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1.
The utilization of carbohydrates by the large milkweed bug, Oncopeltus fasciatus (Dallas), was studied by feeding the nymphs on chemically defined diets and recording the effects of the various sugars on growth, development, survival, and reproduction. The carbohydrate utilization by the early nymphal stages was largely similar to that observed for later ones. The results showed that some dietary carbohydrate is necessary for maintaining O. fasciatus on chemical diets. Arabinose and rhamnose were of poor value, but the insect was able to utilize glucose, fructose, mannose, galactose, sucrose, maltose, trehalose, lactose, turanose, melibiose, raffinose, and melezitose. The degree of utilization for each sugar, however, differed. Glucose promoted best growth and development among monosaccharides, sucrose among disaccharides, and melezitose among trisaccharides. The optimum level of sugar in the diet was around 4%, and a higher or lower concentration (2, 8, 12%) usually reduced growth. Viable eggs were obtained on some of the diets.
Résumé La valeur nutritive de plusieurs glucides pour la punaise de l'asclépiade, Oncopeltus fasciatus, a été déterminée en élevant des larves sur des régimes nutritifs de composition chimique connue. Les effets des sucres sur la croissance, le développement, la longévité et la reproduction ont été établis, et ces effets apparaissent semblables chez les très jeunes larves de même que chez les larves plus âgées. Les résultats indiquent que la présence d'un sucre dans le régime nutritif est indispensable pour la survie de l'insecte. Cependant certains sucres, tels que l'arabinose ou le rhamnose n'ont que peu ou pas de valeur nutritive, tandis que d'autres (glucose, fructose, mannose, galactose, sucrose, maltose, tréhalose, lactose, turanose, mélibiose, raffinose et mélézitose) ont une valeur nutritive variant de faible à élevée. Les sucres qui ont donné les meilleurs résultats sont le glucose, le sucrose, et le mélézitose. La concentration glucidique optimale dans le régime se situe à 4% et une concentration moindre (2%) ou plus élevée (8 ou 12%) ralentit généralement la croissance. Les larves sur certains régimes se sont développées jusqu'au stade adulte et des ufs fertiles ont été pondus.
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2.
Quatorze sucres (D-arabinose, L-arabinose, fructose, galactose, glucose, maltose, manose, mélézitose, mélibiose, raffinose, rhammose, sucrose, tréhalose, xylose) ont été étudiés en fonction de leur consommation, à différentes concentrations, par les stades IV et V de Lambdina fiscellaria fiscellaria Guén. Les indices de consommation mesurés varient avec la concentration de la solution sucrée, à l'exception du D-arabinose qui induit une consommation comparable (t0.05) à 0.5 M, 0.1 M et 0.02 M et ce, pour les 2 stades. Une diminution de la consommation est parallèle à une diminution de la concentration des solutions de galactose et de xylose pour le stade IV, et de sucrose et xylose pour le stade V. La prise alimentaire la plus élevée pour le stade IV est mesurée avec le sucrose aux 3 molarités, tandis que celle du stade V est notée avec le sucrose et le glucose. L'écart entre les indices de comsommation des sucres diminue avec une baisse de la concentration de la solution sucrée pour les 2 stades, créant ainsi de nombreuses interrelations entre les sucres.
Summary Fourteen sugars (D-arabionose, L-arabinose, fructose, galactose, glucose, maltose, mannose, melezitose, melibiose, raffinose, rhamnose, sucrose, trehalose, xylose) at different concentrations were studied with regard to consumption, by the fourth and fifth larval instars of Lambdina fiscellaria fiscellaria Guén. The consumption indices vary with the concentration of sugars, except for D-arabinose which induces comparable consumptions (t0.05) at 0.5 M, 0.1 M and 0.02 M in both larval instars. A reduction in the consumption of sugars parallels decreases of galactose and xylose concentrations for the fourth larval instar, and sucrose and xylose concentrations for the fifth larval instar. According to food intake data, the fourth larval instar prefers sucrose while the fifth larval instar shows increased glucose responses, and even prefers glucose at 0.02 M. The differences among sugar consumption indices decrease when the sugar concentration is reduced.
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3.
The susceptibility of sorghum to the shoot fly Atherigona soccata Rondani, (Diptera: Muscidae) is affected by seedling age and is highest when seedlings are 8–12 days old. This corresponds with high moisture accumulation on the central leaf which is the path of newly hatched larva as it moves downwards from the oviposition site, towards the growing apex. Studies showed that leaf surface wetness (LSW) of the central shoot leaf was higher in 10-day old seedlings than in seedlings of other ages. Similarly, LSW was much higher in the susceptible sorghum genotype CSH 1 than in the resistant genotype IS 2146. Larvae moved faster towards the growing point and produced deadhearts much earlier in CSH 1 than in IS 2146. They also moved faster in 10-day old seedlings than in seedlings of other ages. It was also shown that the leaf surface wetness of the central shoot leaf is a more reliable parameter of resistance than the glossy leaf trait or trichome density.
