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1.
Oatman  E. R.  Gilstrap  F. E.  Voth  V. 《BioControl》1976,21(3):269-273
The effect of different release rates of a predaceous mite,Phytoseiulus persimilis Athias-Henriot, on the twospotted spider mite,Tetranychus urticae Koch, on strawberry was investigated in southern California in 1970–71. The spider mite population reached a peak of 206.3 active stages/leaflet in the low-rate (5/plant) release plot on May 4 and 169.1/leaflet in the high-rate (10/plant) release plot on May 18, compared to a peak of 433.4/leaflet in the control (no release) plot on May 11. The mean numbers of spider mites in the low-, and high-rate release plots were significantly different from the control from April 6 through June 15, but were never significantly different from each other. The predator population reached a peak of 13.1 and 23.8 active stages/leaflet in the low-, and high-rate release plots, respectively, on May 25 which was 3 weeks and 1 week after the spider mite population reached its peak in these plots. The seasonal mean numbers of spider mite active stages in the low-, and high-rate release plots were significantly different (P=0.05) from the control, but were not significantly different from each other. There were no significant differences in fruit yield (g/plant) or fruit size between the low-, and high-rate release and control plots.
Résumé Des lachers de l'acarien prédateurPhytoseiulus persimilis Athias-Henriot ont été réalisés en 1970–71 dans deux fraiseraies de la Californie du Sud infestées parTetranychus urticae Koch. La densité des populations larvaires deT. urticae a atteint le 4 mai un maximum de 206,3 par foliole là où le lacher avait été de 5 par plante (parcelle 1) et de 169,1 pour 10 prédateurs par plant (parcelle 2) le 11 mai, alors que le témoin en contenait 433,4 par foliole. La densité des populations larvaires deT. urticae était comparable dans les parcelles 1 et 2 entre le 6 avril et le 15 juin, mais divergeait sensiblement de celle du témoin. Les populations de larves du prédateur ont atteint un maximum de 13,1 et 23,8 par foliole dans les parcelles 1 et 2 les 13 et 25 mai, respectivement, soit 3 semaines et 1 semaine après que celles deT. urticae aient atteint leur maximum. Pour la saison, la densité moyenne des populations larvaires deT. urticae enregistrée dans les parcelles 1 et 2 différaient considérablement de celle du témoin (P=0.05), mais la différence entre les terrains 1 et 2 n'était pas significative. Il n'y a pas eu de différences importantes entre la récolte de fraises (g/plante) ou la dimension des fruits récoltés dans les parcelles 1 et 2 et le témoin.
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2.
Prise de nourriture par Sogatella furcifera sur des variétés de riz sensibles ou résistantes Des déterminations des taux d'ingestion et des sites de prise de nourriture par Sogatella furcifera, faites indirectement par des estimations du pH. du contenu en acides aminés libres et de la quantité de miellat excrété par cet Homoptère sur une variété sensible (TN1) et une variété résistante (IR2035-117-3) de riz. Oriza sativa L., suggèrent que le taux d'ingestion de sève est 267 fois plus élevé sur la variété TN1, bien que le site principal de la prise de nourriture sur les 2 variétés semble se situer au niveau de la sève élaborée des tubes criblés du liber (phloème). Ces résultats sont comparés à ceux publiés antérieurement sur la cicadelle du riz. Nephotettix virescens, dont le taux d'ingestion est semblable sur des variétés de riz sensibles ou résistantes, mais dont les sites de prise de nourriture sont différents. Cette cicadelle se nourrirait principalement de la sève élaborée du phloème chez la variété TN1, tandis qu'elle absorberait surtout de la sève brute provenant des vaisseaux du bois (xylème) chez des variétés de riz résistantes aux attaques de ce déprédateur.  相似文献   

