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1.
Summary Autoradiograms of mouse pituitaries were prepared 30 min after injection of 3H-dexamethasone (3HDM), 3H-corticosterone (3HB) and 3H cortexolone (3HS) either alone or in the presence of competing unlabelled steroids. 3H-dexamethasone accumulated in cell nuclei of both the pars distalis and the pars nervosa but not in those of the pars intermedia. This preferential accumulation (nuclear/cytoplasmic grain density, 41) was abolished by the concurrent administration of excess dexamethasone. 3H-corticosterone, to a much less marked extent than 3H-dexamethasone, accumulated in cell nuclei of the pars distalis but not in those of the pars intermedia and the pars nervosa. Excess unlabelled corticosterone diminished nuclear grain density in the pars distalis. After 3H-cortexolone injection, preferential nuclear uptake was not observed. In a second series of experiments, excess dexamethasone (10 x, 100 x), corticosterone (100 x, 300 x) and cortexolone (100 x, 300 x) administered with 3H-dexamethasone were without effect on cytoplasmic grain density but totally abolished preferential nuclear accumulation. Parallel biochemical studies on kidney cytoplasmic preparations from the same animals showed no differences in total cytoplasmic radioactivity between treatments but marked differences in cytoplasmic bound 3H-dexamethasone. The results demonstrate: i) that dexamethasone binds specifically to cell nuclei of the pars distalis and the pars nervosa and that this nuclear concentration is abolished by competing corticosterone and cortexolone as well as dexamethasone; ii) that corticosterone localizes in cell nuclei of the pars distalis but much less markedly than dexamethasone; iii) that cortexolone fullfils the criteria of a glucocorticoid antagonist at the pituitary cell level.
Résumé La localisation au niveau de l'hypophyse de souris de la 3H-dexaméthasone (3HDM), de la 3H-corticostérone (3HB) et de la 3H-cortexolone (3HS) est étudiée par autoradiographie 30 min après l'injection des composés tritiés seuls ou en présence de stéroides compétiteurs non radioactifs. La 3H-dexaméthasone s'accumule dans des noyaux cellulaires de la pars distalis et de la pars nervosa mais pas dans des noyaux de la pars intermédia. Cette accumulation préférentielle (densité des grains d'argent nucléaire/cytoplasmique: 4/1) est abolie par l'injection de 3H-dexaméthasone en présence de dexaméthasone non radioactive. La 3H-corticostérone se concentre avec une intensité beaucoup plus faible que la 3H-dexaméthasone uniquement dans certains noyaux de la pars distalis. Un excès de corticostérone non radioactive diminue la densité nucléaire des grains d'argent des cellules de la pars distalis. Après injection de 3H-cortexolone, aucune accumulation préférentielle de grains d'argent n'est observée dans les noyaux cellulaires. Dans une seconde série d'expériences, la 3H-dexaméthasone est injectée soit en présence d'excès de dexaméthasone (10x, 100x) ou de corticostérone (100x, 300x) ou de cortexolone (100 x, 300 x). Dans ces conditions, la densité cytoplasmique des grains d'argent n'est pas différente de celle observée après injection de 3H-dexaméthasone seule mais l'accumulation préférentielle de la radioactivité dans les noyaux cellulaires est abolie. Des études biochimiques parallèles effectuées sur des préparations cytoplasmiques de rein des mêmes animaux montrent que la radioactivité cytoplasmique totale ne varie pas tandis que la liaison cytoplasmique de la 3H-dexaméthasone diffère suivant les traitements. Ces résultats montrent i) que la dexaméthasone se fixe spécifiquement dans des noyaux cellulaires de la pars distalis et de la pars nervosa et que cette fixation nucléaire est abolie aussi bien par des excés de corticostérone ou de cortexolone que par des excès de dexaméthasone, ii) que la corticostérone se localise dans des noyaux cellulaires de la pars distalis mais beaucoup moins intensément que la dexaméthasone, iii) que la cortexolone se comporte comme un antagoniste des glucocorticoides au niveau de la cellule hypophysaire.
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2.
Bésumé La décomposition profonde des roches dans les tropiques humides exerce une grande influence sur l'écologie de la végétation tropicale. L'épaisseur des couches de sol peut atteindre à peu près 20 mètres dans l'Etat de Saint Paul (Brésil). Elle permet la constitution de réserves d'eau considérables dans les couches inférieures du sol.Cette réserve, alimentée par les pluies de l'été, ne s'épuise pas facilement dans la saison sèche, de sorte qu'une végétation relativement hygrophile, en particulier forestière se maintient en bon état pendant toute la période sèche.Une conséquence moins favorable est le lessivage des sols par les fortes précipitations. Les sols tropicaux s'opposent moins à la lixiviation que ceux des climats tempérés. Ainsi, une grande quantité de sels disparaît en profondeur inaccessible aux racines les plus profondes. Par la même raison, les racines ne peuvent compenser les pertes du lessivage en récuperant des ions de la roche mère. Après le déboisement surtout le contact des racines profondes avec les roches est interrompu. Les nouvelles plantations, aux plantes faiblement enracinées, n'établissent plus ce contact; l'ensemble de ces phénomènes explique la détérioration rapide des terres tropicales, après le déboisement de la forèt vierge.Des photographies prises à Campos do Jordâo-région montagneuse d'une hauteur d'environ 1.800 mètres-montrent la décomposition des roches. Les couches visibles sur les photos 1–4 sont attribuées à la formation de S. Roque (Algonkien). L'amollissement du matériel se reconnaît à la manière dont il est travaillé (fig. 1 et 2). Parfois, un filon de quartz est le seul indice indiquant qu'il s'agit de matériel décomposé in loco (fig. 3 et 4).La décomposition profonde ne peut pas être expliquée par des grandes variations de temperature, puisqu'elle s'effectue dans des profondeurs où les températures sont à peu près constantes. Elle ne peut être due non plus aux températures élevées des régions tropicales, puisque dans les montagnes de Campos do Jordâo la moyenne annuelle de la température correspond, à peu près, à 12°C. La richesse des eaux tropicales en H2CO3 pourra être invoquée difficilement, car on observe aussi une forte attaque des roches siliceuses comme les foyaites dans les montagnes de l'Itatiaya vers 2400 m. d'altitude (fig. 5, 6). L'érosion est due aux eaux de pluie et l'eau de pluie stagnante creuse des trous (fig. 5). Peut-être la richesse des précipitations tropicales en HNO2 (tableau 2) en est la cause; l'oxydation du fer bivalent produirait l'amollissement rapide des roches aussi bien dans le climat tempéré des montagnes tropicales que dans les plaines basses et chaudes.

