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1.
The effects of larval crowding on development, survival and size of the African buffalo fly, Haematobia thirouxi potans (Bezzi), were examined in small (10 or 20 g) and 1 000 g masses of cattle dung in the laboratory at 25°C. Dung was infested with fly eggs at densities which ranged from 0.05 to 32.0 eggs per g dung; in most cases 90–100% of eggs hatched. The duration of larval developmentin 10 g dung masses was extended by larval crowding at densities above 0.8 eggs per g dung and the development period with 32 eggs per g dung (11 days) was double that observed in uncrowded dung masses. Both size and survival decreased with increasing larval density, but stunting was observed at lower densities than those which reduced survival and so size was the more sensitive index of the adequacy of the larval environment. The effects of larval crowding became evident at lower larval densities in the 1 000 g dung masses than in the 10 g dung masses. There was a minimum size below which third instar larvae failed to pupariate. The probability of survival was related to pupal size and a high proportion of the smaller individuals failed to eclose.
Effets de la competition intraspécifique sur le développement des larves, la taille des pupes et la survie d'Haematobia thirouxi potans
Résumé Les effets du surpeuplement larvaire sur le développement, la survie et la taille d'Haematobia thirouxi potans, ont été examinés sur de petites quantités de bouse (10 et 20 g) et de plus importantes (1 000 g), au laboratoire à 25°C. Les bouses étaient contaminées avec des oeufs de la mouche à des densités de 0,05 à 32 oeufs par gramme de bouse. Dans la plupart des cas le taux d'éclosion était de 90–100%. La durée du dévelopement larvaire dans 10 g de bouse a été prolongée pour les densités supérieures à 0,8 oeuf per g, et la durée développement pour 32 oeufs per g (11 jours) était le double de celle obtenue grand il n'y avait pas surpeuplement. La taille et la survie diminuent toutes les deux avec la densité larvaire, mais la miniaturisation était observée à des densités où la survie n'était pas modifiée; ainsi la taille est un indice plus sensible de l'adéquation de l'habitat larvaire. Les effets du surpeuplement larvaires deviennent clairs à des densités plus faibles avec 1 000 g de la bouse qu'avec 10 g. Il y a eu une taille minimale endessous de laquelle les larves étaient incapables de former une pupe. La probabilité d'éclosion était liée à la taille de la pupe, et une plus forte proportion de petits individus ne sont pas parvenu à éclore.
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2.
Functions describing instantaneous development rates in constant and natural temperature regimes were obtained for pupae of the Australian sheep blowfly, Lucilia cuprina (Wiedemann). These were derived using a technique that directly calculates rate functions from development-time observations made under any temperature regime. The functions indicated similar instantaneous development rates for constant and natural temperatures up to 30°C. At 30° the constant-temperature function reached a plateau which was maintained to the constant-temperature thermal limit. The natural-temperature function, however, continued its ascending phase to 34°, and then fell sharply to zero at 42°.The median survival temperatures of pupae for single 7-h exposures, daily 7-h exposures, and continuous exposures to high temperatures were 44.7, 39.2, and 34.4°, respectively. Development was completed at constant 15° but not at 10°. Median survival times at constant 10, 5, 0 and-5° were 4.3, 4.2, 2.5 and 1.5 days. Mortality was slight for single or daily 7-h exposures to-5°, but was complete for all except brief single exposures to-10°.
Influence des températures constantes et de la thermopériode sur le taux de développement et la survie des pupes de Lucilia cuprina
Résumé Des fonctions associant les taux de développement aux températures en conditions constantes et en thermopériodes naturelles ont été établies pour les pupes de L. cuprina. La fonction pour les conditions naturelles décrit les taux de développement immédiat-c'est-à-dire les taux de développement existant en réponse à la température pour chaque laps de temps (en réalité, pour un court intervalle), plutôt que le taux moyen pour une gamme de températures. La fonction pour les températures constantes décrit à la fois les taux de développement instantané et moyen (ceux-ci étant équivalents, en ne supposant pas de réponses spécifiques suivant l'âge en conditions constantes). Les fonctions ont été dérivées en utilisant une technique qui calcule directement les fonctions des taux à partir des observations sur les durées de développement faites dans chaque condition de température.Les fonctions ont révélé des taux de développement instantanés semblables pour les températures jusqu'à 30°C. A 30°C la fonction pour la température constante a atteint un plateau qui s'est maintenu jusqu'à la limite thermique. La fonction pour les thermopériodes naturelles a continué de s'élever jusqu'a 34°C, et alors a chuté brutalement jusqu'à zéro à 42°C. Dans la région d'où les lots de pupes ont été obtenus les températures subies par les pupes dans les zones non ombragées dépassent fréquemment 50°C pendant l'été. Les taux de développement des pupes aux températures au dessus de 30°C, où les fonctions avec températures constantes et thermopériodes deviennent différentes, sont cependant cohérent avec les expériences dans la nature avec L. cuprina. Les températures médianes de survie des pupes pour une exposition unique de 7 h, pour des expositions quotidiennes de 7 h et pour une exposition constante à haute température étaient respectivement de 44,7; 39, 2 et 34,4°C. Par comparaison avec des températures estivales du sol de 50°C et plus, il semble vraisemblable que la mortalité nymphale est un facteur important de déclin des populations de L. cuprina au milieu de l'été.
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3.
Summary Rice straw, maize, and cotton stalks and poultry droppings, both as such and with either wheat straw litter or sawdust litter, were used as substrates for biogasification. Water slurry combinations, each containing a crop residue and a type of poultry wastes, were prepared to achieve a uniform C/N ratio 301 (w/w) and a total solids content 10% (w/v). Biogas generated and its methane component, as well as changes brought about in the major organic constituents of the feedstocks, were monitored in laboratory biogas digesters for 90 days at 35°C. The maximum cumulative volumes of biogas and methane, were respectively 30 and 14 l/l with rice straw plus wheat straw poultry droppings. The minimum volumes were 15 l biogas/l with cotton stalks + sawdust poultry droppings and 8 l methane/l with rice straw + sawdust poultry droppings. Rice straw combinations gave the highest rates of volatile solids disappearance, short-chain fatty acid formation, and NH4 -N liberation. No consistent trend among the poultry wastes mixed with each crop residue was evident. Changes in water-soluble substances, protein, fats, hemicellulose, cellulose and lignin depended on the components of each feedstock mixture.
