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1.
J. Claret 《BioControl》1978,23(4):411-415
Résumé La diapause larvaire facultative de l'ichneumonidePimpla instigator F. est sous la dépendance de la photopériode et de la température. Les courbes de la réponse photopériodique sont établies pour plusieurs températures. Les basses températures augmentent le pourcentage de larves en diapause, tandis que les hautes tendent à annuler l'effet des photopériodes inductrices de la diapause. A 30°C aucun animal ne diapause, quelle que soit la photopériode. Les larves males entrent plus facilement en diapause que les larves femelles.
Summary Larval diapause ofPimpla instigator is dependent on photoperiod and temperature. The photoperiodic induction response curves are compared at different levels of constant temperature. Low temperatures enhance the diapause-inducing effect of photoperiods, whereas high temperatures reduce it. The larval diapause was not induced at any photoperiod when the insects were reared at 30°C.
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2.
Ptinus tectus and Tenebrio molitor adults were acclimated for 24 hours to 15°, 25° and 35°. Evidence of acclimation was given by measurement of the chill coma point, heart beat and respiration rates. The respective chill coma points for insects acclimated to 15°, 25° and 35° were 2.9°, 3.7° and 4.7° for P. tectus, and 5.4°, 6.9° and 8.3° for T. molitor. The rates of heart beat and oxygen intake showed that P. tectus could acclimate from 25° to 15° but not to 35°, whilst T. molitor could acclimate from 25° to 35° but not to 15°. Acclimation also affected the undercooling point and fat content, but not the water content. The acclimated insects were exposed to a range of low temperatures for varying periods of time and allowed to recover at 15°, 25° or 35°. The dosage mortality data produced were subjected to probit analyses. In both species mortality varied with the time and temperature of exposure. In P. tectus there was a zone of resistance to freezing extending from 0° (L.D.50=1820h) to -9° (L.D.50=49–76h) and acclimation affected the terminal region (-9° to-12°) of this zone by altering the undercooling point. Resistance to freezing was minimal in T. molitor and was unaffected by acclimation. The time taken to recover in both species varied with the recovery temperature and the quantity and intensity of cold, but was unaffected by acclimation.
Résumé Ptinus tectus et Tenebrio molitor furent maintenus pendant 24 h à des températures de 15°, 25° et 35°, puis testés quant à leur résistance au froid, par la détermination de la température provoquant le coma et par les variations de leur rythme cardiaque ou de leur consommation d'oxygène. Dans les deux espèces on observe que le coma se manifeste pour une température d'autant moins basse que la température d'acclimatation était plus élevée. Les adultes de ces mêmes insectes ont été exposés à des températures sub-létales inférieures à 0°, pendant des durées variables, puis ramenés à des températures de 15°, 25° et 35°. La mortalité est alors estimée et comparée entre des lots préalablement acclimatés à tem températures de 15°, 25° et 35°. Chez les deux espèces étudiées la mortalité augmente avec la durée d'action de la température sub-létale (facteur quantité) et avec la baisse de température subie (facteur intensité). La température d'acclimatatio ppréalable n'affecte pas, chez Tenebrio molitor la D.L. 50, alors que chez Ptinus tectus il se révèle qu'une acclimatation à la plus basse température, diminue la mortalité après action de températures sub-létales comprises entre-9° et-12°. On a également comparé le taux de mortalité pour des températures égales ou supérieures à 0° (6°-15°-25°-29°-35°) chez des insectes acclimatés à 25° et ramenés à cette température après action du froid. La mortalité minimun s'observe alors pour une température de restauration de 15°. Les températures de surfusion, la teneur en eau et en lipides furent précisées pour chacun de ces insectes, en rapport avec la température d'acclimatation à laquelle ils avaient été préalablement soumis.
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3.
