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1.
P. Grison 《BioControl》1962,7(3):269-270
Résumé L'utilisation des germes pathogènes est une solution du problème de la sélectivité. Des solutions concurrentes existent avec certains pesticides chimiques. L'utilisation des germes pathogènes est donc envisagée d'une manière pragmatique en négligeant les problèmes de recherches fondamentales. Pour cette raison les mycoses et les protozoonoses ne sont pas retenues. Les viroses offrent un exemple de la plus grande spécificité d'action. L'application des virus d'insectes a été surtout développée en sylviculture. Une grande difficulté est la multiplication des virus sur organismes vivants. Les bactérioses peuvent être seules retenues pour l'agriculture et l'arboriculture intensives: elles ont un spectre d'action assez étendu mais suffisamment sélectif; les bactéries qui nous intérresent peuvent être multipliées industriellement. Le statut deBacillus thuringiensis Berliner et les propriétés des préparations commerciales ont fait l'objet de développements récents. Dans une revue critique des applications de ces préparations en arboriculture fruitière, on considère d'abord le cas des Mineuses et des Tordeuses. Presque toutes ces chenilles sont susceptibles àB. thuringiensis. Mais la difficulté d'utilisation des préparations est de nature éthologique. De bons résultats sont obtenus au Canada contreArgyrotaenia et en U.R.S.S. contreHyponomcuta. En U.R.S.S. on utilise des produits mixtes à concentration réduite (0,5%) de préparation bactérienne et à concentration extrêmement faible (0,002%) de D.D.T. Les résultats contre le Carpocapse sont négatifs. Les résultats contre les chenilles défoliatrices sont très satisfaisants: en Hollande et au Canada contreMalacosoma; au Canada contre les Géométrides,Operophtera etAlsophila espèces très susceptibles àB. thuringiensis, à la dose de 1 à 2 pounds de préparation (titrant 30×109 spores viables par gramme) pour 100 gallons, soit environ, 1,5%; en France, ces résultats sont confirmés. En conclusion, l'utilisation en verger des prépararations commerciales deBacillus thuringiensis doit être ?intégrée? dans un programme général de protection comprenant à la fois les traitements chimiques et les méthodes culturales. De tels programmes sont actuellement expérimentés dans certains vergers de Pommiers par l'I.P.O. et le T.N.O. en Hollande.  相似文献   

2.
Résumé Les larves de deux espèces deSystoechus (somali oldroyd etaurifacies greathead), attaquent les œufs du criquet pèlerin (Schistocerca gregaria Forsk?l) en Afrique orientale. La morphologie des larves et des pupes de ces deux espèces et de deux autres a été étudiée en détail. Les larves sont presque identiques; seulement quelques faibles différences ont été observées dans la forme des sclérites céphaliques. Les pupes, d'autre part, présentent des caractères plus distincts. La distribution duSystoechus parmi les lieux d'oviposition duSchistocerca et parmi les oothèques d'une même station est très irrégulière. Chaque larve demande 8–10 œufs (c'est-à-dire un huitième d'une oothèque) pour le développement complet. On trouve souvent plus d'une larve dans l'oothèque, mais il n'en résulte pas la destruction de tous les œufs. Le développement larvaire et le stade de pupe durent chacun à peu près une semaine, mais la larve développée passe dans le sol une période de repos dont la durée varie de plusieurs mois à plusieurs années. Les pluies déclenchent la formation des pupes; toutes les larves ne se transforment pas à la première pluie; en conséquence, l'éclosion des adultes est très échelonnée.   相似文献   

3.
Les affinités fauniques et la délimitation même du Turkestan en tant qu’entité biogéographique sont mal connues ou controversées. Elles sont discutées ici dans le cadre d’une révision systématique des espèces d’abeilles rubicoles du genre Ceratina. Onze espèces, dont une nouvelle: Ceratina (Euceratina) haladai n. sp., y sont répertoriées. Trois espèces sont redécrites et une clé d’identification est proposée. Toutes ces espèces sont soit présentes dans la région ouest-paléarctique, soit de proches parentes d’espèces méditerranéennes. Aucune espèce ne présente d’affinités notables avec les taxons orientaux ou est-paléarctiques. La carte de distribution de chaque espèce est établie et comparée à la distribution des biomes régionaux. Comme elles sont très largement polylectiques, les plantes butinées ne constituent probablement pas un facteur limitant de leur distribution. A l’inverse, leur nidification rubicole les cantonne à des biotopes riches en ronces (Rubus species) ou en autres plantes à tiges creuses ou médullaires (par ex. Verbascum species). Ceci explique leur implantation plutôt synanthrope en montagne et le long des fleuves.  相似文献   

