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1.
Résumé Des souches d'Entomophthora du groupesphaerosperma isolées respectivement de chenilles deTortrix viridana L., d'imagos d'Agriotes sputator L. et de nombreuses espèces d'Aphididae doivent être classées dans trois espèces distinctes:E. sphaerosperma Fres.,E. elateridiphaga Turian etE. phalloides Batko. Les différences essentielles concernent la dimension et la forme des conidies primaires et celles des conidies formées à l'extrémité de tubes capillaires ainsi que les exigences nutritives.
Summary Entomophthora strains belonging to thesphaerosperma group were isolated from caterpillars ofTortrix viridana L., from adults ofAgriotes sputator L. and from various Aphid species. They respectively belong to 3 separated species ofEntomophthora: E. sphaerosperma Fres. s.str., E. elateridiphaga Turian (originally described as subspecies ofsphaerosperma), E. phalloides Batko. The shape of the secondary conidia which are formed at the top of capillary tubes furnish the best character for discrimination.E. sphaerosperma grows very fast on various media including Sabouraud;E. elateridiphaga grows slowly on Sabouraud andE. phalloides requires adjunction of egg yolk.
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2.
Résumé Sept souches deConidiobolus obscurus (Hall & Dunn) Remaudière & Keller ont pu être classées en 2 groupes en fonction de leur pathogénicité vis-à-vis du puceron du pois. Les conidies primaires des souches agressives germent en pourcentage plus élevé que les conidies des souches non agressives (incapables d'infecter des pucerons). Elles ont aussi une meilleure propension à émettre des tubes germinatifs plut?t que des conidies secondaires.
Summary Seven strains ofConidiobolus obscurus (Hall & Dunn) Remaudière & Keller were classified into 2 groups depending on their pathogenicity against the pea aphid. Variations in germination patterns on the aphid cuticle were related to differences in pathogenicity of the strains. Primary conidia of the virulent strains germinated in higher concentration than the avirulent ones; furthermore, the former have a greater tendandy to produce germ tubes than secondary conidia.
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3.
Résumé Un essai infructueux d'implantation de l'entomophthorose dans une population deMyzus persicae en verger de Pêcher a révélé les principales difficultés inhérentes à ce genre d'expérimentation écologique où l'apport d'inoculum est accompagné d'une tentative de modification du milieu par des aspersions contr?lées. L'épizootiologie de l'entomophthorose dans les vergers de la vallée du Rh?ne est discutée en fonction de la fréquence des jours pendant lesquels l'humidité relative demeure élevée pendant plus de 12 heures et la température maximale excède 20°C.
Summary A preliminary experiment has been undertaken in May 1970 in the Rhone Valley in order to implant focuses ofEntomophthora aphidis Hoffm. andE. thaxteriana Petch. in colonies ofMyzus persicae Sulz. and to study the effect of sprinkling. The aim of the sprinkling is to provide the presence of a continuous film of water on the leaves of the trees during the delay (8 to 14 hours) required by the critical phase of the cycle of the pathogen (sporulation-infection). Four plots were considered: The check-plot without inoculum or sprinkling, a plot with inoculum but without sprinkling, a plot with sprinkling but without inoculum and the fourth plot with inoculum and sprinkling. By an extra infestation, an homogenous population has been established on the 6 trees of each plot. The inoculum consists partly in cultures of the fungous in Petri dishes, partly in dead aphids in the phase of projection of conidia. The failure of the experiment is attributed to the very quick destruction of the inoculum by sorching winds, to the working-failure of the sprinkling system and specially to the adversity of the climatic conditions during the last decade of May (no diurnal rains, high frequency of windy days). The epizootiology of Entomophthorales in orchards of the Rhone Valley is discussed at light of the frequence of the days with high relative humidity during more than 12 hours and that of the days with maximal temperatures exceeding 20°C.


