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1.
Résumé ChezCalotermes flavicollis, la formation des sexués néoténiques est plus facile, ou plus rapide, dans le sexe femelle que dans le sexe mâle.Les sexués femelles montrent un pouvoir inhibiteur à l'égard des individus femelles; les sexués mâles inhibent les mâles de façon moins complète; la stabilisation complète peut être obtenue dans les élevages unisexués, formés uniquement de mâles ou de femelles.La régulation du nombre des néoténiques ne se fait pas de la même façon dans les élevages et dans les élevages . Dans les premiers, 2 néoténiques subsistent, quelquefois 3; dans les seconds ne persiste qu'un seul néoténique , rarement deux.Ces résultats mettent en lumière le rôle différent joué par les mâles et les femelles dans les sociétés de Termites.  相似文献   

2.
Summary Aphidius rhopalosiphi produced 212 offspring on average but in one case 509 deposited eggs were found. Superparasitization occurred but the frequency distribution of parasitoid larvae in aphids differed significantly from random, indicating a certain degree of host discrimination. Average life span of adults was 13.1 days and sex ratio was 1:1. It changed in time among successively produced offspring.Handling time was about 2 sec and was somewhat longer in the fourth instar than in the second. Second and third aphid instars were preferred for oviposition. Functional response was sigmoid and at an aphid density of 100 aphids per cage percentage parasitization decreased.
Résumé Nous avons examiné quelques aspects des relations entre le parasitoïde Aphidius rhopalosiphi et son hôte Sitobion avenae. La fécondité potentielle à l'émergence (144 ufs) était inférieure à la fécondité réalisée: nombre de pucerons momifiés (212). La plupart des ufs étaient pondus dans la première semaine de la vie imaginale (fig. 1). Le super-parasi-tisme s'est produit dans les conditions expérimentales, mais la distribution des larves (fig. 2) s'écartait souvent de la distribution au hasard, ce qui indiquait une certaine discrimination parmi les hôtes.La longévité moyenne était de 13,1 jours et le maximum de 23 jours. Le taux sexuel (fig. 3) pour l'ensemble de la descendance était 1/1, mais changeait dans le temps. Après le premier jour de ponte, plus de femelles que de mâles étaient obtenues; mais après 6 jours, il n'y avait presque plus que des mâles.Le taux de rencontre des aphides et des parasitoïdes augmentait avec la taille (fig. 4a). Le temps de prospection de l'hôte était en moyenne de 2 secondes, mais dans certains cas il atteignait 10 secondes ou plus. La proportion de rencontres efficaces était plus faible au 4ème stade (fig. 4b). Il n'y avait pas de différence significative dans le nombre de larves de parasitoïdes obtenues par rencontre pendant les stades 1 à 3 des pucerons, mais elle était significativement inférieure au 4ème stade par rapport au second. Les taux globaux de succès (taux de rencontre et nombre de larves formées par rencontre) étaient plus élevés aux 2ème stades des pucerons. La réponse fonctionnelle était sigmoïde (fig. 5).
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3.
In tests under controlled conditions Anopheles albimanus and A. stephensi were caught in significantly greater numbers by a 4-watt ultraviolet trap with a fan-generated updraft air stream than by a similarly equipped trap with a conventional downdraft air movement. Elevation in the test chambers also affected the traps' performance, which was best near the ceiling, poor near the floor. Mesh size of the hardware cloth screens on the traps influenced only the catches of A. albimanus females. Survival in both traps was improved by reduced air flow. This was accompanied by a marked decrease in total captures by the downdraft trap, but with the updraft model, capture levels were maintained despite substantial reduction in air velocity. The updraft trap therefore showed greater potential for recovery of live specimens. Observations of the mosquitoes' flight behavior near the traps offer an explanation for the superiority of the updraft principle.
Résumé Deux pièges à lumière ultraviolette sont comparés dans leur efficacité pour la capture des adultes Anopheles a.bimanus et A. stephensi en essai au laboratoire. Chaque trappe se compose d'une lampe BLB 4-watt fixée à une extrêmité d'un conduit de métal, l'autre extrêmité s'ouvrant sur une cage de grillage, cependant qu'un aspirateur (moteur 6-volts DC) placé dans le conduit fournit le courant d'air pour attraper les insectes. Dans un premier type de piège l'aspiration de l'air entraîne les insectes vers le bas dans la cage de grillage (downdraft trap), dans un second type les insectes sont au contraire tirés de bas vers le haut avec le courant d'air (updraft trap).Les tests ont été effectués dans les chambres à parois blanches de 1.8 m de côté. Les lampes BLB sont disposées à trois niveaux: (a) le plus haut à 20 cm sous le plafond: (b) le plus central à 91 cm au-dessus du plancher; et (c) le plus bas, 52 cm au-dessus du plancher. Tous les essais ont montré que le piège lumineux du type updraft était le meilleur pour la prise des adultes âgés de 5 à 6 jours. Les pièges disposés sous le plafond ont donné les meilleurs résultats.La survie des insectes capturés était meilleure dans le piège de type downdraft, pour une aspiration de l'air à une vitesse de 171 m/min. En réduisant le voltage à 5 ou 4 volts, la vitesse du courant d'air d'aspiration se réduit à 137 et 110 m/min et on observe une forte amélioration de la survie des insects capturés dans le piège updraft, sans qu'il y eut réduction du nombre des insectes capturés. Mais ce n'est pas le cas avec le piège de type down-draft pour lesquels le nombre des captures se trouve réduit avec diminution du voltage.Les observations du vol des moustiques autour des trappes permettent d'expliquer la supériorité du piège de type updraft.
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4.
Samples of males and females of G. pallidipes and G. fuscipes were collected at Lugala, Uganda, by seven different methods. There were marked differences between the infection rates of the various samples. In the case of G. pallidipes the differences in infection rate were closely associated with differences in mean age of the samples, but in the case of G. fuscipes the agreement was less close.
