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1.
The flower thrips Kakothrips pisivorus (Westwood) (Thysanoptera) breeds in flowers of Vicia faba L. (Leguminosae). The egg and larval stages combined outlast the flowers. Each larva must move between the flowers on a plant at least once. The presence of old larvae in buds demonstrates successful inter-floral movement by larvae. If thrips leaving a dying flower transfer to a new flower nearby, old larvae will accumulate at the end of a spatial sequence of adjacent short-lived flowers. The distribution of K. pisivorus on the plant was investigated. Old larvae did accumulate in flowers at the end of V. faba racemes, as predicted. The relationship between floral lifespan, floral display, and flower inhabitants is discussed. The distribution of the thrips is relevant to sampling procedures.
Disposition des fleurs de Vicia faba et distribution de Kakothrips pisivorus
Résumé K. pisivorus Westwood (Thysanoptera) se développe dans les fleurs de Vicia faba L. (Leguminosae). Les durées combinées des stades embryonnaires et larvaires dépassent celles des fleurs. Chaque larve doit changer de fleur sur la plante au moins une fois. La présence de larves agées dans les bourgeons provient de l'existence de déplacements larvaires interfloraux réussis. Si les thrips quittant une fleur sénescente gagnent une nouvelle fleur voisine, les vieilles larves s'accumuleront à la fin d'une série de fleurs de courte durée de vie. La distribution de K. pisivorus sur la plante a été examinée; des fleurs du même âge ont été échantillonées dans 3 positions sur les inflorescences. Il n'y a pas eu d'effet significatif de la position des fleurs sur les oeufs et larves 1. Les adultes passent une partie de la journée sur les fleurs les plus proches peut-être parce qu'elles sont les plus hautes. A l'extrémité des inflorescences de V. faba, l'accumulation de larves agées était supérieure à celle prévue. La discussion porte sur les relations entre la durée de vie des fleurs, leur position et les insectes que les occupent. La distribution des thrips influe sur les techniques d'échantillonnage.
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2.
Les insectes butineurs de Cucumis sativus L. (Cucurbitaceae) ont été étudiés durant les floraisons de 2001 et de 2002 dans la région de Constantine (est algérien). Les observations ont montré que la majorité des visiteurs de la plante sont des hyménoptères apoïdes. Apis mellifera L., Ceratina cucurbitina Rossi, Megachile leachella Curtis et M. pilidens Alfken sont les espèces les plus fréquentes sur les fleurs. Les proportions de visites des abeilles sont plus élevées sur les fleurs staminées que sur les fleurs pistilées. En moyenne, les quatre espèces ont visité entre 6 et 8 fleurs par minute et leurs durées de visite sur les fleurs pistilées sont significativement plus lentes en comparaison avec les fleurs staminées.  相似文献   

3.
Feeding behavior of biotype E greenbugs from populations maintained either on corn or sorghum was studied on four corn germplasm entries and two sorghums using a computerized electronic insect feeding monitor. Greenbug fecundity and weight were also measured. Both populations showed differences in time to committed phloem ingestion and time spent ingesting phloem among plant entries, but the two populations did not respond similarly to each entry. Corn-reared greenbugs fed more readily on resistant sorghum than did sorghum-reared greenbugs, whereas sorghum-reared greenbugs fed more readily on some corn. Feeding behavior was not correlated with fecundity. Corn-reared greenbugs were equally or more fecund than sorghum-reared greenbugs on all entries. Time to committed phloem ingestion was negatively correlated with adult weight in the corn-reared population. Offspring of corn-reared greenbugs attained equal or greater weight than those of sorghum-reared ones, even though corn-reared greenbugs weighed less on their colony host (OH45) than did sorghum-reared greenbugs on their colony host (NC + 630X). Weight and fecundity were positively correlated across both populations and all entries, but both greenbug populations were more fecund and weighed more on sorghum and Antigua corn than on the other corn entries. The results confirm that biotype E greenbugs can colonize and use corn as a host, although they are more fecund on sorghum. The results also suggest that corn-reared greenbugs are different from sorghum-reared greenbugs because of either genetic or physiological adaptation, with a corresponding change in fecundity and adult weight. The implications of these results for biotype development are discussed.
