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1.
Emission of (Z)-8-dodecenyl acetate [7% (E) isomer] from hollow fiber dispensers at 0.15 g/ha/day from 1700 points (units of 10 fibers)/ha effects complete disruption of male Grapholitha molesta (Busck) attraction to synthetic lure and virgin females. Attraction of G. prunivora (Walsh) to synthetic lures is also completely disrupted. Emission of (E,E)-8,10-dodecadien-1-ol at 0.05 g/ha/day from 1700 points/ha effects complete disruption of male Laspeyresia pomonella (L.) attraction to synthetic pheromone, to virgin females and prevents mating with tethered females.
Résumé L'émission du composé (Z)-8-dodecenyl acetate (7% de l'isomère E 8-12 Ac dans le texte), à la dose de 0,15 g/ha/jour, à partir d'émetteurs formés d'une fibre creuse (type Conrel (R)), répartis en 1700 points/ha, chaque point comportant des unités de 10 fibres, annihile complètement l'attraction du mâle de Grapholitha molesta à l'égard de femelles vierges ou de leures chimiques de synthèse. L'attraction de G. prunivora pour des leures synthétiques est également totalement interrompue.L'émission du composé E8 E10-dodécadien-1-ol (E8 E10-12:OH) à la dose de 0,05 g/ha/jour, à partir de 1700 points/ha, entraîne la destruction totale du comportement attractif de Laspeyresia pomonella pour des hormones de synthèse, ou pour des femelles vierges et empêche l'accouplement avec des femelles non mobiles liées par un système adhésif à un dispositif attractif (pherotrap 1C).


Lepidoptera: Tortricidae: Olethreutinae  相似文献   

2.
The pattern of dietary lipid utilization was compared in Pieris brassicae larvae fed a seed oil-supplemented meridic diet or leaves of Brassica oleracea var. acephala. Meridic diet-fed larvae utilized mainly dietary triglycerides, but cabbage-fed larvae utilized dietary phospho- and glycolipids. The approximate digestibility of the meridic diet was lower than that of cabbage leaves. The coefficient of apparent digestibility for meridic diet neutral lipid was ca. 54%. Owing to different dietary lipid composition meridic diet-fed larvae accumulated more tissue neutral fat than cabbage-fed larvae: fresh weight of meridic diet-fed larvae increased four times, but tissue neutral lipid increased seventeen times during the fifth instar. About 50% of the neutral lipid increase may be due to lipid synthesis. The results suggest that seed oil-supplemented diets have an unbalanced lipid composition for this plant-feeding Lepidopteran. It is possible that the availability of seed oil fatty acids could be improved by adding phospholipids into seed oil-supplemented diets.
Utilisation des lipides par des chenilles de pieres brassicae élevées sur des naturales: conséquences pour une amélioration de millieux alimentaires
Resúmé On a comparé le mode d'utilisation des lipides par des chenilles de Pieris brassicae élevées sur un milieu méridique supplémenté avec de l'huile de germe de blé ou sur feuilles de chou, Brassica oleracea, var. acephala. La composition lipidique des deux milieux diffère nettement: les triglycérides représentent le principal élément des lipides de l'aliment méridique, tandis que ce sont des glycolipides et phospholipides qui prédominent dans l'aliment naturel.La digestibilité de l'aliment méridique est inférieur à celui des feuilles de chou. Le coefficient de digestibilité apparente des graisses neutres présentes dans l'aliment méridique est d'environ 54%; celui des phospho- et glycolipides de ce même aliment est nettement plus faible, ce qui indique leur moindre accessibilité biologique. L'accumulation d'acides gras libres dans la lumière intestinale est relativement plus élevée dans les larves nourries sur l'aliment méridique. En rapport avec ces différences dans la composition du régime alimentaire, les larves nourries sur aliment méridique accumulent plus de graisses neutres dans leurs tissus que celles élevées sur feuilles de chou: au cours du cinquième stade larvaire ce taux des graisses neutres s'accroît de sept fois, pour un accroissement de poids frais de la larve de quatre fois. Cette forte accumulation des graisses neutres est attribuée à un empêchement de l'absorption des lipides présents dans l'aliment méridique, les larves répondant alors par une synthèse accrue des lipides; ces lipides de synthèse pouvant représenter environ 50% de l'accroissement de la teneur en graisses neutres des tissus.Ces observations suggèrent qu'une alimentation plus équilibrée en lipides, pourrait être obtenue par l'addition de phospholipides dans le régime méridique. Le rôle possible des phospholipides dans l'absorption des lipides est discuté.
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3.
The sex pheromone produced by virgin female S. solanivora moths has been shown to contain (E)-3-dodecenyl acetate with approximately 2% of the Z isomer by electroantennography and gas chromatography. In the field, traps baited with (E)-3-dodecenyl acetate alone or in combination with 1% or 2% of the Z isomer caught at least as many male S. solanivora moths as those baited with virgin female moths, and there was some evidence that addition of 5% of the Z isomer reduced catches.
Résumé S. solanivora est l'un des plus importants lépidoptères détruisant les pommes de terre en Amérique Centrale. L'analyse par chromatographie en phase gazeuse (GC) des produits obtenus par lavage de l'ovipositeur de femelles vierges, associée à des électro-anténnogrammes (EAG) a révélé un composé actif unique en EAG. Les durées de rétention pour ce constituant correspondaient à celles des acétates monoinsaturés à 12 carbones, et les analyses sur colonne GC liées avec une phase liquide cristal ont montré un pic principal correspondant à l'acétate (E)-3-dodécénul et un pic secondaire, correspondant à l'isomère Z, et au niveau de 2,5% du pic principal. L'acétate dodécyl a aussi été décelé en quantités variables, approximativement 10% du pic principal.Dans la nature, des pièges contenant de l'acétate (E)-3-dodécényl, seul ou mélangé avec 1 ou 2% de l'isomère Z, ont capturé autant des mâles de S. solanivora que des pièges contenant des femelles vierges, et certaines indications montrent que l'addition de 5% de l'isomère Z réduit les captures.
