首页 | 本学科首页   官方微博 | 高级检索  
相似文献
 共查询到20条相似文献,搜索用时 31 毫秒
1.
Résumé Au cours de l'été 1983 dans un agrosystème de Charente (Nord du Bassin Aquitain), les auteurs ont utilisé la technique du piégeage lumineux associée à des lâchers d'insectes marqués. Afin de mimer les émergences possibles des papillons à partir de chenilles hivernantes, les insectes colorés étainent lâchés dans une parcelle de blé (Triticum) (à antécédent cultural maïs), à égale distance de 4 pièges disposés dans 4 parcelles adjacentes. Les captures d'insectes colorés montrent clairement que les femelles quittent le blé et se dirigent vers le maïs, confirmant par là le rôle de l'antécédent cultural sur les infestations annuelles. Les captures d'insectes sauvages indiquent à cette époque une prédominance des mâles due probablement à la protandrie d'environ 8 jours chez l'espèce et à une mobilité naturelle supérieure à celle des femelles. Les implications écologiques et agronomiques de ces déplacements sont discutées et un schéma d'explication des différents types de mouvements des papillons de pyrale: déplacements d'émergence et déplacements quotidiens alternatifs, est proposé.  相似文献   

2.
The available evidence is in agreement with the postulate that all phytophagous insects require chemotactic (usually gustatory) stimuli to release feeding activity. Some of the soluble nutrients in plants serve this function. In the case of oligophagous insects food selection is further guided by perception of non-nutritive substances (token stimuli) of limited botanical distribution. The food range of all phytophagous insects is circumscribed by the distribution of repellants, rejectants and toxins. These concepts are developed and outlined in symbolic form.
Résumé L'importance des stimulants alimentaires token a été clairement démontrée par exemple chez Plutella maculipennis Curt., Pieris brassicae L. et P. rapae L., lesquels, à l'état larvaire, reconnaissent leur plante-hôte, les Crucifères, au goût de glucosides de l'huile de moutarde tels que la sinigrine et la sinalbine. Bien qu'elles soient presque les seules démonstrations indiscutables de l'action de ces stimulants token parmi les insectes phytophages il a été admis que ce phénomène explique en général la sélection de la plante hôte par les insects oligophages et que la présence de substances désagréables au goût dans les végétaux est suffisant pour expliquer les préférences de plantes alimentaires des insectes polyphages. Cependant, ces vues ne rendent pas compte du fait que ces phagostimulants token peuvent exiger la présence de constituants nutritifs afin d'obtenir une réponse alimentaire chez les insectes oligophages. En outre les insectes polyphages demandent des stimuli chimiotactiques positifs pour déclancher une activité alimentaire. Aucun effet inhibiteur de substances végétales désagréables n'est simplement superposé à ce phénomène de base.Un autre fait significatif est que le saccharose, constituant universellement distribué chez les végétaux, est avidement goûté par de nombreux insectes, et on pourrait penser à priori que son rôle est important dans la nature comme stimulus effecteur d'alimentation chez les insectes phytophages. De récentes investigations ont montré que d'autres substances nutritives variées telles que le glucose, des acides aminés, des amides et des vitamines peuvent aussi déclancher d'une manière indépendante l'activité alimentaire.Une interprétation totale de la connaissance utile à présent est que de nombreuses conditions sont exigées pour rendre compte des phénomènes d'alimentation chez les insectes et de la sélection de l'hôte. Ceci inclut la présence de stimulants alimentaires token (si nécessaires), la présence de certains constituants sapides et l'absence de substances répulsives ou désagréables au goût. Tandis que ces conditions, admettant un substrat ingestible, sont nécessaires et suffisantes pour une alimentation normale un développement satisfaisant exige en plus la présence de constituants nutritifs essentiels autres que les substances sapides déjà mentionnées et l'absence de toxines.Certains constituants végétaux peuvent avoir plusieurs fonctions dans ce schéma et quelques exemples sont considérés.

  相似文献   

3.
The size of cottonwood (Populus deltoides L. Bartr.) leaf discs used in insect feeding preference trials with the chrysomelid beetle, Plagiodera versicoloraLaich., was shown to affect behavior, and the outcome of the feeding trial. It is suggested that disc size has an effect because it alters the ratio of chemical signals from the cut leaf edge to those of the intact leaf center. The implications of this finding to the design of bioassays; to previously noted differences in feeding behavior for insects on discs versus leaves; and to the study of feeding preference and induction of plant defense are discussed.
Résumé Plagiodera versicolora Laich (Coléo., Chrysomelidae) a préféré significativement consommer les grandes rondelles (diamètre 17 mm) de Populus deltoides préalablement exposées à l'ozone ambiant, aux témoins exposés à de l'air filtré sur charbon de bois. Cependant, quand le diamètre a été réduit à 10 mm, les insectes n'ont plus préféré les feuilles soumises à l'ozone. Les préférences alimentaires de cet insecte consommant le centre des feuilles ont probablement changé parceque les signaux chimiques de la coupure ont surpassé ou masqué ceux des petits disques. Ainsi, le rapport périmètre sur surface du disque est un critère important de la procédure expérimentale. L'influence de la taille du disque dépend vraisemblablement du fait que l'insecte consomme le centre ou la pourtour de la feuille, de la taille de l'insecte et du type d'expérience. Nous en avons déduit que l'effet de la taille du disque est fréquent particulièrement chez les insectes consommant le centre des feuilles.Les modificatons du choix des insectes lorsque les plantes avaient été présentées sous forme de rondelles au lieu de feuilles ou plantes entières, peuvent être expliqués aussi par le changement des signaux provoqué par le découpage des rondelles, plutôt que par l'induction de modifications chimiques dues à la cueillette, comme cela a été précédemment indiqué par différents auteurs. Par ailleurs, dans les conditions naturelles, des changements dans les signaux chimiques des feuilles dus à une consommation antérieure par des insectes, peuvent être aussi importants dans le comportement alimentaire des insectes que n'importe quel changement chimique induit dans les feuilles par les dégâts.
  相似文献   

