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1.
Résumé La ?lutte intégrée? (?integrated control? des Américains) se propose de recourir à une combinaison avantageuse des différentes méthodes chimiques, biologiques et culturales de lutte contre les ennemis des cultures. Son objet est d'accro?tre le potentiel de défense intrinsèque du milieu cultivé contre les attaques des ennemis des plantes, particulièrement en modifiant les formes usuelles de la lutte chimique pour assurer une meilleure sauvegarde des organismes utiles. Ses problèmes, singulièrement dans le cadre de la monoculture intensive, concernent: ?l'intégration? des méthodes de lutte biologique dans un programme de lutte chimique modifiée, la détermination du niveau du seuil de tolérance économique des dégats commis par les déprédateurs, la meilleure connaissance du r?le des organismes utiles comme régulateurs de la densité de population des organismes nuisibles. Pour atteindre cet objectif et résoudre ces problèmes, il est indispensable de procéder à des recherches de base approfondies.   相似文献   

2.
The attributes of both natural enemies and pest species in temporary agroecosystems are discussed. Analysis of natural biological control of noctuid pests in California cotton provides empirical support for the view that certain natural enemies are well adapted to habitats of low durational stability and that such enemies are fully capable of effecting pest suppression in these habitats.
Résumé Il est discuté des propriétés à la fois des ravageurs et de leurs ennemis naturels dans les agroécosystèmes temporaires. L'analyse de la régulation naturelle des populations de noctuelles nuisibles au coton en Californie fournit des arguments empiriques à la conception que certains ennemis naturels sont bien adaptés aux habitats de courte stabilité et que de tels auxiliaires sont tout à fait capables de lutter contre les ravageurs dans ces habitats.
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3.
4.
5.
W. Kloft 《BioControl》1960,5(1):43-54
Résumé Nous avons pu mettre en évidence, à l'aide des méthodes de physiologie du comportement, les facteurs qui conditionnent les interrelations trophobiotiques entre fourmis et pucerons. Nous avons trouvé que les fourmis voient dans le comportement des Aphides le schéma d'offre de nourriture que présenterait n'importe quelle autre fourmi. Chez tous les Aphides recouverts de cire cotonneuse, ce schéma est masqué; dans ce cas, il n'y a jamais de véritables interrelations trophobiotiques. La plupart des pucerons nuisibles en forêt sont justement revêtus de cette cire cotonneuse, et ne sont done pas favorisés par les ?Waldameisen?. Nous avons montré les différences fondamentales qui séparent les deux types de pucerons, piquant soit dans le parenchyme, soit dans le phloem. La trophobiose n'est possible que dans le cas de ces derniers; les autres en effet sont incapables de produire du miellat en quantité suffisante. L'effet phytopathologique des pucerons piquant le parenchyme est très grand dans la majeure partie des cas. II est au contraire négligeable chez les Aphides capables d'interrelations trophobiotiques avec les ?Waldameisen?, à l'exception de deux espèces du genreSchizodryobius. Des dommages occasionnels sont évidemment possibles même pour les pucerons piquant le phloem, mais leur importance est toute relative si nous considérons l'ensemble du problème.
Riassunto Sono stati messi in evidenza, con l'aiuto di metodi di fisiologia del comportamento, i fattori che condizionano correlazioni di trofobiosi fra Formiche ed Afidi. é stato trovato che le Formiche vedono nel comportamento degli Afidi il meccanismo di offerta di nutrimento che presentereble una qualsiasi altra Formica. In tutti gli Afidi ricoperti di cera lanuginosa questo meccanismo è mascherato ed in questo caso non esistono mai delle vere correlazioni trofobiotiche. La maggior parte degli Afidi nocivi alla foresta è rivestita da questa cera lanuginosa e non è quindi ricercata dalle Formiche del gruppoF. rufa. Sono state chiarite le differenze fondamentali che separano i due tipi di Afidi che pungono il parenchima e il floema. La trofobiosi non è possible che nel caso di questi ultimi; i primi effettivamente sono incapaci di produrre la melata in quantità sufficiente. L'azione fitopatologica degli Afidi che pungono il parenchima è nella maggior parte dei casi molto grande. Pero essa è trascurabile negli Afidi capaci di correlazioni trofobiotiche con le Formiche suddette eccetto in due specie del genere genereSchizodryobius. Se anche qualche danno occasionale puo essere arrecato da parte degli Afidi pungenti il floema, l'importanza di tale danno è molto relativa se si considera l'insieme del problema.