L'influence de la methode d'echantillonnage sur les taux d'infection a trypanosome des Glossina pallidipes et G. Fuscipes capturees
Résumé Des échantillons de Glossina pallidipes et G. fuscipes des deux sexes ont été récoltés à Lugala, Uganda, sur un buf en marche, sur un buf à l'arrêt, sur un véhicule se déplaçant lentement, dans des pièges, au repos, sur des hommes à l'arrêt, et sur des hommes en marche. Les nombres obtenus par les 7 méthodes sont indiqués mais le principal intérêt réside dans leurs taux d'infection.Pour les deux espèces il y eut des variations considérables entre les taux d'infection des échantillons recueillis et beaucoup de ces différences étaient persistantes sur plusieurs répétitions. Les femelles de G. pallidipes capturées sur les bufs et dans les pièges étaient plus infectées que celles capturées sur l'homme, sur le véhicule et au repos. Les mâles au repos de cette espèce avaient un taux d'infection élevé constant, tandis que les mâles capturés dans les pièges avaient le taux d'infection le plus élevé durant les premières captures et le plus bas durant les dernières captures. Les différences dans le taux d'infection étaient en liaison étroite avec les différences correspondantes dans l'âge moyen. Parmi les échantillons de G. pallidipes capturés sur bufs, et dans les pièges, les femelles avaient constamment un taux d'infection plus élevé que les mâles, tandis que parmi les captures sur le véhicule, sur l'homme, et chez les mouches au repos, les mâles avaient le taux d'infection le plus élevé.Les femelles de G. fuscipes capturées sur l'homme, et au repos avaient, avec une exception, des taux d'infection constamment plus élevés que celles recueillies par d'autres méthodes. Les mâles de cette espèce capturés buf au repos, sur véhicule et au repos avaient des taux d'infection constamment plus élevés. Le rapport entre l'âge moyen et le taux d'infection des différents échantillons était moins étroit que dans le cas de G. pallidipes.
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5.
Résumé La production des castes, notamment des nymphes, futurs imagos ailés et des ouvriers chez leReticulitermes lucifugus est soumise à un cycle biologique annuel. L'auteur montre que dans les colonies naturelles les nymphes apparaissent quelques semaines après l'essaimage des jeunes imagos, vers la fin du printemps en une fois et en grande quantité. Elles se développent pendant l'été et arrivent en automne à l'avant-dernier ou même au dernier stade avant la mue imaginale. En hiver le développement de la colonie est normalement arrêté par le froid. Au début du printemps les nymphes se transforment en imagos et quittent la colonie. Pendant le repos hivernal les sexuées femelles accumulent beaucoup de corps gras et, au moment où les grandes nymphes se transforment en imagos, une ponte massive se produit dans le nid. Après la disparition des imagos la colonie voit son potentiel nutritif considérablement augmenté, puisqu'il n'y a plus de nymphes à nourrir. Pour cette raison les larves, à leur tour bien alimentées, peuvent se transformer en nymphes. Celles-ci, par leur croissance et leur constant besoin de nourriture, abaissent de nouveau le potentiel alimentaire. En conséquence de cette baisse, les larves qui apparaissent pendant l'été et l'automne sont mal nourries et donnent des ouvriers.Si les colonies deReticulitermes l. santonensis ont leur nid dans une maison bien chauffée en hiver, comme c'est le cas dans quelques immeubles de La Rochelle, lecycle annuel peut se transformer encycle semestriel. Les nymphes formées au printemps arrivent à l'état imaginal en automne et essaiment alors. Quand ils quittent la colonie un nouveau cycle commence qui permet un autre essaimage cinq à six mois plus tard, au printemps.L'auteur suppose que le facteur climatique et le facteur alimentaire jouent le rôle principal dans la formation des nymphes et dans le cycle biologique des Termitières.  相似文献   

6.
Experiments examined the effects of no-tillage (NT) and conventional-tillage (CT) and increased soil moisture (irrigation) on southern corn rootworm (SCR), Diabrotica undecimpunctata howardi Barber (Coleoptera: Chrysomelidae), oviposition and survival and SCR below-ground predators in peanut (Arachis hypogeae L.) agroecosystems. No-tillage systems without irrigation had significantly greater soil moisture than CT systems without irrigation in 1987, but not in 1988. Both moist soil and the presence of an organic residue increased the number of southern corn rootworm eggs in a system. The same 17 species of predatory arthropods were found in all systems. However, their activity in the top 10-cm of soil which increased in NT systems, determined how effective they were as predators. Only 7 predators significantly reduced SCR immature stages, and of these 7, only one, Formicidae, preyed on all stages of SCR. Southern corn rootworm first instars and eggs had the greatest overall percent mortality, with second and third instars the lowest. Peanut yields and pod quality were equal between NT and CT systems. Overall return per ha showed NT, no-irrigation systems with the greatest return. Abiotic parameters dominated SCR survival in CT systems, while biotic parameters had the greatest influence on SCR survival in NT systems.
Résumé Des expériences ont été entreprises pour examiner l'influence de labours classiques ou de leur absence et de l'augmentation de l'humidité du sol (irrigation) sur la ponte et la survie de D. undecimpunctata howardi Barber (Coleo. Chrysomelidae) et sur ses prédateurs souterrains dans des agrosystèmes à arachide. L'humidité du sol s'est montrée significativement plus élevée dans les parcelles irriguées pendant les deux années, 1987 et 1988, mais, en 1987 et non en 1988, l'humidité du sol a été significativement plus élevée dans le sol non labouré pourtant non irrigué que dans le sol labouré et irrigué. La présence de sol humide et de résidus organiques augmente le nombre d'ufs émis. Les mêmes 17 espèces d'arthropodes prédateurs dateurs souterrains ont été rencontrés dans toutes les sols non labourés et parfois dans les sols labourés irrigués; leur activité détermine leur efficacité comme prédateur. 7 espèces réduisent les effectifs de larves, mais une seule d'entre elles, une Formicidae, (Lasius spp. et Pheidole spp.) s'est révélée prédatrice de tous les stades de la chrysomèle. La plus forte mortalité de D. u. howardi a été observée sur les ufs et les larves de premier stade, la plus faible sur les larves de deuxième et troisième stade. La récolte et la qualité des arachides sont identiques avec ou sans labour. Ainsi, la rentabilité financière par ha était supérieure dans les systèmes sans labour non irrigués. Il découle de cette étude que les paramètres physiques dominent la survie de la chrysomèle dans les systèmes avec labour, tandis que les paramètres biologiques influent le plus sur la survie dans les systèmes sans labour.
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7.