L'influence de la humidité de la surface foliaire sur le comportement de la mouche des pousses du sorgho
Résumé La sensibilité du sorgho à la mouche des pousses du sorgho, Atherigona soccata Rondani, est liée à l'âge de la plantule. Elle est plus forte lorsque la plantule est âgée de 8 à 12 jours et la sensibilité est maximale à 10 jours. A ce stade de croissance on observe une forte accumulation d'humidité sur la feuille centrale de la tige. Les jeunes larves traversent cette zone humide lorsqu'elles descendent vers la zone de croissance à partir des pontes déposées sur la face ventrale des feuilles déroulées.Des études ont été menées à l'ICRISAT (Inde) sur la relation entre l'humidité de la feuille centrale de la tige des plantules du sorgho et les dégâts provoqués par la mouche des pousses. L'humidité de la surface des feuilles (HSF) a été estimée grâce à une échelle visuelle graduée 1 à 5 où, 1 = pas d'humidité apparente et 5 = surface de la feuille recouverte de gouttes d'eau. La HSF est plus élevée sur des pousses de sorgho âgées de 10 j que sur les pousses appartenant à d'autres classes d'âge. Les valeurs observées sont également plus fortes pour les variétés non résistantes à ce ravageur (CSH 1,4.8) que pour les variétés résistantes (IS 2146, (2)). La vitesse du déplacement larvaire entre le cornet et la zone de la croissance varie en fonction de l'âge de la plante et des cultivars. Les larves migrent plus rapidement vers la zone de croissance et provoquent la mort du coeur du sorgho plus tôt dans la variété CSH 1 que dans IS 2146. Les larves se déplacent plus rapidement dans les pousses âgées de 10 j que dans les pousses appartenant à d'autres classes d'âge.Des études ont également démontré que la HSF n'est pas directement liée au caractère feuille lisse où à la densité des trichomes. La HSF est faible pour les génotypes résistants présentent où non le caractère feuille lisse. Par contre la HSF est élevée pour les génotypes non résistants présentant le caractère feuille lisse ou non. Aucune relation directe entre la densité des trichomes et les dégâts provoqués par la mouche des pousses n'a pu être mise en évidence. L'analyse des correlations établie pour les caractères de surface des feuilles avec la mort du cur des sorghos indique que les correlations sont faibles et non-significatives pour le caractère feuille lisse (0.49) et la densité des trichomes (0.39 et 0.2). Par contre les correlations sont fortes et significatives pour la HSF (0.82).On conclue que la HSF de la feuille centrale de la tige est un facteur important dans le déterminisme de la résistance du sorgho vis à vis de la mouche des pousses. Les relations entre les processus physiologiques de la plante et les facteurs impliquées dans l'accumulation d'eau sur la surface des feuilles font actuellement l'objet d'études détaillées.
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4.
Diets prepared from lyophilized and powdered current-year (1983) shoots of white spruce Picea glauca (Moench) Voss were offered to 6th-instar larvae of spruce budworm, Choristoneura fumiferana (Clemens) (Lepidoptera: Tortricidae). With increasing age of current-year shoots, time to pupation increased whereas survival, assimilation efficiency, efficiency of conversion of diet to moth biomass, and moth dry weight generally decreased. Sex of the larvae influenced amount ingested, time to pupation, and subsequent moth weight but not survival, assimilation efficiency, and efficiency of conversion of diet to moth biomass.
Résumé De la poudre lyophilysée de pousses de l'année de Picea glauca a été introduite dans le régime de chenilles du 6ème stade de Choristoneura fumiferana: 20% de poudre de pousses, 1.2% de gélifiant, 78.8% d'eau. Il est ainsi possible de déterminer à 2 mg près la quantité d'aliment consommée par chaque chenille, et, ainsi, de calculer, pour chacune, l'indice alimentaire, dont la prise de nourriture est l'une des variables. Avec de tels régimes préparés à partie de pousses recueillies au cours de 1983, on a constaté que la date de nymphose, la quantité consommée, et le poids ultérieur des papillons dépendaient du sexe de la chenille. En général, les chenilles femelles se nymphosent plus tard, consomment plus et donnent des papillons plus lourds (poids sec) que les chenilles mâles. L'efficacité de l'assimilation et celle de la transformation en biomasse de papillon ne différent pas suivant les sexes, c'est-à-dire qu'ils ont la même aptitude à digérer les pousses. Les taux de survie de chenille à nymphe et de nymphe à imago ne différent donc pas.Cependant, certains de ces paramètres et d'autres changent en fonction de l'âge des pousses annuelles. Quand elles ont été récoltées 7 jours après le débourrement (il a lieu le 20 mai), la survie jusqu'en nymphe est de 93% contre 74% de survie totale; avec des pousses récoltées 52 jours après le débourrement (11 juillet) les taux de survie sont respectivement 7% et 1.4%; avec des pousses récoltées 146 jours après le débourrement (13 octobre) les survies sont 71% et 50%. Des pousses récoltées 28 jours ou plus après le débourrement, retardent la date de nymphose de 25% par rapport à celles récoltées entre 7 et 14 après le débourrement; parallèlement, elles abaissent l'efficacité de l'assimilation de 39%, l'efficacité de conversion de la biomasse de 125%, et le poids des papillons de 54%. Ces changements sont liés à une diminution de la teneur en azote des pousses de 2.1% à environ 1% du poids sec. Cependant la corrélation entre la survie des chenilles et la teneur en azote n'est pas rigoureuse et un facteur encore inconnu est supposé responsable de l'augmentation de la mortalité quand les chenilles consomment (dans leur régime) des pousses récoltées début juillet, 52 jours après le débourrement. Les travaux destinés à identifier ce facteur inconnu sont en cours.
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5.