Herrn Professor Dr. Dr. h. c.A. Reichensperger zum 80. Geburtstag gewidmet  相似文献   

6.
H. Thill 《BioControl》1964,9(3):239-242
Résumé Les acariens prédateurs vivant sur pruniers, font partie de 8 espèces de la famille desPhytoseiidae, dont 1, espèce appartient au genrePhytoseiius et 7 au genreTyphlodromus. Seules trois de ces espèces sont assez nombreuses pour avoir de l'importance comme ennemis des araignées rouges. Leur présence au cours des années 1956 à 1962 a été soumise à des changements qui sont dus en première ligne à la lutte phytosanitaire, vis-à-vis de laquelle les espèces des acariens prédateurs sont d'une sensibilité différente. Les conditions climatiques se sont avérées être d'une influence analogue.   相似文献   

7.
Petr Starý 《BioControl》1964,9(2):147-152
Résumé Les études de l'auteur sur les pucerons des vergers d'agrumes et de pêchers et leur voisinage, ont montré que la faune aphidienne de certaines plantes est une réserve d'Aphides nuisibles tandis que la faune aphidienne d'autres plantes est économiquement indifférente et représente des h?tes intermédiaires pour les parasites des Aphides nuisibles du premier groupe. Il est proposé de restreindre les plantes du premier groupe, de préserver et de favoriser l'existence de plantes du second groupe comme moyen de lutte intégrée contre certains aphides nuisibles des vergers. L'introduction deAphidius transcaspicus Telenga dans des régions infestées parHyalopterus pruni, est recommandée.   相似文献   

8.
Resumé

Corrélation entre le nombre des chromosomes et les dimensions des microscopores dans la taxonomie botanique. spectre génétique pollinique.

Le concept de proportion domine dans la nature vivante. L'intéraction du noyau et du cytoplasme détermine sur le volume de ce dernier et en conséquence sur la cellule à l'état jeune, une régulation des dimensions cellulaires.

Non seulement la forme des divers pollens, mais aussi leurs dimensions (en tenant compte des fluctuation possibles), constituent des caractères qui peuvent avoir une importance taxonomique, tant par eux memes que par le fait d'etre mis en rapport avec les nombres des chromosomes.

On a déjà constaté que le numéro diploïde 24 est le plus fréquent, soit dans le règne animal que dans le régne végétal et que les numéros diploïdes compris entre 12 et 32 sont plus fréquents dans les plantes, que les autres numéros. Corrélativement l'A. a constaté que le diamètre équatorial le plus fréquent dans les pollens est celui de 23–25 microns; suivent, avec des fréquences décroissantes, les mesures 16–14–18–32–12 etc. microns.

De même, tandis que les numéros diploïdes éleves (2a = 100–200) sont très rares dans les plantes, les espéces avec des pollens à grains volumineux sont elles aussi en nombre très réduit.

Parmi les Convolvulacées, au nombre chromosomique diploïde 2n = 14 de Cuscuta europaea correspondent des microspores de 18–25 μ à 2n = 50 de Convolvulus arvensis, microspores de 50–70 μ, tandis que les Ipomées ayant un nombre élevé de chromosomes (2n = 60, 2n = 90 ca.) ont des grains de pollen d'un diamètre de 150–210 microns. Parmi les Nyctaginacées, le genre Bougainvillea (2n=20) a des pollens de petites dimensions dont le diamètre equatorial est de 30–40 microns, tandis que le genre Mirabilis (2n = 58) a des graines de pollens de grandes dimensions, de 160–226 microns de diamètre.