Manuskript eingegangen am 23-IV-1949.  相似文献   

3.
Résumé Les auteurs ont étudié quelques enzymes de la chaîne ganglionnaire chezEisenia foetida.La recherche histochimique a permis de révéler la présence dans les pyrénophores des cellules nerveuses d'une réaction positive pour la phosphatase acide, pour l'ATPase, pour la succino-déshydrogénase, pour la cytochrome-oxydase et pour les estérases. L'acétylcholinestérase est sourtout concentrée au niveau du tissu conjonctif de la chaîne ganglionnaire qui forme une gaine épaisse autour des neurocordes et qui enveloppe les pyrénophores ainsi que les différents faisceaux de fibres nerveuses. Dans le cas de tous les enzymes que les auteurs ont pris en considération, l'axoplasme des neurocordes, qui est pauvre en organules cellulaires et très fluide, ne révèle, même lorsque les fibres nerveuses du neuropylème présentent une activité assez nette (phosphatase acide, succino-déshydrogénase), aucune réaction ou, tout au plus, une réaction très faible. Les auteurs discutent les résultats auxquels ils ont abouti en les comparant `a ceux qu'ont obtenus d'autres auteurs qui ont étudié le système nerveux de certains Vertébrés ou Invertébrés.Avec 6 Figures dans le TexteL'agencement du travail est dû à A.Guardabassi.  相似文献   

4.
Résumé L'hypophyse intermédiaire deRana esculenta, se compose de deux zones distinctes: une zone externe formée de cellules glandulaires d'aspect normal, une zone interne constituée de cellules à globules.Son innervation est assurée par un faisceau d'axones d'origine hypothalamique qui se subdivise dans l'angle rostro-ventral en deux groupes de fibres distinctes. Le premier groupe se termine sur les capillaires de cette zone, les fibres du deuxième groupe se terminent au contact des cellules glandulaires. Elles sont nombreuses dans la zone interne, moins abondantes dans la zone externe. D'après leurs caractères morphologiques et cytologiques, on distingue 3 types de fibres: des axones neurosécréteurs à grains d'environ 1000 à 1800 Å de diamètre (type 1), des terminaisons à grains de 550 à 950 Å de diamètre (type 2) et des terminaisons pratiquement dépourvues de grains (type 3).Après l'injection de DL noradrénaline H3 et étude autoradiographique au microscope électronique, les terminaisons de type 2 à fines granulations se marquent intensément tandis que les fibres du type 1 et du type 3 ne présentent pas de marquage. Cette méthode met en évidence les fibres aminergiques dont le rôle est discuté.
Innervation of thePars intermedia ofRana esculenta and identification of aminergic fibres by autoradiography in electron microscopy
Summary In thepars intermedia ofRana esculenta, two zones may be distinguished: an external zone with normal glandular cells and an internal zone with large globular cells.The innervation is assumed by a hypothalamic nervous tract which divides in two distinct bundles: The first group of terminals innervates the capillaries in the rostro-ventral corner of thepars intermedia. The second one penetrates the glandular parenchyma where they are numerous in the internal zone and less numerous in the external zone.On the basis of their morphological and cytological characteristics three kinds of fibres are distinguished: neurosecretory axones with granules of about 1,000 to 1,800 Å in diameter (type 1) terminals with fine granules of 550 to 950 Å, (type 2) and terminals without granules (type 3).After injection of DL noradrenaline H3 and autoradiography on electron microscopy, the type 2 terminals with fine granules are strongly labeled while type 1 and type 3 fibres are devoid of labeling. The fixation of DL noradrenaline H3 demonstrates the aminergic fibres the function of which is discussed.
Avec la collaboration technique de Mme Y. Rohr et de M. C. Chevalier.  相似文献   

