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1.
M. P. Arvy 《Plant and Soil》1985,84(3):437-443
Résumé Nous avons analysé la teneur en sélénium de sols argileux de la région de La Roche-Posay ainsi que celle deHelminthia echioïdes etTrifolium repens qui s'y développent. Sur trente emplacements, la concentration en Se total du sol varie de 1,7 à 4,5 ppm et le pH oscille de 6,1 à 7,2. La teneur en sélénium des plantes est élevée: de l'ordre de 2 à 32,5 ppm, mais aucune corrélation n'a été notée entre ces valeurs et d'une part le pH du sol ou d'autre part la teneur totale en Se du sol.Seize éléments minéraux ont également été dosés. Les deux espèces présentent des concentrations élevées en Al, Fe, Ni, Co et Cr. Les Teneurs les plus fortes en Se ont été retrouées dans les plantes possédant les taux les plus bas en Al, Fe, As et Mn. Chez Trifolium, une corrélation négative est observée entre la concentration en Se et celle en Al (r=–0,44), en Fe (r=–0,47) et en As (r=–0,47). Par ailleurs, des corrélations positives sont obtenues entre les teneurs en Al, Fe et As chez les deux espèces.Une corrélation positive existe entre la teneur en Se et celle en P chez Helminthia, mais chez Trifolium les plus faibles concentrations en Se se retrouvent à la fois dans les échantillons présentant les niveaux les plus faibles et les plus forts en P.Chez l'une ou l'autre des espèces étudiées, des corrélations positives apparaissent entre les teneurs en Se et celles en Co, Mo ou même Mn lorsqu'il est présent à des taux relativement élevés dans la plante.  相似文献   

2.
In the course of a preliminary sampling program, oligochaetes were collected along two transects in soft sediments in Lake Baikal. The number of oligochaetes present in the samples was counted, without distinguishing between species. The results suggest an exponential decrease in number of individuals (N) relative to depth (11,165 N m–2 at 21 m, 265 N m–2 at 1200 m). Most oligochaetes were found in the top 7 cm of sediment. The orange colour of the sediments suggests a high oxygen availability, even at the greatest water depths.
Résumé Au cours d'un programme d'échantillonnage préliminaire, les oligochètes du lac Baïkal ont été récoltés dans le sédiment mou prélevé le long de deux transects. Les oligochètes présents dans les échantillons ont simplement été dénombrés, sans identification déspèces. Les résultats suggèrent une diminution exponentielle du nombre d'individus en fonction de la profondeur du lac (11165 N m–2 à 21 m, 265 N m–2 à 1200 m). La plupart des oligochètes ont été trouvés dans les 7 premeirs cm de la couche supérieure du sédiment. La couleur orangée du sédiment suggère une grande disponibilité en oxygène, même aux profondeurs les plus grandes.
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3.
The annual temperature regime of a small stream in New Zealand   总被引:2,自引:1,他引:1  
C. L. Hopkins 《Hydrobiologia》1971,37(3-4):397-408
Summary An electrically operated strip-chart recorder was installed in the Hinau Stream, a small hill stream in the North Island of New Zealand. With this instrument the temperatures of the stream, air, and a small spring were monitored for 2 years. Mercury-in-glass maximum/minimum thermometers were installed at two other points in the stream system, one 500 m below the site sampled by the recorder probes and the other in another stream which joined the first.The annual temperature in the stream at the site of the continuous recorder ranged from 6°C to 18.5°C. Annual range in the spring water was much less, 10–14°C. The greatest daily range in temperature in both air and water was found during summer and the smallest in winter. Data taken 500 m down stream of the continuously recorded site showed that summer maxima were 3–4° higher than in the upper reaches, though the minima were about the same at the two sites. During winter there was little difference between the two sites. Data from certain other waters with wider annual temperature ranges showed summer maxima to be higher than in the Hinau, but winter minima to be about the same.Maximum temperature in the Hutt River where it flowed through thickly forested country was much less than in the same river in cleared land down stream and also much less than in two other rivers in open country for which data exist.Comparison of quantitative samples of benthic invertebrates taken from different parts of the Hinau Stream showed that several species of Trichoptera were more abundant in the recorder-monitored headwater than elsewhere in the stream. This may have been partly due to the less extreme temperature conditions in the headwater.
Résumé Un enregistreur électrique sur bande de papier a été installé dans Hinau Stream, un petit ruisseau qui coule dans des collines dans l'Ile du Nord de la Nouvelle Zélande. Les températures du ruisseau, de l'air, et d'une petite source furent enregistrées par cet appareil pendant une période couvrant deux années. Des thermomèters maximum/minimum à mercure furent placés en deux autres points du système hydrologique du ruisseau, l'un à 500 m en aval du site où opérait la sonde de l'enregistreur et l'autre dans un autre ruisseau qui rejoignait le premier.La température annuelle dans le ruisseau à l'emplacement de l'enregistreur permanent variait entre 6°C et 18.5°C. Les variations annuelles de l'eau de la source étaient biens moindres, 10–14°C. La plus importante variation journalière de température de l'air et de l'eau se produisait pendant l'été et la plus faible pendant l'hiver. Des mesures faites 500 m en aval du site où l'enregistrement était permanent montrèrent que les maxima pendant l'été étaient de 3 à 4° plus grands que dans l'amont, bien que les minima soient approximativement les mêmes dans les deux sites. Pendant l'hiver il y avait peu de différence entre les deux sites. Des mesures faites dans certains autres cours d'eau avec des plages de variation de températures annuelles beaucoup plus larges montrèrent que leurs maxima de l'été étaient plus grands que dans l'Hinau mais que leurs minima pendant l'hiver étaient à peu près les mêmes. La température maximum dans la Hutt River quand elle coulait à travers une région couverte de forêts épaisses était bien moindre que lorsque cette même rivière passait dans une région déboisée en aval, et elle était aussi bien moindre que dans deux autres cours d'eau coulant en pays non boisé pour lesquels il existe des mesures.Des comparaisons entre des échantillons quantitatifs d'invertébrés benthiques pris dans différentes parties d'Hinau Stream montrèrent que plusieurs espèces de Trichoptera étaient plus abondantes dans le cours supérieur du ruisseau où se trouvait l'enregistreur qu'autre part dans le ruisseau. Ceci est peut-être dû à des conditions de températures moins extrêmes dans la partie supérieure du ruisseau.
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4.