Bien d'autres exemples de corrélation semblables, appartenant à plusieurs genres et families de plantes, peuvent être cités, sur la base de l'examen des pollens de plus de 1000 espèces.

Si des espèces de proche parenté et semblables au point de vue de la taxonomie, diffèrent entre elles par le nombre des chromosomes respectifs, elles diffèrent aussi quant aux dimensions des pollens.

Le cardinal diamétrique equatorial des grains de pollens des espèces vraisemblablement élémentaires et de leurs variétés est souvent très proche du cardinal chromosomique diploïde des entités respectives; il est quelquefois un des ses multiples, très rarement un sous-multiple.

Tandis que la proportionalité entre les dimensions des grains de pollen et le nombre des chromosomes est fréquente dans les espèce élémentaires, elle nè se rencontre pas dans beaucoup d'autre cas, à cause de l'interférence de la polyploïdie. Dans les Cucurbitacées, aux pollens avec grains de 20 et 22 μ (Bryonia dioica, Momordica charantia) correspondent 2n = 20 et 2n = 22 respectivement; tandis que dans les espèces à gros grains de pollens (Cucurbita pepo: 170 μ; Cucumis sativus: 72–76 μ) ont a trouvé jusqu'à present: 2n = 40,42 (80) et 2n = 14,28 respectivement.

Une des manifestations de la polyploïdie, est la présence dans les pollens de macro-grains, de grains abortifs, de sillons et de pores aberrants, en somme de grains atypiques par leur forme et parfois aussi par leur coleur, présence qui, outre à indiquer l'origine hybride, peut, dans certains cas, inciter à faire des recherches sur les parents supposés et à tirer un plus grand parti de ces caractères.

Dans bien de cas il est possible de dessiner les spectre des pourcentages selon lesquels les différentes entités on concouru à la constituion de la variété ou de la cultivar.

L'A. propose d'appeler un tel diagramme: spectre génétique pollinique. [Agrave] le définir concourent aussi bien les différences morphologiques et microchimiques, que le pourcentage des grains physiologiquement inactifs (abortifs).

La biométrie est très utile dans l'interprétation des préparations microscopiques hétérogènes des allopolyploïdes.  相似文献   

9.
P. Grison 《BioControl》1962,7(3):269-270
Résumé L'utilisation des germes pathogènes est une solution du problème de la sélectivité. Des solutions concurrentes existent avec certains pesticides chimiques. L'utilisation des germes pathogènes est donc envisagée d'une manière pragmatique en négligeant les problèmes de recherches fondamentales. Pour cette raison les mycoses et les protozoonoses ne sont pas retenues. Les viroses offrent un exemple de la plus grande spécificité d'action. L'application des virus d'insectes a été surtout développée en sylviculture. Une grande difficulté est la multiplication des virus sur organismes vivants. Les bactérioses peuvent être seules retenues pour l'agriculture et l'arboriculture intensives: elles ont un spectre d'action assez étendu mais suffisamment sélectif; les bactéries qui nous intérresent peuvent être multipliées industriellement. Le statut deBacillus thuringiensis Berliner et les propriétés des préparations commerciales ont fait l'objet de développements récents. Dans une revue critique des applications de ces préparations en arboriculture fruitière, on considère d'abord le cas des Mineuses et des Tordeuses. Presque toutes ces chenilles sont susceptibles àB. thuringiensis. Mais la difficulté d'utilisation des préparations est de nature éthologique. De bons résultats sont obtenus au Canada contreArgyrotaenia et en U.R.S.S. contreHyponomcuta. En U.R.S.S. on utilise des produits mixtes à concentration réduite (0,5%) de préparation bactérienne et à concentration extrêmement faible (0,002%) de D.D.T. Les résultats contre le Carpocapse sont négatifs. Les résultats contre les chenilles défoliatrices sont très satisfaisants: en Hollande et au Canada contreMalacosoma; au Canada contre les Géométrides,Operophtera etAlsophila espèces très susceptibles àB. thuringiensis, à la dose de 1 à 2 pounds de préparation (titrant 30×109 spores viables par gramme) pour 100 gallons, soit environ, 1,5%; en France, ces résultats sont confirmés. En conclusion, l'utilisation en verger des prépararations commerciales deBacillus thuringiensis doit être ?intégrée? dans un programme général de protection comprenant à la fois les traitements chimiques et les méthodes culturales. De tels programmes sont actuellement expérimentés dans certains vergers de Pommiers par l'I.P.O. et le T.N.O. en Hollande.  相似文献   