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4.
Resume et conclusions La région de Beni-Ounif, Figuig et Ben Zireg, cadre de cette étude, est située sur la bordure méridionale de l'Atlas saharien et supporte un climat de caractère désertique par la faiblesse et l'irrégularité des précipitations. A la suite de périodes relativement pluvieuses, l'apparition de nombreuses thérophytes, l'acheb des indigènes, permet de faire l'étude des groupements végétaux dans leur développement optimum. Trois types de stations se montrent particulièrement riches en ces espèces: les stations cultivées et rudérales, les dépressions sablo-limoneuses du reg et des plateux rocheux, les pentes rocailleuses des montagnes et des collines. Seuls les deux dernières stations ont fait de notre part l'objet d'une étude phytosociologique approfondie.o| li]I.|Les d\'epressions non sal\'ees portent trois associations: association \`a Althaea Ludwigii et Trigonella anguina des cuvettes limoneuses, association \`a Lotononis dichotoma des ravinelles, association \`a Asphodelus pendulinus des talus sableux. La composition floristique et le sol de la premi\`ere sont nettement diff\'erents des deux autres, qui sont au contraire tr\`es voisines. Ce sont les diff\'erences dans la teneur en limon et argile qui sont d\'eterminantes dans la localisation respective des trois groupements: 28% en moyenne d'\'el\'ements fins (limon + argile) dans l'Althaeetum, 8,5% dans le Lotononidetum, 5% dans l'Asphodeletum; c'est pour une teneur de l'ordre de 12% d'\'el\'ements fins que s'\'etablit le passage entre l'Althaeetum et le Lotononidetum. La teneur plus \'elev\'ee en argile du sol du premier groupement lui conf\`ere une plus grande hygroscopicit\'e; mais tr\`es rapidement, apr\`es les pluies, la teneur en eau du sol des trois groupements dans les 10 cm sup\'erieurs se r\'eduit \`a l'eau d'hygroscopicit\'e. Les autres caract\`eres d'habitat sont semblables.Aux abords des habitations, l'enrichissement en matières organiques provoque le remplacement de ces associations par un groupement nitrophile, l'association à Peganum Harmala et Bassia muricata.L'élément floral saharo-sindien est nettement prédominant dans tous ces groupements, avec une représentation de 2,5 à 5 fois plus grande que celle de l'élément méditerranéen. li]II.|Les associations des pentes rocailleuses, contrairement aux pr\'ec\'edentes, sont peu sensibles \`a la nature physico-chimique du substratum, mais sont \'etroitement li\'ees aux conditions climatiques locales, elles-m\^emes sous la d\'ependance de l'exposition, de l'altitude et de la situation g\'eographique de la cha\^ine. Ce caract\`ere est particuli\`erement apparent dans le territoire que nous avons \'etudi\'e, par sa situation \`a la limite commune de deux groupes d'associations de rocailles, l'un saliarien que nous appelons l'Atractyletalia babelii, l'autre m\'editerran\'een, le Sedetalia altissimae.Au premier appartient l'association à Morettia canescens et Fagonia longispina qui colonise les rocailles des chaînons les plus méridionaux de l'Atlas saharien occidental jusqu'à une altitude de 1100 m eviron, à l'exception des fortes pentes d'exposition Nord où se localise une association à Senecio flavus et Centaurea incana var. Saharae, groupement moins héliophile, plus riche en formes méditerranéennes et faisant transition avec le Sedetalia.Le groupe du Sedetalia est représenté au Dj. Antar de Ben Zireg par l'association à Ferula Cossoniana et Leucanthemum paludosum var. gaetulum, avec une sous-association à Aristida Adscensionis aux expositions Sud à Est et Ouest depuis 1100 m jusqu'à plus de 1600 m, et une sous-association à Rosmarinus officinalis aux expositions Nord au dessus de 1500 m. Ces deux groupements ont le même aspect de steppe montagnarde d'halfa, mais les formes sahariennes sont encore dans la proportion de 4/5 des espèces méditerranéennes dans le premier, alors qu'elles n'y sont plus que dans la proportion de 1/2 dans le second. La présence du Juniperus phoenicea dans la sous-association rosmarinetosum, son absence totale de la sous-association aristidetosum donnent une indication précieuse pour des essais éventuels de reboisement. On trouvera dans Vegetationsbilder, 6 (4), T. 19, une photographie d'un de ces groupements de rocailles, le Morettieto-Fagonietum anabasidetosum, au pied d'une pente occupée par le M.-F. artemisietosum. Au fond, la face Sud de l'Antar, couverte dans sa plus grande partie par le Feruleto-Leucanthemetum.Les caractères physico-chimiques du substratum ont peu d'influence sur la composition des groupements; seuls les grès tendres, dont les éboulis se colmatent de sable, ont permis dans le Morettieto-Fagonietum l'établissement de psammophytes qui différencient une sous-association à Aristida floccosa.Ainsi, alors que les groupements sahariens des surfaces planes ou de faible relief sont des indicateurs très sensibles des conditions édaphiques, ceux des montagnes se montrent le plus influencés par les facteurs climatiques locaux. Une étude des associations de rocailles étendue à l'ensemble de l'Atlas saharien occidental permettrait sans doute d'établir avec une grande précision les moindres variations du climat dans cette région et apporterait une documentation précieuse pour une mise en valeur de ces territoires déshérités.Reçue par la rédaction le 14.XII.1951.  相似文献   

5.