Communication présentée à la 2e réunion du groupe de travail PBI ?Biological Control of Aphids?, Paris, 16–18 septembre 1970.  相似文献   

4.
P. Ferron 《BioControl》1977,22(4):393-396
The incubation of imagines ofAcanthoscelides obtectus Say inoculated with conidia ofBeauveria bassiana (Bals.) Vuillemin under different relative humidities, between 0 and 100% R. H., shows that infection develops independantly of the humidity; the development of the fungus on the cadaver is only possible when the humidity values are near the saturation point.
Résumé L'infection des imagos d'Acanthoscelides obtectus Say par des conidies deBeauveria bassiana (Bals.) Vuillemin a été étudiée, au laboratoire, en fonction des valeurs de l'humidité relative de l'atmosphère ambiante (de 0 à 100% H. R.). Il a été ainsi démontré que l'infection est possible quelle que soit la valeur de l'humidite relative; par contre le développement végétatif du champignon et donc sa sporulation à l'extérieur des cadavres ne se produisent qu'à des humidités égales ou supérieures à 92% H. R. On comprend, dans ces conditions, que le développement des épizooties naturelles, lié à la présence d'un inoculum pathogène, n'ait lieu que dans les biotopes où règne une humidité relative proche de la saturation; à l'inverse les résultats obtenus indiquent qu'il est possible d'infecter une population de ravageurs par dispersion artificielle d'un inoculum multiplié au laboratoire indépendamment des valeurs de l'humidité relative de l'atmosphère.


Avec la collaboration technique deP. H. Robert etAnnick Glandard.  相似文献   

5.
Egg masses of the greater wax moth,Galleria mellonella L. experimentally infected with conidia ofAspergillus flavus Link became rapidly covered with the mycelium and were eventually destroyed. Germ tubes from conidia penetrated not only infertile, but also damaged eggs. Healthy eggs were often penetrated both by conidial germ tubes and mycelia elements. Once penetrated, eggs become filled with mycelium in as little as two days, after which conidiophores and mycelia protrude outwardly through the chorion.
Résumé Des pontes de la Teigne des ruches,Galleria mellonella, infectées expérimentalement avec des conidies deAspergillus flavus ont été rapidement recouvertes de mycélium et furent éventuellement détruites. Les tubes germinatifs issus des conidies ont pénétré non seulement les œufs infertiles mais aussi les œufs blessés. Les œufs sains furent souvent pénétrés à la fois par des tubes germinatifs conidiens et des éléments mycéliens. Une fois pénétrés, les œufs se remplissent de mycélium en moins de 2 jours, après lesquels le mycélium et les conidiophores ressortent à l'extérieur à travers le chorion.


Authorized for publication on November 7, 1968 as paper No. 3503 in the Journal Series of the Pennsylvania Agricultural Experiment Station.  相似文献   

6.
There was no significant decrease or increase in the activity of conidia ofNomuraea rileyi after 12in vivo serial passages in larvae ofTrichoplusia ni (Hübner) or after 12in vitro serial passages on a semi-synthetic medium. The LC-50 at the start of the serial passage was 16.8±4.0 conidia/mm2; after 12 serial passages the LC-50 for thein vitro- andin vivo-produced conidia was 16.2±2.5 conidia/mm2 and 12.0±1.9 conidia/mm2, respectively.
Résumé Il n'y a pas d'augmentation ou de réduction significative dans l'activité des conidies deNomuraea rileyi après 12 passages en sériein vivo chez les larves deTrichoplusia ni (Hübner) ou après 12 passages en sériein vitro sur un milieu semi-synthétique. La concentration léthale 50 au début de ces passages était de 16,8±4,0 conidies/mm2, après 12 passages la CL 50 des conidies produitesin vitro etin vivo fut respectivement de 16,2±2,5 conidies/mm2 et de 12,0±1,9 conidies/mm2.


Mention of a proprietary product in this paper does not constitute a recommendation for use by the USDA.  相似文献   

7.
Résumé Les auteurs ont mis au point un procédé d'estimation de la virulence des Entomophthorales à l'égard des adultes du moustiqueAedes aegypti. Ce paramètre est estimé en termes de CL 50 de conidies/mm2. C'est la 1re fois qu'une telle méthodologie est appliquée à ces champignons vis-à-vis de Diptères. L'activité de 2 souches deZoophthora radicans isolées le même jour dans la même localité a ainsi pu être comparée à des intervalles successifs après la mise en culture. Au début de l'expérience, les 2 souches se sont révélées capables d'entra?ner des taux de mortalité de 100% et leur virulence était comparable. La symptomatologie de la mycose était caractéristique, avec formation de conidiophores chez la quasitotalité des cadavres. Par la suite, une discordance a été notée dans le comportement respectif des 2 souches. Alors que la virulence de l'une est restée stable pendant les 6 mois qu'a duré l'expérience, celle de l'autre a diminué très rapidement, le taux maximum de mycose ne dépassant plus 20% après le 1er essai. Le passage sur l'h?te expérimental n'a pas eu pour effet de modifier cette situation. Ces résultats, ainsi que leurs implications, sont discutés. Ils soulignent l'importante variabilité comportementale qui peut exister au sein d'une même espèce d'Entomophthorale. Avec la collaboration technique deMonique Arnault et deNelly Delatre.  相似文献   