Résumé Le comportement alimentaire du biotype E de S. graminum, provenant de souches maintenues soit sur maïs (OH45), soit sur sorgho (NC + 630X) a été examiné sur 4 cultivars de maïs (Antigua, AP670, OH45 et 2570), un sorgho sensible (NC + 630X) et un résistant (PI264453), à l'aide d'un enregistreur électronique à programme d'analyse. La fécondité et la poids ont été analysés séparément. Les résultats des souches on été comparés en fonction des cultivars, et les relations entre comportement alimentaire, fécondité et poids analysées.Le comportement alimentaire des différentes souches sur sorghos résistants et sur 2 cultivars de maïs (2570 OH45) ont divergé, mais pas toujours dans la même direction. Par exemple, les insectes élevés sur maïs ont consommé plus facilement le sorgho résistant que ne l'ont fait les insectes élevés sur sorgho, tandis que le contraire a été observé avec le maïs OH45. Les 2 souches ont montré le même comportement alimentaire sur les différents cultivars. Le maximum de temps à été consacré à s'alimenter sur sorgho résistant et le moins sur le maïs AP6.70.Bien qu'il n'y ait eu aucune différence entre les comportements alimentaires des souches élevées sur maïs et sur sorgho, elles ont présenté des différences de poids et de fécondité. Ces résultats ont montré l'absence de corrélation entre l'ingestion de phloème (PI) et le moment de la première consommation de phloème (CPI) d'une part, et la fécondité d'autre part. Sur tous les cultivars, les insectes élevés sur maïs ont toujours été au moins aussi féconds que ceux élevés sur sorgho. Il en est de même pour le poids de leurs descendants, bien que les insectes élevés sur maïs pèsent moins sur leur hôte propre (OH45) que les insectes élevés sur sorgho sur leur hôte propre (NC + 630X). Les corrélations entre poids et fécondité ont été positives dans les 2 souches et pour tous les cultivars, mais les 2 souches ont été plus fécondes et ont gagné plus de poids sur sorgho et sur le cultivar Antigua de maïs que sur les autres cultivars de maïs. Or, les sorghos et le maïs Antigua sont considérés comme manquant de DIMBOA, qui doit être vraisemblablement présent dans les autres cultivars de maïs. DIMBOA est undacide hydoxamique commun dans le maïs connu pour réduire la fécondité, la survie et la prise de nourriture des hétéroptères.Ces résultats confirment les possibilités de colonisation du maïs par le biotype E de S. graminum, bien qu'il ait été plus fécond sur sorgho. Ces résultats suggèrent aussi que les insectes élevés sur maïs sont différents des insectes élevés sur sorgho, par adaptation génétique ou physiologique, avec modification concomitante du poids des adultes et de la fécondité. Par suite de ces différences, les insectes élevés sur maïs sont plus aptes à utiliser le maïs et le sorgho résistant que les insectes élevés sur sorgho. Tout ceci suggère les possibilités de développement d'un biotype dangereux pour le maïs.
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4.
A few populations of the pest of stored cereals, Sitophilus oryzae L., have evolved the ability to survive on toxic legumes. The mechanism of detoxification is shown to be very non-specific. Glutathione-S-transferases and monooxygenases play roles in the detoxification process. The techniques employed in the present study were unable to definitely implicate esterases.
Résumé S. oryzae est un ennemi bein connu des stocks de grains de céráles. L'aptitude de certaines souches géographiques de S. oryzae à survivre sur des graines toxiques de légumineuses a été examinée. Les mécanismes de détoxication, développés chez les insectes élevés sur Pisum sativum, sont très généraux et leur permettent de survivre sur une série de légumineuses. Les insectes élevés sur Triticum vulgare survivent très peu sur toutes les graines de légumineuses examineées et, sur ces aliments, les inhibiteurs de détoxication augmentent fortement la mortalité. Trois systèmes enzymatiques de détoxication ont éteéxamineés: les estérases, les glutathion-S-transférases et les monooxygénases. Les méthodes utilisées n'ont révélé aucune diffence dans les activités enzymatiques entre les insectes élevés sur blé (T. vulgare) et sur pois (P. sativum). Cependant, quand les insectes élevés sur blé sont forcés à consommer du pois, l'activité estérase augmente tandis que les activités transférase et monooxygénase sont réduites. La discussion porte sur les conséquences, en particulier évolutives, de la consommation de graines de légumineuses par S. oryzae.
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5.
Lowland robusta type coffee, (Coffea canephora), is a cash-crop in many tropical countries, and is reported in the literature as primarily wind-pollinated. The floral characteristics seem to refute this, and our evidence shows that in Papua New Guinea the flowers are classically entomophilous, being pollinated primarily by bees and flies. By far the most important and consistent visitors are solitary bees, especially Creightonella frontalis which nests within the plantations. The activity patterns and nesting biology of this bee are closely tied in with the success of the coffee bushes. Measures to improve pollination and fruit set in the coffee plantations are therefore suggested.
Résumé Le café robusta, C. canephora, est une culture de rente dans de nombreuses régions intertropicales. La littérature le considère comme essentiellement pollinisé par le vent. Les caractéristiques de la fleur semblent contredire cette opinion. Nos observations montrent qu'en Nouvelle Guinée les fleurs sont typiquement entomophiles, étant avant tout pollinisées par des abeilles et des mouches. Des abeilles solitaires qui nichent dans les plantations, en particulier C. frontalis, sont de loin les plus importants et les plus réguliers visiteurs de ces fleurs. Les caractéristiques de la biologie et le comportement de nidification de cette abeille sont intimement liés à la production des buissons de caféier. Des mesures pour favoriser la pollinisation et améliorer la production de fruit dans les plantations de café sont ainsi suggérées.
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6.
Changes in the respiratory rates of standard, overcrowded, and starved fourth-instar Aedes aegypti are compared. The respiratory effects of varying larval densities during and prior to measurement are investigated. In addition, the results of exposure of standard and over-crowded larvae to growth-retarding factors (GRF) at various concentrations are also evaluated.
