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1.
Résumé Les néoblastes de la région postérieure du corps de la PlanaireD. lacteum ont les mêmes propriétés migratrices et histogénétiques que les néoblastes de la région prépharyngienne. En cas de section transversale à quelque niveau que ce soit, les néoblastes du fragment postérieur se déplacent d'arrière en avant pour s'accumuler en un bourgeon de régénération normal. Mais la différenciation de ces cellules ne se produit qu'en cas de section nettement antérieure à la racine du pharynx (alors il y a régénération). Après une section postérieure à la racine du pharynx, les néoblastes dégénèrent.
Neoblasts in the anterior regeneration ofDendrocoelum lacteum, Turbellaria tricladida
Summary Neoblasts of the posterior region of the body in the PlanarianD. lacteum have the same migratory and histogenetic properties as neoblasts of the prepharyngeal region. With transverse cuts at whatever level, neoblasts of the posterior fragment migrate forward to accumulate as a normal regeneration bud. But differentiation of these cells only occurs in ease of a section clearly anterior to the root of the pharynx (regeneration then follows). After a transection posterior to this level, the neoblasts degenerate.
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2.
In field experiments, larvae of codling moth Cydia pomonella (L.) rarely acquired granulosis virus on hatching from the egg, but picked up most later, on the tree surface. Deposits of virus sprayed in 1.0% w/v skimmed milk did not affect neonate larval behaviour. Larvae died, usually in the first instar, after entering treated fruit, but they frequently entered via the calyx or near the base of the stalk or through cracks in the skin, where little feeding damage by first-and sometimes second-instar larvae was seen.
Résumé En verger, la pulvérisation d'oeufs de carpocapse avec du virus de la granulose en suspension dans l'eau (additionnée de lait écrémé dilué à 1%) n'a pas modifié la survie des chenilles avant pénétration dans le fruit; par contre la pulvérisation des arbres a provoqué une forte mortalité. Bien que des chenilles consommant des poils et la surface des feuilles aient été observées avant leur pénétration dans le fruit, ce qui aurait pu provoquer leur contamination par le virus, il semble que la contamination létale provienne des fruits seuls.La présence de produit n'a modifié ni le comportement larvaire, ni le taux de pénétration dans les fruits; la mortalité y a lieu ensuite, généralement au premier stade. Dans 74 à 78% des cas, les chenilles ont pénétré dans le fruit par le calice ou près de la base du pédoncule — aucun dégât provenant de larves du premier stade n'y était visible, de même que dans le calice pour les larves du deuxième stade. Par contre, toute pénétration par la surface du fruit était repérable dès le premier stade. Il est possible que la répartition des lieux de pénétration dans le fruit influe sur la létalité due au virus et explique les variations d'efficacité observées en verger. Un système de classification des dégâts, provoqués lors de la pénétration dans le fruit, de chenilles du premier au troisième stade est proposé pour évaluer l'efficacité des essais en verger.
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3.
Résumé La diffèrence de mortalité notée entre les abeilles isolées et groupées n'est pas due à une perturbation du métabolisme de l'eau et de l'azote. Ceci étant également vrai pour les surces, il est possible de généraliser et de dire que le métabolisme généraliser et de dire que le métabolisme général ne semble jouer aucun rôle déterminant dans cet effet de groupe, observé tant chez les abeilles d'hiver que chez les abeilles d'été.
Zusammenfassung Die Sterblichkeitsdifferenz zwischen isolierten und gruppierten Winter- oder Sommerbienen ist nicht auf eine Perturbation des Metabolismus von Wasser und Stickstoff zurückzuführen, wie es ja auch bereits vom Zuckergehalt festgestellt wurde.Der Metabolismus spielt also keine entscheidende Rolle in diesem Gruppeneffekt.
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4.
In ambiphasic females of Acyrthosiphon pisum Harris the antero-posterior disposition of the amphigonic and parthenogenetic ovarioles varies in accordance with the conditions under which they were produced.In ambiphasic females born when the mother stops producing parthenogenetic daughters and starts producing amphigonic daughters, the parthenogenetic ovarioles are located anteriorly. On the other hand, in ambiphasic females born when the mother stops producing amphigonic daughters and starts producing parthenogenetic daughters, the parthenogenetic ovarioles are located nearer the posterior region. This shows that when differentiation of the ovarioles takes place contemporaneously with the switching of the maternal tendency affecting the daughter's reproductive category, the asynchrony in the development of the different ovarioles determines whether or not the ovary becomes ambiphasic.