8.
C. A. Dedryver 《BioControl》1978,23(2):137-151
Résumé Plusieurs espèces d'Entomophthora participent à la régulation des populations d'Aphis fabae Scop. sur féverole dans l'Ouest de la France. Les r?les respectifs de chaque espèce ont été évalués en 1971 et de 1973 à 1975. Entomophthora fresenii Nowak. est l'espèce qui se dissémine le plus rapidement et le plus complètement dans les parcelles, et qui est la plus agressive au niveau des colonies. Ces deux caractères en font l'agent pathogène dominant d'A. fabae dans l'Ouest, 3 années d'observations sur 4.Entomophthora aphidis Hoffman, bien que présent tous les ans n'est le pathogène le plus efficace qu'en 1973.Entomophthora thaxteriana Petch etEntomophthora planchoniana Cornu n'apparaissent pas chaque année et, lorsqu'ils sont présents, n'interviennent que pour une faible part dans le développement des mycoses. Des facteurs inhérents à l'agent pathogène (spécificité, caractères du cycle) ainsi que des facteurs écologiques (climatiques) sont évoqués pour expliquer la prédominance d'E. fresenii.
Summary Several species ofEntomophthora take part in the natural control ofAphis fabae Scop. on field beans (Vicia faba) in the West of France. The respective importance of each species was assessed in 1971 and from 1973 to 1975. Entomophthora fresenii Nowak. is the species that most completely and quickly spreads in the fields, and the most efficient in the colonies. For both reasonsE. fresenii is the main pathogen ofA. fabae in the West of France 3 years over 4. AlthoughEntomophthora aphidis Hoffman occurs every year, this species was the most efficient pathogen in 1973 only.Entomophthora thaxteriana Petch just occurred in 1974 and 1975 and, these years, its contribution in the total sum of infected aphids was low.Entomophthora planchoniana Cornu appeared in 1975 only, very late in the season, which makes its pathogenicity difficult to assess. Factors inherent to the pathogen (specificity ofE. fresenii, nature of its cycle, dependence of the aggregation of aphids) and ecological factors such as response to climate variations, may at least to a great extent explain the predominance ofE. fresenii. All these factors must be studied for a good understanding of this species.


Les 2 premiers mémoires de cette étude ont été publiés dans Entomophaga respectivement parRobert et al. (18, 1973, 61–75) etRabasse & Robert (20, 1975, 49–63)  相似文献   

9.
B. Papierok  N. Wilding 《BioControl》1981,26(3):241-249
Résumé Au sein de l'espèceConidiobolus obscurus (Hall & Dunn) Remaudière & Keller, les souches différant par leur comportement en culturein vitro présentent également des différences dans leur comportementin vivo. Les souches qui poussent rapidement, plissent le milieu et forment facilement des azygospores (type A) sont moins virulentes à l'égard deAcyrthosiphon pisum Harris et deSitobion avenae F. que les souches de type B, qui poussent plus lentement, plissent peu le milieu et ne produisent pas de spores de résistance. La durée d'incubation de la maladie chez les 2 espèces de pucerons est plus longue chez les individus infectés par une souche de type B que chez ceux infectés par une souche de type A. La formation d'azygospores à l'intérieur des pucerons morts de mycose placés à 2°C sur de la cellulose mouillée n'est observée que dans le cas des souches de type A. En dernier lieu le nombre de conidies émis par un cadavre lors de la sporulation est en moyenne plus élevé dans le cas des souches de type B que dans celui des souches de type A. Les 2 types de souches doivent être regardés comme des races biologiques au sein de l'espèceC. obscurus.
Summary The 2 types of strain ofConidiobolus obscurus (Hall & Dunn) Remaudière & Keller which can be separated by differences in their growthin vitro, differed also in characteristics of their developmentin vivo. Strains which,in vitro, grow rapidly, fold the surface of agar media and readily produce azygospores (strains of type A), were less infective forAcyrthosiphon pisum Harris andSitobion avenae F. than strains of type B which grow more slowly, hardly fold the surface of agar media and fail to produce resting spores. However, the incubation period of the disease in both these aphid species was longer for type B than type A strains. Azygospores formed in aphids infected experimentally with type A strains but not in those infected with type B strains when the cadavers were placed on moist cellulose at 2°C. The mean number of conidia produced from aphids infected with strains of both types varied greatly but strains of type B produced more conidia per aphid than those of type A. The 2 types of strain should be considered as biological races within the speciesC. obscurus.


