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1.
Dans le Miocène moyen du Sud-Est de l'Europe on rencontretrès rarement des exemplaires fossiles de lamellibrancheslithophages, quelques-uns de ceux-ci appartenant au genre Lithophagaet d'autres au Pholas, Clavagella, Saxicava, Petricola, et Barnea.Certaines especes de Pholas et de Barnea sont rélativementsouvent rencontrees non seulement dans le Miocène moyen(etage Tortonien), mais aussi dans le Miocène supérieur(étage Sarmatien). En génèral ces espèces se rencontrent surun substrat calcaire. Å la fin du Miocène les espècesde lamellibranches fossiles lithophages disparaissent du basinde la Mer Noire, a cause que celui-ci est devenu un basin d'eaudouce. Mais, dans le temps actuel trois espèces de lamellibrancheslithophages vivent aussi dans la Mer Noire, venues dans le Quaternairede la Mer Mediterranee. C'est-à-dire: Pholas dactylusL., Barnea Candida var. pontica Mil., qui vivent sur un substratformé surtout de marnes argileuses ou de marnes calcaires.Sur un substrat de grès dures calcaire se rencontre presqueexclusivement Petricola lithophaga Retzius, sur la plateformerocheuse du sud de Constantza (Roumanie).  相似文献   

2.
Résumé Pour la première fois, les rotifères de la Camargue sont examinés. Des échantillons ont été pris aux environs de Salin de Badon, le long de la digue de mer et dans l'étang de Beauduc.Les 15 espèces trouvées sont nouvelles pour la région. Pour chacune d'elles, nous donnons l'écologie et la distribution dans l'eau saumâtre dans le monde entier.La plupart des espèces sont cosmopolites; une espèce est particulièrement intéressante, notamment Epiphanes mollis, dont c'est la première capture dans l'eau saumâtre de l'Éurope occidentale.

Rijkuniversiteit Gent. Laboratorium voor Systematische Dierkunde.  相似文献   

3.
Resume Une étude de la microrártition de la population de truite commune (Salmo trutta L.) et du juvénile de Saumon atlantique (Salmo salar L.) associée aux autres espès préntes est effectuée en fin d'été dans la partie amont du Scorff (distance source-estuaire 65 km).La population de saumon est composée uniquement d'individus d'âge 0+ alors que les truites ont entre 0+ et 3+ ans avec une majorité pour la classe d'âge des 1+ an. La densité de saumon augmente avec la vitesse de courant (r = 0,99) et la taille de la granulométrie du substrat. Un habitat trés favorable à l'espèce se caractérise par une faible profondeur (> 23 cm), une vitesse de courant élevée (61 cm/ s) et un substrat caillouteux. 75,4% de la population est recensée en plein courant.L'effet rive, est particulièrement important pour la truite quelque soit son âge (80,1%). L'absence de la truite 0+ du faciés à courant élevé et sa localisation près des berges dans les zones courantes (41 cm/ s) peu profondes entraînent une ségrégation spatiale avec le saumon de même âge. La truite d'au moins un an est présente dans des milieux plus profonds (27 cm) à vitesse de courant nulle à moyenne (< 28 cm/ s). L'effet rive est renforcée par la présence de nombreux courants en berge.Parmi les espéces d'accompagnement, le chabot a la distribution la plus large. La loche et la lamproie de Planer sont les espéces les plus abondantes et ont des densités très élevées dans des secteurs caractéristiques.L'ensemble de ces résultats est discuté en liaison avec les premières observations concernant la distribution de ces espèces sur le cours principal du Scorff.
We describe the microdistribution of populations of Brown Trout (Salmo trutta L.) and of juvenile atlantic Salmon (Salmo salar L.) in the upstream part of the Scorff river (Brittany) at the end of summer.The Salmon population was composed of one age classe (0+) only while Trout age varied from 0+ to 3+ years, with a majority in age class 1+. Salmon density increased with current velocity (r = 0.99) and the nature of the substratum. A very favorable habitat for this species was characterized by reduced depth (< 23 cm), a high current velocity (61 cm s 1) and a stony substrate. The largest part of the population (74%) was localized in the centre of the running open water.A bank effect was particularly important for brown trout, irrespective of age (80.1%). The trout 0+ is absent from shallow rifles and its presence in the few deep running water areas (41 cm s–1) along the banks involved a spatial segregation with salmon 0+. The trout of one year and older were localized in deeper habitats (27 cm) with zero to medium current velocity (< 28 cm s–1). The bank effect was intensified by the presence of many overhangs along the bank.Among the secondary species, sculpin had the widest distribution, but Stone-loach and brook lamprey were the most abundant species and reached high densities in characteristic areas.
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4.
Oviposition by a parasitoid wasp in an already parasitized host (= superparasitism) may result in larval competition and the loss of offspring. Consequently, in solitary species, the decision to superparasitize should be based on the probability of offspring survival. Females of Aphidius ervi Haliday and A. smithi Sharma & Subba Rao (Hymenoptera: Aphidiidae), two parasitoids of the pea aphid, discriminated between conspecific-and heterospecific-parasitized hosts. Both species showed partial preference for aphids previously attacked by A. smithi, a result predicted from the fact that A. ervi is superior to A. smithi in larval competition under most conditions. Females of A. smithi selectively attacked conspecific-parasitized pea aphids when given a choice between these and self-parasitized hosts. Results indicated that females of both species responded to an external pheromone-like marker to discriminate between selfconspecific-and heterospecific-parasitized aphids. In addition, A. smithi may use internal cues to recognize, and avoid oviposition in, aphids previously parasitized by A. ervi.