10.
L’entomologie médico-légale repose sur l’utilisation des insectes nécrophages pour estimer le moment de la mort dans le cadre d’enquêtes judiciaires et permet dans certains cas de préciser les circonstances du décès. Cette technique repose sur des bases scientifiques solides et est désormais couramment utilisée en France comme à l’étranger dans le cadre d’affaires criminelles. Le projet ForenSeek est un outil informatique d’aide à la décision, dédié à la réalisation de simulations et d’expertises en entomologie médico-légale. Le cæur de ce programme est un modèle de comportement et de développement des larves de diptères nécrophages basé sur un système multi-agents (SMA). Ce procédé permet de modéliser des comportements de groupes complexes à partir de données individuelles simples, et est done particulièrement bien adapté à l’étude des populations d’insectes. De plus, les résultats de ce modèle sont destines à être traités automatiquement pour en extraire des informations sur la pertinence de chaque simulation, et ainsi estimer de manière automatisée et avec précision l’intervalle post-mortem (IPM).  相似文献   

11.
A. Dejean 《BioControl》1991,36(1):29-54
Résumé L'activité prédatrice de 12 sociétés d'Oecophylla longinoda Latreille a été étudiée durant 124 h d'observations pendant lesquelles 2 482 proies ont été capturées. La prédation s'exerce sur les arbres supportant les nids ainsi que sur des territoires ?secondaires? habituellement situés sur le sol. Les 7 situations suivantes sont comparées: 1) En forêt, durant les périodes ?habituelles?; 2) Durant le passage d'une colonne de Magnans; 3) Le territoire de chasse ?secondaire? d'une société installée sur un arbre situé en bordure de rivière correspond à une zone où de nombreux insectes se concentrent pour s'abreuver; 4) L'arbre support est un manguier dont on suit le cycle biologique (inter-saison, floraison, fruits m?rs) et son impact sur la prédation par lesOecophylla; 5) On compare la situation ?habituelle? à ce qui se passe lorsqu'un essaimage de Termites est rabattu sur les territoires d'une société; 6) Le territoire ?secondaire? est situé sous la véranda d'une maison éclairée chaque nuit où de nombreux insectes ailés sont attirés; 7) Les territoires ?secondaires? de 2 sociétés étant contigus, on compare les périodes de combats aux périodes calmes. Les territoires ?secondaires? sont situés sur des zones de concentration en proies (insectes de la litière des forêts, zones où ils viennent s'abreuver, attraction par la lumière, la nuit). LesOecophylla y capturent souvent des insectes aptères, cas relativement rare sur l'arbre support. Ces territoires sont défendus contre les ouvrières d'autres sociétés. Du fait de leur territorialité très marquée avec surveillance permanente du territoire et un recrutement très efficace, lesOecophylla répondent très rapidement à toute prolifération en proies. A cela s'ajoute une grande diversité de proies potentielles de sorte que cette espèce peut être considérée comme très efficace en lutte biologique, les ouvrières réagissant spécifiquement à toute abondance d'un type d'insecte. Pour une société comprenant 12 calies, le nombre de proies capturées par an est de l'ordre de 45 000. Ramené à un nombre équivalent d'individus et de jours d'activité, il est du même ordre que celui desFormica lugubris (Cherix, 1986).   相似文献   