Virgin females of Distantiella theobroma (Dist.) produced a sex attractant capable of attracting males, which was emitted only during the late afternoon. Females first became attractive 3 to 5 days after the final moult when the first eggs matured in the ovarioles.Few wild males were caught in specially designed traps each containing a virgin female, and females had to adopt a characteristic calling position as a pre-requisite to male attraction. Female age affected attractiveness: a large catch of males on the day after calling began was followed by a decline before the numbers captured increased to maximum about 9 days later. No males were captured after the 18th day of calling.Few marked males were recaptured, and these in traps closest to the point of release. The capture of wild males was enhanced by a slight breeze but depressed in dim light and rain. The degree of trap exposure to the sun did not significantly affect the numbers captured although the positioning of traps may be important.No sex attractant was found in the related cocoa capsid Sahlbergella singularis.
Résumé Les femelles vierges de la Capside du Cacaoyer Distantiella theobroma se révèlent produire un attractif sexuel capable d'attirer les mâles; seules les femelles qui prennent une posture caractéristique d'appel sont attractives. Cet appel apparaît 3 à 5 jours après la dernière mue et ne se manifeste que dans la fin de l'après-midi, de 15h30 jusqu'au crépuscule. Les mâles seuls sont alors attirés.Un piège appâté avec une femelle vierge a été conçu pour capturer vivants les mâles attirés. Pendant deux mois de piègeage sexuel (en Octobre et Novembre 1970) correspondant à 893 jours de piègeage, on a capturé seulement 73 mâles de D. theobroma. On a noté une légère tendance à un accroissement du nombre des captures quand le piège renfermait 2 femelles vierges, au lieu d'une seule, mais la différence n'est pas significative; en outre cellesci mouraient plus précocement.Les captures sont les plus nombreuses le jour même où la femelle commence à appeler, vient ensuite un déclin suivi d'un second maximum du 10e au 13e jour. Il n'y a plus de captures de mâles 18 jours après le début de la manifestation d'appel sexuel, bien que certaines femelles non accouplées continuent à prendre la position d'appel jusqu'à leur mort, soit 34 jours.Deux mâles seulement ont été recapturés sur approximativement 125 qui avaient été lâchés à partir d'un arbre fonctionnant comme marqueur radioactif. Ces 2 mâles ont été capturés dans un des pièges les plus proches du point de lâcher.L'avantage d'une légère brise sur les captures et l'orientation de vol des mâles face au vent suggèrent que ce dernier intervient sur la dispersion d'un attractif chimique. Ce n'est que dans le cas de très faibles éclairements, conséquence de nuages épais habituellement accompagnés de pluie, que la capture des mâles est réduite de façon significative.Les femelles deviennent attractives quand leurs ovarioles renferment les premiers ufs mûrs, 4 jours après la dernière mue, bien que la position d'appel commence un peu avant cette époque.Il n'y a pas de différence significative entre les captures des mâles dans deux pièges différant par leur niveau d'éclairement; mais la variance entre ces pièges est très grande et le fait que les captures sont beaucoup plus nombreuses dans l'un des pièges suggèrent que la position du piège peut avoir un effet important sur la capture des mâles.Au cours de recherches préliminaires, concernant une autre Capside voisine, Sahlbergella singularis, aucune substance attractive sexuelle n'a été trouvée.
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6.
Mating ability, sexual aggressiveness and competitiveness of irradiated males subjected to 12-krad dose in air as compared to untreated males of Glossina palpalis palpalis (Rob.-Desr.) were evaluated in relation to the time required for initiation and completion of copulation with the transfer of viable and motile sperm into the female spermathecae. Males of G. p. palpalis can inseminate up to eight females. The minimum age for successful insemination is 4-days-old while the minimum copulatory time for optimal insemination is 40 min. However, sterile males require at least a day longer to mature (day 4 instead of day 3) and remained in copula for longer period but they become aspermic at the same rate as fertile males. There was significant reduction (P<0.05) in female fecundity during a mixed mating test involving a ratio of one sterile to one fertile male. Therefore 12-krad-treated males could satisfy the mating requirements of female G. p. palpalis.
Résumé L'aptitude à l'accouplement, l'agressivité sexuelle et le succès dans la compétition ont été comparés chez des mâles soumis à 12 krad dans l'air et des mâles témoins. Ces paramètres ont été évalués en fonction du temps nécessaire pour provoquer l'accouplement et l'accomplir avec le transfert de spermatozoïdes viables et mobiles dans la spermathèque de la femelle. Un mâle de G. p. palpalis peut inséminer jusqu'à 8 femelles. L'âge minimum pour obtenir une insémination réussie est 4 jours, tandis que le temps de copulation minimal pour une insémination optimale est 40 mn. Cependant les mâles stériles demandent au moins 1 jour supplémentaire pour atteindre leur maturité (4ème jour au lieu du 3ème); ils restent accouplés pendant plus longtemps, mais deviennent aspermiques au même taux que les mâles fertiles. Il y a eu une réduction significative de la fécondité des femelles (P>0.05) après accouplements mixtes impliquant autant de mâles stériles que de mâles fertiles. Ainsi des mâles traités avec 12 krad pourraient satisfaire les exigences sexuelles de femelles de G. p. palpalis.
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7.