5.
Postillumination CO2 fixation by wheat leaves was studied following light-limited photosynthetic conditions. Dark CO2 fixation showed two phases differing by their rates of CO2 uptake and carbon metabolism. These two phases are related to preillumination light flux density. During the first 30s of darkness, assimilated CO2 was found in PGA, alanine, malate and aspartate. After 5 min of darkness, it was additionally found in phosphorylated sugars.The lack of labelling of glycolate pathway intermediates shows that the Calvin cycle cannot run in the dark.The synthesized compounds indicate that reducing power but not ATP is available after turning the light off. This observation suggests that during pre-illumination, when light strictly limits photosynthesis, ATP supply would be the first limiting factor.
Résumé La fixation post-illuminatoire de CO2 par des feuilles de blé est étudiée, après une période de photosynthèse en lumière limitante.Les cinétiques de la vitesse de fixation du CO2 après extinction présentent deux phases, se différenciant par la vitesse de fixation du CO2 et par les voies métaboliques suivies par le carbone.Pendant les premières 30s d'obscurité, le CO2 fixé est retrouvé principalement dans le PGA, l'alanine, le malate et l'aspartate. Après 5 min d'obscurité le carbone est retrouvé également dans les esters phosphorylés des oses.L'absence de radioactivité dans les intermédiaires de la voie du glycolate indique que le cycle de Calvin ne peut pas fonctionner á l'obscurité.Les composés synthétisés à l'obscurité suggèrent que du pouvoir réducteur est disponible. Par contre l'ATP ne l'est pas. Ainsi, durant la période de pré-illumination oú la lumière était strictement limitante la disponibilité en ATP serait le premier facteur limitant l'assimilation du CO2.
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6.
Résumé Les auteurs ont étudié le rein de Triturus cristatus carnifex (Laur.) au point de vue anatomique, cytologique et cytochimique. Venant confirmer des données d'auteurs précédents, ils ont signalé la présence dans le rein de cet Urodèle de deux régions, rein génital et rein pelvien, lesquelles diffèrent quant à leur aspect, à la disposition des néphrons et aux rapports que la première de ces région entretient, chez le mâle, avec la gonade. Ils soulignent les différences qui caractérisent les néphrons du rein génital chez les deux sexes.Ce recherches confirment la présence dans le néphron du Triton de cinq segments qui se suivent dans l'ordre ci-après: collet cilié, segment à bordure en brosse que l'on peut diviser en deux tronçons P1 et P2, segment intermédiaire cilié, segment à bâtonnets, segment d'union. De nombreux néphrostomes constituent autant de communications entre les néphrons et le coelome. De ces néphrostomes part un canal néphrostomial souvent assez long, canal qui, après un parcours ondulé, débouche dans un collet. Dans le rein génital du mâle, les néphrostomes font défaut.La position des différents segments du néphron dans le rein correspond à celle observée par d'autres auteurs chez des Urodèles d'espèces différentes: les glomérules, les segment à bâtonnets et les néphrostomes sont situés dans la région ventrale; dans les régions dorsale et dorso-latérale, on trouve au contraire les segments à bordure en brosse; les collets et les segments intérmédiaires sont situés entre ces deux régions.Le diamètre du néphron est variable; il atteint son minimum au niveau du collet et du segment intermédiaire.Dans la région apicale des cellules du collet on a observé des granulations P.A.S. positives qui font défaut dans les autres segments ciliés du néphron (canal néphrostomial et segment intermédiaire). Parmi les activités enzymatiques étudiées, seule la 5-nucléotidase est présente dans le collet.La distribution différente des substances P.A.S. positives et du pigment permet de diviser le segment à bordure en brosse en deux tronçons P1 et P2 qui passent progressivement l'un dans l'autre. Dans P1 le matériel P.A.S. positif est formé de fines granulations presque toujours situées au dessus du noyau — granulations qui sont aussi Hale et F.P. positives — et d'amas irréguliers situés à la base de la cellule et le long des limites cellulaires. Dans P2 les substances P.A.S. positives sont formées par contre de granulations de dimension variable; généralement d'une certaine dimension, ces granulations sont situées en position paranucléaire; elles sont Hale, F.P. positives et nettement acidophiles.Tout le matériel P.A.S. positif mentionné ci-dessus ne semble guère être de nature mucopolysaccharide acide ni de nature glycogénique.Dans P2 on observe des gouttes de pigment jaune-brun, faiblement F.P. positif, pigment qui constitue le caractère le plus typique de ce segment.Dans tout le segment à bordure en brosse les cellules revèlent une faible pyroninophylie cytoplasmatique qui semble légèrement plus accentuée dans P2. Dans P2, et plus particuliérement dans sa moitié distale, on observe de fréquentes images difficiles à préciser au microscope optique; ces images pourraient être attribuées aussi bien à des phénomènes de sécrétion que d'absorption.Le segment à bordure en brosse est le le segment où l'on peut démontrer histochimiquement le plus grand nombre d'activités enzymatiques. On a pu confirmer en effet la présence et la localisation de l'activité phosphatasique alcaline non spécifique aussi bien que de celle acide et décrire la localisation de celles lipasique, glucose 6-phosphatasique et 5-nucléotidasique. L'activité succinodéshydrogénasique et celle ATPasique, au niveau du chondriome, sont très faibles.Le segment intermédiaire cilié est caractérisé par l'absence de substances P.A.S. positives dans ses cellules.Le caractère le plus évident du segment à bâtonnets est fourni par sa richesse en chondriome, par la présence de matériel bleu alcian positif dans quelques-unes de ses cellules, et par l'intensité des réactions ATPasique et succino-déshydrogénasique. Dans le tiers distal de ce segment on peut mettre en évidence une faible activité lipasique.Lors de la discussion, les auteurs insistent tout particulièrement sur les données histochimiques obtenues, notamment en ce qui concerne le comportement des systèmes enzymatiques et le caractère spécifique des réactions obtenues dans le cadre des conditions tecniques adoptées.Recherche conduite et publiée avec une contribution du Consiglio Nazionale delle Ricerche.  相似文献   

