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1.
Au Mali la leishmaniose cutanée (LC) est bien décrite en milieu rural, mais sa transmission n’est pas encore établie en milieu urbain. L’objectif de l’étude était de décrire la faune phlébotomienne à Bamako et dans ses environs. Les pièges CDC et adhésifs servaient à collecter les phlébotomes en 2011 et 2012 à Bamako. Les pièges étaient placés dans le district de Bamako répartis en 30 zones (200 m × 200 m) à l’aide des images de satellite SPOT-5. La délimitation des zones était basée sur les facteurs écologiques (relief, hydrographie, couverture végétale) et anthropologiques (nature des maisons, dépôts d’ordure). Les pièges étaient placés en 2011 à Sotuba, zone périurbaine, puis à Donéguébougou et Banambani, deux villages environnants de Bamako. Au total 122 phlébotomes étaient collectés 27 (22,13 %) à Banambani, 12 (9,83 %) à Donéguébougou, 2 (1,63 %) à Sotuba et 81 (66,39 %) à Bamako. La densité des phlébotomes en novembre était plus élevée, avec 48 spécimens capturés (39,3 %), que celle d’avril, mai et décembre (p ≥ 0,001). A Bamako, les zones 6 et 28 étaient associées aux densités les plus élevées de phlébotomes respectivement 32 (26,22 %) et 23 (18,85 %) (p ≤ 0,005). Les résultats suggèrent que le genre Phlebotomus n’était pas présent à Bamako, et que la densité des vecteurs variait en fonction des zones et des mois.  相似文献   

2.
Résumé Melanagromyza cuscutae Hering était considéré comme un agent biotique prometteur pour la lutte biologique contre la Cuscute. Dans les conditions de laboratoire, les imagos en présence de Cuscute et d'une solution de miel s'accouplent 1 à 4 jours après leur émergence, habituellement le matin, pendant 2 à 5 heures. Les femelles pondent 2 à 8 jours plus tard et cela durant 6 à 15 jours; au cours de leur vie (8 à 21 jours), chaque femelle dépose 11 à 132 œufs avec un maximum de 31 œufs dans une journée. L'éclosion des œufs se produit après 1 ou 2 jours. Les 3 stades larvaires et le stade pupe durent respectivement 7 à 8 et 8 à 13 jours. La ponte détermine une hyperplasie des cellules de la plante h?te et le forage des tiges entra?ne leur durcissement, leur noircissement puis leur dessiccation sur 10 cm. Un fort parasitisme (60–70%) par 6 espèces d'Hyménoptères a été observé en mai et juin. La Mouche était active en mars-avril et septembre–novembre en plaine et en juin–juillet en montagne, lorsque les températures étaient comprises entre 17 et 23°C. Les périodes défavorables sont passées à l'état de pupe dans les tiges minées. Les tests de spécificité ont montré que les femelles fécondées refusent de pondre dans 81 espèces de plantes appartenant à 42 familles. Seuls,Tradescantia sp. etIpomoea batatas re?urent chacune 1 œuf qui évolua normalement tandis que la larve n'a pas poursuivi son développement. L'alimentation de l'adulte surCuscuta semble essentielle pour la reproduction: en l'absence de cette plante, l'accouplement et le développement ovarien n'ont pas lieu.   相似文献   

3.
En laboratoire, cultures des copépodes calanoides,Acartia tonsa (Dana) etEurytemora affinis (Poppe) étaient exposées à différents taux de déprédation, allant de 10 à 24% des populations par jour, suivant les espèces et les températures. Les densités des populations variaient considérablement, ce qui provenait probablement des évènements intermittents (la nourriture et les récoltes) habituelles de la procédure en laboratoire. La bibliographie, ainsi que mes propres observations avancent deux mécanismes homéostatiques. Le cannibalisme aide à régulariser la population d'A. tonsa quand la nourriture devient rare par suite de la haute densité des populations. La proportion des femelles adultes augmente durant les densités basses des populations d'A. tonsa. La proportion sexuelle génésique de ces populations était de 1:1. L'augmentation proportionnelle des femelles paraisse provenir de mâles génotypiques changeant en femelles phénotypiques au cours de leur croissance. Cette proportion plus élevée des femelles augmente le taux de la reproduction quand les populations étaient peu denses.  相似文献   

4.
Résumé Les auteurs ont mis au point un procédé d'estimation de la virulence des Entomophthorales à l'égard des adultes du moustiqueAedes aegypti. Ce paramètre est estimé en termes de CL 50 de conidies/mm2. C'est la 1re fois qu'une telle méthodologie est appliquée à ces champignons vis-à-vis de Diptères. L'activité de 2 souches deZoophthora radicans isolées le même jour dans la même localité a ainsi pu être comparée à des intervalles successifs après la mise en culture. Au début de l'expérience, les 2 souches se sont révélées capables d'entra?ner des taux de mortalité de 100% et leur virulence était comparable. La symptomatologie de la mycose était caractéristique, avec formation de conidiophores chez la quasitotalité des cadavres. Par la suite, une discordance a été notée dans le comportement respectif des 2 souches. Alors que la virulence de l'une est restée stable pendant les 6 mois qu'a duré l'expérience, celle de l'autre a diminué très rapidement, le taux maximum de mycose ne dépassant plus 20% après le 1er essai. Le passage sur l'h?te expérimental n'a pas eu pour effet de modifier cette situation. Ces résultats, ainsi que leurs implications, sont discutés. Ils soulignent l'importante variabilité comportementale qui peut exister au sein d'une même espèce d'Entomophthorale. Avec la collaboration technique deMonique Arnault et deNelly Delatre.  相似文献   

