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1.
Résumé Les larves de deux espèces deSystoechus (somali oldroyd etaurifacies greathead), attaquent les œufs du criquet pèlerin (Schistocerca gregaria Forsk?l) en Afrique orientale. La morphologie des larves et des pupes de ces deux espèces et de deux autres a été étudiée en détail. Les larves sont presque identiques; seulement quelques faibles différences ont été observées dans la forme des sclérites céphaliques. Les pupes, d'autre part, présentent des caractères plus distincts. La distribution duSystoechus parmi les lieux d'oviposition duSchistocerca et parmi les oothèques d'une même station est très irrégulière. Chaque larve demande 8–10 œufs (c'est-à-dire un huitième d'une oothèque) pour le développement complet. On trouve souvent plus d'une larve dans l'oothèque, mais il n'en résulte pas la destruction de tous les œufs. Le développement larvaire et le stade de pupe durent chacun à peu près une semaine, mais la larve développée passe dans le sol une période de repos dont la durée varie de plusieurs mois à plusieurs années. Les pluies déclenchent la formation des pupes; toutes les larves ne se transforment pas à la première pluie; en conséquence, l'éclosion des adultes est très échelonnée.   相似文献   

2.
D. Bar  D. Gerling 《BioControl》1971,16(1):19-36
The developmental history, longevity and fecundity ofPteroptrix smithi (Compere) are described and discussed. Both sexes develop as primary parasites ofChrysomphalus aonidum (L.). Developmental duration at 26°C averages 25 days and the average fecundity at this temperature is 26.5 eggs for unmated and 21.4 eggs for mated females. Under laboratory conditions 50–80% of the eggs are laid during the first few days of adult life. Longevity of females ranges from a maximum of 44 days at 20°C to a minimum of 15 days at 32°C. Male longevity does not differ significantly.
Résumé Les deux sexes sont parasites primaires de la CochenilleChrysomphalus aonidum L. La durée du développement à 26°C est en moyenne de 25 jours et la fécondité moyenne à cette température est de 26,5 œufs chez les femelles vierges et 21,4 œufs chez les femelles accouplées. Au laboratoire 50 à 80% des œufs sont déposés au cours des tout premiers jours de la vie imaginale. La longévíté des femelles varie de 44 jours à 20°C à 15 jours à 32°C, celle des males n'est pas significativement différente.


Dedicated to Prof.H. Mendelssohn on the occasion of his 60th birthday.  相似文献   

3.
Uri Gerson 《BioControl》1968,13(2):163-173
Résumé La biologie des aphelinidesAphytis hispanicus (Mercet) etProspaltella inquirenda Silvestri, respectivement ecto et endoparasite deParlatoria pergandii Comstock, a été étudiée comparativement en laboratoire.A. hispanicus accomplit son cycle en 34 jours environ à 20 °C et en 16 jours à 28 °C; il produit en moyenne 23,8 descendants, tandis que pourP. inquirenda ces durées sont de 62 et 26 jours et le nombre moyen de descendants 20,6. Le comportement pendant l'oviposition et les interactions diverses entre l'h?te et le parasite ont été notés. Le nectar d'agrumes a prolongé la vie des deux parasites autant que le miel.A. hispanicus a généralement une vie plus prolongée queP. inquirenda. Le premier parasite a mieux survécu dans des conditions de forte humidité relative (61%, 80%), maisP. inquirenda s'est trouvé favorisé dans des conditions de faible humidité relative, ainsi qu'après une exposition à des températures extrêmes. En conclusion,A. hispanicus a un taux plus rapide de croissance, tandis queP. inquirenda est mieux adapté aux conditions naturelles.