3.
Les observations faites sur deux cucurbitacées africaines, Lagenaria siceraria Molina (Standl.) et Citrullus lanatus Thumb (Matsum & Nakai) ont permis d’inventorier l’entomofaune (utiles et ravageurs) associée à la pratique culturale. L’évaluation des dégâts occasionnés par les ravageurs a mis en évidence leur impact sur la production. Suivant un schéma expérimental, des parcelles de 49 m2 traitées au CYPERCAL 50 EC (50 g/l de Cypermétrine) et au FURADAN 5G (50 g/kg de Carbofuran) et non traitées ont été disposées en blocs aléatoires. Les observations ont porté sur l’identification et le dénombrement des insectes, sur le pourcentage de plants attaqués ainsi que sur la production de baies mûres et de graines. Au total, 71 espèces ont été identifiées, réparties en 41 familles et 10 ordres (Coléoptères, Hyménoptères, Diptères, Lépidoptères, Orthoptères, Homoptères, Hétéroptères, Dictyoptères, Odonates et Dermaptères). Les principaux ravageurs appartiennent à la famille des Chrysomelidae (Lamprocopa occidentalis, Aulacophora foveicolis, Aulacophora africana, Asbecesta cyanipennis, Ootheca mutabilis et Lilioceris livida), des Coccinellidae (Henosepilachna elaterii et Henosepilachna reticulata) et des Meloidae (Mylabris holosericea). Plus de 50 % de plants sains ont été recensés dans les parcelles traitées contre 0 à 33 % dans les parcelles témoins. Les nombres moyens des baies obtenues dans les parcelles traitées (37,16 ± 2,99 pour L. siceraria et 42,33 ± 2,58 pour C. lanatus) sont significativement (P < 0,001) plus importants que ceux observés dans les parcelles témoins (29,33 ± 4,67 pour L. siceraria et 31,33 ± 3,5 pour C. lanatus). Les rendements moyens en graines dans les parcelles traitées (222,39 ± 15,78 kg/ha pour L. siceraria et 127,4 ± 8,16 kg/ha pour C. lanatus) sont significativement (P < 0,001) supérieurs à ceux observés dans les parcelles témoins (144,4 ± 14,52 kg/ha pour L. siceraria et 88,18 ± 8,09 kg/ha pour C. lanatus). Les traitements insecticides, en réduisant les populations de ravageurs et les dégâts sur les plants, ont entrainé une augmentation du rendement à l’hectare de plus de 40 %.  相似文献   

4.
M. Ravallec  G. Riba  A. Vey 《BioControl》1989,34(2):209-217
Résumé Le comportement pathogène de l'hyphomycèteMetarhizium anisopliae (Metsch.) Sorokin a été évalué surAedes (Stegomya) albopictus Skuse. Le mode d'action de la souche testée se manifeste de 2 fa?ons, soit par une colonisation de l'hémocoele, soit par une toxémie si la dose de l'inoculum est suffisamment élevée. L'intervention d'un processus toxémique a été confirmée par la mise en évidence du pouvoir pathogène des spores irradiées aux ultra-violets. Ces toxines seraient libérées dans le mésentéron des larves pendant la protéolyse alcaline des spores ingérées, dont le nombre a pu être estimé. Le seuil d'activité toxémique étant évalué à 3.105 spores pour une larve du stade 4. L'analyse du contenu de tubes digestifs étalés sur milieu nutritif et l'examen de coupes semi-fines ont montré que les larves soumises à de fortes doses du germe perdent rapidement leur capacité digestive. Enfin, le r?le de la destruxine E dans ces infections est discuté.   相似文献   