Avec la collaboration technique de MesdamesM. Arnault etS. K. Best.  相似文献   

10.
C. A. Dedryver 《BioControl》1981,26(4):381-393
Résumé L'étude comparée de l'action limitative de 3 espèces d'Entomophthoraceae sur les pucerons des céréales a été effectuée dans l'Ouest de la France (Bassin de Rennes essentiellement) de 1975 à 1978. La quasi-totalité des cas de mycose sont dus àErynia neoaphidis Remaud. & Henn.,Conidiobolus obscurus (Hall & Dunn) Remaud. & Keller etEntomophthora planchoniana Cornu. L'analyse de la répartition des différentesEntomophthoraceae au cours de l'année montre queE. neoaphidis est l'espèce qui a la plus grande période d'activité (elle se manifeste pendant pratiquement toute l'année sur les populations anholocycliques) et qui infecte, à un moment donné, le plus de pucerons.C. obscurus dispara?t en général en hiver après la formation abondante de spores durables et ne réappara?t qu'au cours du printemps. D'une année sur l'autre, à un instant donné,C. obscurus est rarement déterminé sur plus de 25% du total des pucerons mycosés récoltés. Enfin,E. planchoniana a une période d'activité essentiellement estivale qui peut se prolonger en automne sur les pucerons pullulant sur ma?s. C'est sur ces derniers qu'elle semble la plus efficace. Sur blé d'hiver, l'action apparente deE. neoaphidis et deC. obscurus n'est pas la même selon l'espèce de pucerons et la position de ceux-ci sur la plante:E. neoaphidis est encore plus pathogène pourM. dirhodum que pourS. avenae etC. obscurus semble davantage parasiter les pucerons situés sur le feuillage que ceux situés sur les épis. Enfin, l'étude de l'action deE. neoaphidis, C. obscurus etE. planchoniana en fonction de la taille de la colonie (ou du ?groupe? de pucerons) montre que l'action deE. neoaphidis semble indépendante de la densité de pucerons alors que le développement deC. obscurus dans les colonies est moins rapide que l'augmentation de taille de celles-ci. D'une manière générale, l'action deE. planchoniana est moins bien connue du fait du manque de matériel. La prédominance deE. neoaphidis s'explique par l'excellente adaptation de cette espèce à l'anholocyclie des pucerons, par sa faible spécificité à l'intérieur du groupe des aphides et par le nombre important de conidies qu'elle projette en atmosphère saturante. Cette espèce semble avoir les meilleures potentialités entomopathogènes en tant qu'agent de lutte biologique en cultures céréalières, mais son emploi futur sera subordonné à sa production de masse sous forme stable et pathogène.
Summary The role of 3 species ofEntomophthoraceae on cereal aphids in the West of France from 1975 to 1978 was compared. Almost all the infected aphids were killed byErynia neoaphidis Remaud. & Henn.,Conidiobolus obscurus (Hall & Dunn), Remaud. & Keller andEntomophthora planchoniana Cornu. A study of the distribution of the different species ofEntomophthoraceae during the year shows thatE. neoaphidis has the longest period of activity and infects most aphids. C. obscurus generally disappears in winter after an abundant formation of resting spores and reappears during the spring. On each sampling date,C. obscurus infects generally no more than 25% of the diseased aphids.E planchoniana occurs essentially during the summer and autumn on aphids living on ma?ze on which it seems to spread efficiently. On winter wheat the action ofE. neoaphidis andC. obscurus is different, depending on the species of aphid and on the position occupied by the aphids on the plant:E. neoaphidis is more pathogenic forM. dirhodum than forS. avenae andC. obscurus seems more pathogenic for the aphids (whatever the species) on leaves than for the aphids on ears. Finally the efficiency ofE. neoaphidis, C. obscurus andE. planchoniana relative to the size of the populations of the different samples was studied: the pathogenicity ofE. neoaphidis seems to be density independant, whereas the development ofC. obscurus in the colonies is slower than the rate at which they increase in size. Little is known about the pathogenicity ofE. planchoniana because of the lack of material. The prevalence ofE. neoaphidis is explained by its adaptation to the anholocycly of the aphids, by the broad spectrum of species it infects and by the numerous conidia it produces in a moist atmosphere. This species seems to have the best potential as an agent of biological control in cereal but currently its mass production poses problems.