René Molinier 《Plant Ecology》1959,8(5-6):340-383
Conclusions La Provence apparaît, en définitive, comme un territoire des plus variés aux divers points de vue climatique, édaphique, biotique.C'est une région d'autant plus favorable aux études phytosociologiques que la variété des milieux s'y double d'une brutalité souvent étonnante des contrastes, conduisant à la juxtaposition parfois extrêmement précise d'associations végétales très différentes, dont les limites peuvent alors être cartographiquement figurées avec une très suffisante exactitude.Cette vigueur des contrastes est surtout marquée en Provence calcaire où les divers termes des séries évolutives dérivant du Quercetum ilicis climacique ou y conduisant, se juxtaposent souvent sans transition de quelque importance.Les contrastes sont cependant moins accusés en Provence cristalline et dans la Basse-Vallée du Rhône.En Crau comme en Camargue, les associations végétales se juxtaposent souvent en ceintures parallèles ou concentriques — elles s'individualisent alors facilement —, souvent en mosaïques irrégulières, au grè des variations locales des deux facteurs déterminants: l'eau en Crau, le sel en Camargue.En Provence cristalline, les Maures étant surtout faites de roches se délitant facilement (grès, micaschistes et phyllades) sous un climat chaud et humide, le sol se reconstitue facilement après sa destruction partielle par l'érosion; les contrastes sont moins tranchés; on observe des transitions nombreuses entre les divers termes des séries évolutives, dont les limites ne peuvent être fixées qu'approximativement. Nous y avons notamment abordé le problème de la forêt de chêne-liège dont la signification est loin d'être connue, non seulement en Provence mais sur toute l'étendue de son aire, en Afrique du Nord, en Espagne, au Portugal, en France méridionale, en Italie et dans les Iles de la Méditerranée occidentale.En provence cristalline, il est certain que l'homme en a considérablement assuré l'extension, directement pour l'utilisation du liège, indirectement par la coupe et le feu, et, en bien des points de la Méditerranée occidentale, le chêne-liège se présente comme une essence cultivée.Par ailleurs rien ne permet de mettre en doute son indigénat. Mais, dans les conditions actuelles du milieu en Provence cristalline:le chêne vert est possible partout;dans les conditions naturelles de la concurrence vitale le chêne vert l'emporte sur le chêne-liège.Si, donc, la forêt originelle a comporté le chêne-liège, ce ne peut être qu'à l'état d'essence secondaire et seulement en quelques points où une faible couverture forestière lui permettait de cohabiter avec le chêne vert.Les documents cartographiques au I/20 000e tendent à montrer, d'aileurs que, dans les conditions naturelles de reconstitution de la forêt ou dans le peuplement naturel des sols neufs (Isthme de Giens), c'est la chênaie de chêne vert, non la chênaie de chêne-liège qui s'installe.Les grandes unités phytosociologiques de la Provence paraissent être maintenant convenablement définies floristiquement; il convient donc d'en poursuivre l'étude écologique, dont certains aspects seulement les plus apparents—mais peut-être pas toujours les plus actifs-, ont été abordés.Notons enfin la démonstration faite, au cours de l'excursion, de la parfaite application possible des méthodes phytosociologiques à l'étude des groupements marins et la nécessité, particulièrement apparente en milieu marin, de considérer tout autant les animaux que les végétaux. L'avenir est bien aux biocénoses dont les grands traits ont été mis en évidence, quant à la côte de la presqu'île de Giens, par Roger Molinier.Reçu par la rédaction le 20. XII. 1958.avec la collaboration de ROGER MOLINIER pour la partie marine et G. TALLON pour la Camargue.  相似文献   

5.
The reaction of the kola weevil,Sophrorhinus gbanjaensis to moisture in a simple and a two-way gradient (centre low, high at ends) and a humidity choice chamber and its survival at the different relative humidities of 10, 30, 60, 80 and 95% R.H. were investigated. Both the male and female insects showed preference for the dry air (10 & 30% RH) in the humidity gradient irrespective of its position along the gradient. The insects also detected and reacted to humidity differences of 20 & 30% RH when offered a choice of 40–60%; 0–30%; 60–100%; 10–60% and 50–100% relative humidities. The indices of reaction (IR) increased with increase in the differences between the pairs of humidities offered with a peak at 60–100% and 50–100% RH for males and females respectively. The insects survived for an average of 21.1±1.3 days and 5.4±0.2 days at 95% and 10% RH respectively. A highly significant negative correlation (r=–0.926) was obtained between the mortality rates of the insects and the various relative humidities.
Résumé Les réactions du charançon de la noix de cola,Sophrorhinus gbanjaensis, dans des expériences de gradients d'humidité linéaires ou symétriques, ont été étudiées en laboratoire à la température de 26–29°. On a également observé les réponses de l'insecte à des choix entre deux conditions d'humidité différentes, en fonction de l'amplitude des différences proposées et de la position des valeurs de l'H.R. dans la gamme de 10 à 100%. Les effets de la déshydratation et du jeûne sur les réactions des insectes et sur leur survie aux diverses conditions d'humidité relative ont enfin été prises en considérations.Les mâles et femelles montrent une préférence pour les conditions de milieu à faible humidité relative de l'air (10% RH) que ces conditions soient présentées selon un gradient linéaire (de 10% à 100% RH) ou selon un dispositif symétrique (fig. 1 et 2). Cependant les expériences témoins montrent un preferendum pour les sites placés aux extrêmités du dispositif expérimental (fig. 3) ce qui témoigne de l'intervention d'un autre facteur spatial, qui mériterait d'être analysé.Les insectes peuvent déceler des différences d'H.R. de l'ordre de 20 à 30%, et l'indice de reactivité des insectes (IR) croît avec l'amplitude des différences entre les H.R. proposées, le maxima de reactivité se manifestant respectivement pour les zones 60–100% ou 50–100% chez les insectes mâles et les insectes femelles.Les insectes, préalablement soumis à des conditions de déshydration (48h. dans un dessicateur CaCl2) et de jeûne, montrent un fort preferendum pour les zones à forte H.R. (60–100%) du dispositif expérimental. Ce type de réponse, totalement différent de la réaction préférentielle aux basses H.R. telle qu'elle est présentée par les insectes non traités, est ici discuté, sur la base des conditions saisonnières rencontrées par cette espèce au cours de son cycle biologique. Par ailleurs la mortalité des insectes est plus élevée dans les conditions de faible humidité.
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6.