Sommaire Dans le présent travail, sont examinées les associations des plantes ammophiles qui se rencontrent sur les côtes d'ouest du Péloponnèse (voir la carte du texte).Ces côtes sont les plus favorables à la formation des dunes de sable, car, d'une part elles sont plus ou moins escarpées et par suite plus exposées aux vents sud-ouests qui régnent à cette région, et, d'autre part, on rencontre dans cette région les trois facteurs qui sont nécessaires pour la formation des dunes, le vent, le sable et les plantes, qui constituent, d'après Kühnholtz-Lordat (1923) le trinôme dynamique. Les géophytes à rhizome, Ammophila arenaria, Agropyrum junceum ssp. mediterraneum, Galilea mucronata, et Sporobolus pungens, qui sont considérées comme espèces à grand géodynamisme positif sont très abondantes tout le long du cordon littoral de la plage (Tableaux I–III).La classe Cakiletea maritimae est représentée dans cette région par les associations Salsola Kali — Xanthium strumarium Oberd. et Tx. 1950, et Anthemis Muenteriana —Salsola Kali. La première a été trouvée pour la première fois par Oberdorfer (1952) sur les côtes de la Grèce du Nord et a été classifiée par Oberdorfer et Tüxen (1950), tandis que, la seconde, qui n'a pas été trouvée ailleurs, peut-être considérée comme une nouvelle association des plantes.Les associations de la classe ci-dessus sont rencontrées sur les côtes ou les baies abritées du vent et particulièrement aux endroits où il existe une quantité suffisante d'humus et des débris végétales. L'association des plantes Salsola Kali — Xanthium strumarium est plus nitrophile que la seconde et se rencontre sur les régions les plus basses du rivage, où s'est accumulée une quantité suffisante d'humus et des débris végétaux. Ces derniers proviennent, le plus souvent, des espèces Zostera marina, Posidonia oceanica, Arundo Donax et d'autres. L'association des plantes Anthemis Muenteriana — Salsola Kali est moins nitrophile que la précédente et se rencontre sur les dunes basses d'une hauteur de 0.50–1.50 m qu'elle recouvre; ces dunes sont parallèles au rivage. Cette association apparaît le plus souvent dans sa phase optimale. Aux endroits où la quantité d'humus et des débris végétaux est moindre, apparaît l'association Agropyretum mediterraneum dans sa phase initiale (Tableau I et Photos 9–10).L'association Agropyretum mediterraneum apparaît principalement sur les dunes d'une hauteur de 1 à 2 m, sauf dans très peu de cas (Tableau II). La phase optimale de l'association Agropyretum mediterraneum se rencontre sur les dunes d'une hauteur de 1.50 à 2 m. Ces dunes se trouvent aux endroits où la côte est plus escarpée et par suite plus exposée aux vents sudouests, comme sont, par exemple, les côtes de la région Kaïafa (Photos 15–17). La phase optimale de cette association se caractérise par une abondance des espèces caractéristiques et par l'abondance des représentants des géophytes à rhizome, comme les espèces Agropyrum junceum ssp. mediterraneum, Galilea mucronata, et Sporobolus pungens (Tableau II, nos 1–6).L'association des plantes Ammophiletum arundinaceae se rencontre sur les dunes dont la hauteur dépasse les 2 mètres. Ces dunes se trouvent aux endroits où la côte est plus exposée aux vents sud-ouests, comme sont les côtes de Petrochori et de la région Zacharo. Cette association apparaît dans sa phase optimale, et sur des dunes qui sont bien développées et dont la hauteur, est à partir de 2.5 m et peut atteindre les 15 m (Tableau III et Photos 19–23).L'association bien connue Crucianelletum maritimae qui se rencontre sur les dunes stabilisées des côtes ouests de la Mediterranée, est représentée dans cette région par l'association des plantes Euphorbia terracina — Silene nicaeensis. Cette association représentative se devéloppe sur les dunes stabilisées de la région explorée. Leur hauteur varie, entre 4 et 11 mètres. Elle apparaît comme une association des plantes typiques avec 2 variantes, celle de Rumex bucephalophorus et celle de Centaurea sphaerocephala, et aussi comme les sous-associations Chondrilla juncea — Scolymus hispanicus et Trifolium scabrum —Nigella aristata (Tableau IV et Photos 24–26).En général les associations des plantes ammophiles se rencontrent sur les côtes ouests du Péloponnèse dont le sol est constitué, dans sa plus grande partie, par du sable d'un gros moyen ou moyennement fin.Les associations de la classe Cakiletea maritimae et l'association des plantes Agropyretum mediterraneum se développent sur des endroits où le sol est constitué d'une grande partie, en sable gros (Fig. 4 et 5). Entre eux, les plantes de la classe Cakiletea maritimae se développent sur un sol qui contient, en outre, une assez grande quantité d'humus et des débris végétaux, tandis que, pour l'association Agropyretum mediterraneum, les élements ci-dessus peuvent exister en une très petite quantité ou ne pas s'y trouver.Le sol, sur lequel se développent les associations des plantes Agropyretum mediterraneum et Ammophiletum arundinaceae est différent du sol propre à l'association Euphorbia terracina — Silene nicaeensis, car, dans le premier cas, celui-ci se constitue, en principal d'un sable d'un gros moyen, tandis que, dans le second cas, d'un sable moyennement fin (Fig. 5).Pour tous les sols, propres au développement des associations ammophiles des côtes du Péloponnèse, ou a une abondance de CaCO3. Malgré le fait que l'analogie de CaCO3 varie, a partir d'un pourcentage moyen jusqu'à une grande quantité, l'evolution de la végétation dans ces différentes phases, ne dépend pas de cette quantité.La réaction de ces sols varie, pour la plupart, entre 6.65 et 8.20 (Tableaux 10–14).  相似文献   

8.
Under midsummer photoperiod regimens (16: 8 LL: DD with 1,5 hr simulated crepuscular periods), the Balloki, Pakistan strain of Culex tritaeniorhynchus Giles mated synchronously during the simulated dusk and to a lesser extent dawn periods. Swarming and pairing commenced on the second night of life and was stimulated by the gradual transition in illumination from light to dark; abrupt changes such as the turning-off of either fluorescent or incandescent lights in an environmental chamber inhibited mating. Males swarmed readily at illuminations less than 250 lux, but female participation was apparently inhibited until the illumination dropped to between 20 and 8 lux.Males mated with an average of 5.2 sexually mature females during their lifetime. Most mating activity occurred before the males were 4 days old, but mating continued throughout the lifetime with periods of mating activity followed by rest periods and subsequent renewed mating activity.
Résumé Au Pakistan, l'essaimage et (ou) l'accouplement de Cx. tritaeniorhynchus dans les champs reste mystérieux. Aussi, une série d'expériences de laboratoire a été réalisée pour étudier le comportement sexuel des mâles de Cx. tritaeniorhynchus. Les accouplements, mesurés par le nombre de femelles inséminées quand elles cohabitent avec les mâles pendant des périodes déterminées, se produisaient synchroniquement au moment de la simulation de l'aube et du crépuscule. Il n'y en avait pas pendant la scotophase et la photophase.L'essaimage et l'appariement ont été observés avec des lanternes rouges pour des adultes d'âges différents sous le régime d'éclairement de l'insectarium (16/8 LL/DD avec 1.50 h d'aube et de crépuscule). Les essaims se formaient avec le début du crépuscule et cessaient au début de la photophase. La lumière rouge était perçue par les adultes et interferait avec le rythme et le comportement sexuel normaux entrainant les mâles à essaimer et à s'apparier au cours de la scotophase. Les couples ont toujours été formés au cours du vol en relation avec l'accroissement de l'activité de vol du mâle. Une modification graduelle de l'illumination est nécessaire pour induire l'accouplement: des changements abruptes réduisent significativement l'activité copulatrice.Quand des mâles fraichement éclos cohabitent avec des groupes de femelles vierges, sexuellement mûres, leur activité copulatrice maximale avait lieu avant 4 jours. Le nombre de femelles inséminées par mâle et le nombre de mâles copulant par jour diminuent avec l'âge des mâles, bien que les accouplements s'observent pendant toute la vie des mâles. D'une façon surprenante, des périodes d'accouplement sont suivies par des périodes de repos, suivies à nouveau par de nouvelles périodes d'activité sexuelle, ce qui laisse penser que des mâles sexuellement épuisés sont capables de renouveler suffisamment le stock de spermatozoïdes et (ou) les substances mâles annexes nécessaires à un accouplement ultérieur.
