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1.
Sommaire Dans le présent travail, sont examinées les associations des plantes ammophiles qui se rencontrent sur les côtes d'ouest du Péloponnèse (voir la carte du texte).Ces côtes sont les plus favorables à la formation des dunes de sable, car, d'une part elles sont plus ou moins escarpées et par suite plus exposées aux vents sud-ouests qui régnent à cette région, et, d'autre part, on rencontre dans cette région les trois facteurs qui sont nécessaires pour la formation des dunes, le vent, le sable et les plantes, qui constituent, d'après Kühnholtz-Lordat (1923) le trinôme dynamique. Les géophytes à rhizome, Ammophila arenaria, Agropyrum junceum ssp. mediterraneum, Galilea mucronata, et Sporobolus pungens, qui sont considérées comme espèces à grand géodynamisme positif sont très abondantes tout le long du cordon littoral de la plage (Tableaux I–III).La classe Cakiletea maritimae est représentée dans cette région par les associations Salsola Kali — Xanthium strumarium Oberd. et Tx. 1950, et Anthemis Muenteriana —Salsola Kali. La première a été trouvée pour la première fois par Oberdorfer (1952) sur les côtes de la Grèce du Nord et a été classifiée par Oberdorfer et Tüxen (1950), tandis que, la seconde, qui n'a pas été trouvée ailleurs, peut-être considérée comme une nouvelle association des plantes.Les associations de la classe ci-dessus sont rencontrées sur les côtes ou les baies abritées du vent et particulièrement aux endroits où il existe une quantité suffisante d'humus et des débris végétales. L'association des plantes Salsola Kali — Xanthium strumarium est plus nitrophile que la seconde et se rencontre sur les régions les plus basses du rivage, où s'est accumulée une quantité suffisante d'humus et des débris végétaux. Ces derniers proviennent, le plus souvent, des espèces Zostera marina, Posidonia oceanica, Arundo Donax et d'autres. L'association des plantes Anthemis Muenteriana — Salsola Kali est moins nitrophile que la précédente et se rencontre sur les dunes basses d'une hauteur de 0.50–1.50 m qu'elle recouvre; ces dunes sont parallèles au rivage. Cette association apparaît le plus souvent dans sa phase optimale. Aux endroits où la quantité d'humus et des débris végétaux est moindre, apparaît l'association Agropyretum mediterraneum dans sa phase initiale (Tableau I et Photos 9–10).L'association Agropyretum mediterraneum apparaît principalement sur les dunes d'une hauteur de 1 à 2 m, sauf dans très peu de cas (Tableau II). La phase optimale de l'association Agropyretum mediterraneum se rencontre sur les dunes d'une hauteur de 1.50 à 2 m. Ces dunes se trouvent aux endroits où la côte est plus escarpée et par suite plus exposée aux vents sudouests, comme sont, par exemple, les côtes de la région Kaïafa (Photos 15–17). La phase optimale de cette association se caractérise par une abondance des espèces caractéristiques et par l'abondance des représentants des géophytes à rhizome, comme les espèces Agropyrum junceum ssp. mediterraneum, Galilea mucronata, et Sporobolus pungens (Tableau II, nos 1–6).L'association des plantes Ammophiletum arundinaceae se rencontre sur les dunes dont la hauteur dépasse les 2 mètres. Ces dunes se trouvent aux endroits où la côte est plus exposée aux vents sud-ouests, comme sont les côtes de Petrochori et de la région Zacharo. Cette association apparaît dans sa phase optimale, et sur des dunes qui sont bien développées et dont la hauteur, est à partir de 2.5 m et peut atteindre les 15 m (Tableau III et Photos 19–23).L'association bien connue Crucianelletum maritimae qui se rencontre sur les dunes stabilisées des côtes ouests de la Mediterranée, est représentée dans cette région par l'association des plantes Euphorbia terracina — Silene nicaeensis. Cette association représentative se devéloppe sur les dunes stabilisées de la région explorée. Leur hauteur varie, entre 4 et 11 mètres. Elle apparaît comme une association des plantes typiques avec 2 variantes, celle de Rumex bucephalophorus et celle de Centaurea sphaerocephala, et aussi comme les sous-associations Chondrilla juncea — Scolymus hispanicus et Trifolium scabrum —Nigella aristata (Tableau IV et Photos 24–26).En général les associations des plantes ammophiles se rencontrent sur les côtes ouests du Péloponnèse dont le sol est constitué, dans sa plus grande