The form and variability of temperature-dependent development responses were measured for the braconid parasitoidMeteorus trachynotus (Vier.), developing inChoristoneura fumiferana (Clem.) andC. rosaceana (Harr.). It was found that parasitism reduces the duration and variability of postdiapause development inC. rosaceana larvae, and that the development of the parasitoid does not resume until its host emerges from diapause.M. trachynotus development and entry into diapause are controlled by the host. In large, nondiapausing hosts, the parasitoid can complete one generation in about 348 degree-days above 5.9°C. Male and female adults live an average of 22.0 and 23.8 days at 20°C, and the preoviposition period is 1.7 days. Total fecundity averages 194.2 eggs per female and is reduced considerably by low host density. Under our experimental conditions, femaleM. trachynotus lay a maximum of 14.3 eggs per day, with a maximum of 3.7 eggs per host, on average. Simulations based on degree-day accumulation in 13 locations in eastern Canada showed that the parasitoid was well synchronized with its two alternative hosts, thatM. trachynotus could complete three generations in most locations, and that voltinism was essentially determined by entry ofC. rosaceana larvae into diapause. Overlap between adult parasitoids and larvae of the spruce budworm is incomplete, and inadequate synchrony seems to be an important aspect of the ecological interactions between these two organisms.
Résumé Nous avons mesuré la forme et la variabilité des réactions de cause à effet entre la température et le développement de la braconideMeteorus trachynotus (Vier.) se développant à l'intérieur de larves deChoristoneura fumiferana (Clem.) et deC. rosaceana (Harr.). Le parasitisme réduit la durée et la variabilité de la postdiapause deC. rosaceana, et le développement du parasito?de ne reprend qu'une fois l'h?te émergé de diapause. Le développement et l'entrée en diapause deM. trachynotus sont sous le contr?le de l'h?te. Dans des larves-h?tes agées et non diapausantes, le parasito?de peut engendrer une génération en moins de 348 degrés-jours au-dessus de 5,9°C. Les adultes males et femelles vivent en moyenne 22,0 et 23,8 jours à 20°C, et la période de prèoviposition est de 1,7 jour. La fécondité totale est de 194,2 oeufs par femelle, et une faible densité d'h?tes la réduit considérablement. Dans nos conditions expérimentales, les femelles deM. trachynotus pondent au plus 14,3 oeufs par jour, la moyenne maximale étant de 3,7 oeufs par h?te. Des simulations basées sur l'accumulation de degrés-jours pour 13 endroits dans l'est du Canada ont indiqué que le parasito?de est bien synchronisé avec ses deux h?tes alternants, queM. trachynotus peut engendrer jusqu'à trois générations par année dans la plupart des endroits, et que son voltinisme est déterminé essentiellement par l'entrée en diapause des larves deC. rosaceana. Le chevauchement entre la période de vol des adultes du parasito?de et celle de la disponibilité des larves de la tordeuse des bourgeons de l'épinette est incomplet, et il semble que ce synchronisme inadéquat soit un aspect important dans les interactions écologiques entre ces deux organismes.
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4.
J. Fargues 《BioControl》1972,17(3):319-337
Résumé L’étude des facteurs liés au germe entomopathogène montre l’importance du choix de la souche du Champignon et de l’inoculum. Le biotype le plus virulent estB. bassiana no 18, son optimum thermique se situe à 25°C et il est confirmé que la mortalité des larves est fonction de la dose de spores utilisée. De plus, le terme du processus infectieux peut être retardé ou avancé, la mortalité différée étant d’autant plus importante que l’inoculum est plus réduit. Les facteurs liés à l’h?te ont été considérés par rapport à la sensibilité des différents stades du développement et par rapport au r?le de la mue dans le rejet des téguments. Après contamination des 4 stades larvaires deL. decemlineata il n’y a pas de différence de niveau de mortalité totale, par contre, l’examen de la mortalité différée met en évidence une résistance croissante à la mycose au cours du développement larvaire. Plus les larves sont proches de la mue au moment du traitement, plus la mortalité différée est importante et, à partir d’un certain seuil, variable avec la dose de spores, le niveau de mortalité cumulée baisse. Une attention particulière a été portée à la température, dont dépend la durée du développement larvaire du Doryphore. Les meilleures conditions d’infection sont réalisées à 20°C en raison de l’allongement corrélatif de la durée de l’intermue, bien que l’optimum thermique de l’Insecte et du Champignon se situe à 25°C. Le r?le de la température sur l’infection appara?t beaucoup plus important que celui de l’humidité.