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9.
Mayaudon  Jacques  Simonart  Paul 《Plant and Soil》1958,9(4):367-375
Conclusions Par l'emploi de substrats radioactifs, il a été possible de montrer que le glucose, le ray-grass tel quel, la fraction soluble, les hemicelluloses et la fraction cellulosique du ray-grass ne sont pas, dans les conditions expérimentales appliquées, entièrement transformés en CO2 dans le sol après une période de deux mois.La décomposition du glucose est plus rapide que celle des hemicelluloses et celle-ci est plus rapide que celle de la fraction cellulosique. Pour le glucose et pour la fraction cellulosique, 11% et 15% respectivement ne se retrouvent pas sous forme de C14O2 tandis que pour la fraction soluble, pour les hemicelluloses et pour le ray-grass tel quel, c'est près de 20% qui ne sont pas oxydés en CO2.La décomposition de chacun de ces substrats radioactifs donne encore lieu à la production de produits organiques radioactifs que l'on trouve dans la fraction des substances solubles, dans la fraction groupant l'- et le -humus et dans l'humine. La radioactivité de cette dernière fraction est du même ordre de grandeur que la somme des deux autres fractions.Travail effectué sous les auspices de l'Institut pour l'Encouragement de la Recherche Scientifique dans l'Industrie et l'Agriculture (I.R.S.I.A.).  相似文献   

10.
Naive and experienced females of Ephedrus californicus Baker (Hymenoptera: Aphidiidae) were tested for their ability to discriminate between parasitized and unparasitized pea aphids, Acyrthosiphon pisum (Harris) (Homoptera: Aphididae). Attacks lasting 6 s generally resulted in oviposition; the average length was 11.8 s. The proportion of parasitized aphids that was rejected varied with the interval length between attacks. It is suggested that host discrimination is time-dependent and can be induced by a pheromone-like external marker left by a first-attacking female (0–9 h), or by changes in host quality associated with parasite development ( 14 h). Experienced, but not naive, females responded to the external marker, which became less effective with time. In superparasitized aphids, the older of two E. californicus larvae usually eliminated a younger competitor; but younger larvae survived under certain conditions. Mechanisms for the elimination of supernumerary larvae varied with the relative developmental stage of the competitors and included physical combat and physiological suppression. Host instar had no effect on larval competition or the female's ability to discriminate.
Résumé L'aptitude à choisir entre Acyrthosiphon pisum Harris (Hom. Aphididae) parasités ou non a été examinée chez des femelles nouvelles ou expérimentées d'E. californicus Baker (Hym. Aphidiidae). Les attaques durant 6 s étaient généralement suivies de pontes; la durée moyenne d'une attaque était 11,8 s. La proportion de pucerons parasités refusés, variait avec le laps de temps écoulé entre des attaques. Les femelles nouvelles aussi bien qu'expérimentées rejetaient généralement les pucerons contenant les stades les plus âgés de parasites (13–15 h). Cependant, seules les femelles expérimentées évitaient de pondre dans des pucerons attaqués par une autre dans les 9 h précédentes. Quand des femelles expérimentées pouvaient choisir entre 20 pucerons parasités et 20 pucerons sains, en moyenne 73% des 20 premières attaques étaient sur pucerons sains pour des intervalles 9 h. Des attaques non suivies de pontes, c'est-à-dire durant 5 s, n'intervenaient que pour 3% parmi toutes les premières attaques sur pucerons sains; ces attaques atteignaient ultérieurement 17% pour les pucerons sains et 40% pour les parasités.On en a déduit que la sélection des hôtes est temporelle et peut-être induite par un marqueur externe type phéromone, laissé par la lère femelle attaquante (0–9 h), ou par un changement dans la qualité de l'hôte lié au développement du parasite. Les femelles expérimentées, et non les nouvelles, répondaient au marqueur externe, dont l'efficacité diminue avec le temps.Chez les pucerons superparasités, les mécanismes pour l'élimination des larves en surnombre ont varié avec le stade larvaire des compétiteurs, ils comportaient un combat physique et une suppression physiologique. La larve de E. californicus la plus âgée éliminait généralement une compétitrice plus jeune. Cependant les larves les plus jeunes ont survécu dans certaines conditions; c'est-à-dire quand les premiers stades mandibulés luttaient contre les 2e et. 3e stades sans mandibules. Le stade de l'hôte était sans effet sur la compétition ou sur l'aptitude au choix des femelles.
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11.
The main permanent habitats of the Red Locust (Nomadacris septemfasciata (Serv.)) in tropical Africa lie between latitudes 7° and 9° S and between 10° and 16° N. Breeding is confined to the rainy season, which occurs during the longest days of the year in these areas. Both north and south of the equator, the adults emerge as day-length is diminishing and undergo a prolonged imaginal diapause until the next rainy season.When reared in the laboratory in London, adults which emerge in spring or early summer become sexually mature within two months; those which emerge in late summer and autumn, although kept at the same temperature and humidity, enter diapause and do not copulate or oviposit until the following spring. By controlling the length of the daily photoperiod, it has been shown that the seasonal differences in day-length are responsible for the onset of diapause. Constant short photoperiods usually induce a rather shorter diapause than photoperiods diminishing so as to simulate autumn day-length at this latitude (51.5° N). The critical constant photoperiod for the establishment of diapause lies between 12 and 13 hours which corresponds approximately to maximum and minimum day-lengths at 7° N or S. It is therefore possible that day-length is responsible for the establishment of the natural diapause.