4.
Topical application of JHA to Spodoptera littoralis larvae extends the duration and increases the final weight of the last larval instar. No supernumary moults occur. Respiration decreases to very low levels and glycogen and lipid stores increase. Respiration remains lower in JHA-treated pharate pupae and more polyunsaturated C18 fatty acids accumulate than in normal pharate pupae. These physiological parameters are similar to those occurring during diapause but are not definitive. Diapause has not been reported in field populations of S. littoralis, nor it's artificial induction by photoperiodic manipulation.
Résumé Le dernier stade des chenilles de Spodoptera littoralis, traitées avec JHA, est nettement prolongé par rapport aux témoins. Bien que le poids final des chenilles traitées soit plus élevé que celui des témoins, il n'y a pas de mue surnuméraire. Ces chenilles géantes s'alimentent rarement et leur respiration est sérieusement réduite. Les réserves de glycogène s'accumulent chez les chenilles traitées à la même date chronologique que chez les prénymphes non traitées. Bien que les prénymphes traitées à la JHA conservent leur profil biochimique juvénile — tout au moins dans la mesure où on considère la teneur en glycogène et en lipides totales — leur composition en acides gras saturés et non saturés diffère de celle normalement rencontrée à la fin du développement larvaire, et beaucoup plus d'acide oléique monosaturé s'accumule finalement chez les insectes traités par JHA. Ces résultats suggèrent que la JHA fournie peut avoir provoqué un état de développement de diapause naissante semblable par quelques traits fondamentaux à celle induite par la JH endogène chez les insectes enclins à la diapause. Il est cependant prématuré de définir cet état physiologique comme indiquant une vraie diapause chez Spodoptera littoralis.
  相似文献   

5.
Conclusions Il n'est pas impossible, en toute première approximation, d'assimiler une société d'insectes à un système multistable (Ashby) et les individus qui la composent à un ensemble d'organes de base (von Neuman).Ce sont là, en effet, deux façons de raisonner qui permettent de retrouver par la théorie de nombreauses formes de comportement observées dans la nature et, surtout, d'aborder de manières complémentaires l'important problème des interactions sociales et de la transmission de l'information entre insectes sociaux.Il est clair, à la lumière des travaux d'Ashby, qu'un certain bruit de fond est nécessaire à l'intérieur d'une société d'insectes, afin de réaliser l'indépendance relative des différents sous-systèmes, dont l'ensemble est susceptible de s'adapter, dans des délais convenables, à toute modification d'environnement. Quant aux théories devon Neuman, elles permettent de comprendre comment l'existence de ce bruit de fond, si elle est cause du caractère aléatoire et plus ou moins incorrect de la transmission de l'information, n'entrave pas pour autant le fonctionnement correct et fidèle de l'ensemble de la société.Il est, par ailleurs, curieux de constater que l'étude des systèmes cybernétiques auxquels nous nous sommes constamment référé ici,visait à l'origine la mise en évidence des analogies qu'ils présentent avec le cerveau. Or, si l'on veut bien admettre le bien-fondé des considérations développées dans cet article, il existe des rapports relativement étroits entre ces systèmes et ceux que constituent les insectes sociaux. Il semble, dès lors, que l'application de la cybernétique à l'étude des sociétés d'insectes constitue une méthode d'investigation qui devrait se révéler fructueuse et conduire, en particulier, à un renouveau de la théorie du superorganisme.  相似文献   

6.
Leafhoppers (Homoptera: Cicadellidae) possess epi-and hypopharyngeal chemosensilla within the head. In this paper, we describe the behaviors of leafhoppers (Graphocephala atropunctata Signoret) which have had two of the four main nerves to these sensilla cut. Insects with severed nerves (treated) and control insects (both sham-operated and normal) were offered a choice of two small mustard leaves infused with either distilled water or a 5% sucrose solution. The control insects showed a preference for the 5% sucrose leaf, whereas the treated leafhoppers did not; they distributed themselves on both leaves with similar frequency. Thus, severing the nerves of only half of the precibarial chemosensilla (epipharyngeal organ) resulted in major changes in leafhopper feeding behavior. This evidence supports the hypothesis that the precibarial chemosensilla mediate gustatory discrimination of chemical compounds within the plant.
Résumé Les cicadelles (Homoptera) possèdent dans la tête des sensilles gustatives sur l'épi et l'hypopharynx. Cette note décrit le comportement de Graphocephala atropunctata Signoret dont deux des quatre principaux nerfs de ces sensilles ont été coupés. Le choix entre des petites feuilles de moutarde infusées, soit dans de l'eau distillée, soit dans une solution de sucrose à 5%, a été proposé à ces insectes et à deux catégories de témoins, les uns intacts, les autres ayant subi une opération à blanc. Les témoins ont montré une préférence pour les feuilles traitées au sucrose, mais pas les cicadelles aux nerfs sectionnés. Les insectes sectionnés ont perforé les deux types de feuilles avec les mêmes fréquences. Ainsi la section de la moitié seulement des nerfs des sensilles gustatives précibariales (organe épipharyngien) a induit un changement fondamental du comportement alimentaire des cicadelles. Cette expérience appuie l'hypothèse selon laquelle les sensilles précibariales fournissent la discrimination gustative des composés chimiques de la plante.
  相似文献   

7.
A few populations of the pest of stored cereals, Sitophilus oryzae L., have evolved the ability to survive on toxic legumes. The mechanism of detoxification is shown to be very non-specific. Glutathione-S-transferases and monooxygenases play roles in the detoxification process. The techniques employed in the present study were unable to definitely implicate esterases.
Résumé S. oryzae est un ennemi bein connu des stocks de grains de céráles. L'aptitude de certaines souches géographiques de S. oryzae à survivre sur des graines toxiques de légumineuses a été examinée. Les mécanismes de détoxication, développés chez les insectes élevés sur Pisum sativum, sont très généraux et leur permettent de survivre sur une série de légumineuses. Les insectes élevés sur Triticum vulgare survivent très peu sur toutes les graines de légumineuses examineées et, sur ces aliments, les inhibiteurs de détoxication augmentent fortement la mortalité. Trois systèmes enzymatiques de détoxication ont éteéxamineés: les estérases, les glutathion-S-transférases et les monooxygénases. Les méthodes utilisées n'ont révélé aucune diffence dans les activités enzymatiques entre les insectes élevés sur blé (T. vulgare) et sur pois (P. sativum). Cependant, quand les insectes élevés sur blé sont forcés à consommer du pois, l'activité estérase augmente tandis que les activités transférase et monooxygénase sont réduites. La discussion porte sur les conséquences, en particulier évolutives, de la consommation de graines de légumineuses par S. oryzae.
  相似文献   