La réponse visuelle des adultes de Lasiomma melania Ackl. (Diptera, Anthomyiidae) à des carrés englués de diverses couleurs ou combinaisons de couleurs a été étudiée durant 5 années consécutives dans plusieurs mélèzins (Larix decidua) des Hautes-Alpes. Une préférence pour le jaune et le jaune à bandes pourpres a été mise en évidence chez ce ravageur dont la femelle pond sur les cônes de mélèze. L'attractivité de chaque type de piège est fonction à la fois du sexe et du stade de maturation sexuelle des individus. La couleur jaune attire en majorité des insectes émergents immatures. Elle semble représenter, selon le plan dans lequel elle est située, un signal nutritionnel de type fleur (plan horizontal) ou un signal de reconnaissance du feuillage de mélèze (plan vertical). Les individus mûrs sexuellement, recherchant les arbres produisant des cônes, sont en revanche capturés essentiellement sur les pièges verticaux jaunes à bandes pourpres. Ceux-ci miment, en l'amplifiant, le contraste de réflectance existant entre le feuillage des mélèzes et les cônes. Ce contraste paraît correspondre à un signal permettant la reconnaisance des arbres possédant des cônes. La ponte est cependant limitée à un stade particulier de développment de ces derniers alors que le contraste est à peu près stable dans le temps. D'autres signaux émis par les cônes, vraisemblablement d'ordre olfactif, doivent guider le vol d'approche et l'atterrissage des femelles.  相似文献   

8.
Citrus leaves, banana squash and lemon fruit, labelled by photosynthesis, have been used as a source of 14C for red scale, Aonidiella aurantii (Mask.). The distribution of the isotope amongst the constituents of these plants has been studied using chemical methods of separation and chromatography.In citrus leaves, whether they were labelled as discs in the laboratory or in situ in the field, activity occurred as sucrose initially, but within 5 days a comparable amount was present in the amino acid, proline, and also in the insoluble carbohydrates, the proportions remaining fairly stable for long periods. Although the total activity of the leaf discs did not decrease with time, the activity of successive groups of newly hatched red scale larvae which fed on these discs for 10 days, fell significantly. It is suggested that due to the interaction of the insects' saliva with plant tissue, areas where red scale fed became depleted in activity. Sap obtained from the labelled discs contained activity in the form of sucrose and proline, but the body fluid from the mature female red scale contained activity in sucrose only.In banana squash and in lemons most of the activity occurred in the form of sugars, principally sucrose, with glucose taking up a greater proportion in the lemons; there was no appreciable activity in amino acids and a much smaller fraction in the insoluble carbohydrates.
Résumé On a utilisé des feuilles de citronnier, des courges () et des fruits de citronnier, marqués par photosynthèse, comme source de 14C pour la cochenille rouge, Aonidiella aurantii. La distribution de l'isotope parmi les constituants des tissus végétaux, c'est-à-dire, les sucres, les acides aminés et les hydrates de carbone insolubles, a été étudiée en utilisant des méthodes chimiques de séparation et de chromatographie.Les feuilles de citronnier furent marquées soit sous forme de disques au laboratoire, soit à l'état de feuilles intactes sur une branche d'arbre vivant. Dans les deux cas la radioactivité était présente d'abord sous forme de sucrose, mais après 5 jours une quantité comparable était présente dans un acide aminé, la proline, et dans les hydrates de carbone insolubles, et cela dans des proportions restant assez stables pendant de longues périodes. Le suc extrait des disques marqués, sur lesquels se sont nourries les cochenilles rouges, montre une radioactivité du sucrose et de la proline, mais le liquide de l'hémocoele de la femelle mûre de la cochenille rouge ne se révèle radioactif que sous forme de sucrose.Bien que la radioactivité totale des disques de feuilles de citronnier ne diminue que très lentement à la longue, l'activité moyenne obtenue par des groupes successifs de larves de cochenilles rouges récemment écloses, se nourrissant sur ces disques pendant 10 jours, diminue beaucoup plus rapidement. La différence ne peut être expliquée ni par le transport de l'isotope des fractions solubles aux fractions insolubles du tissu de feuille, ni par son prélèvement par les insectes suceurs; on considère comme probable que cette différence traduit la réaction de la plante à l'injection de salive par les insectes, ce qui conduirait à une respiration augmentée et une photosynthèse diminuée dans les régions du tissu foliaire où se nourrissaient les insectes.Chez les courges l'activité se maintient dans les régions qui ont été exposées à la lumière pendant la photosynthèse; cependant une quantité minuscule est transportée vers d'autres parties du fruit. L'activité est concentrée dans le sucrose et, dans une mesure moins importante, dans le glucose; il n'y a pas d'activité appréciable dans les acides aminés, et une fraction minime dans les hydrates de carbone insolubles, comparée à l'activité dans les feuilles de citronnier.Chez les citrons la quantité absorbée pendant la photosynthèse dépend d'une façon marquée de la maturité des citrons: les citrons verts absorbent une activité presque 10 fois supérieure à celle absorbée par des citrons mûrs. L'activité est partagée entre le sucrose et le glucose, et il n'y a pas d'activité appréciable dans les autres fractions.

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9.
Catches of oriental fruit moth males, Grapholitha molesta (Busck), at traps baited with (Z)-8-dodecenyl acetate were not greatly influenced by design. Males were equally attracted to polyethylene dispensers containing 1-1000g of the pheromone. There was no evidence that small amounts of the E isomer produced significant increases in catch at pheromone sources, but reductions were apparent when the level of this isomer exceeded 23%. Synergistic effects resulted from the addition of (Z)-8-dodecenyl alcohol to the pheromone, and captures were also enhanced when dodecyl alcohol was used as a modifier. Traps at 2m caught more males than those located at 1m or 4m and this pattern was not altered by tree height. There was evidence that traps cleared daily caught fewer moths than those serviced at longer intervals.