Female blowflies (Phormia regina Meigen) which had been fed either sucrose (S flies) or sucrose and yeast (SY flies) were tested for their response to novel odours in an actograph. All responded with an increase in activity. S flies were consistently more responsive than SY flies both in their increase in activity and in the number of different odours to which they responded significantly. S flies found food rapidly over a short distance when they were made active either by a stimulating odour or by mechanical agitation. Olfaction, rather than vision, was demonstrated to be the sense mediating the increase in activity.
Résumé Des effluves de banane, pomme, foie de buf et levure ont été testées en actographe contenant 20 femelles de Phormia regina de 2 à 9 jours. Ces mouches avaient été nourries antérieurement, soit sur sucrose seul à 0,1M (mouches S), soit sur sucrose (0,1M) et 10% de levure (mouches SY). L'activité des mouches croît quand les odeurs sont introduites, mais il en est de même quand le courant d'air pur est changé.L'augmentation de l'activité provoquée par la banane, la pomme, et la levure est significativement supérieure pour les mouches S, à celle provoquée par le changement du courant d'air (Fig. 1). Chez les mouches SY l'augmentation significative est observée avec la banane et la levure (Fig. 2). Les mouches S sont plus actives et répondent mieux que les mouches SY: Une goutte de levure dans un récipient avec des mouches S de 6 jours stimule leur activité et la goutte est trouvée rapidement (16 sec.). Des gouttes d'eau ou de sucrose ne stimulent pas l'activité, et les mouches mettent beaucoup plus long-temps pour les trouver (> 100 sec.). En secouant les récipients pour rendre les mouches actives on obtient une découverte des gouttes d'eau ou de sucrose aussi rapide que la découverte des gouttes de levures par les mouches non perturbées. Des mouches antennotectomisées, non perturbées, mettent 252 sec. pour trouver une goutte de levure, mais des mouches antennotectomisées et agitées artificiellement trouvent les gouttes presqu'aussi rapidement que les mouches normales non perturbées (Fig. 3).
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6.
Larvae of the bean weevil C. maculatus feeding in a single bean apparently respond to vibrations from each other's chewing: one larva feeds normally, the other is inhibited. If the burrows of the larvae intersect, the inhibited larva dies. If the dominant larva pupates or dies without the burrows intersecting, the inhibited larvae then feeds and matures if enough food remains. Since females add second eggs to the largest beans after most beans carry a single egg, competition is most common in the largest available beans, precisely where inhibited larvae can benefit from avoiding a contest.
Résumé Lors de la compétition, les larves réagissent l'une par rapport à l'autre, même lorsque leurs galeries sont séparées. L'une est inhibée, tandis que l'autre se comporte comme si elle était seule. Le signal provoquant ces réactions, qui peut traverser du papier métallique, est dû vraisemblablement aux vibrations de mastication des larves; ces dernières perçoivent ces signaux tout au long de leur vie active. La larve la plus âgée ne l'emporte pas obligatoirement, ce qui signifie que le signal indique plus que l'âge.Les conditions expérimentales peuvent inverser les réponses des unes et des autres, bien que la larve la plus âgée puisse souvent mourir de ces conditions anormales de compétition. L'avantage potentiel associé à l'inhibition du futur perdant est mis en évidence en collant ensemble des graines. Quand la larve dominante se nymphose, la larve inhibée recommence à s'alimenter et achève son développement. En ayant eu son alimentation interrompue et en restant dans une galerie superficielle, la larve inhibée évite les affrontements et peut se développer lorsque la larve dominante meurt ou se nymphose, puisque la galerie de la larve inhibée n'avait pas été sectionnée.La stratégie de ponte réduit la fréquence de la compétition en uniformisant la distribution des oeufs; elle augmente les chances de survie des larves vaincues avec l'addition des oeufs sur les graines les plus grosses quand les disponibilités sont limitées. L'étude de l'évolution de ces adaptations a été possible puisque, comme on le sait, C. maculatus est génétiquement polymorphe pour les caractères déterminant le comportement de ponte des femelles et la compétition larvaire.
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7.
The impact of nodules of Rhizobium on Sitona hispidulus (F.) developmental success was investigated in both laboratory and field situations. In the laboratory, alfalfa (Medicago sativa L.) and red clover (Trifolium pratense L.) were grown with two nutrient solutions, one of which fostered and one of which inhibited nodulation. Neonate larvae were introduced onto the roots and survivorship and development monitored. Survivorship was greatly enhanced by the presence of nodules. Preference tests performed with neonate larvae indicated a strong attraction to root nodules. Field studies which used nitrogen fertilization to delay onset of nodulation in established alfalfa demonstrated that numbers of larvae and emerging adults were significantly lower in the nitrogen treated plots than in the control plots.
Résumé L'influence des nodosités rhizobiales sur le développement et la survie de Sitona hispidulus a été étudiée en intervenant sur la nodulation de la plante. Au laboratoire, la luzerne (Medicago sativa) et le trèfle rouge (Trifolium pratense) se sont développés dans des pièces climatisées sur un substrat de sable/vermiculite et sur deux types de solutions nutritives (l'une avec azote, l'autre sans azote). La présence d'azote inhibe la nodulation des racines inoculées avec du Rhizobium. Des larves néonates ont été placées sur des racines et examinées après plusieurs semaines de croissance. La présence de nodules a eu un effet hautement significatif sur la survie larvaire. De plus, la présence de nodosités a effecté le développement larvaire, en augmentant le taux de développement sur luzerne et en le réduisant sur trèfle. Une expérience destinée à examiner la rapidité d'agrégation des larves néonates sur des racines nodulées ou non, révèle une forte préférence pour les racines à nodosités.Des expériences dans la nature ont permis de retarder la nodulation de la luzerne en dormance pendant l'hiver par apports d'azote; l'échantillonnage des larves et des émergences d'adultes a indiqué une diminution significative des populations dans les parcelles ayant reçu de l'azote.