This research has been finaneed in part by Grant No. FG-Is-227 made by the United States Department of Agriculture under P.L. 480.  相似文献   

4.
B. Hurpin 《BioControl》1971,16(3):297-341
Le rôle des principaux facteurs susceptibles de déclencher ou de favoriser la rickettsiose chez les larves du Hanneton commun a été étudié en essais de laboratoire, par élevage individuel de lots de 20 ou 25 vers blancs contaminés soit par injection intrac?lomique, soit par injection intra?sophagienne, soit par ingestion libre. Les trois stades larvaires présentent une sensibilité analogue à l’infection, bien que les larves du premier stade soient davantage sujettes à une mortalité autre que celle causée directement par la prolifération des rickettsies. La mue des insectes atteints est retardée mais leur métamorphose n’est pas inhibée en cas d’infection en fin de vie larvaire. Les tissus de l’adulte permettent la multiplication du micro-organisme, ce qui entraîne la mort des insectes parfaits. Aussi les chances de transmission à la descendance sont faibles. Par injection un seul élément est capable de provoquer la maladie et il en suffit d’un nombre relativement restreint à la suite d’une ingestion forcée dans l’intestin antérieur. Par contamination du substrat, il n’y a pas de relation directe entre la dose de germes et les cas de maladies, ceux-ci sont les plus nombreux pour une dose moyenne, de l’ordre de 1 L3 malade par litre de substrat. Un inoculum trop important provoque une mortalité de type bactérien, à la suite de processus d’enchaînement de maladies, liées vraisemblablement à l’action de toxines. Ces phénomènes sont d’autant plus fréquents que les larves sont plus jeunes, donc plus fragiles, ou que les conditions sont moins favorables: température trop élevée par exemple. La température et la nature du sol, dans les limites supportables par les larves du Hanneton, n’ont pas d’influence marquée. L’importance de l’état physiologique de l’hôte et des possibilités de conservation des rickettsies dans le sol est discutée.  相似文献   

5.
Esam A. Elbadry 《BioControl》1968,13(4):323-329
Résumé Amblyseius aleyrodis Elbadry, a été élevé au laboratoire à 22–24°C et 50–60% H.R. et alimenté soit avec des œufs agés de 1 ou de 2 jours ainsi que des larves de l'AleurodeBremisia tabaci (Genn.), soit avec les différents stades deTetranychus neocalidonicus André, soit avec des grains de pollen deGossypium sp. et d'Antirrhinum majus, soit enfin avec le jus de la planteDolichos lablab. Les jeunes femelles pondeuses deA. aleyrodis consomment en moyenne par jour 12,3 œufs d'Aleurode, 21 œufs deT. neocalidonicus, ou 16 larves ou imagos deT. neocalidonicus. Les stades immatures deA. aleyrodis sucent environ 31 œufs de tétranyques. Le pollen, les œufs deT. neocalidonicus et le jus de plante n'assurent qu'une reproduction limitée. Le taux journalier moyen de fécondité des jeunes femelles varie de 0,1 œufs (jus de plante) à près de 2 œufs (larves d'Aleurodes).   相似文献   

6.
Résumé Melanagromyza cuscutae Hering était considéré comme un agent biotique prometteur pour la lutte biologique contre la Cuscute. Dans les conditions de laboratoire, les imagos en présence de Cuscute et d'une solution de miel s'accouplent 1 à 4 jours après leur émergence, habituellement le matin, pendant 2 à 5 heures. Les femelles pondent 2 à 8 jours plus tard et cela durant 6 à 15 jours; au cours de leur vie (8 à 21 jours), chaque femelle dépose 11 à 132 œufs avec un maximum de 31 œufs dans une journée. L'éclosion des œufs se produit après 1 ou 2 jours. Les 3 stades larvaires et le stade pupe durent respectivement 7 à 8 et 8 à 13 jours. La ponte détermine une hyperplasie des cellules de la plante h?te et le forage des tiges entra?ne leur durcissement, leur noircissement puis leur dessiccation sur 10 cm. Un fort parasitisme (60–70%) par 6 espèces d'Hyménoptères a été observé en mai et juin. La Mouche était active en mars-avril et septembre–novembre en plaine et en juin–juillet en montagne, lorsque les températures étaient comprises entre 17 et 23°C. Les périodes défavorables sont passées à l'état de pupe dans les tiges minées. Les tests de spécificité ont montré que les femelles fécondées refusent de pondre dans 81 espèces de plantes appartenant à 42 familles. Seuls,Tradescantia sp. etIpomoea batatas re?urent chacune 1 œuf qui évolua normalement tandis que la larve n'a pas poursuivi son développement. L'alimentation de l'adulte surCuscuta semble essentielle pour la reproduction: en l'absence de cette plante, l'accouplement et le développement ovarien n'ont pas lieu.   相似文献   