Résumé Le but de cette étude est d'étudier les modifications de l'activité respiratoire chez des larves du 4ème stade mises respectivement en condition d'élevage standard, en condition de surpeuplement, et en condition de restriction alimentaire.Les conditions de surpeuplement et de restriction alimentaire entrainent un abaissement significatif du niveau du métabolisme respiratoire. L'activité respiratoire des larves élevées en condition standard, prend des valeurs plus élevées quand la mesure est faite sur un plus grand nombre de larves rassemblées dans le tube-test; par contre les conditions de mesure (15, 25 ou 35 larves dans le tube-test) ne modifient pas la valeur de l'activité respiratoire des larves élevées en condition de surpeuplement. Quand des larves élevées en milieu surpeuplé et en milieu standard sont soumises à de fortes concentrations des facteurs retardant la croissance (Growth-retardant factors; GRF de Moore & Fisher 1969) l'activité respiratoire est stimulée. Dans les conditions de surpeuplement et de restriction alimentaire, deux types facteurs pourraient agir sur le métabolisme respiratoire, des facteurs chimiques et des facteurs mécaniques tels que l'agitation des individus dans un espace étroit (par exemple le tube-test).
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7.
Recently emerged adults of Tribolium confusum, maintained at 30° in flour-yeast medium, were exposed to X-ray doses between 8 and 75 kR at dose rates of 225 or 1000 R/min. In all cases, there was no significant mortality for about 10 days, and all deaths attributable to the irradiation occurred during the next 10 to 15 days; after the lower doses, many insects survived this critical period and then lived on for many months. The relative dose-independence of the survival-time of decedents suggested that there is a specific mode of death, i.e., an as-yet-unrecognized acute lethal syndrome. Irradiated beetles incubated at 22° exhibited about twice as great a delay in the onset of mortality, and a mortality period with about twice the duration, as those at 30°, suggesting the necessity of a sequence of metabolic events in the development of lethality. Beetles on a cornstarch diet were at least as radioresistant as beetles on flour yeast; beetles at 22° were distinctly more sensitive than those kept at 30°. Older beetles, exposed 4 or 10 months after emergence, showed progressive increases in acute radiosensitivity. Implications of these findings for radiobiological investigations on adult insects are discussed.
Lethalite aigüe apres irradiation aux rayons X des adultes de Tribolium Confusum
Résumé La plupart des insectes utilisés dans les expériences de radiobiologie ont une longévité relativement brève à l'état adulte. De ce fait, il est difficile ou impossible de distinguer la mortalité aigüe liée à des mécanismes spécifiques d'une diminution nonspécifique de la résistance à un stress.La longévité des adultes de Tribolium rend possible de séparer ces deux catégories de réponses, elle peut aussi permettre la mise en évidence des différents modes de léthalité aigüe.Des adultes récemment formés de Tribolium confusum, maintenus à 30° dans le milieu farine-levure, ont été exposés à des doses de rayons X de 8 à 75 kR aux taux de 225 ou 1000 R/min. Dans tous les cas, il n'y a pas eu de mortalité significative pendant 10 jours, et toutes les morts attribuables à l'irradiation ont eu lieu au cours des 10 à 15 jours suivants; après les doses les plus faibles, beaucoup d'insectes ont survécu à cette période critique et ont alors vécu de nombreux mois. L'indépendance relative par rapport à la dose de la durée de la survie des descendants suggère l'existence d'un mode spécifique de mortalité, ou d'un syndrome léthal aigu.Les insectes irradiés en élevage à 22° ont présenté un délai de début de mortalité environ le double et une durée de la période de mortalité environ double de ceux enregistrés à 30°. Ceci représente un Q10 d'environ 2,3, qui suggère la nécessité d'une succession de phénomènes métaboliques dans le développement de la léthalité.Des insectes sur un régime à base d'amidon de maïs étaient au moins aussi radiorésistants que ceux sur farine et levure; les insectes à 22° furent sans conteste plus sensibles que ceux élevés à 30°. Des coléoptères plus âgés, exposés 4 ou 10 mois après leur formation, ont montré des augmentations progressives dans la radiosensibilité aigüe.Ces résultats ont deux conséquences importantes pour d'autres recherches radiobiologiques sur les insectes adultes. La mise en évidence de l'existence d'un syndrome léthal spécifique et de ses délais de manifestation devrait accélérer l'analyse des facteurs intervenant dans la mort des insectes irradiés; d'autre part dans toute expérimentation radiobiologique sur des insectes adultes, les imagos doivent être d'un âge uniforme et connu.


This work was supported by U. S. Public Health Service, NIH Grant GM-10208. During 1964–1965, the senior author held a Special Fellowship (1-F3-GM23423), U. S. Public Health Service, at the Department of Zoology, University of Cambridge; he is indebted to Professor C. F. A. Pantin, F. R. S., and other members of the Department, and especially to Dr. George Salt, F. R. S., both for extending use of their facilities and for many illuminating discussions.  相似文献   

8.
Hylobius abietis migrates by flight to new breeding habitats early in summer. Flight speed and height, wind speeds during flight, and flight direction in relation to wind were studied in the field. Flight duration estimates were obtained from flight mill experiments. Using these data dispersal distances of the females in a population were calculated. According to this tentative estimate a majority of the weevils migrated more than 10 km, and some as far as 80 km, during the entire flight period.