5.
ABSTRACT The California spotted owl (Strix occidentalis occidentalis) is the only spotted owl subspecies not listed as threatened or endangered under the United States Endangered Species Act despite petitions to list it as threatened. We conducted a meta-analysis of population data for 4 populations in the southem Cascades and Sierra Nevada, California, USA, from 1990 to 2005 to assist a listing evaluation by the United States Fish and Wildlife Service. Our study areas (from N to S) were on the Lassen National Forest (LAS), Eldorado National Forest (ELD), Sierra National Forest (SIE), and Sequoia and Kings Canyon National Parks (SKC). These study areas represented a broad spectrum of habitat and management conditions in these mountain ranges. We estimated apparent survival probability, reproductive output, and rate of population change for spotted owls on individual study areas and for all study areas combined (meta-analysis) using model selection or model-averaging based on maximum-likelihood estimation. We followed a formal protocol to conduct this analysis that was similar to other spotted owl meta-analyses. Consistency of field and analytical methods among our studies reduced confounding methodological effects when evaluating results. We used 991 marked spotted owls in the analysis of apparent survival. Apparent survival probability was higher for adult than for subadult owls. There was little difference in apparent survival between male and female owls. Model-averaged mean estimates of apparent survival probability of adult owls varied from 0.811 ± 0.021 for females at LAS to 0.890 ± 0.016 for males at SKC. Apparent survival increased over time for owls of all age classes at LAS and SIE, for adults at ELD, and for second-year subadults and adults at SKC. The meta-analysis of apparent survival, which included only adult owls, confirmed an increasing trend in survival over time. Survival rates were higher for owls on SKC than on the other study areas. We analyzed data from 1,865 observations of reproductive outcomes for female spotted owls. The proportion of subadult females among all territorial females of known age ranged from 0.00 to 0.25 among study areas and years. The proportion of subadults among female spotted owls was negatively related to reproductive output (no. of young fledged/territorial F owl) for ELD and SIE. Eldorado study area and LAS showed an alternate-year trend in reproductive output, with higher output in even-numbered years. Mean annual reproductive output was 0.988 ± 0.154 for ELD, 0.624 ± 0.140 for LAS, 0.478 ± 0.106 for SIE, and 0.555 ± 0.110 for SKC. Eldorado Study Area exhibited a declining trend and the greatest variation in reproductive output over time, whereas SIE and SKC, which had the lowest reproductive output, had the lowest temporal variation. Meta-analysis confirmed that reproductive output varied among study areas. Reproductive output was highest for adults, followed by second-year subadults, and then by first-year subadults. We used 842 marked subadult and adult owls to estimate population rate of change. Modeling indicated that Λ t t is the finite rate of population change estimated using the reparameterized Jolly–Seber estimator [Pradel 1996]) was either stationary (LAS and SIE) or increasing after an initial decrease (ELD and SKC). Mean estimated Λ t for the 4 study areas was 1.007 (95% CI = 0.952–1.066) for ELD; 0.973 (95% CI = 0.946–1.001) for LAS; 0.992 (95% CI = 0.966–1.018) for SIE; and 1.006 (95% CI = 0.947–1.068) for SKC. The best meta-analysis model of population trend indicated that Λ varied across time but was similar in trend among the study areas. Our estimates of realized population change (Δ t ; Franklin et al. 2004), which we estimated as the product 1 λ3, were based on estimates of Λ t from individual study areas and did not require estimating annual population size for each study area. Trends represented the proportion of the population size in the first year that remained in each subsequent year. Similar to λ4 on which they were based, these λk-1 showed evidence of decline over the study period for LAS and SIE. The best model indicated recruitment of male and female adult and subadults varied from 0.10 to 0.31 new territorial individuals at time t/number of territorial individuals at time t–1 and similarly among areas. We also conducted a population viability analysis (PVA) based on results of our meta-analysis. This PVA was of limited utility for ELD and SKC study areas because 95% confidence intervals on the probability of decline or increase spanned the interval [0, 1] within 5–10 years. When we restricted inferences to 7 years, estimated probability of a >10% decline for SIE was 0.41 (95% CI = 0.09–0.78); for LAS the probability was 0.64 (95% CI = 0.27–0.94). In contrast, estimated probability of a >10% increase in 7 years for SIE was 0.23 (95% CI = 0.01–0.55) and for LAS was 0.10 (95% CI = 0.00–0.34). For comparisons, we simulated a PVA for a hypothetical population with mean Λ = 1.0 and the same temporal variation as observed in our owl populations. Our PVA suggested that both the SIE and LAS populations had higher probabilities of declining in a 7-year period than increasing but that it would be difficult to determine if a population was in a slight gradual decline. Our analysis and the repository of information on our 4 study populations provide a data-rich template for managers to monitor impacts of future management actions on the owl. Specifically, our data can be used to evaluate the effect of management strategies on spotted owls that are being implemented by the United States Forest Service to reduce the risk of wildfire in the Sierra Nevada ecosystem. Our information also provides baseline information for evaluating the status of the owl for potential listing as a threatened species by the United States Fish and Wildlife Service. RESUMEN El búho californiano manchado (Strix occidentalis occidentalis) es la única subespecie de búhos manchados que no está listada como amenazada o en peligro de extinción en el Acta de E.E.U.U. para las Especies en Peligro de Extinción a pesar de las peticiones para que sea incluida en la lista como una especie amenazada. Nosotros realizamos un meta-análisis de los datos de la población de 4 poblaciones del sur de Cascades y de la Sierra Nevada, California desde 1990 hasta 2005 como ayuda a una evaluación de listado hecha por el U.S Fish and Wildlife Service. Nuestras áreas de estudio (de norte a sur) estuvieron localizadas en el Bosque Nacional Lassen (LAS), en el Bosque Nacional Eldorado (ELD), en el Bosque Nacional Sierra (SIE) y en los Parques Nacionales Sequoia y Kings Canyon (SKC). Estas áreas de estudio representaron un amplio espectro del hábitat y de las condiciones de manejo en estas cadenas de montañas. Nosotros calculamos la probabilidad de supervivencia aparente, el volumen de reproducción y el cambio en la tasa de población de los búhos manchados en áreas de estudio individuales y para todas las áreas de estudio combinadas (meta-análisis) utilizando selección de modelos o promediando modelos basados en la estimación de máxima probabilidad. Seguimos un protocolo formal para realizar este análisis que fuera similar a otros meta-análisis con búhos manchados. La consistencia del campo y los métodos analíiticos en nuestros estudios redujeron la confusión de efectos metodológicos al evaluar los resultados. Utilizamos 991 búhos manchados marcados en el análisis de supervivencia aparente. La probabilidad de supervivencia aparente fue más alta para búhos adultos que para subadultos. Hubo poca diferencia en la supervivencia aparente entre hembras y machos. Para los modelos promediados, los cálculos de la media de la probabilidad de supervivencia aparente para búhos adultos tuvo una variación de 0.811 ± 0.021 para hembras en LAS a 0.890 ± 0.016 para machos en SKA. La supervivencia aparente aumentó con el tiempo para los búhos de todos los grupos de edad en LAS y SIE, para adultos en ELD, y para subadultos del segundo año y para adultos en SKC. El meta-análisis de supervivencia aparente, que incluyó únicamente a búhos adultos, confirmó una tendencia al aumento en la supervivencia con el tiempo. Las tasas de supervivencia fueron más altas para los búhos en SKC que en las otras áreas de estudio. Analizamos información de 1.865 observaciones de resultados de reproducciones para búhos manchados hembra. La proporción de hembras subadultas entre todas las hembras territoriales de edad conocida fluctuó de 0.00 a 0.25 a través de las áreas de estudio y de los años. La proporción de subadultos entre los búhos manchados hembra estuvo relacionada negativamente con el volumen de reproducción (número de pichones emplumados por búho hembra territorial) para ELD y SIE. ELD y LAS mostraron una tendencia anual alternada en el volumen de reproducción, con un volumen mayor en los años pares. La media del volumen de reproducción anual fue 0.988 ± 0.154 para ELD, 0.624 ± 0.140 para LAS, 0.478 ± 0.106 para SIE y 0.555 ± 0.154 para SKC. ELD exhibió una tendencia a disminuir y la variación más alta en el volumen de reproducción a través del tiempo; mientras que SIE y SKC, que tuvieron el más bajo volumen de reproducción, tuvieron la menor variación temporal. El meta-análisis confirmó que el volumen de reproducción varió entre las áreas de estudio. El volumen de reproducción fue más alto para adultos, seguido por subadultos del segundo año, y luego por subadultos del primer año. Nosotros utilizamos 842 búhos marcados, adultos y subadultos, para calcular el índice de cambio de