moins détruits; en bordure de ces lacunes, les endothéliums manquent sur une certaine distance et, dans cette zone, les cellules hépatiques sont moins vacuolisées qu'au stade précédent. Les premiers bourgeons de régénération apparaissent aux depens des régions les moins altérées des espaces de Kiernan.48 heures après l'injection, les lésions sont en grande partie réparées; la fréquence des mitoses dans les cellules hépatiques saines, en bordure lésions assure la régénération de ces éléments; tandis que des bourgeons de régénération périportaux sont responsables de la reconstruction de nouveaux espaces de Kiernan et probablement de la néoformation des endothéliums des capillaires.L'étendue des lésions dépend de la quantité d'alloxane injectée et de la voie d'injection; à dose égale, les lésions; provoquée par injection intrapéritonéale sont beaucoup moins accusées que par voie intracardiaque.Il existe une relation étroite entre la quantité de glycogène contenue dans les lobules hépatiques et l'étendue des zones nécrotiques; à dose égale d'alloxane, les altérations sont nettement moins accusées dans les foies riches en glycogène que dans ceux qui en sont dépourvus.L'intoxication alloxanique ne provoque pas chez le cobaye de dégénérescence graisseuse hépatique dans les 48 heures qui suivent l'injection.Ge travail est dédié au professeur Eugène Bujard, directeur de l'Institut d'Histologie de l'Ecole de Médecine de Genève, en l'honneur de ses 70 ans, en hommage de profonde estime et de très grande reconnaissance.  相似文献   

16.
Diets prepared from lyophilized and powdered current-year (1983) shoots of white spruce Picea glauca (Moench) Voss were offered to 6th-instar larvae of spruce budworm, Choristoneura fumiferana (Clemens) (Lepidoptera: Tortricidae). With increasing age of current-year shoots, time to pupation increased whereas survival, assimilation efficiency, efficiency of conversion of diet to moth biomass, and moth dry weight generally decreased. Sex of the larvae influenced amount ingested, time to pupation, and subsequent moth weight but not survival, assimilation efficiency, and efficiency of conversion of diet to moth biomass.
Résumé De la poudre lyophilysée de pousses de l'année de Picea glauca a été introduite dans le régime de chenilles du 6ème stade de Choristoneura fumiferana: 20% de poudre de pousses, 1.2% de gélifiant, 78.8% d'eau. Il est ainsi possible de déterminer à 2 mg près la quantité d'aliment consommée par chaque chenille, et, ainsi, de calculer, pour chacune, l'indice alimentaire, dont la prise de nourriture est l'une des variables. Avec de tels régimes préparés à partie de pousses recueillies au cours de 1983, on a constaté que la date de nymphose, la quantité consommée, et le poids ultérieur des papillons dépendaient du sexe de la chenille. En général, les chenilles femelles se nymphosent plus tard, consomment plus et donnent des papillons plus lourds (poids sec) que les chenilles mâles. L'efficacité de l'assimilation et celle de la transformation en biomasse de papillon ne différent pas suivant les sexes, c'est-à-dire qu'ils ont la même aptitude à digérer les pousses. Les taux de survie de chenille à nymphe et de nymphe à imago ne différent donc pas.Cependant, certains de ces paramètres et d'autres changent en fonction de l'âge des pousses annuelles. Quand elles ont été récoltées 7 jours après le débourrement (il a lieu le 20 mai), la survie jusqu'en nymphe est de 93% contre 74% de survie totale; avec des pousses récoltées 52 jours après le débourrement (11 juillet) les taux de survie sont respectivement 7% et 1.4%; avec des pousses récoltées 146 jours après le débourrement (13 octobre) les survies sont 71% et 50%. Des pousses récoltées 28 jours ou plus après le débourrement, retardent la date de nymphose de 25% par rapport à celles récoltées entre 7 et 14 après le débourrement; parallèlement, elles abaissent l'efficacité de l'assimilation de 39%, l'efficacité de conversion de la biomasse de 125%, et le poids des papillons de 54%. Ces changements sont liés à une diminution de la teneur en azote des pousses de 2.1% à environ 1% du poids sec. Cependant la corrélation entre la survie des chenilles et la teneur en azote n'est pas rigoureuse et un facteur encore inconnu est supposé responsable de l'augmentation de la mortalité quand les chenilles consomment (dans leur régime) des pousses récoltées début juillet, 52 jours après le débourrement. Les travaux destinés à identifier ce facteur inconnu sont en cours.