8.
Hylobius abietis migrates by flight to new breeding habitats early in summer. Flight speed and height, wind speeds during flight, and flight direction in relation to wind were studied in the field. Flight duration estimates were obtained from flight mill experiments. Using these data dispersal distances of the females in a population were calculated. According to this tentative estimate a majority of the weevils migrated more than 10 km, and some as far as 80 km, during the entire flight period.
Aire de dispersion de Hylobius abietis (Coleoptera — Curculionidae)
Résumé Hylobius abietis émigre par vol vers de nouveaux habitats tôt en été. La vitesse et la hauteur de vol, la vitesse du vent pendant le vol, et l'orientation du vol en fonction du vent ont été étudiées dans la nature. Après l'envol de nombreux adultes s'élèvent au-dessus des arbres et volent orientés dans le sens du vent, ce qui est certainement une adaptation aux dispersions à distance par le vent. La vitesse de vol est de 1,9 m/s par rapport à celle de l'air. Les captures avec des pièges à succion ont fourni des indications sur la vitesse du vent pendant le vol; en combinant ces données avec les mesures de la vitesse du vol elle-même, une estimation de la fréquence relative des vitesses de disperison a été obtenue.L'estimation de la durée du vol a été obtenue en laboratoire par des expériences avec un moulin de vol. A partir de ces données les distances de dispersion des femelles dans une population ont été calculées. Selon ces essais d'estimation, la majorité des insectes émigrent à plus de 10 kilomètres et certains vont jusqu'à 80 kilomètres pendant l'ensemble de la période de vol.
  相似文献   

9.
Second-stage integrated management of apple arthropod pests   总被引:2,自引:0,他引:2  
To date, integrated pest management (IPM) of arthropods in commercial apple orchards has been comprised almost exclusively of a suite of what we term first-stage IPM practices focused upon pest monitoring. These practices predict first appearance, rate of development, and abundance of pest and beneficial arthropods, which leads to recommendation of selective properly-timed pesticides as the sole tactic of controlling pests not effectively suppressed by beneficials. Here, we evaluated in Massachusetts the effectiveness of what we term second-stage IPM practices. These involved integration of pesticidal control of early season apple arthropod pests and behavioral, cultural and biological control of mid and late season apple arthropod pests in the absence of insecticide and acaricide application after mid June. The behavioral approach consisted of ringing the perimeter of several apple orchard blocks (each ca. 1 ha) with sticky-coated red spheres baited with synthetic apple odor to intercept immigrating Rhagoletis pomonella (Walsh) flies. The cultural approach focused on removing unmanaged host trees in a ring around the orchard block perimeter to prevent entry of Cydia pomonella (L.) and Argyrotaenia velutinana (Walker) females. The biological approach emphasized buildup of natural enemies of foliar pests in an orchard environment free of insecticide and acaricide use after mid June.During the second year (1988) of second-stage IPM implementation, test blocks in which baited red spheres were placed 5 m apart on perimeter apple trees and in which all unmanaged host trees within 100 m of the block perimeter had been removed received only 0.6% combined fruit injury by the above and all other pests active after mid June. Nearby blocks treated under first-stage IPM practices received 0.4% combined injury from such pests. As revealed by unbaited within-block monitoring traps, comparatively few R. pomonella flies penetrated the ring of interception traps, despite the large numbers caught on the latter. Beneficial predators of pest mites and aphids were nearly twice as common in second-stage as first-stage IPM blocks. Total cost was essentially the same for second-stage as first-stage IPM practices. But we propose a potentially much less costly, labor-saving method as a substitute for using a sticky substance to control R. pomonella flies alighting on perimeter-tree spheres.
Résumé A ce jour, la lutte intégrée (IPM) contre les arthropodes des vergers commerciaux de pommiers, —que nous nommons IPM de première génération —, est conçue presque exclusivement comme une suite de pratiques focalisées sur l'interception des insectes nuisibles. Ces pratiques calculent d'abord la date d'apparition, la vitesse de développement et l'abondance des phytophages et des entomophages, conduisant à l'épandage à des dates appropriées d'insecticides sélectifs, comme seule tactique de protection contre les phytophages qui ne sont pas supprimés efficacement par des entomophages.Nous avons examiné au Massachusetts l'efficacité de ce que nous avons appelé le seconde génération d'IPM. Elle implique l'intégration de la lutte chimique contre des insectes consommateurs précoces, et de la lutte comportementale, culturale et biologique contre les insectes de pleine saison et tardifs, sans traitements insecticides ou acaricides des pommiers à partir de la mi-juin.L'approche comportementale consiste à encercler plusieurs massifs de pommiers (chacun de 1 ha) avec des sphères rouges engluées d'odeur synthétique de pommier pour intercepter les vols de Rhagoletis pomonella Walsh. L'approche culturale est concentrée sur l'élimination autour du verger des pommiers non inclus dans le programme de protection pour empêcher la pénétration de femelles de Cydia pomonella L. et Argyrotaenia velutinana Walker. L'approche biologique insiste sur la mise en place après la mi-juin des entomophages des ennemis du feuillage dans un verger sans insecticide ni acaricide.Pendant la seconde année (1988) de l'application du programme, les fruits attaqués par tous les phytophages après la mi-juin n'ont été que de 0,6% pour les parcelles d'arbres témoins dans lesquels les pièges rouges avaient été placés tous les 5 mètres sur les arbres du pourtour et dont les arbres non inclus dans l'expérience, avaient été enlevés sur une bande de 100 m autour de la parcelle. Des parcelles proches, traitées avec IPM première génération, avaient un taux d'attaque de 0,4% par les mêmes espèces d'arthropodes. Par rapport aux parcelles sans sphères rouges, relativement peu de R. pomonella ont pénétré au-delà de la rangée de pièges, malgré le grand nombre de mouches capturées dans ceux-ci. Les prédateurs d'acariens et de pucerons nuisibles étaient 2 fois plus abondants dans les parcelles protégées par IPM de deuxième génération, que dans celles protégées par IPM de première génération. Les coûts totaux sont à peu près les mêmes, mais nous proposons une méthode potentiellement beaucoup moins coûteuse, demandant moins de maind'uvre, par remplacement l'utilisation de la glue sur les sphères comme protection contre la pénétration de R. pomonella dans la parcelle.
  相似文献   