Resume On a déjà constaté que, quand on élève le criquet rouge, Nomadacris septemfasciata (Serv.), au laboratoire à Londres, les adultes, malgré le fait qu'on les retient dans une ambiance très constante, montrent de grandes différences saisonnières dans la durie du développement qui conduit à la maturité sexuelle. Les adultes qui émergent à partir du mois d'avril jusque'au mois de juillet deviennent matures sexuellement sans diapause en 11/2 à 2 mois; tandis que ceux qui émergent au début de l'automne, à partir de la mi-août approximativement jusqu'à la fin de septembre, ont une diapause prolongée de 7 à 8 mois; et ceux qui émergent encore plus tard dans l'année, du mois d'octobre jusqu'à mi-décembre, ont une diapause plus courte de 41/2 à 51/2 mois. Les périodes de maturation des adultes qui émergent à partir de janvier et plus tard, diminuent progressivement, en se fondant dans les groupes des non-diapause, qui commencent à émerger au début d'avril. Les expériences exposées dans cette thèse indiquent que les différences saisonnières de la longueur des jours, sont responsables des temps de maturation.Certains groupes de criquets, émergeant comme adultes vers la fin de l'été ou en automne, ont été soumis à des journées de longueur artificielle qui correspondait à la durée des jours de printems qui n'exerce son influence que sur la vie adulte, suffit à produire ce dans les délais semblables à ceux des groupes qui émergent au printemps. La longueur des jours de printemps qui n'excerce son influence que sur la vie adulte, suffit à produire ce résultat.Quelques larves étaient élevées simultanément dans les conditions d'une durée artificielle des jours du printemps, d'une durée artificielle des jours d'automne, et d'une lumière naturelle des jours d'été à Londres. Les adultes qui avaient émergé au mois de juin étaient ou maintenus dans le même régime de longueur de journée que les larves, ou transférés dans une des autres conditions. Tous les temps de maturation étaient appropriés aux saisons qui correspondaient au régime de durée du jour auquel les adultes étaient retenus, et il n'y avait nulle évidence qu'ils étaient influencés par la durée des jours pendant leur vie larvaire.Les groupes diapause, quand ils étaient soumis à la lumière normale du laboratoire, sont devenus matures, au printemps, au moment où les jours s'allongeaient. Pourtant la maturation n'est pas due à la stimulation causée par un accroissement de la longueur du jour, car on à observé qu'elle arrive en même temps si les criquets ne la subissent pas. Ceci est vrai également à l'égard des deux groupes, celui de longue diapause (qui émerge au début de l'automne) et celui de courte diapause (qui émerge vers la fin de l'automne); il s'ensuit que la diapause plus courte du dernier groupe n'est pas attribuable, comme il semblait probable, au fait qu'on l'avait exposé à la longueur des jours du printemps plus tôt dans la vie adulte. On a trouvé que ces groupes de la dernière partie de l'automne étaient devenus matures dans le même temps s'ils étaient retenus aux courtes photo-périodes constantes de 8 ou 11 heures, ou à la durée changeante des jours d'hiver. On a conclu qu'ils répondent comme à la durée de constants jours courts.Les groupes intermédaires (qui émergent à partir de janvier jusqu'a mars) d'autre part, sont exposés aux jours plus longs du printemps et de l'été encore plus tôt dans la vie adulte, et dans leur cas la diapause est empêchée, ou au moins abrégée, par les jours plus longs. Quand ces groupes sont retenus aux constantes photo-périodes courtes, ils deviennent matures plus lentement que s'ils étaient maintenus à la lumière du jour, et ils ont une diapause de la même longueur que les groupes de courte-diapause.On a conclu de ces résultats que, quand les groupes sont retenus dans conditions de jours-courts, les processus de maturation (manifestés par un accroissement du poids du corps, et par le développement de l'ovaire) sont repris à un certain stade indépendamment de la longueur du jour et sous l'action de stimuli internes. L'exposition aux conditions de jours longs n'est effective que pour accélérer la maturation si elle a lieu avant que ce stade soit atteint.L'observation que les adultes émergeant au début de l'automne ont une diapause plus longue que ceux qui émergent vers la fin de l'automne, reste sans explication. Ceux-là sont exposés à la durée de jours qui décroissent rapidement pendant la vie larvaire et du commencement de la vie adulte, et il semble probable que le changement propre des jours longs aux jours courts puisse amener une diapause plus longue que ne le feraient des jours courts dès le début. A présent, on étudie les effets de la variation de durée des jours.Les adultes retenus dans l'obscurité constante sont devenus matures sans diapause.La grande fluctuation de la longueur des jours, caractéristique de la latitude de Londres, n'est pas nécessaire pour induire les deux types de maturation diapause ou non-diapause. Les plus grandes différences de réponse aux photo-périodes constantes ont eu lieu entre les moyennes correspondant à peu près avec les minimum et maximum de longueurs de jour (y compris les périodes de crépuscule) dans les habitats tropicaux du criquet.Il est discuté ici de la probabilité que le cours de la diapause dans l'habitat tropical naturel soit influencé par la faible fluctuation des longueurs de jour de cet habitat.


The author is Mrs O. W. Richards  相似文献   

12.
Endoproteinase activity was confined to luminal fluid from anterior and posterior ventricular regions of midguts of larvae of the sweetpotato weevil,Cylas formicarius elegantulus (Summers). Aminopeptidase was found in luminal fluid (18%) but was primarily associated with insoluble fractions from cells of the posterior ventriculus (82%). Depending on substrate, carboxypeptidase activity was about equally distributed between luminal fluid and insoluble fractions from posterior ventriculus cells. Amylase was found in luminal fluid in both the anterior and posterior ventriculus. Five bands of amylase activity were detected on starch zymograms following electrophoresis of whole midgut samples. Three of the amylase bands may be plant-derived. At least two -glucosidases were present, one secreted and one bound to anterior ventriculus cells. -Glucosidase activity was bound to anterior ventriculus cells whereas -galactosidase activity was confined to luminal fluid. -Galactosidase and cellulase activities were found in both luminal fluid and the insoluble cell fraction. Thus, initial digestion of large protein and carbohydrate polymers occurs in luminal fluid in both anterior and posterior ventriculus regions. However, terminal digestion of oligopeptides occurs primarily in the posterior ventriculus while terminal digestion of oligosaccharides occurs in the anterior ventriculus.A 20-fold difference in trypsin-inhibitor concentration was found among five sweetpotato cultivars. Endoproteinases from sweetpotato weevil larvae were inhibited by extracts from the cultivars but cultivars with relatively high concentrations of inhibitor were previously shown to be susceptible to weevil attack in field trials.
Distribution des protéinases et des carbohydrases dans l'intestin moyen des larves deCylas formicarisus elegantulus et réponse des proténases aux inhibiteurs d'Ipomoea batatas
Résumé L'activité endoprotéinase était limitée au liquide de la lumière des régions ventriculaires antérieure et postérieure de l'intestin moyen des larves deCylas formicarius elegantulus Summers. Les aminopeptidases ont été trouvées dans le liquide de la lumière (18%), mais étaient principalement associées avec les fractions insolubles des cellules du ventricule postérieur (82%). Suivant le substrat, l'activité carboxypeptidase était à peu près également répartie entre le liquide de la lumière et les fractions insolubles des cellules du ventricule postérieur. L'amylase, enzyme secrétée, a été observée à la fois dans la lumière antérieure et postérieure. Cinq bandes d'activité amylase ont été révélées sur zymogrammes d'amidon après électrophorèse d'intestins moyens entiers. Trois des bandes d'amylase pouvaient provenir de la plante. Il y avait au moins 2 -glucosidases, une secrétée et une liée aux cellules du ventricule antérieur. L'activite -glucosidase était liée aux cellules du ventricule antérieur, fandis que l'activité -galactosidase était limitée au fluide de la lumière. Les activités -galactosidase et cellulase ont été trouvées à la fois dans le liquide de la lumière et dans la fraction cellulaire insoluble. Ainsi, la digestion initiale des grosses protéines et des polymères de carbohydrates se produit dans le liquide de la lumière dans les régions ventriculaires antérieure et postérieure. Cependant, l'achèvement de la digestion des oligopeptides se produit principalement dans le ventricule postérieur, tandis que la fin de la digestion des oligosaccharides se produit dans le ventricule antérieur.Les concentrations en inhibiteurs de trypsine de 5 cultivars d'I. batatas L. diffèrent de 1 à 20. Les endoprotéinases deC. formicarius elegantulus ont été inhibées par des extraits de cultivars, mais les cultivars avec des concentrations relativement élevées d'inhibiteur avainent antérieurement montré être susceptibles d'être attaqués par le coléoptère dans des essais en champs.
