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1.
Résumé L'évolution de l'ultrastructure de la cellule épithéliale mammaire de la Lapine est décrite au cours de:L'apparition des phénomènes sécrétoires qui prennent place normalement pendant le premier tiers de la gestation des Lapines primipares.La lactogénèse expérimentale produite par des injections de prolactine à des Lapines pseudo-gestantes.L'ultrastructure de la cellule mammaire de Lapine en sécrétion active (lactation) se distingue de celle des cellules inactives pour la sécrétion (début de la gestation et pseudogestation) par: le développement considérable de l'ergastoplasme organisé en lamelles parallèles ou concentriques; l'hypertrophie de l'appareil de Golgi; la présence de granules protéiques inclus dans des vacuoles d'origine golgienne au sein d'un cytoplasme hypertrophié, celle des gouttelettes lipidiques étant moins indicatrice d'un état d'activité sécrétoire.L'induction de la sécrétion lactée au cours de la gestation normale ou à la suite de l'injection de prolactine, conduit à des modifications ultrastructurales de la cellule mammaire qui se caractérisent principalement par le développement progressif des systèmes membranaires ergastoplasmiques, qui est déjà net entre 12 et 24 heures et aboutit le 3e jour de l'administration hormonale à des images se rapprochant de celles d'une cellule de glande mammaire en lactation. La formation d'un important réticulum endoplasmique auquel est liée la majorité des ribosomes, ainsi que le développement des citernes et vacuoles golgiennes, paraissent ainsi sous le contrôle de la prolactine. Nous discutons enfin de la signification de l'existence transitoire dans les premiers stades de la lactogénèse d'une organisation vacuolaire de l'ergastoplasme.
Ultrastructural aspects of the rabbit mammary gland during lactogenesis
Summary The ultrastructural development of the rabbit epithelial mammary gland cell is described during:The appearance of secretory phenomena usually occuring in primiparous rabbits in the last third of pregnancy.Experimental lactogenesis induced by injecting pseudopregnant rabbits with prolactin.The ultrastructure of the active secretory (lactating) rabbit mammary gland cell is distinguished from that of inactive epithelial cells (beginning of pregnancy or pseudo-pregnancy) by: a considerable development of the ergastoplasm organized in parallel or concentric lamellae; hypertrophy of the Golgi apparatus; the presence of protein granules included in vacuoles of Golgian origin in the middle of hypertrophied cytoplasm. The presence of lipid droplets is less indicative of an active secretory state.The induction of milk secretion during normal gestation or after a prolactin injection produces ultrastructural modifications in the mammary gland cell which are characterized by progressive development of the ergastoplasmic membrane system. This transformation becomes evident between 12–24 hours and on the third day of hormonal administration resembles that of the lactating mammary gland. The formation of a large endoplasmic reticulum to which the majority of ribosomes are bound and the development of cisterns and Golgi vacuoles appear under the influence of prolactin. The signification of the temporary existence, during the early stage of lactogenesis, of a vacuolar ergastoplasmic organization, is discussed.


Les tirages photographiques sont dus à Messieurs Scandolo et Amar que nous remercions vivement.  相似文献   

2.
Résumé Dans le but d'identifier la cellule hypophysaire responsable de la sécrétion d'ACTH chez le rat, des études morphologiques, en microscopie optique et électronique, furent entreprises chez des animaux surrénalectomisés, c'est-à-dire dans des conditions où la sécrétion d'ACTH est spécifiquement augmentée. Le prélèvement des hypophyses fut effectué à des intervalles allant de 1 à 21 jours après surrénalectomie. Des hypophyses d'animaux surrénalectomisés et traités par la dexaméthasone, un inhibiteur de la secrétion d'ACTH, furent également étudiées. Il découle de ces expériences qu'un type cellulaire est stimulé en même temps que la sécrétion d'ACTH augmente. Cette cellule, hypertrophiée après surrénalectomie, possède une forme irrégulière et est très souvent en contact avec les cellules somatotropes; son ergastoplasme peu développé contraste avec un appareil de Golgi très important. Les granules secrétoires corticotropes ont un diamètre d'environ 200 m, sont peu abondants et disposés le long de la membrane cellulaire. Ces granules n'ont cependant pas été caractérisés en microscopie optique. L'administration de dexaméthasone provoque une régression spécifique de la cellule corticotrope ainsi qu'une accumulation des granules sécrétoires dans le cytoplasme. Chez l'animal intact, il devient possible d'identifier la cellule corticotrope qui possède les caractéristiques générales de la cellule stimulée, mais dont le cytoplasme et l'appareil de Golgi sont peu importants.
Identification of the ACTH secreting cells in the rat pituitary
Summary In order to clarify the identity of the ACTH-secreting cells in the rat pituitary, morphological studies were performed in adrenalectomized rats which have a specific increase in ACTH secretion. Pituitaries were removed and fixed for both light and electron microscopy at different time intervals (1 to 21 days) after adrenalectomy. Pituitaries of adrenalectomized animals which received dexamethasone, a potent inhibitor of ACTH secretion, were also studied. In these experiments, it was found that a specific cell type was stimulated as ACTH secretion was increased. This cell, which became enlarged after adrenalectomy, is characterized by an irregular shape and frequent association with somatotropic cells. The rough endoplasmic reticulum was poorly developed in contrast to a prominent Golgi apparatus. The secretory granules of this corticotropic cell were about 200 m in diameter and located in a single row along the plasma membrane. By light microscopic examination, these secretory granules could not be clearly identified. Dexamethasone administration provoked a specific decrease in size of corticotrophic cells, as well as an accumulation of secretory granules. Identification of corticotrophic cells in control rats was facilitated by comparison with those of adrenalectomized rats. In both cases, the general appearance of this cell type was similar except for size difference. Also in the control animals the Golgi apparatus was less prominent than in adrenalectomized rats.
Boursier du Conseil de la Recherche Médicale du Québec.  相似文献   