5.
G. Reyd  B. Le Rü 《BioControl》1992,37(2):317-325
Résumé L'influence de la prédation des larves d'Hyperaspis raynevali et d'Exochomus flaviventris (Col. Coccinellidae) sur les colonies de la cochenille du maniocPhenacoccus manihoti (Hom. Pseudococcidae) a été étudiée en relation avec la densité et la structure d'age des colonies de cochenilles, et avec le rapport proie/prédateur utilisé lors du lacher des larves. La prédation des deux espèces de coccinelles est surtout influencée par la densité et la structure d'age des colonies deP. manihoti: le rapport proie/prédateur intervient dans une moindre mesure. Elle est plus importante sur la densité initiale de 45 cochenilles/plant que sur la densité de 25 cochenilles/plant, et, permet de limiter significativement la multiplication des colonies deP. manihoti constituées d'adultes et de larves néonates, et de réduire significativement les effectifs de cochenilles composées de 2e et 3e stades larvaires. Pour les deux espèces de coccinelles, les lachers effectués avec un rapport proie-prédateur de 3 cochenilles pour 1 larve de coccinelle (3/1) ont une influence plus grande sur la réduction des effectifs de cochenilles que ceux réalisés avec un rapport de 7/1. Ce résultat est cependant plus marqué chezE. flaviventris. Pour tous les paramètres étudiés, la coccinelle exotiqueH. raynevali maintient les densités deP. manihoti à des niveaux numériques inférieurs à ceux obtenus avec l'espèce indigèneE. flaviventris. Les résultats sont comparés à ceux obtenus en parcelles au Congo. L'utilisation des larves de coccinelles dans la perspective d'une lutte biologique contre la cochenille du manioc est évoquée en discussion.   相似文献   

6.
Résumé Commencés en 1954, les essais de naturalisation deProspaltella perniciosi Tower pour la lutte biologique contre le Pou de San-José,Quadraspidiotus perniciosus Comstock dans la région Sud-Ouest de l'Allemagne ont conduit aux résultats suivants. Jusqu'en 1965, dans une région d'expérience de plus de 1 000 ha située près de Heidelberg, en moyenne le quart desQ. perniciosus ont été exterminés parProspaltella peerniciosi, tant sur les arbres où ils avaient été lachés, que sur les arbres voisins. Les résultats donnés par les graphiques et les tableaux précédents expliquent l'augmentation des taux de parasitisme, la composition et l'importance des différents éléments de la faune des parasites dans le Baden-Württemberg ainsi que dans la région de Stutgtart où se trouvent des échantillons de pommier du Connecticut. Dans les régions d'expérience,Prospaltella perniciosi est le parasite le plus important. L'origine du parasite joue seulement un r?le secondaire. LesProspaltella bisexués, mis en élevage et lachés depuis 1963 se sonst bien maintenus à c?té des races unisexuées qui avaient été libérées précédemment. Sous le climat des lieux d'expérience, leP. perniciosi parthénogénétique a aussi bien réussi que le bisexué.   相似文献   

7.
Résumé La toxicité du méthidathion a été mesurée sur 7 souches dePhytoseiulus persimilis provenant de collections de laboratoire, d'unités de production ou du terrain. Les résultats obtenus se sont avérés être très variables: la CL50 de la souche la plus résistante est 100 fois plus élevée que celle de la souche la plus sensible. Chaque souche a ensuite été sélectionnée pour la résistance à cet insecticide; toutes les souches ont répondu à la sélection et ont atteint des niveaux de résistance similaires. Elles ont ensuite été mélangées, à nouveau sélectionnées pour la résistance au méthidathion et à d'autres insecticides et utilisées dans les programmes de lutte intégrée. La résistance a pu ainsi être légèrement augmentée et la souche obtenue, bien qu'encore affectée par le méthidathion sur le terrain, n'est plus complètement éliminée par les traitements et est moins sensible aux résidus présents sur les feuilles.   相似文献   

