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1.
Workers have control over queen movement between cells, encouraging small groups of queens to join together to form a larger one. Single queens are more easily monoeuvred by the workers, compared to a group of queens, due to the loose arrangement of the workers surrounding the queen. Workers clustering around many queens are tightly compacted together, but are less compressed around a single queen. Some of the workers initiate colony activity by circulating each nest in an erratic, jerky manner and entering a cluster which is broken up as a result of the disturbance. The effects of worker/queen interactions in a natural nest are discussed.
Résumé Les ouvrières contrôlent les mouvements des reines entre les cellules, encourageant les petits groupes à fusionner. Les reines isolées sont plus facilement manoeuvrées par les ouvrières que les groupes de reines, par suite de la disposition désordonnée des ouvrières entourant la reine. Les ouvrières groupées autour de nombreuses reines sont étroitement serrées ensemble, et le sont moins autour d'une reine isolée. Quelques ouvrières provoquent l'activité de la colonie en circulant d'une façon irrégulière et saccadée, et en entrant dans le groupe qui se désagrège à la suite de cette perturbation. Les effets des interactions entre ouvrières et reines dans un nid naturel sont discutés.
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2.
Résumé On peut rendre horizontaux les rayons d'une ruche et verticaux ceux d'un nid de guêpes sans perturbations visibles pour l'élevage ou le comportement des ouvrières.Les abeilles réparent très facilement et immédiatement les trous creusés dans les cellules d'ouvrières ou de reines, elles posent sans difficulté un fond aux cellules d'ouvrières si on l'a enlevé. Elles tordent une lame de cire perpendiculaire aux rayons pour la mettre en position parallèle.Les abeilles peuvent déposer leur miel dans les trous d'une plaque de bois, dans des rayons de métal ou de plastique; elles peuvent élever leur couvain dans des rayons de plastique et leurs reines dans des cellules de verre ou de plastique. Les guêpes peuvent operculer avec du carton les rayons des abeilles. Les guêpes souterraines dont on vient de déterrer le nid le couvrent de terre et l'enterrent en creusant au-dessous. Si une plaque de métal glissée au-dessous s'y oppose, elles le reconstruisent peu à peu de manière à l'amener sur le bord de la plaque et à l'enterrer à nouveau.  相似文献   

3.
Résumé Les nombreuses mesures effectuées pour évaluer le métabolisme de base chez l'homme ont montré qu'il existe une différence dans le métabolisme basal en relation avec le sexe. Le métabolisme de l'homme étant en moyenne supérieur de 6 à 7% au métabolisme de la femme.Ce caractère de sexualité ne peut pas se rattacher directement à une différence dans le comportement des glandes génitales ou des hormones de l'un et l'autre sexe et nous ne pouvous pas le considérer comme une espèce de caractère sexuel secondaire.Les recherches deRiddle et ses collaborateurs sur le métabolisme du Pigeon ont montré que, pour l'uf et l'embryon de cette espèce, le métabolisme du mâle est plus élevé que celui de la femelle.Divers autres travaux font ressortir la mÊme différence de métabolisme en faveur du mâle dans d'autres espèces; Rat, Batraciens etc.Ce caractère de sexualité, métabolisme plus élevé chez le mâle, est une conséquence de l'activité respiratoire plus forte dans les cellules de ce sexe. L'interprétation des expériences deRiddle sur les embryons nous permet de rattacher la plus grande activité respiratoire de ces cellules à leur pouvoir d'oxydation (rH intracellulaire) plus élevé.Les différences sexuelles dans le métabolisme nous apparaissent alors comme une manifestation de la 1e loi de sexualisation cytoplasmique et nous pouvons supposer que ces différences de métabolisme ont une aussi grande généralité que la loi dont elles sont une des conséquences.  相似文献   

4.
Individual reproductive behaviour of queens and their contacts with workers was studied in experimental polygyne nests with food shortage and food abundance. As a measure for dominance we used the number of eggs produced by individual queens. The egg production of individual queens was determined by means of a colour-marking technique.Queen presence reduced the oophagy of queen eggs by workers. Workers ate more eggs from a queen that had been removed from the nest than from a queen that remained in the nest. Dominant queens never left the broodnest for foraging, in contrast to sub-dominant queens. Queens with high egg production always had the most activated ovaries. They also had most trophallactic contacts with workers.Food shortage accentuated the dominance of one of the queens. In nests with abundant food all queens contributed to reproduction, but under food shortage only one of the queens continued to reproduce.
Résumé Le comportement reproducteur individuel de reines et leurs contacts avec des ouvrières ont été étudiés dans des nids polygéniques expérimentaux avec aliments rationnés ou abondants. Le nombre d'oeufs pondus par chaque femelle, marqués par coloration, a servi de critère de dominance.La présence de reines réduit l'oophagie des ouvrières: ces dernières consomment plus d'oeufs d'une reine extraite du nid qu'en présence d'une reine dans le nid. Les reines dominantes n'abandonnent jamais leur couvée pour prospecter, contrairement aux reines subdominées. Les reines avec une production d'oeufs élevée ont toujours les ovaires les plus activés. Elles ont aussi le plus de contacts trophallaxiques avec les ouvrières.Le rationnement en aliments accentue la dominance de certaines reines. Dans des nids avec abondance de nourriture, toutes les reines contribuent à la reproduction, mais avec rationnement, seules quelques reines continuent à se reproduire.
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5.