7.
Resume Une étude de la microrártition de la population de truite commune (Salmo trutta L.) et du juvénile de Saumon atlantique (Salmo salar L.) associée aux autres espès préntes est effectuée en fin d'été dans la partie amont du Scorff (distance source-estuaire 65 km).La population de saumon est composée uniquement d'individus d'âge 0+ alors que les truites ont entre 0+ et 3+ ans avec une majorité pour la classe d'âge des 1+ an. La densité de saumon augmente avec la vitesse de courant (r = 0,99) et la taille de la granulométrie du substrat. Un habitat trés favorable à l'espèce se caractérise par une faible profondeur (> 23 cm), une vitesse de courant élevée (61 cm/ s) et un substrat caillouteux. 75,4% de la population est recensée en plein courant.L'effet rive, est particulièrement important pour la truite quelque soit son âge (80,1%). L'absence de la truite 0+ du faciés à courant élevé et sa localisation près des berges dans les zones courantes (41 cm/ s) peu profondes entraînent une ségrégation spatiale avec le saumon de même âge. La truite d'au moins un an est présente dans des milieux plus profonds (27 cm) à vitesse de courant nulle à moyenne (< 28 cm/ s). L'effet rive est renforcée par la présence de nombreux courants en berge.Parmi les espéces d'accompagnement, le chabot a la distribution la plus large. La loche et la lamproie de Planer sont les espéces les plus abondantes et ont des densités très élevées dans des secteurs caractéristiques.L'ensemble de ces résultats est discuté en liaison avec les premières observations concernant la distribution de ces espèces sur le cours principal du Scorff.
We describe the microdistribution of populations of Brown Trout (Salmo trutta L.) and of juvenile atlantic Salmon (Salmo salar L.) in the upstream part of the Scorff river (Brittany) at the end of summer.The Salmon population was composed of one age classe (0+) only while Trout age varied from 0+ to 3+ years, with a majority in age class 1+. Salmon density increased with current velocity (r = 0.99) and the nature of the substratum. A very favorable habitat for this species was characterized by reduced depth (< 23 cm), a high current velocity (61 cm s 1) and a stony substrate. The largest part of the population (74%) was localized in the centre of the running open water.A bank effect was particularly important for brown trout, irrespective of age (80.1%). The trout 0+ is absent from shallow rifles and its presence in the few deep running water areas (41 cm s–1) along the banks involved a spatial segregation with salmon 0+. The trout of one year and older were localized in deeper habitats (27 cm) with zero to medium current velocity (< 28 cm s–1). The bank effect was intensified by the presence of many overhangs along the bank.Among the secondary species, sculpin had the widest distribution, but Stone-loach and brook lamprey were the most abundant species and reached high densities in characteristic areas.
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8.
Résumé 58 échantillons de sol sont collectés dans des parcelles cultivées en blé du Centre et de l'Ouest de la France. Ces sols sont répartis en pots, infestés ou non par une souche agressive ou hypoagressive deGaeumannomyces graminis var.tritici et cultivés en blé pendant 3 mois. Les plantes sont alors arrachées pour appréciation du niveau de maladie et mesure du volume de racines développées dans chaque sol. L'analyse en composantes principales réalisée sur ces variables biologiques et les caractéristiques physicochimiques des sols montre que le niveau de la maladie observé est corrélée négativement avec le niveau potassique et la teneur en sable, corrélé positivement avec la teneur en limon. Dans certains sols il a pu être constaté un développement plus important du système racinaire à la suite de l'infestation par l'un ou l'autre des champignons et l'analyse révèle que ce phénomène est en étroite relation avec la teneur en manganèse échangeable.  相似文献   

9.
Larvae of Heliothis zea (Boddie) were fed foliage of the resistant wild tomato Lycopersicon hirsutum f. glabratum C. H. Mull (PI 134417) and susceptible L. esculentum (cultivar Walter), either with the glandular trichomes removed or with the trichomes intact. Response variables measured included larval mortality, larval weight, consumption rate (CR), and efficiency of conversion of ingested material (ECI). Resistant foliage was found to contain factors in both the trichomes and leaf lamellae which increased larval mortality, reduced larval weight, reduced CR, and, except in second instars, reduced ECI. Susceptible foliage also contained trichome-based factors which increased larval mortality and decreased weight, as well as CR of second instars and ECI of fifth instars. Implications of these findings for breeding resistant tomato cultivars are discussed.
Résumé La tomate sauvage, Lycopersicon hirsutum f. glabratum C. H. Mull (PI 134417) est fortement résistant à Heliothis zea. Les études préalables ont indiqués que la résistance est associée avec la présence de 2-tridécanone dans les extrémités des poils glandulaires de la tomate sauvage, et que les facteurs dans la lamelle des feuilles sont peut-être impliqués. À déterminer la présence des facteurs lamellaires et à caractériser de plus les facteurs de résistance dans les extrémités des poils glandulaires aussi, nous nourrissions les larves du feuillage résistant de PI 134417 et du feuillage susceptible L. esculentum (lignée Walter) les deux avec les extrémités des poils glandulaires enlèvés ou avec les extrémités des poils glandulaires intacts. Nous mesurions la mortalité des larves, les poids des larves, la taux de consommation relative et l'efficacité de conversion de matière mangé.On se trouvait le feuillage résistant à contenir les facteurs, tous deux dans le feuillage lamellaire et dans les extrémités des poils glandulaires, qui causaient l'augmentation de mortalité, les poids plus basses, la taux de consommation relative plus basse, et, hormis dans le cas des larves en phase deuxième, l'efficacité de conversion réduite. Le feuillage susceptible contenait aussi les facteurs dans les extrémités des poils glandulaires qui augmentaient la mortalité, diminuaient les poids et la taux de consommation relative des larves en phase deuxième, et diminuaient l'efficacité de conversion des larves en phase cinquième. Cettes conclusions indiquent la présence des facteurs de résistance en outre de 2-tridécanone et peuvent fournir les indices à l'identité de ces facteurs.
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10.
The activity of the shot-hole borer in gallery construction depends on a number of factors which include the thickness of wood, the type of tea plant, and the presence or absence of bark. In the experiments described in this paper, the influence of each of these factors has been assessed, and analysed statistically. The host plant-pest relationships of the shot-hole borer are discussed based on the above findings and the available literature. A method of rapid clonal testing for borer resistance and/or tolerance which could be carried out conveniently under laboratory conditions is outlined.
Résumé Xyleborus fornicatus préfère les nuds des branches du théier pour installer ses galeries: 77,7% et 74,4% de l'ensemble des galeries sont respectivement trouvées dans les nuds en conditions de laboratoire et en conditions naturelles, qu'il s'agisse de plants issus de graines ou résultant d'une multiplication végétative.Le diamètre moyen préférentiel de la branche pour l'installation des galeries est de 10,3±0,3 cm et 10,2±1,1 cm, respectivement en conditions naturelles et en conditions expérimentales. Le bois jeune est préféré au bois âgé (73,4% des galeries dans le bois jeune dans une épreuve de choix). Xyleborus préfère également les rameaux avec écorce aux rameaux sans écorce (75,6% en faveur des premiers). Ces résultats sont les mêmes pour différents clônes.La technique utilisée dans ces expériences pourrait être utilisée pour tester rapidement en laboratoire la tolérance ou la résistance de certains clônes aux attaques de X. fornicatus. Les méthodes utilisées jusqu'ici en plein champ sur pépinières nécessitent plus de deux ans avant d'obtenir des résultats.Les relations de la plante-hôte et de X. fornicatus sont discutées à la lumière des données acquises en ce domaine pour d'autres Scolytides en diverses régions du monde. Il est suggéré que la recherche de l'hôte et l'installation des galeries par X. fornicatus est basé sur des réactions du type chimioclinotaxies. D'autres recherches doivent être entreprises en ce qui concerne les effets de la teneur en eau du bois sur la sélection de l'hôte et sur la survie des larves.
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11.
A. Mirimanoff 《Protoplasma》1953,42(2):250-260
Résumé Le présent travail expose quelles sont les réactions de la cellule végétale lorsque cette dernière est soumise à l'association d'un toxique et d'un « mouillant » (Netzmittel).Les variables sont: la nature de la cellule végétale, celle du toxique et celle du mouillant.Alors que les mouillants cationiques, eux-mêmes toxiques, exercent une simple action additive, les mouillants anioniques révèlent dans de nombreux cas une synergie de toxicité. Celle-ci se manifeste surtout avec les champignons et les bactéries Gram+, les végétaux supérieurs se montrant indifférents. Cette synergie varie également avec la structure moléculaire du mouillant.Les mouillants non ioniques peuvent au contraire exercer une action antagoniste, c'est-à-dire diminuer la toxicité.Ce dernier phénomène se produit dans certains cas à la suite d'une réaction chimique entre le mouillant et le toxique; la nature de la cellule est alors indifférente. Dans d'autres cas, il y a absence de réaction chimique et le phénomène ne se produit qu'avec certains types de cellules (champignons surtout).La nature chimique du toxique joue, dans la synergie, un rôle moins important que dans l'antagonisme.Des hypothèses sont formulées pour tenter d'élucider le mécanisme des cas de synergie et d'antagonisme.  相似文献   