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17.
Summary 1. Frames with slides of different nature were submerged in the harbour of Ostend, Belgium, on the first of June 1964, to detect qualitative and quantitative differences in their fouling.2. After two months the devices were covered with a black mud-layer of several centimeters in thickness, which made a detailed analysis of the slides impossible.3. Examination of this mud revealed that the tubulous polychaetePolydora ciliata (Johnston) was the primary cause of this enormous overgrowth.4. A list of the species found in the mud is given.
L'importance de la salissure dans le port d'Ostende en 1964
Extrait Début juin 1964, plusieurs cadres dotés de lames de nature différente furent immergés dans le port d'Ostende dans le but de détecter des différences éventuelles dans la colonisation des substrats. Deux mois plus tard, l'expérience dut déjà être interrompue, les cadres étant entièrement recourverts de boue. Ceci rendait toute analyse d'une lame à l'autre impossible. Nous avons trouvé que cet énorme envahissement était dû à l'accumulation progressive d'un polychète tubuleux:Polydora ciliata (Johnston). La liste des organismes présents dans la boue a été dressée.
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18.
A peritrophic membrane formed in the posterior midgut of female simuliids of seven species within 30 min of feeding on blood of various avian or mammalian hosts, and 6–12 hr thereafter it displayed up to seven concentric laminae. Within the first 48 hr of blood digestion, the posterior part of the peritrophic membrane (where digestion was most advanced) began to decompose and PM disappearance was complete at the end of blood digestion. In different species blood digestion at 18°–20° required 120–180 hr which was increased to over 200 hr by microsporidan infection. If a blood-sucrose mixture went directly to the midgut, a thin membrane formed around it, but not if it went indirectly by way of the crop. A prefeeding secretion in the anterior midgut is considered to be the peritrophic membrane of the pharate adult surrounding a small, but variable, amount of material, the meconium.
Résumé Sept espèces de simulies ont été étudiées: 5 ornithophiles, 2 mammalophiles. Trente minutes après un repas de sang sur divers oiseaux (poulet, canard) ou mammifères (homme, cerf, élan d'Amérique) on constate qu'une membrane péritrophique est sécrétée par toute le surface épithéliale dans la région moyenne de l'intestin moyen postérieur dilaté des femelles. Six à douze heures après le repas cette membrane comporte jusqu'à sept lamelles concentriques. Une sécrétion moins importante se forme autour de la petite quantité de sang que l'on trouve dans l'estomac antérieur, non dilaté et étroit; cette sécrétion glisse vers l'arrière et forme une capsule recouvrant le pôle antérieur du bol alimentaire sanguin dans la partie postérieure de l'intestin moyen, ceci pendant le premier jour. La digestion commence à la périphérie et à l'extrémité postérieure de la masse sanguine et se poursuit enfin à l'extrémité antérieure, où la membrane péritrophique conserve le plus longtemps sa structure en contact avec le sang non digéré. Dans les premières 48 heures de la digestion du sang, la région postértieure de la membrane péritrophique (là où la digestion est la plus avancée) commence à se décomposer, et sa disparition est complète quand la digestion du sang est achevée. Chez les différentes espèces étudiées, la digestion du sang à 18–20° exige 120–180 heures, pouvant demander plus de 200 heures chez des insectes atteints d'une infection par des microsporidies. Si un mélange de sang et sucrose parvient directement dans la région moyenne de l'intestin moyen, une membrane mince se forme autour, mais non si cet aliment passe par le jabot. Une sécrétion précédant l'alimentation s'observe dans l'intestin moyen antérieur des mouches non nourries et doit représenter, chez l'adulte venant d'éclore, la membrane péritrophique entourant le méconium: petite quantité de matière d'importance variable. Cette matière se retrouve souvent au centre de la masse sanguine après alimentation et est lente à digérer.