la población. La selección de modelos indicó que Λ t era, o relativamente fija (LAS y SIE) o aumentaba después de una disminución inicial (ELD y SKC). La media calculada Λ t para las cuatro áreas de estudio fue: 1.007 (95% CI = 0.952–1.066) para ELD; 0.973 (95% CI = 0.946–1.001) para LAS; 0.992 (95% CI = 0.966–1.018) para SIE; y 1.006 (95% CI = 0.947–1.068) para SKC. El mejor modelo de meta-análisis de la tendencia de población indicó que Λ variaba con el tiempo pero que era una tendencia similar entre las áreas de estudio. Nuestros cálculos sobre el cambio de población realizado (Δ t ) se basaron en los cálculos de Λ t de las áreas de estudio individuales y no requirieron calcular el tamaño de la población anual para cada área de estudio. Las tendencias representaron la proporción del tamaño de la población en el primer año que permaneció en cada año subsiguiente. De manera similar a λt, en la que se basaron, éstas Δt mostraron evidencia de disminución durante el período de estudio para LAS y SIE. El mejor modelo de reclutamiento indicado, el reclutamiento de búhos machos y hembras, adultos y subadultos, varió de 0.10 a 0.31 individuos territoriales nuevos al tiempo t por el número de individuos territoriales al tiempo t–1 y de manera similar entre las otras áreas. También realizamos un análisis de viabilidad de población (PVA) basado en los resultados de nuestro meta-análisis. Este análisis PVA fue de limitada utilidad para las áreas de estudio ELD y SKC porque el 95% de intervalos de confiabilidad en la probabilidad de disminución o aumento extendió el intervalo [0, 1] de 5–10 años. Cuando restringimos las inferencias a 7 años, la probabilidad estimada de a >10% de disminución para SIE fue 0.41 (95% CI = 0.09–0.78); para LAS la probabilidad fue 0.64 (95% CI = 0.27–0.94). En contraste, la probabilidad estimada de un >10% de aumento en 7 años para SIE fue 0.23 (95% CI = 0.01–0.55) y para LAS fue 0.10 (95% CI = 0.00–0.34). Para comparar, simulamos un PVA para una población hipotética con una media Λ = 1.0, y con la misma variación temporal observada en nuestras poblaciones de búhos. Nuestro PVA sugirió que ambas poblaciones SIE y LAS tenían, en un período de 7 años, mayores probabilidades de disminución que de aumento, pero que sería muy difícil determinar si alguna de las poblaciones estaba en una ligera disminución gradual. El depósito de información de nuestras 4 áreas de estudio provee una plantilla rica en información para que los administradores monitoreen los impactos de acciones futuras en el manejo de los búhos (por ejemplo, nuevas estrategias de manejo del Plan de Sierra Nevada Forest). También provee evidencia importante para evaluar el estatus del búho para su potencial inclusión en el listado de especies amenazadas. RÉSUMÉ Le hibou tacheté californien (Strix occidentalis occidentalis) est la seule sous-espèce de hibou tacheté ne figurant pas sur la liste des animaux menacés ou vulnérables sous la Loi des Espèces en Danger des Etats-Unis malgré des pétitions pour l'inscrire sur cette liste en tant que sous-espèce menacée. Nous avons effectué une méta-analyse des données de population pour 4 populations dans le sud des Cascades et dans la Sierra Nevada, en Californie de 1990 à 2005 pour aider une évaluation de leur statut établie par les Services des Eaux et Forêts des Etats-Unis. Nos aires d'étude (du nord au sud) étaient dans la forêt nationale Lassen (LAS), la forêt nationale Eldorado (ELD), la forêt nationale Sierra (SIE), et les parcs nationaux Sequoia et Kings Canyon (SKC). Ces aires d'étude représentaient un large échantillon des conditions de l'habitat et de la gestion dans ces chaînes de montagnes. Nous avons estimé la probabilité de survie apparente, le succès de reproduction, et le taux de changement de la population pour les hiboux tachetés dans chaque aire d'étude individuelle et dans toutes les aires réunies (méta–analyse) en utilisant la sélection de modèles ou le calcul de la moyenne des modèles basé sur une estimation du maximum de vraisemblance. Pour effectuer cette analyse nous avons suivi un protocole rigoureux similaire à d'autres méta-analyses de hiboux tachetés. La cohérence des observations de terrain et des méthodes analytiques entre ces études a réduit les effets méthodologiques confondants lors des évaluations des résultats. Nous avons utilisé 991 hiboux tachetés marqués dans l'analyse de survie apparente. La probabilité de survie apparente a été plus élevée pour les hiboux adultes que pour les sous-adultes. Il y a eu peu de différence pour ce qui est de la survie apparente entre les hiboux mâles et femelles. La moyenne des estimations de la probabilité de survie apparente des hiboux adultes basée sur la moyenne des modèles a varié entre 0,811 ± 0,021 pour les hiboux femelles à LAS et 0,890 ± 0,016 pour les hiboux mâles à SKC. La survie apparente a augmenté avec le temps pour les hiboux de toutes les classes d'âge à LAS et SIE, pour les adultes à ELD, et pour les sous-adultes de deux ans et les adultes à SKC. La méta-analyse de survie apparente, qui comprenait seulement des hiboux adultes, a confirmé une tendance croissante de survie avec le temps. Les taux de survie étaient plus élevés pour les hiboux de SKC que pour ceux des autres aires d'étude. Nous avons analysé les données obtenues à partir de 1 865 observations de succès de reproduction de hiboux tachetées femelles. La proportion des hiboux femelles sous-adultes parmi toutes les femelles territoriales d'àge connu a varié de 0,00 à 0,25 selon les aires et les années d'étude. La proportion des sousadultes parmi les hiboux tachetés femelles a été négativement corrélée avec le succès de reproduction (nombre de jeunes hiboux par femelle territoriale) pour ELD et SIE. La forêt nationale Eldorado et la forêt nationale Lassen ont montré une tendance à alterner selon un cycle biennal pour ce qui est du succès de reproduction, avec un taux plus élevé pendant les années paires. La moyenne du succès de reproduction annuel était de 0,988 ± 0,154 pour ELD, de 0,624 ± 0,140 pour LAS, de 0,478 ± 0,106 pour SIE, et de 0,555 ± 0,110 pour SKD. La forêt nationale Eldorado a montré une tendance décroissante ainsi que la plus grande variation dans le succès de reproduction avec le temps, alors que SIE et SKC, qui ont eu le succès de reproduction le plus bas, ont connu la variation temporelle la plus basse. La méta-analyse a confirmé que le succès de reproduction variait selon les aires d'étude. Le succès de reproduction a été le plus élevé pour les adultes, puis pour les sous-adultes de deux ans, et ensuite pour les sous-adultes d'un an. Nous avons utilisé 842 hiboux marqués, adultes et sous-adultes, pour estimer le taux de changement de la population. La modélisation a indiqué que Λ t était soit stationnaire (LAS et SIE), soit croissant après une baisse initiale (ELD et SKC). La moyenne estimée Λ t pour les 4 aires d'étude était: 1,007 (95% IC = 0,952–1,066) pour ELD; 0,973 (95% IC = 0,946–1,001) pour LAS; 0,992 (95% IC = 0,966–1,018) pour SIE; et 1,006 (95% IC = 0,947–1,068) pour SKC. Le meilleur modèle de méta-analyse pour la tendance de la population a indiqué que Λ variait selon le temps mais suivait la même tendance selon les aires d'étude. Nos estimations du changement de population réalisé (Δ t ) étaient fondées sur les estimations de Λ t des aires d'étude individuelles et n'ont pas nécessité d'estimation de la taille annuelle de la population pour chaque aire d'étude. Les tendances représentaient la proportion de la taille de la population pendant la première année qui s'est maintenue chaque année subséquente. De même que λt sur lesquels ils étaient fondés, ces δt ont apporté des preuves de déclin pendant la période d'étude pour LAS et SIE. Le meilleur modèle a indiqué que le recrutement des hiboux adultes et sous-adultes mâles et femelles variait de 0,10 à 0,31 nouveaux individus territoriaux à un temps t pour un nombre d'individus territoriaux à un temps t-1 et qu'il en était de même dans chaque aire. Nous avons également procédé à une analyse de viabilité de la population (AVP) fondée sur les résultats de notre méta-analyse. Cette AVP a été d'une utilité limitée pour les aires d'étude ELD et SKC parce que les intervalles de confiance de 95% sur la probabilité du déclin ou de la croissance couvraient l'intervalle [0, 1] sur une période de 5 à 10 ans. Lorsque nous avons réduit les inférences à 7 ans, la probabilité estimée d'un déclin >10% pour SIE était de 0,41 (95% IC = 0,09–0,78); pour LAS la probabilité était de 0,64 (95% IC = 0,27–0,94). Al'opposé, la probabilité estimée d'une croissance >10% en 7 ans pour SIE était de 0,23 (95% IC = 0,01–0,55) et pour LAS elle était de 0,10 (95% IC = 0,00–0,34). Afin de comparer, nous avons simulé une AVP pour une population hypothétique ayant une moyenne Λ = 1,0 et la même variation temporelle que celle observée dans nos populations de hiboux. Notre AVP a suggéré que les populations de SIE et de LAS avaient de plus grandes probabilités de déclin que de croissance sur une période de 7 ans, mais qu'il serait difficile de déterminer si une population présentait un léger déclin graduel. La collecte des informations pour nos 4 aires d'étude foumit aux personnes chargées de la gestion un modèle riche de données permettant de suivre l'impact sur les hiboux des actions de gestion à l'avenir (par exemple, les nouvelles stratégies de gestion du Plan pour la Forêt de Sierra Nevada). Cette collecte foumit également des preuves importantes afin d'évaluer le statut du hibou pour une classification potentielle sur la liste des espèces menacées.  相似文献   

