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1.
Summary The heat evolution in the solid state fermentation of apple pomace to produce ethanol was measured by means of an adiabatic system. The average rate of heat evolution in the fermentation system was 669 cal (2.8 kJ)/kg/h. The total amount of heat generated was 12.4 kcal (52.1 kJ)/kg of apple pomace fermented.
Evolución del color en la fermentation de orujos de manzana
Resumen Se ha medido mediante un sistema adiabático la evolución del calor en la fermentación etanólica de orujos de manzana secos. La media del incremento de calor en el sistema fue de 669 cal (2.8 kJ)/kg/h. El calor total generado en el proceso fue de 12.4 kcal (52.1kJ) por kilo de orujos fermentado.

Production de chaleur au cours de la fermentation de pulpe de pomme en milieu solide
Résumé La chaleur dégagée au cours de la fermentation en milieu solide de la pulpe de pomme pour la production d'éthanol a été mesurée à l'aide d'un système adiabatique. Le taux moyen du dégagement thermique est de 669 cal (2.8 kJ)/kg/h. La quantité totale de chaleur produite est de 12.4 kcal (52.1 kJ)/kg de pulpe fermentée.
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2.
Immature Chrysopa sp. and Nabis capsiformis required 335 and 325 d°, respectively, for development from egg to adult, while larvae of Micromus tasmaniae were able to complete development at 5°. Mean adult female longevity and oviposition rate at 23° were 52 d (max. 83 d) and 18.1 eggs/d, and 30 d (max. 43 d) and 10.4 eggs/d for C. sp. and N. capsiformis respectively, and oviposition rate of M. tasmaniae averaged 19.1 eggs/d during 5 weeks. Reduced longevity and increased oviposition rate at higher temperatures were accounted for by basing adult biology on physiological time above the immature developmental thresholds. Intrinsic rates of increase were thus calculated as 9.820, 6.868, and 8.366 eggs/103 d° above thresholds of 10.5°, -2.9°, and 11.3° for C. sp., M. tasmaniae, and N. capsiformis, respectively.
Résumé L'examen a porté sur l'influence de différentes températures constantes sur le développement et la biologie imaginale de trois espèces prédatrices (Chrysopa sp., peut-être C. signata, Micromus tasmaniae et Nabis capsiformis) récoltées dans des champs de coton du sud-est du Queensland en Australie. C. sp. et N. capsiformis ont besoin respectivement de 335° au dessus d'un seuil de 10.5° et de 325° au dessus d'un seuil de 11.3°, pour se développer de l'oeuf à l'adulte. Les larves de M. tasmaniae pouvant effectuer la totalité de leur dévelopment a 5°.-A 23° les longévités des femelles adultes et les taux de ponte de C. sp. et N. capsiformis sout en moyenne de 52 j. (maximum 83) et 30 j. (maximum 43) d'une part et 18.1 et 10.4 ufs par jour d'autre part. Le taux de ponte de M. tasmaniae est de 19,1 ufs par jour pendant 5 semaines à 23°. La longévité réduite et le taux de ponte accru aux températures supérieures sont interprétés en basant la biologie imaginale sur le temps physiologique au dessus des seuils de développement.Les taux d'accroissement intrinsèque (rm) sont plus élevés aux températures élevées, principalement à la suite du taux de développement accru. M. tasmaniae possède le rm le plus élevé à toutes les températures par suite d'un développement rapide et de seuils thermiques bas, d'une brève période précédant la ponte et d'une date de ponte maximum précoce. Le rm de C. sp. est plus élevé que celui de N. capsiformis à la suite de son taux de ponte plus élevé.Les valeurs de rm fixées à partir du temps physiologique sont respectivement: 9,820, 6.868 et 8,366 ufs femelles/103 d° au dessus des seuils de 10,5°, -2,9° et 11,3° pour C. sp., M. tasmaniae et N. capsiformis.
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3.
The effect of growth temperature on the evolution of kinetic parameters and yields was determined for Candida lipolytica cultures with ntetradecane as substrate, in a temperature range of 18°C to 30°C, which is below the critical growth temperature in order to work only in the activation zone of these parameters.In such a culture limited by substrate transfer, growth rate depends on biological rates, related to microorganisms characteristics, and diffusional rates, related to mass transfer. The effect of temperature thus depends on the limiting step. The activation energy, calculated from exponential growth rate determinations is .When the activation energy is calculated from the maximal rate of cell production (determined at the growth curve's inflexion point), it's found to be E X=71,200 J/mole in the 18°C–24°C range, and E X=28,000 J/mole in the 24°C–30°C range. The latter one is characteristic of a diffusion-limited process. Above 24°C, growth is controlled by substrate-transfer, as physiological potentialities are preferentially increased with temperature than diffusional ones: 24°C is thus the transition temperature T t from physiological to diffusional limitation.The apparent yield is almost constant, over the 18°C to 30°C temperature range, although maintenance coefficients are very dependent on temperature. The activation energies related to maintenance coefficients for alkane and oxygen respectively are and .The m s/mO 2 ratio is about 3 (g/g), whereas that, for a strict oxidation reaction of n-tetradecane ought to be 3.47 (g/g). A satisfactory correlation, relating maintenance coefficients to the maximal growth rate of yeast, is given.

Liste des symboles A constante de saturation de modèle de croissance(1) - B vitesse spécifique considérée - C substrat carboné ou oxygène (g/l) - E energie d'activation (J/mole) - S m quantité de substrat consommée par maintenance au cours d'une fermentation discontinue (g) - O2 quantité d'oxygène transférée au milieu de culture (g/l) - R rendement global de la fermentation - R rendement global de la fermentation - constante des gaz parfaits (J/mole K) - S concentration en substrat carboné (g/l) - T température de croissance (°K) - X concentration en biomasse (g/l) - Y rendement limite - m coefficient de maintenance (h-1) - t duree de fermentation (h) - tømpérature de croissance (o Celsius) - taux de croissance (h-1) Indices 1 relatif à la température 1. - 2 relatif à la température 2 - c relatif au substrat carboné ou à l'oxygène - f relatif au temps final - i relatif au point d'inflexion - m maximum - mO2 relatif au coefficient de maintenance sur l'oxygène - m s relatif au coefficient de maintenance sur le substrat carboné - o relatif au temps initial - O2 relatif à l'oxygène - s relatif au substrat carboné - t de transition - T relatif à la température de croissance T - U m relatif au taux de croissance maximal - X relatif à la productivité maximale en biomasse  相似文献   

4.