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19.
Summary The nodulation and growth of faba bean plants (Vicia faba cultivar Giza 2) at 2 months' age were studied in pot trials using an alluvial clay soil (pH 7.9). Chlorides, carbonates and sulphates of Na+, K+, Ca2+, and Mg2+ were added at 20 mEq/100 g soil and the tolerance ofRhizobium leguminosarum (biovar.viceae, Strain F-15) grown on pure culture medium, salinized with the same salts, was then tested. Salts were generally inhibitory towards plant and bacterium. Number and characteristics of plant root-nodules, dry weight of plants (shoots and roots), N content in plants and the bacterial colony count decreased. Chlorides were the most inhibitory in soil and carbonates the most in culture medium, whilst sulphates were the least inhibitory in either case. Na+ gave maximum inhibition, whereas Mg2+ was the least detrimental. Formation of effective nodules on roots of the plants grown in the salinized soil was very poor, butR. leguminosarum showed possible tolerance when grown on salinized culture medium.
Influence de la forme ionique des sels minéraux sur la croissance de la fève faba et de Rhizobium leguminosarum
Résumé La nodulation et la croissance des plants de fève faba (Vicia faba cultivar Giza 2) agés de 2 mois ont été étudiés dans des essais en pots en utilisant un sol argileux alluvial (pH 7.9). On a ajouté les chlorures, carbonates et sulfates de Na+, K+ et Mg2+ à la dose de 20 mEq par 100 g de sol. On a testé ensuite la tolérance deRhizobium leguminosarum (biovar.viceae, souche F-15), cultivé en milieu de culture pure, salinée avec les mêmes sels. Les sels sont d'une manière générale inhibiteurs vis à vis de la plante et de la bactérie. Le nombre et les caractéristiques des nodules radiculaires de la plante, le poids sec des plantes (pousses aériennes et racines), le contenu azoté dans les plantes et le nombre de colonies bactériennes décroissent. Les chlorures sont le plus inhibiteurs dans le sol et les carbonates le sont dans le milieu de culture tandis que les sulfates sont le moins inhibiteurs dans les deux cas. Na+ est le plus inhibiteur, tandis que Mg2+ est le moins nocif. La formation de nodules effectifs sur les racines de plants cultivés dans le sol saliné est très pauvre, maisR. leguminosarum démontre une tolérance possible lorsqu'il est précultivé dans un milieu de culture saliné.
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20.
Résumé Cette note décrit l'application de la technique de culture en dialyse continue à Nitrobacter. La culture ne peut pas être maintenue en phase exponentielle beaucoup plus longtemps par cette méthode que dans le cas où les nitrates peuvent s'accumuler dans le milieu de culture. Toutefois, la croissance continue à vitesse constante au lieu de s'arrêter complètement, et l'on peut atteindre une concentration de quelque 500 mg de matière sèche au litre. Il est montré que c'est la diffusion du nitrite à travers la membrane qui limite la croissance bactérienne et que si l'on augmentait la quantité de nitrite diffusée une nouvelle limitation de la croissance due cette fois à un apport d'oxygène insuffisant ne tarderait pas à se manifester.
Summary This note describes the use of continuous dialysis for growing Nitrobacter.It is not possible to keep Nitrobacter growing exponentially during a much longer time by this method than when nitrate is not dialyzed from the culture medium. However, growth continues at a constant velocity instead of stopping and a cell concentration of about 500 mg per 1 (dry weight) is easily reached. It is shown that nitrite diffusion through the membrane is rate limiting for growth and that increase of the amount of nitrite diffusing through the membrane would soon lead to another rate limiting process, namely oxygen diffusion through the medium from the air bubbles.


Aspirant du Fonds national de la recherche scientifique.  相似文献   

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