partie, par du sable d'un gros moyen ou moyennement fin.Les associations de la classe Cakiletea maritimae et l'association des plantes Agropyretum mediterraneum se développent sur des endroits où le sol est constitué d'une grande partie, en sable gros (Fig. 4 et 5). Entre eux, les plantes de la classe Cakiletea maritimae se développent sur un sol qui contient, en outre, une assez grande quantité d'humus et des débris végétaux, tandis que, pour l'association Agropyretum mediterraneum, les élements ci-dessus peuvent exister en une très petite quantité ou ne pas s'y trouver.Le sol, sur lequel se développent les associations des plantes Agropyretum mediterraneum et Ammophiletum arundinaceae est différent du sol propre à l'association Euphorbia terracina — Silene nicaeensis, car, dans le premier cas, celui-ci se constitue, en principal d'un sable d'un gros moyen, tandis que, dans le second cas, d'un sable moyennement fin (Fig. 5).Pour tous les sols, propres au développement des associations ammophiles des côtes du Péloponnèse, ou a une abondance de CaCO3. Malgré le fait que l'analogie de CaCO3 varie, a partir d'un pourcentage moyen jusqu'à une grande quantité, l'evolution de la végétation dans ces différentes phases, ne dépend pas de cette quantité.La réaction de ces sols varie, pour la plupart, entre 6.65 et 8.20 (Tableaux 10–14).  相似文献   

2.
Résumé Les levures Schizosaccharomyces possèdent, entre autres propriétés remarquables, celle de métaboliser l'acide l-malique, provoquant en anaérobiose une fermentation alcoolique: HOOC·CH2 CHOH·COOHCH3CH2OH+2CO2. Au point de vue énergétique cette fermentation ne peut satisfaire la croissance des cellules et est liée à la fermentation du sucre. La présente étude des souches de Schizosaccharomyces se trouvant dans les collections de levures est centrée sur la fermentation de l'acide l-malique.Nous avons étudié dans quelle mesure cette propriété peut servir de base à une classification de ces levures et se trouve en relation avec le milieu d'origine, suivant le concept de «classification naturelle» de Kudrjawzew. En réalité il ne saurait y avoir de distinction d'espèce fondée sur cette propriété entre les Schizos. pombe provenant de fruits à pulpe amylacée des pays tropicaux et les Schizos. acidodevoratus provenant de fruits à pulpe acide des régions tempérées, tous attaquant plus ou moins l'acide l-malique, et ces deux termes doivent être considérés comme synonymes.Certaines propriétés physiologiques ont été étudiées: intensités respiratoire et fermentative, fermentation sélective du glucose et du fructose, produits secondaires formés, besoins en facteurs de croissance, etc. Enfin, on a défini les facteurs de la fermentation de l'acide l-malique par les Schizosaccharomyces, notamment la nature des souches, les conditions de pH, etc. L'étude de fermentations associées révèle la concurrence qu'exerce sur les Schizosaccharomyces la présence des Saccharomyces et illustre la difficulté de modifier la microflore naturelle dans la fermentation d'un milieu naturel.  相似文献   

3.
Mayaudon  Jacques  Simonart  Paul 《Plant and Soil》1958,9(4):367-375
Conclusions Par l'emploi de substrats radioactifs, il a été possible de montrer que le glucose, le ray-grass tel quel, la fraction soluble, les hemicelluloses et la fraction cellulosique du ray-grass ne sont pas, dans les conditions expérimentales appliquées, entièrement transformés en CO2 dans le sol après une période de deux mois.La décomposition du glucose est plus rapide que celle des hemicelluloses et celle-ci est plus rapide que celle de la fraction cellulosique. Pour le glucose et pour la fraction cellulosique, 11% et 15% respectivement ne se retrouvent pas sous forme de C14O2 tandis que pour la fraction soluble, pour les hemicelluloses et pour le ray-grass tel quel, c'est près de 20% qui ne sont pas oxydés en CO2.La décomposition de chacun de ces substrats radioactifs donne encore lieu à la production de produits organiques radioactifs que l'on trouve dans la fraction des substances solubles, dans la fraction groupant l'- et le -humus et dans l'humine. La radioactivité de cette dernière fraction est du même ordre de grandeur que la somme des deux autres fractions.Travail effectué sous les auspices de l'Institut pour l'Encouragement de la Recherche Scientifique dans l'Industrie et l'Agriculture (I.R.S.I.A.).  相似文献   

4.