Life table studies were conducted to assess the effect of constant temperature on the rate of population growth of the cassava mealybug, Phenacoccus manihoti Matile-Ferrero. Four temperatures, between 20 and 30.5°C, were tested. An inverse relationship was observed between temperature and most demographic parameters.The intrinsic rate of natural increase (rm) increased from 0.1 at 20°C to 0.2 at 27°C and 30.5°C. The net reproductive rate varied between 426.3 at 30.5°C and 584.7 at 20°C. The mealybug population reached 50% mortality after 37.5, 21.5, 19.0 and 19.0 days respectively at 20, 23.5, 27 and 30.5°C. The results indicate that P. manihoti can persist and increase in numbers within the range between 20 and 30.5°C.
Influence de températures constantes sur les taux de croissance de populations de la cochenille du manioc Phenococcus manihoti
Résumé Des tables de vie ont été établies pour déterminer l'effet de températures constantes sur les taux de croissance de populations de la cochenille du manioc, Phenacoccus manihoti Mat.-Ferr., et ainsi comprendre les changements au sein des populations du ravageur dans les champs et mener à bien le programme de lutte biologique organisé à l'I.I.T.A. contre cette cochenille. P. manihoti, introduit à partir de l'Amérique latine en Afrique, y menace la production du manioc (Manihot esculenta Crantz).Le taux intrinsèque d'accroissement natural (rm) a augmenté de 0.114 à 20°C, à 0.185 à 27°C, avant de descendre à 0.182 à 30.5°C. Le taux net de reproduction (Ro) a été relativement élevé (426–584 oeufs femelles/génération). Dans nos conditions expérimentales, la mortalité a atteint 50% au bout de 37.5, 21.5, 19.0 jours respectivement à 20, 23.5, 27 et 30.5°C. La durée du cycle et le coefficient d'accroissement () étaient inversement liés à la température. Le ravageur possède la capacité de doubler sa population en 6.08 jours à 20°C alors que 3.81 jours seulement suffisent pour doubler la population à 30.5°C.Ces résultats nous ont permis de comprendre et d'expliquer l'énorme pouvoir de pullulation de la cochenille observé dans les champs pendant la saison sèche; il s'ensuit que les lâchers des entomophages produits en élevages doivent se faire très tôt au début de la saison sèche, afin de contrecarrer la grande fertilité et la capacité d'augmentation rapide des populations de P. manihoti.
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5.
Experiments were performed on 9 volunteers in which the changes in rectal temperature and sweat rate were recorded under different levels of metabolic rate (100, 306 and 560 kcal/hr), air temperatures (30° and 40°C), vapor pressure (15, 22 and 31 mm Hg) and air velocity (50, 200 and 400 cm/sec).Analysis of the results enabled the development of a formula for the prediction of the elevation of body(rectal) temperature after 30 min of work at known metabolic rates in given thermal environments. The elevation in body temperature is considered to express both the amount of heat dissipated through the heat dissipating mechanism,as well as the heat which has not been dissipated and is stored in the body.With the aid of the proposed formula, the permissible metabolic rate of work at various external heat loads can be calculated.
Zusammenfassung An neun Versuchspersonen wurden Versuche vorgenommen,bei denen die Änderungen der Rektaltemperatur und Schweissabsonderung bei verschiedenen Werten des Stoffwechsels (100, 306 und 560 kcal/h), der Lufttemperatur (30° und 40°C),des Dampfdrucks (15, 22 und 31 mm Hg) und der Windgeschwindigkeit (50, 200 und 400 cm/sec) untersucht wurden. Die Bearbeitung der Ergebnisse erlaubte die Entwicklung einer Formel für die Vorhersage der Erhöhung der (rektalen) Körpertemperatur nach einer Arbeit von 30 Min Dauer bei bekannten Stoffwechselwerten und vorgegebener thermischer Umgebung. Die Erhöhung der Körpertemperatur wird als Ausdruck sowohl für den Betrag der Wärme betrachtet, die durch den Mechanismus der Wärmeabgabe abgegeben wird, wie für die Wärme, die nicht abgegeben,sondern im Körper gespeichert wird.Mit Hilfe der vorgeschlagenen Formel kann die erlaubte Stoffwechselrate der Arbeit unter verschiedenen äusseren Wärmebelastungen berechnet werden.

Resume Neuf personnes ont servi à des essais tendant à démontrer que la température rectale et la sécrétion de sueur dépendent de différents facteurs.Ces derniers furent: le métabolisme général (100, 306 et 560 kcal/h),la température de l'air (30° et 40°C), la pression de vapeur (15, 22 et 31 mm Hg) et la vitesse du vent (50, 200 et 400 cm/sec). La compilation des résultats a permis de mettre au point une formule par le truchement de laquelle il est possible de calculer à l'avance la hausse de la température rectale après un travail de 30 min,lorsque l'on connaît l'indice de métabolisme et les conditions thermiques du milieu ambiant. La hausse de la température de corps est l'expression aussi bien de la chaleur perdue par les mécanismes de thermorégulation que de la chaleur qui est emmagasinée par le corps. Par la formule proposée, on peut aussi calculer l'indice de métabolisme tolérable lors d'un travail exécuté dans des conditions thermiques déterminées.


This work was supported in part by grant NS/1488/62 of UNESCO and in part by grant C-1/Ford 4, of the Ford Foundation.  相似文献   

6.
The effects of three constant (15°C, 20°C and 25°C) and one alternating (16–22°C, mean 19.5°C) temperatures on development, mortality, feeding, fecundity and longevity of Liriomyza trifolii (Burgess) on tomato plants cv. Moneydor were examined in the laboratory. Development rates and thresholds for each instar were estimated by means of linear regression. No correlation was found between life history variables and pupal length. Further, data on the biology of L. trifolii are given and discussed.The intrinsic rate of increase, rm, varied from-0.0023 viable female eggs//day at 15°C to 0.1254 eggs//day at 25°C and net reproduction from one viable female egg/ at 15°C to 26 eggs/ at 20°C. Generation time varied from 48 days at 15°C to 24 days at 25°C. Ninety % oviposition occurred within the first 115 degree-days of adult life at both 20°C and 25°C. Fecundity and longevity were highly correlated with the number of feeding punctures. The data indicate that tomato is a suitable host plant allowing populations of L. trifolii to increase if temperatures are above 16°C.