Changement dans les composants organiques des résidus de récolte et des déchets avicoles lors de la fermentation pour la production de biogaz
Résumé La paille de riz, les fanes de maïs et les tiges de coton ainsi que le lisier avicole, comme tels ou en mélange avec la litière de paille de froment ou de sciure ont servi de substrats pour la biométhanisation. On a préparé des combinaisons de boues aqueuses, chacune contenant un résidu de récolte et un type de lisier avicole, de manière à respecter un rapport C/N uniforme de 301 (p/p) et un contenu total en solides de 10% (p/vol.). On a suivi le biogaz produit et son contenu en méthane, ainsi que les changements apparus dans les principaux constituents organiques des substrats, dans des digesteurs de laboratoire pendant 90 jours à 35°C. On a obtenu les volumes cumulés maximum respectivement de 30 l/l de biogaz et de 14/l de méthane pour la paille de riz plus le lisier avicole avec paille de froment. On a obtenu les volumes cumulés minimum de 15l/l de biogaz pour les tiges de coton avec le lisier avicole avec sciure de bois et de 8 l/l de méthane pour la paille de riz et le lisier de poule avec sciure de bois. Les combinaisons avec la paille de riz ont donné les vitesses les plus élevées de disparition des solides volatils, de formation d'acides gras à courte chaîne et de libération d'azote ammoniacal. Il n'y a pas de tendances évidentes pour les lisiers avicoles mélangés avec les divers résidus de récolte. Les changements en substances hydro-solubles, en protéines, graisses, hémicellulose, cellulose et lignine dépendent de la composition de chaque mélange de substrats.
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4.
Conclusions Sur la côte méditerranéenne française, entre l'Ouest de Sausset (dans la Chaîne de la Nerthe à l'Ouest de Marseille) et la frontière italienne existe un étage climacique exigeant plus de chaleur que le Quercetum ilicis: l'Oleo-Ceratonion.Eliminé de la dépression rhodanienne par des hivers trop froids en rapport avec la fréquence du mistral qui la balaie fréquemment, ce climax débute sur la côte Sud de la Nerthe où il se localise, comme aux Iles du Frioul et dans les calanques entre Marseille et Cassis, dans quelques fonds de vallons particulièrement chauds.En Provence cristalline, avec un climat plus humide et plus chaud, surtout moins froid en hiver avec des minima absolus moins bas, ce climax se développe davantage, mais les maquis à Myrte, Olivier, Lentisque sous Pin d'Alep qui les représentent, se localisent encore strictement sur le littoral, et dans les fonds de vallons chauds du versant Sud des Maures occidentales où ils atteignent 100, 200 m et plus d'altitude.Dès le Cap Bénat et le Lavandou s'ajoutent des vastes peuplements à Euphorbia dendroides qui étendent le domaine actuel de l'Oleo-Lentiscetum aux pentes rocheuses qu'iis colonisent jusqu'à plus de 300 m d'altitude.La localisation stricte de l'Oleo-Lenticetum entre la bordure halophile et 20–30 m d'altitude seulement aux Iles d'Hyères beaucoup moins dégradées que la côte voisine des Maures, montre que ce climax côtier ne doit son extension actuelle jusqu'à plusieurs kilomètres vers l'intérieur et plus de 300 m d'altitude dans les Maures qu'à une progression récente en rapport peut-être avec un assèchement général du climat, certainement avec le recul, par destruction, des Chênaies de Chêne vert ou de Chêneliège.Dans l'Estérel, l'Oleo-Ceratonion sensu stricto—avec Ceratonia et Euphorbia dendroides—apparait et prend son plein développement entre Nice et Menton, de 0 à 300 m d'altitude.Les limites de ce climax et sa composition floristique sont à préciser en Italie où il doit être mieux représenté dans la partie Sud de la péninsule que plus au Nord où je l'ai vu entre Gênes et le Nord de Rome.C'est à cet étage climacique sous-jacent à celui du Quercetum ilicis que se rattachent les maquis littoraux à Myrte, Olivier, Lentisque, Laurier-rose de Corse où ils atteignent un développement plus considérable qu'en France continentale.L'Oleo-Ceratonion a servi de refuge, lors des dernières grandes glaciations, à de nombreuses espèces dont il a permis le maintien à l'état spontané sur le territoire français. Et c'est peut-être la raison principale de la richesse de certains territoires côtiers de la France méditerranéenne en endémiques. Là peuvent très bien avoir persisté à l'état spontané en particulier l'Olivier, le Laurier-rose, le Caroubier, la Vigne, le Figuier. De là, le Pin d'Alep est peut être parti pour s'étendre largement en Provence et en Languedoc.L'Oleo-Ceratonion au sens large s'étend, toujours en dessous de l'étage du Quercetum ilicis, depuis l'étage semi-aride d'Emberger à l'étage humide c'est-à dire essentiellement dans tout l'étage méditerranéen sub-humide (tempéré) défini par cet auteur. Il est probable qu'aux limites inférieures de cette aire de répartition il passe à d'autres associations affines mais différentes (en Afrique du Nord). L'Oleo-Ceratonion se cantonne dans les régions méditerranéennes à hivers chauds (m > 3 ou 4°) de la Côte d'Azur et de la Corsé, en France; il laisse au Quercetum ilicis, les parties de la région méditerranéenne où la movenne m des minima du mois le plus froid descend largement au-dessous de + 3° ou + 4°.Ce sont probablement ces exigences thermiques qui expliquent la continuité de plus en plus grande des peuplements à Myrte-Olivier-Lentisque, et leur extension altitudinale croissante lorsqu'on gagne de Marseille vers la frontière italienne. Sans doute faut-il considérer tous ces peuplements comme des irradiations, des infiltrations d'un climax de régions chaudes normalement plus méridionales que le Sud-Est méditerranéen français dans lequel, à l'origine—post-glaciaire tout au moins—ils n'ont été conservés qu'en un petit nombre de stations particulièrement favorables d'où ils sont partis pour étendre à nouveau leur aire.L'existence de ce climax justifierait que soit distingué un district ligurien ou pré-ligurien comme le proposait A. Chevalier (1916–18) après Flahault pour la zone à Oleo-Ceratonion, mais en étendant ce district vers l'Ouest, suivant l'étroite bande côtière où, jusqu'à l'Ouest du port de Sausset — à l'Ouest de Marseille — cette Alliance est représentée.  相似文献   

5.