The hardness (i.e. resistance to penetration) of water-saturated polyporus and of various plant structures, determined by a 0.254 mm diameter needle-penetrometer, ranged from 12–50 and 11–112 g/mm respectively. The isolated mandibular stylets of three species of Homoptera (Typhlocyba rosae, Philaenus spumarius, Macropsis fuscula) possessed tapered but non-curved apices while the maxillaries were incurved to varying extents: this condition was reversed in two Heteroptera (Orthotylus ochrotrichus, Tingis cardui) where the mandibulars were incurved and the maxillaries straight. Insertion of the isolated stylets into wet polyporus produced curved paths closely related to the stylet structure with the average radius of curvature of the path decreasing by half in the hard (50 g/mm) compared with the soft (12 g/mm) polyporus. These results are related to published information on the stylet paths of these and related insects when they are feeding. Directional control of the stylets in plant tissue is considered to be primarily a function of the mandibular stylets in the Heteroptera and of the maxillaries in the Homoptera, for species in which the maxillary stylets are independently-moving.
Résumé La dureté (c'est-à-dire la résistance à la pénétration) de petits morceaux de polypore saturés d'eau est évaluée d'après la force nécessaire pour assurer l'enfoncement d'une aiguille d'un diamètre de 0,254 mm; celle-ci est comprise entre 12 et 50 g/mm. La dureté moyenne ainsi établie est évidemment plus grande que celle obtenue avec une aiguille de 0.142 mm; par ailleurs, si le polypore est remouillé, après avoir été séché, il ne montre aucun changement significatif de sa dureté; celle-ci est inversement proportionnelle à la teneur en eau.La dureté de divers organes des plantes, déterminée avec une aiguille de 0,254 mm, varie de 11,3 g/mm (nervure principale d'une feuille de tabac) à 112,2 g/mm (tige de chèvrefeuille), bien que certains tissus puissent avoir des valeurs moyennes bien au-dessus ou bien audessous de celle de l'organe entier. Comme avec le polypore, il y a une relation inverse entre la dureté et la teneur en eau.L'examen des extrêmités des stylets isolés chez trois espèces d'Homoptères et deux espèces d'Hétéroptères, montre que chez les Homoptères les mandibules sont droites et acérées alors qu'elles sont courbes chez les Hétéroptères; la condition inverse s'observe pour les maxilles. La courbure des stylets qui se voit chez l'insecte vivant quand leur extrémité est prolongée au-dela du faisceau, varie avec les espèces. Pour les maxilles, elle est plus grande chez Typhlocyba rosae que chez Philaenus spumarius et Macropsis fuscula (Homoptères), et pour les mandibules, elle est plus grande chez Tingis cardui que chez Orthylus ochrotrichus (Hétéroptères).Des stylets isolés enfoncés dans du polypore tendre ou dur (12 et 50 g/mm respectivement) suivent des trajets courbes en rapport avec la structure des stylets et avec la dureté du substrat.Des résultats publiés pour d'autres espèces d'Hémiptères au sujet de la pénétration des stylets dans les tissus des plantes sont confrontés aux résultats précédents. On en conclut que les trajets sinueux observés pour les stylets des Hétéroptères (O. ochrotrichus et T. cardui) et de petits Homoptères (Typhlocyba rosae) sont surtout le fait des stylets mandibulaires et maxillaires respectivement présentant une courbure. La courbure moins accentuée des stylets maxillaires de plus grands Homoptères (P. spumarius et M. fuscula) est à rapprocher du trajet plus droit des stylets de ces espèces, avec un changement de direction limité aux tissus vasculaires les plus durs.
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7.
Résumé Les auteurs ont étudié le rein de Triturus cristatus carnifex (Laur.) au point de vue anatomique, cytologique et cytochimique. Venant confirmer des données d'auteurs précédents, ils ont signalé la présence dans le rein de cet Urodèle de deux régions, rein génital et rein pelvien, lesquelles diffèrent quant à leur aspect, à la disposition des néphrons et aux rapports que la première de ces région entretient, chez le mâle, avec la gonade. Ils soulignent les différences qui caractérisent les néphrons du rein génital chez les deux sexes.Ce recherches confirment la présence dans le néphron du Triton de cinq segments qui se suivent dans l'ordre ci-après: collet cilié, segment à bordure en brosse que l'on peut diviser en deux tronçons P1 et P2, segment intermédiaire cilié, segment à bâtonnets, segment d'union. De nombreux néphrostomes constituent autant de communications entre les néphrons et le coelome. De ces néphrostomes part un canal néphrostomial souvent assez long, canal qui, après un parcours ondulé, débouche dans un collet. Dans le rein génital du mâle, les néphrostomes font défaut.La position des différents segments du néphron dans le rein correspond à celle observée par d'autres auteurs chez des Urodèles d'espèces différentes: les glomérules, les segment à bâtonnets et les néphrostomes sont situés dans la région ventrale; dans les régions dorsale et dorso-latérale, on trouve au contraire les segments à bordure en brosse; les collets et les segments intérmédiaires sont situés entre ces deux régions.Le diamètre du néphron est variable; il atteint son minimum au niveau du collet et du segment intermédiaire.Dans la région apicale des cellules du collet on a observé des granulations P.A.S. positives qui font défaut dans les autres segments ciliés du néphron (canal néphrostomial et segment intermédiaire). Parmi les activités enzymatiques étudiées, seule la 5-nucléotidase est présente dans le collet.La distribution différente des substances P.A.S. positives et du pigment permet de diviser le segment à bordure en brosse en deux tronçons P1 et P2 qui passent progressivement l'un dans l'autre. Dans P1 le matériel P.A.S. positif est formé de fines granulations presque toujours situées au dessus du noyau — granulations qui sont aussi Hale et F.P. positives — et d'amas irréguliers situés à la base de la cellule et le long des limites cellulaires. Dans P2 les substances P.A.S. positives sont formées par contre de granulations de dimension variable; généralement d'une certaine dimension, ces granulations sont situées en position paranucléaire; elles sont Hale, F.P. positives et nettement acidophiles.Tout le matériel P.A.S. positif mentionné ci-dessus ne semble guère être de nature mucopolysaccharide acide ni de nature glycogénique.Dans P2 on observe des gouttes de pigment jaune-brun, faiblement F.P. positif, pigment qui constitue le caractère le plus typique de ce segment.Dans tout le segment à bordure en brosse les cellules revèlent une faible pyroninophylie cytoplasmatique qui semble légèrement plus accentuée dans P2. Dans P2, et plus particuliérement dans sa moitié distale, on observe de fréquentes images difficiles à préciser au microscope optique; ces images pourraient être attribuées aussi bien à des phénomènes de sécrétion que d'absorption.Le segment à bordure en brosse est le le segment où l'on peut démontrer histochimiquement le plus grand nombre d'activités enzymatiques. On a pu confirmer en effet la présence et la localisation de l'activité phosphatasique alcaline non spécifique aussi bien que de celle acide et décrire la localisation de celles lipasique, glucose 6-phosphatasique et 5-nucléotidasique. L'activité succinodéshydrogénasique et celle ATPasique, au niveau du chondriome, sont très faibles.Le segment intermédiaire cilié est caractérisé par l'absence de substances P.A.S. positives dans ses cellules.Le caractère le plus évident du segment à bâtonnets est fourni par sa richesse en chondriome, par la présence de matériel bleu alcian positif dans quelques-unes de ses cellules, et par l'intensité des réactions ATPasique et succino-déshydrogénasique. Dans le tiers distal de ce segment on peut mettre en évidence une faible activité lipasique.Lors de la discussion, les auteurs insistent tout particulièrement sur les données histochimiques obtenues, notamment en ce qui concerne le comportement des systèmes enzymatiques et le caractère spécifique des réactions obtenues dans le cadre des conditions tecniques adoptées.Recherche conduite et publiée avec une contribution du Consiglio Nazionale delle Ricerche.  相似文献   

8.