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13.
Résumé Pendant l'essaimage, les imagos ailés deNeotermes tectonae sont attirés en grand nombre par les branches mortes ou les chicots des cimes des arbres de teck (Tectona grandis). Ces parties mortes, pour la plupart d'origine non pathologique, s'observent en abondance dans les plantations serrées, et elles restent attachées aux arbres longtemps, se décomposant peu à peu. Pour établir leur loge, les imagos attaquent très souvent la moelle exposée aux endroits où une partie terminale s'est détachée, ou bien ils transpercent latéralement les branches pourrissantes. Ils n'utilisent que rarement d'anciens forages abandonnés. Les colonies primaires sont saprophages. Leurs galeries initiales suivent le fil du bois et sont tantôt dirigées vers le sommet, tantôt et le plus souvent vers la base des branches, ce qui s'explique peut-être par le plus fort degré hygrométrique des parties basales. Ordinairement, les galeries des colonies juvéniles s'étendent après un ou deux ans dans les parties vivantes de la cime ou du tronc, mais les colonies peuvent subsister pendant trois ans et plus sur le bois mort, atteignant exceptionnellement dans ce milieu la phase de première apparition des individus ailés. On peut trouver jusqu'à six colonies primaires dans la même branche. Bien qu'occupant la même partie limitée d'un arbre et possédant des galeries entremêlées, les colonies peuvent rester séparées très longtemps, du moins lorsque leur nombre n'excède pas deux. Les jeunes colonies vivent côte à côte avec d'autres espèces d'insectes utilisant le bois pourri comme nourriture ou, tels que les fourmis, comme abri. Une fois établies, les colonies paraissent ne subir que peu de pertes à la suite d'influences défavorables ou de prédateurs; chose curieuse, elles ne sont pas recherchées par les pics.

The preparation of this paper has been made possible thanks to a grant received from the Netherlands Organization for the Advancement of Pure Research (Z. W. O.).  相似文献   

14.
Guinea  Emilio 《Plant Ecology》1954,5(1):147-156
Résumé Cette étude vise à faire remarquer la signification, les limites et les caractéristiques du sous-secteur Cantabrique du secteur Ibéro-Atlantique lequel a été proposé pour la première fois dans mon récent travail Geografía Botanica de Santander, Santander, p. 101 (1953).Ce sous-secteur comprend la bande étroite des bords du Nord de la Péninsule Ibérique, limité par la mer Cantabrique et comprenant les provinces de Guipuzcoa, Vizcaya, Santander et la partie Est de la province des Asturies, plus une bande de transition qui, tout le long du versant sud de la Cordillera Cantábrica, suit les limites septentrionales des provinces de Navarre, Alava, Burgos, Palencia, et le coin Nord-Est de Leon.A l'Est, ses limites disparaissent graduellement dans le secteur Pyrénéen, à l'Ouest, il atteint la zone siliceuse des Asturies. Il représente la limite sud de la Province Atlantique.Le climat est humide et tempéré, les hivers sont doux et les étés pluvieux, excepté aux hautes altitudes (au-dessus des 1.000 m). Le relief est très accidenté et montagneux, mais les pics ne dépassent pas les 2.700 m, avec des ruisseaux torrentiels qui rendent possible des innondations comme celles qui ont pris places en automne de 1953. La structure géologique comprend surtout du calcaire du Cretacé avec en plus des grandes masses de dolomites et du calcaire Carbonifère du massif de Picos de Europa. Dans la zone centrale de la Cordillera Cantábrica surgissent quelques rochers du Triassique et d'autres du Jurassique en de petites surfaces. Les terres argileuses et calcaires, très lavées par une pluie intense sont moins répandues (plus nombreuses que les terres siliceuses), avec un pH presque neutre, mais avec des variantes un peu prononcées vers l'acidité (quelques exceptions). Il y a un climax prédominant de forêts du (Quercetum roboris, Fagetum sylvaticae) strictement liées aux pentes des montagnes Cantabres et de Quercetum pyrenaici sur les pentes du sud.Les activités anthropogéniques ont causé la déforestation de la plus grande partie du territoire et ont fait place a un grand développement des landes de l'Uleto-ericetum (Atlantic).Il y a une représentation intéressante du Quercetum ilicis ericetosum sur les bandes de calcaire au-dessous de 800 m. Il est très rare sur les sols siliceux. Les communautés de prairie qui représentent un plagioclimax maintenu par l'homme, éliminent une grande partie de l'Uleto-ericetum que nous avons déjà cité.Il y a des grands champs de maïs et de betteraves à sucre et une extension moindre de céréales et de jardins potagers, et il en resulte une pauvre végétation ségétale et des bords des chemins. Les communautés végétales des plages, falaises, et bords de la mer, celles des mares et des ruisseaux sont très peu développées.On cultive avec intensité le Pinus radiata et l'Eucalyptus globulus. Il reste à exploiter en grand, l'agriculture, les pâturages, et la sylviculture.

Received for publication 15.I.1954.  相似文献   

15.
Résumé Les réponses E.A.G. d'Acrolepiopsis assectella Zell., Lépidoptère Hyponomeutoïdea spécialiste des Allium, montrent une sensibilité à l'odeur de la plante-hôte larvaire A. porrum saine ou attaquée, et à ses composés volatils soufrés spécifiques, toutes odeurs actives dans l'attraction des deux sexes en olfactomètre. Le Ti-P2, le plus abondant et le plus spécifique du végétal est toujours le plus efficace. Ceci confirme le rôle prépondérant des substances allélochimiques soufrées dans la recherche de la plante-hôte. Une réactivité antennaire plus ou moins importante est également enregistrée avec l'odeur de certaines plantes non-hôtes (chou et tomate). L'antenne du lépidoptère est également très sensible à certains produits volatils du complexe odorant vert des végétaux qui sont identifiés dans l'odeur du poireau, le cis-hexen-3-ol-1 le plus actif est aussi le seul à être attractif. Le rôle biologique exact des composés verts et l'interférence de l'odeur complète de la plantehôte avec celle de plantes non-hôtes, telle que la tomate, efficace sur l'antenne et sur le comportement sont discutés.  相似文献   

16.
