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In a African grasshopper population of Locusta migratoria migratorioides reared in the laboratory, B chromosome transmission is analysed in progeny of pairs taken at random from the population. An accumulation mechanism of Bs exists in the females which presumably results from preferentiel segregation of the Bs in the female pronucleus. The analysis also shows B chromosome elimination during embryonic and larval development by means of mitotic non-disjunction: these non-disjunctions induce interfollicular variations in the number of Bs but all the cells of a follicle have the same number of Bs. The frequency of animals with B chromosome rises from 34% to 75% as the diurnal temperature rises from 27° C to 35° C. Thus frequency is controlled by genetic and environmental factors.  相似文献   

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Résumé Une faible dose de rayonnement gamma appliquée à des larves de Locusta migratoria provoque des altérations de la spermiogenèse et entraine la stérilité des mâles. Ces résultats sont comparables à ceux obtenus après implantation des corps allates.Au niveau des organites cellulaires, les altérations morphologiques des spermatides sont semblables dans les deux cas: vacuolisation des mitochondries et transformation du Nebenkern, pycnoses nucléaires, multiplication centriolaire, invagination de la membrane plasmique. Certaines de ces altérations se manifestent tardivement, au moment de la fixation des spermatides sur les cellules pariétales. Celles-ci n'élaborent pas les matériaux de la coiffe des spermatodesmes: leur fonction physiologique est donc également perturbée.Le rapport entre cette altération physiologique et l'évolution anormale des spermatides est envisagé. Le mode d'action de l'hormone juvénile sur la gonade est également discuté.
Alterations in spermiogenesis of Locusta migratoria migratorioïdes after corpora allata implantation and after irradiation
Summary Low doses of gamma-rays, given to larvae of Locusta migratoria, lead to alteration of spermiogenesis and male sterility. These results are similar to those which follow corpora allata implantation.At cellular level, morphological alterations in spermatids are the same in both treatments: mitochondrial vacuolization, nuclear pycnosis, centriole multiplication, plasmic membrane invagination. Some of these alterations reveal themselves late, at the time the spermatids fix on the parietal cells. These don't elaborate the substances of the spermatodesm's cap: their physiological functions are therefore also disturbed.The relationship beetween this physiological disturbance and abnormal evolution of spermatid are considered and the way in which juvenile hormone acts upon gonads is discussed.
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Résumé Le volume moyen des noyaux dans l'uf deScapsipedus marginatus passe de 3101 3 au stade 4 de la segmentation, à 40,71 3 dans l'embryon à l'éclosion, avec une diminution constante tout au long de l'embryogenèse.Le volume nucléaire des neuroblastes se caractérise par sa constance. Les pleuropodes présentent un accroissement de 190 à 561 3, puis une diminution brutale peu avant l'éclosion.Les noyaux de l'amnios dérivent des noyaux de la périphérie de l'écusson embryonnaire. Après une légère augmentation au cours de l'anatrepsis, leur volume diminue jusqu'à la disparition de cette annexe.La séreuse se caractérise par un fort accroissement du volume nucléaire au cours des trois premiers jours d'incubation, puis une diminution rapide pendant sa disparition.Les vitellophages subissent un important accroissement de leur volume nucléaire qui demeure considérable en fin de vie embryonnaire.L'évaluation de la teneur en ADN des différents noyaux au stade 96 heures montre que ceux qui accroissent leur volume sont polyploïdes. L'amnios demeure diploïde ainsi que les neuroblastes.Le rapport établi entre accroissement nucléaire, polyploïdie et activité physiologique montre que l'amnios ne semble pas être le siège d'une activité sécrétrice.L'estimation de la teneur en ADN des noyaux deGryllus domesticus et deLocusta migratoria au même stade de développement donne des résultats analogues. Alors que les degrés de ploïdie trouvés chezGryllus sont les mêmes que chezScapsipedus, ceux deLocusta sont plus importants. Les vitellophages dépassent 128 C.