Résumé Chez Acyrthosiphon pisum l'apparition de femelles ambiphasiques dans la descendance d'une génitrice parthénogénétique ne peut avoir lieu que lorsque celle-ci cesse de produire des femelles de l'une catégorie génétique et commence à en produire de l'autre catégorie.L'examen de la gonade des femelles ambiphasiques a mis en évidence l'existence de deux types différents d'ovaires caractérisés par la disposition particulière des ovarioles amphigoniques et parthénogénétiques.Chez les femelles ambiphasiques qui naissent quand les génitrices cessent de donner des femelles parthénogénétiques et commencent à engendrer des femelles amphigoniques, les ovarioles du type parthénogénétique sont situés près de la région céphalique, tandis que ceux du type amphigonique se situent au voisinage de la région postérieure. Au contraire, chez les ambiphasiques qui naissent quand les génitrices cessent de produire des femelles amphigoniques et commencent à donner des femelles parthénogénétiques, les ovarioles de la région céphalique sont du type amphigonique, tandis que ceux de la région postérieure sont du type parthénogénétique.Cette donnée, ainsi que l'asynchronisme dans le développement des différents ovarioles qui a pu être vérifié par l'analyse cytologique des embryons femelles, indique que la détermination de l'ovaire ambiphasique est provoquée par le changement des conditions physiologiques de la génitrice. Celles-ci règlent la détermination des femelles ambiphasiques à condition que ce changement ait lieu en même temps que la différenciation de la gonade embryonnaire.
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5.
Résumé Chez le cobaye, une injection intracardiaque d'alloxane de 200 à 400 mg/kg provoque des altérations hépatiques bien caractérisées:4–12 heures après l'injection, les lésions sont déjà étendues: stase sanguine avec dilatation considérable des veines périlobulaires et des capillaires, immigration massive, par voie sanguine, de granulocytes neutrophiles, rupture des capillaires des zones périportales par destruction pycnotique des cellules endothéliales. Les cellules hépatiques de la zone périlobulaire dégénèrent par vacuolisation aqueuse aboutissant à la lyse cellulaire.24 heures après l'injection, les altérations hépatiques ont atteint leur degré maximum, de vastes lacunes, résultant de la lyse cellulaire et remplies de sang extravasé, encerclent des espaces de Kiernan plus ou moins détruits; en bordure de ces lacunes, les endothéliums manquent sur une certaine distance et, dans cette zone, les cellules hépatiques sont moins vacuolisées qu'au stade précédent. Les premiers bourgeons de régénération apparaissent aux depens des régions les moins altérées des espaces de Kiernan.48 heures après l'injection, les lésions sont en grande partie réparées; la fréquence des mitoses dans les cellules hépatiques saines, en bordure lésions assure la régénération de ces éléments; tandis que des bourgeons de régénération périportaux sont responsables de la reconstruction de nouveaux espaces de Kiernan et probablement de la néoformation des endothéliums des capillaires.L'étendue des lésions dépend de la quantité d'alloxane injectée et de la voie d'injection; à dose égale, les lésions; provoquée par injection intrapéritonéale sont beaucoup moins accusées que par voie intracardiaque.Il existe une relation étroite entre la quantité de glycogène contenue dans les lobules hépatiques et l'étendue des zones nécrotiques; à dose égale d'alloxane, les altérations sont nettement moins accusées dans les foies riches en glycogène que dans ceux qui en sont dépourvus.L'intoxication alloxanique ne provoque pas chez le cobaye de dégénérescence graisseuse hépatique dans les 48 heures qui suivent l'injection.Ge travail est dédié au professeur Eugène Bujard, directeur de l'Institut d'Histologie de l'Ecole de Médecine de Genève, en l'honneur de ses 70 ans, en hommage de profonde estime et de très grande reconnaissance.  相似文献   

6.
The apple maggot fly, Rhagoletis pomonella (Walsh), has only recently been found in Utah infesting sour cherry, Prunus cerasus L. An electrophoretic comparison of flies from Utah cherries with flies from Illinois hawthorns, Crataegus mollis (T. & G.) Scheele (a native host within the native range of the fly), show a marked reduction of genetic variability in the Utah sample. This result is indicative of a genetic bottleneck associated with the establishment of the apple maggot population in Utah cherries.
