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1.
Two strains (ORS 18692 S7 and ORS 18692 S5) of the nematophagous fungus Arthrobotrys oligospora have been isolated for the first time in Senegal. In vitro, both strains trapped 98% of groups of 7-day-old Meloidogyne mayaguensis juveniles within 48 h. Their optimal growth occurred at 25-30 C and at a pH of 5.6, but salinity inhibited their development. In order to test the fungi on M. mayaguensis in pots and in mixed populations of Meloidogyne spp. on tomato in the field, the fungus was incorporated into compost blocks before sowing and subsequent transplanting. In pot experiments during the cool season (28 C), both strains reduced nematode populations and stimulated seedling growth. In field trials during the hot season (35 C), both strains were efficient in reducing Meloidogyne populations. The feasibility of combining the use of compost blocks with the introduction of A. oligospora is discussed. Pour la premie re fois, deux souches du champignon ne matophage Arthrobotrys oligospora (souches ORS 18692 S5 et ORS 18692 S7) ont ete isolees au Senegal dans des zones de culture maraichere. In vitro, l'activite predatrice des 2 souches envers M. mayaguensis s'est revelee tres importante apres seulement 48 h de confrontation. La croissance de ces souches est maximale entre 25 et 30 C, a pH 5.6 mais elle est inhibee par la salinite. Afin d'etudier, sur tomate, leur capacite a contro ler une population de M. mayaguensis en pots et de populations melangees de M. incognita, M. javanica et M. mayaguensis au champ, les souches ont ete incorporees a des mottes de compost avant semi. En pots, et pendant la saison fraiche ( 28 C), toutes les souches ont inhibe le developpement des ne matodes et ont permi une stimulation de la croissance des plants. Au champ, et pendant la saison chaude ( 35 C), les souches ORS 18692 S5 and ORS 18692 S7 se sont revelees tres efficaces. La mise en oeuvre d'une technique de pepiniere combinant l'utilisation des plants en motte et l'incorporation de souches indigenes d'A. oligospora est discutee.  相似文献   

2.
Samples of males and females of G. pallidipes and G. fuscipes were collected at Lugala, Uganda, by seven different methods. There were marked differences between the infection rates of the various samples. In the case of G. pallidipes the differences in infection rate were closely associated with differences in mean age of the samples, but in the case of G. fuscipes the agreement was less close.
L'influence de la methode d'echantillonnage sur les taux d'infection a trypanosome des Glossina pallidipes et G. Fuscipes capturees
Résumé Des échantillons de Glossina pallidipes et G. fuscipes des deux sexes ont été récoltés à Lugala, Uganda, sur un buf en marche, sur un buf à l'arrêt, sur un véhicule se déplaçant lentement, dans des pièges, au repos, sur des hommes à l'arrêt, et sur des hommes en marche. Les nombres obtenus par les 7 méthodes sont indiqués mais le principal intérêt réside dans leurs taux d'infection.Pour les deux espèces il y eut des variations considérables entre les taux d'infection des échantillons recueillis et beaucoup de ces différences étaient persistantes sur plusieurs répétitions. Les femelles de G. pallidipes capturées sur les bufs et dans les pièges étaient plus infectées que celles capturées sur l'homme, sur le véhicule et au repos. Les mâles au repos de cette espèce avaient un taux d'infection élevé constant, tandis que les mâles capturés dans les pièges avaient le taux d'infection le plus élevé durant les premières captures et le plus bas durant les dernières captures. Les différences dans le taux d'infection étaient en liaison étroite avec les différences correspondantes dans l'âge moyen. Parmi les échantillons de G. pallidipes capturés sur bufs, et dans les pièges, les femelles avaient constamment un taux d'infection plus élevé que les mâles, tandis que parmi les captures sur le véhicule, sur l'homme, et chez les mouches au repos, les mâles avaient le taux d'infection le plus élevé.Les femelles de G. fuscipes capturées sur l'homme, et au repos avaient, avec une exception, des taux d'infection constamment plus élevés que celles recueillies par d'autres méthodes. Les mâles de cette espèce capturés buf au repos, sur véhicule et au repos avaient des taux d'infection constamment plus élevés. Le rapport entre l'âge moyen et le taux d'infection des différents échantillons était moins étroit que dans le cas de G. pallidipes.
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3.
The coefficient of dispersion, an index of the relative proportion of the population at high and low densities, was calculated for a number of outbreak area populations of the red locust. The comparison of these indices showed that the proportion of the population at high densities was greatest near the middle of the adult locust's life. The data suggested that the proportion of locusts at high densities was greater with higher mean locust densities and after the formation of swarms. On the other hand this value was probably lower in a habitat made up of patches of tall and short grass or of burnt-off ground and unburnt stands, than in uniform grassland, and was probably also lower after insecticide attack than before.
Résumé Les populations adultes du criquet nomade dans certains foyers d'origine ont été estimées pendant un certain nombre d'années. La technique employée consiste à conduire un véhicule suivant un tracé préétabli de façon à couvrir systématiquement la superficie et de compter le nombre de sauterelles chassées d'une bande de la largeur d'un Land Rover; les nombres sont notés tous les 160 mètres.Le coëfficient de dispersion (la variance divisée par la moyenne) a été calculé par le comptage des criquets s'envolant dans les sections de 160 m. Celui-ci est un index de la proportion relative de criquets à des densités hautes et basses. Il est indépendant de la grandeur totale de la population de sorte qu'il est possible de faire des comparaisons tant entre les distributions de la population dans des régions différentes et les distributions existant à des périodes différentes dans la même région.La comparaison de ces indices démontra qu'en général le coëfficient de dispersion était le plus élevé vers le milieu du stade adulte (juin, juillet, aôut) c.à.d. qu'à ce moment la plus grande proportion de la population était concentrée sur la plus petite surface.A cause du nombre d'exemples relativement petit il est difficile de déterminer l'effet indépendant d'autres facteurs sur le coëfficient de dispersion. Il est cependant probable qu'à une densité moyenne de criquets plus élevée la proportion de criquets était plus grande à des densités élevées.En outre la densité des criquets formant des essaims est en effet très élevée; la formation d'essaims tendait à accroître le coëfficient de dispersion.Un traitement insecticide paraissait réduire le coëfficient de dispersion. Ceci n'est pas surprenant puisque seuls les essaims en repos on été attaqués.Enfin il est possible que la proportion de criquets à des densités élevées était plus grande dans un habitat relativement uniforme que dans un habitat consistant en des morceaux de terre avec des herbes longues et courtes ou en des terres incinérées et des plages non incinérées.
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4.
Randrianasolo, H. 2000. Écologie alimentaire des groupes plurispecifiques d'oiseaux de la foré pluviale du Parc National de Ranomafana, Madagascar. Ostrich 71 (1 & 2): 315.