Greenhouse and field studies were conducted to determine the mechanisms of resistance (tolerance, antibiosis and antixenosis) in common beans Phaseolus vulgaris L. to the leafhopper Empoasca kraemeri Ross & Moore (Homoptera: Cicadellidae). No antibiosis effects were detected in any of the bean lines investigated. However, in both free choice and no choice tests in the greenhouse, ovipositional antixenosis was detected, and appeared to increase with increasing plant age in resistant bean lines. The results of the field study were similar to those obtained in the greenhouse and suggested that bean line EMP 81 possessed only tolerance as a mechanism of resistance to leafhoppers, while EMP 89, EMP 94, EMP 97 and EMP 82 were non-preferred by ovipositing leafhoppers.
Résumé Des expériences en serres et en champ ont servi à analyser la résistance de P. vulgaris à E. kraemeri. L'importance de l'antibiose dans la résistance à E. kraemeri a été examinée en serre avec 5 variétés résistantes: EMP 81, EMP 82, EMP 89, EMP 94, EMP 97 et un témoin sensible BAT 41, 7 jours après le semis (cotylédons épanouis) et 20–25 j (2 à 3 feuilles). L'examen de la mortalité embryonnaire, du développement larvaire et du poids des larves de 5è stade n'a permis de déceler aucune manifestation d'antibiose sur les différentes variétés.Les préférences pour les lieux de ponte et d'alimentation ont été examinées avec des expériences avec des ou sans choix. Aucune variété n'a été plus rejetée que BAT 41 à 7 et 20–25 j pour l'alimentation. Par contre avec un choix libre, EMP 89 et EMP 97 ont reçu moins de pontes à 7 j que les autres variétés. A 25 j, EMP 89, EMP 94 et EMP 97 portaient moins de larves que BAT 41, EMP 81 ou EMP 82. Cette dernière cependant en l'absence de choix portait moins d'oeufs que BAT 41. L'antixénose de la ponte semble croître avec le développement de la plante pour EMP 89 et EMP 94, bien que la résistance à la ponte ait été plus stable aux fortes populations de E. kraemeri avec EMP 94 que EMP 89.Les résultats en champs, semblables à ceux des serres, ont suggéré que EMP 81 ne présente que la tolérance comme moyen de résistance à E. kraemeri tandis que EMP 89, EMP 94, EMP 97 et EMP 82 n'étaient pas préférentiellement choisis pour la ponte.
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9.
Résumé Etude d'un complexe de sources, situé dans la Plaine du Danube Inférieur (= Plaine Roumaine ou Plains de Valachie), à 100 m d'alt. environ. La station se caractérise par un complexe de facteurs uniques dans ce coin de (Europe: abondance de l'eau phréatique froide sortant à jour sur une surface restreinte, protection efficace grâce à une saulaie compacte, variété des substrats et abondance des sources trophiques. Ces éléments rendent possible l'existence d'une faune relique, comprenant rotifères, tardigrades, coléoptères, trichoptères, hydracariens, etc., espèces ayant ici leur seule station de la Plaine Roumaine. Les espèces qu'on signale dans le travail sont soit formes de montagne, soit à aréal septentrional ou septentrional-occidental, soit, enfin, caractéristiques pour les tourbières d'altitude, souvent même pour les tourbières acides à Sphagnum. On considère la faune du complexe de Corbii Ciungi comme un rests remarquable de la faune aquatique ayant peuplé la Plaine Roumaine antérieurement à la mise en friche sauvage des forêts et à l'extension impétueuse de l'agriculture, phénomènes ayant radicalement transformé ce territoire.  相似文献   

10.
Summary The ultrastructural localizations of alkaline phosphatase (ALPase) and of Na+–K+-dependent adenosine triphosphatase (Na+–K+-ATPase) were studied in the placental labyrinth of the cat during the last days of gestation. ALPase activity could be detected in the syncytiotrophoblast but was absent from maternal tissues. Enzyme activity was observed only along plasma membranes of microvilli and absorption tubules on the maternal surface of the syncytium and also on the podocytes-like cytoplasmic processes of the fetal face. The localization of the Na+–K+-ATPase activity as obtained with the method of Ernst was identical with that of ALPase. This activity was not very ouabaine sensitive or K+ dependent, but was almost completely inhibited by levamisole. The strong ALPase activity of the syncytiotrophoblast does not allow a specific detection of Na+–K+-ATPase. However, the localization of these enzymes activities on syncytiotrophoblast surfaces directly related to fetal and maternal capillaries could suggest that these surfaces are associated with transport mechanisms of the trophoblast.
Activité phosphatase alcaline dans le labyrinthe du placenta de chatte, et problème de la localisation de l'ATPase de transport: étude ultrastructurale
Résumé Les localisations de la phosphatase alcaline (ALPase) et de l'adénosine triphosphatase Na+–K+-dependante (Na+–K+-ATPase) ont été recherchées dans le labyrinthe du placenta de chatte en fin de gestation. L'activité ALPase est localisée de manière discontinue le long de la membrane plasmique du syncytiotrophoblaste: microvillosités et tubules d'absorption de la face maternelle, digitations cytoplasmiques à allure podocytique de la face foetale. La localisation de l'activité Na+–K+-ATPase par la méthode de Ernst est identique à celle de l'ALPase. Cette activité, très peu sensible à la ouabaïne et à l'absence de K+, est presque totalement inhibée par le tétramisole. Cette présence importante d'activité ALPase empêche la mise en évidence spécifique de la Na+–K+-ATPase. La localisation de ces enzymes dans des zones en rapport avec les capillaires foetaux et maternels, permet de soutenir la thèse d'une spécialisation de ces zones dans les mécanismes de transport.