Influence de la température sur la biologie de Liriomyza trifolii élevé sur tomates
Résumé La vitesse de développement, la mortalité, l'alimentation, la fécondité et la longévité de L. trifolii (Burgess) élevés sur plants de tomates du cultivar Moneydor ont été examinées au laboratoire sous 3 températures constantes (15°C, 20°C et 25°C) et une thermopériode (16/22°C, moyenne 19,5°C). Les taux de développement et les seuils de chaque stade ont été déterminés à partir des droites de régressions. Aucune corrélation n'a été mise en évidence entre ces variables biologiques et la taille des pupes. De plus, certaines données sur la biologie de L. trifolii sont fournies et discutées.Le taux intrinsèque d'accroissement, rm a varié de-0,0023 oeuf viable/femelle/jour à 15°C à 0,1254 oeuf viable/femelle/jour à 25°C et la reproduction nette de 1 oeuf femelle viable/femelle à 15°C à 26 oeufs femelles viables/femelle à 25°C. La durée d'une génération a varié de 48 jours à 15°C à 24 j à 25°C. 90% de la ponte a eu lieu dans les 115 premiers degrés jours de la vie imaginale à 20 et 25°C. La fécondité et la longévité étaient fortement liées au nombre de piqûres nutritionnelles. Ces résultats montrent que la tomate est un hôte convenable permettant aux populations de L. trifolii de se développer lorsque la température est supérieure à 16°C.
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7.
Diapause termination under natural and simulated overwintering conditions, the effect of subzero temperature on postdiapause development and the relationship between postdiapause development rate and constant and fluctuating temperatures was studied in a Dutch population ofAphelinus mali Hald. (Hymenoptera: Aphelinidae).The rate of diapause termination was similar in larvae overwintering under natural and simulated conditions. Most larvae had terminated diapause by the last week of February. Some female larvae may have remained in diapause until the end of March. The exposure of postdiapause larvae to –10°C for two weeks did not affect their survival or postdiapause development rate.PostdiapauseA. mali larvae could complete development and the adults emerge from their mummified aphid hosts at constant temperatures from 12 to 24°C. Although some larvae completed postdiapause development at 10°C, few emerged. The theoretical threshold temperature (to) for postdiapause development was 9.4°C and the thermal constant (K) 136.4 degree-days. K was 121.4 and 134.8 for first and 50% emergence, respectively.The number of heat units accumulating above 9.4°C to 1st and 50% emergence was similar under constant and fluctuating temperatures.
Fin de la diapause et exigences thermiques pour le développement après la diapause d'Aphelinus mali soumis à des températures constantes ou à des thermopériodes
Résumé L'achèvement de la diapause en conditions naturelles ou simulant l'hiver, les effets des températures inférieures à zéro sur le développement après la diapause et les relations entre la vitesse de développement après la diapause et les températures constantes ou en thermopériodes ont été examinés sur des populations néerlandaises d'A. mali (Hymenop.; Aphélinidae).Les taux d'achèvement de la diapause de larves hivernantes étaient semblables en conditions naturelles ou simulées. La plupart des larves ont terminé leur diapause la dernière semaine de février. Quelques larves femelles sont restées en diapause jusqu'à fin mars. L'exposition pendant 2 semaines des larves sorties de diapause à –10 °C ne compromet pas leur survie ou leur taux de développement après la diapause.Les larves ayant diapause peuvent terminer leur développement et les adultes émerger des pucerons momifiés aux températures constantes comprises entre 12 et 24 °C. Bien que quelques larves achèvent leur développement à 10 °C, peu émergent. La température seuil théorique de développement après la diapause (to) a été de 9,4 °C et la constante thermique (K), 136,5 degrés-jours. Pour la première émergence et pour 50% d'émergences, les valeurs de K étaient respectivement: 121,4 et 134,8.Le nombre d'unités thermiques pour la première émergence et pour 50% d'émergences était le même à température constante ou avec une thermopériode.
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8.
Résumé Chez l'embryon de Pleurodèle au stade 34, la durée du cycle cellulaire et de ses phases varie peu selon les tissus mais dépend étroitement de la température. Le temps de génération et la durée de la phase S sont environ 3 ou 4 fois plus longs à 12° C qu'à 26° C. Lorsque la température s'élève, la phaseG 2 est abrégée dans les mêmes proportions que la phaseM; par contre, la durée de la phaseG 1 qui est nulle à 12° C s'allonge considérablement pour représenter environ 1/4 de la durée totale du cycle cellulaire à 26° C. La durée de cette phase est d'autant plus longue, à une température donnée, que les cellules sont plus différenciées. Les tissus étudiés représentent des populations cellulaires en croissance exponentielle. Le coefficient de prolifération, duquel dépend la base de la fonction exponentielle de croissance, est indépendant de la température mais particulier à chaque tissu. Il est d'autant plus faible que le tissu est plus différencié. En revanche, la vitesse de multiplication des cellules, qui est inversement proportionnelle au temps de génération, varie largement en fonction de la température; en outre, elle semble déterminer à elle seule la vitesse du développement des embryons aux températures choisies.
Autoradiographic study of the effect of temperature on cellular proliferation in late embryos ofPleurodeles waltlii Michah. (Amphibia, Urodela)
Summary We observed in Pleurodeles embryos, stage 34, that the duration of the cell cycle and its phases was approximately the same for every tissue but was easily modified by varying the temperature. The generation time and the duration of S phase in embryos submitted to a 12° C temperature instead of 26° C are tripled or quadrupled. A temperature rise produced a proportionale shortening inG 2 andM phases and a lengthening inG 1 phase. ThisG 1 phase is not detectable at 12° C but represent a 1/4 of the total generation time at 26° C. The more differentiated the cells are, the longer is theG 1 time. The cell population studied during these experiments are growing exponentially. Growth fraction, which represents the exponential growth basis, is temperature independent but has a tissue specificity. This growth fraction is smaller the more the tissue is differentiated. However, the relative rate of cell division, inversely proportional to the generation time, is temperature dependent and appears to control the embryo's relative rate of growth under different temperatures.
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9.
Thermoregulatory reactions of lactating cows (33 Kg milk/day) have been measured in summer (Tg 25° – 39°C) and in winter (Tg 9, 5° – 24°C) at 3-hr intervals, during four 24-hr cycles. The animals maintained an almost continuous peripheral vasodilation throughout the experimental period. The upper ambient temperatures at which a dairy cow maintains homoeothermy were calculated for different metabolic rates. At the maintenance level a dry cow may maintain homoeothermy at up to 24°C without sweating and up to 40°C if sweating at 50% of the maximal sweating capacity. For a cow producing 30 kg milk/day, the respective figures were 12°C and 24°C respectively. These data indicate that the thermoregulatory capacity of the animals in the natural climate considerably expands the thermal comfort temperature range.