3.
Résumé On décrit le système neurosécrétoire caudal de Jenynsia lineata. L'urophyse de cette espèce est un organe bien différencié, séparé de la moelle par une membrane méningée discontinue, et formé de fibres qui y arrivent après avoir constitué un pédoncule principal. Les fibres ne pénètrent pas par celui-ci, le font par les orifices de la membrane méningée.Dans l'urophyse comme dans les cellules neurosécrétoires du système, la neurosécrétion se colore à l'aldéhyde fuchsine après oxydation par le KMnO4/ H2SO4; à l'hématoxyline chromique de Gomori elle se colore aussi, mais faiblement, et toujours après mordançage par de l'alun chromique dans le Bouin. On en discute les causes, par rapport aux données obtenues par d'autres auteurs.Il n'y a pas de cellules géantes, si caractéristiques du systéme neurosécréteur caudal d'autres Téléostéens. Les cellules neurosécrétoires du système sont petites et peu remarquables.Nous tenons à remercier le Dr. Juan H. Tramezzani de la lecture du manuscrit de ce travail, et des précieuses suggestions qu'il a bien voulu nous faire parvenir.  相似文献   

4.
Résumé La greffe de pancréas foetal chez le rat alloxanisé (une injection d'alloxane de 100–250 mg/kg) corrige immédiatement et définitivement le diabète. La sécrétion d'insuline est, au début, assurée par le greffon puisque dans les îlots du pancréas de l'hôte l'alloxane a provoqué la destruction totale des cellules B. Durant les deux premières semaines qui suivent la bréphoblastie, les îlots sont le lieu d'une prolifération massive de cellules A; les premières cellules B néoformées apparaissent vers le 15e jour mais la proportion normale des cellules AB n'est rétablie que 1 1/2 à 2 mois après l'implantation de la greffe. Au fur et à mesure de la régénération des cellules B, la fonction insulinique des îlots du pancréas de l'hôte se substitue à celle du greffon qui dégénère progressivement.Chez les rats pancréatectomisés et greffés, la sécrétion d'insuline est également assurée par le greffon pendant le 1er mois environ. La régénération du pancréas à partir de reliquats pancréatiques laissés dans la région de la confluence des canaux de Wirsung et biliaire, aboutit, à 3 1/2 mois, à une polynésie d'îlots, souvent volumineux et irréguliers, formés presqu'exclusivement de cellules B. La glycémie restant constamment normale, la sécrétion d'insuline est ici encore dans une première phase, assumée par le greffon qui dégénère, par la suite, au fur et à mesure que les îlots du régénérat sont capables de secréter de l'insuline en quantité suffisante pour assurer l'équilibre glycémique.La prolifération et la néogenèse des cellules A, comme celles des cellules B, se font essentiellement aux dépens des cellules des acini exocrines qui perdent leurs caractères de cellules exocrines (disparition des granulations de zymogène et de la réserve de RNA) et prolifèrent en gros bourgeons plasmodiaux A ou B. La différenciation de cellules endocrines se fait également, mais plus rarement, à partir de l'épithélium des petits canalicules secrétoires sous acineux.Bréphoplastie = greffe d'organe foetal; terme créé par R. M. May.  相似文献   