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11.
Gilbert Turian 《Protoplasma》1961,54(3):323-327
Summary The basophilic nuclear cap, main criterion of intracellular differentiation in the gametes ofAllomyces, has been studied as for its origin in the gametangia (ribosomal aggregation process combined with RNA-protein neosynthesis) and its disintegration in the zygotes at germination. At this stage, spatial separation of ribosomal material and phosphatase-positive mitochondria comes to an end through some kind of auxinic incitement. The RNA nuclear cap appears also as contributing some of its material for the DNA doubling preceding first mitosis in the germlings.
Résumé Le corps paranucléaire basophile, principal critère de la différenciation intracellulaire des gamétes d'Allomyces, a été étudié à deux points de vue: 1) son origine: aggrégation de ribosomes préexistants dans les gamétanges, combinée avec une néosynthèse d'ARN-protéines; 2) sa désintégration dans les zygotes en germination, mettant fin à la séparation spatiale du matériel ribosomique et des mitochondries phosphatase +, à la suite de quelque incitation de nature auxinique. La matière ribonucléique du corps paranucléaire paraît contribuer, dans une certaine mesure, au doublement de la teneur nucléaire en ADN intervenant avant la première mitose dans les plantules.
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12.
Field tests on attraction of Caribbean fruit flies to 15×20 cm colored sticky traps releaved a clear preference for orange, followed by yellow and yellow-green. Lower capture rates were obtained for dark green, blue, red, black, and white. Reflectance spectra of painted surfaces were determined and it was noted that fly capture rates were directly related to the proportion of light reflected in the 580–590 nm region. Attraction appeared to depend primarily upon the hue rather than the intensity of emission. Responses to orange were considered to indicate fruit-seeking rather than foliage-seeking behavior because a disproportionate number of females was captured (3:1 : ratio), because foliage normally reflects maximally in the yellow-green rather than the orange region, and because a variety of host fruit reflects strongly in the orange region of the spectrum.
Résumé Des tests sur le terrain concernant l'attraction de la Mouche des fruits des Caraïbes à l'égard de pièges adhésifs colorés mettent en évidence une nette préférence de l'insecte pour la couleur orange, suivie de près par le jaune et le jaune-vert. Les taux de capture les plus faibles ont été obtenus par des pièges de couleur vert-foncé, bleue, rouge, noire et blanche. Le spectre de la lumière réfléchie par les surfaces peintes a été précisé et il a été remarqué que les taux de capture des mouches étaient en rapport direct avec la quantité de lumière réfléchie dans la gamme de 580–590 nm, mais l'attraction semblait dépendre en premier lieu de la couleur plutôt que de l'intensité de l'émission. Les réponses à la couleur orange semblent indiquer un comportement de recherche du fruit plutôt que recherche du feuillage, ceci en rapport avec la capture d'un plus grand nombre de femelles (30/10), et parce que le feuillage réfléchit normalement au maximum dans le jaune vert plutôt que dans l'orange, alors qu'une variété de fruit-hôte de cet insecte réfléchit fortement dans la zone du spectre correspondant à l'orange.
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13.
Summary Anaerobic digestion is an extensively used bioconversion process to produce gaseous fuel from native lignocellulosic materials. It consists essentially of two steps; acidogenesis and methanogenesis. Most conventional anaerobic digesters are single-stage systems. Animal waste, agricultural residues, sewage sludge and industrial effluents are suitable as feedstock. Biogas productivity in single stage digestion ranges from 0.5–1.5 m3/m3/day at mesophilic (20–40°C) and 1.0–2.5 m3/m3/day at thermophilic (40–60°C) temperatures, and about 30–50% of the volatile solids are converted to biogas. In two-stage systems, acidogenesis is separated from methanogenesis, which improves cellulose hydrolysis and process efficiency. Recent advances in digester design include the introduction of the upflow anaerobic sludge blanket, and fluidized-bed and fixed-film bioreactors, which are operated at much higher loading. Process efficiency can be as high as 97%. An overview of these technologies is presented.
Resumen La digestión anaeróbica es un proceso de bioconversión muy utilizado para producir gas combustible a partir de materiales de tipo lignocelulósico. El proceso consta esencialmente de dos etapas acidogénesis y metaogénesis. La mayoría de los digestores de tipo convencional son de una sola etapa. Como material de partida pueden utilizarse residuos dé ganado, agrícolas, lodos de depuradoras y efluentes industriales. La producción de biogás en un digestor de una sola etapa va desde 0.5–1.5 m3/m3 día cuando el proceso transcurre a temperaturas mesófilas hasta 1.0–2.5 m3/m3 día cuando lo hace a temperaturas termófilas, transformándose entre un 30 y un 50% de los sólidos volátiles en biogás. En los sistemas con dos etapas la acidogénesis se separa de la metanogénesis con lo cual se mejora la hidrólisis de la celulosa y por lo tanto la eficiencia del proceso. Entre los recientes adelantos en el diseño de digestores cabe incluir la introducción de una manta de flujo ascendente para fangos anaeróbicos y bioreactores con camas fluidas y de lámina fija que pueden usarse con cargas mayores. La eficiencia del proceso puede llegar entonces hasta 97%. En este trabajo se pasa revista a todas estas nuevas tecnologías.

Résumé La fermentation anaérobie est un procédé de bio-conversion très utilisé pour produire des carburants gazeux à partir de ligno-cellulose. Elle comporte essentiellement deux étapes: acidogenèse et méthanogenèse. La plupart des digesteurs usuels sont des systèmes à un seul étage. Les déchets animaux, les résidus agricoles, les boues d'épandage et certains effluents industriels sont des substrats appropriés. Dans les fermentations à un seul étage, la productivité en bio-gaz varie entre 0,5 et 1,5 m3 par m3 et par jour pour les températures mésophiles (20–40°C) et de 1,0 à 2,5 pour les températures thermophiles (40–50°C); d'autre part environ 30 à 50% des solides volatils sont convertis en bio-gaz. Dans les systèmes à deux étages, l'acidogenèse est séparée de la méthanogenèse, ce qui améliore l'hydrolyse de la cellulose et l'efficacité du procédé. Les progrès récents concernant la structure des fermenteurs comprennent la circulation du dépôt anaérobie et la réalisation de bioréacteurs à lit fluidisé et à film-fixé, ce qui permet d'opérer avec des charges trés supérieures. L'efficacité peut atteindre 97%. Un aperçu de ces nouvelles technologies est présenté dans l'article.