Zusammenfassung Die Corpora allata der Bienearbeiterinnen machen während des Adultlebens zwei Wachstumsphasen durch. Im Laufe der ersten Phase wird das Wachstum durch Königinnensubstanz gehemmt; die zweite dagegen tritt nur bei Anwesenheit einer Königin auf. Das Wachstum der Corpora allata weiselloser Bienen ist mit der Eireifung korreliert. Ein Hormon der Corpora allata dürfte für die Eireifung notwending sein (Abb. 4).Ausser dem Hormon der Corpora allata muss für das Oocytenwachstum ein weiterer Faktor vorhanden sein. Wahrscheinlich handelt es sich um ein Sekret der neurosekretorischen Zellen der Pars intercerebralis des Gehirns. Die Königin hemmt direkt oder indirekt das Kernwachstum in den neurosekretorischen Zellen der Arbeiterin. Es ist fraglich, ob es sich auch hier um eine Wirklung der Königinnensubstanz handelt.
Summary The corpora allata of adult worker bees show growth periods. During the first period growth is inhibited by queen substance while the second growth period only occurs when a queen is present. A correlation between the volume of the corpora allata and oocyte suggests that oocyte maturation is dependent on the presence of a hormone of the corpora allata.Besides of the hormone of the corpora allata at least one other factor is necessary for oocyte maturation. It is probably contained in the neurosecretory material produced in the pars intercerebralis of the brain. The growth of the nuclei of the neurosecretory cells of the brain is inhibited by the presence of a queen, but it is doubtful whether this is due to the action of queen substance.

Résumé Les corpora allata des ouvrières adultes d'abeilles ont deux phases de croissance. Lors de la première phase, la croissance est inhibée par la phéromone de la reine, tandis que la deuxième phase ne se produit qu'en présence d'une reine. Une corrélation entre le volume des corpora allata et la croissance des oocytes suggère que l'oogenèse dépend d'une hormone des corpora allata.Or, un autre facteur au moins est encore nécessaire pour la maturation des oocytes. Il est probablement sécrété par les cellules de la pars intercerebralis du cerveau. La croissance des noyaux des cellules neurosécrétrices du cerveau est inhibée par la reine, mais le mode d'action de la phéromone dans cette inhibition reste inconnu.


Durchgeführt mit Hilfe eines Forschungskredites des Schweiz. Nationalfonds an Herrn Prof. Dr.M. Lüscher.  相似文献   

6.
Sommaire Ce travail ne présente que quelques observations sur les premiers stades de dévelopment des colones deVespa orientalis. Les résultats ne sont que fragmentaires, mais permettent tout de même quelques comparaisons intéressantes avec d'autres espèces de Vespides.Nous avons observé que: 1o les reines de la Guêpe orientale sont très facilement élevées au laboratoire et y construisent et y pondent aisément. 2o les reines et les ouvrières dévorent leurs larves pour se nourrir ou pour alimenter les plus grosses larves; 3oles premières cellules d'un rayon sont assez irrégulières, elles ne prennent leur forme hexagonale que lorsqu'elles sont entourées de cellules voisines; 4o le matériau utilisé pour édifier les cellules est assez divers; 5o les reines ne réparent pas les trous effectués dans les parois des cellules; 6o les reines ne s'intéressent au petites brèches du bord des cellules que lorsqu'elles sont en train d'allonger les parois des cellules voisines; 7o les ouvrières ont un comportement comparable à celui des reines lorsqu'elles se nourrissent ou nourrissent les larves ou lorsqu'elles construisent; 8o les reines, les larves et les ouvrières échangent de la nourriture, du liquide; 9o la seule division du travail dans la colonie est celle qui existe entre la reine qui ne fait plus que pondre et les ouvrières qui s'affairent à toutes les occupations; 10o le cycle évolutif du développement du couvain que nous décrivons peut être variable, suivant les colonies, dans les mêmes conditions expérimentales.
Summary These first observations only deal with the early growing of new colonies in an israelian laboratory: the building of the first comb, the queen's hatching and behavior, the first workers' behavior have been observed.1o The breeding of the queens and the workers is easy: they build fine combs, where the queens lay their eggs; 2o Queens and workers cannibalism has been pointed out; 3o The first cells are very odd; they become hexagonal when they are surrounded with other ones; 4o The materials used into the combs are various, paper, earth ; 5o Many little holes has been observed inside the walls of the cells; they are never closed; 6o The experimental gaps in the cells are only repaired when the wasps lengthen the neighbour cells; 7o The building and breeding bekavior of the queens and the workers are similar; 8o The queens, the larvae, the workers exchange food, liquids; 9o There is no division of the work between the first workers, but between the queens and the first workers; 10o In our experiments, the brood's evolutive cycle is different from one colony to the other one.
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7.
Using monogynous and polygynous colonies of the fire ant, Solenopsis invicta Buren, we developed methodology to determine which behavioural subcaste of workers was responsible for executing unfamiliar queens that were introduced to them. Separation of subcastes and introduction of queens to each of these separately was partly effective, but more accurate results were obtained by removing workers that were in the act of executing queens, marking them individually, and returning them to the colony. Their subsequent behaviour was then recorded to determine whether they behaved like nurses, reserves, or foragers. The results showed that foragers are dominant in execution behaviour and that all morphological subcastes (minors, medias, and majors) are involved. This methodology may be applied to other social insect species.