Avec la collaboration technique d'Augustine Gellé etSylvie Tanguy  相似文献   

11.
Entomophthora parvispora sp. nov., pathogenic forThrips species, (principallyT. tabaci Lind.), is described. The fungus is characterized by its very small conidia and resting spores, anadhesive spores with a characteristically-shaped fixture at their apex, and the mode of resting spore development. The records suggest that the pathogen is widespread and probably occurs throughout central and southern Europe.
Résumé Entomophthora parvispora sp. nov. pathogène pour des espèces deThrips, notammentT. tabaci Lind., est décrit. Ce champignon est caractérisé par ses conidies et spores durables très petites, par des spores non adhérentes présentant à leur apex une excroissance de forme caractéristique, ainsi que par le mode de développement des spores durables. Les observations montrent que cet agent pathogène est largement répandu et se trouve probablement dans toute l'Europe centrale et méridionale.
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12.
Petr Starý 《BioControl》1964,9(2):147-152
Résumé Les études de l'auteur sur les pucerons des vergers d'agrumes et de pêchers et leur voisinage, ont montré que la faune aphidienne de certaines plantes est une réserve d'Aphides nuisibles tandis que la faune aphidienne d'autres plantes est économiquement indifférente et représente des h?tes intermédiaires pour les parasites des Aphides nuisibles du premier groupe. Il est proposé de restreindre les plantes du premier groupe, de préserver et de favoriser l'existence de plantes du second groupe comme moyen de lutte intégrée contre certains aphides nuisibles des vergers. L'introduction deAphidius transcaspicus Telenga dans des régions infestées parHyalopterus pruni, est recommandée.   相似文献   