7.
Les utérus sont prélevés par dissection des femelles âgées soit de 2 jours (P. caudata), soit de 2 à 4 jours (L. diatraeae); ils contiennent alors des oeufs qui viennent juste d'être fécondés. Ces utérus sont placés aseptiquement sur des milieux de culture pour observer l'embryogénèse éventuelle des oeufs. Un milieu physiologique simple (Y) et un milieu nutritif complet (M) sont testés sous deux formes, liquide ou gélifiée avec 0,5% d'agarose. Chez les deux espèces le développement embryonnaire complet a pu être observé in vitro. Les meilleurs résultats, qui fournissent le même pourcentage de larves qu'in vivo, sont constatés avec le milieu M agarosé. Sur les milieux liquides le rendement en larves est inférieur de moitié environ par rapport aux milieux gélifiés correspondants. Avec les milieux simples Y, mème si un fort pourcentage de larves est obtenu (Y agarosé), celes-ci meurent rapidement. Seul le milieu M permet d'obtenir des larves d'excellente viabilité et aptes à se développer. La composition du milieu, mais aussi les possibilités respiratoires offertes aux oeufs agissent sur l'embryogénése.  相似文献   

8.
Résumé La variabilité de la sensibilité des larves de la noctuelle égyptienne du coton,Spodoptera littoralis Boisduval à l'hyphomycète entomopathogèneNomuraea rileyi (Farlow) Samson a été abordée en étudiant la variabilité interclonale du champignon et la variabilité de l'insecte-h?te à travers des populations d'origines géographiques différentes. En raison de la polyphagie de l'espèce-cible, l'influence de la plante-h?te sur la sensibilité des larves phytophages a aussi été prise en compte. Les traitements ont consisté à exposer les larves à un inoculum sporal déposé par pulvérisation sur des rondelles de feuille calibrées pendant 24 h. L'activité pathogène, à l'égard des larves du 1er stade, des 12 clones monosporaux de la soucheN. rileyi 5 varie significativement (TL50 compris entre 4,7 et 6,2 j à la dose de 3.104 spores/cm2). Cette variabilité intraspécifique observée à un moment donné est néanmoins du même ordre que la variabilité de l'activité de la souche-mère polyclonale, relevée sur une période de 4 ans (TL50 compris entre 4,5 et 6,6 j). Les 3 populations originaires d'Isra?l, d'Egypte et du Maroc ont présenté une sensibilité comparable àN. rileyi 5 après contamination des larves nouveau-nées avec des doses croissantes d'inoculum (DL50 comprises entre 0,7.104 et 1,1.104 spores/cm2 et TL50 compris entre 5,1 et 5,5 j à la dose de 3.104 spores/cm2). L'alimentation des larves, depuis l'éclosion, sur 4 espèces végétales: chou, coton, féverole ou aubergine, n'a pas modifié significativement la sensibilité des larves du 3e stade (DL50 comprises entre 0,3.103 et 0,7.103 spores/cm2 et TL50 compris entre 4,0 et 4,3 j à la dose de 3.104 spores/cm2). La souche polyclonaleN. rileyi 5 para?t bien adaptée à la noctuelle égyptienne du coton en raison de sa stabilité, de son agressivité à l'égard des populations d'origines géographiques différentes et de l'absence d'effet de l'alimentation des larves sur l'infection.   相似文献   

9.
Dans la nature, les ♀♀ d'A. obtectus pondent dans les gousses sèches de P. vulgaris, par des fentes de déhiscence, ou après avoir pratiqué avec leurs mandibules une perforation sur une suture de la gousse (généralement la suture ventrale). Le taux de contamination est déjà très fort (0.40) après seulement 2 à 3 jours d'exposition au stade phénologique propice à la ponte. Ce taux augmente avec la durée d'exposition mais se stabilise assez vite pour des durées supérieures à 5 jours. Par contre, le nombre d'?ufs déposés par gousse contaminée augmente régulièrement en fonction de la durée d'exposition, les ♀♀ concentrant leur ponte dans certaines gousses en utilisant la même perforation. Ces résultats permettent de discuter les hypothèses émises à la suite de travaux ayant mis en évidence, au laboratoire, l'existence, chez A. obtectus, de «phéromones répulsives» de marquage du lieu de ponte. A. obtectus — P. vulgaris — Oviposition behaviour— Eggs distribution. A. obtectusP. vulgaris — comportement de ponte — distribution des pontes. Nous remercions le Professeur V. Labeyrie pour son aide critique.  相似文献   