Résumé A l'aide de colonies monogynes de S. invicta Buren, nous avons testé la sensibilité de deux méthodes: Premièrement, nous avons isolé les trois sous-castes temporelles des ouvrières (nurses, réserves et fourrageuses) auxquelles nous avons introduit des reines étrangères. Nous avons trouvé que les fourrageuses étaient le groupe le plus agressif, exécutant un pourcentage élevé des reines qui leur étaient présentées. Le degré de physogastrie de la reine étrangère, sa colonie d'origine et la présence de couvain n'avaient pas d'effet visible sur sa destinée. La sensibilité de cette méthode était limitée par la difficulté d'une séparation complète des souscastes temporelles.Deuxièmement, nous avons capturé des ouvrières exécutant activement des reines étrangères, après marquage nous les avons remises dans leur colonie pour observations ultérieures. Nous avons remarqué que leur localisation dans le nid et leur comportement correspondaient aux séquences trouvées pour les fourrageuses bien plus qu'à celles des ouvrières réserves ou nurses. Cette méthode est plus sensible. Des mesures de la largeur de la capsule céphalique de ces ouvrières ont montré qu'aucune des sous-caste morphologiques (mineurs, moyennes et majeurs) étaient dominantes dans le comportement d'exécution. Nos résultats indiquent que la sensibilité des ouvrières à certaines phéromones de la reine et odeur de la colonie augmente avec leur âge.
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8.
Summary Emergency queen cell production was examined in honey bee colonies of mixed European races. Thirteen colonies were dequeened and followed on a daily basis until after queen emergence. Observations were made on the number of cells, the temporal sequence of queen cell construction, cell location within the nest, the age of larvæ selected for queen rearing, mortality of immature queens and the scenting behavior of workers in queenless colonies.Queen loss was detected within 6–12 hours and was first indicated by an increase in scenting behavior (on colony disturbance) and queen cup construction. The number of scenting workers reached a peak in 12–24 hours and then declined, as queen cell numbers increased. The time of queen cell initiation varied from 12–48 hours in different colonies. Emergency queen cells were usually started over worker larvæ less than 2 days of age (64.7%), but cells were built over 3 (25.3%) and 4 (10.0%) day old larvæ. Only 2 of 268 cells (0.8 %) were started over eggs; one survived and developed into a drone larva. In 6 colonies emergency queen cells were started over drone larvæ but these were destroyed immediately before or shortly after capping. The overall rate for queen cell construction over drone larvæ was 9.3%.The rate at which new queen cells were started after queen loss was high for two to four days, but then declined although new queen cells were started as late as eight or nine days after queen removal. The number of cells produced by a colony usually peaked by the third or fourth day and then leveled. Slight declines in total cell number often occurred because of cell mortality. The number of queen cells started by colonies varied from 11–49 with a mean of 20.4; cell mortality averaged 39.1%. Queen cells were well distributed throughout the brood nest but placement was biased toward the bottom of the frames and away from the entrance.
Production de cellules royales après orphelinage accidentel dans des colonies d'abeilles à miel
Resume La production de cellules royales après orphelinage accidentel fut examinée dans des colonies d'abeilles de différentes races européennes. Treize colonies ont été quotidiennement placées dans un orphelinat expérimental après l'apparition d'une nouvelle reine. Des observations ont été faites sur le nombre de cellules, le timing de la reconstruction des cellules royales, l'emplacement des cellules à l'intérieur du nid, l'âge des larves sélectionnées en vue de l'élevage des reines, le taux de mortalité des cellules et le phénomène d'exhibition de la glande de Nassanoff des ouvrières dans les colonies orphelines.On a pu détecter la perte d'une reine après 6 à 12 heures; celle-ci fut tout d'abord indiquée par le fait qu'un certain nombre d'abeilles exhibent leur organe odorant lors de l'ouverture de la ruche, et l'élaboration de la cupule royale. Le nombre des ouvrières exposées a atteint son record entre 12 et 24 heures puis s'est mis à décroître, alors que les cellules royales augmentaient. Le temps requis pour l'initiation des cellules royales a varié entre 12 et 48 heures, selon les colonies. Les cellules royales de remplacement ont commencé ordinairement à se former sur des larves d'ouvrières de moins de 2 jours (64,7%), mais des cellules se sont développées sur des larves âgées de 3 (25,3%) à 4 jours (10,0%). Sur 268 cellules, 2 étaient uniquement formées à partir d'ufs, dont un seul survivait et devenait une larve mâle. Dans six des colonies, des cellules royales se sont développées à partir de larves mâles, mais celles-ci furent immédiatement détruites soit avant, soit juste après l'operculation. Le taux de développement de cellules royales était de 9,3% par rapport aux cellules mâles.Le taux de développement de nouvelles cellules royales après la perte d'une reine a été assez élevé pendant une période de 2 à 4 jours, mais s'est mis à décroître bien que de nouvelles cellules royales se formaient entre 8 et 9 jours après le début de l'orphelinage. Nous avons noté un taux record de cellules produites par une colonie vers le 3e ou 4e jour, qui s'est ensuite réparti de façon plus égale. Le taux de mortalité des cellules a alors provoqué la baisse du nombre total des cellules. Le nombre des cellules royales des colonies a varié entre 11 et 49, c'est-à-dire une moyenne de 20,4; le taux de mortalité des cellules s'est avéré de 39,1%. Les cellules royales étaient bien distribuées dans tout le nid à couvain, mais surtout vers le fond du cadre, et loin de l'entrée de la ruche.
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9.
Summary A pectinesterase- and polygalacturonase-producer strain ofAspergillus niger showed a diauxic growth when cultivated in a medium containing pectin as the carbon source. Diauxie was suppressed by adding yeast extract to the medium. The specific production of polygalacturonase was decreased by increasing the initial concentration of pectin, while that of pectinesterase was enhanced with up to 15 g pectin/l. Yeast extract increased the production of biomass but decreased that of the enzymes. The temperature of incubation (25 to 40°C) did not affect the production of biomass or that of polygalacturonase, but production of pectinesterase was markedly affected, 30°C being the optimal temperature.