Aire de dispersion de Hylobius abietis (Coleoptera — Curculionidae)
Résumé Hylobius abietis émigre par vol vers de nouveaux habitats tôt en été. La vitesse et la hauteur de vol, la vitesse du vent pendant le vol, et l'orientation du vol en fonction du vent ont été étudiées dans la nature. Après l'envol de nombreux adultes s'élèvent au-dessus des arbres et volent orientés dans le sens du vent, ce qui est certainement une adaptation aux dispersions à distance par le vent. La vitesse de vol est de 1,9 m/s par rapport à celle de l'air. Les captures avec des pièges à succion ont fourni des indications sur la vitesse du vent pendant le vol; en combinant ces données avec les mesures de la vitesse du vol elle-même, une estimation de la fréquence relative des vitesses de disperison a été obtenue.L'estimation de la durée du vol a été obtenue en laboratoire par des expériences avec un moulin de vol. A partir de ces données les distances de dispersion des femelles dans une population ont été calculées. Selon ces essais d'estimation, la majorité des insectes émigrent à plus de 10 kilomètres et certains vont jusqu'à 80 kilomètres pendant l'ensemble de la période de vol.
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9.
The reaction of the kola weevil,Sophrorhinus gbanjaensis to moisture in a simple and a two-way gradient (centre low, high at ends) and a humidity choice chamber and its survival at the different relative humidities of 10, 30, 60, 80 and 95% R.H. were investigated. Both the male and female insects showed preference for the dry air (10 & 30% RH) in the humidity gradient irrespective of its position along the gradient. The insects also detected and reacted to humidity differences of 20 & 30% RH when offered a choice of 40–60%; 0–30%; 60–100%; 10–60% and 50–100% relative humidities. The indices of reaction (IR) increased with increase in the differences between the pairs of humidities offered with a peak at 60–100% and 50–100% RH for males and females respectively. The insects survived for an average of 21.1±1.3 days and 5.4±0.2 days at 95% and 10% RH respectively. A highly significant negative correlation (r=–0.926) was obtained between the mortality rates of the insects and the various relative humidities.
Résumé Les réactions du charançon de la noix de cola,Sophrorhinus gbanjaensis, dans des expériences de gradients d'humidité linéaires ou symétriques, ont été étudiées en laboratoire à la température de 26–29°. On a également observé les réponses de l'insecte à des choix entre deux conditions d'humidité différentes, en fonction de l'amplitude des différences proposées et de la position des valeurs de l'H.R. dans la gamme de 10 à 100%. Les effets de la déshydratation et du jeûne sur les réactions des insectes et sur leur survie aux diverses conditions d'humidité relative ont enfin été prises en considérations.Les mâles et femelles montrent une préférence pour les conditions de milieu à faible humidité relative de l'air (10% RH) que ces conditions soient présentées selon un gradient linéaire (de 10% à 100% RH) ou selon un dispositif symétrique (fig. 1 et 2). Cependant les expériences témoins montrent un preferendum pour les sites placés aux extrêmités du dispositif expérimental (fig. 3) ce qui témoigne de l'intervention d'un autre facteur spatial, qui mériterait d'être analysé.Les insectes peuvent déceler des différences d'H.R. de l'ordre de 20 à 30%, et l'indice de reactivité des insectes (IR) croît avec l'amplitude des différences entre les H.R. proposées, le maxima de reactivité se manifestant respectivement pour les zones 60–100% ou 50–100% chez les insectes mâles et les insectes femelles.Les insectes, préalablement soumis à des conditions de déshydration (48h. dans un dessicateur CaCl2) et de jeûne, montrent un fort preferendum pour les zones à forte H.R. (60–100%) du dispositif expérimental. Ce type de réponse, totalement différent de la réaction préférentielle aux basses H.R. telle qu'elle est présentée par les insectes non traités, est ici discuté, sur la base des conditions saisonnières rencontrées par cette espèce au cours de son cycle biologique. Par ailleurs la mortalité des insectes est plus élevée dans les conditions de faible humidité.
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10.
To measure the progress of diapause termination in December and March and the difference in diapause intensity between populations from two altitudes, Coccinella septempunctata adults were exposed to 25° and to photoperiods 18L:6D or 12L:12D and the oviposition was recorded.In early December, C. septempunctata females from 600 m had the pre-oviposition period 1/3–2/3 shorter than the population from 1500 m. It was shorter under long day and in injured coccinellids under short day than in intact insects under short day. In mid-March the pre-oviposition period was considerably shorter, both after the hibernation outdoors and under 15°, indicating thus that diapause was over in almost all females. Photoperiodic response in post-diapause insects was shown by a gradual halt of oviposition after a decrease in daylength.In contrast to pre-oviposition of C. septempunctata, the pre-pupal period of Perilitus coccinellae did not get shorter between December and March.