12.
La réponse visuelle des adultes de Lasiomma melania Ackl. (Diptera, Anthomyiidae) à des carrés englués de diverses couleurs ou combinaisons de couleurs a été étudiée durant 5 années consécutives dans plusieurs mélèzins (Larix decidua) des Hautes-Alpes. Une préférence pour le jaune et le jaune à bandes pourpres a été mise en évidence chez ce ravageur dont la femelle pond sur les cônes de mélèze. L'attractivité de chaque type de piège est fonction à la fois du sexe et du stade de maturation sexuelle des individus. La couleur jaune attire en majorité des insectes émergents immatures. Elle semble représenter, selon le plan dans lequel elle est située, un signal nutritionnel de type fleur (plan horizontal) ou un signal de reconnaissance du feuillage de mélèze (plan vertical). Les individus mûrs sexuellement, recherchant les arbres produisant des cônes, sont en revanche capturés essentiellement sur les pièges verticaux jaunes à bandes pourpres. Ceux-ci miment, en l'amplifiant, le contraste de réflectance existant entre le feuillage des mélèzes et les cônes. Ce contraste paraît correspondre à un signal permettant la reconnaisance des arbres possédant des cônes. La ponte est cependant limitée à un stade particulier de développment de ces derniers alors que le contraste est à peu près stable dans le temps. D'autres signaux émis par les cônes, vraisemblablement d'ordre olfactif, doivent guider le vol d'approche et l'atterrissage des femelles.  相似文献   

13.
Mayaudon  Jacques  Simonart  Paul 《Plant and Soil》1958,9(4):367-375
Conclusions Par l'emploi de substrats radioactifs, il a été possible de montrer que le glucose, le ray-grass tel quel, la fraction soluble, les hemicelluloses et la fraction cellulosique du ray-grass ne sont pas, dans les conditions expérimentales appliquées, entièrement transformés en CO2 dans le sol après une période de deux mois.La décomposition du glucose est plus rapide que celle des hemicelluloses et celle-ci est plus rapide que celle de la fraction cellulosique. Pour le glucose et pour la fraction cellulosique, 11% et 15% respectivement ne se retrouvent pas sous forme de C14O2 tandis que pour la fraction soluble, pour les hemicelluloses et pour le ray-grass tel quel, c'est près de 20% qui ne sont pas oxydés en CO2.La décomposition de chacun de ces substrats radioactifs donne encore lieu à la production de produits organiques radioactifs que l'on trouve dans la fraction des substances solubles, dans la fraction groupant l'- et le -humus et dans l'humine. La radioactivité de cette dernière fraction est du même ordre de grandeur que la somme des deux autres fractions.Travail effectué sous les auspices de l'Institut pour l'Encouragement de la Recherche Scientifique dans l'Industrie et l'Agriculture (I.R.S.I.A.).  相似文献   

14.
Conclusion Les teignes figurent parmi les affections les plus fréquentes et les plus répandues dans le monde. Les progrès des moyens de communication, l'augmentation des mouvements de population favorisent leur extension. Grâce aux progrès thérapeutiques apportés par la Griséofulvine on peut envisager leur éradication. Avec les moyens dont nous disposons actuellement la thérapeutique prend le pas sur la prophylaxie. Et des mesures comme l'éviction scolaire sont inapplicables dans les pays en voie de développement où près de la moitié des enfants sont teigneux.Le seul obstacle dans ces pays est purement d'ordre budgétaire. La Griséofulvine est un remède trop coûteux pour des Etats qui ont d'autres soucis de Santé Publique. Si l'on obtenait de bons résultats avec l'administration d'une dose unique on pourrait réexaminer favorablement ce problème.Lu dans la séance du ler Congrès International de Dermatologie Tropicale, Napoli, 8–13 Juin, 1964.  相似文献   