Le but de cette étude est d'identifier la niche écologique et les recouvrements éventuels des especès d'oiseaux qui rentrent dans la composition des groupes plurispècifiques qui frequentent la strate arbustive de la forêt pluviale du Parc National de Ranomafana, localisé à une altitude moyenne de 1 200 m dans le sud-est de Madagascar. Les espèces les plus communes qui rentrent dans la composition de ces groupes plurispècifiques sont le Bulbul de Madagascar Phyllastrephus madagascariensis, le Bulbul zosterops Phyllastrephus zostemps, I'Oxylabe à gorge blanche Oxyrabes madagascariensis. 1'Eroesse à queue étagee Hartertula flavoviridis, toutes principalement insectivores. L'écologie alimentaire de ces espéces n'a pas encore fait l'objet d'é'tudes detaillees. Cabondance relative des espéces rentrant dans la composition des groupes a été éstimée par la methode des transects par itineraire echantillon realises dans la forê La surface minimale nécessaire à chaque groupe a été éstimée en prenant en consideration le nombre d'individuel de chaque espèce dans chaque groupe. Pour chaque individu les paramétres suivants ont été relevis et comparees avec ceux collectts pour les autres individus, a savoir la hauteur de capture des proies, la nature du substrat utilisk dans le cadre de la capture, le diamttre et la position du substrat et le pourcentage d'ombrage. Un total de 411 observations vient etayer cette etude ecologique. Par ailleurs des mesures morphometretriques ont été réalisées sur différents individus des différentes espéces (bec, tarse, doigt, ongle, aile et queue). La niche Ccologique de chacune de ces esptces forestitres est definie et justifyée par l'analyse conjuguee de ces données écologiques et morphometriques.  相似文献   