13.
Résumé Le r?le des Entomophthorales dans la dynamique des populations de pucerons infestant la végétation spontanée est comparé d'une part en zone littorale (Basse-Normandie) et d'autre part en zone continentale (Vosges). En Basse-Normandie, le comportement anholocyclique de nombreuses espèces de pucerons contribue à la permanence des populations aphidiennes et, en conséquence, à la persistance de la mycose. Dans les Vosges, en raison des dures conditions hivernales, les pucerons ont un développement holocyclique et leurs colonies se développent pendant 6 ou 7 mois seulement; en 1974, la mycose appara?t au moment du maximum de la population aphidienne et une situation épizootique détermine le rapide déclin des populations. Dans les 2 régions,Erynia neoaphidis Remaud. & Henn.,Entomophthora planchoniana Cornu,Neozygites fresenii (Nowak.) Remaud. & Kell. etConidiobolus obscurus (Hall & Dunn) Remaud. & Kell sont les pathogènes les plus communs. La fréquence deZoophthora phalloides Batko sur le littoral normand contraste avec sa rareté dans les Vosges.Conidiobolus osmodes Drechsler, occasionnellement observé en Normandie, n'a jamais été rencontré dans les Vosges.E. neoaphidis etE. planchoniana sont présents toute l'année. La première espèce est plus abondante au printemps, la seconde en automne.C. obscurus etZ. phalloides semblent mieux adaptés aux conditions fra?ches du printemps et de l'automne et sont très rarement rencontrés pendant la période chaude de l'été. En revanche,N. fresenii est trouvé surtout en été etC. osmodes presque exclusivement en hiver.Z. phalloides montre une préférence marquée pour des h?tes tels queMyzus ascalonicus Donc. etTubaphis ranunculina Wlk.;E. planchoniana attaque préférentiellement les espèces du genreCavariella. Les profils dynamiques des différents pathogènes des pucerons les plus communs sont donnés et les particularités écologiques de chaque pathogène sont précisées; les situation épizootiques se manifestent exclusivement en présence de populations aphidiennes de haut niveau. Toutes les espèces agissent comme de bons facteurs de régulation et, saufN. fresenii, sont capables de se maintenir aux dépens de populations aphidiennes très basses et clairsemées.
Summary The role of entomophthorosis in the dynamics of aphid populations infesting natural vegetation in northern littoral France (Basse-Normandie) and in northeastern continental France (Vosges) is compared. In Basse-Normandie, anholocyclic behavior of numerous aphid species contributes to the permanent presence of aphid populations and consequently, the persistence of mycosis. In the Vosges, severe winter, conditions result in holocyclic development whereby aphid colonies are present for only 6 to 7 months; during 1974 diseased specimens appeared when aphid populations were maximum, subsequent epizootic development caused a rapid decline of populations. In the 2 regions,Erynia neoaphidis Remaud. & Henn.,Entomophthora planchoniana Cornu,Neozygites fresenii (Nowak). Remaud. & Kell. andConidiobolus obscurus (Hall & Dunn) Remaud. & Kell. are most common. The frequent occurrence ofZoophthora phalloides Batko in littoral Normandy contrasts with an apparent rarity in the Vosges.Conidiobolus osmodes Drechsler is occasionally encountered in Normandy, but is not found in the Vosges.E. neoaphidis andE. planchoniana are present throughout the year. The former is most abundant in the spring, the latter in the autumn.C. obscurus andZ. phalloides seem better adapted to cooler spring and fall conditions as their occurrence is exceedingly rare during the host summer period. In contrast,N. fresenii is found in the summer whileC. osmodes almost always occurs in the winter.Z. phalloides appears to prefer such asMyzus ascalonicus Donc. andTubaphis ranunculina Wlk.;E. planchoniana prefersCavariella spp. Dynamic profiles of the various pathogens of the most common aphids at different times of the year are given; ecological features of each pathogen are described; epizootics only occur in high aphid populations. All species act as good regulating factor and, with the exception ofN. fresenii, persist in very low aphid populations.
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14.
A. Roques 《BioControl》1976,21(3):289-295
Résumé Des observations ont été effectuées sur la morphologie des stades préimaginaux et le cycle de développement d'Eurytoma waachtli Mayr., qui se développe en ectoparasite sur les larves de 4e stade du curculionidePissodes validirostris Gyll. dans les c?nes de pin sylvestre. On a constaté que le chalcidien n'attaque les larves dePissodes que si celles-ci sont préalablement parasitées et paralysées par des ichneumonides du genreScambus. E. waachtli détruit d'abord la larve deScambus puis se développe sur la larve du Coléoptère. Un tel comportement peut être qualifié de cleptoparasite. Le développement d'E.waachtli, en général monovoltin, est étroitement lié à la fois à celui dePissodes et à celui deScambus sp. En limitant le nombre de parasites primaires,E. waachtli joue un r?le favorable à l'accroissement des populations dePissodes validirostris.
Summary Observations have been carried out on the morphology of the pre-imaginal stages and the life cycle ofEurytoma waachtli Mayr., which occurs as ectoparasite on 4th instar larvae of the weevilPissodes validirostris Gyll. in cones of Scotch pines. It has been established that the attack by this chalcidid ofPissodes larvae occurs only when they have been previously parasitized and paralysed by ichneumonids of the genusScambus. First,E. waachtli kills the larva ofScambus, then feeds on the weevil larva. Such a behaviour may be called “cleptoparasitism”. The development ofE. waachtli generally monovoltine, is strongly related both to the development ofPissodes and ofScambus sp. By limiting the number of primary parasites,E. waachtli is playing a part in the increase ofP. validirostris population levels.


Avec la collaboration technique deJ.-P. Raimbault.  相似文献   

15.
A. M. Afify 《BioControl》1969,14(2):215-223
?Bactospeine? was bioassayed using larvae ofAchroia grisella, Anagasta kuehniella andPlodia interpunctella as test insects. Results confirmed the difference in susceptibility between the 3 species and revealed that the Egyptian race ofAnagasta is somewhat more susceptible than the British race. Storage of ?Bactospeine? under varying room conditions (11–37 °C and 41–74 % R. H.) for 4 years caused a certain reduction in viability and virulence of the spores. Repeated tests of the median lethal dose onAnagasta under room conditions (different seasons) revealed no significant effect of temperature- and humidity-fluctuations on the response of the insect to the pathogen.
Résumé La Bactospéine a été expérimentée sur des larves deAchroia grisella, Anagasta kuehniella etPlodia interpunctella. Les résultats de ces tests biologiques ont confirmé la différence de sensibilité entre les 3 espèces et montré que la race égyptienne deAnagasta est quelque peu plus sensible que la race anglaise. La conservation pendant 4 ans de la Bactospéine dans différentes conditions de laboratoire (11 à 37 °C et 41 à 74 % H.R.) a provoqué une certaine réduction de la vitalité et de la virulence des spores. La répétition des essais au laboratoire sur la DL50 pourAnagasta à différentes saisons, n'a mis en évidence aucune influence significative des variations de température et d'humidité sur la réponse de l'insecte au pathogène.