10.
Résumé Les modalités morphologiques et chronologiques de la formation des corps jaunes ont été étudiées dans les conditions de la ponte provoquée chez la ratte.Des rattes Wistar offrant des cycles de 4 jours et préparées au début du cycle par une dose non lutéinisante d'oestradiol ont été soumises le 2ème jour de ce cycle à un stimulus copulatoire de 8 coïts.Ce stimulus suscite la formation de deux types de corps jaunes: les uns sont des corps jaunes postovulatoires édifiés aux dépens de follicules rompus; les autres sont des corps jaunes à ovule inclus formés aux dépens de follicules non encore aptes à se rompre mais déjà aptes à se lutéiniser.Ces corps jaunes se forment progressivement de la 11ème à la 24ème heure après le rapprochement sexuel. Un petit nombre d'entre eux sont déjà repérables dans les ovaires de rattes sacrifiées 11 heures après le coït. Leur nombre s'accroît au cours des 13 heures suivantes aux dépens de follicules prélutéiniques que l'on observe dans les ovaires des rattes sacrifiées 11 heures après le coït.
Summary Morphological and chronological modalities of the formation of corpora lutea were studied in the conditions of evoked ovulation in the rat. 4-day cyclic female rats of the Wistar strain received at the beginning of the cycle a non luteinizing dose of oestradiol. They mated on the afternoon of the 2th day under visual control and mating was limited to 8 acts of coïtus. Two types of corpora lutea elicited by coïtus were observed i. e. postovulatory corpora lutea and corpora lutea with included ovocytes. Their formation proceed from about the 11th to the 24th hour after coïtus. A few number of these corpora lutea were already visible on the 11th hour post coïtum. Their number progressively increased during the following hours from preluteinic follicles which appeared in great number in the ovaries of animals sacrificed on the 11th hour after coïtus.
  相似文献   

11.
Résumé Dans cette étude on met en évidence la propriété phagocytaire des plaquettes pour des substances étrangères. Les observations ont été faites sur des coupes de tissu pulmonaire de lapins injectés par voie endoveineuse avec du dioxyde de thorium colloïdal et sur des plaquettes humaines isolées et mises en contact in vitro avec du dioxyde de thorium colloïdal.La possibilité de la participation des plaquettes sanguines dans la défense de l'organisme contre certains agents est admise.Le mécanisme de la phagocytose du thorotrast est décrit et on explique l'origine d'une partie · des éléments du granulomère . L'auteur admet aussi l'hypothèse que les éléments du granulomère décrits par Schulz et coll. (1958) soient le résultat de la phagocytose des substances étrangères par les plaquettes.A propos des observations réalisées sur les plaquettes humaines isolées in vitro l'auteur décrit des granules de 230 Å possédant en son intérieur des granules de 30 Å très évidents dans les coupes traitées à l'acetate d'uranyl.Avec la collaboration technique de Mme. Karin David Ferrbira.  相似文献   

12.
With the advent of suitable techniques for rearing plant-sucking insects, especially aphids, on chemically defined diets, knowledge of their nutrition has evolved considerably over the past 7 years. Thus, contrary to some earlier beliefs, the nutritional requirements of plantsucking insects have been found to be, with minor exceptions, generally similar to those of other insects, and it is now possible to sustain aphid colonies on artificial diets for two or more generations, and in some cases, for an almost indefinite period of time.A discussion is presented on the comparative requirements of aphids and other Hemiptera for the main classes of nutrients and for individual compounds, both on a qualitative and quantitative basis, and on the relative importance of symbiotes in the nutrition and metabolism of these insects. Some nutritional and related factors that may influence feeding behaviour will be examined, such as the influence of the pH of the medium, the light, the quality of the diet and the concentration of certain nutrients on feeding preferences by aphids. Correlations will be attempted on the significance of these findings in relation to parasite-hostplant relationships.The main subject of the entire paper will be centered on the nutrition of about half a dozen species of aphids, but some examples will be given using other plant-sucking insects.
Résumé Les besoins nutritifs des insectes suceurs de sève, et tout particulièrement des aphides, ont été étudiés à l'aide de régimes de composition chimique connue. Ces besoins se sont avérés comparables à ceux des insectes en général, et on a pu jusqu'à présent maintenir indéfiniment des cultures d'au moins deux espèces d'aphides sur de tels régimes. II semble que ces insectes soient parmi les premiers Métazoaires à être gardés vivants indéfiniment sur des régimes chimiques définis. Les composés nutritifs essentiels aux aphides comprennent des acides aminés, des vitamines hydrosolubles, dont l'acide ascorbique, des sels minéraux, et du sucrose. Dans certains cas, les microorganismes symbiotiques procurent à leurs hôtes aphidiens quelques substances nutritives, dont des acides aminés, des vitamines et du stérol. De plus, les propriétés phagostimulantes du sucrose et de certains composés aminés ont été démontrées expérimentalement, de même que l'influence du pH et de la qualité de la lumière sur la prise de nourriture. Les résultats des tests de choix multiples, dans lesquels différents régimes nutritifs étaient accessibles aux aphidiens, ont démontré clairement que ces insectes peuvent choisir entre les régimes et préférer ceux qui sont de valeur nutritive supérieure, c'est-à-dire ceux sur lesquels leur croissance, leur reproduction et leur survivance sont maxi-males. Ces résultats confirment l'hypothèse par laquelle, chez les insectes, le choix d'un aliment peut être influencé considérablement par sa valeur nutritive. II apparaît évident que dans les conditions naturelles, le choix de la plante-hôte, et, plus particulièrement, le choix de l'endroit précis de la plante pour la prise de nourriture, et éventuellement, la pullulation de l'insecte, seront influencés, entre autres, par le métabolisme et les qualités nutritives de l'hôte. Finalement, il semble que des différences qualitatives et quantitatives observées entre les besoins nutritifs des différents insectes suceurs de sève se révèleront être en relation de plus en plus étroite avec leurs habitudes oligophages ou polyphages, et avec le pouvoir de synthèse de leurs symbiotes.
  相似文献   