Résumé Les captures de mâles de la Tordeuse orientale des fruits (Grapholitha molesta) par des pièges attractifs à base de (Z)-8-dodecenyl acetate sont peu influencées par le type de dispositif. Les mâles sont également attirés par des containers-évaporateurs contenant 1-1000g de phéromones. De petites quantités de l'isomère E n'entrainent pas d'augmentation significative des captures, mais si la teneur en cet isomère excède 23%, alors on observe des réductions des captures. L'addition de (Z)-8-dodecenyl alcool à la phéromone a des effets synergiques; les captures étant aussi augmentées quand de l'alcool dodecylique est utilisé comme élément de modification de l'attractif. Les pièges placés à 2 m de hauteur attrapent plus de mâles que ceux installés à 1 m ou à 4 m et cela s'observe quelle que soit la hauteur de l'arbre. On remarque que les pièges nettoyés chaque jour capturent moins de papillons que ceux révisés à de plus longs intervalles.
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10.
In a study of male alary dimorphism, clones of pea aphid, Acyrthosiphon pisum (Harris), were collected five times over two seasons in one location and once each from three other latitudes in the Great Plains region of North America. All clones produced some males when subjected to a short photoperiod (L14: D10 or L13: D11) at 20 °C. The presence of three distinct classes of clones based on the morph of males they produced (apterous only; alate only; apterous and alate in equal proportions) provides evidence for a genetic basis for the dimorphism. The relative frequencies of clones producing only apterous males varied geographically, providing some evidence to support the hypothesis that populations are not panmictic over the Great Plains region.
Résumé Le dimorphisme alaire mâle, — ou présence de mâle ailé et aptère —, s'observe à l'intérieur et en fonction des clones de A. pisum Harris. Notre objectif est de décrire la distribution et la fréquence de ces deux morphes. 143 clones de pucerons du pois ont été récoltés sur Medicago sativa dans quatre stations de la Grande Plaine d'Amérique du Nord, entre 44° 45 et 53° 12 N: à cinq reprises pendant deux saisons dans une station, et une fois dans chacune des 3 autres stations. Tous les clones, soumis à une photopériode courte: L14: D10 ou L13: D11 à 20 °C, ont produit quelques mâles. Les 8 échantillons ont donné à la fois des mâles aptères et ailés, et les observations dans les clones confortent les expériences.Trois classes de clones ont été formées à partir des morphes produits: mâles aptères seuls, mâles ailés seuls, ou quantités égales de chaque morphe. La fréquence par rapport à la distribution binomiale a été utilisée pour montrer que pour presque tous les clones produisant les deux morphes, les proportions étaient 1:1. Ces observations prouvent que la présence ou l'absence d'ailes est déterminée génétiquement, probablement par un gène diallélique lié au sexe. La fréquence des clones produisant uniquement des mâles aptères varie en fonction des populations examinées, ce qui laisse supposer une perte de panmixie à travers la Grande Plaine, quant au morphe des mâles.
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11.
Conclusions L'invasion de la cornée par les leucocytes est tardive. Ces cellules sont évidemment destinées à servir de moyen de protection contre les microbes, mais elles ont encore probablement une autre fonction, qui reste inconnue, car elles se transforment par métaplasie en éléments différenciés, les cellules en épieu, décrites par Ranvier, dont la durée de vie est limitée.Cette métaplasie s'effectue au cours d'un processus spécial, qui m'a paru fort étrange lorsque j'ai commencé à l'étudier; mais la netteté des images observées aux différentes phases ne m'a laissé aucun doute sur sa réalité. Il ne peut d'ailleurs y avoir aucune erreur sur le sens dans lequel ces phases de la métaplasie se succèdent, à partir d'un leucocyte banal.Les leucocytes sont d'abord englobés par les cellules fixes en donnant des images identiques à celles de la phagocytose ordinaire; mais ils ressortent ensuite de ces cellules et redeviennent libres, ayant acquis une morphologie nouvelle, très caractéristique; souvent ils restent quelques temps rattachés par un mince filament à la cellule d'où ils sortent. Leur noyau a subi, chez l'adulte, mais non chez l'animal très jeune, un amoindrissement; il est normalement en bâtonnet régulier mais présente souvent une fragmentation qui indique un état de dégénérescence. Pourtant la plupart des cellules en épieu possèdent des pseudopodes lamelleux très développés, qui témoignent d'une grande activité migratrice. Les différents stades de cette évolution se rencontrent avec une très grande fréquence, dans toutes les coupes de cornée, et ils sont faciles à voir; s'ils n'ont pas été remarqués jusqu'ici, cela tient uniquement à des raisons techniques.  相似文献   

12.
Mark-release studies of Calosoma sycophanta L. (Carabidae) in two 40000 m2 areas were done using traps deployed in 10 by 10 grids. In both areas, gypsy moths, Lymantria dispar L. (Lymantriidae), were abundant the first but not the second year of sampling. The distribution of carabid larvae was also investigated in the first year at one of the sites and the distribution of gypsy moth larvae found under burlap bands determined for 2 years at the other site. Dispersions of beetles and prey were evaluated by Taylor's logarithmic meanvariance method and Iwao's mean-mean crowding method. Taylor's method gave the most consistent results, and the slopes of the regression lines were used to determine degree of clumping.To evaluate dispersal of adult beetles, recapture data were analysed using the Fisher-Ford and Jolly-Seber methods in conjunction with Jackson's method for separating survival and emigration. A new method for estimating emigration was found to be most consistent with the Fisher-Ford-Jackson procedure. The tendency of the beetles to aggregate (measured via Taylor's method) was generally highest for males. In one site, emigration and degree of aggregation for males appeared to vary together, while at the other site no relationship was evident. Females showed few tendencies to aggregate. Both beetle larvae and gypsy moth larvae had clumped distributions.