4.
G. Reyd  B. Le Rü 《BioControl》1992,37(2):317-325
Résumé L'influence de la prédation des larves d'Hyperaspis raynevali et d'Exochomus flaviventris (Col. Coccinellidae) sur les colonies de la cochenille du maniocPhenacoccus manihoti (Hom. Pseudococcidae) a été étudiée en relation avec la densité et la structure d'age des colonies de cochenilles, et avec le rapport proie/prédateur utilisé lors du lacher des larves. La prédation des deux espèces de coccinelles est surtout influencée par la densité et la structure d'age des colonies deP. manihoti: le rapport proie/prédateur intervient dans une moindre mesure. Elle est plus importante sur la densité initiale de 45 cochenilles/plant que sur la densité de 25 cochenilles/plant, et, permet de limiter significativement la multiplication des colonies deP. manihoti constituées d'adultes et de larves néonates, et de réduire significativement les effectifs de cochenilles composées de 2e et 3e stades larvaires. Pour les deux espèces de coccinelles, les lachers effectués avec un rapport proie-prédateur de 3 cochenilles pour 1 larve de coccinelle (3/1) ont une influence plus grande sur la réduction des effectifs de cochenilles que ceux réalisés avec un rapport de 7/1. Ce résultat est cependant plus marqué chezE. flaviventris. Pour tous les paramètres étudiés, la coccinelle exotiqueH. raynevali maintient les densités deP. manihoti à des niveaux numériques inférieurs à ceux obtenus avec l'espèce indigèneE. flaviventris. Les résultats sont comparés à ceux obtenus en parcelles au Congo. L'utilisation des larves de coccinelles dans la perspective d'une lutte biologique contre la cochenille du manioc est évoquée en discussion.   相似文献   

5.
B. Le Rû  Y. Iziquel 《BioControl》1990,35(2):173-183
Résumé Cet article présente les résultats obtenus en 1987 sur des points non encore abordés précédemment dans le cadre de l'étude des circonstances épidémiologiques favorisant le déroulement de l'Entomophthorose àNeozygites fumosa (Speare) Remaudière et Keller, pathogène de la cochenille du maniocPhenacoccus manihoti Matile-Ferrero (Hom.: Pseudococcidae). Il montre notamment que l'évolution de la maladie, très rapide, correspond à la succession de 2 phases: une première phase, d'implantation, fortement liée à la taille et à la structure des colonies et une deuxième phase (épizootique au sens strict) indépendante de leur taille et de leur structure. Son évolution appara?t plus liée à la régularité des pluies qu'à la quantité d'eau. Les conditions sont très favorables quand l'humidité relative est supérieure à 90% pendant au moins 5 heures par jour de fa?on régulière. Le r?le important joué par la durée d'humectation du feuillage est montré ici pour la première fois. La densité des conidies du pathogène dans l'air est proportionnelle aux taux de mycose observés dans les populations deP. manihoti.   相似文献   

6.
Résumé Au cours de six essais le comportement des deux espèces d'acariens phytophages,Panonychus ulmi Koch etTetranychus viennensis Zacher, soumises à l'effet de divers fertilisants, insecticides et fongicides, a été étudié. Les investigations devaient permettre de suivre les conséquences chimico-physiologiques exercées sur la plante-h?te par les différents traitements, d'une part, et les répercussions entra?nées par celles-ci sur les acariens, d'autre part. L'action directe des produits appliqués sur les populations d'acariens a également fait l'objet d'études. Il n'a pas été possible d'établir une relation entre la teneur des feuilles de la plante-h?te en N, P, K, Ca, Mg et la densité et le comportement des populations d'acariens. Les expériences réalisées en vergers ont cependant révélé qu'une déficience en K est apparemment responsable d'un bas niveau des populations deP. ulmi. En cages recouvertes de mousseline, les arbres placés à l'abri des prédateurs et traités à l'azinphos méthyle ont présenté des populations deP. ulmi moins importantes que les arbres traités au DDT et au parathion, mais il n'a pas été possible d'enregistrer dans les feuilles des différences de teneur par rapport aux éléments susmentionnés. Les expériences réalisées à l'aide de mancozèbe ont révélé un effet répulsif ou léthal surP. ulmi. Il n'a cependant pas été possible de démontrer une action stimulatrice exercée par le captane, soufre mouillable, zinèbe, phaltane, TMTD et zirame. Un test en laboratoire a conduit à une population plus élevée pour les séries traitées à l'eau distillée et au soufre mouillable que pour les séries traitées au captane. Une teneur élevée des feuilles en zinc semble entra?ner un développement important des populations deT. viennensis.   相似文献   