Résumé En vue d'apprécier l'intensité de la diapause et son état d'avancement au cours du temps, en fonction des conditions d'hivernage, deux populations de Coccinella septempunctata sont récoltées dans le sud-ouest de la France, l'une à 600 m d'altitude, l'autre à 1512 m. Les insectes sont prélevés, d'une part, au milieu de la période d'hivernation (2 décembre), d'autre part, en fin de cette période (20 mars). Ils sont soumis à des photopériodes longues (18 L:6D) ou courtes (12 L:12D), dans des conditions de température de 25°, et on compare le délai nécessaire pour obtenir la ponte (période de pré-oviposition). Certains lots ont subi une mutilation, à titre expérimental: section des ailes postérieures.Chez les insectes prélevés début décembre, la durée de la période de pré-oviposition est de 1/3 à 2/3 plus courte pour la population de plaine hivernant à 600 m d'altitude. L'activation est plus rapide en jours longs (18h de photophase); elle est aussi plus rapide chez les coccinelles mutilées que chez des femelles indemnes, lorsqu'elles sont placées en jours courts.Chez les insectes prélevés en mi-mars la période de pré-oviposition est beaucoup plus courte; il en est de même chez des insectes prélevés en décembre mais maintenu en hibernation artificielle au laboratoire à une température de 15° et à l'obscurité. Des femelles réactivées en jours longs se révèlent sensibles dès l'achèvement de la diapause à une réduction de la photopériode qui provoque un arrêt progressif de la ponte.En contraste avec les variations observées dans la durée de la période de pré-oviposition chez les coccinelles réactivées en décembre ou en mars, la période de pré-émergence de leur parasite Perilitus reste la même et n'est pas plus courte en mars qu'en décembre.


Dedicated to Prof. Dr. Jan de Wilde, Wageningen, on the occasion of his 60th birthday.  相似文献   

11.
The chemical basis of host selection in stenophagous insects, Oidaematophorus monodactylus, Metriona bicolor, Deloyala guttata and Chelymorpha cassidea was studied. A compound with the molecular formula C5H8NO4, isolated from a water extract of Calystegia sepium, acted as a recognition factor for O. monodactylus and D. guttata but not for M. bicolor and C. cassidea, indicating that insects feeding on the same plant may be responding to different host recognition factors. This compound is an acid with two carboxyl and one N-methyl groups. It might be a precursor of tropane alkaloids, as the feeding range of O. monodactylus and D. guttata, determined by feeding tests, coincided with the distribution of these compounds. Its structural formula has been proposed.
Résumé Cette étude se place dans le cadre de recherches concernant les possibilités d'utiliser certains insectes phytophages vivant aux dépens de Convolvulus et Calystegia, comme facteur de lutte biologique contre ces mauvaises herbes. L'identification des éléments chimiques intervenant dans la reconnaissance de l'hôte doit permettre d'évaluer les risques de voir ces insectes attaquer d'autres plantes que celles jugées nuisibles. Les insectes étudiés sont: Oidaematophorus monodactylus (Lepid. Pterophoridae), Metriona bicolor, Deloyola guttata et Chelymorpha cassidea (3 Coléoptères, Cassidae).Un extrait aqueux de Calystegia sepium a permis d'isoler un composé chimique dont la formule brute est C5H8 NO4; ce composé agit comme facteur de reconnaissance de l'hôte pour O. monodactylus et D. guttata, mais non pour M. bicolor et C. cassidea. Des insectes se nourrissant sur la même plante peuvent donc répondre à des facteurs différents de reconnaissance de l'hôte. Ce composé est un acide avec 2 groupes carboxyl et un groupe N-méthyl. II pourrait être un précurseur des alcaloïdes tropane, la distribution de ces derniers coïncidant avec la gamme des plantes attaquées par O. monodactylus et D. guttata.
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12.
Diapause in Coccinella transversoguttata can be inhibited by exposing adult females to photoperiod regimens of LD 16 : 8 or 14 : 10 hours. The photoperiod regimen to which the immature instars are exposed has little effect on the diapause status of the adult female.
Résumé Coccinella transversoguttata est un des plus importants prédateurs des Pucerons de la pomme de terre dans l'État du Maine (U.S.A.). C'est la photopériode à laquelle les adultes sont soumis qui conditionne la diapause imaginale de cet insecte: une photopériode jour/nuit de 16 : 8 heures empêche la diapause, alors qu'une photopériode jour/nuit de 12 : 12 heures déclenche la diapause. Un éclairement permanent n'a pas d'effet significatif sur l'inhibition de la diapause. La photopériode à laquelle sont soumis les ufs, les larves et les nymphes n'a guère d'effet sur la diapause des adultes. La photopériode n'a pas non plus d'influence sur le développement larvaire ni sur la mortalité des larves ou des adultes.
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13.
Three selective insecticides for leafroller control were evaluated as part of research efforts for refinement of Integrated Pest Management (IPM) in apple orchards in the Netherlands. Population levels, injury to fruits and degree of parasitism of leafrollers were studied in 0.5–1 ha plots of an experimental orchard. Plots were sprayed during 5 consecutive years with either Dimilin® (diflubenzuron, a chitine synthesis inhibitor), a strain of Bacillus thuringiensis or epofenonane, a juvenile hormone analogue. Dipel and Dimilin were not sufficiently effective in reducing population levels and degree of fruit injury. Hard to control pests in Dipel-treated plots were especially Pandemis heparana, Spilonota ocellana and Laspeyresia pomonella and in Dimilin treated plots P. heparana and Adoxophyes orana.Epofenonane could not be evaluated properly because of interference by immigration of moths from nearby untreated plots.