Zusammenfassung Die wärmeregulatorischen Reaktionen milchgebender Kühe (33 kg Milch/Tag) wurden im Sommer (Tg 25° – 39°C) und im Winter (Tg 9, 5° – 24°C) in 3-Stunden Intervallen während 4 mal 24 Stunden periodisch gemessen. Die Tiere hatten eine beinahe kontinuierliche periphere Gefässerweiterung während der Versuchsperioden. Die obere Umgebungstemperatur, bei der Milchkühe homoiothermisch bleiben, wurde aus verschiedenen Stoffwechselraten berechnet. Auf dem Erhaltungsniveau kann eine trocken stehende Kuh die Homoiothermie bis 24°C ohne Schwitzen halten und bis auf 40°C bei Schwitzen bis 50% des maximalen Schwitzvermögens. Für eine Kuh, die 30 kg Milch/Tag leistet sind die entsprechenden Werte 12°C beziehungsweise 24°C. Diese Werte zeigen, dass das Wärmeregulationsvermögen der Tiere im natürlichen Klima den Wärmekomfort-Temperaturbereich erheblich ausdehnt.

Resume On a mesuré l'aptitude de thermorégulation de vaches en lactation (33 kg de lait par jour) toutes les 3 heures durant 4 cycles de 24 heures et cela aussi bien en été (Tg 25° à 39°C) qu'en hiver (Tg 9, 5° à 24°C). Les animaux ont présenté une vasodilatation périphérique assez constante durant toute la période des essais. On a en outre calculé, en partant de différents taux de métabolisme, la température ambiante maximum pour laquelle une vache laitière peut maintenir son homéothermie. Pour une vache sèche, ce maximum est de 24°C sans transpirer et de 40°C si elle transpire le 50% de sa capacité maximum. Pour une vache donnant 30 kg de lait par jour, ces chiffres s'abaissent à 12°C dans le premier cas, à 24°C dans le second. Ces chiffres montrent que la capacité de thermorégulation du bétail bovin augmente considérablement l'amplitude de la zone de confort thermique en climat naturel.
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10.
Zusammenfassung Schweine in vier verschiedenen Alters- bzw. Gewichtsstadien (20–25 kg, 40–45 kg, 60–65 kg und 90–95 kg) wurden vergleichsweise 16° bis 23°C und in der Klimakammer bei 35°C und 70–90 RF ausgesetzt. Bei erhöhter Ta stieg die Rektaltemperatur (Tre) und gleichzeitig trat in allen 4 Gruppen eine Erhöhung der Atemfrequenz, eine geringgradige Zunahme der Plasmaosmolarität, sowie eine Hyperkalämie und Hyponatriämie ein. Stieg die Tre über 40.5°C setzt eine starke Speichelsekretion ein. Die Harnosmolarität nahm bis zu einer Rektaltemperatur von 40.5°C zu, um dann wieder abzusinken. Die Na+-Konzentration im Harn sank mit der Erhöhung der Tre ab, während die K+-Konzentration anstieg.
The effect of heat (Ta = 35°C, 70–90% rh) respiratory rate, rectal temperature (Tre), plasma and urine osmolarity, and of [Na+] and [K+] in plasma and urine in four different age/weight groups of pigs were investigated. At thermal neutral temperatures the measured physiological functions remained constant over 3 hours. At 35°C and 70–90% rh rectal temperature rose gradually. At the same time, there was a rise in respiratory rate, a slight increase in plasma osmolarity and a rise in plasma [K+] but a fall in plasma [Na+] in all four groups. The animals salivated profusely as soon as a rectal temperature of 40.5°C was reached. The urine osmolarity rose from normal to a maximum at a rectal temperature of 40.5°C and thereafter decreased. The urine [Na+] fell with increasing rectal temperature whereas the urine [K+] increased.

Resume Des porcs de 4 classes d'âge ou plus exactement de 4 groupes de poids (20 à 25 kg, 40 à 45 kg, 60 à 65 kg et 90 à 95 kg) ont été placés soit à des températures neutres de 16 à 23°C, soit en chambre climatisée par 35°C et 70 à 90% d'humidité relative. Par température neutre, les fonctions physiologiques restent constantes durant 3 heures au moins. Par température élevée, la température rectale (Tre) se relève et, parallèlement, on constante dans les 4 groupes une augmentation de la fréquence de respiration, une faible augmentation de la pression osmotique du plasma ainsi qu'une hausse des ions [ K+ ], mais une diminution des ions [Na+] du même plasma. Les animaux ont commencé à saliver abondament dès que Tre a atteint 40,5°C. La pression osmotique de l'urine a augmenté régulièrement de la normale jusqu'à un maximum atteint lorsque Tre est arrivé à 40,5°C. Elle a diminué ensuite même si Tre dépassait ce seuil. La concentration du sodium diminue avec la hausse de Tre alors que celui du potasse augmente. On discute enfin le rôle que jouent les paramètres mesurés dans la régulation de la température et du bilan de l'eau.
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11.
Summary Aspergillus awamori ATCC 22342 was selected from 12 strainsof Aspergillus spp.and Rhizopus spp. as the best producer of amylase. Optimal growth conditions for the enzyme production in shake flasks were provided by: a medium containing 60 g/1 rice flour, 0.075% (w/v) NaNO2 and 0.075% (v/v) corn-steep liquor, a temperature of 30° C and initial pH value of 6.5. The enzyme was characterized as a glucoamylase with a molecular weight of 49,000. Maximum enzyme activity occurred at 45 C and pH 5.8. The enzyme was stable at 40° C and lost 70 and 90% of activity when heated for 30 min at 50 and 60°C, respectively. Thermal inactivation was slowed in the presence of starch. Michaelis-Menten constants for soluble starch and dextrin were estimated as 12.5 and 33.3 mg/ml, respectively. This enzyme may be used for the production of glucose-rich syrups from rice starch.
Producción de glucoamilasa por Aspergillus awamori en harina de arroz y caracterización parcial del enzima
Resumen Aspergillus awamori ATCC 22342 se seleccionó entre 12 cepas deAspergillus spp. y deRhizopus spp. como el mejor productor de amilasa. La condiciones óptimas de crecimiento para la producción del enzima en frascos de agitación fueron las siguientes: un medio con la composicion siguiente: 60 g/1 de harina de arroz, 0.075% (m/v) NaNO2 y 0.075% (v/v) de extracto de maíz (corn steep liquor); una temperatura de 30°C y un pH inicial de 6.5. El enzima fue caracterizado como una glucoamilasa de peso molecular 49,000. La máxima actividad enzimática se obtuvo a 45°C con un pH de 5.8. El enzima era estable a 40 C pero perdió un 70 y un 90% de su actividad cuando se calentó durante 30 min a 50 y 60° C respectivamente. La inactivación térmica fue más lenta en presencia de almidón. Las constantes de Michaelis-Menten para almidón soluble y para dextrina se estimaron como 12.5 y 33.3 mg/ml respectivamente. Este enzima puede utilizarse para la producción de jarabes ricos en glucosa a partir de almidón de arroz.