Summary Study of factors relating to the pathogenic microorganism showed the importance of the fungus strain used.B. bassiana, as a species, is ubiquitous, but the virulence of different biotypes towards a particular host is very variable. The selected biotype isB. bassiana no. 18, its thermal optimum is 25°C and it is confirmed that larval mortality is a function of the spore dose employed. Moreover, after inoculation, the infection process can be accelerated or retarded with the doses used. The retarded mortality is more significant when the inoculum is reduced. Two factors relating to the host were considered: the susceptibility of different developmental stages and the role of the moult by the casting of the skin. When the four larval stages ofL. decemlineata are contaminated, there is no difference in susceptibility if the total mortality is used as the sole criterion; however, the retarded mortality reveals a marked susceptibility in the first instar, a lesser susceptibility in the second and third and relative resistance in the fourth. When the treatment is applied towards the next moult, the mortality is retarded, and an application very near the next moult gives lower cumulative mortality. As for abiotic factors, particular attention has been paid to temperature, in order to influence the rate of larval development. Above 20°C, there is a drop in the level of cumulative mortality and an increase in the retarded mortality. The best conditions for infection occur at 20°C because of the consequent lengthening of the instar, although the optimum temperature for both insect and fungus is 25°C. Infection appears to be influenced more by temperature than humidity.


Ce travail fait partie d’une thèse de 3e cycle en Biologie animale (mention Entomologie), soutenue le 22 mars 1972 devant la Commission d’examen de l’Université de Paris-VIe.  相似文献   

5.
G. M. Tatchell 《BioControl》1981,26(3):291-299
The effects of temperature and granulosis virus infection both on the development ofPieris rapae L. and the area of cabbage leaf consumed by larvae were investigated. The duration of the larval period increased from 12.9 days at 24°C to 45.3 days at 13°C. The thermal constant for larval development was 196.1 day °C above the threshold temperature of 9.4°C. The area of cabbage leaf consumed per day increased with larval age so that 5th instar larvae ate 70.9% of the total food consumption. Virus infection extended the larval instar in which death occurred and reduced the potential food consumption by as much as 99.6%. Larger virus doses reduced food consumption within the same instar more than smaller doses. The results are discussed in relation to the feasibility of using granulosis virus for the control ofP. rapae.
Résumé L'étude a porté sur les effets de la température et de l'infection provoquée par le virus de la granulose sur le développement dePieris rapae L. et la quantité de feuillage de chou consommée par les larves. La durée du stade larvaire a augmenté de 12,9 j à 24°C à 45,3 j à 13°C. La constante thermique pour le développement larvaire a été de 196,1°C au-delà du seuil de température de 9,4°C. La superficie de feuillage consommée par jour s'est accrue en fonction de l'age des larves de sorte que les larves au 5e stade ont mangé 70,9% de la superficie totale consommée. L'infection provoquée par le virus a augmenté la durée du stade de mortalité et a diminué la consommation potentielle de feuillage de 99,6%. Des doses plus élevées de virus ont réduit la consommation dans le même stade davantage que les doses plus faibles. Les résultats sont discutés par rapport à la possibilité d'utiliser le virus de la granulose dans la lutte biologique contreP. rapae.
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6.
L’INR a été adopté par l’OMS, il y a juste 20 ans, améliorant la sécurité et l’efficacité des traitements anticoagulants oraux par les antagonistes de la vitamine K (AVK). Ces 20 années d’expérience ont permis de confirmer l’utilité de l’INR, mais également d’en montrer les limites, dues en partie à l’avènement de nouveaux appareils de mesure automatique du temps de Quick, alors que les travaux initiaux ne comportaient que des mesures manuelles au bain-marie à 37°C.  相似文献   

7.