8.
Résumé

Au cours des dernières décennies, les essais de régénération du chêne-liège en forêt de la Mamora se sont heurtés à des attaques massives de vers blancs sur les racines des jeunes plants, avec un taux de réussite des plantations ne dépassant guère 12% dans la majorité des parcelles de régénération. La biologie de Sphodroxia maroccana Ley (Coleoptera : Melolonthidae), le ravageur principal, a été en partie élucidée, avec encore des lacunes concernant la période exacte ?émergence des mâles par rapport aux femelles, la longévité des imagos et la sex-ratio. La sècheresse esti vale est parmi les autres causes de dépérissement des jeunes plants. Lors de la première année suivant la plantation dans des parcelles expérimentales, la mortalité cumulée due aux attaques larvaires et à la sècheresse a varié entre 41% et 68% selon les blocs considérés dans les parcelles. La mortalité liée aux attaques des larves de S. maroccana était comprise entre 24 et 43%, avec une distribution en taches des dégâts, plus ou moins importantes selon la densité initiale des plants. L’isolement par micro-extraction en phase solide des effluves femelles de S. maroccana a permis ?identifier le résorcinol (1,3-benzènediol) comme composé phéromonal présumé. La fonction de cette molécule comme phéromone reste toutefois à démontrer.  相似文献   

9.
Investigations with the sugarcane borer sex pheromone have been conducted in the laboratory and field since 1964 to: (1) develop a suitable synthetic diet for rearing large numbers of larvae; (2) develop a reliable bioassay to aid chemical studies of the pheromone; (3) study male response in the field to the pheromone; (4) determine the effects on natural populations of trapping males in small field plots; and (5) identify the pheromone. More than 1,000,000D. saccharalis have been reared on synthetic diets during the past 4 years. Bioassay techniques for detecting active fractions separated during chemical studies have been developed. Statistically significant reductions in sugarcane borer infestations and damage to sugarcane have been attained in small replicated field plots. Male movement in the field has been studied utilizing marking and release techniques. About 1400 males of the bluegrass webworm,C. teterrellus, responded to cagedD. saccharalis females during two years of field work, thus providing evidence for a lack of species specificity of the pheromone.
Résumé La découverte en 1964 d’une phéromone sexuelle efficace chez le foreur de la canne à sucre,Diatraea saccharalis (F.) a stimulé la recherche pour identifier et synthétiser la phéromone et faire l’étude de ses possibilités d’emploi dans la lutte contre ces ravageurs.D. saccharalis est le principal insecte nuisible à la canne à sucre en Louisiane où il cause environ 13% des pertes annuelles. Les femelles vierges commencent à émettre ce produit chimique après l’émergence et elles sont le plus attractives pendant les trois premiers jours de vie, ensuite l’attraction diminue avec l’age. Généralement les femelles cessent d’attirer les males après l’accouplement et la majorité des femelles s’accouplent seulement une fois dans la nature, où l’activité sexuelle a lieu entre une heure et quatre heures du matin. Plus d’un million de larves ont été élevées en laboratoire ces quatre dernières années. Environ 75% des abdomens des femelles obtenues ont été utilisés par les chimistes qui cherchent à identifier la phéromone. Des réductions significatives de l’infestation par le foreur et des préjudices à la canne à sucre ont été enregistrées dans de petites parcelles où étaient disposés 400 à 800 pièges par acre, chaque piège contenant une femelle vierge. Il n’y a pas eu de réductions significatives l’année suivante quand la densité des pièges a été réduite à 80 par acre, cependant les captures de males ont augmenté de presque 2,5 fois. Les nombres de males marqués recapturés au point de lacher ne diffèrent pas significativement si les lachers ont été faits à des distances de 40, 80, 160 et 320 pieds du piège renfermant les femelles vierges, et seulement 4,44 pour cent des males ont été recapturés. Ces phénomènes sont peut être dus à la dispersion des males à partir des points de lacher avant leur réponse à la phéromone. Le manque de spécificité de la phéromone a été déjà signalé. Pendant les deux ans d’essais dans la nature, les pièges avec les femelles vierges deD. saccharalis ont attiré beaucoup de males deCrambus teterrellus Zincken.