5.
Résumé La persistance des conidiospores deNomuraea rileyi (F.) Samson à la surface du couvert végétal a été étudiéein situ en culture de féverole (?Féverole 1 et 2?) et de chou. L'effet du rayonnement solaire sur la survie du germe a été analysé, d'une part, dans des microparcelles recouvertes d'écrans sélectifs arrêtant les radiations de longueurs d'onde inférieures à 320 nm (UV A+) ou à 400 nm (UV) ou par un écran total vis-à-vis du rayonnement direct (RYT) et, d'autre part, dans une microparcelle découverte (RYT+). Les conditions microclimatiques ont été suivies pendant toute la durée des expérimentations et le contr?le de l'activité résiduelle du champignon a porté essentiellement sur le dénombrement des spores viables sur milieu nutritif après mise en suspension d'un broyat des échantillons de feuilles prélevés sur le terrain. Dans le cas des variantes expérimentales (RYT+) et (RYT) le potentiel infectieux a été éprouvé sur des larves deSpodoptera littoralis Boisd. (Lépidoptère Noctuidae) alimentées pendant 24 h avec des rondelles de feuilles recueillies dans le couvert. La durée de demi-vie de l'inoculum sporal est étroitement liée à l'ensoleillement; par temps clair elle peut atteindre un minimum de 3,6 h (?Féverole 1?), alors que dans les microparcelles totalement protégées du rayonnement direct, elle est supérieure à 40 h. Les données d'activité pathogène confirment l'inactivation de l'inoculum soumis au rayonnement solaire. Parallèlement, le recours aux écrans transparents (UV A+) ou opaques (UV) au proche ultra-violet (320–400 nm) a permis de démontrer clairement l'effet léthal de l'UV A naturel sur les conidiospores deN. rileyi, dont les demi-vies peuvent être réduites jusqu'à 4 fois (?Féverole 1?: XUV A +=11,6 h au lieu de XUV−=48,2 h). A partir de ces résultats, on estime que par temps ensoleillé en été, le potentiel d'inoculum deN. rileyi exposé au rayonnement solaire direct peut chuter de 104 fois en une semaine, alors que par temps couvert cette réduction n'aurait été que de 100 fois. Avec la collaboration technique deH. Vermeil de Conchard.  相似文献   

6.
Entomopoxviruses (EPV) are currently being considered as candidate grasshopper (Orthoptera: Acrididae) microbial control agents. Classical techniques for diagnosing infections in grasshoppers are laborious, time consuming, and sometimes inaccurate. Specific murine monoclonal antibodies were developed against an EPV from Melanoplus sanguinipes (Fab) for use in a nitrocellulose-based enzyme-linked immunoassay (dot-blot). An IgG2b monoclonal antibody was used to diagnose infections in grasshoppers 13 days following injection with virions. Of 25 grasshoppers that had patent infections microscopically, 22 produced positive results on the dot-blot. In a second test, 39 patently infected grasshoppers all produced positive results. Seven additional grasshoppers in the first test and 2 in the second test gave positive reactions in the dot-blot method but virus was not detected upon microscopic examination. The monoclonal antibody did not cross-react with other commonly occurring grasshopper pathogens. The dot-blot method detected as few as 2.5×106 purified EPV virions. The improvement over existing detection techniques should facilitate evaluation of EPV for field use.
Prodution et caractérisation partielle d'anticorps monoclonaux pour la détection d'entomopoxyvirus de Melanoplus sanguinipes
Résumé Les criquets sont très nuisibles aux pâturages de l'Ouest des USA et du Canada. Les méthodes classiques de protection sont basées sur les traitements chimiques lors des pullulations. Un entomopoxvirus (EPV) extrait de M. sanguinipes est généralement considéré comme un outil, pour le contrôle des populations sur une longue période, en vue de la suppression des criquets. Les méthodes actuelles d'isolement de EPV sont longues, pénibles et peu fiables. Les tests d'adsorption des antigènes sur l'anticorps fixé et le dosage per l'anticorps enzymatiquement marqué sont efficaces, sûrs et donnent à temps des résultats pour déceler des entomopathogènes. Nous avons produit des anticorps monoclonaux de souris contre EPV de M. sanguinipes, et les avons utilisés dans des dosages immunoenzymatiques d'extraits protéiques adsorbés sur nitrocellulose. Les EPV sont recherchés sur des criquets injectés de virions 13 jours avant. Sur 25 criquets qui présentaient des infections nettes lors d'examens microscopiques, 22 ont donné des résultats positifs par sérologie. Dans un second test, sur 38 criquets nettement contaminés, tous ont donné des résultats positifs; 7 criquets suppl'ementaires mentaires dans le premier test et 2 dans le second test ont donné des résultats positifs en sérologie alors que l'examen microsopique n]avait pas test ont donné des résultats positifs en sérologie alors que l'examen microsopique n'avait pas révélé de virus. Ceci montre que ce type de détection est plus sûr que la méthode ordinaire. Les anticorps monoclonaux ne donnent pas de réactions avec les autres pathogènes courants des criquets. La méthode sérologique a permis de détecter même une concentration de 2,5×106 virions EPV.
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7.
In laboratory bioassays, aphid mortality rose while killing time decreased with increasing spore concentrations of Verticillium lecanii. However, in the glasshouse, the ability of the fungus to be spread among aphid populations on chrysanthemums quickly masked the initial effects of spraying different spore concentration. Hundred-fold differences in spore concentrations produced equally good control of the aphid, Myzus persicae, in the glasshouse.
Controle des pucerons par le champignon: Verticillium lecanii: effet de la concentration en spores
Résumé Dans des essais de laboratoire, la mortalité des pucerons augmente et est plus rapide quand la concentration en spores de Verticillium lecanii s'élève. Cependant, en serre, la possibilité de pulvériser le champignon sur les populations de pucerons sur chrysanthème a masqué rapidement les effets initiaux des différentes concentrations de spores. Ainsi des concentrations de spores différent de cent fois produisent des résultats aussi bons en serre, contre le puceron Myzus persicae.
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8.
Résumé Des rhizomes d'Anemone nemorosa infectés par Sclerotinia tuberosa ont été trouvés dans le sol. Ils ont été étudiés macroscopiquement, en microscopie photonique et en microscopie électronique à balayage. Des infections artificielles ont été réalisées in vitro. Un manchon mycélien entoure le rhizome, et des coussinets d'infection se forment au contact de la cuticule où ils émettent des filaments d'infection qui traversent les couches cuticulaires successivement sécrétées par l'hôte. La colonisation des tissus du rhizome se fait par voie intracellulaire, des appressoria simples servant à franchir les parois cellulaires, mais aussi par voie intercellulaire si l'infection débute au niveau d'une blessure du rhizome. Les mécanismes observés sont en accord avec les préférences nutritionnelles du champignon en culture pure.
Rhizomes of Anemone nemorosa infected by Sclerotinia tuberosa have been found in soil. They have been studied macroscopically and by means of light and scanning electron microscopy. In addition artificial infections have been produced in vitro. Fungal hyphae coat the rhizome with a mycelial muff. Infection cushions develop near the cuticle, and they produce infection threads which penetrate through it. The colonization of the host plant tissues goes on either by intracellularly — the hyphae then go from cell to cell, perforating the cell walls by mean of simple appressoria — or by intercellularly — especially when the infection is initiated by a wound in the rhizome. The infection mechanisms observed here fit well with the nutritional requirements of the fungus in pure culture.