Résumé R. pomonella (Walsh), est originaire de Crataegus dans l'Amérique du N.E. Il attaque de nombreux autres fruits, y compris les pommes et les cerises aigres (Prunus cerasus). La mouche a été récemment signalée en Utah, à la fois sur cerises et sur Crataegus douglasii. Nous avons comparé les niveaux de variabilité génétique d'une population de l'Utah contaminant les cerises et d'une population de l'Illinois contaminant C. mollis (la population de l'Illinois est représentative des niveaux de variabilité génétique dans l'aire d'origine de la mouche).La variabilité génétique à 17 loci a été évaluée par électrophorèse sur gel d'amidon. 10 de ces loci sont polymorphes dans la population d'Illinois, mais seulement 4 dans la population de l'Utah. Les fréquences alléliques de ces 4 loci de R. pomonella diffèrent significativement en Utah et en Illinois. La population de l'Utah présente nettement moins d'allèles par locus, un plus faible pourcentage de loci polymorphes et une hétérozygotie moyenne plus faible que la population de l'Illinois. Tous ces résultats sont conformes aux conséquences prévisibles d'un goulot d'étranglement.Deux explications existent pour cette perte de variabilité, toutes les deux liées à la combinaison de la faible taille de la population et de la dérive génétique ultérieure. Pour la première, la colonisation du cerisier par les mouches venant de Crataegus peut avoir provoqué un goulot d'étranglement génétique. Au contraire, la réduction de la variabilité peut avoir été la conséquence de la colonisation de l'Utah par R. pomonella. Nous retenons cette dernière comme la cause la plus vraisemblable de la variabilité génétique de la population de R. pomonella contaminant les cerises de l'Utah.
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7.
Résumé Les histiocytes sont, en culture de tissus, les seuls éléments responsables de la résorption de fragments osseux nécrosés. Ils se présentent en général sous forme d'un réseau de cellules fixes, anastomosées les unes avec les autres, mais, en présence de polynucléaires, se transforment, en partie tout au moins, en macrophages mobiles, mononucléés. Il n'a jamais été observé, dans les conditions expérimentales, de cellules géantes multinuclées.  相似文献   

8.
Earlier studies have indicated that interior (physical and/or chemical) properties of a plant may be responsible for feeding-site selection by the greenhouse whitefly, Trialeurodes vaporariorum (Westw.). In order to study the process of feeding-site selection further, stylet-penetration activities and the pathway followed by the stylets in host-plant tissue were investigated using a DC electrical recording method and transmission electron microscopy (TEM). Penetrating whiteflies attached to a gold wire were included in an electrical circuit to record electrical penetration graphs (EPGs). Seven EPG patterns have been distinguished, five of which could be correlated with components of the stylet-penetration process: 1) one with penetration of the leaf surface, 2) one with intercellular penetration and salivary-sheath secretion, 3) one with sieve element penetration and ingestion, 4) one with short penetration of a cell, and 5) one with xylem penetration. The stylet pathway is almost completely intercellular before the phloem is reached and in contrast to aphids, brief symplast punctures are very rare. In general, it takes T. vaporariorum more than half an hour from the start of a penetration to reach a sieve element. Rejection of feeding sites occurs within a few minutes of penetration by adult whiteflies, a time span in which stylets are presumed to penetrate just beyond the epidermis. Properties of the apoplast close to the leaf surface seem therefore to play a major role in feeding-site selection.
Résumé De précédentes études ont montré que les propriétés internes (physiques et/ou chimiques) d'une plante peuvent induire la sélection du site de nutrition de la mouche blanche de serres, Trialeurodes vaporariorum (Westw.). Afin d'étudier plus avant le processus de sélection du site de nutrition, les activités de piqûre et le chemin suivi par le stylet dans les tissus de la plante-hôte ont été étudiés par une méthode d'enregistrement électrique en courant continu ainsi que par microscopie à transmission d'électrons (TEM). Des aleurodes en activité de piqûre attachées à un fil d'or ont été incluses dans un circuit électrique pour enregistrer des graphes de pénétration électriques (EPG). Sept motifs d'EPG ont été distingués, dont cinq peuvent être corrélés aux composantes du processus de pénétration du stylet: 1) un avec pénétration de la surface foliaire, 2) un avec pénétration interecellulaire et sécrétion d'une gaine de salive, 3) un avec pénétration du phloème, 4) un avec courte pénétration d'une cellule, et 5) un avec pénétration du xylème. Le parcours du stylet est presque entièrement intercellulaire avant que le phloème soit atteint. Contrairement aux pucerons, les ponctions brèves dans le symplasme sont rares. Généralement, T. vaporariorum met plus d'une demi-heure, à partir du début d'une piqûre, pour atteindre un vaisseau. Le rejet des sites de nutrition par les aleurodes adultes se passe quelques minutes après la pénétration du stylet; pendant ce laps de temps, le stylet pénétrerait juste sous l'épiderme. Le rôle des propriétés de l'apoplaste près de la surface foliaire semble donc majeur dans la sélection des sites de nutrition.