Bactospeine is a bacterial insecticide prepared on the base ofBacillus thuringiensis Berliner (serotype I) and contains spores and crystalline inclusion, produced byRoger Bellon Cy (France).  相似文献   

16.
B. Papierok 《BioControl》1985,30(3):303-312
Résumé La finesse des procédés mis au point pour la mise en culture de l'agent responsable des entomophthoroses d'insectes permet de montrer queConidiobolus coronatus (Costantin) Batko se comporte dans la nature comme un pathogène opportuniste, contaminant secondairement des insectes morts d'une véritable entomophthorose ou de tout autre cause. C'est la première fois qu'il est montré expérimentalement qu'une souche deC. coronatus isolée de l'homme est capable d'infecter un insecte. Les variations de l'infectivité entre 6 souches de provenances diverses: insectes, sol ou lésions humaines ne semblent pas liées à la nature du substrat d'origine, la souche la plus active vis-à-vis du puceron du pois,Acyrthosiphon pisum (Harris), étant celle isolée du sol. Cependant, l'intensité de conidiogénèsein vivo semble liée à l'origine des souches étudiées, les souches isolées de pucerons étant celles qui produisent le plus grand nombre de conidies sur les pucerons tués par le champignon. Avec la collaboration technique de MesdamesM. Arnault etN. Delatre.  相似文献   

17.
G. Reyd  B. Le Rü 《BioControl》1992,37(2):317-325
Résumé L'influence de la prédation des larves d'Hyperaspis raynevali et d'Exochomus flaviventris (Col. Coccinellidae) sur les colonies de la cochenille du maniocPhenacoccus manihoti (Hom. Pseudococcidae) a été étudiée en relation avec la densité et la structure d'age des colonies de cochenilles, et avec le rapport proie/prédateur utilisé lors du lacher des larves. La prédation des deux espèces de coccinelles est surtout influencée par la densité et la structure d'age des colonies deP. manihoti: le rapport proie/prédateur intervient dans une moindre mesure. Elle est plus importante sur la densité initiale de 45 cochenilles/plant que sur la densité de 25 cochenilles/plant, et, permet de limiter significativement la multiplication des colonies deP. manihoti constituées d'adultes et de larves néonates, et de réduire significativement les effectifs de cochenilles composées de 2e et 3e stades larvaires. Pour les deux espèces de coccinelles, les lachers effectués avec un rapport proie-prédateur de 3 cochenilles pour 1 larve de coccinelle (3/1) ont une influence plus grande sur la réduction des effectifs de cochenilles que ceux réalisés avec un rapport de 7/1. Ce résultat est cependant plus marqué chezE. flaviventris. Pour tous les paramètres étudiés, la coccinelle exotiqueH. raynevali maintient les densités deP. manihoti à des niveaux numériques inférieurs à ceux obtenus avec l'espèce indigèneE. flaviventris. Les résultats sont comparés à ceux obtenus en parcelles au Congo. L'utilisation des larves de coccinelles dans la perspective d'une lutte biologique contre la cochenille du manioc est évoquée en discussion.   相似文献   