Avec la collaboration technique de D. Bernillon  相似文献   

9.
Infection experiments have been carried out in the laboratory by mixing increasing quantities of spores of Beauveria tenella and reduced doses of parathion or trichloronate (organophosphorus insecticides) with the rearing medium of white grubs (Melolontha melolontha) to verify whether it is possible to favour the development of the muscardine disease. The results are similar to those which were obtained previously with reduced doses of BHC: with low dosage of spores (5×104 per gram of peaf) which does not produce the mycosis after 4 months at 20°C, the addition of small quantities of parathion or trichloronate gives a real increase of muscardine; with an inoculum of 1×106 spores per gram, the mortality by the fungus is approximately the same with or without addition of insecticide, but the development of the disease is more rapid in the case of a simultaneous contamination by the spores and one of the two insecticides. These results give the possibility of carrying out field experiments with low quantities of a non long lasting insecticide so as to favour the development of the muscardine disease in a natural population of white grubs.
Résumé Des expériences d'infection des larves de M. melolontha par le champignon entomopathogène Beauveria tenella, en présence de doses réduites d'insecticides organo-phosphorés (parathion ou trichloronate), ont été réalisées au laboratoire pour vérifier s'il est ainsi possible de favoriser le développement de la mycose. Les résultats confirment ceux obtenus antérieurement avec des doses réduites de HCH: avec de faibles quantités de spores (5×104 conidiospores par gramme de tourbe utilisée comme milieu d'élevage des vers blancs), qui à elles seules ne provoquent pas l'apparition de la maladie après 4 mois d'observation à 20°, l'addition de faibles doses de parathion ou de trichloronate assure une réelle augmentation des cas de muscardine; avec un inoculum de 1×106 conidiospores par gramme, la mortalité par mycose est approximativement la même avec ou sans addition d'insecticide, mais le développement de l'infection est nettement plus rapide lorsque la tourbe est contaminée simultanément par le champignon et l'un des deux insecticides.
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10.
Conclusion En cas d'infection accidentale de personnes ou du matériel dans le laboratoire avec des virus, il sera indispensable de choisir la substance virulicide avec soin. La concentration doit être beaucoup plus élevée que celle, qui c'est montrée mortelle pour les virus, plus ou moins purifiés. C'est surtout la contenance tissulaire, qui protège le virus et retarde sa destruction. La pénétration de la substance antiseptique, comme le formol et le bichlorure de mercure est en outre ralentie par la coagulation de l'albumine cellulaire. Le formol, la chloramine et l'hexachlorophène se sont montrés utilisable. C'est surtout l'action virulicide rigoureuse de l'hexachlorophène, qui donne des perspectives intéressantes.  相似文献   