Groups of Glossina morsitans morsitans Westwood fed at emergence and thereafter daily, every second or third day respectively, up to the end of their first pregnancy cycle, survived well (73–79%) and produced virtually the same number of puparia/ (0.83–0.85) in the same puparial weight class (23–24 mg). However, adult survival (29%), number of puparia/ (0.30) and puparial weight (19 mg) were much lower in the group consistently fed every 4th day after the initial meal at emergence. It is proposed that tsetse colonies could be fed on Mondays, Wednesdays and Fridays without jeopardising adult survival, puparial production/ and the size (weight) of puparia produced.
Performances en Zambie de la mouche Tsé-Tsé (Glossina morsitans morsitans) élevée en utilisant différents régimes alimentaires
Résumé Afin d'estimer si une alimentation quotidienne de G. morsitans morsitans présente un avantage sur une alimentation moins fréquente, nous avons enrigestré la survie des adultes, la production et le poids des pupes chez des individus nourris à l'émergence et, ensuite, tous les jours ou tous les 2, 3 ou 4 jours. Les femelles alimentées quotidiennement, ou tous les 2 ou 3 jours, ont produit le même nombre de pupes (0,83–0,85), avec des poids de même ordre (23–24 mg), et avec une aussi bonne survie (73 à 79%). Alimentées tous les 4 jours, elles ont produit 0,30 pupe/femelle, pesant 19 mg/pupe et avec une plus faible survie (29%). Ces résultats montrent qu'il est inutile de nourrir les mouches chaque jour au lieu de tous les 2 ou 3 jours. Cependant une alimentation à des intervalles supérieurs à 3 jours, a eu des conséquences clairement défavorables. Ainsi, peuvent être considérablement réduits et le travail et le coût des élevages, sans porter préjudice à la production, en alimentant les mouches 3 fois par semaine, par ex. les lundis, mercredis et vendredis.
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6.
As the temperature at which larvae of C. capitata were reared decreased from 30° to 25° to 20° the yield of pupae from eggs increased from 15% to 25% to 30% and the mean weight of pupae decreased. Within each temperature regime the weight of pupae produced on successive days declined and the fat content of those pupae varied.
Résumé On a étudié l'effet de température d'élevage larvaire de 20°, 25° et 30°. La durée du développement s'accroît de 7 à 13 jours pour des températures respectives de 30° et 20°. Lorsque la température d'élevage baisse, le nombre de pupes produites par rapport aux oeufs s'accroîts de 15% à 20% et 30% et le poids moyen des pupes diminue.Pour chaque régime de température il y a une nette réduction du poids des pupes produites au cours des jours successifs et la teneur en lipides de celles-ci varie également. L'émergence moyenne des adultes à partir de pupes produites dans un élevage à 30° est plus élevée que celle obtenue dans des élevages à 25° et 20°.Tandis que la vitesse du développement, le contrôle du métabolisme des graisses et la production de pupes peuvent être des facteurs primaires intervenant dans le choix de la température d'élevage pour la production de masse de la mouche des fruits, il faudrait aussi considérer les effets de cette température d'élevage sur d'autres aspects de la biologie de l'insecte.
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7.
Many larvae from wild-caught female Glossina palpalis palpalis R.-D. treated topically with dieldrin or sumicidin or sumithrin or permethrin failed to pupariate and many larvae from mothers treated with sumicidin or sumithrin or neopynamin formed small or malformed puparia which failed to eclode. Puparia produced soon after maternal handling often did not emerge and many produced by flies starved more than 3 days also did not emerge. Very many puparia from dieldrin-treated mothers failed to emerge and non-emergence was common for puparia from flies treated with endosulfan or sumithrin or deltamethrin. Non-emerging puparia were produced soon after pyrethroid-treatment, probably due to effects on larval integumentand muscles, but were produced later after organochlorine-treatment, due to ingestion of insecticide by larvae while in utero.
Résumé Les expériences ont porté sur des femelles sauvages de Glossina palpalis palpalis R.D. capturées dans la nature. Les comparaisons ont porté sur l'état et les performances de lots de pupes provenant de mouches non-traitées et de larves mûres traitées localement avec de l'acétone (témoin) ou avec 14 insecticides différents.Toutes les larves témoin se sont nymphosées, mais le taux d'échec augmentait avec la diéldrine, la sumicidine, la sumithrine et la permethrine. Les pupes anormales (petites ou déformées) étaient plus nombreuses dans le lot témoin que dans le lot non-traité, et les fréquences étaient plus élevées que chez le témoin avec la sumidicine, la sumithrine et la néopynamine.Seulement 3 mouches sont issues de 107 pupes anormales; il n'y a eu aucune éclosion pour 28% des pupes du lot témoin contre 15% pour le lot non-traité. Pour le témoin le taux d'émergence était faible dans les pupes formées le premier jour (jour du traitement), par suite de la manipulation maternelle; il n'a pas augmenté jours 2 et 3, mais a diminué par la suite à cause du jeûne in utero. Les doses élevées de tous les insecticides réduisent plus les émergences que les doses faibles. Les organophosphates et le propoxur ne limitent pas les émergences, mais elles sont réduites par l'endosulfane, la sumithrine et la deltaméthrine, et très fortement par la diéldrine. Les pupes stériles ont été surtout formées dès le traitement aux pyréthroïdes (jour 1); et surtout plus tard (jours 2 et 3) lors des traitements aux organochlorés. L'ingestion par la larve in utero de grandes quantités d'insecticides pendant les 3 jours précédant la parturition était la principale cause de mortalité, et aussi de la forte tolérance aux organochlorés des femelles prégnantes. Les effets de pyréthroïdes sur l'activité musculaire réduisent aussi les émergences.Aucune mouche ne s'est alimentée après les traitements.
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8.
Aphidius rhopalosiphi parasitises green colour forms of Sitobion avenae more frequently than brown forms. The handling time is longer for brown than for green nymphs, even when the two forms are members of the same clone. Parasite development lasts longer in brown forms than in green forms, and mortality is higher.