Presented at the symposium OILB on borers of graminaceous plants. Paris, 24th sept. 1970.  相似文献   

10.
La nervation des élytres d’Acrididae de la région ouest paléarctique a été étudiée au moyen de 2 méthodes de morphométrie de manière à faire ressortir les caractères adaptatifs relatifs à la stridulation et les marqueurs de phylogénie. Huit Points de Repère (PR) situés dans la région proximale des élytres, incluant le champ médian, ont été considérés pour l’analyse de morphométrie géométrique. L’importance relative des champs a été appréhendée par ACP. Il apparaît que le dimorphisme sexuel des PR caractérise les espèces à stridulation de forte intensité chez le mâle (Gomphocerinae et Stethophyma grossum). Les mâles présentent par rapport aux femelles un élargissement des champs sous-costaux antérieur et postérieur, et du champ radial, lié à un déplacement distal de la bifurcation entre les radiales antérieure et postérieure, ce qui entraîne un élargissement de la surface de résonance. L’élargissement du champ cubital antérieur est une déformation propre à la tribu des Locustini et n’a pas de valeur adaptative apparente.  相似文献   

11.
Dans les zones de savanes de l’Afrique, un genre d’abeille, Lipotriches Gerstaecker 1858, s’est spécialisé dans la collecte du pollen de graminées. Un site de nidification et l’aire de butinage de Lipotriches notabilis ont été suivis pendant trois années dans la région de Ngaoundéré au Cameroun. Le régime alimentaire pollinique est composé presque exclusivement du pollen de graminées, notamment Brachiaria ruziziensis abondant dans cette région. Le maïs est aussi visité et l’abeille contribue indirectement à la pollinisation par la mise en suspension dans l’air du pollen. Comme les graminées n’offrent pas de ressource sucrée, les femelles comme les mâles de L. notabilis butinent de temps en temps les Asteraceae pour la collecte de nectar. La consommation du pollen de graminées par les femelles a été aussi observée. Lespèce niche en bourgades dont la taille varie d’une dizaine à une centaine de nids. Le nid creusé dans un sol horizontal est du type progressif. Il comprend un tumulus, une cheminée verticale, un conduit principal vertical pouvant atteindre 65 cm de profondeur et en moyenne 3 conduits latéraux obliques de 4 à 16 cm aboutissant dans une ou plusieurs cellules successives. Les cellules des conduits latéraux sont approvisionnées simultanément et fermées de manière régressive. On compte un maximum de 10 cellules par nid. Généralement un nid est habité par une seule femelle, mais certains nids sont habités par deux ou trois. Lactivité de butinage de cette espèce est limitée dans la matinée. Dès 7 heures, elle s’envole pour le site de butinage. Après 11 heures, il n’y a généralement plus de nids ouverts. Les mâles n’ont pas été aperçus au niveau du site de nidification et l’accouplement a lieu sur le site de butinage. La période d’activité commence avec la saison des pluies en avril et se termine au début de la saison sèche en décembre, avec la fanaison des graminées.  相似文献   