11.
The physiological factors responsible for behavioral regulation of water balance by differential feeding in Schistocerca gregaria were investigated. Locusts given the option to regulate their water intake by feeding on high-water content (wet) food or low-water content (dry) food had values for percent body water and hemolymph volumes intermediate between those for locusts given either food exclusively. Locusts given wet food only prior to no-choice tests had relatively small meals and long latencies to feed on wet food and large meals and short latencies to feed on dry food. Increasing volume by adding 75 l normal saline did not alter meal size on either food, while locusts given dry food prior to testing had the opposite behavior. Increasing hemolymph concentration led to smaller meals on both wet and dry food, but diluting the hemolymph by an equal volume of distilled water resulted in larger meals on dry food and smaller meals on wet food. Removing an equal volume of hemolymph had no effect, but combining hemolymph removal with increased osmotic pressure reduced the meal size on dry food and increased meal size on wet food.
Résumé L'étude a porté sur les bases physiologiques de la régulation comportementale de l'équilibre hydrique par alimentation différentielle chez S. gregaria. Les teneurs en eau (pourcentage du poids du corps) et les volumes d'hémolymphe des criquets ayant eu la possibilité de moduler leur apport en eau en conssommant des aliments à forte teneur en eau (frais) ou à faible teneur (secs), étaient intermédiaires entre ceux des criquets ayant l'un ou l'autre exclusivement. Les criquets, ayant uniquement des aliments frais avant des expériences sans choix, ont présenté des temps de latence prolongés et des repas relativement brefs sur aliments frais, et des temps de latence brefs et des repas abondants sur aliments secs; les résultats ont été inversés quand l'alimentation préalable était sur nourriture sèche.Ces résultats sont partiellement simulés par des altérations du volume et de la pression osmotique de l'hémolymphe. L'augmentation de la concentration de l'hémolymphe entraîne des repas moins abondants sur aliments frais et secs, vraisemblablement par suite de signaux de satiété. L'augmentation du volume en ajoutant 75 l de solution physiologique n'a pas modifié la taille du repas sur les deux types d'aliments, mais la dilution de l'hémolymphe par un volume égal d'eau distillée a induit des repas plus importants sur aliment sec, et plus petit sur aliment frais. Une augmentation de volume plus importante, de 150 l, réduisait la taille du repas sur aliment frais, mais pas sur aliment sec. Le prélèvement d'environ 75 l d'hémolymphe a été sans effet; mais, combiné avec l'augmentation de la pression osmotique, il a réduit la taille du repas sur aliment sec (comme l'augmentation de la pression osmotique seule), mais a augmenté la taille du repas sur aliment frais. Ce dernier résultat est semblable à ceux obtenus lors des études du déterminisme de l'abreuvement. La discussion porte sur la relation entre le contrôle de l'absorption de l'eau et des aliments.
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12.
Larvae of the Southern armyworm Spodoptera eridania Cramer (Lepidoptera:Noctuidae), feeding on perennial ryegrasses (Lolium perenne L.) infected with an endophytic fungus (Acremonium loliae Latch, Christensen and Samuels), had a much lower survival rate (7–13%) than larvae feeding on endophyte-free ryegrasses (82–90%). Death of the larvae on endophyte-infected entries occurred rapidly between 144 h and 168 h of feeding. This corresponded with armyworms feeding on the base of the plant, where endophyte concentration is highest. Twenty-four hours after the start of the bioassay the larval mass and rate of larval development were significantly higher on endophytic entries. From 48–144 h no differences were seen, but after 144 h the mass of larvae on endophyte-infected grasses sharply declined. Observations from this bioassay further substantiate the association between A. loliae-infected ryegrass and antibiosis to several lepidopterous and coleopterous insect pests.
Résumé Le ray-grass vivace (Lolium perenne), contaminé par le champignon endophyte Acremonium loliae Latch, Christensen & Samuels, a présenté une augmentation de la resistance à de nombreux coléoptères et lépidoptères nuisibles. Cette note examine les réactions de Spodoptera eridania Cramer (Lépido., Noctuidae) alimenté sur trois lignées de ray-grass contaminées par le champignon et trois lignées saines. Après 168 h d'alimentation sur ray-grass contaminé, les chenilles presentent une très forte mortalité; la survie n'est que de 7 à 13% contre 82 à 90% pour le ray-grass sain. Le décès brutal des chenilles correspond à leur alimentation sur la base de la plante ou la concentration du champignon est la plus forte. Les chenilles consomment constamment, broutant plus des 2/3 du feuillage du ray-grass; les broutements des six séries ne différaient pas significativement.Au bout de 24 h, la nombre de chenilles passées du 3ème au 4ème stade, et l'augmentation de poids sont plus élevés pour les séries sur plante contaminée, ce qui suggère un avantage initial pour les chenilles en présence de champignon endophyte, l'analyse en poids sec a montré que l'augmentation de poids initial est réel. Entre 48 et 144 h, cependant, le nombre de 4ème stade et le poids des chenilles sont les mêmes dans les deux séries. Après 144 h, le poids des chenilles sur ray-grass contaminé diminue significativement; aucune n'était parvenue au 5ème stade, contre 11% sur ray-grass sain. Nous n'avons pas observé de signes apparents de neurotoxicité. Au lieu de cela, il ya a eu interaction avec un processus physiologique fondamental, ce qui a provoqué une forte perte de poids larvaire et la mort, indiquant l'intervention d'inhibiteurs métaboliques.
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13.
Pour déterminer la ration minimale d'eau nécessaire à la survie de Locusta migratoria migratorioides (R. et F.) adulte et les repercussions d'un stress hydrique prolongé sur le fonctionnement ovarien, nous avons séparé le facteur eau du facteur aliment en élevant les criquets de l'éclosion à l'âge adulte avec des germinations de blé lyophilisé, selon une technique décrite par Louveaux et al. (1980). Il est montré que la quantité d'aliments ingérée augmente avec la quantité d'eau bue (r = 0,91). La relation linéaire déterminée permet inversement, connaissant les quantités d'aliments ingérés, d'évaluer à 300 μl la ration quotidienne d'un criquet ayant un accès non limité à l'eau de boisson. Les femelles qui n'ont reçu que 50 μl d'eau par jour (j.) sont mortes avant le 9ème jour de traitement. La survie est assurée à partir de 100 μl/j. L'avancement de la vitellogenèse est également en relation avec la quantité d'eau absorbée quotidiennement. Aucun développement ovarien ne se produit jusqu'à 100 μl/j. Une vitellogenèse ralentie commence à partir de 150 μl/j. et elle devient normale à 300 μl/j. avec des pontes comparables à celles des témoins nourris de blé frais.  相似文献   