Ootheca production is here investigated in three species of field-dwelling cockroaches under both field and controlled conditions. Mating is shown to have a significant effect on the length of the pre-oviposition and inter-oviposition periods, fecundity, female longevity and the formation of the ootheca. The occurrence of facultative parthenogenesis is confirmed in Ectobius lapponicus and E. pallidus.
Résumé Les effets de l'accouplement sur certains aspects de la biologie de la reproduction ont été étudiés, pour trois espèces de blattes champêtres du genre Ectobius, à la fois en conditions expérimentales et en conditions naturelles. E. lapponicus et E. pallidus se révèlent être des parthénogénétiques facultatives, bien que ce mode de reproduction entraîne une réduction de la fertilité de ces espèces. Cette parthénogenèse est thélytoque. Quelques ufs non fécondés de E. panzeri se développent partiellement, mais n'éclosent pas. Des différences dans certains aspects de l'oviposition apparaissent chez les 3 espèces entre les femelles vierges et les femelles accouplées. Les périodes de pré-oviposition et d'inter-oviposition sont allongées chez les femelles vierges. La forme des oothèques varie, celles déposées par les femelles accouplées sont plus courtes et plus larges. Des différences spécifiques sont manifestes dans le mode de dépôt et dans le sens de rotation de l'oothèque, ce dernier caractère étant aussi affecté de quelque façon par la copulation. La longévité des femelles vierges est plus grande que celles des femelles accouplées, bien qu'un moindre nombre d'oothèques soit déposé. En général les femelles des trois espèces se comportent de façon semblable dans les conditions expérimentales et en milieu naturel.
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17.
Larvae of Heliothis zea (Boddie) were fed foliage of the resistant wild tomato Lycopersicon hirsutum f. glabratum C. H. Mull (PI 134417) and susceptible L. esculentum (cultivar Walter), either with the glandular trichomes removed or with the trichomes intact. Response variables measured included larval mortality, larval weight, consumption rate (CR), and efficiency of conversion of ingested material (ECI). Resistant foliage was found to contain factors in both the trichomes and leaf lamellae which increased larval mortality, reduced larval weight, reduced CR, and, except in second instars, reduced ECI. Susceptible foliage also contained trichome-based factors which increased larval mortality and decreased weight, as well as CR of second instars and ECI of fifth instars. Implications of these findings for breeding resistant tomato cultivars are discussed.
Résumé La tomate sauvage, Lycopersicon hirsutum f. glabratum C. H. Mull (PI 134417) est fortement résistant à Heliothis zea. Les études préalables ont indiqués que la résistance est associée avec la présence de 2-tridécanone dans les extrémités des poils glandulaires de la tomate sauvage, et que les facteurs dans la lamelle des feuilles sont peut-être impliqués. À déterminer la présence des facteurs lamellaires et à caractériser de plus les facteurs de résistance dans les extrémités des poils glandulaires aussi, nous nourrissions les larves du feuillage résistant de PI 134417 et du feuillage susceptible L. esculentum (lignée Walter) les deux avec les extrémités des poils glandulaires enlèvés ou avec les extrémités des poils glandulaires intacts. Nous mesurions la mortalité des larves, les poids des larves, la taux de consommation relative et l'efficacité de conversion de matière mangé.On se trouvait le feuillage résistant à contenir les facteurs, tous deux dans le feuillage lamellaire et dans les extrémités des poils glandulaires, qui causaient l'augmentation de mortalité, les poids plus basses, la taux de consommation relative plus basse, et, hormis dans le cas des larves en phase deuxième, l'efficacité de conversion réduite. Le feuillage susceptible contenait aussi les facteurs dans les extrémités des poils glandulaires qui augmentaient la mortalité, diminuaient les poids et la taux de consommation relative des larves en phase deuxième, et diminuaient l'efficacité de conversion des larves en phase cinquième. Cettes conclusions indiquent la présence des facteurs de résistance en outre de 2-tridécanone et peuvent fournir les indices à l'identité de ces facteurs.
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18.
Chrysopa nigricornis Burm, exhibits a facultative diapause during the third instar within the cocoon. The first, second, and free-living third instars must experience short-day (LD 12 : 12) for diapause to occur; however, the third instar within the cocoon and the egg appear to have no role in diapause induction. As day-lengths decreased from 13 to 12.5 hours. diapause incidence increased from 50% to 100%, whereas at LD 13.5 : 10.5 no diapause resulted.Diapause ended spontaneously under LD 12 : 12 and after 142 days (s.d.±32) larva-pupal ecdysis occurred. Exposure to long-day conditions (LD 16 : 8) 4 or 6 weeks after the beginning of diapause hastened diapause termination; i.e. larval-pupal ecdysis occurred in about 40 days. Apparently during the first 6 weeks of diapause under short-day, little or no diapause development took place.It seems that the short days of late summer-early fall, which act on the three free-living instars, initiate diapause and that subsequent to diapause development, which occurs under short-day conditions, the insect's temperature requirements and temperature summations govern the rate of development and the proper timing of ecdysis in the spring.
Résumé Chrysopa nigricornis qui est prédateur à la fois à l'état larvaire et à l'état adulte, hiverne sous la forme de larve de 3ème stade à l'intérieur du cocon. Une alimentation à base de Myzus persicae assure le développement et la reproduction de cette espèce, tandis que les Pucerons desfèves se révèlent impropres. C. nigricornis montre une diapause facultative induite par des jours courts (LD 12 : 12) agissant sur le premier, le second stade larvaire ainsi que sur la phase libre du 3ème stade. L'exposition d'un quelconque de ces stades larvaires à un jour long (LD 16 : 8) empêche la diapause. Ni le stade uf ni le 3ème stade larvaire inclus dans le cocon ne semblent avoir de rôle dans l'induction ou l'inhibition de la diapause.Les conditions de développement des stades de prédiapause ne sont pas affectées par les régimes de photopériode qu'ils ont subis.Dans les populations de C. nigricornis que nous avons étudiées, et qui proviennent d'Ithaca, New York (42° 27 latitude N) des jours de 13 heures ou moins, provoquaient plus de 50% de diapause, tandis que des jours de 13h.30 ou plus empêchaient la diapause.Sous les conditions d'induction de la diapause (LD 12 : 12), celle-ci se termine spontanément, la mue nymphale du 3ème stade larvaire intervenant 20 semaines après la secrétion du cocon de nymphose. Cependant, si les larves ont subi une LD 16 : 8, la diapause s'achève beaucoup plus tôt, dans un délai de 6 semaines (40 jours) après la secrétion du cocon de nymphose. Durant ces 6 semaines et peut-être plus, peu ou pas développement de diapause ne semble avoir pris place.Nous suggérons que dans la nature les jours courts de la fin de l'été et du début de l'automne agissent sur le ler, le second et le 3ème stade larvaire (phase libre) pour induire la diapause du 3ème stade larvaire inclus dans son cocon de nymphose. Après que le développement de type diapause ait pris place sous l'influence des jours courts, les conditions saisonnières de température et les exigences thermiques de l'insecte interviennent pour régler la vitesse de la morphogénèse et en conséquence le moment même de la mue nymphale.