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14.
The responses of male and female Glossina pallidipes Austen to a visual target were recorded in a slow-speed wind tunnel, using a video system. Addition of ox odour or carbon dioxide at an equivalent concentration to the airstream resulted in an increase in flight activity and a marked increase in flies alighting on the visual target. In the absence of ox odour flights were characterised by a number of collisions with the walls and ceiling of the cage used to retain the flies, whereas in the presence of ox odour the flies circled around the centre of the cage avoiding the edges. Removal of the visual target did not alter this response. The results are discussed in the light of field observations on the behaviour of G. pallidipes around baited targets. When flies were observed in groups, mutual disturbance increased the activity during control periods thus masking the activating effect of ox odour. The activity of individual flies occurred in bursts (22.1 s mean duration) consisting of a number of flights (3.3 s mean duration) and longer periods of inactivity (85.8 s mean duration). The burst lenght did not change when ox odour was added to the airstream but the number of flights per burst increased. These results are discussed in relation to the random dispersal theory of tsetse populations.
Résumé Les réactions de G. pallidipes mâles et femelles, à l'odeur de vache, au gaz carbonique et à des stimulations visuelles ont été enregittrées sur un système vidéo, lors d'expériences dans un tunnel à vent à faible vitesse. Les adultes ont été mis à jeûner pendant 3 jours après leur premier repas, avant d'être introduits à l'intérieur du tunnel à vent dans une cage en fil nylon, conçue pour maintenir les mouches dans le champ de la caméra. Dans les premières expériences, 10 mouches ont été observées simultanément. L'introduction d'odeur de vache ou de CO2 n'a augmenté l'activité d'aucun des deux sexes, mais a brutalement accru le nombre de vols s'achevant sur une cible mate noire. Une étude plus précise et continue pendant 60 minutes, de groupes de 5 mâles et de 5 femelles, a révélé que les envols n'étaient pas indépendants et que les perturbations mutuelles avaient masqué l'action stimulante de l'odeur de vache et du CO2. Pour surmonter le problème des perturbations mutuelles, les mouches ont été observées individuellement. Mâles et femelles ont répondu par une augmentation de l'activité de vol à l'introduction d'odeur de vache dans le courant d'air. Les mâles ne se sont posés sur les cibles que dans les minutes ayant suivi l'addition d'odeur de vache, tandis que les femelles se sont posées tout le long de l'expérience, le nombre d'atterrissages s'étant accru significativement avec l'addition d'odeur de vache. L'odeur de vache a modifié le type de vol, passant du vol au hasard entraînant de nombreuses collisions avec les parois et le plafond de la cage, à un vol plus direct provoquant le tournoiement des mouches dans la cage. Par ailleurs, ce comportement a subsisté après le retrait des cibles mates noires de la cage. On peut en conclure que l'odeur de vache active les femelles et augmente la perception visuelle du paysage. L'activité de G. pallidipes avait lieu avec de brêves poussées (durée moyenne 22,1 secondes) de nombreux vols, suivies de périodes d'inactivité plus longues (durée moyenne 85,8 secondes). La durée moyenne d'un vol était de 3,3 s. Partant de ces données et d'une vitesse de vol estimée à 5,0 m/s, la longeur d'un vol élémentaire pour une dispersion théoriquement au hasard, est 16,5 m. La durée de la poussée d'activité n'a pas changé avec l'introduction d'odeur de vache, mais le nombre de vols par poussée a augmenté, et bien qu'il ait été impossible de comparer la durée des périodes de repos avec et sans odeur, des expériences précédentes suggèrent qu'elles devraient diminuer en présence d'odeur.
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15.
Phenological and genetic observations were made during two outbreak seasons on a population of the fall cankerworm, Alsophila pometaria Harris (Lepidoptera, Geometridae), at Beltsville, Maryland, U.S.A. As in intensively-studied populations 300 km to the northeast on Long Island, new York, this population consisted mostly of asexual females requiring conspecific mating to reproduce. The estimated fraction of outcrossing (15–20%), however, was several times that typical for Long Island. Numerous intersexes were found, concentrated in a few families, suggesting that pseudogamy is controlled by more than one heritable factor. The genetic diversity and ecological heterogeneity among asexual females in the Maryland population appear similar to that on Long Island, but there is little overlap in common axexual genotypes. Electromorph frequencies at three loci in males, by contrast, show little geographic variation. The adult activity period is later and longer in Maryland than in colder parts of the range.
Comparaison de population géographiques d'Alsophila pometria
Résumé Au cours d'une pullulation d'Alsophila pometaria, à Beltsville, Maryland, U.S.A, nous avons contrôlé les émergences des papillons pendant deux saisons, échantillonné les sexes et les génotypes par électrophorèse pour quatre loci, puis nous avons examiné l'héritabilité de ces marqueurs électrophorétiques dans la descendance élevée au laboratoire. Comme pour les populations étudiées avec précision à 300 km au N.E à Long Island, New York, cette population comprenait essentiellement des femelles asexuées exigeant des accouplements conspécifiques pour se reproduire. Environ 15% de la descendance examinée présentait une ségrégation, contre 5% ou moins à Long Island. De nombreux intersexués élevés à partir des populations de Maryland et de New York, se trouvaient uniquement dans quelques lignées, ceci suggère que le rejet des spermatozoïdes et la diploïde des oeufs qui caractérise la pseudogamie, ont des déterminismes génétiques séparés. La diversité des femelles asexuées de la population de Beltsville, dominée par quatre génotypes asexués, paraît semblable à celle de Long Island, mais les clones similaires se chevauchent très peu. Par contre, les fréquences allèliques de tois loci sont presque identiques chez les mâles de deux localités. Les fréquences génétiques des chenilles diffèrent pour des échantillons prélevés à quelques kilomètres de distance sur des hôtes différents dans la même population; il en est de même pour des femelles prélevées à différentes époques. Tout ceci suggère une hétérogénéité écologique parmi les clones, comme cela a été suggéré pour Long Island. La période d'activité des adultes est plus tardive, plus marquée et plus longue au Maryland que dans les parties les plus froides de l'aire; elle s'étend de décembre à mars, avec les captures les plus fortes en janvier et février.