14.
Medium sized (average 43.1 mg) and large (average 110.6 mg) wireworm larvae (Ctenicera aeripennis aeripennis) were reared in sterilized or unsterilized soil, with sterilized or unsterilized flax seed supplied as food. Sterilized flax was a better food than unsterilized flax, but unsterilized soil improved the results obtained with unsterilized flax.
Sommaire Dans un effort de détérminer les différences biologiques entre le taupin des graminées, Ctenicera aeripennis destructor (Brown), et celui de Puget Sound, Ctenicera aeripennis aeripennis (Kby), les effets sur les larves de ce dernier de la semence de lin et du sol sterilisés fut observés pendant 30 semaines. Contraire aux résultats obtenus avec les larves de C. a. destructor, le lin sterilisé autant que le lin non-sterilisé prouva attrayant et efficace pour la croissance aux larves de taille moyenne de C. a. aeripennis. Les larves de C. a. aeripennis de grosse taille ne différèrent de celles de C. a. destructor que par une plus grande augmentation de poids quand le lin sterilisé ou non-sterilisé fut présent en sol nonsterilisé. La survivance des larves de grandeur moyenne fut meilleure avec le lin sterilisé qu'avec le lin non-sterilisé tandis que celle des grosses larves ne fut pas influencée.Les résultats obtenus sans le lin avec les larves des deux espèces suggèrent que les microorganismes dans le sol ne sont probablement pas utilisés dans l'alimentation de ces espèces. Dans le cas des larves de C. a. aeripennis de grosse taille, il est fort probable que les microorganismes dans le sol rendent plus accessibles aux larves des facteurs alimentaires du lin, ce qui leur permet une croissance meilleure que d'ordinaire.Pourvues du lin, 25 p.c. des larves de grandeur moyenne mangèrent hebdomadairement. A peu près de 5 p.c. muèrent chaque semaine, même sans lin. Avec le lin non-sterilisé, 17 p.c. des larves survécurent dans le sol sterilisé, tandis que 55 p.c. survécurent en sol non-sterilisé. Avec le lin sterilisé, plus de 90 p.c. survécurent, et dans le sol non-sterilisé et dans le sol sterilisé. Pourvues du lin, les larves prirent du poids; sans lin, elles en perdirent.Avec le lin sterilisé dans le sol sterilisé, 31 p.c. des larves de grosse taille mangèrent chaque semaine et seulement 16 p.c. dans tout autre cas. A peu prés 4 p.c. muèrent chaque semaine. Seulement 37 p.c. des larves de cette taille survécurent dans le sol non-sterilisé avec le lin non-sterilisé, mais plus de 98 p.c. survécurent avec du lin sterilisé dans le même sol et plus de 65 p.c. dans le sol sterilisé pourvu de lin ou sans lin.