Résumé A. rhopalosiphi a parasité les stades jeunes de S. avenae avec plus de succès que les stades âgés, et les types verts plus fréquemment que les bruns. Dans tous les cas, la mortalité était élevée; significativement plus de pucerons du premier et du second stade ont été tués par l'attaque du parasite que ceux des 3è et 4è stades. La fréquence de pucerons bruns formant des momies a augmenté avec le nombre de pipûres, de 0,1 pour une piqûre à 0,4 pour 8 piqûres. Lorsqu'il n'y a qu'une piqûre, le nombre d'oeufs émis est le même pour les deux types. A 20–22 °C, le développement du parasite dure jusqu'à 9 jours dans les pucerons verts et 12 jours dans les bruns. Lorsqu'il y a choix, les parasites préfèrent les verts aux bruns (Même quand ils sont du même clone) et les bruns clair aux bruns sombres. Les verts ont besoin de moins de rencontres que les bruns pour être piqués, mais pour une souche de parasites recueillie depuis peu, la différence était faible, pourtant cette nouvelle souche ne parasitait pas les pucerons bruns avec plus de succès que l'ancienne souche.
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9.
Resume 14 activités enzymatiques (3 deshydrogénases et 11 hydrolases) ont été recherchées systématiquement sur les électrophorégrammes en gel d'agar des extraits de 2 souches de Aspergillus fischeri et de 14 souches de A. fumigatus (8 isolées de lésions humaines ou animales intitulées souches pathogènes, et 6 souches d'origine saprophytique). La composition enzymatique de A. fumigatus est apparue très polymorphe et sans rapport avec l'origine des souches.D'autre part, l'analyse immunoélectrophorétique de ces extraits antigéniques, par des sérums de lapins hyperimmuns et des sérums de malades atteints d'aspergillose, a montré que l'activité chymotrypsique de type II, supportée par l'arc C, est caractérisée de manière plus fréquente et plus intense lorsque les antigènes provenant de souches pathogènes sont opposés à des sérums de malade.De plus, si cette activité chymotrypsique est révélée avec la même fréquence par une souche saprophyte et une souche pathogène, le nombre de précipitines mises en évidence est apparu significativement plus élevé avec cette dernière.Les antigènes utilisés pour le diagnostic de précipitation en gel devraient donc être, de préférence, extraits de souches pathogènes et leur qualité évaluée par des sérums de malades atteints d'aspergillose.  相似文献   

10.
The effects on dietary self-selection of phagostimulation and metabolic feedback from nutrients were seperated by using two unusual carbohydrates alone or in combination: mannitol, which is nutritive but not phagostimulatory for H. zea larvae; and sorbose, which is weakly phagostimulatory but not nutritive. Last instar H. zea larvae recognized and responded positively to mannitol by metabolic feedback when it was included in a diet with casein. When offered a choice of two diets, one containing casein but lacking a utilizable carbohydrate and another lacking casein but including either mannitol or sorbose, they did not self-select for either mannitol or sorbose. However, in a similar experiment, in which the carbohydrate diet contained a mixture of mannitol and sorbose, there was a positive response, demonstrating that both metabolic feedback and phagostimulation are required to elicit self-selection.
Résumé Les chenilles d'H. zea peuvent choisir un mélange nutritif optimal parmi deux régimes séparés, répondant à des besoins alimentaires différents. Cette aptitude à l'autosélection pose la question des voies de sélection d'un régime optimal par l'insecte. L'autosélection est probablement réalisée par un feedback métabolique des aliments; la stimulation sensorielle par les aliments pourrait jouer elle aussi un rôle. Notre objectif est de séparer ces deux facteurs et d'en déterminer l'importance relative.Des L 5 venant de muer ont pu s'alimenter sur 2 régimes nutritionnellement complets, mais dont l'un contenait des carbohydrates (sucrose) mais non des protéines, tandis que l'autre contenait des protéines (caséine) mais non des carbohydrates. L'auto-sélection caséine/sucrose a été 81/19; elle correspond à la portion idéale pour le dernier stade des chenilles H. zea établie lors d'expériences antérieures (Waldbauer et al., 1984a). Pour comparer l'importance relative du feedback métabolique et de la stimulation sensorielle, 2 carbohydrates ont été substitués au sucrose, qui est à la fois nutritif et phagostimulant: le mannitol, nutritif mais ne stimulant pas de prise de nourriture, et le sorbose, faiblement stimulant mais non nutritif. Quand elles ont le choix, les chenilles ne sélectionnent ni mannitol, ni sorbose, mais consomment presque exclusivement le régime alternatif à la caséine. Quand sorbose et mannitol sont mélangés et proposés ensemble, la réponse est positive, montrant que le feedback métabolique et la stimulation sensorielle sont impliqués tous deux dans l'autosélection alimentaire.Des expériences en deux étapes d'autosélection ont montré que le feedback métabolique est de première importance. Dans la première, les chenilles avaient le choix entre caséine seule et caséine et mannitol. Les chenilles ont consommé significativement plus d'aliment avec mannitol que sans carbohydrate, bien que les goûts des deux régimes aient du être identiques, puisque le mannitol n'a pas de goût pour H. zea. La caséine a été vraisemblablement assez phagostimulante pour maintenir suffisamment les chenilles sur l'aliment avec mannitol et ainsi permettre au feedback métabolique du mannitol d'influer sur leur maintien sur cet aliment sans en rechercher un autre.Dans d'autres expériences, les chenilles ont eu le choix entre un régime alimentaire classique avec de la caséinne et d'autres n'ayant plus leur caséine mais avec des quantités décroissantes de sucrose. Elles n'ont pas réagi en consommant plus d'aliments avec du sucrose dilué, mais en consommant plus de caséine. Cependant, si du mannitol, pourtant non phagostimulant, est ajouté à des aliments avec du sucrose dilué pour remplacer le sucrose manquant, les chenilles ne compensent plus en consommant plus d'aliments avec de la caséine, mais de la même façon qu'elles le feraient avec un aliment contenant la concentration adéquate de sucrose, montrant qu'elles perçoivent ainsi le feedback métabolique du mannitol, qui est pourtant sans goût.
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11.
Patterns of parasitism of Calliphora sp. pupae by Nasonia vitripennis (Walker) (Hymenoptera: Pteromalidae) are explored under various conditions of host aggregation. Increasing the hosts' spatial aggregation decreased the number of hosts actually parasitised but had no significant effect on the total number of hosts attacked. Increasing host aggregation also resulted in a smaller parasitoid population with a more male biased sex ratio.