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8.
Malathion resistance in the German cockroach has been examined with respect to its inheritance pattern and linkage relationship. A resistant strain was crossed reciprocally with an unmarked and two marked susceptible strains. The progeny from F1, F2 and backcrosses were tested for resistance to malathion by exposure to toxicant-impregnated filter paper, and were classified according to marker traits where appropriate. Malathion resistance (R-Mal) is inherited as a simple autosomal dominant trait. Linkage studies showed R-Mal to be independent of or in group IV, pld in group VI, and T(9, 10) Pw marking both groups III and VIII. A possible malathion-resistance mechanism for this insect is discussed.
Résumé La résistance de la Blatte germanique au malathion est réputée se manifester à la fois dans les conditions naturelles et dans les lignées élevées en laboratoire. Dans le présent travail cette résistance est étudiée en vue de déterminer le mécanisme de sa transmission héréditaire et de commencer à établir la carte chromosomique de ce caractère. Une lignée présentant un haut niveau de résistance au malathion est croisée avec une lignée sensible non marquée et avec deux autres lignées sensibles possédant un gêne marqueur. Les descendants de F1, de F2 et des croisements de retour sont testés pour leur résístance au malathion en soumettant les larves à un contact avec du papier filtre imprégné de malathion; ils sont classés en se rapportant aux caractères marqueurs. Les gênes marqueurs utilisés sont or sur le groupe IV, pld sur le groupe VI, et T(9, 10) Pw, marquant à la fois les groupes III et VIII. Les résultats montrent que les descendants F1 provenant de croisements réciproques sont identiques et ressemblent au parent résistant. Cette donnée ajoutée aux résultats concernant F2 et les croisements de retour avec les parents R et S, indique que la résistance au malathion est transmise comme un caractère dominant, monofactoriel et porté sur un autosome, caractère désigné R-Mal. Les études relatives au linkage du caractère R-Mal aves les gênes marqueurs, ont montré l'indépendance de R-Mal. II est suggéré que le mécanisme le plus probable de la résistance au malathion résulte d'une activité accrue de la carboxyesterase.
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9.
Temperature has no significant effect in inducing diapause in B. fusca larvae. Lower temperature than the optimum, however, delayed larval growth but induced no diapause.Diapause in B. fusca was induced largely by the state of maturity and composition of food taken by the larvae. The incidence of diapausing larvae increased with the maturity of the food plants in which larvae were feeding. The carbohydrate, protein and water content of the type of food plants were probably the critical elements associated with the induction of diapause.
Résumé Deux facteurs, la température et la nourriture, ont été étudiés expérimentalement en laboratoire, quant à leur rôle dans le déclenchement de la diapause larvaire de B. fusca.Les résultats montrent, bien que la température de 23°C n'induit pas la diapause, que le développement est cependant retardé. A 28° et 30° la croissance est plus rapide et les larves se nymphosent après 5 à 6 mues.La diapause est largement induite par l'état de maturité et la composition de la nourriture prise par les larves. Le plus faible pourcentage de diapause (24%) s'observe chez des larves nourries avec du maïs âgé de 6 à 9 semaines, tandis que ce pourcentage atteint 76%, 88% et 91% chez des larves nourries respectivement avec des plants de maïs âgés de 8–11, 10–13 et 12–15 semaines.On a aussi établi que les teneurs en hydrates de carbon, en protéïne et en eau, du type de plantes utilisées, étaient probablement les facteurs critiques intervenant dans le délenchement de la diapause.
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10.
The effects of larval crowding on development, survival and size of the African buffalo fly, Haematobia thirouxi potans (Bezzi), were examined in small (10 or 20 g) and 1 000 g masses of cattle dung in the laboratory at 25°C. Dung was infested with fly eggs at densities which ranged from 0.05 to 32.0 eggs per g dung; in most cases 90–100% of eggs hatched. The duration of larval developmentin 10 g dung masses was extended by larval crowding at densities above 0.8 eggs per g dung and the development period with 32 eggs per g dung (11 days) was double that observed in uncrowded dung masses. Both size and survival decreased with increasing larval density, but stunting was observed at lower densities than those which reduced survival and so size was the more sensitive index of the adequacy of the larval environment. The effects of larval crowding became evident at lower larval densities in the 1 000 g dung masses than in the 10 g dung masses. There was a minimum size below which third instar larvae failed to pupariate. The probability of survival was related to pupal size and a high proportion of the smaller individuals failed to eclose.
Effets de la competition intraspécifique sur le développement des larves, la taille des pupes et la survie d'Haematobia thirouxi potans
Résumé Les effets du surpeuplement larvaire sur le développement, la survie et la taille d'Haematobia thirouxi potans, ont été examinés sur de petites quantités de bouse (10 et 20 g) et de plus importantes (1 000 g), au laboratoire à 25°C. Les bouses étaient contaminées avec des oeufs de la mouche à des densités de 0,05 à 32 oeufs par gramme de bouse. Dans la plupart des cas le taux d'éclosion était de 90–100%. La durée du dévelopement larvaire dans 10 g de bouse a été prolongée pour les densités supérieures à 0,8 oeuf per g, et la durée développement pour 32 oeufs per g (11 jours) était le double de celle obtenue grand il n'y avait pas surpeuplement. La taille et la survie diminuent toutes les deux avec la densité larvaire, mais la miniaturisation était observée à des densités où la survie n'était pas modifiée; ainsi la taille est un indice plus sensible de l'adéquation de l'habitat larvaire. Les effets du surpeuplement larvaires deviennent clairs à des densités plus faibles avec 1 000 g de la bouse qu'avec 10 g. Il y a eu une taille minimale endessous de laquelle les larves étaient incapables de former une pupe. La probabilité d'éclosion était liée à la taille de la pupe, et une plus forte proportion de petits individus ne sont pas parvenu à éclore.