Résumé L'étude par capture-recapture de Calosoma sycophanta L. (Carabidae) a été effectuée dans deux parcelles de 4 ha en utilisant des pièges distribués sur une grille de 10 sur 10. Pendant la première année d'échantillonnage, Lymantria dispar L. (Lymantriidae) était abondant et les calosomes se sont reproduits, tandis que la seconde année les papillons étaient beaucoup moins nombreux. La distribution des larves de carabes a été examinée aussi pendant la première année sur l'une des stations, et celle des chenilles pendant les deux années avec des toiles d'emballage sur l'autre station. Les dispersions des adultes et larves de calosomes et des chenilles de Lymantria ont été calculées en utilisant la régression du logarithme naturel de la variance de l'échantillon sur le logarithme naturel de la moyenne (méthode de Taylor) et la régression de l'indice de Lloyd d'agrégation moyenne sur la moyenne (méthode d'Iwao). La méthode de Taylor a donné les résultats les plus logiques, et les pentes ont servi à mesurer le degré d'agrégation. Les recaptures de calosomes adultes ont été analysées par les méthodes de Fisher-Ford et Jolly-Seber, associées à la méthode de Jackson pour séparer survie et migration. De même, une nouvelle méthode pour déterminer directement la migration en découvrant combien d'insectes recapturés ont abandonné les microparcelles s'est révélée comme la plus cohérente avec le procédé Fisher-Ford-Jackson. La tendance à l'agrégation est plus forte chez les mâles (d'après la pente du logarithme de la moyenne par rapport au logarithm e de la variance de l'échantillon). La migration et le degré d'agrégation paraissent varier ensemble dans une station, tandis que dans l'autre une telle relation n'apparaît pas clairement. Les femelles malgré des taux de migration variés mais généralement faibles, n'ont jamais pr'esenté de tendance significative à l'agrégation. A l'opposé, les larves de calosomes et de Lymantria ont presenté des distributions agrégatives.
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13.
Résumé Une lame hétérogène deZ plus élevé que celui de l'eau, provoque dans un faisceau d'électrons de haute énergie une modification de la distribution de la dose en profondeur.La dose est augmentée au contact et au voisinage immédiat de la lame hétérogène, tandis qu'elle est diminuée à plus grande distance.Dans le cas habituel de la radiothérapie, où la lame hétérogène est constituée par une épaisseur limitée d'os, et de l'expérimentation radiobiologique, où l'hétérogénéité est constituée par les parois de verre, le surdosage reste inférieur à 5% pour les électrons d'énergie comprise entre 10 et 20 MeV.La distribution de la dose en profondeur est approximativement représentée par la courbe standard, si les profondeurs sont exprimées en masse surfacique (g/cm2).On peut donc admettre une épaisseur d'absorption équivalente (A E T) égale à l'épaisseur réelle multipliée par la densité de la lame hétérogène.Cependant dans les expérimentations rigoureuses qui exigent une précision élevée, le calcul de la dose en profondeur par l'A E T, peut ne pas être satisfaisante, et la mesure directe est indispensable.  相似文献   

14.
Sex attraction by pheromones seems general among the Tortricidae. Using virgin live females, female gland extracts or synthetic chemicals similar to known tortricid pheromones, it is shown that the species are attracted very specifically to their own pheromones. However, because of differences in seasonal cycles, circadian rhythms and secondary chemicals, many species may use the same primary attractant, without much interspecific attraction. There is some correlation between taxonomic groupings and pheromone structures.
Résumé L'attraction sexuelle par les phéromones semble être la règle chez les Tortricidae. L'attraction interspécifique a été étudiée dans la nature au moyen de femelles vierges vivantes, et de produits chimiques synthétiques semblables aux phéromones de Tortricidae dont la structure chimique a été élucidée. En général, les mâles d'une espèce donnée sont attirés très spécifiquement par un produit ou par un mélange qui, à leur égard, a valeur de phéromone.Cependant, le même produit attractif est souvent utilisé par plusieurs espèces. Il existe dans ce cas des différences de cycle saisonnier, de rythme circadien ou de produit chimique additionnel servant à l'attraction, de sorte que l'attraction interspécifique demeure un évènement rare. On observe une corrélation entre les groupements taxonomiques et la structure chimique des phéromones: dans la sous-famille des Olethreutinae, il y a surtout des alcools insaturés à 12 carbones et leurs acetates; dans la sous-famille des Tortricinae, surtout des alcools à `4 carbones et leurs acetates, généralement avec une double liaison en position 11.
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15.
Aphidius rhopalosiphi parasitises green colour forms of Sitobion avenae more frequently than brown forms. The handling time is longer for brown than for green nymphs, even when the two forms are members of the same clone. Parasite development lasts longer in brown forms than in green forms, and mortality is higher.
Résumé A. rhopalosiphi a parasité les stades jeunes de S. avenae avec plus de succès que les stades âgés, et les types verts plus fréquemment que les bruns. Dans tous les cas, la mortalité était élevée; significativement plus de pucerons du premier et du second stade ont été tués par l'attaque du parasite que ceux des 3è et 4è stades. La fréquence de pucerons bruns formant des momies a augmenté avec le nombre de pipûres, de 0,1 pour une piqûre à 0,4 pour 8 piqûres. Lorsqu'il n'y a qu'une piqûre, le nombre d'oeufs émis est le même pour les deux types. A 20–22 °C, le développement du parasite dure jusqu'à 9 jours dans les pucerons verts et 12 jours dans les bruns. Lorsqu'il y a choix, les parasites préfèrent les verts aux bruns (Même quand ils sont du même clone) et les bruns clair aux bruns sombres. Les verts ont besoin de moins de rencontres que les bruns pour être piqués, mais pour une souche de parasites recueillie depuis peu, la différence était faible, pourtant cette nouvelle souche ne parasitait pas les pucerons bruns avec plus de succès que l'ancienne souche.
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16.