Résumé L'oviposition par une guêpe parasite dans un hôte qui a déjà été parasité (= superparasitisme) pourrait conduire à une compétition entre larves et à une perte de progéniture. Par conséquent, dans les espèces solitaires, la décision de superparasiter devrait être basée sur la probabilité de survie de la progéniture. Les femelles de Aphidius ervi Haliday et de A. smithi Sharma & Subba Rao (Hymenoptera: Aphidiidae), deux parasites du puceron du pois, ont discriminé entre les hôtes parasités par des individus de la même espèce et ceux parasités par des individus d'une espèce différente. Les deux espèces de parasite ont montré une préférence partielle pour les pucerons préalablement parasités par A. smithi, résultat qui était prévisible du fait que, dans la majorité des cas, A. ervi est supérieur à A. smithi dans la compétition entre larves. Les femelles de A. smithi ont sélectivement attaqué les pucerons parasités par un individu de la même espèce lorsqu'il leur était donné de choisir parmi ceux-ci et ceux parasités par les même individu. Les résultats indiquaient que les femelles des deux espèces répondaient à une sorte de phéromone externe pour distinguer les pucerons parasités par le même individu de ceux parasités par un individu de la même espèce et ceux parasités d'une autre espèce. En plus, A. smithi pourrait utiliser des signaux internes pour reconnaître et éviter l'oviposition dans les pucerons préalablement parasités par A. ervi.
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5.
Vertical distributions and diel migrations of the main speciesof micronekton, four euphausiids, one mysid, one decapod andthree fishes, were described in detail in the 0–1000 mwater column on a fixed station in the Northwestern MediterraneanSea. The euphausiids Euphausia krohni and Thysanopoda aequalis,the decapod Gennadas elegans and, to a lesser extent, the fishArgyropelecus hemigymnus were shown to perform clear diel verticalmigrations. Results of horizontal hauls at a given depth aroundsunrise and sunset showed a marked diurnal symmetry of the migratorycycles, particularly for E.krohni, T.aequalis and G.elegans.The behaviour of the euphausiid Nematoscelis megalops was morecomplex: it presented a repetitive bimodal day distributionand only part of its population migrated. As very weak or non-migratorswe found the euphausiid Stylocheiron longicorne and the bathypelagicmysid Eucopia unguiculata, for which migration concerned onlysome of the older individuals. The fishes Cyclothone braueriand Cyclothone pygmaea appeared to be non-migrants. As depthincreased, C.braueri was replaced by C.pygmaea, with maximumconcentrations at 350–550 and 550–700 m depth, respectively.  相似文献   

6.
Résumé L'étude physico-chimique des eaux, couplée à celle de la répartition quantitative des espèces bryophytiques aquatiques et subaquatiques de la Sambre, de la Somme et de la Meuse (Belgique et Nord de la France), permet de tirer quelques conclusions quant à la résistance de ces espèces aux différents types de pollutions.La synthèse multivariable des résultats aboutit à l'élaboration d'un indice de qualité des eaux, qui est comparé avec l'indice similaire de Descy, relatif aux diatomées benthiques.
The physico-chemical analysis of the waters, in conjunction with the quantitative distribution of the aquatic and subaquatic bryophytes in the rivers Sambre, Somme and Meuse (Belgium and North France), has led to conclusions about species resistance to different kinds of pollution.The data's multivariable synthesis gives a quality index of water and permits comparison with Descy's index for benthic diatoms.
Recherches bénéficiant de l'appui du Fonds de la Recherche Fondamentale Collective: programme du Centre de recherches fondamentales sur les bioindicateurs de la pollution des milieux continentaux.  相似文献   

7.
Reproductive data were collected on individually-held adult oriental fruit flies, Dacus dorsalis, melon flies, Dacus cucurbitae, and Mediterranean fruit flies, Ceratitis capitata including age-by-parity relations, birth interval, frequency distribution of individual egg production levels and the concentration of reproduction among females in a cohort. Specific findings include: i) delay in reproductive peaks in a cohort after eclosion is due almost entirely to the variance in attainment of reproductive maturity among individuals; ii) low reproductive output of reproductively mature melon flies is due mostly to long birth intervals; iii) high egg production in both the medfly and the oriental fruit fly is due to their consistency of egg laying levels and frequency (short birth intervals). Discussion stresses the importance of viewing reproduction, not as a singular and discrete life history trait, but as consisting of subcomponents of daily parity, cumulative parity and birth interval.
Résumé Les informations sur la reproduction ont été obtenues à partir d'adultes de Dacus dorsalis, D. cucurbitae, C. capitata, élevés individuellement. Elles portent sur les paramètres suivants: distribution par âge en fonction de la fécondité, échelonnement des pontes, distribution des niveaux quotidiens de ponte, fréquence des pondeuses par cohorte.Différents caractères spécifiques ont été mis en évidence: 1) La variabilité de la date d'apparition de la maturité reproductive est pour l'essentiel responsable du retard dans les dates de reproduction maximale; 2) De 30 à 50% des femelles de D. dorsalis âgées de 10 jours pondent plus de 50 oeufs/jour pendant les deux semaines qui suivent, tandis que seulement 10 à 20% des femelles des deux autres espèces parviennent à pondre cette quantité d'oeufs à n'importe quel âge; 3) D. cucurbitae ayant atteint sa maturité pond environ pendant 40% des jours (c.à.d. chaque 2,5 j), tandis que les deux autres espèces pondent au moins quelques oeufs pendant 80% des jours (c.à.d. chaque 1,25 j); 4) La production élevée d'oeufs de C. capitata et de D. dorsalis est due à la régularité de leur niveau de ponte et à la fréquence (faible espacement); 5) Les fractions des effectifs qui ont pondu au moins 600 oeufs en 30 jours étaient approximativement de 0,8, 0,7, et 0,4 pour D. dorsalis, C. capitata, D. cucurbitae; 6) 50% des femelles de chacune des trois espèces contribuent en gros pour 65% à la ponte.