12.
Seulement 21 espèces d’Apoidea sont répertoriées de Nouvelle-Calédonie. La pauvreté de cette faune est paradoxale si on la compare à la richesse et l’endémicité de la flore de l’île, mais s’expliquerait par le fait qu’elle a été isolée avant ou peu après l’apparition des Apoidea vers – 130 millions d’années. Les auteurs comparent aussi les données de plusieurs îles des océans Pacifique et Indien. Deux nouvelles espèces de Halictidae sont décrites: Homalictus cocos et Lasioglossum (Chilalictus) delobeli. Une nouvelle synonymie est établie: Homalictus risbeci (Cockerell, 1929) = Homalictus crotalariae (Cockerell, 1929). Deux taxons, Chalicodoma umbripenne et Megachile laticeps, sont signalés pour la première fois en Nouvelle-Calédonie. Les relations entre les Apoidea et les 22 espèces végétales, sur lesquelles ces insectes ont été capturés, sont présentées et commentées.  相似文献   

13.
H. Thill 《BioControl》1964,9(3):247-251
Résumé Les pruniers présentent des conditions spécialement favorables à l'étude des possibilités de la lutte intégrée, un seul traitement post floral avec des insecticides — sans addition de fongicides — étant nécessaire pour lutter contre les ennemis typiques des arbres à noyaux. L'observation de la biocoenose duran't des périodes plus longues fait para?tre des différences prononcées après l'application des produits chimiques usuels et de celle du Dipterex qui est moins dangereux pour la plupart des espèces d'acariens prédateurs et considéré de ce fait comme utilisable dans la lutte intégrée. Contre les insectes typiques pour les arbres à noyaux, la combinaison Parathion-Métasystémox s'est avérée être la plus efficace parmi les produits chimiques usuels; il en est de même pour le Dipterex. Les différences entre les deux produits précités se manifestent chez les araignées rouges; les produits usuels, après avoir exercé une action assez persistante, permettent vers la fin de l'été une ponte massive d'œufs d'hiver, ce qui entra?ne la menace d'une pullulation permanente pour les arbres. Tout en assurant la destruction des générations printanières de l'araignée rouge, le Dipterex épargne les acariens prédateurs qui, de leur c?té, amènent une diminution des pontes d'œufs d'hiver de cet ennemi. Son application répétée annuellement peut constituer une lutte efficace et être suivie de la disparition graduelle de l'araignée rouge.   相似文献   

14.
H. Audemard 《BioControl》1987,32(1):59-71
Résumé La lutte biologique contre les organismes nuisibles aux vergers évolue par étape vers une Protection intégrée. Dans cette optique, les recherches se développent en France sur les points suivants: effets indésirables des pesticides sur l'entomofaune auxiliaire, r?le d'abri-refuge pour l'entomofaune autochtone joué par l'environnement végétal des vergers, diversification des procédés de lutte, mise au point de méthodes plus sélectives, sélection de variétés résistantes ou moins sensibles aux attaques de plusieurs organismes nuisibles, amélioration des méthodes de surveillance des vergers pour la prévision des risques de dégats, lutte raisonnée contre les maladies cryptogamiques. La mise au point de programmes de lutte intégrée dépend essentiellement des possibilités de lutte disponibles contre les ennemis-clés. Dans les vergers de pommiers et de poiriers fran?ais, les ennemis-clés appartiennent à groupes d'arthropodes: Carpocapse (Cydia pomonella L.), Tordeuses de la pelure, Aphides, Psylle du poirier (Psylla pyri L.) Acariens phytophages et aussi à trois maladies fongiques: Tavelure du pommier (Venturia inaequalis Cke.) Wint., O?dium du pommier (Podosphaera leucotricha Ell. et Ev.), Tavelure du poirier (Venturia pirina (Bref.) Aderh. Les méthodes de lutte sélective sont passées en revue: régulateurs de croissance des insectes, lutte biologique par lachers de parasites et de prédateurs insecticide microbiologique, lutte par confusion avec les phéromones sexuelles. L'application de certaines d'entre elles dépend des possibilités de production industrielles d'agents biologique ou biotechnique. Les principaux éléments ayant contribué à une application pratique des programmes de lutte raisonnée et de lutte intégrée ont été: l'amélioration des connaissances biologiques et de la nuisibilité des organismes phytophages, ainsi que des méthodes de surveillance et de prévision permettant l'utilisation des seuils de tolérance économique l'aménagement de la lutte chimique contre le Carpocapse en vergers de pommiers, la démonstration de la bonne efficacité des prédateurs du Psylle du poirier, spécialement desAnthocoris. La lutte raisonnée, appliquée sur plusieurs milliers d'hectares de vergers de pommiers et de poiriers en France, a permis de réduire de plus de 50% le nombre de traitements avec un bon niveau économique de protection. Dans les vergers d'abricotiers, les maladies parasitaires, principalement l'Enroulement chlorotique causé par un mycoplasme, représentent les problèmes les plus importants. Des essais sont en cours pour parvenir à une lutte raisonnée contre la Petite mineuse (Anarsia lineatella Zell.) et le puceronHyalopterus pruni Geoffr. qui est l'agent de dissémination de la Sharka (maladie due à un virus de type I.L.A.R.).   相似文献   