Volume variations and DNA content of the nuclei ofScapsipedus marginatus Afz. and Br. (Orthoptera, Gryllidae) during embryogenesis
Summary The average volume of the nuclei in the egg ofScapsipedus marginatus varies from 3101 3 at the tetra-nucleate cleavage stage, to 40,7 3 in the hatching embryo, with a constant decrease throughout development. The nuclear volume of neuroblasts remains constant; in the pleuropodia, it increases from 190 to 561 3 and decreases rapidly before hatching.The nuclei of the amnion derive from peripheral nuclei of the germ disk. After a small increase during anatrepsis, their volume decreases until the degeneration of this membrane.The serosa shows a great nuclear volume increase during the first three days of incubation, then a rapid decrease during its disappearance. Yolk cells present an important increase of their nuclear volume which remains high.Estimation of DNA content of the different nuclei at about the 96 hour stage, shows that those whose volume increases are polyploid. Amnion nuclei remain diploid together with neuroblasts. The relation between nuclear increase, polyploidy and physiological functions shows that the amnion is not involved in a particular secretory activity.Estimation of DNA content of the nuclei ofGryllus domesticus andLocusta migratoria at the same developmental stage give comparable results. The degrees of polyploidy found inGryllus are the same as inScapsipedus. InLocusta they are higher, yolk cells attaining values up to 128 C.
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B. Hurpin 《BioControl》1959,4(3):233-248
Résumé Nous avons comparé, au laboratoire, la virulence pour les larves du Hanneton commun (Melolontha melolontha L.), ainsi que pour quelques autres espèces deScarabeidae (Amphimallon majalis Raz.,A. solstitialis L.,Oryctes nasicornis L.,Cetonia aúrata L.) de quatre types de maladie laiteuse: le germe pathogène dans la nature pour nos Vers blances indigènes:Bacillus popilliae, soucheMelolontha, B. popilliae Dutky,B. euloomarahae Beard, etB. lentimorbus Var.australis Beard. Les essais effectués à la fois par injection intralymphale et par contamination de la nourriture montrent que la souche indigène,B. popilliae soucheMelolontha, est la plus virulente pour les larves de cette espèce. Seule, elle est active par infection ?per os?. L'évolution de la maladie en fonction de la température a été étudiée en comparantB. popilliae ?Melolontha? àB. popilliae Dutky. Pour les deux germes il est nécessaire que la température soit supérieure à 15°C, l'optimum étant voisin de 25°C. Le nombre de spores injectées ou ingérées para?t avoir moins d'importance à condition qu'il soit plus grand qu'une dose minimum, inférieure à 10 000 spores injectées à l'individu. D'après les essais préliminaires réalisés jusqu'à présent, la virulence semble se conserver au cours des passages d'h?te à h?te aussi bien pour la souche fran?aise que pour la bactérie américaine. Le déclenchement de la métamorphose est compatible avec la poursuite de l'infection, mais la résistance des nymphes et la sensibilité des jeunes insectes parfaits empêche la contamination des imagos dans la nature.
Zusammenfassung In Laboratoriumsversuchen wurde die Pathogenit?t von folgenden 4 verschiedenen Erregern der ?Milchkrankheit? verglichen:Bacillus popilliae, Stamm ?Melolontha? (in der Natur bei uns vorkommend und für einheimische Engerlinge vonMelolontha pathogen),B popilliae Dutky,B. euloomarahae Beard. undB. lentimorbus, var.australis Beard; diese wurden in ihrer Wirkung gegenüber folgenden Scarab?idenarten untersucht:Melolontha melolontha L.,Amphimallon majalis Raz.,A. solstitialis L.,Oryctes nasicornis L.,Cetonia aurata L. Die sowohl durch intralymphale Injektion als auch durch Versuchung der Nahrung durchgeführten Versuche zeigen, dass der einheimische Bakterienstamm (B. popilliae, Stamm ?Melolontha?) der virulenteste für die Larven dieser Spezies ist: nur dieser führt nach peroraler Infektion zur Erkrankung. Der Einfluss der Temperatur auf die Entwicklung der Krankheit wurde anB. popilliae ?Melolontha? undB. popilliae Dutky verglichen. Beide Keime ben?tigen mehr als 15°C W?rme, ihre Optimaltemperatur liegt bei 25°C. Die Anzahl Sporen, die konsumiert oder injiziert wird, scheint weniger wichtig zu sein, sofern bei Injektionen der Minimalbetrag von 10 000 Sporen pro Individuum erreicht wird. Den bis jetzt durchgeführten Vorversuchen nach zu schliessen, scheint sich die Virulenz des franz?sischen sowie des amerikanischen Bakterienstammes durch übertragung von Wirt zu Wirt zu erhalten. Die Infektion dauert selbst bei Beginn der Metamorphose an, die Widerstandsf?higkeit der Puppen und der jungen Imagines macht jedoch einen Befall der letzteren in der Natur unm?glich.