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8.
Résumé 1. Les travaux deSarà (1953) et deBurton (1963) ont remis en question la valeur systématique des caractères morphologiques dans la classification des Eponges Calcaires, et ont proposé de considérer de nombreuses formes connues comme des variétés individuelles et régionales d'espèces très plastiques et variables. Nous avons essayé de préciser, par l'observation directe en plongée libre, la distribution et les préférences écologiques des Calcaires, de définir ainsi les limites naturelles de leurs populations, et d'étudier ensuite la variabilité des caractères morphologiques à l'intérieur de ces populations.2. Nous exposons ici l'exemple des espèces des genresClathrina etAscandra, étudiées en Adriatique, dans les régions de Marseille et de Roscoff. Leur distribution est en rapport direct et très précis avec l'exposition aux vagues et à la lumière, à tel point que sur une surface réduite plusieurs espèces se succèdent et se remplacent en fonction de l'exposition de l'endroit. Dans la règion de Roscoff cette distribution est plus large ce qui est dû aux effets des marées, mais les zones écologique préférentielles pour les espèces deClathrina ont pu être établies en fonction de l'importance de l'apport des sédiments par les eaux côtières.3. La possibilité de définir des populations dont la distribution est très précisemment délimitée malgré une coexistence dans un espace réduit, et qui ne sont pas réliées par les formes transitoires, permet d'éliminer l'hypothèse de la cospécificité de ces populations. Elle permet également d'établir les variations morphologiques possibles au sein d'une espèce, de retenir les caractères significatifs pour la classification, et finalement de distinguer les espèces qui se ressemblent morphologiquement. Dans le cas d'animaux qui, commeClathrina, possèdent très peu de caractères utilisables en systématique, c'est la seule façon de résoudre les problèmes de leur taxonomie.
The importance of research on the ecological distribution for the taxonomy of calcareous sponges
The particular difficulties of the taxonomy of calcareous sponges are due to their great plasticity and their capacity for adaptation which obscure the natural limits of species. An attempt was made to define the natural populations of the Mediterranean species of the generaClathrina andAscandra through a study of their ecological distributions. The populations not connected by the transitory forms were defined by their ecological preferences, and, as they are found in a close cohabitation, were treated as having the specific values. The variability of different morphological features is discussed, the features significant for taxonomy are pointed out and the morphologically close species are defined.
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9.
Traps baited with Z11-16:Ac, Z11-16:Ald, Z11-16:OH, and Z13-18:Ac, singly or in mixtures, were tested for their attractivity for males of microlepidoptera in an apple orchard, a mixed deciduous forest, and a coniferous forest. In particular, Z11-16:Ac and Z11-16: Ald attracted some Crambinae, one Glyphipteryx species, and several species of Argyresthia, including the injurous species A. fundella (on fir), A. conjugella (on apple), A. pruniella (on cherry), and A. thuiella (on Thuja).
Attraction sexuelle de microlépidoptères des sous-familles Argyresthiinae, Glyphipteryginae et Crambinae par des hexadécènes 11Z
Résumé L'attraction de microlépidoptères par des hexadécènes 11Z a été examinée en 1982 et 1983 à l'aide de pièges sexuels placés dans différents biotopes de Hollande. Ces pièges contenaient différents mélanges synthétiques d'acétoxy-1-hexadécènes 11Z (Z11-16:Ac), d'hexadécènal 11Z (Z11-16:Ald), d'hexadécénol 11Z (Z11-16:OH) et d'acétoxyl-1-octadécène 13Z (Z13-18:Ac). Les pièges étaient placés dans un verger de pommiers, dans un bois de feuillus aux essences diverses et dans un bois de résineux. Des mâles de 10 espèces de lépidoptères ont été capturés avec ces mélanges, parmi lesquels ceux de 3 espèces de Pyralidae, d'une espèce du genre Glyphipteryx et de 6 espèces du genre Argyresthia. Parmi les Argyresthia, certaines espèces sont considérées comme des déprédateurs: A. fundella sur sapin (Abies), A. conjugella sur pommier (Malus), A. pruniella sur cerisier (Prunus) et A. thuiella sur Thuja. Enfin, un tableau fournit 28 produits contenant des hexadécènes Z11 actuellement connus comme attractifs sexuels de microlépidoptères; la majorité des espèces appartient aux sous-familles Crambinae, Argyresthiinae, Glyphipteryginae et Acrolepiinae.
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10.
The hardness (i.e. resistance to penetration) of water-saturated polyporus and of various plant structures, determined by a 0.254 mm diameter needle-penetrometer, ranged from 12–50 and 11–112 g/mm respectively. The isolated mandibular stylets of three species of Homoptera (Typhlocyba rosae, Philaenus spumarius, Macropsis fuscula) possessed tapered but non-curved apices while the maxillaries were incurved to varying extents: this condition was reversed in two Heteroptera (Orthotylus ochrotrichus, Tingis cardui) where the mandibulars were incurved and the maxillaries straight. Insertion of the isolated stylets into wet polyporus produced curved paths closely related to the stylet structure with the average radius of curvature of the path decreasing by half in the hard (50 g/mm) compared with the soft (12 g/mm) polyporus. These results are related to published information on the stylet paths of these and related insects when they are feeding. Directional control of the stylets in plant tissue is considered to be primarily a function of the mandibular stylets in the Heteroptera and of the maxillaries in the Homoptera, for species in which the maxillary stylets are independently-moving.