Contribution No. 22, Canada Department of Agriculture Research Station, Saskatoon, Canada.  相似文献   

15.
Résumé La variabilité de la sensibilité des larves de la noctuelle égyptienne du coton,Spodoptera littoralis Boisduval à l'hyphomycète entomopathogèneNomuraea rileyi (Farlow) Samson a été abordée en étudiant la variabilité interclonale du champignon et la variabilité de l'insecte-h?te à travers des populations d'origines géographiques différentes. En raison de la polyphagie de l'espèce-cible, l'influence de la plante-h?te sur la sensibilité des larves phytophages a aussi été prise en compte. Les traitements ont consisté à exposer les larves à un inoculum sporal déposé par pulvérisation sur des rondelles de feuille calibrées pendant 24 h. L'activité pathogène, à l'égard des larves du 1er stade, des 12 clones monosporaux de la soucheN. rileyi 5 varie significativement (TL50 compris entre 4,7 et 6,2 j à la dose de 3.104 spores/cm2). Cette variabilité intraspécifique observée à un moment donné est néanmoins du même ordre que la variabilité de l'activité de la souche-mère polyclonale, relevée sur une période de 4 ans (TL50 compris entre 4,5 et 6,6 j). Les 3 populations originaires d'Isra?l, d'Egypte et du Maroc ont présenté une sensibilité comparable àN. rileyi 5 après contamination des larves nouveau-nées avec des doses croissantes d'inoculum (DL50 comprises entre 0,7.104 et 1,1.104 spores/cm2 et TL50 compris entre 5,1 et 5,5 j à la dose de 3.104 spores/cm2). L'alimentation des larves, depuis l'éclosion, sur 4 espèces végétales: chou, coton, féverole ou aubergine, n'a pas modifié significativement la sensibilité des larves du 3e stade (DL50 comprises entre 0,3.103 et 0,7.103 spores/cm2 et TL50 compris entre 4,0 et 4,3 j à la dose de 3.104 spores/cm2). La souche polyclonaleN. rileyi 5 para?t bien adaptée à la noctuelle égyptienne du coton en raison de sa stabilité, de son agressivité à l'égard des populations d'origines géographiques différentes et de l'absence d'effet de l'alimentation des larves sur l'infection.   相似文献   

16.
Résumé 58 échantillons de sol sont collectés dans des parcelles cultivées en blé du Centre et de l'Ouest de la France. Ces sols sont répartis en pots, infestés ou non par une souche agressive ou hypoagressive deGaeumannomyces graminis var.tritici et cultivés en blé pendant 3 mois. Les plantes sont alors arrachées pour appréciation du niveau de maladie et mesure du volume de racines développées dans chaque sol. L'analyse en composantes principales réalisée sur ces variables biologiques et les caractéristiques physicochimiques des sols montre que le niveau de la maladie observé est corrélée négativement avec le niveau potassique et la teneur en sable, corrélé positivement avec la teneur en limon. Dans certains sols il a pu être constaté un développement plus important du système racinaire à la suite de l'infestation par l'un ou l'autre des champignons et l'analyse révèle que ce phénomène est en étroite relation avec la teneur en manganèse échangeable.  相似文献   