Production de glucoamylase par Aspergillus awamori cultivé sur milieu à la farine de riz et caractérisation partielle de l'enzyme
Résumé Aspergillus awamori ATCC 22342 a été sélectionné parmi 12 souches d'Aspergillus spp. et deRhizopus spp. comme étant le meilleur producteur d'amylase. Les conditions optimales de croissance pour la production d'enzyme en fioles agitées sont: un milieu contenant 60 g/1 de farine de riz, 0.075% (w/v) de NaNO2 et 0.075% (v/v) de liqueur de corn steep, une température de 30° C et un pH initial de 6.5. L'enzyme a été caractérisé comme étant une glucoamylase de poids moléculaire 49,000. L'activité maximum de l'enzyme se situe à 45°C et pH 5.8. L'enzyme est stable à 40°C et perd 70 et 90% de son activité par chauffage pendant 30 min à 50 et à 60°C, respectivement. L'inactivation thermique est ralentie en présence d'amidon. Les constantes de Michaelis-Menten pour l'amidon soluble et pour la dextrine ont été éstimées, respectivement, à 12.5 et 33.3 mg/ml. Cet enzyme peut être utilisé pour la production de sirops riches en glucose à partir d'amidon de riz.
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12.
The supercooling point (SCP) of individual Epirrita autumnata eggs (approx. 60 eggs batch-1) was tested each month from September (eggs newly laid) to April under laboratory conditions simulating winter temperatures in the field (from +4 to-30 °C). Parallel to each test, one batch of eggs was transferred from the acclimation treatment to room temperature (22 °C) and the incubation duration to the first 50% hatch was recorded, giving a measure of embryo growth at the time of the SCP test. Data also give information on egg mortality, which generally was low.The SCP was found to be equivalent to the lower lethal temperatures for this species. Already in autumn, the SCP was in a low range of-34.9 to-36.5 °C and either rose (at a storage temperature of -3 °C) to a range between-28.3 and-29.8 °C in February, due to reduced cold hardiness during embryogenesis, or remained unchanged because the eggs were in quiescence (at -10 °C).The time to 50% hatch at 22 °C decreased from 60 days to 10–14 days in January when it either continued to decrease up to hatch (at -3 °C), or remained unchanged, indicating end of diapause in January. In December, 260 degree-days (DD) above a threshold of +5.8 °C was required for 50% hatch; in February the corresponding figures were 362 DD and-2 °C.When the supercooling point moved from the low to the high SCP range, the frequency distribution of the individual SCPs changed from positively to negatively skewed. The transition was rapid, intermediary distributions being flat and covering both ranges.Thus, in the field the eggs run the risk of freezing mainly at two temperature levels: below about-36 °C during diapause and post-diapause quiescence (in midwinter) and below about-29 °C during embryogenesis (in late winter spring).
Résumé La température de congélation (supercooling point: SCP) de chaque uf de E. (Oporinia) autumnata (Lépido, géométride) (environ 60 ufs par ponte) a été examinée chaque mois, de septembre (ufs venant d'être pondus) à avril, dans des conditions simulant les températures hivernales de la nature (de-30° à +4 °C). Parallèlement à chaque expérience, une ponte était transférée aux fins d'acclimatation à la température du laboratoire (22 °C) pour noter la durée d'incubation des premiers 50% d'ufs éclos, afin d'avoir une donnée sur la durée du développement embryonnaire à l'époque de l'expérience de congélation, et sur la mortalité embryonnaire, d'ailleurs généralement basse.Le point de congélation (SCP) a correspondu pour cette espèce aux températures létales les plus basses. En automne déjà, la SCP avait une gamme basse de-34.9 à-36.5 °C et, soit s'élevait (pour une température de conservation >-3 °C) à une gamme de-28.3 à-29.8 °C en février, par suite de la diminution de la résistance au froid pendant l'embryogenèse, soit demeurait inchangée parce que les ufs étaient quiescents (<10 °C).Le temps d'éclosion 50 à 22 °C s'est abaissée de 60 j à 10–14 j en janvier pour ensuite, soit continuer de diminuer jusqu'à l'éclosion (>-3 °C), soit rester inchangé indiquant la fin de la diapause en janvier. En décembre, 260 degrés-jours (DD) au-dessus du seuil de +5.8 °C ont été nécessaires pour obtenir 50% d'éclosions, en février il a fallu 362 DD et-2 °C.Quand la température de congélation était déplacée de faibles à fortes valeurs de la SCP, la distribution des fréquences des SCP individuelles passait d'un biais positif à un biais négatif. La transition était rapide, les distributions intermédiaires étant plates et recouvrant les deux gammes.Ainsi les risques de congélation des ufs dans la nature se situent à deux niveaux: environ audessous de-36 °C pendant la diapause et la quiescence post-diapause (au milieu de l'hiver), et au-dessous d'environ-29 °C pendant l'embryogenèse (en fin d'hiver et au printemps).
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13.
The effects of photoperiod and temperature on the production of sexual forms by two clones of Sitobion avenae, the grain aphid, were examined. One clone did not produce sexual forms, whereas the other did under conditions of short light (<14 h) and low temperature (15°C). Temperature and photoperiod interacted to some extent both in the production of oviparae and of males. Even when the sexual forms were produced there was always a proportion of virginoparae.
Production de sexués par Sitobion avenae, puceron monoécique
Résumé Un clone de Sitobion avenae a produit sans difficulté jusqu'à 7 générations de sexués en réaction à des photopériodes courtes (<14 h) et à de faibles températures (15°C) tandis qu'un autre clone n'en produit aucune.La proportion de sexués différait suivant les parents. La production de mâles avait une nette tendance à apparaître lors des reproduction les plus tardives. Dans les générations tardives avec jours courts, les vivipares (virginopares et gynopares) avaient eu tendance à être produits à la fin de la période de reproduction.Les gynopares (c'est à dire les parents d'ovipares) de S. avenae étaient surtout aptères, mais comprenaient beaucoup plus d'ailés que les virginopares obtenus dans les mêmes conditions. Un vivipare était induit comme gynopare (ou ses embryons étaient déterminés comme ovipares) avant la naissance, mais cette détermination pouvait apparemment encore être inversée en soumettant l'insecte à de longues photopériodes et à de hautes températures jusqu'à deux jours après la naissance.Aucun S. avenae ovipare n'a été produit jusqu'à la troisième génération. Aucun ovipare n'a été produit avec des photopériodes supérieures à 13 H 30 à 10°C, 13 H à 15°C et 8 H à 20°C. La proportion d'individus produisant des ovipares à 15°C a été plus faible qu'à 10°C pour toutes les photopériodes, et à cette dernière température beaucoup plus de vivipares étaient gynopares que virginopares.Les basses températures ont été vraisemblablement le facteur dominant de stimulation de la production de mâles de S. avenae, mais cependant il semble qu'un plus grand nombre de mâles a été produit aux températures et photopériodes intermédiaires qu'aux extrêmes.La capture de mâles ailés de S. avenae dans des pièges à succion a été généralement limitée à Octobre-soit à peu prés le moment prévu par les expériences de laboratoire. Des mâles de S. avenae sont aussi capturés fréquemment et été, ce qui peut être lié à des hivers précédents doux.