Résumé La dureté (c'est-à-dire la résistance à la pénétration) de petits morceaux de polypore saturés d'eau est évaluée d'après la force nécessaire pour assurer l'enfoncement d'une aiguille d'un diamètre de 0,254 mm; celle-ci est comprise entre 12 et 50 g/mm. La dureté moyenne ainsi établie est évidemment plus grande que celle obtenue avec une aiguille de 0.142 mm; par ailleurs, si le polypore est remouillé, après avoir été séché, il ne montre aucun changement significatif de sa dureté; celle-ci est inversement proportionnelle à la teneur en eau.La dureté de divers organes des plantes, déterminée avec une aiguille de 0,254 mm, varie de 11,3 g/mm (nervure principale d'une feuille de tabac) à 112,2 g/mm (tige de chèvrefeuille), bien que certains tissus puissent avoir des valeurs moyennes bien au-dessus ou bien audessous de celle de l'organe entier. Comme avec le polypore, il y a une relation inverse entre la dureté et la teneur en eau.L'examen des extrêmités des stylets isolés chez trois espèces d'Homoptères et deux espèces d'Hétéroptères, montre que chez les Homoptères les mandibules sont droites et acérées alors qu'elles sont courbes chez les Hétéroptères; la condition inverse s'observe pour les maxilles. La courbure des stylets qui se voit chez l'insecte vivant quand leur extrémité est prolongée au-dela du faisceau, varie avec les espèces. Pour les maxilles, elle est plus grande chez Typhlocyba rosae que chez Philaenus spumarius et Macropsis fuscula (Homoptères), et pour les mandibules, elle est plus grande chez Tingis cardui que chez Orthylus ochrotrichus (Hétéroptères).Des stylets isolés enfoncés dans du polypore tendre ou dur (12 et 50 g/mm respectivement) suivent des trajets courbes en rapport avec la structure des stylets et avec la dureté du substrat.Des résultats publiés pour d'autres espèces d'Hémiptères au sujet de la pénétration des stylets dans les tissus des plantes sont confrontés aux résultats précédents. On en conclut que les trajets sinueux observés pour les stylets des Hétéroptères (O. ochrotrichus et T. cardui) et de petits Homoptères (Typhlocyba rosae) sont surtout le fait des stylets mandibulaires et maxillaires respectivement présentant une courbure. La courbure moins accentuée des stylets maxillaires de plus grands Homoptères (P. spumarius et M. fuscula) est à rapprocher du trajet plus droit des stylets de ces espèces, avec un changement de direction limité aux tissus vasculaires les plus durs.
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11.
The duration of larval and pupal stages of two species of predatory flies was investigated at five constant temperatures. Ilione albiseta (Scopoli): Mean duration of first and second instars was shortest at 23°C and there was 100% survival of first instar larvae at all temperatures. Mean third instar larval duration decreased from 104 days at 17°C to 27.5 days at 26°C. Total percentage larval survival was greatest at 17°C and least at 26°C. Mean pupal duration decreased as temperature increased and this occurred also under outdoor conditions. Pherbellia cinerella (Fallén): As temperature increased mean larval duration decreased but the percentage of larvae pupating also decreased (100% at 14°C, 33.3% at 26°C). There was a trend for shorter mean pupal durations at higher temperatures.
Résumé L'action de la température a été examinée à 14, 17, 20, 23 et 26°C. Les 2 espèces sont prédatrices de L. truncatula, vecteur de la douve du foie en Irlande, où elle provoque à l'àgriculture une perte évaluée à 10 millions de livres par an. Les données recuellies en conditions contrôlées du laboratoire doivent permettre de définir les conditions optimales pour l'élevage continu de ces espèces. Ceci est indispensable pour évaluer, dans la nature leurs potentialités pour la lutte biologique. Ilione albiseta: C'est à 23°C que le développement des larves de premier et second stades sont les plus brefs; la survie du premier stade est totale à toutes les températures constantes examinées. La durée moyenne du 3ème stade décroît de 104 jours à 17°C jusqu'à 27,5 jours à 26°C. Le taux de survie total est plus élevé à 17°C qu'à 26°C. La durée moyenne de la nymphose diminue quand la température croît, et ceci se produit aussi à la température ambiante extérieure. On réduit de moitié la durée du développement de l'éclosion de l'oeuf à l'apparition de l'adulte, entre la nature et le laboratoire, en utilisant respectivement: 23°, 17° et 26°C pour les premier et second stades, le troisième stade, la nymphé. Cela devrait aider à multiplier la souche pour la lutte biologique. Pherbellia cinerella: Avec élévation de la température la durée du développement larvaire diminue, mais aussi le nombre de larves parvenant à la pupaison (100% à 14° et 33,3% à 26°C). La nymphose tendait à être plus brève aux températures les plus élevées.
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12.