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9.
Planthoppers and leafhoppers (Delphacidae and Deltocephalidae) were reared on a holidic diet for eight generations. On the holidic diet, nymphal stages were prolonged, but they became shorter after the fourth generation. The resulting adults showed no difference in sizes compared with the controls. The survival of nymphs was improved after the third and subsequent generations.
Résumé La Cicadelle Laodelphax striatellus a pu être élevée pendant huit générations successives sur un aliment synthétique de composition chimique connue, dérivé de deux utilisés par divers auterus pour des Aphides. On note un allongement de la durée de développement de chaque stade larvaire, bien qu'après la 4ème génération cette durée diminue, tout en restant plus grande que pour les témoins. Les adultes obtenus ne présentent pas de différence de taille par rapport aux témoins, mais on remarque qu'ils sont tous du type macroptère, alors que quelques brachyptères apparaissent toujours dans les élevages sur pousses de riz, particularité déjà signalée à propos d'Aphides. La mortalité larvaire sur milieu alimentaire synthétique est élevée, mais le pourcentage de survie s'améliore de génération en génération pour égaler ou même surpasser celle des témoins à la 8ème génération. La fertilité des femelles élevées sur aliment synthétique est considérablement amoindrie.D'autres Homoptères, Delphacidae et Deltocephalidae ont été élevés sur ce même milieu de l'éclosion jusqu'au stade adulte.
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10.
Résumé La greffe de pancréas foetal chez le rat alloxanisé (une injection d'alloxane de 100–250 mg/kg) corrige immédiatement et définitivement le diabète. La sécrétion d'insuline est, au début, assurée par le greffon puisque dans les îlots du pancréas de l'hôte l'alloxane a provoqué la destruction totale des cellules B. Durant les deux premières semaines qui suivent la bréphoblastie, les îlots sont le lieu d'une prolifération massive de cellules A; les premières cellules B néoformées apparaissent vers le 15e jour mais la proportion normale des cellules AB n'est rétablie que 1 1/2 à 2 mois après l'implantation de la greffe. Au fur et à mesure de la régénération des cellules B, la fonction insulinique des îlots du pancréas de l'hôte se substitue à celle du greffon qui dégénère progressivement.Chez les rats pancréatectomisés et greffés, la sécrétion d'insuline est également assurée par le greffon pendant le 1er mois environ. La régénération du pancréas à partir de reliquats pancréatiques laissés dans la région de la confluence des canaux de Wirsung et biliaire, aboutit, à 3 1/2 mois, à une polynésie d'îlots, souvent volumineux et irréguliers, formés presqu'exclusivement de cellules B. La glycémie restant constamment normale, la sécrétion d'insuline est ici encore dans une première phase, assumée par le greffon qui dégénère, par la suite, au fur et à mesure que les îlots du régénérat sont capables de secréter de l'insuline en quantité suffisante pour assurer l'équilibre glycémique.La prolifération et la néogenèse des cellules A, comme celles des cellules B, se font essentiellement aux dépens des cellules des acini exocrines qui perdent leurs caractères de cellules exocrines (disparition des granulations de zymogène et de la réserve de RNA) et prolifèrent en gros bourgeons plasmodiaux A ou B. La différenciation de cellules endocrines se fait également, mais plus rarement, à partir de l'épithélium des petits canalicules secrétoires sous acineux.Bréphoplastie = greffe d'organe foetal; terme créé par R. M. May.  相似文献   

11.
Summary Bacteroid formation and haemoglobin pigment were observed 3 days after the appearance of nodules formed by the effectiveRhizobium trifolii strain TA1 onTrifolium subterraneum. Effective nodules were large and cylindrical and evidence of bacteroid degeneration did not appear until about 21 days. Electron microscopy of ineffective nodules formed byRhizobium trifolii strain 6 showed limited meristematic activity and vascular development, and infection threads were sparse. Degeneration of plant cells and bacteria was visible by 3 days and mostly complete by 14 days. Both types of nodules occurred randomly over the root system. In contrast, the ineffective nodules formed byRhizobium leguminosarum strains onTrifolium subterraneum, occurred mainly at lateral root junctions with vascular connections to either the primary or lateral root depending on strain. Infection thread development was widespread and most cells were invaded. The released bacteria became pleomorphic and rounded, the nodules became cylindrical, enlarged slightly but remained white. Degeneration was apparent at 5 days and complete by 14 days in nodules formed by strain 1020A, but nodules formed by strain 1013 degenerated more slowly and degenerate cells sometimes showed secondary invasion by vegetative rhizobia.