Résumé L'étude a porté sur la protection, par 3 insecticides sélectifs, de vergers attaqués par des tordeuses. Ce travail constitue une part des travaux menés aux Pays-bas pour améliorer la lutte intégrée dans les vergers.Nous avons étudié les niveaux des populations de tordeuses, leurs dégâts sur fruits, ainsi que les taux de parasitisme, dans un verger expérimental divisé en parcelles de 0,5 à I ha.Pendant 5 années consécutives, les différentes parcelles ont subi des pulvérisations de Dimiline (diflubenzuron), inhibiteur de la synthèse de chitine, de Dipel (B. thuringiensis), et enfin d'épophénonane, un analogue de l'hormone juvénile.Le Dipel et la Dimiline ont présenté peu d'efficacité dans la réduction des populations et du niveau des dégâts. Les insectes particulièrement difficiles à contrôler sont, respectivement, dans les vergers traités par le Dipel: Pandemis heparana (Denn. et Schiff.), Spilonota ocellana (F.) et Laspeyresia pomonella (L.), et dans ceux traites par la Dimiline: P. heparana et Adoxophyes orana (F.v.R). Nous n'avons pas pu évaluer l'effet de l'épophénonane d'une fâçon satisfaisante, en raison des réinfestations par des papillons venant de terrains voisins hébergeant des populations élevées de tordeuses.
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14.
The size of cottonwood (Populus deltoides L. Bartr.) leaf discs used in insect feeding preference trials with the chrysomelid beetle, Plagiodera versicoloraLaich., was shown to affect behavior, and the outcome of the feeding trial. It is suggested that disc size has an effect because it alters the ratio of chemical signals from the cut leaf edge to those of the intact leaf center. The implications of this finding to the design of bioassays; to previously noted differences in feeding behavior for insects on discs versus leaves; and to the study of feeding preference and induction of plant defense are discussed.
Résumé Plagiodera versicolora Laich (Coléo., Chrysomelidae) a préféré significativement consommer les grandes rondelles (diamètre 17 mm) de Populus deltoides préalablement exposées à l'ozone ambiant, aux témoins exposés à de l'air filtré sur charbon de bois. Cependant, quand le diamètre a été réduit à 10 mm, les insectes n'ont plus préféré les feuilles soumises à l'ozone. Les préférences alimentaires de cet insecte consommant le centre des feuilles ont probablement changé parceque les signaux chimiques de la coupure ont surpassé ou masqué ceux des petits disques. Ainsi, le rapport périmètre sur surface du disque est un critère important de la procédure expérimentale. L'influence de la taille du disque dépend vraisemblablement du fait que l'insecte consomme le centre ou la pourtour de la feuille, de la taille de l'insecte et du type d'expérience. Nous en avons déduit que l'effet de la taille du disque est fréquent particulièrement chez les insectes consommant le centre des feuilles.Les modificatons du choix des insectes lorsque les plantes avaient été présentées sous forme de rondelles au lieu de feuilles ou plantes entières, peuvent être expliqués aussi par le changement des signaux provoqué par le découpage des rondelles, plutôt que par l'induction de modifications chimiques dues à la cueillette, comme cela a été précédemment indiqué par différents auteurs. Par ailleurs, dans les conditions naturelles, des changements dans les signaux chimiques des feuilles dus à une consommation antérieure par des insectes, peuvent être aussi importants dans le comportement alimentaire des insectes que n'importe quel changement chimique induit dans les feuilles par les dégâts.
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15.
Dietary selection was investigated during the first 15 days of adult life in male and femaleLocusta migratoria L. Insects were provided with two artificial diets, one containing 10, 20 or 28% protein but no digestible carbohydrate, the other 10, 20 or 28% digestible carbohydrate but no protein. Amounts eaten, detailed feeding patterns and somatic and reproductive growth were measured. Unfortunately the artificial diets did not support female reproductive development. Nevertheless, there was convincing evidence that insects regulated both protein and carbohydrate intake during the somatic growth phase by dietary selection and altered consumption.
La sélection des aliments parLocusta migratoria adulte
Résumé La sélection des aliments a été suivie pendant les 15 premiers jours de vie imaginale des mâles et des femelles deLocusta migratoria L. Les insectes recevaient 2 régimes alimentaires, l'un contentant 10, 20 ou 28% de protéines, mais pas de carbohydrates assimilables, l'autre 10, 20 ou 28% de carbohydrates assimilables, mais pas de protéines. Les quantités consommées, le détail de la prise de nourriture, et les croissances somatique et reproductive ont été mesurés. Malheureusement, ces régimes artificiels n'ont pas permis le développement ovarien des femelles. Cependant, il y a des preuves convaincantes que les insectes ont contrôlé leur apport en protéines et en carbohydrates pendant la phase de croissance somatique par une sélection alimentaire et une modification de la consommation.
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16.
In four aphid species, individuals with long stylets were abundant on the large veins of potato leaves and ones with short stylets were abundant on the small veins. The greater depth of parenchymatous tissue overlying the phloem of the larger veins prevented the aphids with short stylets from feeding on these veins.The adults of all four species seemed to prefer to feed on the largest veins possible, and Macrosiphum euphorbiae had a higher reproductive rate when feeding on large veins than when feeding on small veins.