Résumé Etude d'un complexe de sources, situé dans la Plaine du Danube Inférieur (= Plaine Roumaine ou Plains de Valachie), à 100 m d'alt. environ. La station se caractérise par un complexe de facteurs uniques dans ce coin de (Europe: abondance de l'eau phréatique froide sortant à jour sur une surface restreinte, protection efficace grâce à une saulaie compacte, variété des substrats et abondance des sources trophiques. Ces éléments rendent possible l'existence d'une faune relique, comprenant rotifères, tardigrades, coléoptères, trichoptères, hydracariens, etc., espèces ayant ici leur seule station de la Plaine Roumaine. Les espèces qu'on signale dans le travail sont soit formes de montagne, soit à aréal septentrional ou septentrional-occidental, soit, enfin, caractéristiques pour les tourbières d'altitude, souvent même pour les tourbières acides à Sphagnum. On considère la faune du complexe de Corbii Ciungi comme un rests remarquable de la faune aquatique ayant peuplé la Plaine Roumaine antérieurement à la mise en friche sauvage des forêts et à l'extension impétueuse de l'agriculture, phénomènes ayant radicalement transformé ce territoire.  相似文献   

13.
Sommaire Dans le présent travail, sont examinées les associations des plantes ammophiles qui se rencontrent sur les côtes d'ouest du Péloponnèse (voir la carte du texte).Ces côtes sont les plus favorables à la formation des dunes de sable, car, d'une part elles sont plus ou moins escarpées et par suite plus exposées aux vents sud-ouests qui régnent à cette région, et, d'autre part, on rencontre dans cette région les trois facteurs qui sont nécessaires pour la formation des dunes, le vent, le sable et les plantes, qui constituent, d'après Kühnholtz-Lordat (1923) le trinôme dynamique. Les géophytes à rhizome, Ammophila arenaria, Agropyrum junceum ssp. mediterraneum, Galilea mucronata, et Sporobolus pungens, qui sont considérées comme espèces à grand géodynamisme positif sont très abondantes tout le long du cordon littoral de la plage (Tableaux I–III).La classe Cakiletea maritimae est représentée dans cette région par les associations Salsola Kali — Xanthium strumarium Oberd. et Tx. 1950, et Anthemis Muenteriana —Salsola Kali. La première a été trouvée pour la première fois par Oberdorfer (1952) sur les côtes de la Grèce du Nord et a été classifiée par Oberdorfer et Tüxen (1950), tandis que, la seconde, qui n'a pas été trouvée ailleurs, peut-être considérée comme une nouvelle association des plantes.Les associations de la classe ci-dessus sont rencontrées sur les côtes ou les baies abritées du vent et particulièrement aux endroits où il existe une quantité suffisante d'humus et des débris végétales. L'association des plantes Salsola Kali — Xanthium strumarium est plus nitrophile que la seconde et se rencontre sur les régions les plus basses du rivage, où s'est accumulée une quantité suffisante d'humus et des débris végétaux. Ces derniers proviennent, le plus souvent, des espèces Zostera marina, Posidonia oceanica, Arundo Donax et d'autres. L'association des plantes Anthemis Muenteriana — Salsola Kali est moins nitrophile que la précédente et se rencontre sur les dunes basses d'une hauteur de 0.50–1.50 m qu'elle recouvre; ces dunes sont parallèles au rivage. Cette association apparaît le plus souvent dans sa phase optimale. Aux endroits où la quantité d'humus et des débris végétaux est moindre, apparaît l'association Agropyretum mediterraneum dans sa phase initiale (Tableau I et Photos 9–10).L'association Agropyretum mediterraneum apparaît principalement sur les dunes d'une hauteur de 1 à 2 m, sauf dans très peu de cas (Tableau II). La phase optimale de l'association Agropyretum mediterraneum se rencontre sur les dunes d'une hauteur de 1.50 à 2 m. Ces dunes se trouvent aux endroits où la côte est plus escarpée et par suite plus exposée aux vents sudouests, comme sont, par exemple, les côtes de la région Kaïafa (Photos 15–17). La phase optimale de cette association se caractérise par une abondance des espèces caractéristiques et par l'abondance des représentants des géophytes à rhizome, comme les espèces Agropyrum junceum ssp. mediterraneum, Galilea mucronata, et Sporobolus pungens (Tableau II, nos 1–6).L'association des plantes Ammophiletum arundinaceae se rencontre sur les dunes dont la hauteur dépasse les 2 mètres. Ces dunes se trouvent aux endroits où la côte est plus exposée aux vents sud-ouests, comme sont les côtes de Petrochori et de la région Zacharo. Cette association apparaît dans sa phase optimale, et sur des dunes qui sont bien développées et dont la hauteur, est à partir de 2.5 m et peut atteindre les 15 m (Tableau III et Photos 19–23).L'association bien connue Crucianelletum maritimae qui se rencontre sur les dunes stabilisées des côtes ouests de la Mediterranée, est représentée dans cette région par l'association des plantes Euphorbia terracina — Silene nicaeensis. Cette association représentative se devéloppe sur les dunes stabilisées de la région explorée. Leur hauteur varie, entre 4 et 11 mètres. Elle apparaît comme une association des plantes typiques avec 2 variantes, celle de Rumex bucephalophorus et celle de Centaurea sphaerocephala, et aussi comme les sous-associations Chondrilla juncea — Scolymus hispanicus et Trifolium scabrum —Nigella aristata (Tableau IV et Photos 24–26).En général les associations des plantes ammophiles se rencontrent sur les côtes ouests du Péloponnèse dont le sol est constitué, dans sa plus grande partie, par du sable d'un gros moyen ou moyennement fin.Les associations de la classe Cakiletea maritimae et l'association des plantes Agropyretum mediterraneum se développent sur des endroits où le sol est constitué d'une grande partie, en sable gros (Fig. 4 et 5). Entre eux, les plantes de la classe Cakiletea maritimae se développent sur un sol qui contient, en outre, une assez grande quantité d'humus et des débris végétaux, tandis que, pour l'association Agropyretum mediterraneum, les élements ci-dessus peuvent exister en une très petite quantité ou ne pas s'y trouver.Le sol, sur lequel se développent les associations des plantes Agropyretum mediterraneum et Ammophiletum arundinaceae est différent du sol propre à l'association Euphorbia terracina — Silene nicaeensis, car, dans le premier cas, celui-ci se constitue, en principal d'un sable d'un gros moyen, tandis que, dans le second cas, d'un sable moyennement fin (Fig. 5).Pour tous les sols, propres au développement des associations ammophiles des côtes du Péloponnèse, ou a une abondance de CaCO3. Malgré le fait que l'analogie de CaCO3 varie, a partir d'un pourcentage moyen jusqu'à une grande quantité, l'evolution de la végétation dans ces différentes phases, ne dépend pas de cette quantité.La réaction de ces sols varie, pour la plupart, entre 6.65 et 8.20 (Tableaux 10–14).  相似文献   

14.