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8.
Les larves et les adultes de la bruche du haricot se nourrissent de deux types d'aliments différents, mais proches en ce qui concerne la composition en hydrates de carbone: les larves consomment des graines de Phaseolus vulgaris et P. coccineus, les adultes s'alimentent principalement avec le pollen de diverses plantes.L'activité des larves et des adultes a été étudiée sur 22 substrats, en vue de préciser les caractéristiques de leur équipement osidasique. Les recherches ont montré que les larves et les adultes possèdent un équipement très important en - et -glucosidases, en - et -galactosidases, ainsi que des activités très importantes sur certains polysaccharides, notamment l'amidon et la pectine, mais l'activité est faible sur les hémicelluloses étudiées, notamment la xylane, l'arabinogalactane et la glucomannane. Les activités sur la carboxyméthylcellulose et la cellulose, ainsi que l'inuline, sont nulles.La corrélation étroite entre la composition en hydrates de carbone de la nourriture et les activités glycosidasiques du canal alimentaire chez les larves et les adultes permet une utilisation optimale des ressources trophiques en hydrates de carbone. Le parallélisme frappant entre le système glycosidasique des larves et celui des adultes a pour explication la ressemblance entre la composition en carbohydrates du pollen et celle de l'endosperme de haricot.
Summary Adults and larvae of Acanthoscelides obtectus eat two different types of food, similar in carbohydrate composition: larvae eat seeds of Phaseolus vulgaris and P. coccineus, adults eat principally pollen of various plants. The authors have studied the digestive activity of larvae and adults on 22 different sugars, in order to investigate activity of their glycosidase enzymes. Larvae and adults have a very important complement of - and -glucosidases, - and -galactosidases, and very high activity against certain polysaccharides, notably starch and pectin. The activity is weak on the hemicelluloses tested, notably on xylan, arabinogalactan and glucomannan. No activity is found on carboxymethylcellulose, cellulose and inuline.The close correlation between the carbohydrate composition of the food and the glycosidase activity of the alimentary canal in both larvae and adults enables optimal utilization of carbohydrate resources. The striking parallel between the glycosidase systems of adults and larvae is explained by the similar carbohydrate composition of pollen and bean endosperm.
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9.
D-Galacto-D-xylo-D-glucans (amyloids) from Balsamina, Tropaeolum, and Tamarindus seeds behave in a similar manner in the presence of various glycosidase preparations: slow depolymerization by enzymes from several germinated or non-germinated seeds, and hydrolysis into monosaccharides and oligosaccharides by commercial cellulase and hemicellulase preparations from fungi. A purified cellulase from Penicillium notatum gave a dialyzable fraction almost exclusively composed of α-D-xylopyranosyl-(1→6)-D-glucose residues and a nondialyzable fraction composed of chains of β-D-(1→4)[withsome (1→3)]-glucopyranosyl residues; β-D-galacto-pyranosyl-(1→2)-α-D-xylosyl groups are linked to some of the β-D-glucosyl residues at 0-6. The presence of (1→3)-linkages in the D-glucan chain of the Balsamina was verified by methylation and sequential periodate oxidation-borohydride reduction; the distribution of the substituents on the D-glucan chain is not regular. The main D-glucan backbone, where the β-D-glucosyl residues are partly linked at 0-6 to β-D-galactosyl-(1→2)-D-xylosyl groups, is linked to D-glucan chains where almost all the D-glucose units are linked at 0-6 by one α-D-xylosyl group. The presence of 3,6-di-O-methyl-D-glucose after permethylation and hydrolysis suggests that the xyloglucan chains are linked to 0-2 of the D-glucosyl units of the galactoxyloglucan backbone.  相似文献   

10.