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11.
The male blowfly, Phormia regina Meigen shows preference among a variety of natural and artificial foods. In a laboratory study preference was observed among sweet and fermenting juices as well as between liver and fish. The preferences between fresh and fermenting juices were based not only on component sugars, but also on other components, namely, amino acids, alcohol salts and presumably other chemical compounds. The preference between decaying liver and fish was probably based partly on the composition and concentration of amino acids in these foods. A variety of amino acids were found in foods and some of these amino acids were shown to be excitatory, some inhibitory and others neutral. Salts were also observed to be present in the juices; and in a laboratory study NaCl at lower concentrations acted synergestically with 0.1 M sucrose and at higher concentrations repulsive. It is suggested that feeding preference is based on several chemicals which behave either in an excitatory, additive, neutral, inhibitory or synergistic manner. The ratio of excitants to inhibitants is important in deciding the direction of preference.
Résumé P. regina Meigen mâle préfere certains aliments naturels ou artificiels. Au laboratoire ses préférences parmi les jus sucrés sont les suivantes: orange > miel > pomme > sucrose 0.1 M; et parmi les aliments en décomposition: sucrose 0.1 M > foie > poisson. Les jus frais sont préférés aux jus fermentés. Les préférences ne dépendent pas seulement de la nature des sucres, mais aussi des acides aminés, de l'alcool, des sels et probablement d'autres substances chimiques. Le foie contient à la fois le plus grand nombre et la concentration la plus élevée en acides aminés, ce qui explique partiellement le goût pour le foie. Expérimentalement on peut classer les acides aminés en stimulants, inhibiteurs et neutres. Des sels ont été notés dans les jus, mais aucune analyse qualitative et quantitative n'en a été faite. Mélangé à du sucrose à 0.1 M, NaCl agit en synergie aux faibles concentrations, devient neutre à 0.175 M et à des concentrations supérieures le sucrose seul est préféré au mélange avec NaCl. Cependant, un mélange de NaCl à 0.25 M (bien qu'une telle concentration soit peu probable dans des jus végétaux) avec du sucrose à 0.1 M était préféré à l'eau. Il en est déduit que les préférences alimentaires. dans la nature sont orientées par plusieurs substances chimiques qui se comportent d'une façon stimulante, additive, neutre, inhibitrice ou synergique, et que les préférences alimentaires sont relatives. Le rapport de stimulants sur inhibiteurs est important dans la détermination du sens de la préférence.
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12.
The effects on dietary self-selection of phagostimulation and metabolic feedback from nutrients were seperated by using two unusual carbohydrates alone or in combination: mannitol, which is nutritive but not phagostimulatory for H. zea larvae; and sorbose, which is weakly phagostimulatory but not nutritive. Last instar H. zea larvae recognized and responded positively to mannitol by metabolic feedback when it was included in a diet with casein. When offered a choice of two diets, one containing casein but lacking a utilizable carbohydrate and another lacking casein but including either mannitol or sorbose, they did not self-select for either mannitol or sorbose. However, in a similar experiment, in which the carbohydrate diet contained a mixture of mannitol and sorbose, there was a positive response, demonstrating that both metabolic feedback and phagostimulation are required to elicit self-selection.
Résumé Les chenilles d'H. zea peuvent choisir un mélange nutritif optimal parmi deux régimes séparés, répondant à des besoins alimentaires différents. Cette aptitude à l'autosélection pose la question des voies de sélection d'un régime optimal par l'insecte. L'autosélection est probablement réalisée par un feedback métabolique des aliments; la stimulation sensorielle par les aliments pourrait jouer elle aussi un rôle. Notre objectif est de séparer ces deux facteurs et d'en déterminer l'importance relative.Des L 5 venant de muer ont pu s'alimenter sur 2 régimes nutritionnellement complets, mais dont l'un contenait des carbohydrates (sucrose) mais non des protéines, tandis que l'autre contenait des protéines (caséine) mais non des carbohydrates. L'auto-sélection caséine/sucrose a été 81/19; elle correspond à la portion idéale pour le dernier stade des chenilles H. zea établie lors d'expériences antérieures (Waldbauer et al., 1984a). Pour comparer l'importance relative du feedback métabolique et de la stimulation sensorielle, 2 carbohydrates ont été substitués au sucrose, qui est à la fois nutritif et phagostimulant: le mannitol, nutritif mais ne stimulant pas de prise de nourriture, et le sorbose, faiblement stimulant mais non nutritif. Quand elles ont le choix, les chenilles ne sélectionnent ni mannitol, ni sorbose, mais consomment presque exclusivement le régime alternatif à la caséine. Quand sorbose et mannitol sont mélangés et proposés ensemble, la réponse est positive, montrant que le feedback métabolique et la stimulation sensorielle sont impliqués tous deux dans l'autosélection alimentaire.Des expériences en deux étapes d'autosélection ont montré que le feedback métabolique est de première importance. Dans la première, les chenilles avaient le choix entre caséine seule et caséine et mannitol. Les chenilles ont consommé significativement plus d'aliment avec mannitol que sans carbohydrate, bien que les goûts des deux régimes aient du être identiques, puisque le mannitol n'a pas de goût pour H. zea. La caséine a été vraisemblablement assez phagostimulante pour maintenir suffisamment les chenilles sur l'aliment avec mannitol et ainsi permettre au feedback métabolique du mannitol d'influer sur leur maintien sur cet aliment sans en rechercher un autre.Dans d'autres expériences, les chenilles ont eu le choix entre un régime alimentaire classique avec de la caséinne et d'autres n'ayant plus leur caséine mais avec des quantités décroissantes de sucrose. Elles n'ont pas réagi en consommant plus d'aliments avec du sucrose dilué, mais en consommant plus de caséine. Cependant, si du mannitol, pourtant non phagostimulant, est ajouté à des aliments avec du sucrose dilué pour remplacer le sucrose manquant, les chenilles ne compensent plus en consommant plus d'aliments avec de la caséine, mais de la même façon qu'elles le feraient avec un aliment contenant la concentration adéquate de sucrose, montrant qu'elles perçoivent ainsi le feedback métabolique du mannitol, qui est pourtant sans goût.