The response of Erica australis to experimental burning, cutting and ploughing treatments was studied in two heathland communities where it was dominant. The treatments represent those most frequently originated by humans on these heathland communities throughout history. The response of this species in a community where it is dominant and there is no strong interspecific competition was also compared to that produced by it in a community where there is competition. It can be observed that the response to burning and cutting treatments is very similar with very fast spatial occupation in the first few years. From the point of view of time cover values increased in a pronounced manner during the first few years and this increase was stabilized from the fourth year. However, from this moment on a greater increase in this species' maximum height is evident. The response to ploughing is slower according to recovery mechanism (seedlings). Recovery is comparatively less in the area where there is no strong competition than in that where it exists between species. RésuméDans deux communautés de bruyère dominées par Erica australis on a étudié la réponse de cette espèce aux traitements expérimentaux de brûlage, coupe et labour. Ces traitements représentent les actions les plus fréquentes que l'homme a exercé sur ces communautés de bruyère tout au long de l'histoire. De la même façon, on a fait la comparaison de la réponse de cette espèce quand elle se trouve dans une communauté dominée principalement par elle, où elle n'y a pas une forte compétition entre les espèces, avec la réponse quand elle se situe dans une communauté où plusieurs espèces coexistent. On observe que la réponse aux traitements de brûlage et coupe est très semblable, en présentant une occupation spatiale très rapide pendant les premières années. Du point de vue temporel, leurs valeurs de couverture augmentent de façon plus prononcée pendant les premières années, et c'est à partir de la quatrième année que ce développement se stabilise. Cependant, c'est à partir de ce moment là qu'on remarque une augmentation plus grande en ce qui concerne la hauteur maximale de cette espèce. La réponse au traitement de labour est plus lente en relation avec la régénération par semences. L'effet de la compétition se traduit par une récupération qui suit un mode d'augmentation opposé à la situation originaire. Dans la surface où il n'existe pas une forte compétition, la récupération est comparativement plus faible que dans la station où il y existait une compétition entre les espèces.Mots clés: Maquis, Mécanismes reproductives, Perturbations expérimentales, Régénération, Rejets  相似文献   

15.
Over 80% of the values of approximate digestibility (AD), efficiency of conversion of assimilated food to biomass (ECD) and efficiency of conversion of ingested food (ECI) calculated using energy terms are greater than the corresponding dry weight (DW) values, based on data for over 65 species (38 studies; number of comparative values: AD=139, ECD=128 and ECI=169). Largest positive differences (energy > DW values) are 30 (AD, ECD) and 24 (ECI) percentage points and largest negative differences (energy < DW values) are 9 (AD), 11 (ECD) and 8 (ECI) percentage points. These differences generally are least for ECI (71% of the differences fall between 0 and +5 percentage points), and AD (68%), followed by ECD (only 47% fall between 0 and +5), and they may vary with temperature, food and other factors. The differences tend to increase (esp. for ECD and ECI) when comparing later with earlier instars. Energy > DW efficiency values are commonly expected for AD because of the generally greater energy content of food than feces, and for ECD and ECI because of the generally greater energy content of insect biomass than ingested and assimilated food. Deviations from predicted differences in surveyed literature data are discussed in terms of possible methodological sources of error.
Résumé Plus de 80% des valeurs de la digestibilité approchée (AD), de l'efficacité de la conversion de la nourriture assimilée en biomasse (ECD) et de l'efficacité de la conversion de l'aliment ingéré (ECI), calculées en termes énergétiques, et obtenus à partir de données sur 65 espèces, sont supérieures aux valeurs des poids secs correspondants (DW): 38 études; valeurs comparatives: AD=139, ECD=128, ECI=169. Les plus importantes différences positive (énergie>valuers DW) sont de 30 (AD, ECD) et de 24 (ECI) centièmes (les différences négatives les plus fortes = 9 (AD), 11 (ECD) et 8 (ECI); ces différences sont moindres pour ECI (71% des différences tombent à 0 et +5 centièmes), et AD (68%), suivi de ECD (seulement 47% tombent entre 0 et +5). Ces différences peuvent varier avec la température, l'alimentation et d'autres facteurs; les différences tendent à croître (particulièrement pour ECD et ECI) quant on les compare plus tard avec des stades plus précoces. Energie > aux valeurs d'efficacité DW sont généralement attendues pour AD par suite du contenu énergétique supérieur de l'aliment à celui des excréments, et pour ECD et ECI par suite du contenu énergétique généralement plus élevé pour la biomasse de l'insecte que pour l'aliment ingéré et assimilé. Les écarts par rapport aux différences prédites dans les données de la littérature examinée sont analysées en considérant les sources possibles d'erreurs méthodologiques.