5.
Résumé L'auteur a utilisé différentes techniques de la coloration et la microscopie sur fond noir pour l'étude histologique du complexe neuro-endocrinien de l'abeille.On distingue deux types de cellules dans la pars intercerebralis. L'examen ultrastructural révèle qu'un troisième type de cellule est identique au second type, mais la technique appliquée au cours de ces travaux différencie encore un autre type de cellule (publication en cours de préparation).Le trajet des axones partant de la pars intercerebralis réclame une attention particulière, la présence de trachéoles à forte réaction phloxinophile pouvant y faire croire à la présence d'une sécrétion phloxinophile.La même technique de coloration appliquée après fixation en solution de Carnoy ne donne aucune différenciation de la sécrétion hématoxyline-positive en une fraction soluble et en une fraction insoluble dans l'alcool.La coloration à la paraldéhyde-fuchsine selonEwen (1962) confirme les résultats de la coloration selonGomori.La coloration à la paraldéhyde-fuchsine selonHalmi (1952) ne permet pas de déceler un produit de sécrétion dans les cellules des corpora allata de l'abeille (ouvrière).Les éléments névrogliques du système neuro-endocrinien de l'abeille domestique sont nettement différenciés par la coloration à la fuchsine acide Light Green selonAlzheimer.L'éclairage sur fond noir révèle que les cellules de la pars intercerebralis de l'abeille ont à un degré élevé la propriété de diffuser la lumière. Certaines autres parties du complexe cérébral présentent cependant le même phénomène, de sorte que cette technique est sans utilité pratique pour la différenciation des cellules neuro-sécrétoires.
Summary The neuro-endocrine complex of the honey bee was histologically examined by means of various staining techniques and dark-field microscopy.Two types of cell were differentiated in the pars intercerebralis. A third type appeared to be identical with the second after ultra-structure examination, while using this technique yet another type of cell was differentiated (publication being prepared).In the axons-tractus starting from the pars intercerebralis special attention must be paid to the appearance of tracheoli, which due to their strong phloxinophile colour reaction could give the impression of a phloxinophile secretion.Using the same staining technique after Carnoy fixation one has no differentiation of the hematoxyline-positive secretion in an alcohol-soluble and non-soluble fraction.Staining with paraldehyde-fuchsine according toEwen (1962) confirms the conclusion of the Gomori-staining.By staining with paraldehyde-fuchsine according toHalmi (1952) no secretory products could be shown in the cells of the corpora allata in the honey bee (worker bee).The glia-elements in the neuro-endocrine system of the honey bee can be clearly differentiated by the light green acid fuchsine staining according toAlzheimer.With dark-field illumination it has been established that the cells of the pars intercerebralis in the honey bee possess light-diffusing properties. Some other parts of the brain complex however exhibit the same phenomenon, so that this technique for differentiation of the neuro-secretory cells appears to be without practical use.
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6.
Résumé Ce travail est consacré à l'identification des cellules sécrétant respectivement LH et FSH chez le Porc. Les caractères morphologiques de ces deux lignées cellulaires ont été précisés grâce à deux techniques de coloration: l'APS-bleu de méthazol-orange G et l'APS-bleu alcian-orange G. Cette dernière technique est la seule à révéler que les grandes cellules de la zone médiane auxquelles avait été précédemment attribuée la sécrétion de FSH se scindent en deux classes distinctes: les unes ne réagissent qu'à l'APS, les autres réagissent simultanément à l'APS et au bleu alcian.Les modifications hypophysaires caractérisant les phases du cycle oestral, la castration, la cryptorchidie, l'administration d'un antiovulatoire concordent à démontrer que l'activité LH est exercée par une lignée spécifique de cellules glycoprotidiques caractérisées par la disposition de leurs granulations en amas distincts. Les mêmes conditions physiologiques ou expérimentales suggèrent que seules parmi les cellules basophiles de la zone médiane, celles qui réagissent simultanément à l'APS et au bleu alcian participent à l'activité gonadotrope de l'hypophyse et sécrètent vraisemblablement FSH.Le microscope électronique précise les caractères distinctifs des deux formes gonadotropes. Elles diffèrent l'une de l'autre par la structure de leurs granulations et l'aspect de leur ergastoplasme. Les cellules LH se repèrent aisément grâce à la disposition de leurs granulations en amas distincts et le microscope électronique confirme leur hypertrophie fonctionnelle à la suite de la castration. D'autre part, le microscope électronique confirme également la dualité des cellules basophiles occupant la région médiane de la glande et l'étude de ces cellules basophiles chez le castrat démontre bien que seule, l'une de ces formes cellulaires subit une vacuolisation massive de son ergastoplasme.L'attribution de l'activité LH aux cellules glycoprotidiques dont les granulations sont réparties en amas distincts est confirmée par une réaction d'immuno-fluorescence réalisée à partir d'un immun-sérum spécifique vis-à-vis de l'hormone LH.
The gonadotropic cells in the pigs hypophysis
Summary The present paper concerns the identification of LH -and FSH-secreting cells in the hypophysis of the pig. The morphological characteristics of the involved cell types can be accurately demonstrated by two staining techniques: PAS-methazol: blue-Orange G and PAS-Alcian blue-Orange G. Only the second of these methods reveals that the large cells of the median region, usually considered as FSH-secretory, can be separated into two cells types; some of them stain exclusively with PAS, the other ones stain simultaneously with PAS and Alcian blue.The cytological modifications of the hypophyseal structure observed in different functional conditions (f.i. during the different phases of the oestrous cycle, after castration, in cryptorchidism, after administration of antiovulatory drugs) point to an identical conclusion, namely that the secretion of LH must be ascribed to a specific glycoprotidic cell type, identified by a peculiar clusterlike disposition of the cytoplasmic granules. On the other hand, the cytological observations suggest that, among the basophil cells of the median region, only those which stain simultaneously with PAS and Alcian blue have a gonadotrope function and are most probably FSH-secreting.The electron microscope allows a precise distinction between the two gonadotrope cell types, based on the aspect of the ergastoplasm and the structure of the granules. The LH cells are easily identified by the characteristic disposition of the granules in clusters or clumps. Their hypertrophy after castration is confirmed by EM observations.On the other hand the EM confirmes the duality of the basophil cells of the median region; since, after castration, one of the two cell types only shows a massive vacuolisation of the ergastoplasm.Finally, the LH-secretory function of the glycoprotidic cells with clump like aspect of the granules is confirmed by their immuno-fluorescence reaction towards a specific anti-LH serum.
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7.
Résumé Chez les deux Columbidae étudiés, les cellules C sont présentes à la fois dans les corps ultimobranchiaux et dans la thyroïde. Les corps ultimobranchiaux sont constitués de cordons renfermant des cellules glandulaires et des cellules bordantes. Dans certaines zones périphériques de la thyroïde, des cordons ultimobranchiaux typiques sont localisés dans les espaces interfolliculaires et sous-capsulaires. Des cellules C folliculaires basales analogues à celles de la thyroïde du mammifère sont rarement observées.Les caractères morphologiques des cellules C sont identiques quelle que soit leur localisation: ultimobranchiale, thyroidienne extrafolliculaire ou folliculaire basale. Les granules sécrétoires diffèrent légèrement par leur forme chez le pigeon et le tourtereau; leur diamètre moyen est plus variable d'une cellule à l'autre chez le pigeon.Des contacts neuroglandulaires existent au niveau des cordons glandulaires localisés dans les corps ultimobranchiaux et dans la thyroïde. Leur signification reste obscure.
Ultimobranchial and thyroidian localization of C cells in two Columbidae: the pigeon and the turtle-doveAn electron microscopic study