G. Fabres  C. Reymonet 《BioControl》1991,36(1):121-129
Résumé Dans la région béarnaise, la récolte des gousses m?res deLathyrus sylvestris et deLathyrus latifolius, avant la déhiscence, puis la mise en éclosoir de leurs graines, permet l'obtention des adultes de la brucheBruchus affinis et de son ectoparasite larvaireDinarmus acutus. Ces derniers sortent en petits nombres à l'automne de la même année puis de fa?on massive au printemps de l'année suivante, après une diapause au dernier stade larvaire. Un élevage en continu, de nombreuses générations successives, en conditions semi naturelles de température et de photopériode, a montré la présence simultanée d'individus diapausants et non diapausants tout au long de l'hiver, et l'absence totale de diapausants dès le mois de mai. Les larves diapausantes produisent une substance orangée qui marque l'arrêt de développement. Compte tenu de la biologie de la bruche et de son parasite larvaire: développement larvaire à l'intérieur des graines et vie des adultes à l'extérieur, nous avons choisi d'étudier l'influence des conditions thermiques sur les larves et de la photopériode sur les adultes du parasite. Les résultats obtenus montrent que les températures basses n'induisent pas d'arrêt de développement. Par contre, une photopériode jours courts, appliquée aux adultes, provoque l'entrée en diapause d'un fort pourcentage des larves de la descendance. Les résultats présentent une certaine variabilité selon la descendance et le rang de la ponte. Le détail des résultats est examiné dans le cadre de l'induction maternelle de la diapause larvaire et de l'hypothèse d'une horloge chimique à l'origine du marquage des diapausants (substance orangée) et de la variabilité enregistrée.   相似文献   

8.
M. Bouletreau 《BioControl》1972,17(3):265-273
Résumé Les larves dePteromalus puparum ont été élevées en conditions semi-artificielles sur la partie antérieure des chrysalides dePieris et en conditions artificielles sur l’hémolymphe de l’h?te. Les deux méthodes permettent d’obtenir le développement complet des parasites avec un succès voisin de 40 % dans le premier cas et de 70 % dans le deuxième. Dans les deux cas, la croissance larvaire est comparable à la croissance des larves élevées normalement et conduit à des adultes de taille normale. A un moment donné de leur développement, toutes les larves quittent leur norrriture. Ce comportement, non décelable à l’intérieur de l’h?te normal, est particuliérement net dans les élevages sur demi-chrysalides. Ces deux techniques d’élevage rendent possible l’observation directe des larves au cours de leur croissance et constituent done une méthode intéressante pour l’étude des problémes nutritionnels chez les parasites.
Summary Larvae ofPteromalus puparum were reared semi-artificially on the anterior part ofPieris pupae, and artificially on host haemolymph. In both cases, full development was obtained from eggs to imagines. The final success rate reached 40 per cent with the first method, and 70 per cent with the second. The mortality seems to be due mainly to imperect physical conditions. Larval growth did not depart significantly from the normal, but at an early stage of their development, all larvae leave their host. This migratory behaviour is particularly evident in semi-artificial conditions and is difficult to explain. These two techniques, allowing the direct observation of larvae during their growth, are useful for studying nutritional problems in parasitis larvae.
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9.
The virulence of the DAT F-001 isolate ofMetarhizium anisopliae forAdoryphorus couloni was tested by exposing final instar larvae (L3) to concentrations of 101 to 107 spores/g in a sand-peat mix for up to 112 days at 20°±2°C. All concentrations were pathogenic to L3 larvae and survival was dependent on concentration and correlated with exposure time. The time to kill 50% of the treated larvae (LT50) ranged from 18.9 days (107 spores/g) to 82.7 days (101 spores/g). The effect of DAT F-001 on feeding by L3 larvae was determined by comparing the production and weight of frass pellets/larva/day of untreated control larvae with larvae rolled in sporulating cultures ofM. anisopliae DAT F-001 and DAT F-054 (low virulence). Exposure to, and infection byM. anisopliae DAT F-001 had minimal impact on larval feeding. L3 larvae continued to feed at the same rate as both untreated and DAT F-054 treated larvae virtually until they died.