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16.
We compared the feeding excavations on wood blocks of three species of subterranean termites, Coptotermes formosanus Shiraki, Reticulitermes flavipes (Kollar), and R. virginicus (Banks). Feeding rate followed the order C. formosanus > R. flavipes > R. virginicus. Wood surface area (mm2) exposed per unit feeding was higher for C. formosanus and R. flavipes than for R. virginicus. This was caused by the tendency of C. formosanus and R. flavipes to make internally penetrating tunnels, thereby increasing surface area, whereas R. virginicus made trough- and bowl-like depressions on the outside of blocks, sometimes decreasing the size of blocks outwardly without a corresponding high increase in surface area typical with the tunnels of the other species. Consequently, wood surface area was sometimes reduced, rather than increased as a result of feeding by R. virginicus. Different patterns of wood excavation suggest that these termites have divergent roles in wood decay processes.
Résumé Les organismes pionniers qui modifient le bois et le rendent acceptable par les insectes qui le perforent sont généralement des champignons du bois pourri. Cependant, une fois que les termites ou autres insectes perforant le bois ont pénétré, leurs galeries favorisent les bactéries fixatrices d'azote, permettent l'invasion d'autres organismes décomposeurs, et de ce fait régularisent la décomposition du bois (Ausmus, 1977). L'exposition de la surface à l'intérieur des perforations jouant un rôle très important dans le processus de pourrissement, il est souhaitable de pouvoir quantifier la surface des galeries dues à l'alimentation des termites. Une courbe type permettant de prédire l'aire de la surface perforée a été construite en perçant 109 morceaux de bois de trous cylindriques de différents diamètres, en calculant l'aire de la surface des morceaux de bois, en appliquant et pesant une couche de vernis pour bois au polyuréthane, et en divisant la masse de polyuréthane par l'aire de la surface. Le modèle prédictif qui en découle est: Y=0,01443×-3,51825 (P=0,0001; r=0,68), y étant la masse de polyuréthane (en g) et x la surface (en mm2) du morceau de bois. En traitant de la même façon au polyuréthane les morceaux de bois perforés par les termites, nous pourrions déduire leur surface.Une expérience a été effectuée avec 3 espèces de rhinotermitides,- Coptotermes formosanus Shiraki, Reticulitermes flavipes (Kollar) et R. virginicus (Banks). Des groupes de chaque espèce se sont alimentés pendant 11 ou 12 jours sur des morceaux de bois non contaminés par des champignons. Nous avons déterminé la survie, la consommation, la modification de la surface du morceau de bois (par utilisation du modèle prédictif) et le changement de surface par terminte.La survie est la même, mais la consommation est dans l'ordre suivant: C. formosanus > R. flavipes > R. virginicus. L'aire de la surface exposée par unité d'alimentation était plus élevée pour C. formosanus et R. flavipes que pour R. virginicus (Tab. 1). Ceci est dû à la tendance de C. formosanus et R. flavipes de creuser des galeries vers l'intérieur, tandis que R. virginicus fait des cuvettes à la surface du bois. Les attaques superficielles de R. virginicus réduisent parfois le volume du morceau de bois sans accroître proportionnellement la surface comme le font les espèces creusant des galeries. Ainsi, avec R. virginicus la surface peut être réduite au lieu d'augmenter. Des différences entre colonies s'observent avec toutes les variables (Tab. 2).Nos résultats suggèrent que C. formosanus et R. flavipes contribuent plus que R. virginicus à exposer le bois aux autres organismes décomposeurs. Cependant, ces résultats peuvent être modifiés par un conditionnement préalable du bois par des champignons.
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17.
The attractiveness of sticky traps of eight colors for two parasitoids Amitus hesperidum Silverstri and Prospaltella opulenta Silvestri, and seven species of coccinellid predators of the citrus blackfly, Aleurocanthus woglumi Ashby (Homoptera: Aleyrodidae) was evaluated in insectory and field tests.Yellow traps captured significantly more parasitoids and coccinellids than other colors tested; captures were greatest in traps placed in the lower half of citrus trees. These traps can be used to survey for and monitor the population trends of the citrus blackfly and its natural enemies.
Résumé Nous avons évalué l'attraction de Amitus hesperidum Silvestri et Prospaltella opulenta Silvestri, parasitoïdes d'Aleurocanthus woglumi Ashby et de 7 espèces de Coccinellides prédatrices de cette espèce, par des pièges à glu de 8 couleurs différentes (jaune, orange, rouge, bleu, vert, noir, blanc et transparent).Les pièges jaunes capturent significativement plus de parasitoïdes et de coccinelles que les autres couleurs; les captures sont plus importantes avec des pièges placés dans la moitié inférieure des citronniers. Ces pièges peuvent être utilisés pour suivre et contrôler l'évolution des populations d'A. woglumi et de ses parasitoïdes et coccinelles prédatrices.


Fla. Agr. Exp. Stn. J. Ser. No. 2271  相似文献   

18.
A fall population of the blackmargined aphid, Monellia caryella (Fitch) (Homoptera: Aphididae), was monitored daily for mortality caused by fungi and parasitoids. Three species of Entomophthorales fungi were found. Fungal-induced mortality was found to be correlated with minimum temperature. During the period when the minimum temperature was consistently above 8°C, fungal-induced mortality was positively correlated with the sum of hours of leaf-wetness on days 5, 6, and 7 before sampling. Parasitoid wasps killed fewer hosts than fungi and were not affected by environmental factors.