Résumé Le spermatozoïde de Lithobius forficatus L. a été étudié grâce aux microscopes électroniques, classique et à balayage. Le spermatozoïde a une longueur d'environ 2 mm et comprend deux parties: la tête, avec l'acrosome et le noyau, et la queue, divisée en zone de liaison, pièce intermédiaire et pièce terminale.L'acrosome, entouré par du matériel fibrillaire exogène, a environ 4 de long sur 0,2–0,3 de large. Le noyau spiralé (300 à 400 de long) est constitué d'un axe fibrillaire et d'une spire granulaire dans la région postérieure. La zone de liaison est composée de la partie basale différenciée du noyau et des parties antérieures du complexe flagellaire et de la pièce intermédiaire. La pièce intermédiaire, particulièrement longue (1,5 mm environ) est formée par le flagelle entouré de ses gaines et du manchon mitochondrial. La pièce terminale est un court prolongement flagellaire (6 à 7 ). Les spermatozoïdes matures (prélevés dans les vésicules séminales) ont une structure mitochondriale légèrement différente de celle des spermatozoïdes prélevés dans le testicule.
Ultrastructural study of the spermatozoa of Lithobius forficatus L. (myriapoda chilopoda)
Summary The spermatozoon of Lithobius forficatus was investigated by transmission and scanning electron microscopy. The spermatozoon has a length of about 2 mm long, it is subdivided into a head with acrosome and nucleus, and a tail with a connecting piece, a middle piece and an end piece.The acrosome, surrounded by exogenous fibrillar material is about 4 long and 0.2–0.3 wide. The spiral nucleus (300–400 in length) consists of a fibrillar axis and of a whorl of granular material in the posterior part. The connecting piece is composed of the basal differentiated part of the nucleus and the anterior parts of the flagellar complex and middle piece. The latter is particularly long (about 1.5 mm) and consists of the flagellar complex and the mitochondrial sheath.The flagellar end piece is short (6–7 ). Mature spermatozoa (seminal vesicles) have a mitochondrial structure slightly different from those within the testis.
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11.
Résumé L'étude par la méthode histochimique de fluorescence de Falck, du ganglion cérébroïde ét de la chaine nerveuse ventrale de Glycera convoluta K. a permis la mise en évidence de péricaryons et de fibres présentant une fluorescence jaune et verte. La nature et le métabolisme des amines mises en évidence histochimiquement ont été étudiées par des techniques biochimiques. La présence d'adrénaline et de 5-hydroxytryptamine a pu être établie avec certitude. Deux autres amines identifiées chromatographiquement comme étant de la dopamine et de la noradrénaline présentent cependant des caractéristiques spectrofluorimétriques légèrement différentes de ces deux substances.La rétention de la noradrénaline et de la dopamine étudiée par des techniques radiochimiques s'est montrée plus longue que dans le canal déférent du Rat. Les composants lipidiques, protéolipidiques et protéiques étudiés chromatographiquement sont apparus assez différents de ceux rencontrés chez les Mammifères.Des données récentes ont montré l'importance de l'arrangement spatial des groupements fonctionnels dans la molécule du médiateur par rapport à la (ou aux) protéine (s) lors de la fixation de la noradrénaline dans les fibres adrénergiques des Mammifères. Aussi peut on estimer que les différences observées entre les caractéres spectrofluorimétriques des catécholamines de G. convoluta et du Rat pourraient tenir plus à la forme de capture et de stockage des amines qu'à une différence profonde de leur nature chimique.