7.
Résumé Reconnu comme agent régulateur des populations aphidiennes de diverses cultures,Forficula auricularia L. est également décrit comme potentiellement actif sur les Homoptères Psyllidae. Nous avons évalué en conditions de laboratoire puis semi-contr?lées en verger les composantes numériques et spatiales de la prédation deF. auricularia sur le psylle du poirier,Cacopsylla pyri (L.). Pour de faibles densités de proies, le poids consommé par une larve du 3ème stade est équivalent sur oeufs de psylles et sur une proie alternative constituée d'oeufs d'Ephestia kuehniella Zeller. Le maximum journalier s'établit à 10 mg pour ce stade larvaire, soit plus d'un millier d'oeufs de psylles. Les tests révèlent une réponse de type densité — dépendant, aboutissant à une forte réduction de la taille des agrégats de la proie. La prédation des larves de 3ème et 4ème stade deF. auricularia s'exerce sur tous les stades préimaginaux deC. pyri. La colonisation au printemps de la strate arborée par les larves du 3 ème stade quittant le terrier maternel co?ncide avec les pontes de 2ème génération de psylles, phase de multiplication la plus intense de ce ravageur. Les effectifs en vergers de ce prédateur polyphage et univoltin sont souvent élevés et peu dépendants de ceux de la proie. Compte tenu de sa capacité prédatrice sur le psylle, il para?t justifié de raisonner les interventions chimiques de manière à préserver ses populations en vergers de poiriers.   相似文献   

8.
A. Dejean 《BioControl》1991,36(1):29-54
Résumé L'activité prédatrice de 12 sociétés d'Oecophylla longinoda Latreille a été étudiée durant 124 h d'observations pendant lesquelles 2 482 proies ont été capturées. La prédation s'exerce sur les arbres supportant les nids ainsi que sur des territoires ?secondaires? habituellement situés sur le sol. Les 7 situations suivantes sont comparées: 1) En forêt, durant les périodes ?habituelles?; 2) Durant le passage d'une colonne de Magnans; 3) Le territoire de chasse ?secondaire? d'une société installée sur un arbre situé en bordure de rivière correspond à une zone où de nombreux insectes se concentrent pour s'abreuver; 4) L'arbre support est un manguier dont on suit le cycle biologique (inter-saison, floraison, fruits m?rs) et son impact sur la prédation par lesOecophylla; 5) On compare la situation ?habituelle? à ce qui se passe lorsqu'un essaimage de Termites est rabattu sur les territoires d'une société; 6) Le territoire ?secondaire? est situé sous la véranda d'une maison éclairée chaque nuit où de nombreux insectes ailés sont attirés; 7) Les territoires ?secondaires? de 2 sociétés étant contigus, on compare les périodes de combats aux périodes calmes. Les territoires ?secondaires? sont situés sur des zones de concentration en proies (insectes de la litière des forêts, zones où ils viennent s'abreuver, attraction par la lumière, la nuit). LesOecophylla y capturent souvent des insectes aptères, cas relativement rare sur l'arbre support. Ces territoires sont défendus contre les ouvrières d'autres sociétés. Du fait de leur territorialité très marquée avec surveillance permanente du territoire et un recrutement très efficace, lesOecophylla répondent très rapidement à toute prolifération en proies. A cela s'ajoute une grande diversité de proies potentielles de sorte que cette espèce peut être considérée comme très efficace en lutte biologique, les ouvrières réagissant spécifiquement à toute abondance d'un type d'insecte. Pour une société comprenant 12 calies, le nombre de proies capturées par an est de l'ordre de 45 000. Ramené à un nombre équivalent d'individus et de jours d'activité, il est du même ordre que celui desFormica lugubris (Cherix, 1986).   相似文献   