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16.
The impact of nodules of Rhizobium on Sitona hispidulus (F.) developmental success was investigated in both laboratory and field situations. In the laboratory, alfalfa (Medicago sativa L.) and red clover (Trifolium pratense L.) were grown with two nutrient solutions, one of which fostered and one of which inhibited nodulation. Neonate larvae were introduced onto the roots and survivorship and development monitored. Survivorship was greatly enhanced by the presence of nodules. Preference tests performed with neonate larvae indicated a strong attraction to root nodules. Field studies which used nitrogen fertilization to delay onset of nodulation in established alfalfa demonstrated that numbers of larvae and emerging adults were significantly lower in the nitrogen treated plots than in the control plots.
Résumé L'influence des nodosités rhizobiales sur le développement et la survie de Sitona hispidulus a été étudiée en intervenant sur la nodulation de la plante. Au laboratoire, la luzerne (Medicago sativa) et le trèfle rouge (Trifolium pratense) se sont développés dans des pièces climatisées sur un substrat de sable/vermiculite et sur deux types de solutions nutritives (l'une avec azote, l'autre sans azote). La présence d'azote inhibe la nodulation des racines inoculées avec du Rhizobium. Des larves néonates ont été placées sur des racines et examinées après plusieurs semaines de croissance. La présence de nodules a eu un effet hautement significatif sur la survie larvaire. De plus, la présence de nodosités a effecté le développement larvaire, en augmentant le taux de développement sur luzerne et en le réduisant sur trèfle. Une expérience destinée à examiner la rapidité d'agrégation des larves néonates sur des racines nodulées ou non, révèle une forte préférence pour les racines à nodosités.Des expériences dans la nature ont permis de retarder la nodulation de la luzerne en dormance pendant l'hiver par apports d'azote; l'échantillonnage des larves et des émergences d'adultes a indiqué une diminution significative des populations dans les parcelles ayant reçu de l'azote.
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17.
Résumé Certains stades juvéniles de charançons des céréales du genreSitophilus ont été soumis à un séjour prolongé dans des compositions gazeuses modifiées par le dioxyde de carbone (CO2).Les auteurs se sont placés dans des conditions de teneur en CO2 constante (50%), associée à des teneurs en oxygène comprises entre 4 et 20%, pour étudier les conditions d'une synergie entre l'effet spécifique du CO2 et la présence d'une forte teneur résiduelle en oxygène. Les effets ont été observés sur les stades juvéniles les plus évolués (larves et nymphes) des espècesS. oryzae (L.) etS. granarius (L.), (Coleoptera: Curculionidae).L'accroissement de la vitesse de mortalité chezS. oryzae est significative avec l'augmentation de la pression partielle d'oxygène. Cet effet de synergie provoqué par l'oxygène n'est pas significatif avecS. granarius, bien qu'il existe aussi avec cette espèce une tendance à l'amélioration de l'efficacité insecticide à court terme avec les mélanges à forte teneur résiduelle en oxygène.Il en est déduit des hypothèses sur les effets des mélanges gazeux à composition modifiée par le CO2 au niveau de la physiologie générale de ces insectes, qui est très difficile à appréhender directement à cause du mode de développement des stades juvéniles des charançons (formes cachées dans le grain).  相似文献   

18.
Olives of three varieties were oviposited in by females ofDacus oleae. A few hours or a day later, they were treated with streptomycin sulphate in tap water.Immersion for 20 and 120 min in 0.3 and 1% streptomycin sulphate of Koutsourelia olives inhibited larval growth in most fruits, while for 0.2 min it did not. Immersion at 30°C caused generally more inhibition than at 20°.In Koutsourelia and Megaritiki olives, the addition of 0.1, 0.3, and 1% K2HPO4 or 0.7 and 2% glycerol at 22°–23°, did not cause significantly more inhibition.Topical application of drops of 1% streptomycin sulphate to Megaritiki and Konservolia olives was inhibitory only when the drop covered the oviposition hole.
Résumé Des olives de trois variétés ont été collectionnées à des dates différentes d'août à octobre 1972 et 1973, et ont reçu des ufs deDacus oleae (Gmelin). Quelques heures ou un jour après la ponte, les olives furent traitées à 0,3 et 1% de sulfate de streptomycine dans l'eau, avec ou sans Agral 90 (un produit dispersant-mouillant).Les olives de la variété Koutsourelia, recoltées au début d'octobre 1972, ont été immergées pendant 0,2, 20 et:120 minutes dans des solutions aqueuses de sulfate de streptomycine contenant 0, 0,3 et 1% de l'antibiotique, et cela à deux températures (20° et 30°). Une immersion brève de 0,2 minutes n'était pas assez longue pour inhiber le développement larvaire dans la plupart des fruits, sauf si on ajoutait l'Agral 90. Sans Agral 90 une immersion de 20 minutes fut approximativement aussi effective que celle de 120 minutes. A 30°, une solution à 0,3% de sulfate de streptomycine fut presque aussi effective que celle à 1%. En général, l'inhibition du développement larvaire à 30° fut plus grande qu' à 20°.Des fruits de la même variété furent immergés momentanément, où pendant 20 et 60 minutes dans des solutions de 0,3 et 1% de sulfate de streptomycine, avec ou sans K2HPO4 (0,1, 0,3 et 1%) ou 0,7 et 2% glycerine, à une température de 22°–23°. Le développement larvaire fut inhibé dans un grand pourcentage des fruits traités, sans différences significatives entre les traitements, à l'exception d'un cas d'immersion momentanée. Les résultats avec des olives d'une autre variété, Megaritiki, recoltées à mi-septembre, furent, en général, à peu près les mêmes.D'autres olives ont reçu des gouttes de 1% de sulfate de streptomycine. Le développement larvaire fut inhibé dans un pourcentage élevé des fruits, 1) quand une goutte de solution a été placé sur le trou de ponte et 2) quand le fruit entier a été immergé dans la solution qui contenait aussi l'Agral 90 (traitement de référence). Quand l'entrée du trou de ponte était paraffiné, quand les gouttes étaient placées quelques mm vens l'apex du fruit ou autour du trou et quand la moitié du fruit ne contenant pas le trou fut immergée dans la solution de streptomycine, le développement larvaire ne fut sensiblement pas inhibé. De même il n'y eut pas d'inhibition nette du développement larvaire quand les olives étaient en contact continu avec du coton saturé avec 1 et 5% de sulfate, de streptomycine.