Influence de la composition du milieu et les conditions des cultures sur la production de pectinestérase et polygalacturonase par Aspergillus niger
Résumé Aspergillus niger que produit pectinestérase et polygalacturonase, quand est developpé dans un milieu avec pectine comme source de carbone a presenté le phenomene de diauxie. Cela ne succedait pas quand le milieu avait aussi extrait de levure dans sa composition. L'effect de la concentration initiale de pectine sur la production specifique des enzymes des cellules (unité d'enzyme g–1 de cellules poid sec) a été différent selon la phase du developpement de la culture, sugérant une rélation étroite parmi la synthèse des enzymes et l'état physiologique des cellules. L'augmentation de la concentration de pectine a troublé beaucoup la production spécifique de polygalacturonase. Au contraire, jusqu'à une concentration de 15 g/l a augmenté la synthèse de pectinestérase. La grandeur et structure des pellets ont changé avec la variation de la concentration de pectine, ces modifications peuvent avoir eu influence sur les valeurs des coefficients de transfert de masse et en conséquence sur la cinétique de production des enzymes. L'augmentation de la concentration iniciale d'extrait de levure dans le milieu que contenait pectine comme source de carbone a augmenté la production de biomasse, mais a baisse la synthèse des enzymes surtout celle de pectinestérase. Températures parmi 25°C et 40°C n'ont pas modifié la production de biomasse et non plus polygalacturonase. Au contraire la production de pectinesterase a été bien différente selon la température utilisé ayant un optimum de 30°C.
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10.
Résumé Les expériences que nous avons réalisées nous ont permis d'étudier le rôle de l'absence du gaz carbonique dans l'atmosphère où se trouve l'Insecte. L'une des deux femelles deBombus est introduite dans une cellule microcalorimétrique en atmosphère normale, l'autre femelle dans une cellule dont l'atmosphère est dépourvue de gaz carbonique.Dans l'expression des résultats, je considère d'abord les indications fournies par la forme des enregistrements. Afin d'apporter une plus grande précision dans l'interprétation des enregistrements, j'ai effectué une étude quantitative de la thermogenèse.Les résultats concernant l'influence de la température sur la thermogenèse des reines de Bourdons sont généralement conformes à ce que nous connaissons de la stimulation du métabolisme thermique par une élévation de la température chez la plupart des Poïkilothermes.On peut noter, qu'à température égale, les reines deBombus terrestris ont une thermogenèse relative supérieure à celle des reines deBombus lapidarius. D'autre part, pour chacune des espèces considérées, les valeurs thermogéniques des reines deBombus sont plus élevées — à une exception près — lorsque celles-ci sont placées en atmosphère dépourvue de gaz carbonique.En conclusion, l'absence de gaz carbonique dans l'atmosphère de la cellule microcalorimétrique ne modifie pas profondément le niveau des échanges respiratoires des reines deBombus, dans les limites de mes expériences.
Thermogenesis in Bumble-bees' queens
Summary Experiments have been performed on queens ofBombus terrestris L. andBombus lapidarius L., with a Calvet micro-calorimeter. Curves of thermogenesis (thermograms) are first examined; they vary according to individuals, species, temperature of the ambiance, and composition of the atmosphere.As a rule, at constant temperature, queens ofBombus terrestris produce more heat than these ofBombus lapidarius.Experiments performed in the presence of sodium hydroxide in order to absorb the carbon dioxide elaborated display less undulated thermograms, but individual differences are wide.The thermogenesis of insects placed in micro-calorimetric cells without carbon dioxide is a little higher than that of females in normal atmosphere, but variable results of thermogenic reactions are sometimes observed.
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11.
Conclusion et résumé Les Abeilles reconnaissent le sexe de la larve transposée dans les ébauches de cellules royales et réagissent en fonction de ce sexe: pour les larves de mâles, l'acceptation est toujours inférieure à celle des ouvrières et, quelquefois, elle peut être nulle pour des petits nombres de larves transposées. En outre, dans la partie orpheline de la ruche, les Abeilles construisent une cellule royale différente suivant le sexe de la larve transposée à l'intérieur.Les larves de mâles transposées dans les ébauches de cellules royales peuvent se nymphoser, mais un grand pourcentage de ces larves meurent peu de temps après l'operculation, mort qui peut être due à ces conditions inhabituelles dans laquelle les larves sont placées, en particulier leur position (verticale au lieu d'être horizontale).  相似文献   

12.
Summary Simulation of the way workers attack big larvae in spring has produced evidence that the mechanical component of this alone is sufficient to induce earlier metamorphosis with a consequent switch from queen to worker formation.As the jaws are used and the mandibular glands contain a proteinase normally used in the external digestion of prey, it is highly probable that this, too, is involved in attack. It is shown that the mandibular gland material causes major damage to the cuticle of the larva and may cause it to lose water.Like queens, workers contain fatty acids in their heads and the chain length frequency is quite similar. In both castes the commonest is oleic acid. Applied topically this enters the larva, reduces its growth rate and damages its water-proofing. Water-impermeability can be restored by workers.These fatty acids, however, are not very abundant inMyrmica. They are present in the pharyngeal gland which is used to feed larvae and is very palatable. There is no evidence that it is used topically as a poison though it is certainly able to pass straight in through the larval cuticle; if implanted it is harmless.The mandibular glands of queens and workers have been removed surgically. Workers are still able to rear larvae quite well and are susceptible to the influence of queens, but to a lesser degree than normal. This is either because they are undernourished, as the gland is their main oral source of proteinase, or because they need the mandibular chemicals to raise the intensity of their group aggression.the pharyngeal glands of queens and workers have also been removed. This destroys much of the worker drive towards larvae and leads to their gradual emaciation, probably because some dligestion and absorption takes place there. Larvae lose weight, too, and so the influence of queens on broodrearing cannot be tested.