9.
Le percher est un comportement répandu chez les espèces d’un assemblage de Scarabaeinae d’une forêt non perturbée de Guyane française. Quarante-trois espèces de percheurs ont été répertoriées sur 7 ans d’échantillonnage. Les fouisseurs diurnes de petite taille (moyenne 7,0 mm) dominaient sur les feuilles isolées et autour des défécations de Singes hurleurs ou des fèces humaines, avec une hauteur moyenne de percher de 62,8 cm. Les hauteurs étaient positivement corrélées aux tailles des insectes excepté pour cinq grandes espèces dont trois possédaient une défense chimique contre les prédateurs. Deux complexes mimétiques ont été identifiés. L’agrégation en dehors de la présence de ressource a été montrée. Les défécations de singes provoquaient une concentration d’insectes dont des Canthon (Glaphyrocanthon) arboricoles qui formaient leurs pilules sur les feuilles. D’autres espèces perchaient en attente de rencontrer au sol un partenaire ou de se livrer au kleptoparasitisme. Les signaux olfactifs pourraient jouer un rôle dans diverses modalités du percher. Compétition et prédation semblent être les principales contraintes auxquelles le percher répond.  相似文献   

10.
Résumé Commencés en 1954, les essais de naturalisation deProspaltella perniciosi Tower pour la lutte biologique contre le Pou de San-José,Quadraspidiotus perniciosus Comstock dans la région Sud-Ouest de l'Allemagne ont conduit aux résultats suivants. Jusqu'en 1965, dans une région d'expérience de plus de 1 000 ha située près de Heidelberg, en moyenne le quart desQ. perniciosus ont été exterminés parProspaltella peerniciosi, tant sur les arbres où ils avaient été lachés, que sur les arbres voisins. Les résultats donnés par les graphiques et les tableaux précédents expliquent l'augmentation des taux de parasitisme, la composition et l'importance des différents éléments de la faune des parasites dans le Baden-Württemberg ainsi que dans la région de Stutgtart où se trouvent des échantillons de pommier du Connecticut. Dans les régions d'expérience,Prospaltella perniciosi est le parasite le plus important. L'origine du parasite joue seulement un r?le secondaire. LesProspaltella bisexués, mis en élevage et lachés depuis 1963 se sonst bien maintenus à c?té des races unisexuées qui avaient été libérées précédemment. Sous le climat des lieux d'expérience, leP. perniciosi parthénogénétique a aussi bien réussi que le bisexué.   相似文献   

11.
Après un développement endoparasite, la larve de Phanerotoma flavitestacea Fischer devient ectoparasite et sarcophage des chenilles d'Anagasta kuehniella. L'analyse chimique de la larve ectoparasite in toto, avant et après ingestion de l'hôte d'une part, des ressources alimentaires du parasite constituées par la chenille d'autre part permet de dresser un bilan biochimique. Le poids sec de la larve, ainsi que les lipides, les substances azotées et le glycogène subissent une augmentation importante et significative au cours de la phase sarcophage, en un temps relativement court. Les taux de conversion de la nourriture ingérée en substances du corps ont des valeurs élevées, ce qui indique que la larve ectoparasite assimile avec un très bon rendement les matières ingérées. Il faut également noter la nature nettement lipidique du catabolisme au cours de cette phase. Les résultats acquis sur la composition qualitative et quantitative des constituants du parasite sont discutés également en relation avec son alimentation.  相似文献   