Biogenic amine study of Glycera convoluta K. (annelida, polychaeta)
Summary The supra-oesophageal ganglion and ventral nerve cord of Glycera convoluta K. were studied with the fluorescence method of Falck. Many perikarya and fibers show a green and yellow fluorescence. The nature and metabolism of the observed biogenic amines were studied by biochemical methods. Epinephrine and 5-hydroxytryptamine were certainly present. Two other amines show chromatographic characters of dopamine and norepinephrine, but exhibit a slight difference in their fluorimetric spectra with these two catecholamines.Radiochemical methods have shown that the retention of norepinephrine and dopamine is longer in the ventral nerve cord of G. convoluta than in the vas deferens of the rat.The lipids, proteolipids and proteins of G. convoluta were different from those found in mammals as demonstrated by chromatographic analysis.Recent findings have shown the importance of the spatial arrangement of active groups in the molecule of transmitter for its retention by the protein matrix in the adrenergic fibers of mammals. The differences found by spectrofluorimetry and by measurements of the time of retention between catecholamines of rat and G. convoluta can be explained by differences in the nature of the protein matrix or by the spatial arrangement of active groups in the transmitter molecule.
Nos remerciements vont à Mme L. Desgroux-Lelièvre et à M.B. Lesbats, pour la collaboration qu'ils nous ont apportée dans la réalisation de ce travail, ainsi qu'au personnel de la Station Biologique de Roscoff qui nous a aimablement fourni les animaux utilisés.  相似文献   

12.
J. Rubtzov 《BioControl》1957,2(2):125-128
Summary The biological control in the U.S.S.R. is used against about 20 insect pests. The development of biological control realized in these lines:a) guarding and accumulation of useful entomophagous insects in nature;b) laboratory breeding, seasonal colonization and overflooding in breeding places of pests;c) introduction and acclimatization of the effective foreign entomophagous insects;d) inland distribution;e) use of indigenous entomophagous insects and raising of their effectivness by selection and hybridization.
Резюме Биологический метод боръбы в СССР исполъзуется примерн о против 20 видов вредних насекомых. Развитие биологического метода борщбы с вредителями идет в направлениях: а) охраны и “накопления” энтомофагов в природе; б) искусственного размножения энтомофагов в лаборатории и сезонной колонизации их в очагах размножения вредителей; в) интродукции и акклиматизации испытанных иноземных энтомофагов; г) внутриареeлъного расселения эффективных, но локалъно распространенных полезных видов энтомофалов; д) исполъэования местных, абориленных энтомофагов, путем повыщения их эффективности методами отбора и гибридизации.
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13.
《Geobios》1987,20(1):115-122
Isolated fern rachises have been discovered in twoWestphalian A coal balls of Belgium and Spain. They represent a new taxon, Holmesopteris faironiae n.gen., n.sp., characterized by the special location of the protoxylem poles. The morphology, the anatomy and the foliar branching of this new taxon suggest that it may belong to the family Botryopteridaceae; Stephanian species of the genus Botryopteris seem closely related to the new fern.  相似文献   

14.
15.
Résumé Les cellules à inclusion acidophile sont caractérisées par un cytoplasme réduit, périphérique, constitué de membranes ergastoplasmiques, par une volumineuse inclusion, homogène et opaque chez les Limnées élevées au laboratoire, granuleuse et peu dense aux électrons chez celles prélevées dans leur milieu naturel, et par une dépression apicale, pôle sécrétoire de ces cellules, creusée dans la masse de l'inclusion.La différenciation de ces cellules à partir d'éléments riches en ergastoplasme membranaire est caractérisée par la coalescence des granules façonnés dans les nombreuses aires golgiennes, par la vésiculisation transitoire de l'ergastoplasme et par la transformation des saccules golgiens disponibles à la fin du cycle sécrétoire en figures pseudo-myéliniques qui semblent marquer le terme du cycle fonctionnel de cet organite.L'étude des glandes, à des temps échelonnés après le déclenchement de leur fonctionnement, suggère que ces cellules parcourent un unique cycle sécrétoire, que la phase d'extrusion du produit (type mérocrine) est longue ou intermittente.Cette étude fournit des arguments permettant de comparer ces cellules aux cellules cystiques des glandes salivaires d'autres Gastéropodes pulmonés et incite à penser que le schéma du fonctionnement de ces glandes est sans doute superposable chez de nombreux pulmonés.