Résumé En simulant la manière dont les ouvrières attaquent au printemps les grandes larves, on montre que les stimulations mécaniques seules suffisent à induire prématurément la métamorphose avec production d'ouvrières ou bien de reine.Puisque les mandibules sont utilisées et que les glandes mandibulaires contiennent une protéinase, utilisée normalement pour la digestion externe des proies, il est hautement probable que cela, aussi, intervienne dans l'attaque. Il est montré que la subtance des glandes mandibulaires occasionne les principaux dégâts à la cuticule de la larve et peut induire des pertes d'eau.Comme celle des reines, la tête des ouvrières contient des acides gras et leur répartition en fonction de la longueur des chaînes est rigoureusement identique. Dans les deux castes, le plus commun est l'acide oléique. Appliqué localement, celui-ci pénètre dans la larve, réduit son taux de croissance et perturbe son imperméabilité à l'eau. L'imperméabilité à l'eau peut être rétablie par les ouvrières.Cependant, ces acides gras ne sont pas très abondants chezMyrmica. Ils sont présents dans la glande pharyngienne qui est utilisée dans le nourrissement des larves et est d'un goût agréable. Il n'y a aucune preuve qu'elle soit utilisée localement comme poison, bien qu'elle soit certainement capable de traverser directement la cuticule larvaire; implantée, elle est inoffensive.L'ablation chirurgicale des glandes mandibulaires de reines et d'ouvrières a été faite. Les ouvrières sont encore tout à fait capables d'élever des larves et sont sensibles à l'influence des reines, mais à un degré moindre que normal. Cela est dû soit à une sous-alimentation, car la glande est leur principale source orale de protéinase, soit parce qu'elles ont besoin des substances mandibulaires pour augmenter l'intensité de l'agression de leur groupe.Les glandes pharyngiennes de reines et d'ouvrières ont aussi, été enlevées. Cela annihile beaucoup de l'attirance des ouvrières vers les larves et mène à leur déssèchement progressif probablement parce qu'il y a alors une certaine digestion et absorption. Les larves perdent aussi du poids, et ainsi l'influence des reines sur l'élevage du couvain ne peut pas être étudiée.
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13.
Résumé L'auteur a utilisé différentes techniques de la coloration et la microscopie sur fond noir pour l'étude histologique du complexe neuro-endocrinien de l'abeille.On distingue deux types de cellules dans la pars intercerebralis. L'examen ultrastructural révèle qu'un troisième type de cellule est identique au second type, mais la technique appliquée au cours de ces travaux différencie encore un autre type de cellule (publication en cours de préparation).Le trajet des axones partant de la pars intercerebralis réclame une attention particulière, la présence de trachéoles à forte réaction phloxinophile pouvant y faire croire à la présence d'une sécrétion phloxinophile.La même technique de coloration appliquée après fixation en solution de Carnoy ne donne aucune différenciation de la sécrétion hématoxyline-positive en une fraction soluble et en une fraction insoluble dans l'alcool.La coloration à la paraldéhyde-fuchsine selonEwen (1962) confirme les résultats de la coloration selonGomori.La coloration à la paraldéhyde-fuchsine selonHalmi (1952) ne permet pas de déceler un produit de sécrétion dans les cellules des corpora allata de l'abeille (ouvrière).Les éléments névrogliques du système neuro-endocrinien de l'abeille domestique sont nettement différenciés par la coloration à la fuchsine acide Light Green selonAlzheimer.L'éclairage sur fond noir révèle que les cellules de la pars intercerebralis de l'abeille ont à un degré élevé la propriété de diffuser la lumière. Certaines autres parties du complexe cérébral présentent cependant le même phénomène, de sorte que cette technique est sans utilité pratique pour la différenciation des cellules neuro-sécrétoires.
Summary The neuro-endocrine complex of the honey bee was histologically examined by means of various staining techniques and dark-field microscopy.Two types of cell were differentiated in the pars intercerebralis. A third type appeared to be identical with the second after ultra-structure examination, while using this technique yet another type of cell was differentiated (publication being prepared).In the axons-tractus starting from the pars intercerebralis special attention must be paid to the appearance of tracheoli, which due to their strong phloxinophile colour reaction could give the impression of a phloxinophile secretion.Using the same staining technique after Carnoy fixation one has no differentiation of the hematoxyline-positive secretion in an alcohol-soluble and non-soluble fraction.Staining with paraldehyde-fuchsine according toEwen (1962) confirms the conclusion of the Gomori-staining.By staining with paraldehyde-fuchsine according toHalmi (1952) no secretory products could be shown in the cells of the corpora allata in the honey bee (worker bee).The glia-elements in the neuro-endocrine system of the honey bee can be clearly differentiated by the light green acid fuchsine staining according toAlzheimer.With dark-field illumination it has been established that the cells of the pars intercerebralis in the honey bee possess light-diffusing properties. Some other parts of the brain complex however exhibit the same phenomenon, so that this technique for differentiation of the neuro-secretory cells appears to be without practical use.
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14.
Summary Mated workers have replaced the queen as the functional egg-layers in several species of ponerine ants. In such queenless species, the reproductive status of workers can only be determined through ovarian dissections. However, the presence of yolky oocytes is not necessarily an indication of active egg-laying.InRhytidoponera sp. 12, a substantial proportion of the workers confined underground have many large yolky oocytes in their ovaries. Examination of various details of oogenesis (size and appearance of basal oocytes, ...) revealed that oocytes do not mature in unmated workers, and that they accumulate in the ovaries. In the 21 mated workers found in a colony excavated in October 1985, there were fewer large yolky oocytes, and the dense accumulations of yellow bodies indicated that eggs were laid regularly. Thus reproductive differentiation among the workers is controlled by insemination. The lack of egg-laying activity by unmated workers was confirmed by monitoring brood production in the laboratory. Trophic eggs do not seem to exist. Various characteristics of worker reproduction in ponerine ants are discussed.