Résumé Nous avons examiné les effets de différents niveaux d'agrégation des hôtes (pupes de Calliphora) sur l'efficacité parasitaire de Nasonia vitripennis. Une augmentation de l'agrégation des pupes a diminué le nombre d'hôtes parasités bien que le nombre de pupes attaquées ait été peu modifié. Cette différence a été attribuée à un accroissement des interactions comportementales entre les parasitoïdes et à une tendance au superparasitisme plus élevée lors des distributions les plus agrégatives. Plus les hôtes étaient concentrés, moins l'effectif de parasitoïdes achevant leur développement et émergeant était important. La fréquence des males a augmenté avec la concentration des pupes. Nous avons estimé que les facteurs déterminants ont été les interactions comportementales entre femelles et leur aptitude à modifier le taux sexuel de leur descendance immédiate.Nous en avons conclu que N. vitripennis est peut-être mieux adaptée aux populations d'hôtes distribuées au hasard, type de distribution le plus vraisemblable dans les populations naturelles.
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12.
The dietary effect of L-ascorbic acid, its ascorbates and analogs at equimolar concentrations on larvae and pupae of the Egyptian Cotton Leafworm, Spodoptera littoralis (Boisd.) was studied. The daily activity loss of these compounds in the diet was determined with a 2,4 dinitrophenylhydrazine-thin layer chromatography method. This determination of ascorbates and analogs showed a rapid loss of activity down to about 50% after 4 days. However, ascorbic acid was significantly more stable. Storing ascorbic acid, its ascorbates and analogs at 6° only preserved their activity at 10–25% more than at 25°; sodium ascorbate, calcium ascorbate and L-dehydroascorbic acid equalled the activity of L-ascorbic acid in larval and pupal weight, as well as insect development. D-araboascorbic acid (=D-isoascorbic acid) did not support the normal insect development. Stability of ascorbic acid ascorbates and analogs in the diet in relation to their dietary effects is discussed.
Résumé Ce travail étudie les effets sur les larves et les nymphes de Spodoptera littoralis (The Egyptian Cotton Leafworm), d'adjonction à l'alimentation d'acide L-ascorbique et de ses ascorbates et analogues à des concentrations équimoléculaires. Les pertes journalières d'activité de ces composés ont été déterminées par une méthode de chromatographie sur couches minces avec le 2–4 dinitrophenylhydrazine. Cette détermination des ascorbats et analogues a révélé une perte rapide d'activité jusqu'à environ 50% après 4 jours. Cependant l'acide ascorbíque est relativement plus stable. Le stockage à 6° de l'acide ascorbique, de ses ascorbates et analogues préservait leúr activité de seulement 10–25% de plus qu'à une température de 25°. L'ascorbate de sodium, l'ascorbate de calcium et l'acide L-dehydroascorbique montraient une activité égale à celle de l'acide L-ascorbique, quant à leur effet sur le poids des larves et pupes, aussi bien que sur le développement de l'insecte. L'acide D-ascorbique ne permet pas le développement normal de l'insecte. La stabilité de l'acide ascorbique, des ascorbates et des analogues dans l'aliment est discutée en rapport avec les effets observés.
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13.
Fresh weight (fw) food consumption by caterpillars of Anticarsia gemmatalis Hübner (Lepidoptera: Noctuidae) increased almost 2-fold as the nutrients in an artificial diet were increasingly diluted with water (diets contained 65, 79, 86 or 89% fw water). Nonetheless, dry weight (dw) relative consumption rate (RCR) declined with diet dilution. The efficiency at which the consumed food is digested and assimilated (approximate digestibility, AD) increased on the 3 diluted diets, and the efficiency at which digested food is converted to biomass (ECD) increased on the 79 and 86% fw diets. As a consequence, dw gained and relative growth rate (RGR), which is the product of RCR x AD x ECD, on the 79% fw diet were similar to those on the 65% fw diet, but they declined on the more diluted diets. Relative nitrogen consumption rate also declined with dietary dilution, but this was compensated by an increase in nitrogen utilization efficiency such that the product of these, relative nitrogen accumulation rate, was similar on all four diets. Insect lipid content declined from 32% on the undiluted diet to 13% dw on the most diluted diet, and was primarily responsible for the decline in RGR. The increases in fw consumption and AD, while not preventing a decline in RGR on the two most diluted diets, mitigated the impact of dietary dilution (e.g., without these increases, RGR on the most diluted diet would have been only 43% of that attained). These results indicate that the consumption and utilization of food are dynamic processes, and that caterpillars of A. gemmatalis, like many other insects, exhibit compensatory responses to changes in dietary quality.
Résumé Peu de travaux ont examiné l'aptitude des insectes à modifier leur consommation et l'utilisation des aliments en fonction des variations qualitatives et quantitatives connues de l'aliment. On a rarement examiné si ces modifications sont adaptatives, si elles maintiennent le taux de croissance et le niveau des ressources, ou si elles limitent au moins les effets nuisibles du changement d'aliment. En utilisant une technique gravimétrique, nous avons mesuré le gain des poids, l'aliment consommé et les excréments produits par des chenilles de A. gemmatalis Hübn. (Lep, Noctuidea), important ravageur du soja aux USA.La consommation en poids frais (fw) a augmenté presque 2 fois quand le régime artificiel a été dilué progressivement avec de l'eau (65, 79, 86 ou 89% d'eau); le poids sec (dw) et le taux de consommation relative (RCR) ont diminué néanmoins avec la dilution. L'efficacité de digestion et d'assimilation de l'aliment consommé (digestibilité approchée, AD) a augmenté pour les trois dilutions, l'efficacité de conversion en biomasse de l'aliment digéré (ECD) a augmenté dans les dilutions à 79 et 85%, mais a diminué pour les régimes plus dilués. Par conséquent, le gain dw et le RGR, — produit de RCR x AD x ECD-, étaient identiques avec le régime à 79% fw à ceux de 65% fw, mais ont diminué pour les régimes plus dilués. Le taux relatif d'efficacité de consommation d'azote a diminué aussi avec la dilution, mais il a été compensé par un accroissement de l'efficacité de l'utilisation de l'azole tel, que le produit,-taux relatif d'accumulation de l'azote-, était le même pour les quatre régimes. La teneur en lipides des insectes a diminué, de 32% pour le régime sans dilution, à 13% pour le régime le plus dilué; elle a été le principal responsable de la diminution de RGR. L'accroissement de la consommation fw et de AD, tout en n'empêchant pas la diminution de RGR pour les deux régimes les plus dilués, a limité l'effet de la dilution (sans ces accroissements, le RGR du régime le plus dilué n'aurait été que 43% du RGR obtenu).Ces résultats indiquent que la consommation et l'utilisation d'aliments constituent un processus dynamique, et que les chenilles de A. gemmatalis comme beaucoup d'autres insectes, présentent des réactions compensatrices au changement de qualité de l'aliment. De telles variations dans la consommation d'aliments ont des conséquences écologiques (consommation accrue de substances allélochimiques potentiellement toxiques et exposition accrue aux causes biologiques de mortalité pendant l'alimentation), et intéressent l'organisation de la protection contre les insectes:-en permettant la manipulation de l'alimentation des insectes pour augmenter la consommation à court terme d'agents bioactifs, et, par ce moyen, réduire la consommation totale,-en permettant d'améliorer la modélisation des dégâts alimentaires prévisibles, qui, pour être efficace, devrait inclure les variations de l'alimentation en fonction de la qualité alimentaire de la plante cultiveé.