17.
Résumé On décrit deux moyens de réalisation de microculture dans l'identification de champignons filamenteux qui sont comparés avec la méthode classique. Le premier d'entre eux se réalise par ensemencement moyennent l'inondation du milieu en boîte de Petri avec suspension de spores et est ensuite coupé en carrés que l'on place à l'intérieur de boîte de Petri. Le second consiste à suspendre micelium fongique en milieu fluide à 50°C. Les deux ont l'avantage de la rapidité de réalisation, surtout quand on doit préparer un grand nombre de microcultures dans le but de l'enseignement et que l'on ne dispose pas des éléments stériles pour la réalisation de la microculture sur les lames.  相似文献   

18.
Les criquets représentent un taxon central dans les chaînes alimentaires et sont de bons indicateurs à la fois des caractéristiques des milieux et des perturbations de leurs habitats. Associés exclusivement aux habitats herbacés pérennes, ils sont menacés dans les zones d’agriculture intensive. Du fait de leur importance dans les réseaux trophiques, notamment comme ressources alimentaires pour un grand nombre d’espèces aviaires, ils font l’objet d’une attention croissante des écologistes et des gestionnaires des milieux dans le cadre d’études de conservation pour évaluer quantitativement leurs populations. L’objectif de cette étude est de décrire une technique d’échantillonnage et un plan d’échantillonnage destinés à estimer la densité de criquets dans les milieux prairiaux. Cette étude se base sur 7 années d’observations de terrain, menées sur un vaste site d’étude en plaine agricole intensive. Nous montrons que le biocénomètre d’1 m2 de base est une technique robuste vis-à-vis des conditions de température durant l’échantillonnage. L’étude établit pour l’ensemble des espèces et pour deux espèces particulières, Pezotettix giornae et Calliptamus italicus, la relation qui lie la variance et la moyenne des effectifs par m2. C’est grâce à cette relation qu’on peut établir les tailles d’échantillons qui permettent d’atteindre des objectifs de précision choisis pour les estimateurs de la densité. Nous montrons que la réalisation de 15 lancers aléatoirement par parcelle permet d’obtenir des estimations de la densité de criquets/m2 dont la précision, définie par l’intervalle de confiance, varie selon la densité de 50% pour les densités inférieures à 1/m2 à 30% pour les densités de 2 à 7/m2 et à 20% pour les densités supérieures à 7/m2.  相似文献   

19.
Benomyl affected populations of Tetranychus urticae by interfering with the pathogenic fungus, Neozygites floridana. Benomyl delayed but prolonged spider mite outbreaks. Few mites were infected with the pathogen when benomyl was used. Reductions in mite populations treated with fentin hydroxide were associated with a high incidence of N. floridana infection. Benomyl did not affect sporulation of N. floridana but appeared to inhibit conidial germination or growth of the fungus.
Résumé Le bénomyl a modifié les populations de Tetranychus urticae Koch en interférant avec son champignon pathogène, Neozygites floridana (Weiser & Muma). Le bénomyl retardait mais prolongeait les pullulations de l'acarien. Peu d'acariens étaient infectés par le champignon quand on utilisait du bénomyl. Les réductions des populations d'acariens traitées avec l'hydroxyde de fentine étaient associées à un haut niveau d'infection par N. floridana. Le bénomyl ne modifiait pas la sporulation de N. floridana mais semblait inhiber la germination des conidies ou la croissance du champignon.
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20.
Conclusions Cultivé sur un milieu synthétique vitaminé, Phycomyces n'absorbe pas, dans les limites de concentration de nos expériences, une quantité appréciable de vitamine B 1. Le test animal ne permet pas de mettre en évidence une synthèse de la vitamine B 1 par le champignon.La quantité maximum de vitamine B 1 qui, théoriquement pourrait être présente dans le mycélium du champignon, en admettant le cas le plus favorable, est trop faible pour pouvoir agir sur le champignon et activer un milieu synthétique.Il est très probable que l'on doive faire appel au second facteur de croissance de Mucorinées (facteur M). Aux dépens où à la faveur de la présence de la vitamine B 1, Phycomyces fabrique donc, à part le facteur agissant sur la levure (effet bios), une autre substance auxogène activant le développement d'une nouvelle culture du champignon.Si la substance en question, contenue dans l'extrait de Phycomyces, agit sur le développement d'une nouvelle culture, il faut naturellement admettre que dans le premier mycélium, ayant servi à préparer l'extrait, un rôle doit lui être dévolu également.L'action de la vitamine B 1 ne nous semblerait donc pas directe; la présence de cette dernière est indispensable pour permettre au champignon d'effectuer la synthèse des facteurs qui lui sont propres.  相似文献   

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