15.
Les affinités fauniques et la délimitation même du Turkestan en tant qu’entité biogéographique sont mal connues ou controversées. Elles sont discutées ici dans le cadre d’une révision systématique des espèces d’abeilles rubicoles du genre Ceratina. Onze espèces, dont une nouvelle: Ceratina (Euceratina) haladai n. sp., y sont répertoriées. Trois espèces sont redécrites et une clé d’identification est proposée. Toutes ces espèces sont soit présentes dans la région ouest-paléarctique, soit de proches parentes d’espèces méditerranéennes. Aucune espèce ne présente d’affinités notables avec les taxons orientaux ou est-paléarctiques. La carte de distribution de chaque espèce est établie et comparée à la distribution des biomes régionaux. Comme elles sont très largement polylectiques, les plantes butinées ne constituent probablement pas un facteur limitant de leur distribution. A l’inverse, leur nidification rubicole les cantonne à des biotopes riches en ronces (Rubus species) ou en autres plantes à tiges creuses ou médullaires (par ex. Verbascum species). Ceci explique leur implantation plutôt synanthrope en montagne et le long des fleuves.  相似文献   

16.
K. C. Mathur 《BioControl》1967,12(4):443-448
Résumé La recherche des ennemis naturels deBissetia steniellus (Hampson) [Lep. Pyralidae] gravement nuisible à la canne à sucre dans la province du Punjab, a permis de découvrir six espèces parasites des chenilles et deux autres parasites des chrysalides. Aucune de ces espèces n'avait été trouvée auparavant sur cet h?te. L'auteur suggère l'extension de cette étude en vue de vérifier le r?le du BraconideStenobracon deesae Cameron vis-à-vis de ce Lépidoptère d'une part, et de rechercher au Vietnam de nouveaux parasites de cette espèce pour leur introduction ultérieure en Inde d'autre part.

This research has been financed in part by a grant made by the United States Department of Agriculture under P.L. 480.  相似文献   

17.
Résumé Les larves de deux espèces deSystoechus (somali oldroyd etaurifacies greathead), attaquent les œufs du criquet pèlerin (Schistocerca gregaria Forsk?l) en Afrique orientale. La morphologie des larves et des pupes de ces deux espèces et de deux autres a été étudiée en détail. Les larves sont presque identiques; seulement quelques faibles différences ont été observées dans la forme des sclérites céphaliques. Les pupes, d'autre part, présentent des caractères plus distincts. La distribution duSystoechus parmi les lieux d'oviposition duSchistocerca et parmi les oothèques d'une même station est très irrégulière. Chaque larve demande 8–10 œufs (c'est-à-dire un huitième d'une oothèque) pour le développement complet. On trouve souvent plus d'une larve dans l'oothèque, mais il n'en résulte pas la destruction de tous les œufs. Le développement larvaire et le stade de pupe durent chacun à peu près une semaine, mais la larve développée passe dans le sol une période de repos dont la durée varie de plusieurs mois à plusieurs années. Les pluies déclenchent la formation des pupes; toutes les larves ne se transforment pas à la première pluie; en conséquence, l'éclosion des adultes est très échelonnée.   相似文献   