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14.
The hardness (i.e. resistance to penetration) of water-saturated polyporus and of various plant structures, determined by a 0.254 mm diameter needle-penetrometer, ranged from 12–50 and 11–112 g/mm respectively. The isolated mandibular stylets of three species of Homoptera (Typhlocyba rosae, Philaenus spumarius, Macropsis fuscula) possessed tapered but non-curved apices while the maxillaries were incurved to varying extents: this condition was reversed in two Heteroptera (Orthotylus ochrotrichus, Tingis cardui) where the mandibulars were incurved and the maxillaries straight. Insertion of the isolated stylets into wet polyporus produced curved paths closely related to the stylet structure with the average radius of curvature of the path decreasing by half in the hard (50 g/mm) compared with the soft (12 g/mm) polyporus. These results are related to published information on the stylet paths of these and related insects when they are feeding. Directional control of the stylets in plant tissue is considered to be primarily a function of the mandibular stylets in the Heteroptera and of the maxillaries in the Homoptera, for species in which the maxillary stylets are independently-moving.
Résumé La dureté (c'est-à-dire la résistance à la pénétration) de petits morceaux de polypore saturés d'eau est évaluée d'après la force nécessaire pour assurer l'enfoncement d'une aiguille d'un diamètre de 0,254 mm; celle-ci est comprise entre 12 et 50 g/mm. La dureté moyenne ainsi établie est évidemment plus grande que celle obtenue avec une aiguille de 0.142 mm; par ailleurs, si le polypore est remouillé, après avoir été séché, il ne montre aucun changement significatif de sa dureté; celle-ci est inversement proportionnelle à la teneur en eau.La dureté de divers organes des plantes, déterminée avec une aiguille de 0,254 mm, varie de 11,3 g/mm (nervure principale d'une feuille de tabac) à 112,2 g/mm (tige de chèvrefeuille), bien que certains tissus puissent avoir des valeurs moyennes bien au-dessus ou bien audessous de celle de l'organe entier. Comme avec le polypore, il y a une relation inverse entre la dureté et la teneur en eau.L'examen des extrêmités des stylets isolés chez trois espèces d'Homoptères et deux espèces d'Hétéroptères, montre que chez les Homoptères les mandibules sont droites et acérées alors qu'elles sont courbes chez les Hétéroptères; la condition inverse s'observe pour les maxilles. La courbure des stylets qui se voit chez l'insecte vivant quand leur extrémité est prolongée au-dela du faisceau, varie avec les espèces. Pour les maxilles, elle est plus grande chez Typhlocyba rosae que chez Philaenus spumarius et Macropsis fuscula (Homoptères), et pour les mandibules, elle est plus grande chez Tingis cardui que chez Orthylus ochrotrichus (Hétéroptères).Des stylets isolés enfoncés dans du polypore tendre ou dur (12 et 50 g/mm respectivement) suivent des trajets courbes en rapport avec la structure des stylets et avec la dureté du substrat.Des résultats publiés pour d'autres espèces d'Hémiptères au sujet de la pénétration des stylets dans les tissus des plantes sont confrontés aux résultats précédents. On en conclut que les trajets sinueux observés pour les stylets des Hétéroptères (O. ochrotrichus et T. cardui) et de petits Homoptères (Typhlocyba rosae) sont surtout le fait des stylets mandibulaires et maxillaires respectivement présentant une courbure. La courbure moins accentuée des stylets maxillaires de plus grands Homoptères (P. spumarius et M. fuscula) est à rapprocher du trajet plus droit des stylets de ces espèces, avec un changement de direction limité aux tissus vasculaires les plus durs.
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15.
The male blowfly, Phormia regina Meigen shows preference among a variety of natural and artificial foods. In a laboratory study preference was observed among sweet and fermenting juices as well as between liver and fish. The preferences between fresh and fermenting juices were based not only on component sugars, but also on other components, namely, amino acids, alcohol salts and presumably other chemical compounds. The preference between decaying liver and fish was probably based partly on the composition and concentration of amino acids in these foods. A variety of amino acids were found in foods and some of these amino acids were shown to be excitatory, some inhibitory and others neutral. Salts were also observed to be present in the juices; and in a laboratory study NaCl at lower concentrations acted synergestically with 0.1 M sucrose and at higher concentrations repulsive. It is suggested that feeding preference is based on several chemicals which behave either in an excitatory, additive, neutral, inhibitory or synergistic manner. The ratio of excitants to inhibitants is important in deciding the direction of preference.