13.
Enhanced resistance in perennial ryegrass, Lolium perenne L., to the bluegrass billbug, Sphenophorus parvulus Gyllenhal is associated with the presence of a fungal endophyte, Acremonium loliae Latch et al. Severe billbug infestations occurred in 1981, 1983, and 1984 in two different turf evaluation field trials. Striking differences in cultivar response were observed. Subsequent investigations led to the discovery that billbugresistant ryegrass entries had very high levels of endophyte infection; whereas, susceptible entries had little or no endophyte infection. Further, the resistance was found to be maternally transmitted, and its dramatic prevalence within a maternal line was explained by the high frequency (over 95%) of seed transmission of the endophyte. This newly recognized source of plant resistance to several insect pests warrants additional study.
Résumé Des études récentes ont montré que la présence d'A. loliae à l'intérieur de L. perenne augmentait sa résistance à plusieurs insectes, dont Listronotus (Hyperodes) bonariensis et quelques pyralesnous signalons ici que le même endophyte améliore aussi la résistance à Sphenophorus parvulus (Curculionidae).Des dégâts de S. parvulus ont été observés sur gazon en 1981, 1983 et 1984. Des différences marquées quant à la réaction des cultivars ont été notées; des études ultérieures ont montré que la résistance des cultivars était associée à des niveaux très élevés d'endophytes, ceux-ci étant rares ou absents des cultivars sensibles. La transmission maternelle de la résistance à S. parvulus améliorée par la présence de l'endophyte qui avait été mise en évidence peut s'expliquer par le pourcentage élevé de graines transmettant le champignon. Les cultivars Pennant, Premier, Regal aux niveaux élevés d'endophytes présentent peu de dégâts en gazon.Les avantages dûs à la présence de l'endophyte, exprimés par une meilleure résistance aux insectes, étaient particulièrement spectaculaires lorsque l'entretien de gazon était sommaire. L'amélioration due à l'endophyte n'apparaissait pas avec les gazons bien entretenus où il n'y avait pas de dégâts d'insectes. Ceci ne réduit en rien l'intérêt de cette forme de résistance aux insectes.Des questions importantes restent à résoudre: action de l'endophyte sur l'hôte, identification et influence des toxines éventuellement impliquées, examen d'autres plantes et insectes concernés.
  相似文献   

14.
Previous foraging studies of individual Rhagoletis flies predict a positive relationship between the density of host fruits and probability of fruit infestation. This study examines how fruit density and other traits influence the distribution of Rhagoletis indifferens Curran larvae in an abandoned orchard. In 1986, when the level of fruit infestation was high, both the number of larvae/fruit and the percentage of fruits attacked were independent of fruit density at all spatial scales examined (among trees, within trees, or among fruit clusters). In 1987, when the level of fruit infestation was low and fruits were sampled throughout the season, the number of larvae/fruit was either independent of fruit density or, contrary to prediction, was inversely dependent on fruit density and tree size. In fruit-parasitic insects, as in many parasitoids, population-level responses to spatial variation in host density may be difficult to predict from analyses of individual behavior.
Résumé Des études précédentes sur Rhagoletis avaient suggéré que différentes caractéristiques de la plant-hôte,-densité des fruits, taille de la plante, présence de phéromones de marquage, etc.-, influençaient la prospection par les femelles gravides. Ce travail examine si ces caractéristiques sont utilisables pour prévoir la distribution des larves de R. indifferens dans un verger abandonné; par exemple, si une prospection concentrée dans les zones de forte densité de fruits entraîne une relation positive entre densité des hôtes et intensité des contaminations.En 1986, le niveau d'attaque était élevé: 89% des fruits examinés contenaient au moins une larve. Tant le nombre de larves par fruit que le pourcentage des fruits attaqués étaient indépendants de la densité des fruits et de l'échelle spatiale utilisée: entre les arbres, dans l'arbre, parmi le paquet de fruits. L'abondance de larves n'était pas plus liée à la taille de l'arbre, qu'à son aspect ou à sa position dans le verger. En 1987, quand l'attaque a été faible (<60% des fruits attaqués), l'échantillonnage des fruits pendant toute la saison a donné un nombre de larves par fruit, soit indépendant de la densité de fruits, soit, à l'opposé de nos prévisions, inversement dépendant de la taille de l'arbre et de sa densité en fruits. Bien que des infections multiples de fruits aient été fréquentes (17% des fruits contenaient de une à cinq larves), les larves étaient clairement distribuées uniformément parmi les fruits de l'arbre, probablement par suite de la présence de phéromones de marquage déposées après la ponte. Les mouches peuvent déceler lors de leur ponte la présence de larves d'autres espèces dans le fruit; la distribution des asticots est en relation négative avec celles des chenilles qui entrent plus tôt dans les fruits.Chez les insectes des fruits, comme chez de nombreux parasitoïdes, les réponses des populations aux variations spatiales de la densité de l'hôte peuvent difficilement être déduites de l'analyse du comportement individuel.
  相似文献   