Estudio comparativo mediante microscopia electronica de las estructuras de nodulos eficaces e ineficaces de Trifolium subterraneum inducidos por Rhizobium trifolii y Rhizobium leguminosarum
Resumen Se observó la formación de bacteroides y de (leg)hemoglobina tres días después de laapparación de nódulos formados por la cepaeficaz TA1 deRhizobium trifolii enTrifolium subterraneum. Los nódulos eficaces eran grandes y cilíndricos. No hubo evidencia de degeneración de bacteroides hasta pasados 21 dias. El estudió al microscopio electrónico de nódulos no eficaces formados por la cepa 6 deR. trifolii mostro una actividad meristemática reducida al igual que el desarrollo vascular, siendo escasas la lineas de infección. La degeneración de las células de la planta y de las bacterias era observable a los 3 días y practicamente completa a los 14. Los nódulos formados por ambas cepas se distribuyen al azar en todo el sistema radicular, en cambio, los nódulos ineficaces formados enT. subterraneum porR. leguminosarum se encuentran principalmente en conexiones vasculares laterales con raíces primarias o secundarias, dependiendo de la cepa. La línea de infección en este caso está ampliamente desarrollada y la mayoría de las células estan invadidas. Las bacterias que han sido liberadas se vuelven esféricas y pleomórficas, los nódulos se vuelven cilíndricos y aumentan ligeramente de tamaño pero permanecen blancos. La degeneración de los nódulos formados por la cepa 1020A era aparente a los 5 días y completa a los 14. Sin embargo, los nódulos formados por la cepa 1013 degeneraron más lentamente y las células degeneradas mostraron una invasión secundaria porRhizobium vegetativos.

Etude comparative en microscopie électronique de la structure des nodules efficaces et inefficaces de Trifolium subterraneum induits par Rhizobium trifolii et Rhizobium leguminosarum
Résumé La formation de bactéroides et la production de leg-hémoglobine ont été observées 3 jours après l'apparition des nodules formés surTrifolium subterraneum par la souche efficace TA1 deRhizobium trifolii. Les nodules efficaces sont larges et cylindriques, et les signes de la dégénérescence en bactéroides n'apparaissent pas avant 21 jours. La microscopie électronique des nodules inefficaces formés par la souche 6 deR. trifolii montre une activité méristématique et un développement vasculaire faibles, et les filaments d'infection sont rares. La dégénérescence des cellules végétales et des bactéries est visible au bout de 3 jours et presque complète en 14 jours. Les deux types de nodules sont répartis au hasard sur le système racinaire. Par contre, les nodules inefficaces formés par les souches deR. leguminosarum surT. subterraneum sont répartis préférentiellement sur les jonctions racinaires latérales, les connections vasculaires étant, suivant la souche, dirigées vers la racine primaire ou vers la racine latérale. Le développement des filaments d'infection est très répandu et la plupart des cellulessont envahies. Les bactéries relâchées deviennent pléomorphes et arrondies; les nodules deviennent cylindriques et légèrement renflés, mais restent incolores La dégénérescence est apparente après 5 jours et complète en 14 jours dans les nodules formés par la souche 1020A, mais ceux formés par la souche 1013 dégénèrent plus lentement et les cellules dégénérées présentent parfois une invasion secondaire par des rhizobiums végétatifs.
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12.
Conclusion Les deux faits que j'ai surtout illustrés: 1. apparition d'un carotinoïde rouge avant la chlorophylle, 2. nécessité de la lumière pour obtenir ce carotinoïde rouge, n'ont pas d'importance chacun en soi-même, isolément. Mais ils se valorisent l'un l'autre et ils acquièrent ensemble une signification physiologique spéciale. Je ne dis pas que ce soit un fait général, pas même pour l'Aloe: assurément ce comportement est sous la dépendance de facteurs internes et externes spéciaux. Mais le fait que ce phénomène existe, et qu'il peut même être provoqué par des moyens faciles et contrôlables, est de nature à ouvrir des perspectives nouvelles aux problèmes de la chlorophyllogénèse, et des rapports biologiques entre chlorophylle et carotinoïdes.  相似文献   

13.