Résumé La mortalité quotidienne provoquée par des parasitoïdes et des champignons sur une population automnale de M. caryella Fitch (Homopt. Aphididae) a été suivie à Byron (Géorgie, USA), avec enregistrement de la température, de la pluie et de l'humidité des feuilles. 3 espèces de champignons entomophthorales ont été trouvées: Neozygites sp., Entomophthora planchoniana et Erynia sp. 54% des pucerons morts étaient contaminés par Neozygites et 46% par E. planchoniana. Seuls 2 pucerons avaient été tués par Erynia sp. Les taux de mortalité quotidienne par champignons s'élevaient après les périodes pluvieuses et d'humidité des feuilles. La mortalité due au parasitisme était inférieure à la mortalité due aux champignons et ne semblait pas liée aux conditions écologiques. La discussion porte sur l'importance de la mortalité provoquée par les champignons sur la dynamique de la population de pucerons.
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19.
In previous screening tests the two wild crop relatives Avena macrostachya (Bal., ex Coss. et Dur.) and Hordeum bogdani (Wil.) demonstrated a high degree of resistance to the aphid Rhopalosiphum padi (L.). In a choice situation using wild and cultivated oats and barley, alate aphids settled in lower numbers on the wild species. The results were, however, variable in the Avena combination. Nymph production was significantly higher, development time shorter and adult weight higher on the cultivated varieties. From the third instar and onwards the excretion of honeydew was significantly lower on the resistant plants. In general the honeydew contained less than 1% free amino acids although excreta from H. vulgare contained 3.5%. The percentage of free amino acids found in the honeydew was similar for all plant species (5.2–7.6%) except for H. vulgare, on which the aphids excreted 22% of the amounts ingested. Amino acids excreted in high proportions on all plants included asparagine, -aminobutyric acid, glutamic acid, and glycine. Tissue sectioning did not reveal any obvious mechanical barriers to stylet penetration. The potential use of these wild species as sources for aphid resistance breeding in oats and barley is considered.
Résumè Lors d'examens systématiques antérieurs, Avena macrostachya (Bal. ex Coss. & Dur.) et Hordeum bogdani (Wil.) ont présenté une résistance élevée au puceron Rhopalosiphum padi (L.). Lorsqu'ils avaient un choix comprenant de l'avoine et de l'orge cultivés, les pucerons ailés ont atterri en nombres moins importants sur les espèces sauvages. Les résultats étaient cependant variables dans le complexe avoine. La production de nymphes et le poids des adultes étaient plus élevés sur espèces cultivées, ainsi que la durée du développement était plus longue sur les espèces sauvages. A partir du troisième stade, l'excrétion de miellat a été significativement plus faible sur les espèces résistantes. En général, le miellat y contenait moins de 1% d'acides aminés bien que sur H. vulgare il en contînt 3,5%. Les pourcentages d'acides aminés libres du miellat étaient semblables sur toutes les plantes (5,2–7,6%), à l'exception de H. vulgare sur lequel les pucerons excrétaient 22% des taux ingérés. Les acides aminés excrétés en fortes quantités sur les différentes plantes, comprenaient l'asparagine, l'acide -aminobutyrique, l'acide glutamique et la glycine. Des coupes de tissus n'ont révélé aucun obstacle mécanique clair à la pénétration des stylets. Les possibilités d'utiliser ces espèces sauvages comme source de résistance aux pucerons dans la sélection de l'avoine et de l'orge ont été examinées.
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20.
Honeydew droplets freshly excreted by two aphid species, Myzus persicae (Sulz.) and Acyrthosiphon pisum (Harr.), feeding on nutritionally adequate, artificial diets containing 10–40% w/v sucrose, were collected in oil. The volume, frequency of excretion, and carbohydrate content of the droplets were determined by measuring the diameter of the droplets in the oil, by recording the number of droplets excreted per aphid per hour, and by using a quantitative colorimetric method for estimating carbohydrates. Rates for the intake or excretion of fluid, the intake and absorption of sucrose, and the excretion of carbohydrate were consequently calculated for the two species on each dietary sucrose concentration. The percentage of dietary sucrose absorbed by the aphids ranged from 36% on diet with 40% sucrose to 97% on diet with 10% sucrose. Such honeydew/diet relationships may allow one to use honeydew carbohydrate concentrations to estimate the sucrose concentrations of the phloem sap ingested by aphids feeding on host plants.
Résumé Des gouttelettes de miellat fraîchement excrétées par deux espèces de pucerons, Myzus persicae (Sulz.) et Acyrthosiphon pisum (Harr.), pucerons nourris sur des régimes nutritifs synthétiques contenant 10–40% de saccharose, ont été récupérées dans de l'huile. Le volume des gouttelettes a été déterminé en mesurant leur diamètre individuel dans l'huile, la fréquence d'excrétion établie par le nombre de gouttelettes excrétées par puceron par heure, et la teneur en glucides par une méthode d'analyse colorimétrique quantitative. Les taux d'ingestion et d'excrétion de liquide, d'ingestion et d'absorption de saccharose ainsi que les taux d'excrétion de glucides ont été par la suite calculés pour les deux espèces d'aphides nourris sur les différentes concentrations de saccharose. Le pourcentage de saccharose alimentaire absorbé par les aphides a été de 36% sur le régime contenant 40% de ce glucide, mais s'est élevé à 97% sur le régime ne contenant que 10% de saccharose. D'après ces relations miellat/régime nutritif, et en connaissant la teneur du miellat en glucides, on peut faire une approximation de la concentration du saccharose dans la sève élaborée du phloème ingérée par les aphides.
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