La division des rôles reproducteurs chez Rhytidoponera espèce 12, une fourmi Ponérine sans reine
Resume Des ouvrières fécondées ont remplacé la reine (dans sa fonction de pondeuse) chez plusieurs espèces de fourmis ponérines. Dans ces espèces sans reine, l'état reproductif des ouvrières ne peut être déterminé qu'avec la dissection des ovaires. Cependant, la présence d'ovocytes en vitellogenèse n'indique pas nécessairement qu'il y ait ponte d'ufs.ChezRhytidoponera espèce 12, une grande proportion des ouvrières actives à l'intérieur du nid ont beaucoup d'ovocytes en vitellogenèse dans leurs ovaires. L'examen de certains détails de l'ovogenèse (taille et apparence des ovocytes basaux...) a démontré que les ovocytes ne mûrissent pas chez les ouvrières non fécondées, et qu'ils s'accumulent dans les ovaires. Chez les 21 ouvrières fécondées trouvées dans une colonie déterrée en Octobre 1985, il y avait moins de gros ovocytes en vitellogenèse, et les accumulations denses de corps jaunes indiquaient que les ufs étaient pondus régulièrement. Donc la séparation des rôles parmi les ouvrières est contrôlée par la fécondation. L'absence de ponte par les ouvrières non fécondées a été confirmée par l'étude du développement du couvain dans des groupes de fourmis au laboratoire. Les ufs trophiques ne semblent pas exister. Certaines caractéristiques de la reproduction ouvrière chez les fourmis ponérines sont discutées.
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15.
Six adult male Andean highlanders of Quechua descent were tested in night cold exposures (4°C) in both a single-layer blanket bag and native bedding. In the blanket bag exposure the subjects maintained body temperature through increased metabolic heat production. Previous reports of a "hypothermic" response involving a drop of core temperature with minimal increased heat production were not confirmed. When the subjects were exposed to cold using native bedding there was a marked diminution in responses: rectal, skin and mean body temperature were maintained at high levels and heat production was only slightly increased. Simple native bedding in both the laboratory and huts substantially diminishes cold stress and permits sleep in what otherwise would be intolerable conditions.
Zusammenfassung Bei 6 erwachsenen männlichen Quechua Eingeborenen im andischen Hochland wurden die Körpertemperaturen während der Nacht bei 4°C Kälte bei Abdeckung mit einem einschichtigen Decksack und mit landesüblichem Bettzeug gemessen. Im Bettsack hielten die Personen die Körpertemperatur durch Steigerung der Wärmebildung hoch. Frühere Berichte über hypothermische Reaktionen durch Absinken der Körpertemperatur mit minimal gesteigerter Wärmeproduktion liessen sich nicht bestätigen. Bei Kälteexponierung im einheimischen Bettzeug ergab sich eine deutliche Verminderung der Reaktionen; die Rektal-, Haut- und mittlere Körpertemperatur blieben hoch und die Wärmebildung war nur gering gesteigert. Die einfach einheimische Art des Bettens im Laboratorium und in der Hütte schwächt die Kältebelastung erheblich und ermöglicht Schlafen unter sonst unerträglichen Bedingungen.

Resume On a fait dormir 6 hommes adultes de la peuplade des Quechuas, habitants des hauts plateaux des Andes, dans une literie semblable à celle utilisée d'ordinaire par leurs congénères ou dans des sacs de couchage composés d'une seule couche de tissu. On a mesuré la température de leur corps alors que les températures de la nuit étaient maintenues à 4°C. Dans les sacs de couchage, ces hommes maintenaient leur température en augmentant la production de chaleur par activation de leur métabolisme. Il n'a pas été possible de confirmer des rapports antérieurs relatant des réactions hypothermiques par suite d'une production de chaleur réduite au minimum. Lorsqu'on expose les mêmes sujets au froid, mais dans la literie indigène, on constate des réactions nettement moins prononcées. Les températures moyennes du corps, de la peau et du rectum restent élevées et la production de chaleur n'augmente que peu. La manière indigène de faire les lits, très simple en elle-même, diminue sensiblement la contrainte au froid aussi bien en laboratoire que dans les huttes. Elle permet donc de dormir dans des conditions qui seraient sans cela insoutenables.
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16.
Zusammenfassung An insgesamt 16 Völkern wurden unter verschiedenen Bedingungen die Vorgänge untersucht, die zu den Ausflügen der jungen Bienenkönigin führen. Die Beobachtung ergab, daß die junge Königin nur flugbereit wird, wenn sie von den Arbeitsbienen in bestimmter Weise traktiert und durch den Stock gehetzt wird. Starke Aggressivität eines Volkes seiner jungen Königin gegenüber und starke Ausbildung der Arbeiterinnenovarien fallen zusammen, sind jedoch nicht miteinander gekoppelt.