6.
Résumé Une souche pure de l'EncyrtideMetaphycus helvolus Compere a été importée de Californie par airfret et directement relachée sur des Oliviers attaqués par la CochenilleSaissetia oleae Bern. près de Chania (Crète) en octobre 1962. En dépit du très rigoureux hiver qui suivit et, malgré les applications périodiques d'insecticides dirigées contre d'autres ravageurs, le parasite introduit est maintenant bien établi. En un an, le nombre desSaissetia fut notablement réduit dans le site du lacher originel; en 1964 et 1965, la Cochenille y était pratiquement inexistante. Une légère recrudescence de la population de Cochenille s'est manifestée en automne 1966 mais les Insectes étaient bien parasités. Fin 1966 et début 1967,M. helvolus s'était spontanément installé jusqu'à 24 km du point d'introduction et se rencontrait dans l'ensemble de la zone de Chania. L'espèce s'est probablement dispersée au-delà mais l'échantillonnage n'a pas été réalisé dans d'autres zones. L'espèce endémiqueMetaphycus flavus How. n'a pas été retrouvée en 1966–1967 dans la zone de Chania alors que ce parasite était commun auparavant. Il a été apparemment remplacé parM. helvolus.

This study was made possible by financial support from the Greek Ministry of Agriculture within the framework of a project for the control of olive pests. The contribution of the second author was made possible by his appointment as a Fulbright Research Scholar at the Benaki Phytopathological Institute, Kiphissia, Athens, Greece. Support for a portion of these studies was given by NSF Grant G-20870. The authors gratefully acknowledge the help of Mr. N. Psyllakis of the Agricultural Research Station of Chania, who made some of the recovery attempts. Especial thanks are due to Mr. Howard Lorbeer, Manager of the Fillmore Citrus Protective District Insectary, who furnished theM. helvolus for our studies.  相似文献   

7.
DISCUSSION PAPER     
《Biometrics》2007,63(3):979-979
Principal Stratification Designs to Estimate Input Data Missing Due to Death Nous nous intéressons à des études portant sur des cohortes d'individus après la survenue d'un événement critique, comme une blessure, et ayant les caractéristiques suivantes. Premièrement, les études sont conçues pour mesurer des variables d'“input”, qui décrivent la période avant l'événement critique, et pour caractériser la distribution des variables d'“input” dans la cohorte. Deuxièmement, les études sont conçues pour mesurer des variables d'“output”, principalement la mortalité après l'événement critique et pour caractériser la distribution prédictive (conditionnelle) de la mortalité connaissant les variables d'“input” dans la cohorte. De telles études présentent souvent la complication que les données d'“input” manquent pour ceux qui meurent peu après l'événement critique car le recueil des données est réalisé après l'événement. Les méthodes standard de prise en compte des “inputs” manquants, telles que les méthodes d'imputation ou de pondération basées sur l'hypothèse que l'on peut ignorer le processus de données manquantes, sont connues comme étant en général non valides quand le processus de données manquantes ne peut être ignoré, c'est à dire quand la distribution des “inputs” est différente chez ceux qui meurent et ceux qui survivent. Pour répondre à ce problème, nous proposons un nouveau schéma qui recueille et utilise l'information sur une autre variable importante—un traitement ou une variable sous contrôle externe, qui, si elle avait étéà son niveau optimal aurait pu empêcher le décès de ceux qui sont morts. Nous montrons que ce nouveau schéma peut être utilisé pour faire des inférences valides pour la distribution marginale des “inputs” dans la cohorte entière et pour la distribution conditionnelle de la mortalité connaissant les “inputs”, également dans la cohorte entière, même si le processus de données manquante ne peut être ignoré. Le contexte crucial que nous utilisons est la stratification principale basée sur les “outputs” potentiels, comme ici la mortalité après les deux niveaux de traitement. Nous montrons aussi à l'aide de données préliminaires sur des blessures, que notre approche peut donner des résultats qui sont plus raisonnables que les résultats obtenus par les méthodes standard, et ceci de façon relativement dramatique. Ainsi notre approche suggère que le recueil en routine de données sur des variables qui pourraient être utilisées comme traitement possible dans de telles études d'“inputs” et de mortalité devrait être fait en routine.  相似文献   

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Après un développement endoparasite, la larve de Phanerotoma flavitestacea Fischer devient ectoparasite et sarcophage des chenilles d'Anagasta kuehniella. L'analyse chimique de la larve ectoparasite in toto, avant et après ingestion de l'hôte d'une part, des ressources alimentaires du parasite constituées par la chenille d'autre part permet de dresser un bilan biochimique. Le poids sec de la larve, ainsi que les lipides, les substances azotées et le glycogène subissent une augmentation importante et significative au cours de la phase sarcophage, en un temps relativement court. Les taux de conversion de la nourriture ingérée en substances du corps ont des valeurs élevées, ce qui indique que la larve ectoparasite assimile avec un très bon rendement les matières ingérées. Il faut également noter la nature nettement lipidique du catabolisme au cours de cette phase. Les résultats acquis sur la composition qualitative et quantitative des constituants du parasite sont discutés également en relation avec son alimentation.  相似文献   

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Résumé

Ce travail retrace les événements qui ont conduit à une collaboration exemplaire entre entomologistes enançais et américains (principalement le professeur C. V. Riley) pendant la crise du Phylloxera en France, grâce aux nombreuses archives existant de part et d’autre de I’Atlantique. Une des premiéres questions a été de savoir si le Phylloxera était identique dans les deux pays, prouvant ainsi son origine américaine. Une autre question a été de savoir si ce parasite était la cause ou la conséquence de la maladie de la vigne. Cette question, primordiale car lourde de conséquences sur les plans économique et politique, a vu s’afenonter certains entomologistes enançais (le professeur J. E. Planchon et J. Lichtenstein), tenant de I’hypothèse causale, à ?autres (V. A. Signoret) qui soutenaient que le puceron ne s’installait que sur des vignes malades. II s’est établi une collaboration remarquable entre les entomologistes enançais et C. V. Riley, qui a pu apporter des résultats très convaincants à la thèse causale. Enfin son rôle a été déterminant pour conforter la seule solution à long terme défendue par Planchon et Lichtenstein : la greffe de la vigne enançaise sur des vignes américaines résistantes.  相似文献   

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Pendant sa diapause reproductrice, la teigne du poireau ne présente pas d'activité sexuelle. La reprise de cette activité, après l'hiver, est essentielle au maintient de la population. Chez les insectes qui ont subi la diapause (D), la durée de copulation est plus courte, et la période précédant la copulation est plus longue que chez les insectes matures (M). Deux caractères intéressants sont observés chez les insectes D après la levée de leur diapause: l'apparition d'un pourcentage de doubles copulations et d'insectes qui copulent après la fin de la scotophase, ce, les ♀♀ matures possèdent des ovocytes en rétention dans les oviductes. Le nombre augmente jusqu'à l'âge de 3 jours environ. Par contre, les ♀♀ en diapause n'ont aucun ovocyte à l'émergence. Sous conditions levant la diapause, ces ♀♀ atteignent leur production ovarienne maximum après une douzaine de jours. L'évolution du nombre des ovocytes dépend de la copulation et de la présence de la plante-hôte. Celle-ci est essentielle pour la ponte et intervient sur la production ovarienne, aussi bien chez les ♀♀ D que chez les ♀♀ M.  相似文献   

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Root flies,Delia radicum (L.) andD. floralis (Fallén) (Diptera: Anthomyiidae), trapped in swede crops in the south of Scotland, were infected withStrongwellsea castrans Batko and Weiser (Zygomycetes: Entomophthorales). The pathogen was associated mainly with females of the 1st and 2nd generations ofD. radicum and of the single generation ofD. floralis. Disease incidence showed time-lagged density dependence. Greatest sustained infection levels were recorded in the coolest wettest season. Higher proportions ofD. radicum were infected in the headland than in the crop. Unbaited yellow water traps caught greater proportions of infected flies than traps baited with mustard oil (allyl isothiocyanate). The reasons for high levels of infection in Scotland are discussed.
Résumé Les mouches des racines,Delia radicum (L.) etD. floralis (Fallén) [Diptera: Anthomyiidae] attrapées dans la culture du rutabaga dans le sud de l'écosse, étaient contaminées parStrongwellsea castrans Batko & Weiser [Zygomycetes: entomophthorales]. Le pathogène était surtout associé aux fe nelles de la lère et de la 2ème générations deD. radicum et de la seule génération deD. floralis. Les cas de maladie montraient avec retard leur dépendance avec la densité des mouches. Les niveaux d'infection les plus grands étaient enregistrés pendant la saison la plus froide et la plus humide. Les bordures en friche des parcelles hébergeaient de plus grandes proportions deD. radicum infectés que les cultures. Des pièges jaunes sans appat ont attrapé de plus grandes proportions de mouches que lorsqu'ils étaient appatés avec de l'huile de moutarde (allyl-isothiocyanate). Les raisons qui expliquent pourquoi les niveaux d'infection en écosse sont plus élevés qu'ailleurs sont discutées.
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Le déroulement de divers types de phagocytoses, et de la formation de granulomes hémocytaires a été analysé en détail en utilisant la microcinématographie image par image. Ces réactions de défense ont été reproduitesin vitro sur les systèmes hémocytaires des mollusquesHelix etZonites, et ont permis de montrer pour les bactéries (Streptococcus) les différents stades de l'englobement direct et rapide des corps bactériens, ainsi que les mouvements orientés des pseudopodes accompagnés de déplacements des cellules qui aboutissent à l'incorporation des germes. Il a été observé que des hémocytes parviennent à phagocyter même des filaments myceliens de taille importante (Metarrhizium) par un processus lent consistant en la fixation progressive de la cellule qui plie le mycelium. Enfin, toute l'évolution de la formation des granulomes multicellulaires a été suivie d'une manière ininterrompue, notamment l'attraction des premières cellules, l'afflux et la superposition de plus en plus serrée d'hémocytes en nombre croissant, jusqu'à l'arrêt de l'évolution de cette réaction. Ces résultats mettent en évidence l'acquisition par les cellules groupées autour du champignon d'une attraction nette sur d'autres hémocytes, déclenchant de leur part une réaction d'adhésion. Ils montrent enfin que l'association de la reproductionin vitro des réactions cellulaires avec la technique microcinématographique est un principe d'étude particulièrement intéressant pour suivre la dynamique des réactions de défense à l'échelle cellulaire, et l'action de substances chimiques ou d'influences microbiennes sur ces processus.  相似文献   