W. H. Schopfer 《Protoplasma》1938,31(1):105-135
Sans résuméNous exprimons toute notre reconnaissance à la Direction des Etablissements Dr. A.Wander A. G. (Berne), pour son appui; nous sommes redevables au Dr. R. J.Williams (Corwallis, Oregon) d'un échantillon d'acide pantothénique, aux EtablissementsHoffmann. La Roche Bâle (Département scientifique, Dr. M.Guggenheim) des diverses pyrimidines utilisées, et au Prof.Hörlein, I. G. Farbenindustrie A. G. de l'aneurine synthétique employée. Nous les remercions très vivement.  相似文献   

5.
Résumé Les auteurs ont étudié le rein de Triturus cristatus carnifex (Laur.) au point de vue anatomique, cytologique et cytochimique. Venant confirmer des données d'auteurs précédents, ils ont signalé la présence dans le rein de cet Urodèle de deux régions, rein génital et rein pelvien, lesquelles diffèrent quant à leur aspect, à la disposition des néphrons et aux rapports que la première de ces région entretient, chez le mâle, avec la gonade. Ils soulignent les différences qui caractérisent les néphrons du rein génital chez les deux sexes.Ce recherches confirment la présence dans le néphron du Triton de cinq segments qui se suivent dans l'ordre ci-après: collet cilié, segment à bordure en brosse que l'on peut diviser en deux tronçons P1 et P2, segment intermédiaire cilié, segment à bâtonnets, segment d'union. De nombreux néphrostomes constituent autant de communications entre les néphrons et le coelome. De ces néphrostomes part un canal néphrostomial souvent assez long, canal qui, après un parcours ondulé, débouche dans un collet. Dans le rein génital du mâle, les néphrostomes font défaut.La position des différents segments du néphron dans le rein correspond à celle observée par d'autres auteurs chez des Urodèles d'espèces différentes: les glomérules, les segment à bâtonnets et les néphrostomes sont situés dans la région ventrale; dans les régions dorsale et dorso-latérale, on trouve au contraire les segments à bordure en brosse; les collets et les segments intérmédiaires sont situés entre ces deux régions.Le diamètre du néphron est variable; il atteint son minimum au niveau du collet et du segment intermédiaire.Dans la région apicale des cellules du collet on a observé des granulations P.A.S. positives qui font défaut dans les autres segments ciliés du néphron (canal néphrostomial et segment intermédiaire). Parmi les activités enzymatiques étudiées, seule la 5-nucléotidase est présente dans le collet.La distribution différente des substances P.A.S. positives et du pigment permet de diviser le segment à bordure en brosse en deux tronçons P1 et P2 qui passent progressivement l'un dans l'autre. Dans P1 le matériel P.A.S. positif est formé de fines granulations presque toujours situées au dessus du noyau — granulations qui sont aussi Hale et F.P. positives — et d'amas irréguliers situés à la base de la cellule et le long des limites cellulaires. Dans P2 les substances P.A.S. positives sont formées par contre de granulations de dimension variable; généralement d'une certaine dimension, ces granulations sont situées en position paranucléaire; elles sont Hale, F.P. positives et nettement acidophiles.Tout le matériel P.A.S. positif mentionné ci-dessus ne semble guère être de nature mucopolysaccharide acide ni de nature glycogénique.Dans P2 on observe des gouttes de pigment jaune-brun, faiblement F.P. positif, pigment qui constitue le caractère le plus typique de ce segment.Dans tout le segment à bordure en brosse les cellules revèlent une faible pyroninophylie cytoplasmatique qui semble légèrement plus accentuée dans P2. Dans P2, et plus particuliérement dans sa moitié distale, on observe de fréquentes images difficiles à préciser au microscope optique; ces images pourraient être attribuées aussi bien à des phénomènes de sécrétion que d'absorption.Le segment à bordure en brosse est le le segment où l'on peut démontrer histochimiquement le plus grand nombre d'activités enzymatiques. On a pu confirmer en effet la présence et la localisation de l'activité phosphatasique alcaline non spécifique aussi bien que de celle acide et décrire la localisation de celles lipasique, glucose 6-phosphatasique et 5-nucléotidasique. L'activité succinodéshydrogénasique et celle ATPasique, au niveau du chondriome, sont très faibles.Le segment intermédiaire cilié est caractérisé par l'absence de substances P.A.S. positives dans ses cellules.Le caractère le plus évident du segment à bâtonnets est fourni par sa richesse en chondriome, par la présence de matériel bleu alcian positif dans quelques-unes de ses cellules, et par l'intensité des réactions ATPasique et succino-déshydrogénasique. Dans le tiers distal de ce segment on peut mettre en évidence une faible activité lipasique.Lors de la discussion, les auteurs insistent tout particulièrement sur les données histochimiques obtenues, notamment en ce qui concerne le comportement des systèmes enzymatiques et le caractère spécifique des réactions obtenues dans le cadre des conditions tecniques adoptées.Recherche conduite et publiée avec une contribution du Consiglio Nazionale delle Ricerche.  相似文献   

6.