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19.
Juvenile praying mantids are faced with a wide variety of prey types, including physiologically harmful ones. How they respond to these prey, behaviorally and physiologically, is examined in this study. By adapting a technique developed by Blau et al. (1978) for herbivorous insects, we determined the deterrence and toxicity of unpalatable prey. Artificial diets containing different percentages of cardenolide-containing prey were offered to third instar juveniles. When fed diets containing small proportions of unpalatable milkweed bugs (Oncopeltus fasciatus Dallas), juvenile mantids (Tenodera sinensis Saussure) showed a slight decrease in consumption and growth. In contrast, with an intermediate proportion of milkweed bugs in the diet, feeding was not inhibited and, correspondingly, a marked reduction in growth rate occurred. Yet higher proportions of milkweed bugs in the diet acted primarily as a feeding deterrent. Mantids from different egg cases responded differently to the same range of milkweed bug diets. This variation was evident both in acceptance of the novel diet and in relative consumption rates.
Résumé De jeunes mantes ont été mises en présence d'une grande diversité de proies, y compris certaines physiologiquement nocives. La pénurie alimentaire peut être sévère dans la nature pour les jeunes mantes (Hurd & Rathet, 1986), et par conséquent, elles peuvent attaquer la plupart des proies rencontrées. Nous avons examiné comment les mantes réagissent éthologiquement et physiologiquement aux proies toxiques. A partir de la technique utilisée par Blau & al (1978) pour des insectes herbivores, nous avons examiné l'effet dissuasif et la toxicité de proies au goût désagréable. Des régimes artificiels avec différents pourcentages de proies contenant des cardénolides ont été proposés à des juvéniles de stade 3. Les courbes de l'efficacité de la croissance (taux de croissance relative en fonction du taux de consommation relative) pour différents lots traités ont été comparées à une courbe de référence (régime artificiel témoin ne contenant pas de cardénolides) en accord avec Blau et al. (1978). Les courbes significativement plus basses que la courbe de référence indiquent une efficacité de croissance inférieure et ainsi un effet toxique. Les individus de ces groupes ont consommé autant que les témoins, mais leur croissance a été inférieure. A l'opposé, quand les proies contenant des cardénolides étaient répulsives, la distribution de RGR/RCR coïncide avec la courbe de référence, mais montre des valeurs de RCR plus faibles. Ainsi les réponses des mantes indiquent les propriétés dissuasives ou toxiques de ces régimes.Quand elles consommaient des régimes contenant de faibles proportions de Oncopeltus fasciatus Dallas au goût désagréable, les mantes juvéniles, Tenodera sinensis Saussure ont présenté une légère diminution de la consommation et de la croissance. A l'opposé, avec une proportion intermédiaire de O. fasciatus dans le régime, la consommation n'a pas été inhibée et une réduction marquée du taux de croissance a été observée. De plus, il y a eu un effet compensateur des concentrations intermédiaires de O. fasciatus dans le régime alimentaire avec augmentation de la consommation, lorsque cette dernière n'est pas fortement inhibée et que l'on observe un effet immédiat sur la croissance. De plus fortes proportions de O. fasciatus dans le régime alimentaire agissent d'abord comme répulsif. Les mantes de différentes oothèques réagissent différemment, tant en ce qui concerne l'acceptation que les taux de consommation à la même gamme de régimes contenant O. fasciatus. Une des 3 oothèques acceptait deux fois moins le nouveau régime que les deux autres oothèques; 2 des 3 oothèques ont présenté des taux de consommation respectivement de la moitié et du dixième de la troisième oothèque.
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20.
Callosobruchus maculatus (F.) is a tropical insect (Coleoptera: Bruchidae) that develops in Vigna unguiculata (Walp) seeds. In this beetle, there are two distinct adult forms that differ in their morphology, physiology and behaviour, the flight form and the flightless form. The development of C. maculatus is analyzed in a traditional store in Niger. During the dry season, 6 to 7 generations of the flightless form develop in the store. When the atmospheric water content increases during the rainy season, adults of the flight form appear and escape from the store. Experimental studies have shown that the adult polymorphism is induced during post-embryonic development and depends on prevailing abiotic factors during this period. The proportion of flight from adults is high when larvae develop in moist seeds (14–15% of water content). Under dry conditions (6–7% of water content) only flightless adult forms emerge from the seeds. Temperatures during development also influence adult polymorphism. In thermoperiodic conditions with 12–13% seed water content, the proportion of flight from adults increases with increasing duration of the thermophase. However, at low temperatures, a high proportion of flightless adult forms emerge, regardless of seed water content. The adaptive importance of these two abiotic factors on polymorphism induction is examined in this study.
Résumé Callosobruchus maculatus (F.) est un Coléoptère Bruchidae tropical qui se développe aux dépens des graines de Vigna unguiculata. Les adultes présentent un polymorphisme; il y a en effet deux formes, la forme voilière et la forme non voilière, distinctes par des critères morphologiques, physiologiques et comportementaux. L'évolution des populations de C. maculatus a été suivie pendant toute la saison sèche et le début de la saison des pluies dans la région de Niamey au Niger (13° LN) à l'intérieur d'un grenier traditionnel. Pendant toute la saison sèche, 6 à 7 générations de C. maculatus de la forme non voilière se succèdent à l'intérieur du grenier. Les adultes de la forme voilière, très actifs, apparaissent surtout au cours de la saison des pluies lorsque la teneur en eau de l'atmosphère et la teneur en eau des graines augmentent. Les études expérimentales réalisées au laboratoire montrent que le polymorphisme imaginal est induit au cours du développement post-embryonnaire et dépend des conditions climatiques dans lesquelles celui-ci a lieu. Le taux d'adultes de la forme voilière est élevé lorsque les larves se développent dans des graines à forte teneur en eau (14 ou 15%). Lorsque la teneur en eau des graines est faible (6 à 7%), il n'y a émergence que d'adultes de la forme non voilière. Lorsque la teneur en eau des graines est comprise entre 12 et 13%, le taux d'adultes de la forme voilière s'accroit et varie avec la durée de la thermophase. A basse température il y a toujours émergence d'adultes de la forme non voilière, quelle que soit la teneur en eau des graines. L'influence de ces deux facteurs abiotiques sur l'induction du polymorphisme imaginal joue probablement un rôle important dans les mécanismes adaptatifs permettant le maintien de cette espèce en zone tropicale.
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