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Résumé Le parasite exotiqueEpidinocarsis lopezi de Santis (Hyménoptère, Encyrtidae) a été introduit au Gabon en vue de la lutte biologique contre la Cochenille du manioc,Phenacoccus manihoti Matile-Ferrero. L'établissement du parasite constaté un an après son introduction montre que la vitesse de dispersion est de 70 à 120 km par an. La dispersion du parasite cst nettement plus lente en zone de forêt qu'en zonc de savane. L'évolution du pourcentage de parasitisme actif en fonction de la densité du ravageur montre que le parasite est capable de se maintenir à un taux de parasitisme compris entre 20 et 56%, pour des densités de population comprises entre 2 et 16 cochenilles par apex. L'établissement du parasite exotique se traduit dès la première année par un déplacement compétifif des parasites primaires indigènes de la biocoenose du manioc et une nette régression de l'abondance relative des hyperparasites dans l'entomocoenose. Les résultats obtenus suggèrent par ailleurs que pour un niveau trophique donné, l'abondance, exprimée en nombre d'h?tes parasités, est un bon indicateur de la compétitivité d'un parasite par rapport aux autres.   相似文献   

14.
REGULAR ARTICLES     
《Biometrics》2005,61(3):891-895
L. Cowen and C. J. Schwarz 657 Les Radio‐tags, en raison de leur détectabilitéélevée, sont souvent employés dans les études de capture re‐capture. Une qualité essentielle requise est que les Radio tags ne cessent pas de fonctionner pendant l'étude. Le dysfonctionnement d'un Radio tag avant la fin d'une étude peut conduire à sous‐estimer le taux de survie. Nous développons ici un modèle pour incorporer des données issues de radio tags déficients. Ce modèle a été appliqué aux smolts chinook (tshawytscha d'Oncorhynchus) sur la Colombia river WA. Les estimations des taux de survie obtenus à partir de ce modèle sont beaucoup plus grandes que celles observées dans l'analyse standard de Cormack‐Gaie‐Seber. M. A. Suchard , R. E. Weiss , and J. S. Sinsheimer 665 Les facteurs de Bayes pour comparer deux hypothèses ou plus en compétition sont souvent estimés en construisant un échantillon de chaînes de Markov (MCMC) pour explorer l'espace joint des hypothèses. Pour obtenir des estimations efficaces des facteurs de Bayes, Carlin et Chibb (1995) ont suggéré d'ajuster les odds a priori des hypothèses en compétition de telle sorte que les odds a posteriori soient approximativement un et d'estimer alors les facteurs de Bayes par simple division. Un sous‐produit est que l'on produit souvent plusieurs chaînes MCMC indépendantes, une seulement étant utilisée pour l'estimation. Nous étendons cette approche en proposant trois tests statistiques qui incorporent les résultats des différentes chaînes. Le premier suppose des tirages indépendants dans une chaîne et modélise la fonction indicatrice de l'hypothèse en utilisant une régression logistique pour différents choix des odds a priori. Les deux autres modèles plus complexes abandonnent l'hypothèse d'indépendance en permettant des dépendances retard dans les résultats des différentes chaînes. Ces modèles nous permettent d'estimer l'incertitude dans nos calculs des facteurs de Bayes et d'utiliser pleinement les différentes chaînes MCMC, même si les a priori des odds varient de chaîne à chaîne. Nous appliquons ces méthodes de calcul des facteurs de Bayes pour tester la monophyllie dans deux exemples de phylogénie. Le premier exemple explore la relation d'un pathogène inconnu à un ensemble de pathogènes connus. L'identification de la relation monophyllique du pathogène inconnu peut influer sur le choix de l'antibiotique dans une perspective clinique. Le second exemple se concentre sur la détection des recombinaisons du virus VIH. Pour une application clinique potentielle, ces types d'analyse devraient être achevés aussi efficacement que possible. J. Zhu , J. C. Eickhoff , and P. Yan 674 Des observations de réponses spatio‐temporelles multiples se présentent souvent dans les études environnementales et écologiques. Alors que les modèles purement spatiaux de réponses univariées dans les familles exponentielles de distribution ont progressé au cours des dernières années (e.g. Diggle et al., 1998; Zhang, 2002), peu d'outils statistiques sont disponibles pour des réponse multivariées qui ne sont pas nécessairement Gaussiennes. Une exception cependant est le modèle à facteur commun développé pour des données spatiales multivariées par Wang et Wall (2003). Le but de cet article est d'étendre ce modèle multivarié uniquement spatial et de proposer une classe flexible de modèles linéaires généralisés de variables latentes appliqués à des données multivariées spatio‐temporelles. L'inférence statistique repose sur des estimées du maximum de vraisemblance et de leurs écarts‐type obtenues par l'algorithme EM de Monte Carlo. Nous proposons aussi une nouvelle méthode d'ajustement automatique de la taille de l'échantillon Monte Carlo, qui facilite la convergence de l'algorithme EM et présente ainsi quelque intérêt indépendant. La méthodologie est illustrée par une étude écologique du pin rouge en réponse à des attaques de charançon de l'écorce dans une forêt du Wisconsin. Y.‐G. Wang , X. Lin , and M. Zhu 684 Les méthodes robustes sont utiles pour assurer des inférences statistiques fiables en cas de légers écarts aux hypothèses du modèle. La méthode très largement utilisée des équations d'estimation peut être “robustifiée” en remplaçant les résidus standardisés par les M‐résidus. Si les résidus de Pearson sont supposés centrés sans biais, les estimations des paramètres par l'approche robuste sont asymptotiquement biaisés lorsque les distributions des erreurs ne sont pas symétriques. Nous proposons une méthode pour corriger ce biais. Nos études numériques extensives montrent que la méthode proposée peut réduire ce biais substantiellement. On donne des exemples d'illustration. R. J. Cook , W. Wei , and G. Y. Yi 692 Nous proposons des méthodes semi‐paramétriques pour estimer et tester l'effet d'un traitement en présence d'un événement récurrent observé sur des périodes multiples, avec prise en compte de la censure. Ces méthodes reposent sur l'estimation de fonctions avec pour hypothèse de travail un modèle de Poisson mixte sous lequel les effets aléatoires individuels peuvent être éliminés par conditionnement. Des tests statistiques robustes dérivés de pseudo‐scores sont obtenus par estimation “sandwich” de la variance. L' efficacité relative des analyses conditionnelle et marginale est évaluée de façon analytique sous un modèle mixte de Poisson à temps homogènes. La robustesse et la puissance empirique de l'approche semi‐paramétrique sont étudiées au moyen de simulations. Des adaptations pour prendre en compte les événements récurrents survenant dans des essais en cross‐over sont décrites et ces méthodes sont appliquées aux données d'un essai en cross‐over sur deux périodes chez des patients souffrant d'asthme bronchique. X. Song and Y. Huang 702 Plusieurs méthodes de modélisation fonctionnelle ont été proposées, en présence d'erreur de mesure des covariables avec le modèle de taux proportionnels. Sont inclus dans ces méthodes, l'estimateur du score conditionnel (Tsiatis and Davidian, 2001, Biometrika 88, 447–458) l'estimateur avec correction paramétrique (Nakamura, 1992, Biometrics 48, 829–838) et l'estimateur avec correction non paramétrique (Huang and Wang, 2000, Journal of the American Statistical Association 95, 1209–1219) dans l'ordre d'hypothèses de plus en plus faible sur l'erreur. Bien qu'ils soient tous consistants, chacun de ces estimateurs souffre de possibles difficultés en présence de petits échantillons ou d'erreurs de mesure substantielles. Dans cet article, ayant observé que les estimateurs du score conditionnel ou avec corrections paramétriques étaient asymptotiquement équivalents pour une erreur normale, nous avons cherché quelle était leur performance relative pour des échantillons de taille finie et remarqué que le premier était le meilleur. Ceci signifie une approche générale affinée des méthodes de correction paramétriques et non paramétriques. Les corrections affinées des estimateurs sont asymptotiquement équivalentes à leurs correspondantes standards, mais ont des propriétés numériques améliorées et sont plus performantes lorsque les estimations standards n'existent pas ou sont extrêmes. Nous présentons des résultats de simulations et une application de ces méthodes à un essai clinique sur le HIV. A.