10.
J. Kugler  Z. Wollberg 《BioControl》1967,12(4):363-379
Résumé Les auteurs décrivent le cycle évolutif et le comportement de ponte de l'Agrothereutes tunetanus Haber. (Ichneumonidae, Cryptinae) dans les conditions de laboratoire (25°C et 50–60% H.R.). Le développement des œufs des larves et des nymphes, le comportement des stades larvaires, les habitudes alimentaires, l'accouplement et le comportement pendant l'oviposition sont décrits. A. tunetanus est un parasite de l'Orgyia dubia Tausch., attaquant le dernier stade larvaire de la femelle après que celle-ci ait tissé son cocon, mais avant la nymphose. Le même degré d'activité de ponte du parasite est provoqué par le dernier stade larvaire et la nymphe des femelles h?tes. Une moindre activité est suscitée par les femelles m?res dans les cocons et le dernier stade larvaire male, tandis que l'activité de ponte provoquée par les nymphes males est presque nulle. Le nombre moyen d'œufs pondus par une femelle durant une seule attaque (entre 3 et 4) ne dépend pas (de manière significative) du nombre de cocons présents. Le nombre d'attaques effectuées parA. tunetanus en 24 heures dépend de la quantité de cocons disponibles, les facteurs limitants sont le nombre d'œufs m?rs dans de la femelle gravide et la quantité d'œfus pondus pendant chaque attaque. Avec 6 cocons en 24 heures, une femelle, au maximum de sa fécondité, arive à une moyenne de 3,27 attaques. La fécondité d'une femelle est en moyenne de 308 œufs.

Part of the M. Sc. thesis done under the supervision of the first author and submitted to the Department of Zoology of the Tel-Aviv University.  相似文献   

11.
The large milkweed bug, Oncopeltus fasciatus (Dallas), was reared from fourth instar to the adult stage on chemically defined diets, and was maintained alive for 2 to 5 months on such diets. Insects grew better on diets containing 5% sucrose than on those containing 3, 10 or 20% sucrose, and gained almost as much weight as those on milkweed seed and water. Newly hatched nymphs gained almost ten times in weight and moulted once or twice on different diet solutions, but never reached the adult stage. Diluted diets greatly prolonged the length of the stadium and survival of first- and second-instar nymphs, but these did not reach the adult stage. Ommission of cholesterol from the diet had no effect either on growth or moulting of this insect.
Résumé On a pu élever la punaise de l'asclépiade, Oncopeltus fasciatus (Dallas) sur des régimes de composition chimique définie, ceci à partir du quatrième stade larvaire jusqu'à l'imago, et la maintenir sur de tels régimes durant deux à cinq mois consécutifs. La croissance pondérale de l'insecte a été supérieure sur les régimes contenant 5% de sucrose que sur ceux contenant 3, 10 ou 20% de sucrose, et est comparblle à celle obtenue sur les régimes à base de graines d'asclépiade. La croissance des larves fra?chement écloses placées sur de tels régimes a été décuplée; ces larves ont mué une ou deux fois, sans toutefois atteindre le stade adulte. Des régimes dilués ont eu pour effet de prolonger considérablement la survie et la durée des larves de premier et deuxième stades. Labsence de cholestérol dans les régimes nutritifs a semblé n'avoir aucun effet sur la croissance et la mue.
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12.
L'importance des pressions de sélection au cours des premières générations, dans des élevages en alimentation artificielle, est mise en évidence par l'étude de souches d 'Acrolepiopsis assectella Zeller soumises à des changements de régime alimentaire. l'évolution du taux de survie et de la durée du développement des larves a été suivie pendant les premières générations après le changement, et ultérieurement contrôlée au cours de plusieurs années d'élevage dans les mêmes conditions. Le taux de survie semble atteindre assez rapidement un équilibre, dont le niveau n'est pas indépendant de l'aliment consommé, tandis qu la durée du développement larvaire devient identique pour toutes les souches dès la quatrième génération. Ces phénomènes semblent correspondre à une adaptation des insectes à leurs conditions d'élevage, qui provoquent une sélection dans les populations d'origine.  相似文献   