15.
Fall armyworm larvae, Spodoptera frugiperda (J. G. Smith), were exposed to leaf disks treated with the feeding deterrent aristolochic acid under two types of regimes: In group 1, untreated leaf tissue was replenished as soon as it was consumed; in group 2, the control tissue was not replenished. A strong feeding deterrence was evident during the early stages of the assay in both groups, but eventually declined in group 2. When the experiment was continued through a second 24 h period, the control tissue was not replenished for either group. During this second trial, group 2 larvae, which had previously fed on treated tissue, fed more rapidly on treated tissue than did group 1 larvae. Moreover, group 2 larvae fed more readily and extensively on treated tissue than they had in the first trial.The time for the onset of behavioral desensitization was determined by subtracting the median onset of feeding on untreated tissue from the median interval between when a larva finished all of the control tissue and when it started feeding on treated tissue under no-choice conditions. Once larvae began to feed on treated tissue, their rate of consumption was equal to that of larvae feeding on control tissue.A general model for determining the onset and degree of desensitization was developed. The implications of these results for future experiments aimed at determining the underlying physiological mechanisms and the use of antifeedants in plant protection are discussed.
Résumé L'avenir des phagodissuadants en protection des cultures dépend, en particulier, de l'aptitude des insectes à devenir insensibles à ces substances. Les phagodissuadants sont classés en relatifs ou absolus, suivant que les insectes consomment les tissus traités ou se laissent mourir de faim. Cette propriété dépend beaucoup de la structure chimique, mais les paramètres biologiques n'ont pas été étudiés à fond.Des expériences ont donc été entreprises pour apprécier les effets combinés de jeûne et d'autres facteurs physiologiques dans l'apparition et l'évolution de la désensibilisation chez une espèce polyphage: Spodoptera frugiperda (Lep. Noctuidae). Des expériences préliminaires ont montré qu'un alcaloïde, l'acide aristolochique, est un puissant phagodissuadant pour S. frugiperda. Les chenilles, réparties en deux groupes expérimentaux, ont toutes été isolées et ont reçu chacune deux feuilles de Phaseolus lunatus: une témoin et une traitée avec 1000 ppm. Dans le groupe 1), les feuilles étaient remplacées dès consommation; dans le groupe 2), elles ne l'étaient pas.Un puissant effet dissuadant a été observé tout au long de l'expérience pour le groupe 1); dans le groupe 2), les chenilles ont finalement consommé les feuilles traitées. L'apparition de la désensibilisation était liée au jeûne. Quelques individus ont commencé à s'alimenter sur la rondelle traitée 3,5 heures aprés avoir totalement consommé la rondelle témoin; le temps médian du début de cette consommation a été de 5,7 h. Une fois la répulsion surmontée, les chenilles ont consommé le feuillage traité de la même façon que le feuillage témoin.Les expériences ont été recommencées avec les mêmes insectes, mais sans que les feuilles témoins aient alors été remplacées dans aucun des 2 groupes. Dans cette seconde expérience, les chenilles, qui avaient précédemment consommé des feuilles traitées, sont à nouveau dissuadées lors de choix binaires; cependant elles ont mangé plus rapidement les feuilles traitées, que ne l'ont fait les chenilles qui avaient disposé d'une source inépuisable de feuilles témoins. Elles se sont alimentées aussi plus facilement et plus généralement au cours de cette seconde expérience qu'au cours de la première. Quoi qu'il en soit, les deux groupes ont présenté finalement une désensibilisation.Un modèle mathématique général est proposé pour évaluer l'apparition et l'évolution de la désensibilisation. Les possibilités d'utilisation des phagodissuadants dans la protection des cultures sont discutées à la lumière de ces résultats.
  相似文献   

16.
The development of some parasitoids is coordinated by their hosts, via endocrine head or thoracic factors. Ligation of these hosts disrupts parasitoid development. To determine if host ligation affects the solitary, larval endoparasitoid Campoletis sonorensis (Cameron) (Ichneumonidae: Hymenoptera), Heliothis virescens (F.) (Noctuidae: Lepidoptera) larvae were parasitized by C. sonorensis and ligated or starved at various times after parasitization. Ligation and starvation increased parasitoid developmental time and the time of ligation or starvation affected parasitoid emergence. However, ligation and starvation had similar effects on parasitoid development and emergence. Based on our data, C. sonorensis development does not appear to be closely coordinated by hormonal factors produced by the host head and/or thorax.
Résumé Le développement de certains parasitoïdes est coordonné avec celui de leur hôte, via les centres endocrines de la tête et du thorax. La ligature de ces hôtes interrompt le développement du parasitoïde. Pour déterminer si la ligature de l'hôte affecte l'endoparasite larvaire solitaire, C. sonorensis, des chenilles d'Heliothis virescens ont été parasitées par C. sonorensis, et ensuite ligaturées ou mises à jeûner à des temps variables après avoir été parasitées.Tant les chenilles parasitées avec succès que les autres ont présenté une croissance réduite (Fig. 1), mais, 3 jours après avoir été parasitées sans succès l'augmentation de poids a été plus rapide et a pu être distinguée de l'augmentation de poids des chenilles parasitées avec succès. La nymphose des témoins parasités sans succès était retardée par rapport à la nymphose des véritables témoins. La ligature et le jeûne ont eu des effets identiques sur l'émergence des parasitoïdes (Fig. 2), le pourcentage de parasitisme avec succès augmentant avec la durée du délai entre le parasitisme et le traitement (ligature ou jeûne). Les durées de développement des hôtes ligaturés ou mis à jeûner (Fig. 3) étaient toutes significativement plus longues que les durées de développement des témoins. Cependant, les durées de développement des parasitoïdes n'ont pas été modifiées par le traitement des hôtes, le sexe du parasitoïde et le moment du traitement. Le poids des cocons des parasitoïdes (Fig. 4) était lié linéairement avec le jour du traitement, mais sans modification significative par le sexe du parasitoïde ou le traitement de l'hôte.D'après nos travaux, C. sonorensis ne synchronise apparemment pas sa mue et son émergence avec son hôte, H. virescens. La ligature n'empêche pas complètement le développement ou l'émergence de C. sonorensis bien que le pourcentage d'émergence soit réduit par une ligature dans les 7 jours après le parasitisme. De plus, l'effet du jeûne est semblable sur le pourcentage d'émergences. Le pourcentage réduit d'émergence d'hôtes ligaturés ou mis à jeûner était lié significativement avec le moment du traitement, suggérant la responsabilité éventuelle de l'alimentation réduite de l'hôte. Des hôtes parasités ont continué de s'alimenter et de prendre du poids pendant 5 à 7 jours après la ponte, bien que d'une façon bien inférieure aux témoins non parasités, et cette prise d'aliments par l'hôte peut être nécessaire au succès du développement et à la croissance des parasitoïdes. Ligature et jeûne retardent de la mème façon le développement du parasitoïde; ce retard n'est pas lié au moment de la ligature ou du début du jeûne; ainsi, la réduction de la prise d'aliments peut ne pas être la cause première. L'émergence retardée peut être provoquée par un stress général plutôt que par un ou des facteurs céphaliques ou thoraciques spécifiques.
  相似文献   