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19.
The phagostimulant effectiveness of substances used in artificial diets for Schistocerca was assessed by comparing the amounts of faecal material produced by hungry hoppers allowed to feed on filter paper soaked in solutions of the substances with the amounts produced when water alone was used on the paper. Sucrose, glucose and wheatgerm oil caused markedly greater faecal production than distilled water alone. Chlorophyll, carotene, casein, peptone, olive oil, a nutritional salt mixture, a mixture of B vitamins, choline chloride and ascorbic acid were no more effective than water. Aqueous extracts of yeast were generally as effective as sugar but sometimes seemed inhibitory at high concentrations. As growth could occur on diets lacking yeast, sugar and wheatgerm oil, the only dietary components found to have pronounced phagostimulatory properties, it appears that special gustatory stimuli are unnecessary for initiating feeding activity in hungry hoppers. This view was later borne out in experiments in which the amounts of various complete diets eaten and the faeces produced from them were compared. No major differences in feeding attributable to palatability were apparent, but the amounts of food taken were found to be related to differences in utilisability. With both Schistocerca and Locusta, the lower the utilisability of the food the greater the amount eaten and for a range of diets of various utilisabilities, including fresh grass, the values obtained by multiplying the amount eaten (dry weight) by the coefficient of utilisation were similar for each species. It is suggested that in locust hoppers special gustatory stimuli are unnecessary for the initiation of feeding and of minor importance in sustaining it. The amount of food taken appears to be largely regulated by its overall utilisability where food of more or less adequate nutritional composition is concerned, a situation not wholly unexpected in insects able to thrive on diverse food plants.
Resume L'effet phagostimulant des substances employées dans les régimes artificiels pour Schistocerca a éte évalué en comparant les quatités de matière fécale produites par des nymphes affamées auxquelles étaient offertes du papier filtre trempé dans de l'eau ou dans des solutions des substances à expérimenter. Le sucrose, le glucose, l'huile de germe de blé et un extrait éthéré de son ont occasioné une excrétion nettement plus grande que celle produite par l'eau distillée seule. La chlorophylle, le carotène, la caséine, la peptone, l'huile d'olive, un mélange salin, un mélange de vitamines du complexe B, le chlorure de choline et l'acide ascorbique n'étaient pas plus efficaces que l'eau. Des extraits aquex de levure étaient en général aussi efficaces que le sucre, mais quelquefois semblaient inhibiteurs à des concentrations fortes. Le Cerophyll, une spécialité de jus d'herbe qui a amélioré la croissance quand on l'a ajouté à certains régimes artificiels, semblait répulsif à des concentrations fortes et moins efficace que le sucre une fois dilué. Comme les régimes qui manquaient de sucre, de levure ou d'huile de germe de blé, les seules parties constituantes des régimes synthétiques à manifester des effets nettement phagostimulants, étaient au début capables d'entretenir une bonne croissance, il paraît probable que la faim est plus importante que la présence de stimuli gustatifs spéciaux pour déclencher l'activité alimentaire. On a comparé les quantités de nourriture mangée et les faeces produits par des nymphes du 5ème stade de Schistocerca auquelles étaient offertes des régimes artificiels divers ou de l'herbe fraîche. La première intention était de déterminer si un régime synthétique contenant de la protéine non raffinée d'herbe, qu'on avait trouvée supérieure dans des expériences de croissance à un régime analogue qui manquait de la protéine d'herbe, devait sa supériorité à un goût amélioré. On n'a pas découvert de différences importantes au point de vue de l'alimentation dues à des différences de goût, mais on a trouvé que les quantités de nourriture prises étaient liées à des différences considérables d'utilisation digestive. En ce qui concerne le poids sec, l'herbe n'a été utilisée qu'à moitié aussi bien que le régime synthétique tandis que le régime herbe protéine était intermédiaire à cet égard. Ceci a suggéré que la meilleure croissance effectuée en incorporant l'herbe protéine, pouvait se relier avec la diminution d'utilisation. En reformulant un régime synthétique contenant davantage de cellulose pour donner une utilisation digestive de l'ordre trouvé pour l'herbe, on a obtenu une croissance aussi bonne que celle du régime herbe-protéine. Le travail subséquent avec Schistocerca et Locusta a montré que l'utilisation digestive était un élément important qui réglait la quantité de nourriture prise. En général, plus l'utilisation était basse, plus la quantité mangée augmentait, et pour des variétés de régimes de digestibilité différente, y compris l'herbe, les valeurs obtenues en multipliant la quantité mangée (poids sec) par le coefficient d'utilisation étaient semblables pour chaque espèce. Afin d'expliquer ces résultats, il est proposé que des stimuli spéciaux gustatifs ne sont pas nécessaires au déclenchement de l'activité alimentaire chez les nymphes des criquets pélerins et qu'ils sont d'une petite importance dans la sustentation de l'alimentation. Il paraît que la quantité de nourriture prise est en grande partie réglée par son utilisation digestive en ce qui concerne une nourriture d'une composition plus ou moins suffisante, situation qui n'est pas étonnante chez des insectes qui sont capables de se développer sur des plantes diverses.
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20.
Six strains of yeasts were isolated from P. semipunctata larval gut in order to determine their role in insects nutrition. P. semipunctata larvae possess a rich glycosidasic equipment acting on oligosaccharides, heterosides and polysaccharides which is particularly characterized by an activity on hemicellulose. The yeast strains hydrolyze oligosaccharides, heterosides and some polysaccharides, such as starch and pectin, but no activity was detected on cellulose. -Glucosidase was secreted in the medium by all strains except one. B group vitamins were also secreted by the yeasts.
Résumé Six souches de levures ont été isolées du tube digestif de larves de P. semipunctata afin de déterminer leur rôle dans la nutrition de l'insecte. Les larves de P. semipunctata possèdent un riche équipment enzymatique agissant sur les oligosaccharides, les hétérosides et les polysaccharides (en particulier sur les hémicelluloses). Les souches de levures hydrolysent les oligosaccharides, les hétérosides et quelques polysaccharides, tels que l'amidon et la pectine, mais on n'a détecté aucune activité sur la cellulose. Toutes les souches, sauf une, excrètent dans le milieu de la -glucosidase. Enfin, ces levures excrètent également des vitamines du groupe B.
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