Summary In the two Columbidae we studied, C cells are present both in the ultimobranchial bodies and in the thyroid. Ultimobranchial bodies consist of cords which are made up of glandular cells and limiting cells. In certain peripheral regions of the thyroid, typical ultimobranchial cords are situated in the interiollicular and infracapsular spaces. Basal follicular C cells similar to those of the mammalian thyroid are rarely observed.The morphological characteristics of the C cells are identical whatever their situation may be: ultimobranchial or thyroidian, be it extrafollicular or basal follicular. The secretory granules differ slightly by their shape in the pigeon and the turtle-dove; their medium diameter varies more from one cell to another in the pigeon.Neuroglandular contacts exist at the level of the glandular cords situated in the ultimobranchial body and in the thyroid. Their signification is not clearly understood.
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8.
Résumé Chez les Silphes et en particulier chez Phosphuga atrata, la glande de la spermathèque présente une structure particulière liée à la présence d'une intima cuticulaire tapissant la lumière de la glande. Elle comporte trois types cellulaires: les cellules sécrétrices, les cellules de l'épithélium sous-cuticulaire et les cellules-manchons. Les cellules sécrétrices de grande taille contiennent une invagination de la membrane cytoplasmique formant une «vacuole» extracellulaire bordée de microvillosités. Dans cette vacuole plonge l'extrémité, différenciée en ampoule poreuse, d'un canalicule de nature cuticulaire, qui véhicule la sécrétion jusqu'à la lumière de la glande. Le canalicule est élaboré par une cellule-manchon qui l'accompagne sur toute sa longueur sauf à son extrémité intravacuolaire.Ce type de glande, qui se retrouve chez de nombreux Insectes, y assurant des fonctions diverses (sécrétion odorifique, sécrétion de défense, sécrétion spermale, etc.), est susceptible de nombreuses variations.
Ultrastructure of the spermathecal accessory gland in Phosphuga atrata L. (coleoptera: silphidae)
Summary The spermathecal accessory gland in the female of Phosphuga atrata (Silphidae), exhibits a special structure which is due to the presence of a cuticular intima lining the lumen. The wall of the gland shows three cellular types: the secretory cells, the epithelial cells and the ductule carrying cells. Each large secretory cell contains a cavity formed by an invagination of the cytoplasmic membrane and lined by many microvilli. The secretory cell is connected with a cuticular ductule ending in the cavity of the glandular cell, in a porous organelle. This ductule, which carries the secretory material to the lumen, is surrounded by the ductule carrying cell.This type of integumentary gland is very common in insects, where it assumes various functions (attraction, defense, conservation of sperm, etc.) and its morphology varies considerably.
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9.
Résumé La synthèse des terpènes par les cellules sécrétrices des canaux de l'écorce des rameaux dePinus etPicea est terminée à la fin de la période d'élongation de la pousse de l'année. Les cellules épithéliales subissent ensuite une dédifférenciation progressive et accumulent des substances de réserve. La potentialité sécrétrice peut Être réactivée par gemmage. Elle se traduit initialement par une multiplication des leucoplastes et des membranes du reticulum endoplasmique lisse. Ces deux systèmes sont donc responsables de la production d'oléorésine dans les conditions normales ou sous l'effet d'une blessure.
Effects of tapping on the ultrastructure of the secretory cells of the bark of stems ofPinus sylvestris L. andPicea abies (L.) Karst
Summary The terpene synthesis by the resin canal cells of the bark in the twigs ofPinus andPicea ceases at the end of the elongation period of the first year shoot. After this secretory period, the epithelial cells undergo a progressive dedifferentiation and store ergastic material. The secretory potentiality may be reactivated by tapping. The first obvious features are the multiplication of leucoplasts and membranes of the agranular endoplasmic reticulum. Therefore these two systems are the site of the oleoresin production in normal conditions and after wounding.
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10.
Résumé Les corps ultimobranchiaux du poulet sont constitués de cordons glandulaires composés de cellules principales sécrétrices et de cellules bordantes. D'après le diamètre des grains de sécrétion, on peut distinguer au moins deux types de cellules principales, les cellules à petits grains (autour de 200 m) et les cellules à gros grains (250–300 m). Cette variation morphologique n'implique pas obligatoirement des sécrétions hormonales différentes. Les grains de sécrétion ne sont pas conservés par la fixation osmiée simple; ils se comportent sur ce point comme ceux des cellules parafolliculaires thyroïdiennes du mammifère dont les corps ultimobranchiaux représentent probablement les homologues fonctionnels.Les corps ultimobranchiaux du poulet restent actifs durant toute la vie de l'animal. L'apparition constante de formations folliculaires et kystiques, qui augmentent avec l'âge, ne traduit pas une involution globale de la glande.L'étude du développement embryonnaire permet d'expliquer certaines particularités morphologiques des corps ultimobranchiaux. Les premiers signes d'activité sécrétoires sont décelables à 11 jours d'incubation. La glande paraît très active vers la fin de la vie embryonnaire; un stockage important de matériel sécrétoire s'observe immédiatement après l'éclosion.
Ultrastructure of the ultimobranchial body of the chickI. Normal aspect and development
Summary The ultimobranchial body of the chick consists of glandular cords made up of main secretory cells and supporting cells. According to the diameter of the secretory granules at least two main cell types can be distinguished: cells with small granules (200 m) and cells with large granules (250–300 m). This morphological difference does not necessarily implicate different hormonal secretions. The secretory granules are not preserved by simple osmium fixation; in as much as this point is concerned they behave like the granules of the parafollicular thyroid cells of mammals with which the ultimobranchial bodies are probably homologous.The ultimobranchial body of the chick remains active during the whole life of the animal. The constant appearance of follicular and cystic structure, which increase with aging, does not demonstrate an overall involution of the gland.The study of the embryonic development explains different morphological pecularities of the ultimobranchial body. The first indications of secretory activity are seen eleven days after incubation. The gland appears to be highly active towards the end of the embryonic life. An important accumulation of secretory material is observed immediately after hatching.
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11.
Résumé Les types cellulaires de l'adénohypophyse du Crapaud (Bufo bufo L.) ont été identifiés et étudiés avec deux fixateurs différents. La fixation au tétroxyde d'osmium permet l'identification de cinq types de cellules, alors que celle à la glutaraldéhyde suivie d'une postfixation met en évidence six catégories cellulaires.Les résultats différents obtenus avec ces deux fixateurs portent essentiellement sur la structure (forme et densité) des granulations; une meilleure conservation des grains de sécrétion est obtenue avec la glutaraldéhyde.La libération et l'élaboration des produits de sécrétion sont discutées. Le problème de la libération des granules des cellules hypophysaires a été abordé sous un angle nouveau. Il a été observé dans d'autres organes (pancréas endocrine, cellule à gastrine de l'intestin) que les grains de sécrétion subissent une lyse intracytoplasmique sans destruction de la membrane limitante du granule. Il est suggéré que le même processus pourrait aussi se réaliser au niveau de l'hypophyse.
On the ultrastructure of the adenohypophysis in the toad, Bufo bufo L.I. Identification of cell types and comparison of the results obtained with different fixations
Summary Two different fixatives have been used to identify the various cell types contained in the anterior pituitary of the toad (Bufo bufo L.) and to investigate their ultrastructure. Five cell types were distinguished after simple osmium tetroxid fixation, whilst glutaraldehyde fixation with postosmification revealed six distinct cell types.The results obtained by these two techniques differed mainly in the structure (shape and electrondensity) of the secretory granules, which seemed to be better preserved after combined glutaraldehyde-osmium fixation.The modes of synthesis and release of the secretory products are discussed. The problem of the mode of release of secretory granules from pituitary cells has been envisaged under a new aspect. It has been observed in other organs (endocrine pancreas, gastrin cells of the intestinal wall) that secretory granules may undergo intracytoplasmic lysis without destruction of their limiting membrane. It is suggested that the same process may operate in the pituitary.
Travail réalisé avec l'aide du Fonds national suisse de la Recherche scientifique (Crédit No 5344.3).Nous remercions tout particulièrement Mme Sidler-Ansermet, M. Oberson, photographes, et Mme Baumann, secrétaire, de l'aide qu'ils ont apportée à la réalisation de ce mémoire.  相似文献   