Résumé P. regina Meigen mâle préfere certains aliments naturels ou artificiels. Au laboratoire ses préférences parmi les jus sucrés sont les suivantes: orange > miel > pomme > sucrose 0.1 M; et parmi les aliments en décomposition: sucrose 0.1 M > foie > poisson. Les jus frais sont préférés aux jus fermentés. Les préférences ne dépendent pas seulement de la nature des sucres, mais aussi des acides aminés, de l'alcool, des sels et probablement d'autres substances chimiques. Le foie contient à la fois le plus grand nombre et la concentration la plus élevée en acides aminés, ce qui explique partiellement le goût pour le foie. Expérimentalement on peut classer les acides aminés en stimulants, inhibiteurs et neutres. Des sels ont été notés dans les jus, mais aucune analyse qualitative et quantitative n'en a été faite. Mélangé à du sucrose à 0.1 M, NaCl agit en synergie aux faibles concentrations, devient neutre à 0.175 M et à des concentrations supérieures le sucrose seul est préféré au mélange avec NaCl. Cependant, un mélange de NaCl à 0.25 M (bien qu'une telle concentration soit peu probable dans des jus végétaux) avec du sucrose à 0.1 M était préféré à l'eau. Il en est déduit que les préférences alimentaires. dans la nature sont orientées par plusieurs substances chimiques qui se comportent d'une façon stimulante, additive, neutre, inhibitrice ou synergique, et que les préférences alimentaires sont relatives. Le rapport de stimulants sur inhibiteurs est important dans la détermination du sens de la préférence.
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16.
Field tests on attraction of Caribbean fruit flies to 15×20 cm colored sticky traps releaved a clear preference for orange, followed by yellow and yellow-green. Lower capture rates were obtained for dark green, blue, red, black, and white. Reflectance spectra of painted surfaces were determined and it was noted that fly capture rates were directly related to the proportion of light reflected in the 580–590 nm region. Attraction appeared to depend primarily upon the hue rather than the intensity of emission. Responses to orange were considered to indicate fruit-seeking rather than foliage-seeking behavior because a disproportionate number of females was captured (3:1 : ratio), because foliage normally reflects maximally in the yellow-green rather than the orange region, and because a variety of host fruit reflects strongly in the orange region of the spectrum.
Résumé Des tests sur le terrain concernant l'attraction de la Mouche des fruits des Caraïbes à l'égard de pièges adhésifs colorés mettent en évidence une nette préférence de l'insecte pour la couleur orange, suivie de près par le jaune et le jaune-vert. Les taux de capture les plus faibles ont été obtenus par des pièges de couleur vert-foncé, bleue, rouge, noire et blanche. Le spectre de la lumière réfléchie par les surfaces peintes a été précisé et il a été remarqué que les taux de capture des mouches étaient en rapport direct avec la quantité de lumière réfléchie dans la gamme de 580–590 nm, mais l'attraction semblait dépendre en premier lieu de la couleur plutôt que de l'intensité de l'émission. Les réponses à la couleur orange semblent indiquer un comportement de recherche du fruit plutôt que recherche du feuillage, ceci en rapport avec la capture d'un plus grand nombre de femelles (30/10), et parce que le feuillage réfléchit normalement au maximum dans le jaune vert plutôt que dans l'orange, alors qu'une variété de fruit-hôte de cet insecte réfléchit fortement dans la zone du spectre correspondant à l'orange.
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17.
The food selection behaviour of male fifth instar nymphs of Locusta migratoria was monitored on the host plant wheat and on the non-host plants Senecio vulgaris, S. jacobaea and Brassica oleracea. The non-hosts were rejected, but the mode of rejection altered with time in a way which suggested associative learning. This hypothesis was tested and the results discussed in relation to classical theories of learning.
La sélection des aliments chez les criquets: Le rôle de l'apprentissage dans le comportement de rejet
Résumé Des larves mâles de cinquième stade de Locusta migratoria ont été placées dans des cages avec des végétaux qui pouvaient être changées sans troubler les insectes. Le contact avec des pieds de blé entraînait généralement une palpation suivie de morsures et alors d'alimentation continue. Les plantes non-hôtes Senecio vulgaris, S. jacobaea et Brassica oleracea étaient rejetées, d'abord après morsures suivant la palpation, mais ultérieurement par palpation seule. Nous avons vérifié l'hypothèse que la sensation obtenue par palpation était initialement inadéquate pour provoquer le rejet, ce qui était assuré par les morsures ultérieures mais qu'avec l'expérience l'insecte apprenait à lier la sensation de palpation avec celle de morsures et progressivement rejetait après palpation seule. Ainsi les 8 premiers contacts avec des aliments désagréables ont été observés, soit quant S. vulgaris était présenté continuellement, soit quand S. vulgaris était remplacé par une autre plante désagréable après 4 contacts. Une analyse mathématique des résultats révèle une tendance au rejet par palpation seule à travers les contacts successifs, et que cette tendance est interrompue et se restaure quand l'espace végétal est changé. Ces résultats sond discutés dans le contexte des théories de l'apprentissage et on en a conclu que le phénomène observé est le résultat d'un apprentissage associatif.
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18.
Larvae of the Southern armyworm Spodoptera eridania Cramer (Lepidoptera:Noctuidae), feeding on perennial ryegrasses (Lolium perenne L.) infected with an endophytic fungus (Acremonium loliae Latch, Christensen and Samuels), had a much lower survival rate (7–13%) than larvae feeding on endophyte-free ryegrasses (82–90%). Death of the larvae on endophyte-infected entries occurred rapidly between 144 h and 168 h of feeding. This corresponded with armyworms feeding on the base of the plant, where endophyte concentration is highest. Twenty-four hours after the start of the bioassay the larval mass and rate of larval development were significantly higher on endophytic entries. From 48–144 h no differences were seen, but after 144 h the mass of larvae on endophyte-infected grasses sharply declined. Observations from this bioassay further substantiate the association between A. loliae-infected ryegrass and antibiosis to several lepidopterous and coleopterous insect pests.
Résumé Le ray-grass vivace (Lolium perenne), contaminé par le champignon endophyte Acremonium loliae Latch, Christensen & Samuels, a présenté une augmentation de la resistance à de nombreux coléoptères et lépidoptères nuisibles. Cette note examine les réactions de Spodoptera eridania Cramer (Lépido., Noctuidae) alimenté sur trois lignées de ray-grass contaminées par le champignon et trois lignées saines. Après 168 h d'alimentation sur ray-grass contaminé, les chenilles presentent une très forte mortalité; la survie n'est que de 7 à 13% contre 82 à 90% pour le ray-grass sain. Le décès brutal des chenilles correspond à leur alimentation sur la base de la plante ou la concentration du champignon est la plus forte. Les chenilles consomment constamment, broutant plus des 2/3 du feuillage du ray-grass; les broutements des six séries ne différaient pas significativement.Au bout de 24 h, la nombre de chenilles passées du 3ème au 4ème stade, et l'augmentation de poids sont plus élevés pour les séries sur plante contaminée, ce qui suggère un avantage initial pour les chenilles en présence de champignon endophyte, l'analyse en poids sec a montré que l'augmentation de poids initial est réel. Entre 48 et 144 h, cependant, le nombre de 4ème stade et le poids des chenilles sont les mêmes dans les deux séries. Après 144 h, le poids des chenilles sur ray-grass contaminé diminue significativement; aucune n'était parvenue au 5ème stade, contre 11% sur ray-grass sain. Nous n'avons pas observé de signes apparents de neurotoxicité. Au lieu de cela, il ya a eu interaction avec un processus physiologique fondamental, ce qui a provoqué une forte perte de poids larvaire et la mort, indiquant l'intervention d'inhibiteurs métaboliques.