13.
The virulence of the DAT F-001 isolate ofMetarhizium anisopliae forAdoryphorus couloni was tested by exposing final instar larvae (L3) to concentrations of 101 to 107 spores/g in a sand-peat mix for up to 112 days at 20°±2°C. All concentrations were pathogenic to L3 larvae and survival was dependent on concentration and correlated with exposure time. The time to kill 50% of the treated larvae (LT50) ranged from 18.9 days (107 spores/g) to 82.7 days (101 spores/g). The effect of DAT F-001 on feeding by L3 larvae was determined by comparing the production and weight of frass pellets/larva/day of untreated control larvae with larvae rolled in sporulating cultures ofM. anisopliae DAT F-001 and DAT F-054 (low virulence). Exposure to, and infection byM. anisopliae DAT F-001 had minimal impact on larval feeding. L3 larvae continued to feed at the same rate as both untreated and DAT F-054 treated larvae virtually until they died.
Résumé La virulence deM. anisopliae DAT F-001 pourA. couloni a été analysée en exposant des larves L3 à des concentrations de 101 à 107 spores/g dans un mélange de sable et de tourbe pendant un maximum de 112 jours à une température de 20°±2°C. Toutes les concentrations sont pathogènes pour les larves L3; la survie dépendait de la concentration et est en corrélation avec le temps d'exposition. Les LT50 sont compris entre 18,9 jours (107 spores/g) et 82,7 jours (101 spores/g). L'effet de DAT F-001 sur l'alimentation des larves L3 a été évalué en comparant la production et le poids des fèces/larve/jour des larves non-traitées avec des larves roulées dans des cultures sporulées deM. anisopliae DAT F-001 et DAT F-054 (faible virulence). L'exposition àM. anisopliae DAT F-001 suivie de l'infection a peu d'effet sur l'alimentation des larves. Les larves L3 continuent à s'alimenter au même rythme que les larves non-traitées de DAT F-054, quasiment jusqu'à leur mort.
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14.
Résumé Nous avions constaté précédemment que les frottis de culture de colibacille en bouillon additionné de lauryl-sulfate ou de laurylsulfonate de soude à 2,5% montrent, au sein des bactéries, des granulations identiques aux images nucléaires fournies par la méthode deRobinow. Dans cette note, nous montrons que l'emploi de ces détersifs à la concentration de 5%, permet, tout comme la méthode deRobinow, de mettre en évidence les noyax bactériens dans les frottis, de cultures développées sur milieux normaux.  相似文献   