‐C. Andrei and S. Murray 715 Ce travail étudie l'analyse séquentielle de données de survie appariées en utilisant une nouvelle classe de tests non‐paramétriques, fondés sur un log‐rank pondéré apparié (PWLR), et les tests à partir de Kaplan‐Meier pondérés appariés (PWKM). Pendant le déroulement d'un essai chacun de ces tests peut alternativement être considéré comme la statistique la plus extrême. En suivant l'évolution de PEMAX, le maximum des différences absolues du PWLR standardisé et du PWKM, on a, à la fois, les avantages des tests de rangs et les avantages des autres tests. Par des simulations on montre que l'utilisation de PEMAX contrôle le risque de type I et est quasiment aussi puissant que l'utilisation du meilleur des deux tests. Ceci, que l'hypothèse des hasards proportionnels soit respectée ou non. Désormais, PEMAX préserve la puissance de façon plus robuste que chacun des deux tests pris individuellement, tout en restant relativement simple à mettre en place et à utiliser dans une analyse. Un exemple, à partir de l'étude “Early Treatment Diabetic Retinopathy Study” (ETDRS), est donné. B. Lu 721 Dans les études d'observation avec un traitement dépendant du temps et des covariables dépendant du temps, il est souhaitable d'équilibrer la distribution des covariables à chaque instant. Un score de propension (“propensity score”) dépendant du temps basé sur le modèle de Cox à risques proportionnels est proposé et utilisé pour apparier les sujets exposés au risque. Il est montré que l'appariement sur ce score de propension permet d'obtenir une distribution équilibrée des covariables dans les groupes traité et non traité. Un appariement optimal avec divers plans est mis en place et comparé dans une étude de traitement chirurgical, cytoscopie et hydrodistention, pour une maladie chronique de la vessie, la cystite interstitielle. Des simulations suggèrent aussi que l'analyse statistique après appariement est plus performante que l'analyse sans appariement en terme d'estimation et d'intervalle de confiance. M. Naskar , K. Das , and J. G. Ibrahim 729 Une classe très générale de distributions de survie multivariées est utilisée pour analyser des données groupées de défaillance, sujettes à la censure et à des modes multiples de défaillance. Conditionnellement à des quantités spécifiques au groupe, la distribution jointe du temps de défaillance et de la variable indicatrice de l'évènement peuvent s'exprimer comme un mélange de la distribution des temps de défaillance dûs à un certain type (ou spécifique d'une cause) et de la distribution marginale du type de défaillance. Nous supposons ici que les distributions marginales des différents types de défaillance sont de fonctions logistiques de certaines covariables. Les quantités spécifiques au groupe sont soumises à une certaine distribution inconnue qui cause la fragilité. La distribution de fragilité est modélisée non paramétriquement par un processus de Dirichlet (DP). Dans une telle approche semi paramétrique une méthode hybride d'estimation est proposée basée sur l'algorithme pondéré du restaurant chinois (WCR) qui nous aide à générer des observations à partir de la distribution prédictive de la fragilité. L'algorithme de Monte‐Carlo ECM (MCEMC) joue un rôle vital pour obtenir des estimations des paramètres qui établissent l'importance des effets des facteurs causaux pour les défaillances d'un certain type. Une étude de simulation est conduite pour étudier la consistance de notre méthodologie. La méthodologie proposée est utilisée pour analyser des données réelles de contamination par le virus VIH sur une cohorte de femmes prostituées du Sénégal. F. Bretz , J. C. Pinheiro , and M. Branson 738 Traditionnellement, les stratégies d'analyse de données issues d'études dose‐réponse se partagent en deux grandes catégories : les procédures de comparaisons multiples et la modélisation. L'approche par modélisation suppose une relation fonctionnelle entre la réponse et la dose – celle‐ci est ici considérée comme un facteur quantitatif –, selon un modèle paramétrique spécifiéà l'avance. On utilise alors ce modèle pour estimer la dose permettant d'obtenir un niveau donné de réponse, mais la validité des conclusions dépend fortement de la pertinence du modèle de dose‐réponse, le vrai modèle étant a priori inconnu. A l'inverse, les procédures de comparaisons multiples considèrent la dose comme un facteur qualitatif et font très peu d'hypothèses – voire aucune – sur le modèle de dose‐réponse sous‐jacent. Avec ces procédures, il s'agira souvent d'identifier la dose minimale efficace, statistiquement significative et susceptible de produire un effet biologique considéré comme intéressant. Une des approches possibles est de tester la significativité de contrastes comparant différents niveaux de dose, tout en contrôlant le risque global de Type I. Ce type de procédure est relativement robuste ; cependant, l'inférence ne peut bien sûr pas sélectionner d'autres doses que celles utilisées dans l'étude. Dans cet article, nous décrivons une stratégie unifiée d'analyse de données issues d'études dose‐réponse, stratégie qui combine les techniques de comparaisons multiples et de modélisation. Nous supposons en fait l'existence de plusieurs modèles candidats, tous paramétriques, et utilisons des techniques de comparaisons multiples pour choisir le modèle le plus vraisemblable vis‐à‐vis de la vraie courbe dose‐réponse sous‐jacente, tout en contrôlant le risque global de Type I. On utilise alors le modèle ainsi sélectionné pour cerner, à l'aide d'une approche inférentielle, les doses les mieux appropriées. J. O'Quigley 749 La méthode de ré‐évaluation séquentielle (CRM) est un algorithme pour la recherche de dose qui s'appuie sur une remise à jour dynamique. Comme d'autres méthodes dynamiques, la CRM fournit une estimation de la dose courante qui correspond à un percentile cible. Cette dose, calculée à partir de tous les sujets inclus, sera utilisée pour la prochaine expérience. La mise en oeuvre de cette ré‐évaluation est possible grâce à l'utilisation d'un modèle simple. Dans l'état actuel des choses ni la CRM ni toute autre méthode dynamique permet d'estimer un percentile cible à partir de données rétrospectives, sauf dans le cas exceptionnel où le modèle simplifié génère les données. Dans cet article notre attention se porte sur un problème spécifique, à savoir l'analyse rétrospective par la CRM de données générées par un mécanisme arbitraire. Nous montrons comment procéder de façon cohérente. La méthodologie proposée n'est pas limitée à ce schéma particulier et s'applique à d'autres plans expérimentaux où l'estimation de la dose est faite par une mise à jour dynamique. L'analyse rétrospective pose un certain nombre de difficultés pour ces plans, en particulier la CRM, car ces plans ont la propriété d'exploiter un modèle de travail sous paramétré. On ne peut répondre à la question ‐ quel aurait été le résultat si on avait utilisé un autre plan expérimental. Néanmoins on peut fournir une estimation de ce résultat. Ceci a de nombreuses applications. Z.