18.
Recent research on the factors governing resistance development among arthropod natural enemies is reviewed, including selection studies of resistance development in the predatory miteAmblyseius fallacis (Garman) andTetranychus urticae Koch and patterns of toxicity to pesticides and mixed function oxidase activity in a group of pests, predators and parasites. New areas of resistance development in the speciesPhytoseiulus persimilis A. H. andTyphlodromus pyri Scheuten are discussed as are genetic studies of resistance inP. persimilis and the toxicology of resistance inA. fallacis. Lastly, the widespread documentation of resistance inA. fallacis, a predator of plant-feeding mites, the cecidomyidAphidoletes aphidimyza (Rond.), a predator of aphids and 2 parasites of leafhopper in orchards of North America, is discussed relative to the long-term use of organophosphate-based insecticides and programs of integrated pest control.
Résumé Les récentes recherches sur les facteurs déterminant le développement d'une résistance aux pesticides chez les arthropodes ennemis naturels des ravageurs sont rappelées, y compris les études sur la sélection pour cette résistance de l'acarien prédateur,Amblyseius fallacis (Garman) et deTetranychus urticae Koch, ainsi que les types de toxicité des pesticides pour un ensemble de ravageurs et de leurs parasites et prédateurs. De nouveaux domaines dans les phénomènes de la résistance chezPhytoseiulus persimilis A.H. etTyphlodromus pyri Scheuten sont discutés, telles que les études génétiques de la résistance chezP. persimilis et la toxicologie de la résistance chezA. fallacis. Enfin la très abondante documentation sur la résistance deA. fallacis, prédateur d'acariens phytophages, deAphidoletes aphidimyza (Rond), cecidomyie prédatrice de pucerons et de deux parasites de cicadelles en vergers en Amérique du Nord, est discutée en fonction de l'utilisation prolongée d'insecticides à base d'organophosphorés et de programmes de lutte intégrée.


Published as article No. 8498 of the Michigan Agricultural Experiment Station, Michigan State University, East Lansing, Michigan 48824.  相似文献   

19.
Résumé La blastogenèse deNomuraea rileyi (Farlow) Samson requiert des besoins très spécifiques. La présence de Tween et une forte concentration en extrait de levure sont indispensables. Contrairement aux conidies, les blastospores obtenues ne sont pas capables de traverser le tégument de l'h?te alors qu'il est démontré que les blastospores de quelques autres espèces sont effectivement entomopathogènes par la voie tégumentaire.
Summary Nomuraea rileyi (Farlow) Samson blastogenesis requires very specific factors which may change according to the biotype. Limiting components of the medium can be the presence of Tween 80 and a high concentration of yeast extract. The blastospores obtained are not infective when applied topically.
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20.
P. Grison 《BioControl》1962,7(3):269-270
Résumé L'utilisation des germes pathogènes est une solution du problème de la sélectivité. Des solutions concurrentes existent avec certains pesticides chimiques. L'utilisation des germes pathogènes est donc envisagée d'une manière pragmatique en négligeant les problèmes de recherches fondamentales. Pour cette raison les mycoses et les protozoonoses ne sont pas retenues. Les viroses offrent un exemple de la plus grande spécificité d'action. L'application des virus d'insectes a été surtout développée en sylviculture. Une grande difficulté est la multiplication des virus sur organismes vivants. Les bactérioses peuvent être seules retenues pour l'agriculture et l'arboriculture intensives: elles ont un spectre d'action assez étendu mais suffisamment sélectif; les bactéries qui nous intérresent peuvent être multipliées industriellement. Le statut deBacillus thuringiensis Berliner et les propriétés des préparations commerciales ont fait l'objet de développements récents. Dans une revue critique des applications de ces préparations en arboriculture fruitière, on considère d'abord le cas des Mineuses et des Tordeuses. Presque toutes ces chenilles sont susceptibles àB. thuringiensis. Mais la difficulté d'utilisation des préparations est de nature éthologique. De bons résultats sont obtenus au Canada contreArgyrotaenia et en U.R.S.S. contreHyponomcuta. En U.R.S.S. on utilise des produits mixtes à concentration réduite (0,5%) de préparation bactérienne et à concentration extrêmement faible (0,002%) de D.D.T. Les résultats contre le Carpocapse sont négatifs. Les résultats contre les chenilles défoliatrices sont très satisfaisants: en Hollande et au Canada contreMalacosoma; au Canada contre les Géométrides,Operophtera etAlsophila espèces très susceptibles àB. thuringiensis, à la dose de 1 à 2 pounds de préparation (titrant 30×109 spores viables par gramme) pour 100 gallons, soit environ, 1,5%; en France, ces résultats sont confirmés. En conclusion, l'utilisation en verger des prépararations commerciales deBacillus thuringiensis doit être ?intégrée? dans un programme général de protection comprenant à la fois les traitements chimiques et les méthodes culturales. De tels programmes sont actuellement expérimentés dans certains vergers de Pommiers par l'I.P.O. et le T.N.O. en Hollande.  相似文献   

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