12.
Lorsqu’un animal meurt, son cadavre forme un écosystème local instable et éphémère où différentes communautés d’insectes nécrophages vont se nourrir. Cette étude a pour but de caractériser les relations entre deux familles fréquentes en contextes médico-légal : les Diptères Calliphoridae et les Coléoptères Dermestidae. Des expériences de choix binaire (olfactomètres en T) et de prédation des Dermestes sur les larves de Diptères ont constitué le 1er axe de notre étude. Il en ressort que l’espèce D. maculatus (adultes et larves) n’exerce qu’une très faible prédation sur les larves de L. sericata. En absence de nourriture, les Dermestes sont néanmoins capables de prédater les pupes de L. sericata, et donc de faire disparaitre ces traces particulièrement importantes en entomologie médico-légale et en archéo-entomologie. Le second axe s’est focalisé sur les relations de compétition et d’agrégation entre D. maculatus et D. haemorrhoidalis. Les résultats obtenus n’ont pas mis en évidence de mécanismes de compétition ou d’exclusion entre ces deux espèces pourtant amenées à fréquenter simultanément le même habitat et à exploiter les mêmes ressources. Placées en condition de choix binaire (2 spots identiques), les 2 espèces s’agrègent ensemble. Mais le développement conjoint de ces 2 espèces sur une seule source de nourriture non limitante entraine une baisse significative du taux de survie chez les deux espèces. Au vu de ces résultats, nous avons conclu à la possibilité d’une coexistence de ces différentes espèces (L. sericata, D. maculatus et D. haemorrhoidalis) sur un cadavre.  相似文献   

13.
R. Cherry  R. V. Dowell 《BioControl》1979,24(4):385-391
A 2-year survey of known whitefly predators was conducted from winter 1976 to winter 1978 in Broward County, Florida. Also, the impact of predators on citrus blackfly populations was measured under field conditions using lifetable data and predator exclusion data. In addition, feeding experiments were conducted to determine specific predators on different citrus blackfly stages. In the survey, the total number of predators caught in 1977 was significantly greater than 1978 and reasons for this difference are discussed. Spiders and the coccinellid,Delphastes pusillus Lec. were the most abundant predators being ca. 90% of all predators caught. Results from the lifetable and predator exclusion technique were similar showing that predators caused a 52 to 66% reduction in citrus blackfly populations. Feeding tests showed that predator responses to feeding on citrus blackfly were variable depending on species of predator, stage of predator, and stage of citrus blackfly.
Résumé Une étude pendant 2 ans des prédateurs de l'aleurode des citrus a été réalisée de l'hiver 1976 à l'hiver 1978 dans le Comté de Broward en Floride. L'influence des prédateurs sur les populations d'aleurodes a été mesurée dans les conditions naturelles par l'élaboration d'une table de vie et par des essais d'exclusion des prédateurs. En outre des expériences ont été effectuées afin de déterminer les prédateurs spécifiques pour chacun des stades de l'aleurode. Le nombre total de prédateurs capturés en 1977 fut significativement plus élevé qu'en 1978; les causes de cette différence sont discutées. Des araignées et la coccinelleDelphastes pusillus Lec. ont été les plus abondants, représentant et iron 90% du total. Les résultats de la table de vie et de l'exclusion des prédateurs ont été analogues et montrent que ceux-ci provoquent une réduction de 52 à 66% des populations d'aleurodes. Les essais sur l'alimentation indiquent que les réponses ont été variables selon l'espèce de prédateur, le stade du prédateur et de l'aleurode.


Florida Agricultural Experiment Station Journal Series No. 1791. Partly supported by funds from Cooperative Agreement # 12-14-7001-1148 between U.S.D.A., and University of Florida.  相似文献   