Short-term variations in the relative catch in each of two or three interacting pheromone traps for the pea moth,Cydia nigricana (F.), were investigated for traps aligned along the wind. The proportional catch in each trap varied widely, although the mean values accorded with previous estimates. Over consecutive short intervals during a single trapping period the proportion caught in the centre trap of a three-trap line was constant. The proportion caught in the upwind trap of two-and three-trap lines showed trends in time. These trends differed between trapping periods, but two lines of traps operated simultaneously gave similar results to each other. It is suggested that these results, which are predicted by a model based on various components of moth orientation behaviour, are caused by changes in systematic behavioural processes, not random effects. Possible mechanisms are discussed.
Variations à court terme des captures deCydia nigricana dans des pièges à phéromones en interaction
Résumé Des données antérieures concernant les interactions entre des pièges à phéromone alignés le long du vent ont été utilisées pour déduire les caractéristiques du comportement d'orientation deC. nigricana. Ces données ont été introduites dans un modèle de simulation quantitative qui prédisait que quand les captures totales sur une ligne ont été regroupées sur une période globale de piégage, la proportion capturée dans chaque piège devrait aussi avoir des valeurs moyennes semblables, mais varie plus largement que précédemment indiqué. Les simulations concernant des intervalles consécutifs beaucoup plus courts pendant la même période de piégage ont suggéré une forme spécifique de cette variation.Cette note signale des variations à court terme dans la proportion capturée au piège qui confirment ces prédictions. Nous montrons que sur des intervalles consécutifs brefs pendant une simple période de piégage, la proportion capturée dans le piège central d'une ligne de 3 pièges est contstante, bien que sa valeur change suivant les périodes de piégage. La proportion capturée dans le piège face au vent de 2 ou 3 lignes de pièges suit cette tendance dans le temps, ce qui est généralement bien représenté avec des courbes simples. Ces tendances changent suivant les périodes de piégage, mais des lignes de pièges fonctionnant simultanément fournissaient des résultats similaires. On suggère que ces résultats sont dus à des changements dans des processus comportementaux systématiques et non à des effects aléatoires. Les mécanismes possibles sont discutés.
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17.
Diets prepared from lyophilized and powdered current-year (1983) shoots of white spruce Picea glauca (Moench) Voss were offered to 6th-instar larvae of spruce budworm, Choristoneura fumiferana (Clemens) (Lepidoptera: Tortricidae). With increasing age of current-year shoots, time to pupation increased whereas survival, assimilation efficiency, efficiency of conversion of diet to moth biomass, and moth dry weight generally decreased. Sex of the larvae influenced amount ingested, time to pupation, and subsequent moth weight but not survival, assimilation efficiency, and efficiency of conversion of diet to moth biomass.
Résumé De la poudre lyophilysée de pousses de l'année de Picea glauca a été introduite dans le régime de chenilles du 6ème stade de Choristoneura fumiferana: 20% de poudre de pousses, 1.2% de gélifiant, 78.8% d'eau. Il est ainsi possible de déterminer à 2 mg près la quantité d'aliment consommée par chaque chenille, et, ainsi, de calculer, pour chacune, l'indice alimentaire, dont la prise de nourriture est l'une des variables. Avec de tels régimes préparés à partie de pousses recueillies au cours de 1983, on a constaté que la date de nymphose, la quantité consommée, et le poids ultérieur des papillons dépendaient du sexe de la chenille. En général, les chenilles femelles se nymphosent plus tard, consomment plus et donnent des papillons plus lourds (poids sec) que les chenilles mâles. L'efficacité de l'assimilation et celle de la transformation en biomasse de papillon ne différent pas suivant les sexes, c'est-à-dire qu'ils ont la même aptitude à digérer les pousses. Les taux de survie de chenille à nymphe et de nymphe à imago ne différent donc pas.Cependant, certains de ces paramètres et d'autres changent en fonction de l'âge des pousses annuelles. Quand elles ont été récoltées 7 jours après le débourrement (il a lieu le 20 mai), la survie jusqu'en nymphe est de 93% contre 74% de survie totale; avec des pousses récoltées 52 jours après le débourrement (11 juillet) les taux de survie sont respectivement 7% et 1.4%; avec des pousses récoltées 146 jours après le débourrement (13 octobre) les survies sont 71% et 50%. Des pousses récoltées 28 jours ou plus après le débourrement, retardent la date de nymphose de 25% par rapport à celles récoltées entre 7 et 14 après le débourrement; parallèlement, elles abaissent l'efficacité de l'assimilation de 39%, l'efficacité de conversion de la biomasse de 125%, et le poids des papillons de 54%. Ces changements sont liés à une diminution de la teneur en azote des pousses de 2.1% à environ 1% du poids sec. Cependant la corrélation entre la survie des chenilles et la teneur en azote n'est pas rigoureuse et un facteur encore inconnu est supposé responsable de l'augmentation de la mortalité quand les chenilles consomment (dans leur régime) des pousses récoltées début juillet, 52 jours après le débourrement. Les travaux destinés à identifier ce facteur inconnu sont en cours.
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18.
Laboratory-reared and wild-collected adult female Mediterranean fruit flies, Ceratitis capitata Wiedemann, were exposed to two host fruit species, sweet orange (Citrus sinensis L.) and mock orange (Murraya paniculata Jack: Rutaceae). The effect of experience with a fruit species on acceptance of these fruit species (i.e., learning) differed between lab and wild females, but only for flies that were exposed to mock orange. Similar differences in fruit acceptance between lab and wild females were observed when individuals experienced with one fruit species were exposed to the other fruit species (i.e., switching). Finally, when each group was exposed to sweet orange, wild flies subsequently deprived of host fruit retained the effect of exposure on acceptance of mock orange 1 day longer than did lab flies subsequently deprived of host fruit. An hypothesis is presented by which selection under artificial culture gave rise to these differences.