12.
Resumé Les organs photogènes de la pholade comprennent deux catégories de grandes cellules glandulaires.Les cellules lumineuses sécrètent une grande quantité de grains acidophiles, glyco ou mucoprotidiques, qui contiennent un glucide fortement Hotchkiss-positif et sont riches en tyrosine, en tryptophane et en protides sulfhydrilés. Certaines différences dans les affinités tinctoriales des grains s'expliquent en tenant compte de leur degré de maturité. Au terme de la phase d'élaboration du cycle sécrétoire, les derniers grains formés sont déversés dans la masse même du produit de sécrétion et le cytoplasme élaborateur, constitué surtout par de l'ergastoplasme et du réticulum endoplasmique lisse, subit une involution.Les cellules glandulaires apicales élaborent un mucus riche en mucopolysaccharides acides, dont l'ultrastructure est très particulière.Leur cycle sécrétoire semble, comme celui des cellules lumineuses, être caractérisé par la longueur exceptionnelle de la phase d'accumulation, ce qui a aussi pour conséquence une dégénérescence du cytoplasme élaborateur.Les cellules formant l'épithélium de revêtement de l'organe lumineux appartiennent à deux types distincts: les unes portent une abondante ciliature dont les battements favorisent sans doute le mélange des produits excrétés par les cellules glandulaires sous-jacentes. Les autres possèdent un ensemble de caractères qui permettent de les considérer comme des cellules glandulaires et il est possible qu'elles interviennent aussi lors de la réaction lumineuse.
Summary The luminous organs of Pholas consist of two categories of large glandular cells, lying under a covering epithelium.The luminous cells secrete a great amount of acidophilic granules; these granules, of a glyco- or mucoprotidic nature, are rich in tyrosine, in tryptophan and in sulphydril groups; they contain also a glucid strongly PAS positive. Certain differences in the staining properties of the granules can be related to their degree of maturity. During the secretory cycle, at the end of the elaboration phase, the secretory product forms a mass into which the last granules to be formed are discharged. The cytoplasm, mainly made of rough and smooth endoplasmic reticulum, is at this stage degenerating.The apical glandular cells elaborate a mucus rich in acid mucopolysaccharides, the ultrastructure of which is very typical. The secretory cycle of these cells, as well as of the luminous cells, is characterized by the exceptional length of the accumulation phase, during which the cytoplasm degenerates.The cells of the covering epithelium are of two distinct types. Some bear numerous cilia, whose beating help to mix the secreted products of the large glandular cells. Others possess certain characteristics of glandular cells, and their possible implication in the luminous reaction should be considered.