Summary In 16 colonies of bees the behaviour of worker bees and of young virgin emergency-queens has been observed. The result is that the virgin does not become ready to fly unless she is treated in a certain way by the worker bees.On normal conditions (5 colonies observed) the newly emerged queen does not receive any attention from the workers in the first hours of her life. But from her first midday forth the bees give her great attention by touching, licking, feeding, and facing her. Some workers near the queen show a remarkable vibration of their abdomens in vertikal direction. Besides the queen is frequently attacked by workers who push her, cling on to her, pull her by her legs and wings, and sometimes overthrow her. The queen usually reacts upon such attacks by trying to defend herself, by piping, which causes a sudden numbnes of the bees, and by running away. The flight of the queen stimulates the workers to chase and attack her all the more and often it comes to methodical huntings after the queen. For the queen, the result is increased want of food and an increase of her bodily efficiency until she is ready to fly. Last preparations for flying are made by the queen herself: hurriedly she rushes about on the combs and suddenly she turns to light until she finds the entrance of the hive.—After each flight of the queen the attacks of the bees loose in strength, but become harder again before she starts next time. The attacks are not stopped till the queen begins laying.Observations at a colony dequeened long before receiving a newly emerged queen (strengthened attacks upon the queen) and observations at colonies made of newly emerged bees (no attacks upon the queen) proved the queen to be sooner ready to fly the more she is attacked by the workers. Mild treatment may cause the flights of the queen to be put off or even to be left undone.Colonies attacking their queens hard always contain a high percentage of anatomical laying workers. There seems to be a relation between aggressiveness (towards the queen) and ovary development in worker bees. There is however no direct relation: one colony that did not get any pollen (so that worker's ovaries could not develop) was attacking its virgin queen as well as normal control colonies.

Résumé Le comportement des Abeilles ouvrières et des jeunes reines remplaçantes, nouvellement écloses et vierges, a été observé dans 16 colonies. Il se manifesta que la jeune reine n'est prête à s'envoler que si elle est traitée d'une certaine façon par les ouvrières.Dans des conditions normales (5 colonies observées), les ouvrières ne tiennent aucun compte de la reine qui vient d'éclore. Or, dès le milieu de la première journée de sa vie, l'intérêt des ouvrières est très vif; elles touchent la reine, elles la lèchent, elles la nourrissent et se conforment sur elle. Quelques Abeilles à proximité de la reine manifestent un tremblement étrange de l'abdomen, dans le sens vertical. De plus, la reine est souvent attaquée par des ouvrières; elles la poussent, elles se cramponnent à elle, elles la tirent par les pattes et les ailes, et la renversent. La reine, par réaction, se défend ou s'enfuit; ou elle chante, ce qui fait tomber les Abeilles en torpeur. La fuite de la reine excite les Abeilles à la poursuite qui, parfois, dégénère en chasse acharnée. Le besoin alimentaire de la reine en devient plus fort, ses capacités physiques augmentent, jusqu'au moment où elle est enfin apte à l'envol. Elle s'élance alors avec frénésie par-dessus les rayons; tout à coup, elle se tourne vers la lumière et finit par trouver le trou de vol. Chaque fois que la reine rentre d'un vol, les attaques des Abeilles diminuent; mais elles redeviennent plus intenses jusqu'au départ suivant de la reine. Les attaques ne cessent que si la reine commence à pondre.Des observations faites dans une colonie orphelinée longtemps avant l'introduction de la jeune reine vierge (attaques renforcées contre la reine), ainsi que l'étude d'une colonie de jeunes Abeilles (pas d'attaques contre la reine) ont montré que la reine devient d'autant plus vite apte à l'envol qu'elle est attaquée par les ouvrières. Si la reine est traitée avec douceur, ses essors peuvent être fortement retardés ou même ils n'ont pas lieu.Chez les colonies qui attaquent vigoureusement leur jeune reine, on trouve toujours un grand pourcentage d'ouvrières pondeuses. Il semble donc qu'un rapport existe entre l'agressivité (contre la reine) et la formation des ovaires chez les ouvrières. Ce rapport, cependant, n'est pas direct: une colonie dépourvue de pollen, où, par conséquent, les ovaires des ouvrières ne pouvaient pas se développer, attaqua sa jeune reine aussi vigoureusement que les autres colonies de contrôle normales.
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17.
Groups of secondary schoolchildren in England were asked to assess thermal conditions in winter according to subjective sensations of warmth. Individual comfort votes were averaged for each group and regressed, firstly on estimates of microclimatic warmth, and secondly, in combination with external meteorological parameters. It appeared that thermal comfort was related not only to indoor temperatures, but also to outdoor warmth. The most similar regressions between the sexes, however, contained variables also representing humidity and changes in the external warmth — humidity environment. In particular cool-humid days and changes to warmer-drier weather were related to a decreased need for indoor warmth.
Zusammenfassung Gruppen von Mittelschülern in England wurden aufgefordert, im Winter die Wärmebedingungen nach dem subjektiven Wärmeempfinden abzuschätzen. Die individuellen Behaglichkeitsangaben wurden für jede Gruppe gemittelt und mit der Wärme im Raum und äusseren meteorologischen Parametern korreliert. Das Wärmeempfinden stand nicht nur in enger Beziehung zu den Raumtemperaturen sondern auch zu der Aussenwärme. Selbst die ähnlichsten Regressionen für beide Geschlechter wiesen jedoch Abweichungen auf in Abhängigkeit von der Feuchtigkeit und Wechseln im äusseren Temperatur-Feuchte-Milieu. Besonders an kühl-feuchten Tagen und beim Wechsel nach wärmeren trockenerem Wetter bestand ein vermindertes Bedürfnis für Wärme im Raum.

Resume Des groupes d'élèves du degré moyen d'Angleterre ont été priés d'estimer, en hiver, les conditions de chaud d'après des critères subjectifs. On a établi pour chaque groupe les moyennes des indications individuelles de confort et calculé ensuite les corrélations avec la température des locaux et les paramètres météorologiques relevés à l'extérieur. La sensation de chaud ne fut pas seulement en étroite relation avec la température des pièces d'habitation, mais aussi avec la température extérieure. Des régressions analogues, calculees séparément pour les deux sexes, ont montré des différences dépendant de l'humidité ou des variations de température et d'humidité du milieu extérieur. On a constaté une diminution des besoins en chaleur dans les locaux durant les jours frais et humides et lors de changements vers un temps plus chaud et plus sec.