Résumé La virulence deM. anisopliae DAT F-001 pourA. couloni a été analysée en exposant des larves L3 à des concentrations de 101 à 107 spores/g dans un mélange de sable et de tourbe pendant un maximum de 112 jours à une température de 20°±2°C. Toutes les concentrations sont pathogènes pour les larves L3; la survie dépendait de la concentration et est en corrélation avec le temps d'exposition. Les LT50 sont compris entre 18,9 jours (107 spores/g) et 82,7 jours (101 spores/g). L'effet de DAT F-001 sur l'alimentation des larves L3 a été évalué en comparant la production et le poids des fèces/larve/jour des larves non-traitées avec des larves roulées dans des cultures sporulées deM. anisopliae DAT F-001 et DAT F-054 (faible virulence). L'exposition àM. anisopliae DAT F-001 suivie de l'infection a peu d'effet sur l'alimentation des larves. Les larves L3 continuent à s'alimenter au même rythme que les larves non-traitées de DAT F-054, quasiment jusqu'à leur mort.
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10.
L’objectif de ce travail est d’étudier l’influence des températures hivernales sur la survie des B. tabaci adultes. Les individus sont soumis à un cycle de températures qui correspond aux températures observées pendant les 24 heures d’une des journées les plus froides de l’hiver du sud de la France (Perpignan). L’évolution de ces températures est reproduite en conditions contrôlées, et les individus sont exposés à un, trois ou quatre de ces cycles. Après un cycle de 24 heures, le taux de survie moyen des individus est de 73,5% alors que celui du lot témoin est de 85%. Après une exposition à 3 cycles, le taux moyen de survie reste encore relativement élevé (44,4%). Les chances de survivre à 4 cycles de 24 heures est de 7,4%. Le Nord méditerranéen semble être une zone tampon pour le maintien en extérieur des populations de B. tabaci car ni les températures minimales régulièrement enregistrées, ni leur durée, ne sont clairement limitantes.  相似文献   

11.
Metasyrphus corollae (F.) larvae ingested aphid contents at a decreasing rate over time because the contents of the aphid became increasingly difficult to obtain as the body of the prey was emptied. Starved larvae usually handled prey longer than wellfed larvae. Younger starved larvae fed longer than older larvae. Larvae starved for 24 h ate the most of a prey. Larvae held prey, on average, until 71% of dry mass was extracted after which the prey carcass was discarded. Prey handling time and amount of each prey consumed were determined by size and hunger of larvae and degree of depletion of prey contents.
Résumé Les larves deMetasyrphus corollae (F.) ingèrent de plus en plus lentement le contenu des pucerons en fonction du temps car ce contenu est de plus en plus difficile à extraire puisque la proie se vide. Les larves qui ont été privées de nourriture se nourrissent généralement plus longuement que les larves bien nourries, et les jeunes larves affamées plus longuement que les plus agées. Les larves qui n'ont pas mangé depuis 24 h sont celles qui consomment le plus. Les larves retiennent la proie, en moyenne, jusqu'à ce que 71% de son poids sec ait été extrait, après quoi la carcasse de la proie est jetée. Le temps de manipulation et la quantité consommée de la proie sont déterminés par la taille et la faim de la larve, ainsi que par l'épuisement du contenu de la proie. Il n'y a aucune preuve consistante que les larves deM. corollae répondent directement au nombre de proies.
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12.
L’étude de la respiration de l’abeille domestique, Apis mellifera intermissa, à l’état isolé a été réalisée sur les quatre haplotypes existant en Tunisie : A1, A4, A8 et A9 et sous différentes températures : 0°, 10°, 15°, 20°, 25°, 30° et 35°C. Des mesures effectuées sur 1000 abeilles isolées (250 de chaque haplotype) ont montré que la consommation d’oxygène de l’abeille varie en fonction de la température. L’intensité respiratoire des haplotypes augmente progressivement à partir de 0°C pour atteindre son maximum à 15°C. Au-delà de cette température, la consommation d’oxygène de l’abeille diminue progressivement. Pour les basses températures (0° et 10°C), la respiration de l’abeille dépend aussi du facteur génétique et la consommation d’oxygène est faible mais ne s’annule pas. Cette étude a montré qu’il existe une différence de consommation d’oxygène entre les haplotypes A1 et A8 et les haplotypes A4 et A9 pour les basses températures. Le déclenchement de la thermogenèse chez les haplotypes A1 et A8 se produit à 15°C, alors que chez les haplotypes A4 et A9, il a lieu à une température plus basse et qui est de 10°C.  相似文献   

13.