Je tiens à remercier le Dr. W. Bernhard pour son accueil dans le laboratoire de microscopie électronique de l'Institut du Cancer de Villejuif, où la partie ultrastructurale de ce travail a été effectuée. Ce travail a été exécuté dans le cadre d'une thèse de doctorat présentée devant la faculté des Sciences de Paris.  相似文献   

13.
Résumé La glande mandibulaire deCalotermes flavicollis est constituée de deux types distincts de cellules: des grandes cellules sécrétrices dont chacune déverse son produit de sécrétion à l'extérieur par l'intermédiaire d'un canalicule, et des petites cellules centrales. Au moment de la mue, les canalicules sont rejetés, et les petites cellules élaborent les nouveaux canalicules effectuant une migration centrifuge, puis dégénèrent.Dès l'éclosion, la glande mandibulaire est différenciée. Au cours du développement post-embryonnaire, elle augmente de taille, sans que son anatomie varie. Entre les différentes castes, les variations sont peu co nsidérables, mais le développement de la glande est maximum chez les sexués fonctionnels, imaginaux et néoténiques.
Summary The mandibular gland ofCalotermes flavicollis consists of two distinct types of cells: large secretory cells each of which pours its secretion to the exterior by means of a small duct, and small central cells. At moulting time, the ducts are discarded and the small cells form fresh ducts and migrate to the periphery, after which they degenerate.The mandibular gland is differenciated at the time of hatching. During post-embryonic development it increases in size without any change in anatomy. The differences between the castes are, of little significance, though the development of the gland is at its maximum among functional reproductives, imagoes or neoteinics.
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14.
Résumé Les nerfs sécréteurs pénètrent dans l'épithélium des tubules au niveau du hile de la glande. Leurs subdivisions se disposent entre les cellules épithéliales ou leurs replis, et gardent toujours une situation extracellulaire. Les plus gros faisceaux d'axones sont encore entourés par des cellules satellites qu'on n'arrive plus à discerner autour des faisceaux moins importants ou autour des fibres isolées. Les axones sont alors directement au contact des cellules glandulaires. On a pu trouver des synapses neuro-glandulaires avec des spécialisations membranaires asymétriques comparables à celles décrites dans le système nerveux central des Vertébrés. Les fibres sécrétrices variqueuses contiennent d'autre part des vésicules de types variés, semblables à celles des troncs sécréteurs et moteurs du canal, et à celles des fibres motrices de la glande. La signification de ces vésicules a été discutée en relation avec l'existence possible d'amines biogènes diverses dans les fibres nerveuses.
Ultrastructural study of the innervation of the posterior salivary glands in Octopus vulgaris III. Innervation of the glandular tubules
Summary The secretory nerves enter the tubule epithelium at the level of the gland hilus. Their subdivisions being located between the epithelial cells or their infoldings, have always extracellular position. Satellite cells still surround the largest axon bundles, but are no longer discernable round the smaller bundles or isolated axons which are thus in direct apposition with glandular cells. Neuro-glandular synapses, with asymetric membrane specialisations similar to those found in the central nervous system of vertebrates, have been found. The varicose secretory fibers contain various types of vesicles, similar to those found in the secretory or the motor trunks at the duct level, or in the gland motor fibers. The significance of these vesicles is discussed, in reference to the possible existence of various biogenic amines in the nerve fibers.
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15.
Résumé La glande sternale de Kalotermes flavicollis est un épaississement épidermique du cinquième sternite abdominal. Elle sécrète une phéromone de piste dissoute dans un lipide. Deux types cellulaires principaux se reconnaissent: des cellules glandulaires basales et des cellules intercalaires. On peut en outre distinguer deux régions. La partie antérieure où les cellules glandulaires, plus développées, sont emplies de gouttelettes lipidiques, la cuticule y est formée d'endoeuticule et d'épicuticule. A la partie postérieure, les cellules glandulaires contiennent du glycogène, la cuticule est formée de mésocuticule et d'épicuticule.Les cellules glandulaires de la région antérieure élaborent des globules lipidiques associés aux mitochondries. La sécrétion gagne les cellules intercalaires et, par l'intermédiaire du reticulum endoplasmique, paraît se libérer depuis les microvillosités; elle traverse la cuticule par les canaux poraires qui aboutissent à de fines perforations de l'épicuticule. La partie postérieure est moins différenciée, mais la structure de la cuticule indique également une activité sécrétoire dans cette région. L'accent est mis sur la nature complexe de la sécrétion.
Exocrin glands of termitesI. Histochemical and ultrastructural study of the sternal gland of Kalotermes flavicollis Fab. (Isoptera, Kalotermitidae)
Summary The sternal gland of Kalotermes flavicollis is an epidermal thickening of the fifth abdominal sternite. It secretes a trail pheromone dissolved in a lipid substance. Two main cells types constitute the gland: basal glandular cells and columnar cells-with a brush border beneath the cuticle. We can also recognize two regions in the gland. At the anterior part the glandular cells, full of lipid droplets, are more developed; the cuticle is composed of endocuticle and epicuticle. At the posterior part, the glandular cells contain glycogen; the cuticle is made of mesocuticle and epicuticle.The glandular cells of the anterior part secrete lipid droplets associated with mitochondria. The secretion passes into the columnar cells and, by way of the smooth reticulum, seems to be discharged by the microvilli; it crosses the cuticle by means of pore-canals perforating the epicuticle. The posterior part is less developed, but the structure of cuticle suggests also a secretory activity at this level. The complexity of the secretion is emphasized.
Nous exprimons notre gratitude au Professeur Ch. Noirot qui a mis à notre disposition ses résultats personnels et qui a suivi avec bienveillance la réalisation de ce travail.  相似文献   