Salivary-gland cells with acidophilic inclusions in Limnaea stagnalis L.
Summary The salivary glands of fresh water pond snails contain cells which are characterized by a voluminous inclusion body, homogeneous and opaque in laboratory reared animals, granular and less dense in wild populations. This inclusion is surrounded by a thin cytoplasmic layer with parallel cytomembranes. The apical secretory pole forms a deep depression in the acidophilic material.Acidophilic cells are derived from basophilic elements which contain a well developed rough endoplasmic reticulum. Their differentiation is characterized by the coalescence of dark granules originating from the Golgi apparatus, by ergastoplasmic vesiculisation, finally by the appearance of myelin structures in the Golgi area.The results of experiments speak in favour of the assumption, that only one secretory cycle occurs in these cells and that the extrusion phase (merocrine type) is slow or intermittent.The fact that the acidophils can be compared with the cystic cells of the salivary glands in other pulmonates suggests that the mode of action of these glands is more or less identical in a wide range of species.


Je remercie Monsieur le Docteur M. Gabe, Directeur de Recherches au C.N.R.S., pour l'intérêt constant qu'il a bien voulu porter à ce travail.  相似文献   

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J. Fargues 《BioControl》1972,17(3):319-337
Résumé L’étude des facteurs liés au germe entomopathogène montre l’importance du choix de la souche du Champignon et de l’inoculum. Le biotype le plus virulent estB. bassiana no 18, son optimum thermique se situe à 25°C et il est confirmé que la mortalité des larves est fonction de la dose de spores utilisée. De plus, le terme du processus infectieux peut être retardé ou avancé, la mortalité différée étant d’autant plus importante que l’inoculum est plus réduit. Les facteurs liés à l’h?te ont été considérés par rapport à la sensibilité des différents stades du développement et par rapport au r?le de la mue dans le rejet des téguments. Après contamination des 4 stades larvaires deL. decemlineata il n’y a pas de différence de niveau de mortalité totale, par contre, l’examen de la mortalité différée met en évidence une résistance croissante à la mycose au cours du développement larvaire. Plus les larves sont proches de la mue au moment du traitement, plus la mortalité différée est importante et, à partir d’un certain seuil, variable avec la dose de spores, le niveau de mortalité cumulée baisse. Une attention particulière a été portée à la température, dont dépend la durée du développement larvaire du Doryphore. Les meilleures conditions d’infection sont réalisées à 20°C en raison de l’allongement corrélatif de la durée de l’intermue, bien que l’optimum thermique de l’Insecte et du Champignon se situe à 25°C. Le r?le de la température sur l’infection appara?t beaucoup plus important que celui de l’humidité.
Summary Study of factors relating to the pathogenic microorganism showed the importance of the fungus strain used.B. bassiana, as a species, is ubiquitous, but the virulence of different biotypes towards a particular host is very variable. The selected biotype isB. bassiana no. 18, its thermal optimum is 25°C and it is confirmed that larval mortality is a function of the spore dose employed. Moreover, after inoculation, the infection process can be accelerated or retarded with the doses used. The retarded mortality is more significant when the inoculum is reduced. Two factors relating to the host were considered: the susceptibility of different developmental stages and the role of the moult by the casting of the skin. When the four larval stages ofL. decemlineata are contaminated, there is no difference in susceptibility if the total mortality is used as the sole criterion; however, the retarded mortality reveals a marked susceptibility in the first instar, a lesser susceptibility in the second and third and relative resistance in the fourth. When the treatment is applied towards the next moult, the mortality is retarded, and an application very near the next moult gives lower cumulative mortality. As for abiotic factors, particular attention has been paid to temperature, in order to influence the rate of larval development. Above 20°C, there is a drop in the level of cumulative mortality and an increase in the retarded mortality. The best conditions for infection occur at 20°C because of the consequent lengthening of the instar, although the optimum temperature for both insect and fungus is 25°C. Infection appears to be influenced more by temperature than humidity.