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19.
In the Australian sheep blowfly, Lucilia cuprina, the number of ovarioles, and hence the maximum number of eggs developed in each ovarian cycle, is a linear function of adult size (headwidth). Field females have a mean headwidth of 3.0 mm (range=2.30–3.50 mm) and a mean potential fecundity/cycle of 232 eggs (range=111–318 eggs). Realised fecundity is influenced by the quality and amount of protein in the adult diet. All field females appear to have the same minimum protein requirement for egg maturation, i.e., whatever their size (potential fecundity) females must obtain sufficient protein to mature at least 110 eggs in order to become gravid. Females whose protein intake exceeds this minimum but falls short of the amount needed for maturation of their full egg complements resorb some of their oocytes and mature the remainder. Since potential fecundity increases with fly size, large females resorb more oocytes than small females under suboptimal protein regimes, i.e., the proportion of oocytes resorbed increases with fly size. Under field conditions, females rarely matured full complements of eggs, which indicates a general shortage of protein-rich material. The mean reduction in fecundity of field females during these studies was 53.4 eggs/cycle (23.2%).
Résumé Chez Lucilia cuprina Wied., le nombre d'ovarioles, et ainsi le nombre maximum d'oeufs développés au cours de chaque cycle ovarien, est une fonction linéaire de la taille de l'adulte (largeur de la tête). La largeur moyenne de la tête des femelles de la nature est 3 mm (2,3 à 3,5) et la fécondité potentielle moyenne par cycle de 232 oeufs (111 à 318).La fécondité réelle est influencée par la qualité et la quantité de protéines dans le régime alimentaire. Toutes les femelles de la nature semblent avoir les mêmes exigences minimales en protéines pour la maturation des ovocytes, c'est à dire que quelle que soit leur taille (fécondité potentielle) les femelles doivent obtenir les protéines suffisantes à la formation d'au moins 110 ovocytes pour devenir gravides. Les femelles dont l'absorption de protéines dépasse ce minimum, mais est insuffisant pour permettre la maturation de la totalité de leurs ovocytes, en résorbent quelques uns et conduisent à maturité le reste. Puisque la fécondité potentielle augmente avec la taille des mouches, les grosses femelles résorbent plus d'ovocytes que les petites avec un régime suboptimal en protéines, c'est à dire que la proportion d'ovocytes résorbés augmente avec la taille des mouches. Dans les conditions de la nature, la totalité des ovocytes parvient rarement à maturité, ce qui indique une limitation générale en aliments riches en protéines. La réduction moyenne de la fécondité chez les femelles de la nature a été au cours de cette étude de 53.4 oeufs par cycle (23,2%).
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20.
An apparent fluctuating preference in acridids for food of different water contents is confirmed for Schistocerca gregaria nymphs. Short- and long-term preference tests reveal that previous diet, through its effect on locust water balance and overall food intake, can influence feeding behavior on high-water content (wet) and low-water content (dry) food. Locusts given only wet or dry food for 3 days prior to testing initially chose the food not received in pretreatment when given a choice of the two. They had decreased latencies to feed, increased meal length and decreased switching between food types as compared with locusts given the option to regulate water intake before testing. It is suggested that the behavior of the single-diet locusts has several related causes, among them, deterrence of the food, disturbed water balance in the locust, and chronic hunger. Long-term preference tests reveal that fifth-instar locusts given a continuous choice between wet and dry food take significantly more of their total dry matter from dry food each day until the last feeding day of the instar (day 9), when they take 97% of their total dry matter from wet food. This behavioral regulation of water and dry matter intake is adaptive: locusts with access to a mixed diet of wet and dry food have increased growth as compared with ones given only wet food. The growth increase is due largely to increased dry matter consumption, with some contribution from increased digestive efficiency and reduction in respiratory rate.
Résumé L'étude de larves de dernier stade de Schistocerca gregaria confirme les observations sur les acridiens d'une préférence apparemment labile pour les aliments à différentes teneurs en eau. Des observations sur les choix à court et à long termes rélèvent que le régime alimentaire antérieur, par son action sur le régime hydrique du criquet et sur sa prise totale de nourriture, peut influer sur le comportement alimentaire face à des aliments à forte teneur en eau (humides ou frais) ou à faible teneur (secs). Des criquets, approvisionnés uniquement en aliments secs ou frais pendant les 3 jours précédant l'expérience, choisissent de préférence la catégorie d'aliments non fournie pendant ce prétraitement. Par comparaison avec des criquets ayant eu la possibilité d'ajuster leur apport en eau avant l'expérience, ils présentaient une diminution du temps de latence avant de s'alimenter, une prolongation de la durée des repas et une diminution du nombre de changements de type d'aliments. II est suggéré que le comportement des criquets, à régime alimentaire composé d'un seul type, a plusieurs causes associées, en particulier la répulsion pour le végétal, la perturbation de l'état hydrique du criquet, et la faim chronique. Des tests sur les préférences à long terme montrent que des larves de 5ème stade ayant eu un choix continu entre aliments frais et secs prirent significativement plus de leur matière totale d'aliments secs jusqu'à ce qu'elles parviennent au dernier jour d'alimentation du stade (jour 9), alors elle prélevèrent 97% de leur matière sèche totale d'aliments frais. Cette régulation comportementale de l'absorption d'eau et de matière sèche est adaptative: des criquets ayant accès à une alimentation mixte (nourriture sèche et fraîche) ont unt croissance supérieure à ceux nourris exclusivement d'aliments frais. La croissance supérieure est due pour beaucoup à une consommation accrue de matière sèche, avec une légère contribution de l'amélioration de l'efficacité digestive et de la réduction du taux de respiration.
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