16.
Résumé Dans les glandes de la glu, formations propres aux Onychophores, les tubes sécréteurs comprennent un épithélium glandulaire entouré d'une enveloppe conjonctive et musculaire. L'enveloppe conjonctive, délimitée par des membranes basales de mucopolysaccharides neutres et de mucoprotéines, contient deux sortes de fibrilles: des fibrilles collagènes et un type particulier de fibrilles élastiques. Les fibres musculaires, éparses, d'orientation circulaire, montrent une organisation beaucoup plus rudimentaire que dans les muscles somatiques.L'épithélium glandulaire est formé de cellules prismatiques toutes semblables, à gros noyau polyploïde en position basale, avec nucléole très volumineux. L'ensemble du cytoplasme de ces cellules est chargé de ribonucléines sous forme d'ergastoplasme granulifère à citernes concentriques et de nombreux ribosomes libres. Les structures lamellaires concentriques de l'ergastoplasme, qui se différencient du côté basal, près des noyaux, s'accroissent dans la région médiane des cellules et se désorganisent à l'apex, en libérant des grandes quantités de ribosomes. La sécrétion de ces cellules est formée essentiellement de protéines qui s'accumulent dans la région apicale sans passer par l'appareil de Golgi, lequel est d'ailleurs peu développé. Ces protéines ne sont donc pas concentrées en granules de sécrétion, mais déchargées dans la cavité glandulaire, directement à l'état diffus, par l'intermédiaire d'épanchements cytoplasmiques de la face apicale cellulaire dans lesquels passent également de nombreux ribosomes libres. Polyploïdie, grand volume nucléolaire, hyperdéveloppement de l'ergastoplasme granulifère, abondance des ribosomes libres, non-intervention de l'appareil de Golgi et absence de concentration de la sécrétion en granules sont mis en relation avec la synthèse rapide et continue des protéines qui forment le principal constituant de la glu.
Cytochemical and ultrastructural data on the secretory tubes of the slime glands in Peripatus acacioi Marcus and Marcus (Onychophora)
Summary In the peculiar slime glands of the Onychophora, the secretory tubes consist of a glandular epithelium surrounded by a layer of connective and muscular tissue. The connective layer, bounded by basal membranes of neutral mucopolysaccharides and mucoproteins, contains two kinds of fibrils: collagenous fibrils and an especial type of elastic fibrils. The muscle fibers, which are scattered and circularly oriented, are more simply organized than those of the somatic muscles.The glandular epithelium is constituted by prismatic cells of the same type, with a large polyploid basally situated nucleus, containing a very large nucleolus. The cytoplasm of these cells is filled with ribonucleins in form of ergastoplasm and in numerous free ribosomes. Concentric lamellar structures of ergastoplasm, which originate basally close to the nucleus, are well developed in the central region of the cell and become disorganized at the apex, where they liberate great quantities of ribosomes. The secretion of these cells consists essentially of proteins, which accumulate in the apical region without passing through the poorly developed Golgi apparatus. These proteins, therefore, are not concentrated in secretory granules, rather they are released in a diffuse form, into the glandular cavity. They are discharged in cytoplasmic expansions detached from the apical region, together with a large quantity of free ribosomes. Polyploidy, large nucleolus, well developed granular ergastoplasm, abundance of free ribosomes, non-participation of the Golgi apparatus and lack of concentration in secretory granules are correlated with rapid and continuous synthesis of proteins which are the principal component of the slime.
Avec la collaboration technique de Mlle Eliana Parisi et l'aide de la Fundação de Amparo à Pesquisa do Estado de São Paulo.  相似文献   

17.
Résumé L'endostyle de l'Ascidie Microcosmus claudicans (Savigny) contient 8 types cellulaires groupés en bandelettes longitudinales. Les cellules I sont mucipares et ciliées; les cellules III et V ciliées sont vectrices du mucus.Les cellules II et IV des bandelettes glandulaires sont très riches en ergastoplasme et renferment des grains de sécrétion apicaux d'aspect analogue. Les cellules VI également riches en ergastoplasme se distinguent des précédentes par leurs grains de sécrétion en forme de batonnet. Les cellules VII. iodophiles, sont caractérisées par leurs nombreux grains de lipopigment et leurs filaments intracytoplasmiques.Les fonctions des cellules II, IV, VI et VII sont inconnues.  相似文献   