15.
Conclusions Cultivé sur un milieu synthétique vitaminé, Phycomyces n'absorbe pas, dans les limites de concentration de nos expériences, une quantité appréciable de vitamine B 1. Le test animal ne permet pas de mettre en évidence une synthèse de la vitamine B 1 par le champignon.La quantité maximum de vitamine B 1 qui, théoriquement pourrait être présente dans le mycélium du champignon, en admettant le cas le plus favorable, est trop faible pour pouvoir agir sur le champignon et activer un milieu synthétique.Il est très probable que l'on doive faire appel au second facteur de croissance de Mucorinées (facteur M). Aux dépens où à la faveur de la présence de la vitamine B 1, Phycomyces fabrique donc, à part le facteur agissant sur la levure (effet bios), une autre substance auxogène activant le développement d'une nouvelle culture du champignon.Si la substance en question, contenue dans l'extrait de Phycomyces, agit sur le développement d'une nouvelle culture, il faut naturellement admettre que dans le premier mycélium, ayant servi à préparer l'extrait, un rôle doit lui être dévolu également.L'action de la vitamine B 1 ne nous semblerait donc pas directe; la présence de cette dernière est indispensable pour permettre au champignon d'effectuer la synthèse des facteurs qui lui sont propres.  相似文献   

16.
Sommaire Dans le présent travail, sont examinées les associations des plantes ammophiles qui se rencontrent sur les côtes d'ouest du Péloponnèse (voir la carte du texte).Ces côtes sont les plus favorables à la formation des dunes de sable, car, d'une part elles sont plus ou moins escarpées et par suite plus exposées aux vents sud-ouests qui régnent à cette région, et, d'autre part, on rencontre dans cette région les trois facteurs qui sont nécessaires pour la formation des dunes, le vent, le sable et les plantes, qui constituent, d'après Kühnholtz-Lordat (1923) le trinôme dynamique. Les géophytes à rhizome, Ammophila arenaria, Agropyrum junceum ssp. mediterraneum, Galilea mucronata, et Sporobolus pungens, qui sont considérées comme espèces à grand géodynamisme positif sont très abondantes tout le long du cordon littoral de la plage (Tableaux I–III).La classe Cakiletea maritimae est représentée dans cette région par les associations Salsola Kali — Xanthium strumarium Oberd. et Tx. 1950, et Anthemis Muenteriana —Salsola Kali. La première a été trouvée pour la première fois par Oberdorfer (1952) sur les côtes de la Grèce du Nord et a été classifiée par Oberdorfer et Tüxen (1950), tandis que, la seconde, qui n'a pas été trouvée ailleurs, peut-être considérée comme une nouvelle association des plantes.Les associations de la classe ci-dessus sont rencontrées sur les côtes ou les baies abritées du vent et particulièrement aux endroits où il existe une quantité suffisante d'humus et des débris végétales. L'association des plantes Salsola Kali — Xanthium strumarium est plus nitrophile que la seconde et se rencontre sur les régions les plus basses du rivage, où s'est accumulée une quantité suffisante d'humus et des débris végétaux. Ces derniers proviennent, le plus souvent, des espèces Zostera marina, Posidonia oceanica, Arundo Donax et d'autres. L'association des plantes Anthemis Muenteriana — Salsola Kali est moins nitrophile que la précédente et se rencontre sur les dunes basses d'une hauteur de 0.50–1.50 m qu'elle recouvre; ces dunes sont parallèles au rivage. Cette association apparaît le plus souvent dans sa phase optimale. Aux endroits où la quantité d'humus et des débris végétaux est moindre, apparaît l'association Agropyretum mediterraneum dans sa phase initiale (Tableau I et Photos 9–10).L'association Agropyretum mediterraneum apparaît principalement sur les dunes d'une hauteur de 1 à 2 m, sauf dans très peu de cas (Tableau II). La phase optimale de l'association Agropyretum mediterraneum se rencontre sur les dunes d'une hauteur de 1.50 à 2 m. Ces dunes se trouvent aux endroits où la côte est plus escarpée et par suite plus exposée aux vents sudouests, comme sont, par exemple, les côtes de la région Kaïafa (Photos 15–17). La phase optimale de cette association se caractérise par une abondance des espèces caractéristiques et par l'abondance des représentants des géophytes à rhizome, comme les espèces Agropyrum junceum ssp. mediterraneum, Galilea mucronata, et Sporobolus pungens (Tableau II, nos 1–6).L'association des plantes Ammophiletum arundinaceae se rencontre sur les dunes dont la hauteur dépasse les 2 mètres. Ces dunes se trouvent aux endroits où la côte est plus exposée aux vents sud-ouests, comme sont les côtes de Petrochori et de la région Zacharo. Cette association apparaît dans sa phase optimale, et sur des dunes qui sont bien développées et dont la hauteur, est à partir de 2.5 m et peut atteindre les 15 m (Tableau III et Photos 19–23).L'association bien connue Crucianelletum maritimae qui se rencontre sur les dunes stabilisées des côtes ouests de la Mediterranée, est représentée dans cette région par l'association des plantes Euphorbia terracina — Silene nicaeensis. Cette association représentative se devéloppe sur les dunes stabilisées de la région explorée. Leur hauteur varie, entre 4 et 11 mètres. Elle apparaît comme une association des plantes typiques avec 2 variantes, celle de Rumex bucephalophorus et celle de Centaurea sphaerocephala, et aussi comme les sous-associations Chondrilla juncea — Scolymus hispanicus et Trifolium scabrum —Nigella aristata (Tableau IV et Photos 24–26).En général les associations des plantes ammophiles se rencontrent sur les côtes ouests du Péloponnèse dont le sol est constitué, dans sa plus grande partie, par du sable d'un gros moyen ou moyennement fin.Les associations de la classe Cakiletea maritimae et l'association des plantes Agropyretum mediterraneum se développent sur des endroits où le sol est constitué d'une grande partie, en sable gros (Fig. 4 et 5). Entre eux, les plantes de la classe Cakiletea maritimae se développent sur un sol qui contient, en outre, une assez grande quantité d'humus et des débris végétaux, tandis que, pour l'association Agropyretum mediterraneum, les élements ci-dessus peuvent exister en une très petite quantité ou ne pas s'y trouver.Le sol, sur lequel se développent les associations des plantes Agropyretum mediterraneum et Ammophiletum arundinaceae est différent du sol propre à l'association Euphorbia terracina — Silene nicaeensis, car, dans le premier cas, celui-ci se constitue, en principal d'un sable d'un gros moyen, tandis que, dans le second cas, d'un sable moyennement fin (Fig. 5).Pour tous les sols, propres au développement des associations ammophiles des côtes du Péloponnèse, ou a une abondance de CaCO3. Malgré le fait que l'analogie de CaCO3 varie, a partir d'un pourcentage moyen jusqu'à une grande quantité, l'evolution de la végétation dans ces différentes phases, ne dépend pas de cette quantité.La réaction de ces sols varie, pour la plupart, entre 6.65 et 8.20 (Tableaux 10–14).  相似文献   