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13.
The ability of eight antimicrobial food additives to suppress the growth of seven micro-organisms in a chemically defined diet for an insect, Agria affinis auct. nec Fallén, was tested by inoculating a standard number of the microorganisms into the diet and determining the amount of microbial growth and the effects on the rate of growth and survival of the insect. The antibiotics, mycifradin sulfate, streptomycin sulphate, and tetracyn, suppressed the growth of bacteria, and aerosporin suppressed the growth of yeast at concentrations that were innocuous for the insect. Mold inhibitors were less effective, and failed to suppress the growth of a species of Aspergillus. Potassium sorbate suppressed the growth of yeast, bacteria, and species of Penicillium, but only at concentrations that adversely affected the rate of growth and survival of the insect.Antimicrobial compounds that are added to synthetic diets of insects to control contamination by microorganisms must be chosen carefully with due regard for the species of micro-organisms that are responsible for the most serious contamination, for the tolerance of the insect to the effective concentrations of the antimicrobials, and for the nutritional level of the synthetic diet.
Résumé Ce travail montre que les contaminations expérimentales d'un milieu synthétique pour l'élevage axénique des larves d'Agria affinis a des effets défavorables ou nocifs, soit en retardant le développement, soit en provoquant une mortalité des divers stades. L'adjonction d'antibiotiques au milieu d'élevage, peut avec des doses appropriées, éviter les contaminations, sans affecter la croissance ou la survie de l'insecte.Les micro-organismes utilisés pour la contamination du milieu d'élevage sont: 2 bactéries (Serratia marcescens Bizio et Providencia alcalifaciens (De Salles Gomes), 1 levure (Rhodotorula sp.) 4 moississures (Penicillium sp. A, B et C et Aspergillus sp.).Les composés anti-microbiens utilisés sont: 5 antibiotiques (Aerosporin, Sulfate de Mycifradin, Penicilline G potassium, sulfate de Streptomycine, et Tetracyn) 3 mycostatiques (sorbate de potassium, benzoate de sodium et propionate de sodium). La mycifradine, la streptomycine et la tetracyne empêchent bien la développement des deux bactéries testées, l'aerosporine supprime celle de la levure (tout cela à des concentrations non-nocives pour l'insecte). Les mycostatiques furent moins efficaces en particulier contre une espèce d'Aspergillus. Le sorbate de potassium inhibe la croissance de la levure, des bactéries et de Penicillium, mais seulement à des doses qui sont défavorables à la croissance et à la survie de l'insecte. Les micro-organismes semblent exercer leurs effets nocifs en modifiant la consistance ou la valeur nutritive du milieu alimentaire des larves, plutôt qu'en provoquant des infections directes.Le choix des composés anti-microbiens qui peuvent être adjoints à un milieu alimentaire d'élevage pour des larves d'insectes doit donc être réalisé avec soin, en tenant compte d'une part, de leur efficacité réelle sur les germes dont on doit éviter la prolifération, d'autre part, de leur inocuité sur l'insecte aux doses utilisées.
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14.
A. Mirimanoff 《Protoplasma》1953,42(2):250-260
Résumé Le présent travail expose quelles sont les réactions de la cellule végétale lorsque cette dernière est soumise à l'association d'un toxique et d'un « mouillant » (Netzmittel).Les variables sont: la nature de la cellule végétale, celle du toxique et celle du mouillant.Alors que les mouillants cationiques, eux-mêmes toxiques, exercent une simple action additive, les mouillants anioniques révèlent dans de nombreux cas une synergie de toxicité. Celle-ci se manifeste surtout avec les champignons et les bactéries Gram+, les végétaux supérieurs se montrant indifférents. Cette synergie varie également avec la structure moléculaire du mouillant.Les mouillants non ioniques peuvent au contraire exercer une action antagoniste, c'est-à-dire diminuer la toxicité.Ce dernier phénomène se produit dans certains cas à la suite d'une réaction chimique entre le mouillant et le toxique; la nature de la cellule est alors indifférente. Dans d'autres cas, il y a absence de réaction chimique et le phénomène ne se produit qu'avec certains types de cellules (champignons surtout).La nature chimique du toxique joue, dans la synergie, un rôle moins important que dans l'antagonisme.Des hypothèses sont formulées pour tenter d'élucider le mécanisme des cas de synergie et d'antagonisme.  相似文献   

15.