Ce travail fait partie d’une thèse de 3e cycle en Biologie animale (mention Entomologie), soutenue le 22 mars 1972 devant la Commission d’examen de l’Université de Paris-VIe.  相似文献   

17.
A comparative morphological, physiological and biochemical study ofGilbertella persicaria andGilbertella persicaria var.indica has been made. The two organisms differ not only in the morphological characters (phototropic branched hyphae bearing sporangia and rate of growth) but also in their cellular contents, with regard to amino acids, organic acids, lipids and fatty acids.Quantitative determinations of the free amino acids during the course of development of the species and the variety in media containing different sugars, show that the two organisms differ in the following groups of amino acids: glutamic acid group, glycine-alanine group and tyrosine group.The species synthesizes citric acid, malic acid, succinic acid, fumaric acid and one unknown organic acid, whereas the variety synthesizes glyceric acid, lactic acid and two unknown acids in addition to the first four organic acids of the species.The amount of lipids in the variety is higher than that of the species under all the cultural conditions. Further, the difference between the two organisms lies in oleic acid. This acid is three times and less than one time more in quantity in the species than in the variety with mannose and trehalose, respectively. From the biochemical studies it is evident that the metabolism of the two organisms is different.The taxonomic position ofGilbertella has been discussed. The important morphological and physiological characters in which the genus shows similarities with the Choanephoraceae are: morphology of asexual apparatus and negligible or no growth in the absence of thiamine. On the other hand, the genus exhibits a number of morphological and physiological differences from the family Choanephoraceae.Sporulation inGilbertella is more intense than in the family. Besides, it produces phototropic branched hyphae bearing sporangia. Normally the family produces two different asexual structures (sporangia and sporangiola inBlakeslea: sporangia and conidia inChoanephora), whereas in the genus only sporangia are produced. Sporangia in the genus, unlike the family, deliquisce at maturity.Zygospores in the genus, unlike the characteristic sexual spores of the family, are Mucor-type.Gilbertella persicaria (IMI 101698) is found to develop a good number of Mucor-type zygospores, when mated withMucor luteus (obtained from Prof.Montant). No such mating is reported between Choanephoraceae andMucor spp.The rate and amount of growth ofGilbertella is generally much superior to that of the family. The genus grows and sporulates satisfactorily at low pH values (2.5 and 3.0) which are not suitable for the family. Besides, it utilizes quite satisfactorily both nitrite and nitrate nitrogen, whereas the family fails to grow on these nitrogen compounds.The genus may be separated from the family Choanephoraceae in view of the characteristic physiological differences and Mucor-type zygospores, and suitably placed in the Mucoraceae after broadening the concept of the family to include forms with appendaged sporangiospores (Hesseltine, 1960). A detailed study of lipids inG. persicaria by column chromatography has been made and the thirteen different fractions have been analysed. The fraction no. 12 richest in phospholipids (with and without amino groups) was analysed for amino acids. It was found to contain 33.14% of ethanolamine. Further, it contained glycerol, mannose and an unidentified sugar.A new method for measuring sporulation inGilbertella persicaria with the help of Densitometer Chromoscan is described. This method is suitable for fungi with intense and homogenous sporulation on solid agar medium.