14.
A. Vey  J. M. Quiot 《BioControl》1976,21(3):275-279
Résumé Les filtrats de cultures du champignon ZygomycèteMucor hiemalis Wehmer ont une action toxique sur les cellules de Dictyoptères cultivéesin vitro. Ils provoquent des altérations très marquées au niveau du cytoplasme, fortement vacuolisé et chargé de lipides, et plus discrètes mais irréversibles au niveau du noyau, déformé et dont la chromatine appara?t dense et marginée. Les substances toxiques produites par leMucor agissent même à de très fortes dilutions, et sont élaborées par ce champignon dès les stades précoces de son développement. Ces résultats permettent de conclure à la validité des hypothèses concernant l'intervention de toxines dans les infections de blessures àM. hiemalis.
Summary The filtrates ofMucor hiemalis Wehmer cultures have toxic effects on the cells of Dictyoptera culturedin vitro. They induce severe lesions into the cytoplasm that appears vacuolated with abundant lipids. Less important but irreversible alterations are also observed into the nucleus which becomes irregularly shaped and displays a dense and peripheral chromatine. The substances produced byMucor from the early stages of its development have toxic effects even at low concentrations. These results enable us to support the hypothesis concerning the role of toxins in the infection induced byM. hiemalis.
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15.
Invertebrate predation was shown to be the greatest mortality factor on diapausing larvae ofBathyplectes curculionis (Thomson) in Illinois. Feeding tests were conducted in which specific predators were determined by exposingB. curculionis larvae to various surface dwelling invertebrates found in alfalfa fields. In addition, field plantings of parasite larvae in modified cages were used to determine the size of predators, and also, if litter density affected predation. Seasonal activity ofB. curculionis predators was also measured from 4 April 1975 to 18 November 1975 via 15 pitfall traps located in 3 alfalfa fields. Results from feeding studies showed that spiders,Cicindelidae, Formicidae and smallStaphylinidae never preyed uponB. curculionis larvae in cocoons. The 2 groups of predators which consumed the larvae were field crickets,Gryllus pennsylvanicus Burm., and various species ofCarabidae. Predation on the parasite larvae planted in the field was mainly caused by moderately sized invertebrates, and was not significantly affected by litter density. The greatest number of total predators (G. pennsylvanicus plus Carabids) caught/day/pitfall trap, and the greatest predation on field-plantedB. curculionis larvae, occurred concurrently during September and October. These data suggest that predation during September and October may be significant in reducing field populations of diapausing parasite larvae. Based on feeding studies and pitfall trap catches,Gryllus pennsylvanicus and the carabids,Abacidus permundus (Say),Evarthrus sodalis LeConte,Harpalus pennsylvanicus DeGeer andScarites subterraneus Fab., were the most important predators onB. curculionis larvae.
Résumé Il a été montré que les prédateurs invertébrés sont le plus grand facteur de mortalité des larves en diapause deBathyplectes curculionis (Thomson) en Illinois. On a fait des essais alimentaires dans lesquels on a déterminé des prédateurs spécifiques en exposant les larves deB. curculionis à divers invertébrés trouvés dans les champs de luzerne. De plus, des larves du parasite, dans des cages modifiées implantées dans les champs, ont été employées pour vérifier la taille des prédateurs et aussi pour savoir si la densité de la litière a influencé les prédateurs. L'activité saisonnière des prédateurs deB. curculionis a été mesurée du 4 avril 1975 au 18 novembre 1975 au moyen de 15 pièges placés dans 3 champs de luzerne. Les résultats des essais alimentaires montrent que les araignées,Cicindelidae, Formicidae et de petitsStaphylinidae n'ont jamais utilisé comme proie les larves en cocon deB. curculionis. Deux groupes de prédateurs ont consommé les larves: les grillons,Gryllus pennsylvanicus Burm., et des espèces variées deCarabidae. Pour la plupart ce sont des invertébrés de taille modérée qui ont utilisé comme proie les larves implantées dans les champs, la densité de litière n'étant pas significative. Le plus grand nombre de prédateurs au total (G. pennsylvanicus plusCarabidae) attrapés par jour et par piège et la plus grande consommation de larves deB. curculionis se sont produits concurremment en septembre et en octobre. Ces données indiquent que les prédateurs en septembre et octobre peuvent être très importants pour réduire le nombre de larves parasites en diapause. Si l'on juge selon les essais alimentaires et selon ce qu'on a attrapé dans les pièges,Gryllus pennsylvanicus et lesCarabidae, Abacidus permundus (Say)tEvarthrus sodalis LeConte,Harpalus pennsylvanicus DeGeer,et Scarites subterraneus Fab., on, constitué les prédateurs spécifiques les plus importants des larves deB. curculionis.


This publication was supported by the Illinois Natural History Survey, The Illinois Agricultural Experiment Station, National Science Foundation, and the U.S. Environmental Protection Agency, through a grant (NSF GB-34718) to the University of California. The findings, opinions and recommentations expressed herein are those of the author(s) and not necessarily those of the University of California, the National Science Foundation and the Environmental Protection Agency.  相似文献   