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14.
Summary Arrowleaf clover (Trifolium vesiculosum Savi) is an annual forage legume that is sown in south-eastern USA when temperature and moisture conditions may not be suitable for survival of inoculant rhizobia. Survival of two antibiotic-resistant strains of rhizobia on seed or quartz particles was evaluated under controlled conditions in the laboratory. At 30°C and 75% r.h., lime coating of inoculated seed, soil pH (4.2 and 6.7), and surface or subsurface sowing of inoculated seed did not significantly (P = 0.05) affect the survival of either rhizobial strain. The use of gum arabic as an inoculant adhesive resulted in better rhizobial survival than sucrose or water, but even with gum arabic treatment the population of strain 162Y10 declined fromc. 10,000/seed to less than ten/seed in six days. Survival of strain 162Y15 appeared better andc. 200 rhizobia/seed survived for six days. When inoculated seed were incubated at 45°C, soil pH, method of sowing, lime coating of the seed, and r.h. (75% and 100%) did not influence rhizobial survival. The gum arabic adhesive enhanced survival over the use of sucrose but survival was still poor. No viable rhizobia were detected after two days of incubation. High r.h. (100%) and 30°C favoured survival and growth of both rhizobial strains when inoculated onto quartz particles placed on, or mixed into, soil at pH 4.2. Coating inoculated quartz particles with lime increased the growth of rhizobia under these conditions, but sucrose and gum arabic were equally effective as inoculant adhesives.
Resumen Supervivencia de Rhizobium trifoliien el suelo después de la inoculación de trébol El trébol en punta de flecha arrowleaf (Trifolium vesiculosum Savi) es una leguminosa de forraje anual que se siembra en el S.E. de EUA en un periodo en el cual las condiciones de humedad y temperatura no suelen ser las adecuadas para la supervivencia de inóculo deRhizobium. La supervivencia en semillas o partículas de cuarzo de dos cepas deRhizobium resistentes a antibiôticos se evaluó bajo condiciones controladas en laboratorio. A 30°C y 75% de humedad relativa, ni el recubrimiento con cal de la semilla inoculada, ni la profundidad de la siembra (en superficie o no) ni el pH del suelo (4.2 y 6.7) alteraron significativamente la supervivencia de las dos cepas estudiadas. El uso de goma arábiga como adhesivo para el inóculo comparado con el uso de sucrosa o agua mejoró la supervivencia delRhizobium. Sin embargo incluso con el tratamiento con goma arábiga la población de la cepa 162Y10 declinó desde 10000/semilla hasta valores inferiores a 10/semilla en seis días. La cepa 162Y15 pareció tener mejor supervivencia y 200Rhizobium por semilla sobrevivieron a los seis días. Cuando las semillas inoculadas se incubaron a 45°C, el pH del suelo, el encalado de la semilla y la humedad relativa (75 y 100%) no influenciaron la supervivencia deRhizobium. El uso de goma arábiga mejoró relativamente la supervivencia aunque esta fue pobre de todos modos. No se detectaronRhizobium viables después de un periodo de incubación de dos días. Una elevada humedad relativa (100%) y una temperatura de 30°C favorecieron la supervivencia de ambas cepas cuando estas se inocularon en particulas de cuarzo, las cuales se situaron o, alternativamente, se mezclaron con suelo a pH 4.2. El recubrimiento con cal de las particulas de cuarzo inoculadas favoreció el crecimiento deRhizobium annque tanto sucrosa como goma arábiga fueron igualmente efectivos como adhesivos para el inóculo.

Résumé Survie dans le sol de Rhizobium trifoliiaprès inoculation de trèfle sagittaire Le trèfle sagittaire (Trifolium vesiculosum Savi) est une légumineuse annuelle fourragère cultivée dans le Sud-Est des USA à une période de l'année où les conditions de température et d'humidité peuvent ne pas convenir à la survie de rhizobiums inoculés. La survie de deux souches de rhizobiums résistants aux antibiotiques sur des graines ou sur des particules de quartz a été evaluóe au laboratoire, dans des conditions contrôlées. A 30°C et r.h. 75%, l'enrobage dans la chaux des graines inoculées, le pH du sol (4, 2 et 6, 7) et le semis, soit en surface, soit recouvert, ne modifient pas significativement (P = 0,05) la survie des deux souches de rhizobiums. L'emploi de gomme arabique comme adhésif de l'inoculum assure une meilleure survie des rhizobiums que le saccharose ou l'eau. Mais, même avec la gomme arabique, la population de la souche 162Y10 décroit en six jours de 10,000 à moins de dix cellules par graine. La survie de la souche 162Y15 semble meilleure: 200 cellules survivantes par graine au bout de six jours. Lorsque les graines inoculées sont incubées à 45°C, le pH du sol, la méthode de semis, l'enrobage de la graine dans la chaux et le r.h. (75 et 100%) n'ont pas d'influence sur la survie des rhizobiums. La gomme arabique améliore la survie mieux que le saccharose, mais trés faiblement. Après deux jours d'incubation, on ne trouve plus de rhizobiums viables. Un r.h. élevé (100%) et une température de 30°C améliorent la survie et la croissance des deux souches de rhizobiums lorsque celles-ci sont inoculées sur des particules de quartz ou mélangées au sol à pH 4, 2. L'enrobage par la chaux des particules de quartz inoculées accroit la survie des rhizobiums dans ces conditions, mais le saccharose et la gomme arabique sont aussi efficaces somme agents d'adhésion de l'inoculum.
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15.