v. Rhein  Werner 《Insectes Sociaux》1956,3(1):203-212
Zusammenfassung der Ergebnisse Verf. sucht in dieser Arbeit experimentell zu klären, wie die Bienen das Mischfutter zusammensetzen, mit welchem sie die Arbeitermaden in der Altersperiode füttern.Nachdem es sich in früheren Versuchen ergeben hatte, daß bei einer Fütterung lediglich mit Pollen+Honig+Aqua dest. keine Verpuppung zustande kommt, ein Futtersaftzusatz demnach unerläßlich ist, verwendete Verf. bei seinen Brutschrankversuchen die drei von ihm, nachgewiesenen Futtersaftarten: 1.) den Arbeiterfuttersaft, 2.) den Königinjungmaden-Futtersaft, 3.) den Königinaltmaden-Futtersaft. Der Erwartung entsprechend, wurde die Metamorphose durch 3.) am stärksten gefördert, dagegen durch 1.) verhindert. Die Verpuppung einiger mit 2.) gefütterten Maden war ein unerwartetes Ergebnis.Verf. weist nach, daß die biologische Bedeutung des Futterwechsels des Überganges zur Mischfutterernährung, vor allem in der Änderung der Futtersaftqualität liegt, weil diese erst die Metamorphose ermöglicht, ferner, daß die Mitverwendung von Pollen und Honig keine determinative Bedeutung hat, vielmehr dem ebenfalls wichtigen Zwecke dient, unter Einsparung von Futtersaft alle Maden auf ein Gewicht zu bringen, bei welchem sie verwandlungsfähig sind.
Summary The bee-larvae, in their early state, are fed, with pure jelly till they weigh approx. 35 mg. This is, as to its quality, not identical with the jelly for the queen-larvae. Yet with the jelly for queen-young-larvae, which serves to predetermine the female larva for a queen (v.Rhein, 1951), it has in common, that it is only good for the larva in its early state. By this characteristic it differs from the jelly for the queen-old-larvae, by which the predetermined larvae are determined queens; by means of this latter very young worker-larvae can be bred in thermostates. The results are, however, since those are not predetermined, either normal workers or medium forms with more or less enlarged ovaries and spermatic vessels (v.Rhein, 1933). This observation proves, that, for determining the larva for a worker, no pure pollen is necessary.This pollen is found, as it is well known, aside honey, in the mixed food, which is received by the bee-larvae from their hatching-nurses in their later state. That this food also contains jelly was already supposed byRösch (1925). I was able to proof this thesis by way of experiment. I began to feed larvae after their early stage with a mixture of pollen, honey, aqua dest. in relation 32065. Although the larvae grew normally and even reached a weight of 214 mg (norm:approx. 158 mg), they all died before excrementing (v.Rhein, 1933). During the years 1953 and 1954 I was able to solve this problem by adding to the just mentioned mixture in different test-groups 100 and 200 mg jelly for worker-young-larvae, jelly for queen-young-larvae and jelly for queen-old-larvae; the addition of water was decreased, corresponding to the used quantity of jelly, to 670 respectively to 570 mg. The result was as follows:Table (see German text).Thus we can conclude, that the jelly is the most suitable as additional food, for queen-old-larvae while the jelly is not suitable at all for worker-young-larvae.The chrysalis, arised from this experiment, were, judged from the morphologie and anatomic point of view, normal chrysalis of workers, except one chrysalis originated from a particular heavy larva (238 mg), which showed enlarged ovaries (74 ovaries in the average).