12.
J. B. Carter 《BioControl》1978,23(2):169-174
Field trials withTipula iridescent virus (TIV) were carried out to determine whether the infection can be introduced into populations ofTipula spp. in grassland. The virus was introduced into plots in live and deadTipula oleracea L. larvae, in a bran bait and in sprayed aqueous suspensions. Trials were conducted at 1 site in 3 successive years and at 5 further sites in the 3rd year. Tipulid larval populations in the plots were sampled at intervals of approximately 2 months. The majority of sampled larvae were not iridescent and did not become iridescent when they were incubated at 20°C for 30 days. In plots where iridescent larvae were found they generally comprised between 1 and 17% of the tipulid population. The identity of the virus infecting these insects was confirmed by the latex agglutination test. The results suggest that all the treatments introduced the virus infection into one or more of the tipulid populations; they all did so, however, with low efficiencies.
Résumé Des essais en parcelles avec le virus irisant deTipula (TIV) ont été effectués pour déterminer si l'on peut introduire l'infection dans des populations deTipula spp. en prairie. Le virus a été utilisé sous forme de larves vivantes ou mortes deTipula oleracea L., d'appat de son, et en suspensions aqueuses. L'expérimentation a été réalisée dans un emplacement pendant 3 ans successifs et dans 5 sites complémentaires pendant la 3e année. L'échantillonnage des populations de larves de tipules a eu lieu tous les 2 mois. La majorité des larves récoltées n'etaient pas irisantes et elles ne le sont pas devenues après un élevage à 20°C pendant 30 jours. Dans les parcelles où l'on a trouvé des larves irisantes, celles-ci représentaient 1 à 17% de la population de tipules. L'identité du virus dans ces insectes a été confirmée par agglutination au latex. Les résultats suggèrent que tous les traitements ont introduit l'infection virale dans les populations de tipules mais avec une faible efficacité.
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13.
Résumé Quelques aspects biologiques d'une race locale deAnagyrus pseudococci (Girault), un parasite des Pseudococcines, ont été étudiés sous des conditions du laboratoire et de la serre. Ces parasites ont été élevés sur leur h?te,Planococcus citri (Risso). La durée du développement, la longévité des adultes et la fécondité ont été étudiées sous des combinaisons différentes de température et d'humidité relative La longévité des parasites adultes n'a pas été effectuée par des fluctuations d'humidité relative à une température de 28°C. La fécondité et le taux de femelles dans la descendance augmentent avec l'age de l'h?te ainsi qu'en fonction de l'élévation de la température.   相似文献   

14.
Résumé L'endoparasito?deMicrocharops anticarsiae (Hym.: Ichneumonidae), est un des agents naturels de régulation d'Anticarsia gemmatalis (Lep.: Noctuidae). La préférence pour un stade de l'h?te, les effets sur la sex ratio et la réponse fonctionnelle ont été étudiés expérimentalement chezM. anticarsiae pour six densités différentes de l'h?te. Dans des expériences de choix impliquant 2 stades de développement consécutifs ou dans les cas où étaient offerts en même temps les quatre premiers stades larvaires, les femelles du parasito?de n'ont présenté aucune préférence pour un stade donné. Ces résultats montrent que les femelles deM. anticarsiae acceptent tout h?te disponible indépendamment de son stade. La sex ratio présente des différences significatives entre les quatre stades de l'h?te (G3df=18.21, p<.001). La sex ratio du parasito?de est plus favorable aux femelles chez les larves se développant dans le 4e stade de l'h?te. Une réponse fonctionnelle de type II a été observée chez les parasito?des femelles en réponse à des densités variables de l'h?te. Ces informations fondamentales concernant les effets de la sex ratio ont montré quel est le stade de l'h?te qui doit être parasité pour obtenir la sex ratio la plus favorable aux femelles, tandis que la réponse fonctionnelle a fourni le taux moyen (38.0±7.5) de parasitisme par femelle. Ces informations sont importantes pour la production en masse deM. anticarsiae pour le programme de lutte biologique.   相似文献   

15.
Deux types de structure kystique ont été observés au microscope éectronique. Dans le ler, qui correspond aux kystes d'infection ou gamontokystes, la cellule est relativement libre dans l'enveloppe kystique. Celle-ci est formée de 2 couches distinctes d'inégale épaisseur (ectokyste, endokyste) sécrétées par la cellule et doublées intérieurement par un mince feuillet cytoplasmique dûà une extension des plis cuticulaires. C'est la seule modification du cortex cellulaire. Par contre, dans le 2ème type les modifications sont beaucoup plus importantes. La cellule est étroitement accolée aux parois du kyste; crêtes et flagelles ont disparu de la surface. Cependant on retrouve leurs traces dans la région corticale, sous forme d'axonèmes intracytoplasmiques plus ou moins désorganisés et d'empilements de saccules associés à des rangées de microtubules. Ce seraient des kystes de résistance. Les structures observées dans ces derniers kystes nous permettent de discuter quelques idées sur la participation des microtubules et des systèmes membranaires à la morphogénèse du cortex des Opalines.  相似文献   