17.
The extent to which the parasitoid Cotesia glomerata (L.) (Hymenoptera: Braconidae) discriminates between parasitised and unparasitised host larvae was tested by comparing the mean clutch sizes laid in thirty unparasitised and thirty parasitised two day-old Pieris brassicae (L.) (Lepidoptera:Pieridae) larvae. No eggs were laid in any of the previously-parasitised hosts. In contrast, eggs were laid in all but two of the unparasitised hosts. Most host-rejections involved only a brief insertion of the ovipositor, lasting two seconds or less. However, nearly a third occurred after a more prolonged insertion of the ovipositor, with a mean duration of twenty seconds: not significantly different from that of a normal oviposition.
Résumé Cotesia glomerata (L.) (Hymenopteres: Braconidae) montre deux types de comportement associés à l'oviposition et à l'insertion dans des larves (Pieris brassicae (L.), Lepidoptères: Pieridae) hôtes. Dans le premier cas, il s'agit d'une longue insertion de l'ovipositeur d'une duree de cinq a vingt secondes d'habitude. Dans le second cas, on voit le comportement après une insertion de l'ovipositeur durant deux secondes ou moins. Chez les C. glomerata et chez les autres espèces parasitoides, la première catégorie de comportement a été interprétée comme pondaison (comportement ovipositif) quand à la seconde, elle a été définie comme rejet des hôtes préparasitisés (ou comportement exploratoire). Dans cette étude-ci, on a enregistré la réaction (ovipositive exploratoire) de six guêpes chacuner exposées alternativement à cinq larves parasitisées et à cinq larves non parasitisées âgées de deux jours, le nombre d'ufs pondus dans chacune etant déterminé par dissection. Les ufs pondus par les premières et deuxièmes femelles pouvaient être distinguées par leur grandeux et par leur apparence. Parmi les trente hôtes nonparasitisés initialement, vingt-huit furent parasitisés durant leur comportement ovipositif. On a exploré l'un trouvant qu'aucun uf n'avait été pondu. La guêpe avait montré un comportement ovipositif envers un autre hôte sans pondre d'uf. Aucun des trente hôtes parasitisés auparavant et qui furent réexposés n'avait été super parasitisé. On avait testé vingt et une hôte et la guêpe avait réagi ovipositivement à neuf d'entre eux sans pour autant pondre d'uf. Il n'y avait pas eu de différence marquante entre la durée moyenne d'un comportement ovipositif des guêpes s'attaquant à des hôtes non-parasitisés (lorsque des ufs avaient été pondus dans tous les cas sauf un) et par celles qui s'étaient attaquées à des hôtes parasitisés (alors qu'aucun uf n'avait été pondu).
  相似文献   

18.
This study reports the first demonstration within a single insect genus (Tribolium) of both the acute, or lethal-midlethal, dose-independent pattern of mortality, and the hyperacute, dose-dependent pattern, after appropriate doses of ionizing radiation. This demonstration provides resolution of apparently contradictory reports of insect responses in terms of doses required to cause lethality and those based on survival time as a function of dose. A dose-dependent mortality pattern was elicited in adult Tribolium receiving high doses, viz., 300 Gy or greater; its time-course was complete in 10 days, before the dose-independent mortality began. Visual observations of heavily-irradiated Tribolium suggested neural and/or neuromuscular damage, as had been previously proposed by others for lethally-irradiated wasps, flies, and mosquitoes. Results of experiments using fractionated high doses supported the suggestion that the hyperacute or high-dose mode of death is the result of damage to nonproliferative tissues. Relative resistance of a strain to the hyperacute or high-dose mode of death is not necessarily correlated with resistance to the midlethal mode, which is believed to be the result of damage to the proliferative cells of the midgut.
Résumé Les résultats de nombreuses études des réactions des insectes adultes de différents groupes à l'irradiation s'opposent quant à l'importance de la dose provoquant la létalité et quant aux modalités de la mort. Les diptères et les guèpes impliquent des doses très élevées,-des centaines de Gy-, ne présentent aucune période caractérisant la mort par irradiation, et décèdent de plus en plus tôt avec l'augmentation des doses. Beaucoup d'autres insectes succombent à des doses (milétalelétale) beaucoup plus faibles,-de quelques Gy à des dizaines-, et quelle que soit la dose meurent au bout d'un temps voisin.Au cours de cette étude, nous avons pu observer que ces deux types de mortalité peuvent être provoqués chez le même genre d'insecte (Tribolium), avec des doses convenables d'irradiation . Un syndrôme caractéristique a été provoqué avec des doses très élevées, de 300 Gy ou plus,-à ces doses la mort est obtenue en 10 jours après l'irradiation. L'absence de syndrôme caractéristique se produit avec des doses inférieures ou égales à 80 Gy; la mort a lieu alors entre 10 et 16 jours en fonction de la dose.Les différences entre les deux types de décès indiquent deux processus de mort par irradiation. La manifestation d'une désorientation et d'une perte de coordination motrice chez les Tribolium fortement irradiés suggère des altérations neurales et/ou neuromusculaires comme cause/s de ce type de mort provoquée par des doses élevées. L'implication de tissus sans prolifération a été confortée par les résultats d'expériences utilisant de hautes doses fractionnées. Le type de mort milétal est considéré après de nombreuses observations indépendantes, comme le résultat d'atteintes à la prolifération des cellules de l'intestin moyen.Les données contradictoires sur les réactions des insectes aux irradiations proviennent d'abord de l'absence de connaissances sur le lieu des dégâts. Les diptères sont connus maintenant, après différentes études, comme perdant complètement l'aptitude au renouvellement cellulaire, et présentent ainsi un type de mort avec dose élevée. Beaucoup d'autres insectes adultes ont un renouvellement cellulaire de l'intestin moyen limité, et ainsi présentent le type de mort milétal. Le type de mort, dit haute dose, peut être induit dans cette dernière catégorie d'insectes par une irradiation suffisamment forte, et, dans le cas du Tribolium le déroulement de la mort se produit alors de deux façons bien distinctes.
  相似文献   