Summary The thermal resistance ofBacillus cereus spores expressed in terms ofD value (an expression of time in minutes required for the heat destruction of one log cycle of spores) in custard preparations decreased from 90°C to 100°C. With an increase in pH of custard preparations from 6.2 to 7.2, theD value ofB. cereus spores increased from 3.1 to 3.7 min at 90°C, from 2.5 to 3.0 min at 95°C and from 1.7 to 2.2 min at 100°C. However, theZ value (the change in temperature necessary to cause a tenfold change in theD value) remained unaffected by the change in pH. A decrease in the number of heatedB. cereus spores was observed with the increase in the concentration of the antimicrobial agent sodium benzoate and the antioxidants butylated hydroxyanisole and butylated hydroxytoluene.
Résistance thermique des spores deBacillus cereus dans les préparations de crème
Résumé La résistance thermique de spores deBacilluscereus, exprimée par la grandeur D (l'expression du temps en minutes requis pour la destuction thermique d'une décade logarithmique de spores) dans les préparations de crème, décroît de 90 °C à 100 °C. Avec une augmentation de pH des préparations de crème de 6.2 à 7.2, la valeur D pour les spores deB. cereus augmente de 3.1 à 3.7 min. à 90 °C, de 2.5 à 3.0 min. à 95 °C et de 1.7 à 2.2 min. à 100 °C. Toutefois, la grandeur Z (le changement de température requis pour engendrer un changement d'un facteur 10 dans la valeur D) n'est pas affectée par ce changement de pH. Une diminution du nombre de spores deB. cereus chauffé est observée avec l'augmentation de la concentration du benzoate de soude, un agent antimicrobien, ainsi que de l'anisole hydroxy-butylé et du toluène hydroxybutylé, deux agents antioxidants.
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16.
Summary A solid state fermentation process is described for the production of citric acid from apple pomace byAspergillus niger NRRL 567. The yields of citric acid varied with the pomace varieties, and were dependent on (1) the amount of methanol present in the pomace, and (2) the fermentation time and temperature. The process yielded as much as 90 g citric acid/kg apple pomace fermented in the presence of 3–4% methanol at 30°C in five days.
Resumen Se describe un proceso de fermentación en estado sólido para la producción de ácido cítrico a partir de residuos de manzana, utilizandoAspergillus niger NRRL 567. La producción de ácido cítrico varió con el tipo de residuo utilizado y dependió de (1) la cantidad de metanol presente en los residuos y (2) del tiempo y la temperatura del proceso. La fermentación puede producir hasta 90 g de ácido cítrico/kg de residuo de manzana, fermentado en presencia de 3–4% de metanol a 30°C de temperatura durante 5 días.

Résumé Le procédé de fermentation en milieu solide qui est décrit est déstiné à la production d'acide citrique à partir du marc de pommes parAspergillus niger NRRL 567. Les rendements en acide citrique varient suivant les variétés de pommes et dépendent: (1) de la quantité de méthanol présente dans le marc, et (2) du temps de fermentation et de la température. On peut obtenir jusqu'à 90 g d'acide citrique par kg de marc de pommes fermenté, en présence de 3 à 4% de méthanol, à 30°C et en 5 jours.
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17.
Ability to survive exposure to single or repeated periods at a subzero temperature is related to the temperature experienced, whether it is approached quickly or slowly, the time for which it prevails and the interval between exposures.The severity of any low temperature can be expressed in terms of LE50 (time required to kill 50% of individuals with one exposure). Minima enduring for 35% LE50 do not cause any mortality, even when repeated daily. Minima enduring for 44% LE50 cause ca 14% mortality on the first occurrence but no more if repeated at 3 day intervals, but 3% more per occasion if repeated daily. Minima enduring for 88% LE50 cause ca 40% mortality on first occurrence and an equal amount at each recurrence even if each is 7 days apart. Minima enduring for 125% LE50 and over 150% LE50 cause respectively ca 80% and 100% mortality respectively on first occurrence.The daily maximum temperature (in the range 15°C to 25°C) appears to have little relevance to the mortality caused by a repeated minimum of -5°C. Flies of different ages have a similar ability to survive a repeated minimum of -6°C for up to six exposures, but thereafter old flies are more susceptible than young ones.These results can be related to mortality caused by frosty conditions in the field so long as the time spent at the minimum is known and the temperature on the ground can be measured or calculated.
Résumé L'aptitude à survivre à une ou plusieurs expositions à des températures inférieures à zéro dépend à la fois de leur sévérité et du laps de temps entre les expositions. L'effet d'une température minimale déterminée dépend de sa valeur, de sa durée et du type de refroidissement: brutal (step) ou progressif (ramp).Les effets de toute température minimale peuvent être exprimés en termes de LE50 (temps nécessaire pour obtenir une mortalité de 50% avec une exposition unique). Lorsque le temps d'application de la température minimale correspond à 35% du LE50, il n'y a pas de mortalité, de même dans le cas de répétitions quotidiennes. Lorsque le minimum est subi pendant 44% du LE50, il provoque environ 14% de mortalité après la première exposition, avec 3% supplémentaire après chaque exposition quotidienne, mais l'augmentation est nulle si l'exposition au froid n'a lieu que tous les 3 jours. Lorsque le minimum est subi pendant 88% de LE50, la mortalité après la première exposition est d'environ 40% et de même importance à chaque nouvelle exposition, même si elles sont espacées de 7 j. Lorsque la durée d'exposition au minimum correspond à 125% et à 150% de LE50, les mortalités sont respectivement d'environ 80% et 100% à la première exposition.La température maximale quotidienne, entre 15 et 25°C, semble avoir peu d'influence sur la mortalité provoquée par des expositions répétées à-5°C. Les mouches d'âges différents résistent de la même façon jusqu'à 6 expositions répétées à-6°C, mais au-delà les mouches âgées sont plus sensibles que les jeunes.Dans la mesure où, dans la nature, la durée d'exposition à la température minimale est connue et où la température dans le sol peut être calculée ou mesurée, ces résultats peuvent permettre d'interpréter la mortalité provoquée par le gel.
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18.
The intrinsic rates of increase (rm) ofCyrtobagous salviniae Calder & Sands from Brazil andC. singularis Hustache from Trinidad W.I., were determined in the laboratory at 23°C, 27°C and 31°C on nitrogen-rich plants of the aquatic weed,Salvinia molesta Mitchell.Variation in oviposition and immature survivorship accounted for most of the differences between species in rm values (exponential growth of a stable-age population in a non-limiting environment). Values for rm were higher forC. salviniae (0.210, 0.366, 0.404) than forC. singularis (0.148, 0.140, 0.064) at the three temperatures respectively. At all temperatures,C. salviniae laid seven times more eggs thanC. singularis while at 31°C oviposition was reduced for both species by 45%, and was accompanied by a reduction in egg hatch. Oviposition byC. salviniae was almost continuous (92% of weeks with some eggs laid) whereas oviposition byC. singularis was intermittent (50% of weeks) with intervals averaging 3 weeks without oviposition. Nitrogen concentration inS. molesta affected reproduction byC. singularis more thanC. salviniae, an increase of 0.1% (dry wt) increasing weekly oviposition by 7.0% and 3.6% respectively.The differences in rm for the two weevil species are discussed in relationship to their potential as biological control agents.