18.
Résumé Les auteurs ont mis au point un procédé d'estimation de la virulence des Entomophthorales à l'égard des adultes du moustiqueAedes aegypti. Ce paramètre est estimé en termes de CL 50 de conidies/mm2. C'est la 1re fois qu'une telle méthodologie est appliquée à ces champignons vis-à-vis de Diptères. L'activité de 2 souches deZoophthora radicans isolées le même jour dans la même localité a ainsi pu être comparée à des intervalles successifs après la mise en culture. Au début de l'expérience, les 2 souches se sont révélées capables d'entra?ner des taux de mortalité de 100% et leur virulence était comparable. La symptomatologie de la mycose était caractéristique, avec formation de conidiophores chez la quasitotalité des cadavres. Par la suite, une discordance a été notée dans le comportement respectif des 2 souches. Alors que la virulence de l'une est restée stable pendant les 6 mois qu'a duré l'expérience, celle de l'autre a diminué très rapidement, le taux maximum de mycose ne dépassant plus 20% après le 1er essai. Le passage sur l'h?te expérimental n'a pas eu pour effet de modifier cette situation. Ces résultats, ainsi que leurs implications, sont discutés. Ils soulignent l'importante variabilité comportementale qui peut exister au sein d'une même espèce d'Entomophthorale. Avec la collaboration technique deMonique Arnault et deNelly Delatre.  相似文献   

19.
B. Papierok 《BioControl》1985,30(3):303-312
Résumé La finesse des procédés mis au point pour la mise en culture de l'agent responsable des entomophthoroses d'insectes permet de montrer queConidiobolus coronatus (Costantin) Batko se comporte dans la nature comme un pathogène opportuniste, contaminant secondairement des insectes morts d'une véritable entomophthorose ou de tout autre cause. C'est la première fois qu'il est montré expérimentalement qu'une souche deC. coronatus isolée de l'homme est capable d'infecter un insecte. Les variations de l'infectivité entre 6 souches de provenances diverses: insectes, sol ou lésions humaines ne semblent pas liées à la nature du substrat d'origine, la souche la plus active vis-à-vis du puceron du pois,Acyrthosiphon pisum (Harris), étant celle isolée du sol. Cependant, l'intensité de conidiogénèsein vivo semble liée à l'origine des souches étudiées, les souches isolées de pucerons étant celles qui produisent le plus grand nombre de conidies sur les pucerons tués par le champignon. Avec la collaboration technique de MesdamesM. Arnault etN. Delatre.  相似文献   

20.
Résumé La longévité, la fécondité, le nombre d'adultes émergés, le sex-ratio et le cycle de développement deTrichogramma evanescens Westwood etTrichogrammatoidea lutea Girault ont été étudiés sur un h?te de substitution (Anagasta kuehniella) ou sur un h?te naturel (Helicoverpa armigera), ainsi que le nombre d'œufs parasités par ces 2 espèces. La longévité des ♀♀ des 2 oophages est très influencée par l'alimentation. Une ♀ deT. evanescens nourrie vit 7 fois plus longtemps qu'une privée d'alimentation et celle deT. lutea 5 fois plus. La présence de l'h?te joue également un r?le non négligeable. La fécondité est plus élevée chezT. evanescens (42 œufs en moyenne) que chezT. lutea (31 œufs). Cependant le nombre moyen d'œufs deH. armigera parasités par ♀ ainsi que le nombre d'adultes émergés sont presque équivalents chez les 2 espèces parasito?des. Le sex ratio (♂♂/♀♀) est de 0,59 chezT. evanescens et de 0,71 chezT. lutea. Quant à la durée de développement, elle est plus longue chezT. evanescens que chezT. lutea aux basses températures (36 jours contre 30 jours à 15°C). Cette différence est moins marquée lors de l'augmentation de la température (4 h à 30°C). La température de 35°C s'avère néfaste pour le développement des 2 espèces oophages ce qui restreint la possibilité de leur utilisation en lutte biologique au Maroc. Des études complémentaires seront à développer pour vérifier leur aptitude dans les conditions de terrain.   相似文献   

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