Conclusion L'hypothèse que nous venons d'esquisser n'est certainement pas une généralisation définitive et elle devra subir de nombreuses retouches avant de pouvoir englober tous les faits connus, mais n'est ce pas là le propre de toutes les généralisations à leur début?Actuellement la théorie du potentiel-force d'attraction et de l'adsorption orientée a le gros avantage d'expliquer la plus grande partie des faits bien établis, ce qui constitue un progrès incontestable et très précieux.  相似文献   

14.
Des relations sont recherchées entre les caractéristiques des grains de 58 variétés de riz paddy et leur sensibilité aux quatre principaux ravageurs primaires des stocks: Sitophilus oryzae, Sitophilus zeamais, Rhyzoperta dominica et Sitotroga cerealella. L'étude confirme la prépondérance de l'herméticité des glumelles comme facteur de résistance, et établit que les cassures mécaniques des enveloppes sont des voies de pénétration plus régulières que le défaut de coaptation entre lemma et palea. L'égrenage se révèle être un facteur de sensibilité à S. cerealella aussi déterminant que le défaut de fermeture des glumelles, car lié d'une part à la dureté du pédoncule par lequel les larves de cet insecte peuvent pénétrer, d'autre part au taux de casse des enveloppes provoqué par le battage plus ou moins intense qu'il nécéssite. S'agissant de riz non décortiqué, les caractéristiques des enveloppes expliquent pour une très large part la variabilité de la résistance aux insectes étudiés, dont le développement n'est que faiblement influencé par les caractéristiques propres du grain, tels le format ou la teneur en eau.  相似文献   

15.
J.-C. Klein 《Plant Ecology》1972,25(1):311-333
Sans résuméJe tiens à remercier M. le Dr. J. Braun-Blanquet de la généreuse hospitalité qu'il m'a offerte à la S.I.G.M.A. et des précieux conseils qu'il m'a dispensés pour la définition de ces associations. C'est la raison pour laquelle il m'a paru nécessaire de l'associer à l'une des Associations originales que j'ai décrites.Je suis également reconnaissant à mes amis M. et G. Roux d'avoir permis le traitement de mes données floristiques par l'analyse factorielle des correspondances.  相似文献   

16.
J. -C. Klein 《Plant Ecology》1972,25(5-6):311-333
Sans résuméJe tiens à remercier M. le Dr.J. Braun-Blanquet de la généreuse hospitalité qu'il m'a offerte à la S.I.G.M.A. et des précieux conseils qu'il m'a dispensés pour la définition de ces associations. C'est la raison pour laquelle il m'a paru nécessaire de l'associer à l'une des Associations originales que j'ai décrites.Je suis également reconnaissant à mes amisM. et G. Roux d'avoir permis le traitement de mes données floristiques par l'analyse factorielle des correspondances.  相似文献   

17.
Résumé Les auteurs ont étudié le rein de Triturus cristatus carnifex (Laur.) au point de vue anatomique, cytologique et cytochimique. Venant confirmer des données d'auteurs précédents, ils ont signalé la présence dans le rein de cet Urodèle de deux régions, rein génital et rein pelvien, lesquelles diffèrent quant à leur aspect, à la disposition des néphrons et aux rapports que la première de ces région entretient, chez le mâle, avec la gonade. Ils soulignent les différences qui caractérisent les néphrons du rein génital chez les deux sexes.Ce recherches confirment la présence dans le néphron du Triton de cinq segments qui se suivent dans l'ordre ci-après: collet cilié, segment à bordure en brosse que l'on peut diviser en deux tronçons P1 et P2, segment intermédiaire cilié, segment à bâtonnets, segment d'union. De nombreux néphrostomes constituent autant de communications entre les néphrons et le coelome. De ces néphrostomes part un canal néphrostomial souvent assez long, canal qui, après un parcours ondulé, débouche dans un collet. Dans le rein génital du mâle, les néphrostomes font défaut.La position des différents segments du néphron dans le rein correspond à celle observée par d'autres auteurs chez des Urodèles d'espèces différentes: les glomérules, les segment à bâtonnets et les néphrostomes sont situés dans la région ventrale; dans les régions dorsale et dorso-latérale, on trouve au contraire les segments à bordure en brosse; les collets et les segments intérmédiaires sont situés entre ces deux régions.Le diamètre du néphron est variable; il atteint son minimum au niveau du collet et du segment intermédiaire.Dans la région apicale des cellules du collet on a observé des granulations P.A.S. positives qui font défaut dans les autres segments ciliés du néphron (canal néphrostomial et segment