15.
Résumé élevé à 26°C, 80% HR et sous une photopériode de 16 h, la durée des stades d'Aeolothrips intermedius Bag. est la suivante lorsque la proie estThrips tabaci: L1 2 jours, L2 6 jours, pronymphe 16 jours, nymphe 3, 4 jours. Les larves sont d'excellentes prédatrices, elles piquent leur proie au thorax puis la vident par une piq?re à l'abdomen. Elles tuent plus de proies qu'elles n'en consomment. 3 jours après la 1re mue la larve tisse un cocon soyeux, sécrétion probable des tubes de Malpighi. L'adulte sort du cocon et doit consommer des tissus floraux pour atteindre sa maturité sexuelle. La fécondité moyenne de la femelle est de 29 œufs avec un maximum de 70. Ceux-ci, généralement isolés, sont insérés dans le tissu des nervures foliaires. Les proies peuvent être des thysanoptères, des acariens, des aleurodes, des psylles mais pas des aphides. On observe 3 ou 4 générations dans la région de Montpellier.
Summary Aeolothrips intermedius Bag. when reared at 26°C. 80% RH. 16/24 photoperiod, on larvae ofThrips tabaci Lind. has the following duration of the various instars: 1st instar larva 2 days, 2nd 6 days, prepupa 1,6 days, pupa 3,4 days. The 2nd instar larva spins its cocoon alongside the foliar rib of the plant. Adults hatch and need to feed on flowers to reach sexual maturity. The average fecundity of the females is 29 eggs with a maximum of 73. Eggs are laid into the tissues of the foliar rib. Young larvae kill more prey than they feed upon. Three or 4 generations were observed in the field near Montpellier. Parthenogenesis may occur.
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16.
Intra- and interspecific competition for food (Myzus persicae) in larvae ofSyrphus ribesii andS. corollae were investigated in the laboratory at 20°, 16 hrs light. A competing unit consisted originally of six newly hatched larvae, trhee of each species or six of one species.S. ribesii had a low larval survival (about 35–40%) and a prolonged larval period (about 16–17 days) under both intra- and interspecific conditions, although food consumption was greater when mixed withS. corollae. InS. corollae, larval survival was significantly smaller when mixed withS. ribesii than under intraspecific conditions (25.0% and 73.1%). Larval period was somewhat increased in the mixed series. The results are explained by different sizes, natural food demands, feeding efficiencies and predatory tendencies of the two larval species.
Résumé De jeunes larves deSyrphus ribesii et deSyrphus corollae ont été rassemblées par groupe de 6, toutes de la même espèce ou bien à raison de 3 larves de chaque espèce. Au sein de chaque groupe, les larves pouvaient entrer en concurrence les unes avec les autres en raison de la faible quantité de pucerons, qui étaient offertes chaque jour en nombre dépendant de l’age des larves, les mortes n’étant pas remplacées. Dans le cas d’une concurrence intraspécifique, les larves deS. ribesii ont un taux de survie faible (35–40%) et un long cycle de développement (16–17 jours); par contre,S. corollae a une survie élevée (73,1%) et un cycle de développement normal (9,9 jours). Dans le cas d’une concurrence interspécifique, le développement deS. ribesii n’est pas modifié, mis à part une prise de nourriture un peu plus grande en présence deS. corollae, ce qui se traduit par un poids plus élevé des pupes — par contre, les larves deS. corollae ont un taux de survie sensiblement plus faible (25,0%) et une durée de développement un peu plus longue (11,0 jours), lorsqu’elles sont placées dans les conditions d’un comportement interspécifique. Les résultats peuvent être expliqués par le fait que les larves deS. corollae ont, en présence des larves deS. ribesii, un comportement alimentaire plus mauvais que lorsqu’elles sont placées avec des individus de la même espèce. Cela tient vraisemblablement à ce que les larves deS. ribesii sont plus grosses, ont un besoin alimentaire plus élevé et consomment les pucerons plus rapidement queS. corollae.
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17.
The following aspects ofHypoaspis miles' biology were investigated; development rate of egg to adult at different temperatures, fecundity, longevity and rate of predation on sciarids. With an increase in temperature the time taken for development decreased from 33.7 days at 15°C to 9.2 days at 28°C. The threshold temperature forH. miles to complete its life cycle was between 10° and 12°C. When fed onAcarus siro, H. miles laid 2–3 eggs a day and unfertilized eggs only developed into males. Adults ofH. miles (0–1 day old) survived for 24.0±1.4 days without food and if fed for 6 days and then starved, females lived for 65.4±2.6 days which was significantly longer than males (45.2±3.0 days). With food, 60% of males and females survived for 142 days. All larval instars of sciarids were attacked byH. miles although the numbers consumed were dependent on the size of the larvae. Egg predation was negligible and pupae were not attacked. In productivity studies ofH. miles in culture (fed onA. siro), the time taken for the mites to reach a density of 45–65,000/litre ranged from 76 to 23 days at 15° and 28°C respectively.
Résumé Différents aspects de la biologied'Hypoaspis miles sont examinés: vitesse de développement de l'oeuf à l'adulte à différentes températures, fécondité, longévité et voracité sur les sciarides. Avec une augmentation de la température, la durée du développement passe de 33,7 jours à 15°C à 9,2 jours à 28°C. La température minimale qui permet le développement complet deH. miles est située entre 10 et 12°C. Quand il est nourri d'"itAcarus siro, H. miles pond 2 à 3 oeufs par jour et seuls les oeufs non fécondés donnent des males. Les adultes deH. miles (agés de 0 à 1 jour) survivent pendant 24±1,4 jours sans nourriture et si elles sont nourries pendant 6 jours puis privées de nourriture, les femelles vivent 65,4±2,6 jours, ce qui est significativement plus long que les males (45,2±3 jours). Avec de la nourriture, 60% des males et des femelles vivent pendant 142 jours. Toutes les larves de sciarides sont attaquées parH. miles, mais le nombre de proies consommées dépend de la taille des larves. La prédation des oeufs est négligeable et les pupes ne sont pas attaquées. Dans des études sur la productivité deH. miles en élevage (nourri deA. siro), la durée nécessaire aux acariens pour atteindre une densité de 45–65 000/1 est de 76 et 23 jours à 15°C et 28°C respectivement.
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18.
A. Delobel 《BioControl》1989,34(3):351-363
Résumé Le trichogrammeUscana caryedoni Viggiani se développe aux dépens des œufs deCaryedon congense Decelle et de ceux de la bruche de l'arachide,Caryedon serratus (Olivier), sur les fruits d'une légumineuse arbustive commune au Congo,Poliostigma thonningii (Schum.). Dans la région de la Bouenza, dans le sud du pays, les taux de parasitisme dus àU. caryedoni s'accroissent au cours de l'année, à mesure que m?rissent les gousses, pour atteindre en novembre près de 40% (taux cumulé). La biologie du parasito?de a été étudiée au laboratoire sur œufs deC. serratus. A 30°C, la femelle pond en moyenne 66 œufs et vit un peu plus de 5 jours. Le développement préimaginal s'effectue en 16 jours à 26° et 12 jours à 30°. L'effet de la densité de l'h?te sur divers paramètres biologiques du parasite a été étudié. Un essai réalisé dans les conditions du laboratoire a révélé chezU. caryedoni de très faibles potentialités comme agent de limitation des populations deC. serratus dans les stocks d'arachide.   相似文献   