Résumé Des Ceratitis capitata femelles, élevées au laboratoire ou obtenues dans la nature à partir d'Eriobotrya japonica, ont été mises en présence de Citrus sinensis et de Murraya paniculata. L'effet de l'accoutumance à une espèce de fruit sur l'acceptation ultérieure des fruits d'une espèce déterminée (c'est-à-dire l'apprentissage) n'était pas le même pour les mouches sauvages et pour les mouches de laboratoire accoutumées à M. paniculata. Les mouches sauvages accoutumées à M. paniculata tentent de pondre dans C. sinensis beaucoup moins fréquemment que dans M. paniculata. Par contre, les mouches de laboratoire accoutumées à M. paniculata tentent de pondre dans M. paniculata aussi souvent que dans C. sinensis. Des différences du même type entre mouches sauvages et mouches du laboratoire ont été observées quand les individus mis en expérience avec une espèce de fruit ont été ensuite exposés à l'autre espèce, c'est-à-dire lors de réapprentissage. L'acceptation finale par les mouches de laboratoire dépend un peu plus de l'exposition à C. sinensis et un peu moins à celle de M. paniculata que lors de l'acceptation finale par des mouches sauvages. Enfin, des mouches sauvages accoutumées à C. sinensis et privées de leurs fruits, conservent un jour de plus l'effet de l'accoutumance, lors de l'acceptation de M. paniculata, que les mouches de laboratoire placées dans les mêmes conditions.Nous émettons l'hypothèse qu'une sélection due aux conditions d'élevage est à l'origine de ces différences. L'élevage dans de grandes bouteilles de polyéthylène peut sélectionner des mouches qui apprennent plus difficilement en présence de petits fruits comme M. paniculata et qui conservent l'influence de l'expérience pendant un temps plus bref.
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19.
The mechanisms adopted to ensure mating success, fertility and fecundity of E. insulana (reared in the laboratory on an artificial diet) were studied. Male moths mate only once a night but mate several times (mean 4.2) during their life span. Females will mate up to 3 times per night and an average of 2.6 times over their life span. One spermatophore can nevertheless be sufficient for a female to lay fertile eggs throughout her life with no reduction in potential fecundity.A female moth is ready to mate by the second night after emergence. The preoviposition period is greatly prolonged in unmated females. Thus if mating is delayed up to about the 9th night, eggs are saved to be laid, after mating, as fertile eggs. If mating is delayed to a greater extent, thus occurring after egg laying has already begun, the potential reduction in reproduction is not very great, because of the low daily (and total) egg-laying rate before mating and the increased longevity of unmated females.It appears reasonable to expect egg production to be substantially reduced only when a marked reduction in the effective proportion of adult males in a population is achieved.
Résumé Cette étude porte sur les mécanismes qui assurent le succès des accouplements, la fertilité et la fécondité d'E. insulana, élevé sur aliment artificiel en laboratoire.Les papillons mâles s'accouplent plusieurs fois (en moyenne 4, 2) au cours de leur vie mais seulement une fois par nuit et 2,6 fois en moyenne au cours de leur vie. Un seul spermatophore peut néanmoins être suffisant pour permettre à une femelle de pondre des oeufs fertiles tout au long de sa vie, sans réduction de sa fécondité potentielle.Un papillon femelle est apte à s'accoupler dès la 2ème nuit après l'émergence. La période de préoviposition est très prolongée chez les femelles non accouplés. Ainsi, si l'accouplement est retardé jusque vers la 9ème nuit, les oeufs sont conservés et peuvent être pondus après accouplement en demeurant fertiles. Si l'accouplement est retardé plus longtemps, après que la ponte ait déjà commencé, la réduction potentielle de la reproduction n'est pas très grande, en raison du faible taux de ponte journalier avant l'accouplement et de la longévité accrue des femelles vierges.Il semble que l'on quisse s'attendre à une réduction substantielle de la ponte seulement quand intervient une nette diminution du nombre des mâles présents dans la population
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20.
Crosses between white and black color morphs of the Colorado potato beetle, Leptinotarsa decemlineata Say, used as genetic markers, showed that male beetles ride and guard females to achieve the three copulations required to fill the spermatheca. Multiple matings are necessary for the females to realize their full reproductive potential. Sperm mixing occurs in the spermatheca providing partial sperm precedence. The data support the competitive mate searching theory.
Résumé Différentes combinaisons d'accouplements entre des mutants noirs et blancs du doryphore de la pomme de terre, Leptinotarsa decemlineata, servirent à étudier le comportement de guarde de la femelle par le mâle après un premier accouplement. Les résultats indiquent que le sperme de deux mâles accouplant la même femelle se mélange dans la spermathèque assurant ainsi un certain niveau de précédence du sperme du dernier mâle.La masse de sperme dans la spermathèque était inférieure à sa capacité chez les femelles ayant été accouplées une ou deux fois. Le doryphore mâle aurait donc avantage à demeurer sur la femelle après un premier accouplement afin d'obtenir le minimum de trois accouplements requis pour remplir la spermathèque avant que les autres mâles puissent accoupler cette femelle. Les autres mâles ont avantage à essayer de dérober cette femelle pour remplir eux mêmes la spermathèque ou tout au moins profiter d'une certaine précédence du sperme du dernier mâle pour fertiliser une partie des oeufs.Sans accouplements multiples, la femelle ne possède pas suffisamment de sperme pour féconder tous ses oeufs. II semble aussi que les accouplements répétés puissent augmenter sa fécondité.Les résultats supportent une stratégie reproductive de compétition plutôt qu'une simple maximisation du nombre d'accouplements.
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