Résumé

Le suivi du cycle biologique du Gelechiidae Oecocecis guyonella (Guenée, 1870) durant l’année 2018, sur le terrain et en laboratoire, a montré une bonne synchronisation entre le développement de cet insecte cécidogène et la phénologie de sa plante hôte, Limoniastrum guyonianum Boiss. En effet, dès l’entrée de cette Plumbaginaceae en période de croissance végétative, vers fin-janvier début-février suite aux premières poussées de sève causées par l’augmentation des températures, les larves de cet insecte commencent à éclore à partir des ?ufs pondus par les femelles à l’intérieur des tissus des jeunes tiges de la plante. L’alimentation des larves induit la formation des galles. Le développement larvaire se déroule entièrement à l’intérieur de ces galles, qui servent d’abri et de source alimentaire, sur une période de huit mois jusqu’à l’émergence des adultes à l’extérieur des galles, qui se produit de début octobre jusqu’à fin novembre.  相似文献   

14.
Résumé Un examen comparatif in vitro fait ressortir que l’augmentation de la résistance des bacilles tuberculeux vis-à-vis d’un mélange d’INH et de P.A.S. ne se présente pas ou seulement lentement après des ensemencements successifs sur des milieux qui contiennent ce mélange. Ceci à l’opposé de bacilles exposés a l’influence de ces deux éléments isolés. Les bacilles qui subissent l’influence du mélange font voir également une légère augmentation de la résistance à l’égard des composants isolés. Les travaux de recherches furent supportés en partie par Riker Laboratories Inc., Los Angeles, California.  相似文献   

15.
La durée de conservation dans deux types de sol: une tourbe de pH=3,5 et une terre argilo-sableuse de pH=6,6, de trois agents pathogènes pour les larves du Hanneton commun,Melolontha melolontha L.:Bacillus popilliae var.melolontha, Rickettsiella melolonthae, Entomopoxvirus melolonthae a été étudiée en contaminant par le broyat de larves atteintes de chacune des maladies 4 litres de ces deux substrats qui ont été répartis en boîtes de polystyrène et en pots à fleurs placés soit dans un sol engazonné à l'extérieur, soit en laboratoire à 5°, 13° et 20°C. A intervalles réguliers des larves jeunes ont été mises en élevage à 20°C dans ces substrats contaminés. Après 4 ans le virus détermine sensiblement la même mortalité quelles que soient les modalités de conservation du sol. Mais l'altération du pouvoir pathogène en fonction du temps se traduit par une augmentation très signifcative des délais de manifestation de la maladie. Par contre la bactérie et la rickettsie perdent beaucoup de leur activité au bout de deux ans. La persistance d'un pouvoir pathogène des rickettsies introduites dans le sol est facilitée lorsqu'il s'agit de terre plutôt que de tourbe et si celle-ci est maintenue à basse température. Les conséquences épizootiologiques de ces résultats sont décrites en fonction du cycle évolutif du Hanneton commun: un délai de survie du germe de deux ans est nécessaire pour le maintien d'une maladie des vers blancs dans un site donné compte tenu de la période, de cette aurée, pendant laquelle l'activité larvaire est nulle ou insuffisante pour assurer la contamination des insectes, lorsque celle-ci s'effectue par voie orale.  相似文献   

16.
Intra- and interspecific competition for food (Myzus persicae) in larvae ofSyrphus ribesii andS. corollae were investigated in the laboratory at 20°, 16 hrs light. A competing unit consisted originally of six newly hatched larvae, trhee of each species or six of one species.S. ribesii had a low larval survival (about 35–40%) and a prolonged larval period (about 16–17 days) under both intra- and interspecific conditions, although food consumption was greater when mixed withS. corollae. InS. corollae, larval survival was significantly smaller when mixed withS. ribesii than under intraspecific conditions (25.0% and 73.1%). Larval period was somewhat increased in the mixed series. The results are explained by different sizes, natural food demands, feeding efficiencies and predatory tendencies of the two larval species.