17.
Conclusions Il n'est pas impossible, en toute première approximation, d'assimiler une société d'insectes à un système multistable (Ashby) et les individus qui la composent à un ensemble d'organes de base (von Neuman).Ce sont là, en effet, deux façons de raisonner qui permettent de retrouver par la théorie de nombreauses formes de comportement observées dans la nature et, surtout, d'aborder de manières complémentaires l'important problème des interactions sociales et de la transmission de l'information entre insectes sociaux.Il est clair, à la lumière des travaux d'Ashby, qu'un certain bruit de fond est nécessaire à l'intérieur d'une société d'insectes, afin de réaliser l'indépendance relative des différents sous-systèmes, dont l'ensemble est susceptible de s'adapter, dans des délais convenables, à toute modification d'environnement. Quant aux théories devon Neuman, elles permettent de comprendre comment l'existence de ce bruit de fond, si elle est cause du caractère aléatoire et plus ou moins incorrect de la transmission de l'information, n'entrave pas pour autant le fonctionnement correct et fidèle de l'ensemble de la société.Il est, par ailleurs, curieux de constater que l'étude des systèmes cybernétiques auxquels nous nous sommes constamment référé ici,visait à l'origine la mise en évidence des analogies qu'ils présentent avec le cerveau. Or, si l'on veut bien admettre le bien-fondé des considérations développées dans cet article, il existe des rapports relativement étroits entre ces systèmes et ceux que constituent les insectes sociaux. Il semble, dès lors, que l'application de la cybernétique à l'étude des sociétés d'insectes constitue une méthode d'investigation qui devrait se révéler fructueuse et conduire, en particulier, à un renouveau de la théorie du superorganisme.  相似文献   

18.
Chrysopa nigricornis Burm, exhibits a facultative diapause during the third instar within the cocoon. The first, second, and free-living third instars must experience short-day (LD 12 : 12) for diapause to occur; however, the third instar within the cocoon and the egg appear to have no role in diapause induction. As day-lengths decreased from 13 to 12.5 hours. diapause incidence increased from 50% to 100%, whereas at LD 13.5 : 10.5 no diapause resulted.Diapause ended spontaneously under LD 12 : 12 and after 142 days (s.d.±32) larva-pupal ecdysis occurred. Exposure to long-day conditions (LD 16 : 8) 4 or 6 weeks after the beginning of diapause hastened diapause termination; i.e. larval-pupal ecdysis occurred in about 40 days. Apparently during the first 6 weeks of diapause under short-day, little or no diapause development took place.It seems that the short days of late summer-early fall, which act on the three free-living instars, initiate diapause and that subsequent to diapause development, which occurs under short-day conditions, the insect's temperature requirements and temperature summations govern the rate of development and the proper timing of ecdysis in the spring.
Résumé Chrysopa nigricornis qui est prédateur à la fois à l'état larvaire et à l'état adulte, hiverne sous la forme de larve de 3ème stade à l'intérieur du cocon. Une alimentation à base de Myzus persicae assure le développement et la reproduction de cette espèce, tandis que les Pucerons desfèves se révèlent impropres. C. nigricornis montre une diapause facultative induite par des jours courts (LD 12 : 12) agissant sur le premier, le second stade larvaire ainsi que sur la phase libre du 3ème stade. L'exposition d'un quelconque de ces stades larvaires à un jour long (LD 16 : 8) empêche la diapause. Ni le stade uf ni le 3ème stade larvaire inclus dans le cocon ne semblent avoir de rôle dans l'induction ou l'inhibition de la diapause.Les conditions de développement des stades de prédiapause ne sont pas affectées par les régimes de photopériode qu'ils ont subis.Dans les populations de C. nigricornis que nous avons étudiées, et qui proviennent d'Ithaca, New York (42° 27 latitude N) des jours de 13 heures ou moins, provoquaient plus de 50% de diapause, tandis que des jours de 13h.30 ou plus empêchaient la diapause.Sous les conditions d'induction de la diapause (LD 12 : 12), celle-ci se termine spontanément, la mue nymphale du 3ème stade larvaire intervenant 20 semaines après la secrétion du cocon de nymphose. Cependant, si les larves ont subi une LD 16 : 8, la diapause s'achève beaucoup plus tôt, dans un délai de 6 semaines (40 jours) après la secrétion du cocon de nymphose. Durant ces 6 semaines et peut-être plus, peu ou pas développement de diapause ne semble avoir pris place.Nous suggérons que dans la nature les jours courts de la fin de l'été et du début de l'automne agissent sur le ler, le second et le 3ème stade larvaire (phase libre) pour induire la diapause du 3ème stade larvaire inclus dans son cocon de nymphose. Après que le développement de type diapause ait pris place sous l'influence des jours courts, les conditions saisonnières de température et les exigences thermiques de l'insecte interviennent pour régler la vitesse de la morphogénèse et en conséquence le moment même de la mue nymphale.