16.
The protection of apples against damage by the codling moth,Laspeyresia pomonella (L.), by applications of the granulosis virus ofL. pomonella was assessed in apple orchard tests at 4 locations in Canada in 1974–1978. Sprays containing 3×109 to 4×1010 granules/litre, applied 2 or 3 times per generation of codling moth larvae, reduced injury to apples by 44 to 85% compared to reductions of 72 to 98% by applications of azinphos-methyl or phosmet. Applications of the virus did not reduce numbers of arthropods predaceous on pest insects and mites.
Résumé L'efficacité de la protection des pommes contre le carpocapse,Laspeyresia pomonella (L.), par des applications du virus de la granulose deL. pomonella a été évaluée par des assais dans 4 vergers du Canada entre 1974 et 1978. Des pulvérisations contenant de 3×109 à 4×1010 granules/litre, appliquées 2 ou 3 fois par génération de larves du carpocapse des pommes, ont réduit les dommages aux pommes de 44 à 85% comparé à des réductions de 72 à 98% obtenues avec des pulvérisations d'azinphos-méthyl ou de phosmet. Les applications de virus n'ont pas réduit les populations d'arthropodes prédateurs d'insectes nuisibles et d'acariens.
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17.
A. Bekkaoui  E. Thibout 《BioControl》1992,37(4):627-639
Résumé Le comportement des femelles de l'inchneumonideDiadromus pulchellus, parasito?de d'Acrolepiopsis assectella, a été étudié au contact des chrysalides-h?tes avec leur cocon ou nues, lavées ou non par des solvants. L'implication de kairomones cuticulaires hydrosolubles dans le processus de reconnaissance de l'h?te par ce parasito?de a été mise en évidence. Des chrysalides lavées voient en effet leur pouvoir stimulant fortement réduit, et les extraits aqueux ainsi obtenus ont une activité biologique importante sur les femelles du parasito?de. Ces kairomones cuticulaires semblent avoir un r?le complémentaire à celui de substances actives issues du cocon. L'élevage du parasito?de en laboratoire ne semble pas avoir significativement modifié son comportement par rapport à l'h?te. En effet, la comparasion en présence des extraits cuticulaires aqueux de l'h?te, du comportement de femelles élevées au laboratoire depuis 3 ou 36 générations ne montre pas de différences comportementales très significatives entre elles. Cependant, les plus faibles taux de parasitisme à partir de chrysalides provenant de teignes élevées depuis longtemps en présence de composés du poireau laissent envisager une possible modification du métabolisme larvaire du parasito?de, par suite d'une adaptation aux conditions d'élevage du phytophage-h?te sur milieu artificiel. Ainsi, le régime alimentaire de l'h?te n'est pas sans effet sur l'entomophage. Enfin, la comparaison deD. pulchellus et d'une espèce sympatrique,D. collaris, attaquant plut?t la teigne du chou,Plutella xylostella, montre une meilleure adaptation de la première espèce vis-à-vis de leur h?te communA. assectella.   相似文献   