Résumé De jeunes larves deSyrphus ribesii et deSyrphus corollae ont été rassemblées par groupe de 6, toutes de la même espèce ou bien à raison de 3 larves de chaque espèce. Au sein de chaque groupe, les larves pouvaient entrer en concurrence les unes avec les autres en raison de la faible quantité de pucerons, qui étaient offertes chaque jour en nombre dépendant de l’age des larves, les mortes n’étant pas remplacées. Dans le cas d’une concurrence intraspécifique, les larves deS. ribesii ont un taux de survie faible (35–40%) et un long cycle de développement (16–17 jours); par contre,S. corollae a une survie élevée (73,1%) et un cycle de développement normal (9,9 jours). Dans le cas d’une concurrence interspécifique, le développement deS. ribesii n’est pas modifié, mis à part une prise de nourriture un peu plus grande en présence deS. corollae, ce qui se traduit par un poids plus élevé des pupes — par contre, les larves deS. corollae ont un taux de survie sensiblement plus faible (25,0%) et une durée de développement un peu plus longue (11,0 jours), lorsqu’elles sont placées dans les conditions d’un comportement interspécifique. Les résultats peuvent être expliqués par le fait que les larves deS. corollae ont, en présence des larves deS. ribesii, un comportement alimentaire plus mauvais que lorsqu’elles sont placées avec des individus de la même espèce. Cela tient vraisemblablement à ce que les larves deS. ribesii sont plus grosses, ont un besoin alimentaire plus élevé et consomment les pucerons plus rapidement queS. corollae.
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17.
Ofuya  T. I. 《BioControl》1986,31(4):331-335
Consumption of larvae and females ofAphis craccivora Koch by 1st and 4th larvae and adults ofCheilomenes vicina (Muls.) was studied under fluctuating temperature (24–30°C). The early aphid instars were consumed in significantly greater numbers than later instars and females. The feeding rates ofC. vicina were significantly positively correlated with the population density of prey. The number of prey consumed daily by each predator stage tested, increased more steeply at lower than at higher prey densities, exhibiting thus the type 2 functional response
Résumé Consommation des larves et des ♀ d'Aphis craccivora par les11e stades, les 4e stades et les adultes deCheilomenes vicina a été étudiée à une température variant de 24 à 30°C. Les jeunes stades du puceron sont consommés en nombre plus grand significativement que les derniers stades et les ♂. Les taux d'alimentation deC. vicina manifestent une corrélation hautement significative avec la densité de population de la proie. Le nombre de proies consommées quotidiennement par chaque stade considéré du prédateur augmentait plus brusquement aux faibles qu'aux fortes densités de proies, manifestant ainsi chez le prédateur le type 2 de réponse fonctionnelle.
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18.
Résumé Après avoir rappelé quelques généralités sur les espèces du genreStethorus Weise, les auteurs donnent des précisions sur l’écologie deS. madecassus, qui semble jouer un r?le important dans la limitation des populations de tétranyques à Madagascar. Le cycle de développement et les tables de vie du prédateur et de sa principale proie dans les milieux naturels,Tetranychus neocaledonicus, sont étudiés dans une serre semi-climatisée, où la température varie quotidiennement de 25 à 35°C et l’hygrométrie de 70, à 50%. Le taux intrinsèque d’accroissement de la population deT. neocaledonicus (rm), est de 0,295 par femelle et par jour; le taux limité d’accroissement ou taux de multiplication par femelle et par jour (λ), est de 1,34. La population a un potentiel net de reproduction (Ro) de 37,45, et une génération dure en moyenne 12,3 jours. En d’autres termes, la population est multipliée 37,45 fois au cours d’une génération de 12,3 jours. Le taux intrinsèque d’accroissement de la population deS. madecassus, est de 0,137 par femelle et par jour; le taux de multiplication par femelle et par jour est de 1,15. La population a un potentiel net de reproduction de 51,57, et une génération dure en moyenne 28,8 jours. La population est multipliée par 51,57 au cours d’une génération de 28,8 jours.S. madecassus révèle du point de vue de la dynamique des populations, des caractéristiques intéressantes, bien que les conditions de l’essai ne réalisent sans doute pas la combinaison de température et d’hygrométrie la plus favorable à l’espèce. Cette coccinelle, très active à l’égard des tétranyques et vraisemblablement insensible au phénomène de diapause, présente un intérêt non négligeable en lutte biologique; on peut envisager son utilisation dans les serres en pays tempéré.