Taux intrinsèques d'accroissement deCyrtobagous singularies Hustache andC. salviniae Calder & Sands, utilsés dans la lutte biologique contreSalvinia molesta Mitchell
Résumé Les taux intrinsèques d'accroissement (rm) deC. salviniae du Bresil et deC. singularis de Trinidad, ont été établis au laboratoire à 23°C; 27°C; 31°C, sur des plants deS. molesta riches en azote.Les différences entre les rm des deux espèces provenaient pour l'essentiel de la ponte et de la mortalité préimaginale. Aux 3 températures, les valeurs de rm deC. salviniae (0.210; 0.366; 0.404) étaient supérieures à celles deC. singularis (0.148; 0.140; 0.064). A toutes les températuresC. salviniae a pondu 7 fois plus d'oeufs queC. salviniae; à 31°C, la ponte a été réduite de 45% pour les 2 espèces et été accompagnée d'une diminution des taux d'éclosion. La ponte deC. salvinae était presque continue (92% des semaines avec des oeufs), tandis que celle deC. singularis était intermittent (50% des semaines avec pontes), les interruptions étant en moyenne de 2 semaines. La teneur deS. molesta en azote a affecté la reproduction deC. singularis plus que celle deC. salviniae; un accroissement de 0.1% en poids sec, augmentant les pontes hebdomadaires respectivement de 7% et de 3.6%.Les différences de valeur de rm des 2 espèces sont examinées pour évaluer leurs potentialités comme éléments de la lutte biologique.
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19.
In order to select a candidate strain of Trichogramma sp. for inundative releases against lepidopteran pests in cabbage field-crops in the Netherlands, the parasitization activity of a collection of 60 different Trichogramma spp. strains was studied during 2 h and 24 h exposures at 12°C. Activity and parasitism varied significantly among strains and the two characteristics were not correlated, suggesting the action of two differentially temperature-dependent mechanisms influencing both characteristics. Native strains were characterized by a low activity at 12°C, making their usefulness for inundative releases doubtful. In three strains tested at 12, 17, 20, 25 and 30°C, activity increased linearly with temperature, until nearly all females parasitized at 20 or 25°C. Parasitism increased with increasing temperature to a maximum at 20–25°C and declined at 30°C. Handling time decreased asymptotically with increasing temperature. The results of this study suggest that Trichogramma strains vary in adaptability to low temperature, making this characteristic a useful criterion for evaluation of candidate strains.
Résumé Afin de sélectionner une souche de Trichogramma sp. (Hymenoptera, Trichogrammatidae) candidate pour des lâchés inondatifs contre les Lépidoptères pestes de chou aux Pays-Bas, l'activité de parasitisation d'une collection de 60 souches différentes de Trichogramma spp. a été étudiée à 12°C pendant des durées d'exposition de 2 h et 24 h. L'activité proportionnelle et le degré de parasitisation des femelles varient significativement selon des souches et ne sont par corrélés. Ceci suggère l'action des deux mécanismes distincts, dépendant de la température et contrôlant independamment chacun de ces processus. Les souches indigènes sont caractérisées par une faible activité à 12°C, mettant en doute leur utilisation pour les lâchés inondatifs. Dans 3 souches testées à 12, 17, 20, 25 et 30°C, l'activité augmente linéairement avec la température, jusqu'a ce que quasi toutes les femelles parasitent les oeufs hôtes à 20°C et 25°C. Le taux de parasitisation augmente avec la température atteignant un maximum à 20–25°C puis diminue à 30°C. Le temps de manipulation d'un oeuf hôte diminue asymptotiquement lorsque la température croît. Les résultats de cette étude suggèrent que la capacité d'adaptation aux températures basses varie selon les souches de Trichogramma. Cette caractéristique constitue un critère utile pour l'évaluation de souches candidates potentielles.
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20.
A direct causal relationship was demonstrated between soil temperature and insect ovipositional propensity. When ovipositional substrates (soils) at 5, 15, 22, 30, 35, and 40°C were presented in multiple treatment (choice) tests with air temperature at 15 or 22°C, onion flies, Delia antiqua (Meigen) (Diptera: Anthomyiidae), laid the most eggs in the 22°C substrate. Only 50 eggs were laid when air temperature was increased to 30°C, as compared to 454 and 1128 eggs at 22 and 15°C, respectively. Thus, an air temperature of 30°C appears to be near the upper limit of onion fly ovipositional activity. The numbers of flies observed (counts taken every 15 min) on substrates ranging from 15 to 40°C were not significantly different. Reduced alightment/arrestment does not explain reduced oviposition on the warmer substrates; however, it may partly explain reduced oviposition on 5°C substrates. The range of substrate temperatures facilitating substantial oviposition was narrower than that eliciting alightment/arrestment on the substrate. The ca. 20°C ovipositional optimum corresponds well with temperatures favoring egg survival and development.
Résumé La température du sol est réglée, dans les pondoirs de D. antiqua, par un thermoblock, tandis que toutes les autres variables, associées au succédané d'oignon servant de stimulus de ponte, sont maintenues constantes. Une relation causale entre température du sol et activité de ponte est mise en évidence. Quand il y a choix entre des substrats de ponte à 5, 15, 22, 30 et 40°C, avec une température de l'air de 22°C, les mouches pondent surtout dans le substrat à 22°C. L'optimum thermique est de 20°C quand la température de l'air est abaissée à 15°C. La ponte n'est que de 50 ufs quand la température de l'air est portée à 30°C, contre respectivement 454 et 1128 ufs à 22 et 15°C. Ainsi, une température de l'air de 30°C paraît proche de la limite supérieure de l'activité de ponte de D. antiqua. Le nombre de mouches observées sur le substrat (toutes les 15 min.) ne varie pas significativement quand la température du substrat est entre 15 et 40°C. La gamme de températures provoquant la fixation sur le substrat est plus large que celle des températures provoquant une ponte importante. L'optimum de 20°C correspond bien aux températures favorables à la survie et à la croissance de D. antiqua.Ce travail montre l'effet important de facteurs abiotiques sur l'acceptation de la plante-hôte.
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