16.
Résumé Une souche pure de l'EncyrtideMetaphycus helvolus Compere a été importée de Californie par airfret et directement relachée sur des Oliviers attaqués par la CochenilleSaissetia oleae Bern. près de Chania (Crète) en octobre 1962. En dépit du très rigoureux hiver qui suivit et, malgré les applications périodiques d'insecticides dirigées contre d'autres ravageurs, le parasite introduit est maintenant bien établi. En un an, le nombre desSaissetia fut notablement réduit dans le site du lacher originel; en 1964 et 1965, la Cochenille y était pratiquement inexistante. Une légère recrudescence de la population de Cochenille s'est manifestée en automne 1966 mais les Insectes étaient bien parasités. Fin 1966 et début 1967,M. helvolus s'était spontanément installé jusqu'à 24 km du point d'introduction et se rencontrait dans l'ensemble de la zone de Chania. L'espèce s'est probablement dispersée au-delà mais l'échantillonnage n'a pas été réalisé dans d'autres zones. L'espèce endémiqueMetaphycus flavus How. n'a pas été retrouvée en 1966–1967 dans la zone de Chania alors que ce parasite était commun auparavant. Il a été apparemment remplacé parM. helvolus.

This study was made possible by financial support from the Greek Ministry of Agriculture within the framework of a project for the control of olive pests. The contribution of the second author was made possible by his appointment as a Fulbright Research Scholar at the Benaki Phytopathological Institute, Kiphissia, Athens, Greece. Support for a portion of these studies was given by NSF Grant G-20870. The authors gratefully acknowledge the help of Mr. N. Psyllakis of the Agricultural Research Station of Chania, who made some of the recovery attempts. Especial thanks are due to Mr. Howard Lorbeer, Manager of the Fillmore Citrus Protective District Insectary, who furnished theM. helvolus for our studies.  相似文献   

17.
18.
T. Edland 《BioControl》1965,10(4):331-333
Résumé La NoctuelleEupsilia transversa Hufn. était abondante dans l'Ouest de la Norvège en 1962, la chenille causant de graves dégats aux arbres fruitiers. En 1963, une infestation de granulose apparut sur les chenilles et en deux années réduisit la population à un niveau très bas. Le syndrome de la larve malade est décrit. Les résultats de quelques essais d'infection à petite échelle permettent de considérer ce virus comme capable de réduire effectivement la population deE. transversa dans les conditions de laboratoire. La granulose semble être léthale à tous les stades du ravageur sauf le dernier.   相似文献   

19.
20.
Recent research on the factors governing resistance development among arthropod natural enemies is reviewed, including selection studies of resistance development in the predatory miteAmblyseius fallacis (Garman) andTetranychus urticae Koch and patterns of toxicity to pesticides and mixed function oxidase activity in a group of pests, predators and parasites. New areas of resistance development in the speciesPhytoseiulus persimilis A. H. andTyphlodromus pyri Scheuten are discussed as are genetic studies of resistance inP. persimilis and the toxicology of resistance inA. fallacis. Lastly, the widespread documentation of resistance inA. fallacis, a predator of plant-feeding mites, the cecidomyidAphidoletes aphidimyza (Rond.), a predator of aphids and 2 parasites of leafhopper in orchards of North America, is discussed relative to the long-term use of organophosphate-based insecticides and programs of integrated pest control.
Résumé Les récentes recherches sur les facteurs déterminant le développement d'une résistance aux pesticides chez les arthropodes ennemis naturels des ravageurs sont rappelées, y compris les études sur la sélection pour cette résistance de l'acarien prédateur,Amblyseius fallacis (Garman) et deTetranychus urticae Koch, ainsi que les types de toxicité des pesticides pour un ensemble de ravageurs et de leurs parasites et prédateurs. De nouveaux domaines dans les phénomènes de la résistance chezPhytoseiulus persimilis A.H. etTyphlodromus pyri Scheuten sont discutés, telles que les études génétiques de la résistance chezP. persimilis et la toxicologie de la résistance chezA. fallacis. Enfin la très abondante documentation sur la résistance deA. fallacis, prédateur d'acariens phytophages, deAphidoletes aphidimyza (Rond), cecidomyie prédatrice de pucerons et de deux parasites de cicadelles en vergers en Amérique du Nord, est discutée en fonction de l'utilisation prolongée d'insecticides à base d'organophosphorés et de programmes de lutte intégrée.


Published as article No. 8498 of the Michigan Agricultural Experiment Station, Michigan State University, East Lansing, Michigan 48824.  相似文献   

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