18.
R. Cherry  R. V. Dowell 《BioControl》1979,24(4):385-391
A 2-year survey of known whitefly predators was conducted from winter 1976 to winter 1978 in Broward County, Florida. Also, the impact of predators on citrus blackfly populations was measured under field conditions using lifetable data and predator exclusion data. In addition, feeding experiments were conducted to determine specific predators on different citrus blackfly stages. In the survey, the total number of predators caught in 1977 was significantly greater than 1978 and reasons for this difference are discussed. Spiders and the coccinellid,Delphastes pusillus Lec. were the most abundant predators being ca. 90% of all predators caught. Results from the lifetable and predator exclusion technique were similar showing that predators caused a 52 to 66% reduction in citrus blackfly populations. Feeding tests showed that predator responses to feeding on citrus blackfly were variable depending on species of predator, stage of predator, and stage of citrus blackfly.
Résumé Une étude pendant 2 ans des prédateurs de l'aleurode des citrus a été réalisée de l'hiver 1976 à l'hiver 1978 dans le Comté de Broward en Floride. L'influence des prédateurs sur les populations d'aleurodes a été mesurée dans les conditions naturelles par l'élaboration d'une table de vie et par des essais d'exclusion des prédateurs. En outre des expériences ont été effectuées afin de déterminer les prédateurs spécifiques pour chacun des stades de l'aleurode. Le nombre total de prédateurs capturés en 1977 fut significativement plus élevé qu'en 1978; les causes de cette différence sont discutées. Des araignées et la coccinelleDelphastes pusillus Lec. ont été les plus abondants, représentant et iron 90% du total. Les résultats de la table de vie et de l'exclusion des prédateurs ont été analogues et montrent que ceux-ci provoquent une réduction de 52 à 66% des populations d'aleurodes. Les essais sur l'alimentation indiquent que les réponses ont été variables selon l'espèce de prédateur, le stade du prédateur et de l'aleurode.


Florida Agricultural Experiment Station Journal Series No. 1791. Partly supported by funds from Cooperative Agreement # 12-14-7001-1148 between U.S.D.A., and University of Florida.  相似文献   

19.
Agrotis segetum Schiff. granulosis virus propagated in Denmark was applied against released 2nd instar larvae ofAgrotis ipsilon (Hfn.) in tobacco plots in nurseries at Peshawar and Bhurbun (Murree), Northern Pakistan. Nursery bed plots were isolated from the surroundings by net roof and plastic sheets. Granulosis virus concentrations used were 5×107 and 109 capsules per ml water, and 250 ml water per plot (1–4 m2). Reductions of cutworms as well as cutworm damages varied between 72 and 100% as compared to plots only treated with water. Addition of active coal to the GV did not increase reduction percentages. A possible effect of the GV could be traced one year after treatment.
Résumé Le virus de la granulose d'Agrotis segetum Schiff. multiplié au Danemark a été appliqué contre le 2e stade des chenilles deAgrotis ipsilon (Hfn.) dans des parcelles expérimentales à Peshawar et Bhurbun (Murree), Pakistan du nord. Les parcelles isolées avec des filets et des feuilles plastiques furent infestées artificiellement en chenilles. Les concentrations de GV utilisées furent de 5×107 et 109 granules par ml d'eau, 250 ml de la suspension préparée étant distribués par parcelle de 1 à 4 m2. La réduction du nombre de chenilles et celui des plantes endommagées varie de 72 à 100% par rapport aux notations effectuées dans les parcelles traitées avec de l'eau pure. L'addition du charbon actif au GV n'augmente pas son effet. Une action du traitement a été retrouvée un an après l'application.
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20.
Afin de connaître la faune des cicadiaires dans le vignoble tunisien, plusieurs collectes ont été réalisées. Ces prélèvements de 1109 spécimens, effectuées aussi bien sur la vigne que sur les adventices, au cours de l’année 2001, ont concerné plusieurs parcelles, dans les principales régions viticoles du pays : Rafraf, Baddar, Mraissa, Belli, Gobba et Bousalem. Trente espèces d’Hemiptera: Cicadomorpha et Fulgoromorpha, ont été collectées dont les espèces vectrices de phytoplasme et les espèces aux dégâts directs sur la vigne. 82,50% des espèces de cicadelles rencontrées en Tunisie sont signalées comme vecteurs de virus ou de phytoplasmes causant des maladies graves ou comme ravageurs directs des cultures. Les 17,49% restant ne jouent pas de rôle important sur les cultures.  相似文献   

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