intermédiaire). Parmi les activités enzymatiques étudiées, seule la 5-nucléotidase est présente dans le collet.La distribution différente des substances P.A.S. positives et du pigment permet de diviser le segment à bordure en brosse en deux tronçons P1 et P2 qui passent progressivement l'un dans l'autre. Dans P1 le matériel P.A.S. positif est formé de fines granulations presque toujours situées au dessus du noyau — granulations qui sont aussi Hale et F.P. positives — et d'amas irréguliers situés à la base de la cellule et le long des limites cellulaires. Dans P2 les substances P.A.S. positives sont formées par contre de granulations de dimension variable; généralement d'une certaine dimension, ces granulations sont situées en position paranucléaire; elles sont Hale, F.P. positives et nettement acidophiles.Tout le matériel P.A.S. positif mentionné ci-dessus ne semble guère être de nature mucopolysaccharide acide ni de nature glycogénique.Dans P2 on observe des gouttes de pigment jaune-brun, faiblement F.P. positif, pigment qui constitue le caractère le plus typique de ce segment.Dans tout le segment à bordure en brosse les cellules revèlent une faible pyroninophylie cytoplasmatique qui semble légèrement plus accentuée dans P2. Dans P2, et plus particuliérement dans sa moitié distale, on observe de fréquentes images difficiles à préciser au microscope optique; ces images pourraient être attribuées aussi bien à des phénomènes de sécrétion que d'absorption.Le segment à bordure en brosse est le le segment où l'on peut démontrer histochimiquement le plus grand nombre d'activités enzymatiques. On a pu confirmer en effet la présence et la localisation de l'activité phosphatasique alcaline non spécifique aussi bien que de celle acide et décrire la localisation de celles lipasique, glucose 6-phosphatasique et 5-nucléotidasique. L'activité succinodéshydrogénasique et celle ATPasique, au niveau du chondriome, sont très faibles.Le segment intermédiaire cilié est caractérisé par l'absence de substances P.A.S. positives dans ses cellules.Le caractère le plus évident du segment à bâtonnets est fourni par sa richesse en chondriome, par la présence de matériel bleu alcian positif dans quelques-unes de ses cellules, et par l'intensité des réactions ATPasique et succino-déshydrogénasique. Dans le tiers distal de ce segment on peut mettre en évidence une faible activité lipasique.Lors de la discussion, les auteurs insistent tout particulièrement sur les données histochimiques obtenues, notamment en ce qui concerne le comportement des systèmes enzymatiques et le caractère spécifique des réactions obtenues dans le cadre des conditions tecniques adoptées.Recherche conduite et publiée avec une contribution du Consiglio Nazionale delle Ricerche.  相似文献   

18.
At a site in Nicaragua with high population densities of the leafhopper Dalbulus maidis Delong & Wolcott, leafhopper densities were significantly lower in mixed stands of maize (Zea mays mays L.) varieties than would be expected by averaging the densities found in the pure stands of the component varieties. This response to genetic diversity appears to be due to a behavioral response during the period of colonization or establishment. The reduction in leafhopper abundance was not clearly reflected in a reduction in the incidence of the corn stunt pathogen transmitted by the leafhopper, probably because of increased leafhopper movement in mixed stands.
Résumé Deux champs du Nicaragua, très différents quant aux densités moyennes de la cicadelle, Dalbulus maidis, et à la fréquence du nanisme par spiroplasme du maïs, — dont la cicadelle est le vecteur —, ont servi à l'étude de l'influence de l'hétérogénéité génétique sur l'abondance de Dalbulus maidis Delong & Wolcott. La maïs a été semé en parcelles pures d'une seule variété ou en parcelles génétiquement hétérogènes avec mélange de 5 variétés. Dans la zone où D. maidis est très abondant, la densité de la cicadelle était significativement plus faible dans les parcelles hétérogènes que ne le laissaient prévoir les densités moyennes observées dans les parcelles des variétés pures intervenant dans le mélange. Cette réponse à l'hétérogénéité génétique semble due aux réactions comportementales pendant la période de colonisation ou d'installation. La diminution de l'abondance de D. maidis ne se traduit pas nettement par une réduction de la fréquence du nanisme du maïs, peutêtre par suite d'un accroissement des mouvements de cicadelles dans les parcelles hétérogènes.
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19.