Glucose, fructose, sucrose, raffinose and glucuronic acid were present in both adult froghopper excrement and in sugar cane leaf sap. Melibiose was also present in the excrement but did not occur in the plant sap. Sugars were not recovered in the salivary glands of the insect, but in the haemolymph, glucose, fructose, sucrose and trehalose were determined.Most of the amino acids (alanine, arginine, asparagine, aspartic acid, cysteine/cysteic acid, cystine, glutamic acid, glutamine, glycine, histidine, isoleucine, leucine, lysine, phenylalanine, proline, serine, tryptophan, tyrosine and valine) in the leaf sap were present in the froghopper haemolymph and salivary glands. Nine of these acids also occurred in the excrement of the insect.
Résumé Le glucose, le fructose, le sucrose, le raffinose et l'acide glucuronique se retrouvent à la fois dans les excréments du Cercopide adulte et dans le jus extrait des feuilles de la canne à sucre. Le melibiose est présent dans les excréments de l'insecte mais non dans la sève. Aucun sucre ne fut décelé dans les glandes salivaires de l'insecte mais dans l'hémolymphe on a identifié du glucose, du fructose, du sucrose et du tréhalose.La plupart des acides aminés de l'extrait foliaire (alanine, arginine, asparagine, acide aspartique, cystéine et acide cystéique, cystine, acide glutamique, glutamine, glycine, histidine, isoleucine, leucine, lysine, phenylalanine, proline, sérine, tryptophane, tyrosine et valine) existent aussi dans le sang du Cercopide et dans ses glandes salivaires. 9 de ces acides aminés se retrouvent également dans les excréments de l'insecte.
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16.
The effects of constant temperature (23 °C), food quality (B, natural diet i.e. powdered oak bark; B+C, natural diet enriched with powdered sweet crackers) and season on larval development of the cerambycid Morimus funereus L. were studied. The temperature of 23 °C exerted an unfavourable effect on larvae collected from oak stumps in September and bred on B; i.e. the larvae died within 30 days. When the larvae consumed B+C the unfavourable effect of temperature was abolished and the larvae increased their weight by 543%, 897% and 1179% in 1, 2 and 3 months, respectively. Newly hatched summerand winter-larvae developed successfully on B+C, while all the winter-larvae died within 40 days on B. Larvae of an identical parentage hatched in different phases of the annual cycle and showed seasonal differences in the rate of development and survival when reared on B+C at 23 °C. The fastest development and the highest survival rate were observed in larvae which emerged in early- and midsummer, whereas the slowest development and the lowest survival rate were in those hatched in late summer. The synchronized seasonal changes of adults and their offspring, as expressed at different levels of biological organization, suggest the existence of an endogenous annual rhythm which is dependent upon the expression of different genes in the course of the annual cycle.
Résumé L'étude a porté sur les effets d'une température constante (23 °C), de la qualité de l'aliment,-B = aliment naturel, c'est-à-dire de l'écorce de chêne pulvérisée; B+C = aliment naturel enrichi avec de la poudre de biscuits sucrés-, et de la saison sur le développement larvaire de M. funereus L. La température de 23 °C a été défavorable aux larves récoltées en septembre dans des souches de chênes et élevées sur aliment B: les larves étaient mortes en 30 jours. Avec aliment B+C, l'effet défavorable a été neutralisé et le poids des larves augmenté de 543%, 897% et 1179% en 1, 2 et 3 mois. Des larves néonates d'été ou d'hiver se sont bien développées sur B+C, mais toutes les larves d'hiver étaient mortes sur B en 40 j. Des larves de mêmes parents, écloses à différentes époques de l'année, ont présenté des différences saisonnières du taux de survie et de la vitesse de développement lors de leur élevage à 23 °C sur B+C. Le développement le plus rapide et la meilleure survie ont été obtenus avec des larves écloses au début ou au milieu de l'été; tandis que le développement le plus lent et la plus mauvaise survie ont été obtenus avec les larves écloses à la fin de l'été. Les changements saisonniers synchrones des adultes et de leurs descendants, exprimés à différents niveaux d'organisation biologique, suggèrent l'existence d'un rythme annuel endogène qui dépend de l'expression de différents gènes au cours du cycle annuel.
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17.
Conclusions It has been found that inZootermopsis nevadensis, a relatively primitive termite, the nymphs and older larvae carry out most nest-building behaviour, digging, and oscillatory movements. As they progress from young larvae to nymphs the termites tend to spend less time in trophallaxis and more time in other activities. The first instar nymphs and the sixth instar larvae are the most active in all respects. In terms of behaviour the sixth instar larvae are the nearest equivalent to a worker caste. Insects of the first nymphal instar can be roughly divided into those that spend much time in trophallaxis and relatively little in other activities andvice versa. This polarity was not evident in the younger insects.The replacement reproductives spend most of their time in trophallaxis and very little in other activities. Most of this trophallaxis is with the younger larvae, while most of the trophallaxis of the other instars is with the replacement reproductives. It is suggested that behavioural differences such as those found here may be important in caste determination and regulation.