Summary Following some general remarks on the species of the genusStethorus Weise, the authors give precise information on the ecology ofS. madecassus, which plays a prominent role in the control of populations ofTetranychidae in Madagascar. The life histories and life tables ofS. madecassus and its main natural prey,Tetranychus neocaledonicus were studied in a partly air-conditioned greenhouse where daily temperature varied from 25 to 35°C while relative humidity fluctuated from 70 to 50%. Under these conditions, characteristic parameters for the red spider and lady-bird populations were obtained. The intrinsic rate of increase (rm) forT. neocaledonicus is 0,295 per female per day; the finite rate of increase (λ) or the multiplication rate per female per day is 1,34. The net reproduction rate (Ro) of the population is 37,45, and the mean generation time lasts 12,3 days. In other words, the population multiplies 37,45 times in a generation time of 12,3 days. The intrinsic rate of increase forS. madecassus is 0,137 per female per day; the multiplication rate per female per day is 1,15. The net reproduction rate of the population is 51, 57 and the mean generation time lasts 28,8 days. The population multiplies 51,57 times in a generation time of 28,8 days. Although the most favorable combination of temperature and humidity forS. madecassus was probably not realized in the course of this experiment, interesting characteristics of this species’population dynamics were revealed. This species, which is very active towards spider mites and perhaps insensitive to the phenomenon of diapause, seems attractive for use in biological control; one might consider using it in greenhouses in temperate climates.
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19.
Résumé Le virus de la densonucléose (VDN) conserve une partie de sa virulence en solution aqueuse entre 0°C et 30°C pendant deux mois. Son pouvoir infectieux se maintient à—10°C pendant deux mois mais est supprimé après dix jours de dessication. On peut done considérer ceParvovirus d’Insectes comme un virus relativement résistant aux températures que l’on rencontre ordinairement dans la nature et au laboratoire.
Summary The persistence of DNV is described. This virus retains a part of its infectivity in aqueous solution between 0°C and 30°C. The log LD50 initially 7,15 drops to 2 after two months. The virus keeps its infectivity at 10°C but it loses all its pathogenicity after 10 days in dry conditions.


Ce travail a été réalisé en partie dans le cadre d’une convention I.N.R.A.-D.R.M.E.  相似文献   

20.
Résumé La longévité, la fécondité, le nombre d'adultes émergés, le sex-ratio et le cycle de développement deTrichogramma evanescens Westwood etTrichogrammatoidea lutea Girault ont été étudiés sur un h?te de substitution (Anagasta kuehniella) ou sur un h?te naturel (Helicoverpa armigera), ainsi que le nombre d'œufs parasités par ces 2 espèces. La longévité des ♀♀ des 2 oophages est très influencée par l'alimentation. Une ♀ deT. evanescens nourrie vit 7 fois plus longtemps qu'une privée d'alimentation et celle deT. lutea 5 fois plus. La présence de l'h?te joue également un r?le non négligeable. La fécondité est plus élevée chezT. evanescens (42 œufs en moyenne) que chezT. lutea (31 œufs). Cependant le nombre moyen d'œufs deH. armigera parasités par ♀ ainsi que le nombre d'adultes émergés sont presque équivalents chez les 2 espèces parasito?des. Le sex ratio (♂♂/♀♀) est de 0,59 chezT. evanescens et de 0,71 chezT. lutea. Quant à la durée de développement, elle est plus longue chezT. evanescens que chezT. lutea aux basses températures (36 jours contre 30 jours à 15°C). Cette différence est moins marquée lors de l'augmentation de la température (4 h à 30°C). La température de 35°C s'avère néfaste pour le développement des 2 espèces oophages ce qui restreint la possibilité de leur utilisation en lutte biologique au Maroc. Des études complémentaires seront à développer pour vérifier leur aptitude dans les conditions de terrain.   相似文献   

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