Résumé Pour quatre espèces d'Aphides, les individus ayant des stylets longs sont abondants sur les grosses nervures tandis que ceux avec des stylets courts sont abondants sur les petites nervures. Une plus grande épaisseur du parenchyme recouvre le phloème dans les plus grosses nervures, et les Aphides ayant des stylets courts ne peuvent pas se nourrir sur ces nervures, parce que la distance au phloème est supérieure à la longueur de leurs stylets. Les adultes de A. solani et de M. euphorbiae ont les stylets longs et ils se nourrissent sur toutes les nervures; les adultes de M. persicae et surtout ceux de A. nasturtii ont les stylets un peu plus courts et, en général, ils se nourrissent sur des nervures un peu plus petites. Pour chaque espèce, les jeunes ont les stylets plus courts que les adultes, et ils se nourrissent sur des nervures plus petites.Il semble que les grosses nervures sont, du point de vue alimentaire, meilleures pour les Aphides que les petites nervures. Les adultes de M. euphorbiae qui se nourrissent sur des grosses nervures se reproduisent plus vite que ceux qui se nourrissent sur des petites nervures. Les adultes de A. solani et de M. euphorbiae préfèrent les grandes nervures; de même les adultes de M. persicae et de A. nasturtii sont plus abondantes sur les grosses nervures que sur les petites, ce qui suggère également une préférence.
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17.
L'influence de quelques variables liées aux plantes de Phaseolus vulgaris (date de maturation, hauteur et nombre de graines dans les gousses) sur la ponte de la bruche du haricot Acanthoscelides obtectus a été étudiée dans la nature sur 20 pieds de haricot dont toutes les gousses ont été suivies puis récoltées.Les résultats montrent une bonne corrélation entre le nombre d'oeufs émis dans une gousse et le nombre de jours avec présence d'adultes sur cette gousse. La date de maturation influence fortement la contamination des gousses. Au niveau spatial, les pieds situés dans des zones non désherbées, où peuvent s'alimenter les adultes, sont les plus contaminés. Les autres variables semblent avoir moins d'importance.On note une très forte agrégativité des pontes dans certaines gousses qui sont, en général, parmi les premières mûres, mais cette agrégativité persiste même si les femelles ont le choix, sur un même pied, entre plusieurs gousses arrivées ensemble à maturité.  相似文献   

18.
The susceptibility of sorghum to the shoot fly Atherigona soccata Rondani, (Diptera: Muscidae) is affected by seedling age and is highest when seedlings are 8–12 days old. This corresponds with high moisture accumulation on the central leaf which is the path of newly hatched larva as it moves downwards from the oviposition site, towards the growing apex. Studies showed that leaf surface wetness (LSW) of the central shoot leaf was higher in 10-day old seedlings than in seedlings of other ages. Similarly, LSW was much higher in the susceptible sorghum genotype CSH 1 than in the resistant genotype IS 2146. Larvae moved faster towards the growing point and produced deadhearts much earlier in CSH 1 than in IS 2146. They also moved faster in 10-day old seedlings than in seedlings of other ages. It was also shown that the leaf surface wetness of the central shoot leaf is a more reliable parameter of resistance than the glossy leaf trait or trichome density.
L'influence de la humidité de la surface foliaire sur le comportement de la mouche des pousses du sorgho
Résumé La sensibilité du sorgho à la mouche des pousses du sorgho, Atherigona soccata Rondani, est liée à l'âge de la plantule. Elle est plus forte lorsque la plantule est âgée de 8 à 12 jours et la sensibilité est maximale à 10 jours. A ce stade de croissance on observe une forte accumulation d'humidité sur la feuille centrale de la tige. Les jeunes larves traversent cette zone humide lorsqu'elles descendent vers la zone de croissance à partir des pontes déposées sur la face ventrale des feuilles déroulées.Des études ont été menées à l'ICRISAT (Inde) sur la relation entre l'humidité de la feuille centrale de la tige des plantules du sorgho et les dégâts provoqués par la mouche des pousses. L'humidité de la surface des feuilles (HSF) a été estimée grâce à une échelle visuelle graduée 1 à 5 où, 1 = pas d'humidité apparente et 5 = surface de la feuille recouverte de gouttes d'eau. La HSF est plus élevée sur des pousses de sorgho âgées de 10 j que sur les pousses appartenant à d'autres classes d'âge. Les valeurs observées sont également plus fortes pour les variétés non résistantes à ce ravageur (CSH 1,4.8) que pour les variétés résistantes (IS 2146, (2)). La vitesse du déplacement larvaire entre le cornet et la zone de la croissance varie en fonction de l'âge de la plante et des cultivars. Les larves migrent plus rapidement vers la zone de croissance et provoquent la mort du coeur du sorgho plus tôt dans la variété CSH 1 que dans IS 2146. Les larves se déplacent plus rapidement dans les pousses âgées de 10 j que dans les pousses appartenant à d'autres classes d'âge.Des études ont également démontré que la HSF n'est pas directement liée au caractère feuille lisse où à la densité des trichomes. La HSF est faible pour les génotypes résistants présentent où non le caractère feuille lisse. Par contre la HSF est élevée pour les génotypes non résistants présentant le caractère feuille lisse ou non. Aucune relation directe entre la densité des trichomes et les dégâts provoqués par la mouche des pousses n'a pu être mise en évidence. L'analyse des correlations établie pour les caractères de surface des feuilles avec la mort du cur des sorghos indique que les correlations sont faibles et non-significatives pour le caractère feuille lisse (0.49) et la densité des trichomes (0.39 et 0.2). Par contre les correlations sont fortes et significatives pour la HSF (0.82).On conclue que la HSF de la feuille centrale de la tige est un facteur important dans le déterminisme de la résistance du sorgho vis à vis de la mouche des pousses. Les relations entre les processus physiologiques de la plante et les facteurs impliquées dans l'accumulation d'eau sur la surface des feuilles font actuellement l'objet d'études détaillées.