19.
Les criquets représentent un taxon central dans les chaînes alimentaires et sont de bons indicateurs à la fois des caractéristiques des milieux et des perturbations de leurs habitats. Associés exclusivement aux habitats herbacés pérennes, ils sont menacés dans les zones d’agriculture intensive. Du fait de leur importance dans les réseaux trophiques, notamment comme ressources alimentaires pour un grand nombre d’espèces aviaires, ils font l’objet d’une attention croissante des écologistes et des gestionnaires des milieux dans le cadre d’études de conservation pour évaluer quantitativement leurs populations. L’objectif de cette étude est de décrire une technique d’échantillonnage et un plan d’échantillonnage destinés à estimer la densité de criquets dans les milieux prairiaux. Cette étude se base sur 7 années d’observations de terrain, menées sur un vaste site d’étude en plaine agricole intensive. Nous montrons que le biocénomètre d’1 m2 de base est une technique robuste vis-à-vis des conditions de température durant l’échantillonnage. L’étude établit pour l’ensemble des espèces et pour deux espèces particulières, Pezotettix giornae et Calliptamus italicus, la relation qui lie la variance et la moyenne des effectifs par m2. C’est grâce à cette relation qu’on peut établir les tailles d’échantillons qui permettent d’atteindre des objectifs de précision choisis pour les estimateurs de la densité. Nous montrons que la réalisation de 15 lancers aléatoirement par parcelle permet d’obtenir des estimations de la densité de criquets/m2 dont la précision, définie par l’intervalle de confiance, varie selon la densité de 50% pour les densités inférieures à 1/m2 à 30% pour les densités de 2 à 7/m2 et à 20% pour les densités supérieures à 7/m2.  相似文献   

20.
La localisation des ?ufs et des larves dePsyllaephagus euphyllurae SILV. endoparasite du psylle de l'olivier (Euphyllura olivina COSTA) ainsi que le régime alimentaire de la phase post-embryonnaire sont identifiés par examen microscopique des coupes histologiques de larves de 5c stade parasitèes. L'entomophage dépose les 2/3 de ses ?ufs dans le thorax et son régime alimentaire comprend 2 phases bien distinctes:
  • - une première phase stéatophage de 7 à 7,5 jours pendant laquelle la larve ingère le tissu adipeux de l'hôte,
  • - une deuxième phase sarcophage de 1 à 1,5 jours au cours de laquelle la larve dePsyllaephagus euphyllurae fortement mandibulée consomme tous les organes de l'hôte à l'exception des téguments qui sont alors momifiés.
  • Pendant la 1ère période, la digestion commence à être visible chez une larve âgée de 3 jours, et durant la 2ème période, elle suit l'ingestion des organes de l'hôte qui sont sous forme de fragments non reconnaissables dans le tube digestif moyen.  相似文献   

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