Résumé L'importance de dix vitamines hydrosolubles dans la nutrition de deux biotypes du puceron du pois, Acyrthosiphon pisum (Harris), a été déterminée par l'omission individuelle de ces composés dans des régimes nutritifs chimiquement définis. Une diminution hautement significative dans la croissance, la reproduction ou la survie de cet insecte a été observée en l'absence de l'acide ascorbique ainsi que de cinq vitamines hydrosolubles du complexe B, soit l'acide folique, la niacine, le pantothénate de calcium, la pyridoxine et la thiamine. Ces six vitamines sont considérées comme essentielles dans la nutrition de ces deux biotypes du puceron du pois, et, en leur absence, la performance de cet insecte est réduite de façon significative durant l'une ou l'autre de deux générations successives. La présence de la choline ou de l'inositol a résulté en un effet bénéfique mais non significatif sur la croissance, la reproduction et la survie et celle de la biotine ou de l'acide p-aminobenzoïque n'a entraîné que de légères modifications du cycle évolutif. La présence de l'acide ascorbique a résulté en une augmentation de la prise de nourriture, mais celle-ci n'a pas été modifiée en présence de l'inositol ou de l'acide p-aminobenzoïque. Finalement, la croissance, la survie et la reproduction du biotype Ile-aux-Coudres sur le régime nutritif de base ont été généralement moindres que celles du biotype Saint-Jean. Cette distinction, observée régulièrement, provient apparemment de la disparité génétique entre les deux biotypes favorisant un développement supérieur du biotype Saint-Jean, celui-ci ayant une meilleure affinité pour le régime de base.
Summary The nutritional requirements of two biotypes of the pea aphid, Acyrthosiphon pisum (Harris), for ten water-soluble vitamins were evaluated by single omissions from a chemically defined diet. A highly significant decrease in growth, reproduction, and/or survival were observed in the absence of ascorbic acid, folic acid, niacin, calcium pantothenate, pyridoxine and thiamin; these are considered essential in the diet of the pea aphid reared for two consecutive generations. Choline and inositol were also beneficial for growth, reproduction and survival, but the differences were not significant, whereas biotin and p-aminobenzoic acid had no appreciable effect. The presence of dietary ascorbic acid increased the rate of feeding, but that of inositol or p-aminobenzoic acid had no effect. Finally, growth, survival and reproduction of biotype Ile-aux-Coudres on the control diet was consistently less than that of biotype Saint-Jean. This difference presumably results from the diverse genetic make-up which favors a better development of biotype Saint-Jean, the latter having a greater affinity for the synthetic diet.
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20.
Galling by Dysaphis devecta benefits groups of Aphis fabae as they are larger both on control and nitrogen-deprived apple plants which have been galled. Presumably D. devecta gains these advantages for itself because it can produce galls.Honeydew from A. fabae feeding on galled and ungalled control apple plants of the same age differs in its amino-acid content. It is thought that the presence of larger amounts of amino acids in the honeydew of aphids feeding on galled plants indicates that they had access to a better supply of these essential nutrients and consequently were able to attain a larger body-size.
Résumé Le puceron Dysaphis devecta Walker provoque des galles rouges sur les feuilles du pommier. Il n'est pas possible d'évaluer les bénéfices que peuvent offrir à ce puceron cette formation de galles, mais si on élève sur ces mêmes feuilles Aphis fabae Scop. qui lui ne provoque pas de galles, alors on peut constater que la formation de galles est bénéfique pour cette dernière espèce.Deux lots de ces pucerons ont été élevés sur des jeunes pommiers âgés de deux semaines, un lot se composant uniquement de cinq larves d'A. fabae, l'autre comportant quatre larves d'A. fabae et une de D. devecta. La même expérience a été répétée pendant quatre générations avec les descendants de chacun de ces lots de Puceron. Dans toutes les générations la longueur moyenne des pucerons élevés sur les plantes attaquées simultanément par un individu de D. devecta était supérieure à celle des pucerons issus de lots se composant seulement d'A. fabae. En même temps les Aphis fabae des lots mixtes se développaient plus rapidement et moins d'ailés sont apparus.D'autres essais ont été réalisés de la même façon, mais les plantes étaient âgées de cinq semaines et avaient reçu des solutions nutritives complètes ou sans azote. A nouveau, l'influence de d. devecta sur la plante-hôte a entraîné une alimentation plus favorable pour Aphis fabae pendant quelques générations.Le miellat d'A. fabae s'alimentant sur des plantes de même âge, attaquée ou non par D. devecta diffère par sa teneur en acides aminés; celle-ci est plus, élevée dans le miellat des pucerons se nourrissant sur des feuilles portant des galles. La production de galles foliaires par D. devecta favorise donc la production d'acides aminés ce qui est bénéfique pour ce puceron gallicole.
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