Résumé Les larves des Abeilles reçoivent une alimentation particulière jusqu'à ce qu'elles atteignent un poids de 35 mg environ. La gelée qui sert de base à cette alimentation n'est pas qualitativement identique à la gelée royale; le seul caractère commun à ces deux substances est de ne convenir qu'aux très jeunes larves. Ce caractère les sépare de la gelée servie aux vieilles larves de reines grâce à laquelle les larves prédéterminées achèvent leur détermination: cette gelée en effet, peut permettre d'élever complètement de jeunes larves d'ouvrières dans un thermostat. Comme ces larves n'ont pas été prédéterminées, on obtient soit des ouvrières normales, soit des formes intermédiaires, avec ovaires et vésicules séminales plus ou moins hypertrophiés (von Rhein, 1933). Cette observation prouve que le pollen à l'état brut n'est pas indispensable à la détermination d'une larve ouvrière; pourtant on en trouve dans le miel et dans la nourriture mixte servie aux larves d'Abeilles âgées par les nourrices. Depuis longtemps, on a émis l'hypothèse (Resch, 1925) que cette nourriture mixte renferme aussi de la gelée royale. J'ai réussi à en fournir la preuve expérimentale. A la fin de la première phase de l'existence des larves (phase de jeunesse), j'ai commencé à les alimenter avec du pollen, du miel et de l'eau distillée mélangés dans les proportions suivantes: 3/20/65. Les larves se développèrent normalement et atteignirent un poids de 214 mg (le poids normal est d'environ 158 mg), mais elles mouraient toutes avant la défécation (von Rhein, 1933). En 1953 et 1954, je trouvais la solution du problème en ajoutant dans plusieurs groupes expérimentés, au mélange sus-mentionné, 100 ou 200 mg de gelée de jeunes larves d'ouvrières, de gelée de jeunes larves de reines, de gelée de vieilles larves de reines; en même temps, l'apport d'eau correspondant à la quantité de gelée utilisée était réduit respectivement à 670 et 570 mg. Le résultat était le suivant:Tableau (texte allemand).On peut conclure de ce tableau que la gelèe des vieilles larves de reines est la plus propre à servir de nourriture complémentaire; la gelée des jeunes larves d'ouvrières y est totalement impropre. Les nymphes obtenues à la suite de l'expérience étaient, du point de vue morphologique et anatomique, des nymphes normales d'ouvrières, excepté une particulièrement lourde (238 mg), qui présentait des ovaires hypertrophiés (74 avarioles en moyenne).


Durchgeführt mit Unterstützung der Deutschen Forschungsgemeinschaft.  相似文献   

7.
Summary The authors report, for the first time in Rumania, the presence in the soil ofKeratinomyces ajelloiVanbreuseghem 1952, isolated by them on 3 different places at Bucharest. One of the isolated strains showed a little more abundant microscopical morphology than the strain first isolated byVanbreuseghem, for it had also coils and chlamydospores.Although this new dermatophyte has been considered, up to now, nonpathogenic for man and animal, the authors were able to obtain positive results in white mice, guinea pig and in man, inoculating repeatedly one of the isolated strains. The experimental lesion it produced, of herpes circinatus type, disappeared in a few days.As the authors conclude, it is not necessary to create a new genus for this dermatophyte. Considering its microscopical aspect, its pathogenicity and its soil origin, they propose to classifyKeratinomyces ajelloi in the genusEpidermophytonOta etLangeron 1923 —, giving it the name ofEpidermophyton terrigenum.
Résumé Les auteurs ont signalé, pour la première fois en Roumanie (à Bucarest), la présence dans les couches superficielles du sol duKeratinomyces ajelloiVanbreuseghem 1952. La morphologie microscopique de l'une des deux souches, étudiées de ce point de vue, était un peu plus riche que celle de la souche isolée, pour la première fois parVanbreuseghem car, outre les macroconidies, on y trouvait des vrilles serrées et des chlamydospores. D'autre part, chez les deux souches, les extrémités libres des macroconidies n'étaient pas constament amincies et, par places, plutôt arrondies. L'une des souches s'est montrée pathogène pour l'homme, le cobaye et la souris blanche, chez lesquels son inoculation experimentale a provoqué une mycose superficielle authentique, bien que passagère. Ce caractère n'a pas été signalé jusqu'à présent. Vue sa morphologie microscopique, sa pathogénité et son origine tellurique, les auteurs proposent, pour cette espèce, le nom d'Epidermophyton terrigenum.