18.
Résumé Les auteurs ont étudié les variations morphologiques et métaboliques de 15 endomètres humains normaux prélevés à diverses phases du cycle menstruel.En phase proliférative, les cellules glandulaires ont une activité métabolique de synthèse endogène et acquièrent un important complexe ergastoplasmo-golgien.En phase sécrétoire débutante le glycogène s'accumule dans les cellules glandulaires; son catabolisme fournira les réserves métaboliques nécessaires à l'intense activité de synthèse dont font preuve les cellules glandulaires en phase sécrétoire moyenne.Le matériel synthétisé, présumé mucopolysaccharidique, apparaît dans des vacuoles golgiennes qui migrent ensuite vers le pôle apical de la cellule.L'involution débute dès le 24ème jour et se traduit par la régression de l'activité de synthèse, par l'apparition de foyers autophagiques puis par une hyperhydratation cellulaire.En phase menstruelle certaines cellules se nécrosent totalement, d'autres (les plus nombreuses) régénèrent et participent à un nouveau cycle menstruel.
Ultrastructure of the normal human endometriumII. The glandular cells
Summary The authors have studied the cyclic morphologic and metabolic variations of 15 normal human endometria.In the phase of proliferation, the glandular cells have a metabolic activity of endogen synthesis and acquire welldeveloped ergastoplasm and Golgi-complexes.In the early phase of secretion, glycogen deposits appear in the glandular cells. Their catabolism will provide the metabolic reserves necessary for the intense synthesis occuring in the glandular cells during the mid secretory phase.The synthezised material — probably mucopolysaccharidic — appears first in Golgi vacuoles which migrate then towards the apical pole of the cell.The cellular involution begins on the 24th day and is characterized by the regression of the synthesis activity, by the appearance of focal necrosis and then by cellular hyperhydratation.In the menstrual phase, while some of the cells undergo total necrosis, others, the majority, regenerate and will participate in a new menstrual cycle.
Nous remercions Monsieur le Professeur Gandar, Directeur de la Clinique Gynécologique et Obstétricale 1 de la Faculté de Médecine de Strasbourg de nous avoir confié, pour examen ultrastructural, le matériel nécessaire à cette étude.  相似文献   

19.
Résumé L'étude au microscope électronique de la glande mammaire de la lapine en lactation a montré 1) des remaniements dans le cytoplasme des protéines élaborées et 2) une localisation inhabituelle des grains de protéine dans les espaces inter-cellulaires et le tissu conjonctif péri-acineux. Ces phénomènes répondent vraisemblablement à une stase lactée avec réabsorption du produit sécrétoire.
Summary The electron microscopic study of the mammary gland of the lactating rabbit has shown 1) a fusion and probably rearrangement within the cytoplasm of the secreted proteins, and 2) an unusual localization of protein granules in the intercellular spaces and the periacinar connective tissue. These phenomena probably indicate a stasis of the secretory product accompanied by its reabsorption.


En hommage au Professeur W. Bargmann.  相似文献   

20.
Résumé Les cellules à inclusion acidophile sont caractérisées par un cytoplasme réduit, périphérique, constitué de membranes ergastoplasmiques, par une volumineuse inclusion, homogène et opaque chez les Limnées élevées au laboratoire, granuleuse et peu dense aux électrons chez celles prélevées dans leur milieu naturel, et par une dépression apicale, pôle sécrétoire de ces cellules, creusée dans la masse de l'inclusion.La différenciation de ces cellules à partir d'éléments riches en ergastoplasme membranaire est caractérisée par la coalescence des granules façonnés dans les nombreuses aires golgiennes, par la vésiculisation transitoire de l'ergastoplasme et par la transformation des saccules golgiens disponibles à la fin du cycle sécrétoire en figures pseudo-myéliniques qui semblent marquer le terme du cycle fonctionnel de cet organite.L'étude des glandes, à des temps échelonnés après le déclenchement de leur fonctionnement, suggère que ces cellules parcourent un unique cycle sécrétoire, que la phase d'extrusion du produit (type mérocrine) est longue ou intermittente.Cette étude fournit des arguments permettant de comparer ces cellules aux cellules cystiques des glandes salivaires d'autres Gastéropodes pulmonés et incite à penser que le schéma du fonctionnement de ces glandes est sans doute superposable chez de nombreux pulmonés.
Salivary-gland cells with acidophilic inclusions in Limnaea stagnalis L.
Summary The salivary glands of fresh water pond snails contain cells which are characterized by a voluminous inclusion body, homogeneous and opaque in laboratory reared animals, granular and less dense in wild populations. This inclusion is surrounded by a thin cytoplasmic layer with parallel cytomembranes. The apical secretory pole forms a deep depression in the acidophilic material.Acidophilic cells are derived from basophilic elements which contain a well developed rough endoplasmic reticulum. Their differentiation is characterized by the coalescence of dark granules originating from the Golgi apparatus, by ergastoplasmic vesiculisation, finally by the appearance of myelin structures in the Golgi area.The results of experiments speak in favour of the assumption, that only one secretory cycle occurs in these cells and that the extrusion phase (merocrine type) is slow or intermittent.The fact that the acidophils can be compared with the cystic cells of the salivary glands in other pulmonates suggests that the mode of action of these glands is more or less identical in a wide range of species.


Je remercie Monsieur le Docteur M. Gabe, Directeur de Recherches au C.N.R.S., pour l'intérêt constant qu'il a bien voulu porter à ce travail.  相似文献   

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