Résumé On a trouvé que chezZootermopsis nevadensis, termite relativement primitif, ce sont les nymphes et les plus vieilles larves qui manifestent le plus un comportement constructeur et exécutent la plupart du terrassement et des mouvements oscillatoires. En évoluant de l'état de jeunes larves à celui de nymphes, les termites ont tendance à passer moins de temps en trophallaxie et plus à d'autres activités. Les nymphes du premier stade et les larves du sixième stade sont les plus actives à tous points de vue.En termes de comportement, les larves du sixième stade sont l'équivalent le plus proche d'une caste d'ouvriers. Les nymphes du premier stade peuvent être, en gros, divisés en ceux qui passent beaucoup de temps en trophallaxie et relativement peu à d'autres activités et réciproquement. Cette polarité n'était pas évidente chez les insectes plus jeunes. Les sexués de remplacement passent la plupart de leur temps en trophallaxie et très peu à d'autres activités. La plus grande part de cette trophallaxie a lieu avec les plus jeunes larves, tandis que chez les autres stades elle a lieu avec les sexués de remplacement. Il est suggéré ici que les différences de comportement observées pourraient être importantes dans la détermination et la régulation des castes.
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18.
The survival and liveweight gain of Rhopaea morbillosa and Anoplognathus spp. larvae were determined in pot experiments over 9 weeks. Liveweight gain was greatest at soil moistures about two-thirds field capacity, and where 4% of soil was replaced with manure. Trifolium repens caused a significant reduction in liveweight gain compared with grasses. The reduction of liveweight gain in the absence of plants was not significant.Increased soil moisture caused a decline in survival, and the addition of manure to soil increased survival. Phalaris tuberosa tended to cause high mortality in Rhopaea. Trifolium and Phalaris caused more than half the Anoplognathus to fail to pupate.
Résumé La survie et le gain en poids vif de Rhopaea morbillosa Blackburn (Melolonthinae, Coleoptera) et de Anoplognathus spp. (Rutelinae, Coleoptera) on été déterminés par des essais en pots durant une période de neuf semaines. Le gain en poids vif le plus important a été obtenu avec des humidités du sol situées aux environs des deux tiers de la capacité au champ, et quand on ajoutait 4% de fumier (en poids) au sol. Les gains ont été les mêmes pour les deux espèces de scarabaeides avec Dactylis glomerata, Festuca arundinacea et Lolium perenne. Avec Phalaris les gains avaient tendance a être plus réduits qu'avec les trois autres herbes. Trifolium repens a provoqué une réduction significative de la vitesse de croissance des larves du deuxième stade de Anoplognathus et des larves du troisième stade de Rhopaea, par comparaison avec Dactylis et Lolium. Avec Trifolium et Phalaris sans fumier, plus de la moitié des larves d'Anoplognathus ne réussirent pas à se métamorphoser en nymphes. Le gain en poids vif de R. morbillosa n'était pas réduit d'une façon plus significative en l'absence de plantes.Une augmentation de l'humidité du sol a provoqué une diminution de la survie, et des additions de fumier l'augmentèrent. La survie des larves du deuxième et du troisième stades de R. morbillosa fut limitée avec Phalaris en l'absence de fumier, par contre la survie avec Trifolium fut de 100% pour les deux stades larvaires. La survie des larves du second stade d'Anoplognathus a été faible avec Trifolium sans fumier.
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19.
Conclusion et résumé Les Abeilles reconnaissent le sexe de la larve transposée dans les ébauches de cellules royales et réagissent en fonction de ce sexe: pour les larves de mâles, l'acceptation est toujours inférieure à celle des ouvrières et, quelquefois, elle peut être nulle pour des petits nombres de larves transposées. En outre, dans la partie orpheline de la ruche, les Abeilles construisent une cellule royale différente suivant le sexe de la larve transposée à l'intérieur.Les larves de mâles transposées dans les ébauches de cellules royales peuvent se nymphoser, mais un grand pourcentage de ces larves meurent peu de temps après l'operculation, mort qui peut être due à ces conditions inhabituelles dans laquelle les larves sont placées, en particulier leur position (verticale au lieu d'être horizontale).  相似文献   

20.
The respiration of pupae ofTrichoplusia ni decreased considerably following parasitization by the chalcidoidBrachymeria intermedia. Furthermore, the process of host tissue development appeared to be arrested within 48 hr indicating that this parasite quickly kills the host insect. The rate of oxygen consumption of parasitized pupae corresponded well with the observed development of the parasite.Parasite larvae fed actively and grew on conventional defined artificial media and larval development was completed on several diets of variable composition. However, following the elimination of the meconium most individuals died as prepupae. Few pupae were obtained and no adults emerged. Survival appeared to correlate with the observable protein content of developing larvae and possible factors influencing further development were discussed.
Résumé La respiration des chrysalides deTrichoplusia ni diminue brutalement après attaque parBrachymeria intermedia. De plus, le développement des tissus de l'hôte paraît être arreté en 48 h, montrant que ce parasite tue rapidement l'insecte hôte. Le taux de consommation de la nymphe parasitée correspond bien au développement observé du parasite.Les larves du parasite consomment activement et croissent sur substrat artificiel conventionnel et le développement larvaire est complet sur différents régimes de compositions variables. Cependant, à la suite de l'élimination du méconium, la plupart des individus meurent en prénymphes. Quelques nymphes sont obtenues mais aucun adulte n'émerge. La survie paraît liée à la teneur mesurable de proteïnes de la larve en développement; des facteurs pouvant influer sur le développement ultérieurs sont discutés.
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