19.
The response of tephritid fruit flies to variously coloured sticky traps was studied in the field in southeastern Queensland over three seasons (1978–81). Three species, Dacus tryoni (Froggatt), D. neohumeralis Hardy and D. cacuminatus (Hering), made up the majority of the flies captured. On a per unit area basis, a sticky flat trap was more efficient than a sticky wing trap and was adopted as the trap design. Daylight fluorescent (DF) Saturn Yellow captured significantly more flies than any of the other ten colours, or perspex and aluminium foil, tested, although the DF colours Lime, Blaze Orange and Emerald were also attractive. There was a significant correlation between the number of flies captured by a colour and the difference, in nanometres, between the peak reflected wavelength of the colour and 550 nm which is quoted as the peak wavelength reflected by green leaves. The three species did not differ in their responses to the coloured traps, and more males than females were captured. When either cuelure or methyl eugenol was added to the sticky traps no one colour emerged as significantly superior, but the yellow, and yellow/green DF colours consistently caught more flies. The attractiveness of coloured traps declined as the number of flies captured increased. The efficiency of Steiner and McPhail traps was not increased by the addition of any attractive colour. Of various possible trap shapes of equivalent surface area, circular and square traps captured more flies than did triangular, rectangular and diamond shaped traps. When spheres were tested, those of 10 cm diameter captured more flies than those of 5 cm diameter, and more flies were caught on black, than on yellow or green spheres.
Résumé Plusieurs espèces de téphritidées, principalement Dacus tryoni, D. neohumeralis et D. cacuminatus, ont été capturées avec des pièges gluants colorés dans le S.E. Queensland (Australie) pendant 3 saisons (1978–81). Des pièges plats de 15×20 cm ont capturé plus de mouches/cm2 que des pièges ailés formés par 2 plans à 90°. Les couleurs jaune-vert ont été préferées par les 3 espèces, le jaune saturne lumière du jour fluorescent ayant été le plus attractif. Une corrélation significative a été trouvée entre le nombre de mouches capturées par une couleur et la différence en nanomètres entre le mode des longueurs d'onde reflétées par cette couleur et 550 nm considéré généralement comme le mode des longueurs d'onde reflétées par les feuilles vertes. Les 3 espèces ont montré les mêmes réponses aux pièges colorés et le nombre de mâles avait tendance à excéder celui des femelles. Quand de la cuelure ou du méthyl eugénol étaient ajoutés aux pièges gluants, aucune couleur n'était significativement supérieure, mais les couleurs fluorescentes lumière du jour jaune et jaune-vert ont capturé nettement plus de mouches que le bleu, l'orange, le rouge, le noir, le blanc, la feuille d'aluminium ou le perspex clair. Le taux de capture diminuait plus le nombre de mouches sur le piège augmentait. Ceci peut expliquer la diminution apparente de la discrimination entre les couleurs quand des leurres mâles sont posés sur les pièges. Des expériences avec des pièges tachetés et un retrait quotidien des mouches ont montré que la diminution d'attractivité était une réponse à un stimulus visuel. Après plusieurs jours d'exposition, un piège de couleur relativement peu attractive, capturant des mouches à un taux faible mais appréciable, a capturé un nombre de mouches voisin de celui d'un piège de couleur attractive qui avait commencé par capturer un grand nombre de mouches, mais avait vu baisser son attractivité par suite de la présence des mouches captives. Les données hebdomadaires sur les captures n'ont pas présenté de différences suivant les couleurs, mais la sommation des captures quotidiennes (avec retrait quotidien des mouches) sur la même période a montré des différences d'attractivité significatives.Les pièges de Steiner et de McPhail n'ont présenté aucun taux de capture différent quand ils étaient peints sur les 2/3 inférieurs avec des couleurs attractives jaune-vert.Des sphères noires ont capturé plus de mouches que des sphères rouges, jaunes ou vertes, et des sphères de 10 cm de diamètre étaient plus attractives que celles de 5 cm.Quand un choix de pièges plats de la même couleur et de la même surface mais de formes diverses a été proposé aux mouches, les pièges circulaires et carrés ont capturé plus de mouches que les pièges triangulaires, rectangulaires ou rhombiques.
  相似文献   

20.
Euphyllura phillyreae Foerster (Homoptera: Aphalaridae) which infests olive trees in Greece, is monovoltine and has an aestival-autumnal-hibernal reproductive dormancy as an adult which starts in June. Adult females collected periodically from June through February were maintained for 4 weeks at 12L:12D and 20° L:18° D, then the stage of ovarian development was recorded.In the field, diapause was terminated between mid December and early January. Subsequently, the insects remain in reproductive quiescence until February or early March when environmental conditions allow ovarian development and reproduction.In females collected in June, summerlike laboratory conditions, followed by winterlike, and then by springlike conditions were effective for diapause termination. Springlike conditions alone, or preceded by only summerlike or only by winterlike conditions were not effective. In females collected in August the requirement for summerlike conditions was much less or nil.
Résumé Euphyllura phillyreae Foerster qui s'attaque sur l'olivier en Grèce, est une espèce oligophage, monovoltine, qui a une dormance reproductive aestivo-autumno-hivernale au stade adulte, qui commence en juin.Des femelles adultes ont été ramassées par les arbres périodiquement de juin au février et maintenues pendant 4 semaines à 12L:12D et 20° L:18° D. Après cette période, le stade du développement des ovaires a été le critère de la termination de leur diapause. La diapause fut considéré comme terminée quand au moins 50% des femelles avaient leurs ovaires au stade III ou même plus avancées.La diapause fut terminé entre mi-decembre et début janvier. En suite, les insectes restent à une quiescence reproductive jusqu'au février ou début de mars, lorsque les conditions environmentales permettent le développement des ovaires et la reproduction.Des femelles ramassées en juin et en août ont été soumises à certaines conditions de photopériode et de temperature en laboratoire, pour faire terminer leur diapause. Pour celles ramassées en juin, qui étaient au commencement de leur diapause, des conditions semblables à l'été, suivies par des conditions semblables à l'hiver et puis par des conditions semblables au printemps furent effectives pour la termination de la diapause. Seules des conditions semblables au printemps, ou précédées par des conditions semblables seulement à l'été, ou seulement à l'hiver, ne furent pas effectives. Pour les femelles ramassées en août, le besoin pour des conditions semblables à l'été fut beaucoup moin ou nul.
  相似文献   

设为首页 | 免责声明 | 关于勤云 | 加入收藏

Copyright©北京勤云科技发展有限公司  京ICP备09084417号