‐F. Yu and P. J. Catalano 757 Les effets neurotoxiques d'agents chimiques sont souvent analysés dans le cadre d'études contrôlées sur des rongeurs, pour de multiples variables (binaires et continues) collectées en routine. L'un des objectifs est d'évaluer le risque afin de déterminer les doses optimales non toxiques. De telles études sont cependant confrontées à deux problèmes majeurs concernant les variables continues. Premièrement, il est difficile, pour de telles variables, d'évaluer le risque et de définir une dose de référence. Lorsque le risque est associéà la survenue d'un événement, il peut clairement être défini de façon binaire par la survenue ou non de l'événement. Définir le risque de façon similaire pour des variables continues est moins évident. Dans ce cas, l'événement est souvent défini par un ensemble de valeurs inférieures à un certain seuil, la distribution de ces valeurs étant supposée normale ou log normale. Deuxièmement, alors que, pour de telles études, les variables continues sont traditionnellement analysées séparément, des travaux récents conseillent plutôt d'utiliser des modèles multivariés. Nous proposons une méthode pour modéliser et quantifier le risque associéà des variables continues bivariées. Il s'agit d'une extension des méthodes existantes de régression par quantiles. L'approche basée sur une vraisemblance, permet de dissocier les modèles dose‐réponse de chaque variable, tout en tenant compte de la corrélation bivariée et de la caractérisation globale du risque. L'approche utilisée pour estimer une dose de référence est analogue à celle utilisée pour des variables binaires, sans qu'il soit nécessaire de spécifier un seuil arbitraire. Nous illustrons nos méthodes avec des données issues d'une étude de neurotoxicité de l'exposition de rats au triethyltin. L. Huang , M.‐H. Chen , and J. G. Ibrahim 767 Nous proposons des méthodes bayésiennes pour estimer les paramètres de modèles linéaires généralisés (GLM) avec des données de covariables manquantes qu'on ne peut pas négliger. Nous montrons que lorsqu'une distribution uniforme a priori impropre est employée pour les coefficients de régression, ? , du modèle multinomial de sélection du mécanisme d'obtention des données manquantes, la distribution jointe a posteriori sera toujours impropre si (i) toutes les covariables manquantes sont discrètes et si un coefficient constant est inclus dans le modèle de sélection du mécanisme d'obtention de données manquantes, ou (ii) au moins une covariable est continue et non bornée. Ce caractère impropre se manifestera indifféremment que les a priori propres ou non soient spécifiés pour les paramètres de régression, β , du GLM ou des paramètres, α , de la distribution de la covariable. Pour résoudre ce problème, nous proposons une nouvelle classe d'a priori propres pour les coefficients de régression, ? , dans le modèle de sélection du mécanisme de données manquantes. Ces a priori sont robustes et intéressants pour le calcul au sens où les inférences concernant les β ne sont pas sensibles au choix des hyperparamètres des a priori de ? et qu'ils facilitent un schéma d'échantillonnage de Gibbs qui conduit à une convergence accélérée. De surplus, nous étendons le critère d'évaluation du modèle de Chen, Dey et Ibrahim (2004), appelémesure L pondérée, au GLM et aux problèmes des données manquantes de même que nous étendons le Critère d'Information de Déviance (DIC) de Spiegelhalter et al. (2002) pour évaluer si le mécanisme d'obtention des données manquantes peut être ignoré ou non. Un nouvel algorithme de Monte Carlo de chaîne de Markov est aussi développé pour mener à bien les calculs des a posteriori. Plusieurs simulations sont faites pour étudier la performance des critères bayésiens proposés et la sensibilité aux spécifications a priori. Des ensembles de données provenant d'un essai clinique sur une tumeur mélanique et d'une étude sur le cancer du foie sont présentés pour mieux illustrer las méthodes proposées. A. Golightly and D. J. Wilkinson 781 Cet article traite de l'estimation de constantes de taux dans des modèles stochastiques de processus intra‐cellulaire. Le modèle stochastique discret de cinétique sous jacent est remplacé par une approximation (par équation différentielle stochastique) où le bruit blanc modélise le comportement stochastique et on identifie le modèle utilise sur des intervalles de temps réguliers. L'estimation implique l'utilisation de m‐1 observations latentes entre chaque couples de dates d'observation. Les méthodes MCMC sont alors utilisées pour échantillonner la distribution a posteriori du processus latent et les paramètres du modèle. La méthodologie est appliquée à l'estimation des paramètres d'un processus d'auto régulation des gènes chez un procaryote. G. Diao and D. Y. Lin 789 Les méthodes statistiques pour détecter les gènes qui influencent des caractères quantitatifs à l'aide de marqueurs génétiques sont bien développées pour des phénotypes distribués normalement et complètement observés. De nombreuses expériences impliquent des phénotypes liés à un temps d'échec, qui ont des distributions asymétriques, et qui sont habituellement sujets à censure à cause des perdus de vue aléatoire, des échecs pour des causes en compétition ou de la limitation de la durée de l'expérience. Dans cet article nous développons des méthodes statistiques semi‐paramétriques pour cartographier des Locus de Caractères Quantitatifs (LCQ) basés sur des phénotypes à temps d'échec avec censure. Nous formulons les effets du génotype LCQ sur le temps d'échec au moyen du modèle à risques proportionnels de Cox (1972) et dérivons des procédures d'inférence efficaces basées sur la vraisemblance. De plus, nous montrons comment évaluer la signification statistique quand on recherche les LCQ dans plusieurs régions du génome complet. Des études extensives par simulation démontrent que les méthodes proposées ont de bonnes performances en pratique. Les applications à deux études animales sont présentées. W. Briggs and D. Ruppert 799 Doit‐on pratiquer des mammographies de précaution chez des femmes d'âge moyen en bonne santé? Les chirurgiens doivent‐ils utiliser le score TRISS bien connu pour prédire la chance de survie de leurs patients? Ce sont des exemples de questions auxquelles on est confronté lorsqu'on décide d'utiliser une prédiction de type Oui/Non. Pour retenir une prédiction nous devons montrer qu'elle est qu'elle est plus intéressante que serait notre meilleure vision en absence de prédiction. Le calcul d'une mesure permet d'identifier l'erreur lorsque la prédiction est erronée et d'examiner les performances passées de la prédiction compte tenu de cette erreur. On développe un test statistique dans ce but. Les prédictions qui seront acceptées par ce test seront dites avoir de la compétence. Seules les prédictions compétentes devraient être utilisées. On montrera des méthodes graphiques et numériques pour montrer la compétence. L'utilité des mammographies est étudiée par cette voie. O. Thas and J. C. W. Rayner 808 Dans cet article, nous construisons trois tests d'ajustement lissés pour tester une distribution ZIP contre des alternatives générales lisses au sens de Neyman. Nous appliquons nos tests à un ensemble de données auparavant présenté comme ZIP‐distribué, et nous montrons que le modèle ZIP ne décrit pas correctement les données. En cas de rejet de l'hypothèse nulle de modèle ZIP, les composantes individuelles de la statistique de test, qui sont directement liées à des paramètres interprétables dans un modèle lissé, peuvent être utilisées pour l'examen d'une distribution alternative.  相似文献   