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18.
Summary The presence of two castes, the egglayers or queens and the nonegglayers or workerlike females, is demonstrated inA. striata andA. persimilis although the castes are poorly defined. One or more queens may be present in a nest during the spring, at which time all individuals of the colony may perform all nesting activities including the collecting of pollen for the cells. After the first brood has emerged in June, there is only one egglayer per colony, and this individual, although continuing to guard and build cells, does not collect pollen. The other females of the colony, although frequently mated, rarely lay eggs but do carry on all other nesting activities. The queens and nonegglaying females differ in size averaged over the season, but there are no gross morphological differences between the two castes.
Zusammenfassung Die Anwesenheit zweier Kasten, die Eierlegerinnen oder Königinnen und die Nichteierlegerinnen oder arbeiterähnlichen Weibchen, inA. striata undA. persimilis, wird bewiesen, obgleich die Kasten undeutlich definiert sind. Eine oder mehr Königinnen können während des Frühlings im Nest sein, zu einer Zeit in der alle Individuen der Kolonie alle Nesttätigkeiten einschliesslich der Pollensammlung ausführen können. Nach der Eklosion der ersten Brut im June, ist nur eine Eierlegerin pro Kolonie da, welche weiter das Nest bewacht und Zellen baut aber keinen Pollen sammelt. Die anderen Weibchen der Kolonie, obgleich abermals gepaart, legen selten Eier. Sie führen jedoch alle weiteren Nestaktivitäten aus. Die Königinnen und Nichteierlegerinnen, sind im Jahresdurchschnitt verschieden gross, aber bedeutende morphologische Unterschiede zwischen den Kasten wurden nicht gefunden.

Résumé L'auteur met en évidence, chezA. striata etA. persimilis, la présence de deux castes: pondeuses ou reines et femelles non pondeuses du type ouvrières; les castes sont cependant peu différenciées. La présence d'une reine et plus, dans le nid, peut être observée au printemps lorsque tous les individus de la colonie accomplissent les différentes tâches, y compris la récolte du pollen pour les cellules. Après l'apparition, en juin, du premier couvain, il n'y a plus qu'une pondeuse par colonie, celle-ci continue à construire des cellules et à s'en occuper mais ne récolte pas de pollen. Les autres femelles de la colonie, bien que souvent fécondées, ne pondent pas d'ufs mais se chargent des autres activités du nid. La taille moyenne des reines et des femelles non pondeuses diffère au cours de la saison, mais il n'y a pas de différence morphologique importante entre les deux castes.


Contribution number 1.282 from the Department of Entomology, The University of Kansas, Lawrence.  相似文献   

19.
Zusammenfassung Bietet man weisellosen Arbeitsbienen den Extrakt von Königinnen gelöst in ihrem Trinkwasser (Extrakt von 200 Königinnen/l), so ist er nur wirksam — im Sinne einer Hemmung der Ausbildung von Weiselwiegen — wenn das Wasser wenig oder keinen Zucker enthält. Bei höheren Zuckerkonzentrationen (über 50–100 g/l) übt der Extrakt diese Wirkung nicht mehr aus.Weiter wurde gezeigt, dass die Anwesenheit einer mit Extrakt übersättigten Ersatzkönigin in einer Gruppe von im übrigen weisellosen Arbeitsbienen auch dann die Ausbildung von Weiselwiegen sowie die Ovarienentwicklung bei diesen Arbeitsbienen hemmt, wenn sie keinen direkten Kontakt mit der Ersatzkönigin hatten. Der Effekt beruht offenbar auf reiner Duftreizung durch den konzentrierten Extrakt.
Résumé La construction des cellules royales est inhibée lorsqu'on offre aux ouvrières d'Abeilles une solution aqueuse d'extrait de reines, ou une telle solution à laquelle on a ajouté du sucre, à la seule condition que le liquide ne contienne qu'une faible concentration de sucre. Si cette concentration est plus forte, l'extrait perd son pouvoir inhibiteur.Un extrait de reines très concentré attire les ouvrières; il inhibe le développement de leurs ovaires ainsi que la construction des cellules royales en dehors de tout contact direct des ouvrières avec la substance inhibitrice. Il semble, dans ce cas, que la chémoréception de la substance suffise à provoquer l'inhibition chez les ouvrières.
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20.
Résumé Ce travail a pour objet l'étude de fécondité des reines de la FourmiPlagiolepis pygmæa. Cette fécondité est pour ne grande part contrÓlée par les ouvrières, ainsi qu'on poeut le constater en faisant varier leur nombre, ou les conditions de leur alimentation. Les variations expérimentales de facteurs physiques tels que température, durée de l'hibernation, action du gaz carbonique sont ressenties par les reines dont la ponte est perturbée; nous avons montré que dans ces derniers cas, les facters considérés agissaient en grande paritie par l'intermédiaire des ouvrières dont ils modifient les possibilités physiologiques. La fécondité des reines est un fidèle reflet de l'état ophysiologique des ouvrières.
Summary This work has for subject the study of fecondity of queens of the antPlagiolepis pygmæa. This fecondity is chiefly regulated by workers as can be established when their number or the conditions of feeding are changes. The experimental variations of physical factors such as temperature, duration of hibernation, effect of CO2, are felt by the queens and their laying is disturbed; it has been shown that, in these latter cases the effect of the factors under consideration passes mainly through the workers by changing their physiological possibilities. The fecondity of the queens is a faithful reflection of the physiological conditions of the workers.
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