Resume Une étude comparative morphologique, physiologique et biochimique deGilbertella persicaria etGilbertella persicaria var.indica a été effectuée. Les deux organismes diffèrent non seulement par les caractères morphologiques (les hyphes phototropiques ramifiées portant des sporanges; et la vitesse de croissance) mais aussi par leurs contenus cellulaires en ce qui concerne les acides aminés, les acides organiques, les lipides et les acides gras.L'analyse quantitative des acides aminés libres constitutifs au cours du développement de l'espèce et de sa variété, cultivées sur différents sucres, montre des différences importantes entre les deux organismes. Ces différences résident dans les groupes suivants d'acides amines: groupe de l'acide glutamique, groupe du glycocolle-alanine et groupe de la tyrosine.L'espèce synthétise les acides citrique, malique, succinique, fumarique et un acide organique inconnu, tandis que la variété synthétise les acides glycerique, lactique et deux acides organiques inconnus; en plus les quatre premiers acides organiques de l'espèce.La synthèse des lipides chez les deux organismes est influencée par les facteurs physiques ainsi que par les facteurs nutritifs. De plus, la quantité de lipides synthétisée chez la variété est généralement plus élevée que chez l'espèce. Une différence très importante entre les deux champignons relative à l'acide oléique apparaît lorsqu'ils sont cultivés sur un milieu contenant du mannose ou du tréhalose. Avec l'espèce cet acide est trois fois plus abondant qu'avec variété sur le tréhalose, cet acide n'excède guère la moitié de la valeur obtenue avec la variété.La position taxonimique deGilbertella a été discutée. Les caractères morphologiques et physiologiques importants par lesquels le genre montre des similitudes avec les Choanéphoracées sont: la morphologie de l'appareil asexué et une croissance négligeable ou nulle en absence de thiamine. Par contre, le genre montre un certain nombre de différences morphologiques et physiologiques avec la famille.La sporulation deGilbertella est plus importante que celle des diverses espèces de Choanéphoracées. Il existe d'autre part dans le genre des hyphes phototropiques très caractéristiques. La famille des Choanéphoracées forme deux types de fructifications asexuelles: sporanges et sporangioles (Blakeslea): sporanges et conidies (Choanéphora) alors queGilbertella ne produit que des sporanges déliquescentes à maturité.Gilbertella forme normalement de très nombreuses chlamydospores à l'inverse des Choanéphoracées.Les zygospores deGilbertella sont de typeMucor et peuvent même provenir du croisement deGilbertella persicaria (IMI 101698) etMucor luteus, alors que cette aptitude n'a pas été observée avec les Choanéphoracées.La croissance deGilbertella est plus rapide que celle des Choanéphoracées et le poids sec normalement plus élevé; les pH acides (2.5 et 3) sont mieux supportés parGilbertella que par les Choanéphoracées; ces dernières à l'inverse deGilbertella n'assimilent pas l'azote minéral (nitrite ou nitrate).En définitive, les différences d'ordre morphologique entre le genreGilbertella et les Choanéphoracées sont donc confirmées par les caractéristiques physiologiques et biochimiques que nous venons de mettre en évidence et nous adopterons la conception d'Hesseltine (1960) qui suggérait de rangerGilbertella chez les Mucoracées et la considérerons comme parfaitement acceptable.Une nouvelle méthode pour mesurer la sporulation chezGilbertella persicaria à l'aide du Densitomètre Chromoscan est décrite. Cette méthode est convenable pour les champignons sporulant d'une manière intense et homogène sur les milieux gélosés.
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18.
Experimental Study of changes in water content during dehydration and rehydration of the Fern: Notochlaena vellea R. Br.—This study takes place after studies made on otherPolypodiaceen Ferns. We have shown that, in these ferns, the survival duration was longer for the subterranean organs than for aerial ones. The problem was to show that this difference is due to a lower dehydration of the subterranean tissues. As far as we looked at the total water deficiency, we did not find any significant difference between the leaves and the meristematic parts of the subterranean organs: the main difference is the rate of rehydration which is higher in subterranean parts.  相似文献   

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