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REGULAR ARTICLES     
《Biometrics》2006,62(2):636-643
  相似文献   

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《Biometrics》2005,61(3):895-896
S. Matsui 816 Cet article développe des méthodes d'analyse stratifiée d'effets additifs ou multiplicatifs sur des critères binaires, dans le cadre d'essais randomisés avec défaut d'observance. Ces méthodes reposent sur une fonction d'estimation pondérée, garantissant une fonction d'estimation non biaisée à condition que la randomisation soit réalisée par strate. Quand les poids sont connus d'avance, l'estimateur obtenu est une extension naturelle de celui issu de la méthode d'estimation par variable instrumentale pour analyses stratifiées, et les bornes des intervalles de confiance dérivés des tests sont les solutions d'une équation quadratique du paramètre d'intérêt. Les poids optimaux qui maximisent l'efficacité asymptotique intègrent la variabilité inter‐strates de l'observance. Une évaluation basée sur l'efficacité asymptotique relative montre que l'efficacité peut être substantiellement améliorée en utilisant les poids optimaux plutôt que les poids conventionnels, lesquels n'intègrent pas la variabilité inter‐strates de l'observance. Enfin, ces méthodes d'analyse sont appliquées à une étude portant sur la maladie cardiaque coronarienne. L. Li , J. Shao , and M. Palta 824 Une erreur de mesure sur une covariable dans une régression est typiquement considérée pour agir d'une manière additive ou multiplicative sur la valeur de la vraie covariable. Cependant, une telle hypothèse ne tiens pas pour l'erreur de mesure sur la respiration dans les troubles du sommeil (SDB) dans l'étude de la Wisconsin Sleep Cohort Study (WSCS). La vraie covariable dans la sévérité de SDB, et le substitut observé est le nombre de pauses respiratoires par unité de temps de sommeil, qui a une distribution semi continue non négative. Avec une point masse de zéro. Nous proposons un modèle d'erreur de mesure à variable latente pour la structure d'erreur dans cette situation et l'implémentons dans un modèle linéaire mixte. La procédure d'estimation est similaire à une calibration dans une régression mais met en jeu une hypothèse sur la distribution de la variable latente. Les stratégies de modélisation et d'ajustement sont explorées et illustrées au travers de l'exemple du WSCS. J. P. Buonaccorsi , P. Laake , and M. B. Veierød 831 Cette note vise à clarifier les conditions sous lesquelles une analyse naïve impliquant un prédicteur entaché d'erreurs de classification induira un biais sur les coefficients de régression associés aux autres prédicteurs du modèle, prédicteurs dont on suppose qu'ils sont, pour leur part, parfaitement mesurés. Nous levons ici une incohérence apparente entre de précédents résultats et un résultat lié aux erreurs de mesure d'une variable continue dans une régression linéaire. Nous montrons que, de la même façon qu'une erreur portant sur une variable continue, une erreur de classification (même si elle n'est pas liée aux autres prédicteurs) induit un biais dans l'estimation des coefficients associés aux prédicteurs mesurés sans erreur, à moins que la variable entachée d'erreurs et les autres prédicteurs ne soient indépendants. Les biais conditionnels et asymptotiques sont discutés dans le cadre de la régression linéaire et explorés numériquement à travers l'exemple de la relation entre, d'une part, le poids à la naissance, et, d'autre part, le poids de la mère et le fait qu'elle fume ou non. J. Roy and X. Lin 837 Nous abordons les problèmes d'estimation dans les modèles linéaires généralisés pour données longitudinales avec sorites d'étude informative. Lorsqu'un individu sort de l'étude, non seulement la valeur de la variable réponse est manquante, mais souvent les valeurs de certaines covariables sont elles aussi non‐observées. Cependant, les modèles existants pour sortie d'étude informative supposent que les covariables soient complètement observées. Cette condition n'est pas réaliste en présence de covariables variant au cours du temps. Tout d'abord, nous étudions le biais asymptotique résultant de l'application des méthodes existantes, où les covariables temporelles manquantes sont gérées de manière naïve, c'est‐à‐dire (1) en utilisant seulement la valeur de base (“baseline”); (2) en reportant les valeurs de la dernière date d'observation, ou (3) en supposant qu'on peut ignorer les valeurs manquantes. Notre analyse de biais asymptotique montre que ces approches naïves produisent des estimateurs non consistants des paramètres. Dans un deuxième temps, nous proposons un modèle de sélection/transition qui autorise des sorties d'études avec valeurs manquantes, aussi bien sur les covariables explicatives que sur la variable réponse. Nous utilisons l'algorithme EM pour l'inférence de ce modèle. Nous illustrons la méthode proposée sur les données d'une étude longitudinale concernant des femmes infectées par le VIH. B. I. Graubard and T. R. Fears 847 Le risque attribuable ajusté (RA) est la proportion d'individus malades dans une population sujette à une exposition. Nous envisageons des estimations pour le RA ajusté basés sur les rapports de chance (odds ratios) à partir de régression logistique pour ajuster sur les effets confondus. Des méthodes de fonction d'influence utilisées en échantillonnage d'enquêtes sont appliquées pour obtenir des expressions simples et facilement programmables pour estimer la variance de^RA. Ces estimateurs de variance peuvent être appliqués à des données d'études de cas‐témoins, transversales et de cohortes avec ou sans appariement fréquentiel ou individuel et à des dispositifs échantillonnés qui vont de simples échantillons aléatoires à des échantillons groupés, stratifiés en plusieurs étapes et pondérés (par échantillonnage) du type de ceux utilisés dans les enquêtes nationales sur les ménages. L'estimation de la variance de^RA est illustrée au moyen de: (i) une étude transversale avec groupement en plusieurs étapes avec stratification pondérée issue de la troisième enquête nationale de santé et d'examens sur l'asthme de l'enfance, et (ii) une étude de cas‐témoins avec appariement fréquentiel dans le mélanome cutané malin.  相似文献   

17.
Résumé Après l'invasion de la Nouvelle-Calédonie en 1985 parHeteropsylla cubana Crawford, psylle ravageur de la légumineuseLeucaena leucocephala (Lam.) de Wit, le coccinellide auxiliaireOlla v-nigrum Mulsant a été introduit depuis Tahiti, au début de 1987, et ses principaux paramètres biologiques ont été étudiés en conditions contr?lées. A 25,7°C (24,6/26,8) la valeur médiane de la durée du développement pré-imaginal est 16,5 jours, de la ponte de l'œuf à l'adulte. A 25,8°C (25/26,6), en adoptant le taux d'éclosion observé sur les pontes de femelles sauvages, la multiplication par génération R0=201,4, le taux intrinsèque d'accroissement rm=0,165, et la durée moyenne de génération T=32,2 j. En tenant compte de la baisse de fertilité observée en cours d'étude de la cohorte, ces valeurs deviennent: R0=153,9, rm=0,160, T=31,4 j. Comparées à celles mesurées pour d'autres proies, ces valeurs impliquent une bonne adaptation trophique àH. cubana, qui est toxique pour la plupart des prédateurs polyphages. En juillet 1989,O. v-nigrum était déjà établi sur la majeure partie de la Nouvelle-Calédonie.   相似文献   

18.
Jusqu’ au milieu des années 80, la seule stratégie de dépistage consistait à proposer une amniocentèse aux femmes agées de 38 ans et plus. Puis, les progrès liés au développement de l’échographie ont permis de révéler des malformations fœtales, ce qui a ouvert la voie au dépistage des anomalies chromosomiques chez les femmes plus jeunes. Enfin, la mise en évidence de marqueurs biochimiques dans le sérum maternel au 2ème trimestre de la grossesse a conduit à une extension du dépistage de la trisomie 21 à toutes les femees enceintes quel que soit leur age, que le fœtus présente ou non des malformations visibles à l’échographie.  相似文献   

19.
Hawkins, A.F.A., Andrianarimisa, A., Rakotonomenjanahary, O.M. & Raminoarisoa, V.M. 2000. Inventaire des oiseaux de la Reserve Naturelle Integrale de Zahamena, Madagascar. Ostrich 71 (1 & 2): 317.

Zahmena est une Reserve Naturelle Integrale de 73 160 ha situé dans le centre-est de Madagascar. Nous y avons visités 4 sites entre 465–1490 m d'altitude. Nous avons trouvé 17 espéces d'oiseaux inconnus jusque là dans là Reserve. Maintenant, un total de 108 espéces d'oiseaux est ainsi recensée dans la Reserve, y compris 36 de 38 espèces limitées aux forêts humides de l 'est de Madagascar. Le site le plus riche, tout au niveau des espèces forêtières qu'au niveau d'espèes menackes, était le site le plus oriental et le plus bas (Namarafana). Les communautkes d'oiseaux étaient diffbrents selon on se situait dans les montagnes ou en basse altitude. Parmi les espbces recensks se trouvaient l'Aigle Sexpentaire de Madagascar Eutriorchis astur et le Newtonie de Fanovana Newtonia fdnovanae, tous deux trouves uniquement dans le site situk a la plus basse altitude.  相似文献   

20.
Résumé Les premiers étages sensoriels sont étudiés en utilisant notre modèle de neurone et en supposant que les réseaux responsables de la perception sont particulièrement solides, stables, économiques. Nous montrons que les premiers neurones doivent être spontanément périodiques et autorégulés. La nécessité fonctionnelle des premiers étages de la voie visuelle est démontrée. Par analogie, nous étudions la voie auditive.  相似文献   

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