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19.
The available evidence is in agreement with the postulate that all phytophagous insects require chemotactic (usually gustatory) stimuli to release feeding activity. Some of the soluble nutrients in plants serve this function. In the case of oligophagous insects food selection is further guided by perception of non-nutritive substances (token stimuli) of limited botanical distribution. The food range of all phytophagous insects is circumscribed by the distribution of repellants, rejectants and toxins. These concepts are developed and outlined in symbolic form.
Résumé L'importance des stimulants alimentaires token a été clairement démontrée par exemple chez Plutella maculipennis Curt., Pieris brassicae L. et P. rapae L., lesquels, à l'état larvaire, reconnaissent leur plante-hôte, les Crucifères, au goût de glucosides de l'huile de moutarde tels que la sinigrine et la sinalbine. Bien qu'elles soient presque les seules démonstrations indiscutables de l'action de ces stimulants token parmi les insectes phytophages il a été admis que ce phénomène explique en général la sélection de la plante hôte par les insects oligophages et que la présence de substances désagréables au goût dans les végétaux est suffisant pour expliquer les préférences de plantes alimentaires des insectes polyphages. Cependant, ces vues ne rendent pas compte du fait que ces phagostimulants token peuvent exiger la présence de constituants nutritifs afin d'obtenir une réponse alimentaire chez les insectes oligophages. En outre les insectes polyphages demandent des stimuli chimiotactiques positifs pour déclancher une activité alimentaire. Aucun effet inhibiteur de substances végétales désagréables n'est simplement superposé à ce phénomène de base.Un autre fait significatif est que le saccharose, constituant universellement distribué chez les végétaux, est avidement goûté par de nombreux insectes, et on pourrait penser à priori que son rôle est important dans la nature comme stimulus effecteur d'alimentation chez les insectes phytophages. De récentes investigations ont montré que d'autres substances nutritives variées telles que le glucose, des acides aminés, des amides et des vitamines peuvent aussi déclancher d'une manière indépendante l'activité alimentaire.Une interprétation totale de la connaissance utile à présent est que de nombreuses conditions sont exigées pour rendre compte des phénomènes d'alimentation chez les insectes et de la sélection de l'hôte. Ceci inclut la présence de stimulants alimentaires token (si nécessaires), la présence de certains constituants sapides et l'absence de substances répulsives ou désagréables au goût. Tandis que ces conditions, admettant un substrat ingestible, sont nécessaires et suffisantes pour une alimentation normale un développement satisfaisant exige en plus la présence de constituants nutritifs essentiels autres que les substances sapides déjà mentionnées et l'absence de toxines.Certains constituants végétaux peuvent avoir plusieurs fonctions dans ce schéma et quelques exemples sont considérés.

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20.
Samples of males and females of G. pallidipes and G. fuscipes were collected at Lugala, Uganda, by seven different methods. There were marked differences between the infection rates of the various samples. In the case of G. pallidipes the differences in infection rate were closely associated with differences in mean age of the samples, but in the case of G. fuscipes the agreement was less close.
L'influence de la methode d'echantillonnage sur les taux d'infection a trypanosome des Glossina pallidipes et G. Fuscipes capturees
Résumé Des échantillons de Glossina pallidipes et G. fuscipes des deux sexes ont été récoltés à Lugala, Uganda, sur un buf en marche, sur un buf à l'arrêt, sur un véhicule se déplaçant lentement, dans des pièges, au repos, sur des hommes à l'arrêt, et sur des hommes en marche. Les nombres obtenus par les 7 méthodes sont indiqués mais le principal intérêt réside dans leurs taux d'infection.Pour les deux espèces il y eut des variations considérables entre les taux d'infection des échantillons recueillis et beaucoup de ces différences étaient persistantes sur plusieurs répétitions. Les femelles de G. pallidipes capturées sur les bufs et dans les pièges étaient plus infectées que celles capturées sur l'homme, sur le véhicule et au repos. Les mâles au repos de cette espèce avaient un taux d'infection élevé constant, tandis que les mâles capturés dans les pièges avaient le taux d'infection le plus élevé durant les premières captures et le plus bas durant les dernières captures. Les différences dans le taux d'infection étaient en liaison étroite avec les différences correspondantes dans l'âge moyen. Parmi les échantillons de G. pallidipes capturés sur bufs, et dans les pièges, les femelles avaient constamment un taux d'infection plus élevé que les mâles, tandis que parmi les captures sur le véhicule, sur l'homme, et chez les mouches au repos, les mâles avaient le taux d'infection le plus élevé.Les femelles de G. fuscipes capturées sur l'homme, et au repos avaient, avec une exception, des taux d'infection constamment plus élevés que celles recueillies par d'autres méthodes. Les mâles de cette espèce capturés buf au repos, sur véhicule et au repos avaient des taux d'infection constamment plus élevés. Le rapport entre l'âge moyen et le taux d'infection des différents échantillons était moins étroit que dans le cas de G. pallidipes.
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