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19.
Citrus leaves, banana squash and lemon fruit, labelled by photosynthesis, have been used as a source of 14C for red scale, Aonidiella aurantii (Mask.). The distribution of the isotope amongst the constituents of these plants has been studied using chemical methods of separation and chromatography.In citrus leaves, whether they were labelled as discs in the laboratory or in situ in the field, activity occurred as sucrose initially, but within 5 days a comparable amount was present in the amino acid, proline, and also in the insoluble carbohydrates, the proportions remaining fairly stable for long periods. Although the total activity of the leaf discs did not decrease with time, the activity of successive groups of newly hatched red scale larvae which fed on these discs for 10 days, fell significantly. It is suggested that due to the interaction of the insects' saliva with plant tissue, areas where red scale fed became depleted in activity. Sap obtained from the labelled discs contained activity in the form of sucrose and proline, but the body fluid from the mature female red scale contained activity in sucrose only.In banana squash and in lemons most of the activity occurred in the form of sugars, principally sucrose, with glucose taking up a greater proportion in the lemons; there was no appreciable activity in amino acids and a much smaller fraction in the insoluble carbohydrates.
Résumé On a utilisé des feuilles de citronnier, des courges () et des fruits de citronnier, marqués par photosynthèse, comme source de 14C pour la cochenille rouge, Aonidiella aurantii. La distribution de l'isotope parmi les constituants des tissus végétaux, c'est-à-dire, les sucres, les acides aminés et les hydrates de carbone insolubles, a été étudiée en utilisant des méthodes chimiques de séparation et de chromatographie.Les feuilles de citronnier furent marquées soit sous forme de disques au laboratoire, soit à l'état de feuilles intactes sur une branche d'arbre vivant. Dans les deux cas la radioactivité était présente d'abord sous forme de sucrose, mais après 5 jours une quantité comparable était présente dans un acide aminé, la proline, et dans les hydrates de carbone insolubles, et cela dans des proportions restant assez stables pendant de longues périodes. Le suc extrait des disques marqués, sur lesquels se sont nourries les cochenilles rouges, montre une radioactivité du sucrose et de la proline, mais le liquide de l'hémocoele de la femelle mûre de la cochenille rouge ne se révèle radioactif que sous forme de sucrose.Bien que la radioactivité totale des disques de feuilles de citronnier ne diminue que très lentement à la longue, l'activité moyenne obtenue par des groupes successifs de larves de cochenilles rouges récemment écloses, se nourrissant sur ces disques pendant 10 jours, diminue beaucoup plus rapidement. La différence ne peut être expliquée ni par le transport de l'isotope des fractions solubles aux fractions insolubles du tissu de feuille, ni par son prélèvement par les insectes suceurs; on considère comme probable que cette différence traduit la réaction de la plante à l'injection de salive par les insectes, ce qui conduirait à une respiration augmentée et une photosynthèse diminuée dans les régions du tissu foliaire où se nourrissaient les insectes.Chez les courges l'activité se maintient dans les régions qui ont été exposées à la lumière pendant la photosynthèse; cependant une quantité minuscule est transportée vers d'autres parties du fruit. L'activité est concentrée dans le sucrose et, dans une mesure moins importante, dans le glucose; il n'y a pas d'activité appréciable dans les acides aminés, et une fraction minime dans les hydrates de carbone insolubles, comparée à l'activité dans les feuilles de citronnier.Chez les citrons la quantité absorbée pendant la photosynthèse dépend d'une façon marquée de la maturité des citrons: les citrons verts absorbent une activité presque 10 fois supérieure à celle absorbée par des citrons mûrs. L'activité est partagée entre le sucrose et le glucose, et il n'y a pas d'activité appréciable dans les autres fractions.

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20.
Résumé La greffe de pancréas foetal chez le rat alloxanisé (une injection d'alloxane de 100–250 mg/kg) corrige immédiatement et définitivement le diabète. La sécrétion d'insuline est, au début, assurée par le greffon puisque dans les îlots du pancréas de l'hôte l'alloxane a provoqué la destruction totale des cellules B. Durant les deux premières semaines qui suivent la bréphoblastie, les îlots sont le lieu d'une prolifération massive de cellules A; les premières cellules B néoformées apparaissent vers le 15e jour mais la proportion normale des cellules AB n'est rétablie que 1 1/2 à 2 mois après l'implantation de la greffe. Au fur et à mesure de la régénération des cellules B, la fonction insulinique des îlots du pancréas de l'hôte se substitue à celle du greffon qui dégénère progressivement.Chez les rats pancréatectomisés et greffés, la sécrétion d'insuline est également assurée par le greffon pendant le 1er mois environ. La régénération du pancréas à partir de reliquats pancréatiques laissés dans la région de la confluence des canaux de Wirsung et biliaire, aboutit, à 3 1/2 mois, à une polynésie d'îlots, souvent volumineux et irréguliers, formés presqu'exclusivement de cellules B. La glycémie restant constamment normale, la sécrétion d'insuline est ici encore dans une première phase, assumée par le greffon qui dégénère, par la suite, au fur et à mesure que les îlots du régénérat sont capables de secréter de l'insuline en quantité suffisante pour assurer l'équilibre glycémique.La prolifération et la néogenèse des cellules A, comme celles des cellules B, se font essentiellement aux dépens des cellules des acini exocrines qui perdent leurs caractères de cellules exocrines (disparition des granulations de zymogène et de la réserve de RNA) et prolifèrent en gros bourgeons plasmodiaux A ou B. La différenciation de cellules endocrines se fait également, mais plus rarement, à partir de l'épithélium des petits canalicules secrétoires sous acineux.Bréphoplastie = greffe d'organe foetal; terme créé par R. M. May.  相似文献   

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