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8.
Experiments have been made on the swarming of a number of mosquitoes, especially Culex fatigans, under laboratory conditions and the influence of light intensity, temperature, different color swarm markers; and time factors, both in regard to duration of the change of light and the time lapse between experiments, have been studied.
Résumé Des expériences sur l'essaimage des moustiques mâles (surtout Culex fatigans) ont été faites au laboratoire. La cage dans laquelle se formaient les essaims était placée dans une chambre dont l'éclairage, la température et l'humidité pouvaient être réglés.Les essaims qui comprenaient le plus grand nombre d'individus et qui duraient le plus longtemps, étaient obtenus quand le changement d'éclairement (crépuscule artificiel) durait plus de 20 minutes et quand la température était de 24–25° après une durée de plus de cinq heures depuis le dernier changement.Dans ces conditions artificielles les moustiques faisaient des essaims tous les matins et tous les soirs. Le commencement de l'essaimage le soir, et sa fin le matin avaient lieu à un même éclairement (1,6 log lux). Si l'éclairement était tenu inférieur à 1,6 log lux, les essaims duraient toute la nuit jusqu'à ce que la lumière soit relevée.Quelques observations sur Culex nigripalpus et Anopheles quadrimaculatus indiquent que les déliminations de l'éclairement permettent l'essaimage. Chez. C. nigripalpus ils étaient presque les mêmes que celles de Culex fatigans. Psorophora howardii et Aëdes taeniorhynchus ne font pas d'essaimage dans la petite cage mais la dernière espèce fait un essaim dans une cage plus grande après un éclairement subit.


Contribution No. 113, Florida State Board of Health, Entomological Research Center, Vero Beach, Florida. This investigation was supported by Public Health Research Grant E-1492, from the National Institute of Allergy and Infectious Diseases, Public Health Service.  相似文献   

9.
Summary Great theoretical value has always been attached toBoveri's discovery as regards chromatin diminution inAscaris, for this discovery appeared to expose the mechanism causing the propagative cells, in which all chromatin remains, to originate an entirely new organism, whereas the soma cells of which the chromosomes have been diminished are only capable of specific differentiation.Boveri was further able to show that, not only do the soma and propagative nuclei differ from each other, but that rather the character of the cell-plasma decides whether the nucleus diminishes or not. Considerations are brought forward to prove that the diminisher hypothesis as given byKing andBeams, is untenable. Diminution has always been supposed to result in the loss of the totipotence of the diminished nuclei. In the light of recent chromosome research this course of events does not seem probable. Therefore the following theory is brought forward: When the egg ofAscaris is split, blastomeres originate, which differ from each other as to the plasma. In proportion to the quality of the surrounding plasma, now these now other genes of the totipotent nucleus react in different cells, thus originating the specific differentiation of the cell in question. This cooperation between plasma and nucleus is, however, at first obstructed in the large collective chromosomes ofAscaris, by the presence of their thickened ends. In order to keep up this cooperation a certain quality of plasma is needed, situated in a certain horizontal zone of the egg. As soon as, in the course of the division, nuclei come to rest in different zones, a diminution occurs, and differentiation of the cells in question sets in. Towards the end of the embryonic development the ends of the chromosomes are lost in the propagative cells, and also in these cells differentiation occurs.
Résumé On a toujours attribué une haute signification théorique à la découverte deBoveri, de la diminution des chromatines chez l'ascaris puisqu'elle semblait expliquer le mécanisme qui cause que les cellules propagatrices où séjourne, la totalité de l'effectif des chromatines, font de nouveau sortir d'elles-mêmes un organisme entier, pendant que les cellules somatiques, dont les chromosomes ont été diminués, ne sont plus capables qu'à produire une différenciation spécifique. De plus,Boveri a pu démontrer, que les noyaux somatiques et propagateurs ne sont pas, à peu de chose près, différents, mais que c'est bien plus la qualité du plasme des cellules qui décide si les noyaux qui leur ont été distribués, diminuent ou non. Des arguments sont apportés, qui démontrent que l'hypothèse du diminisher échafaudée parKing etBeams est insoutenable. En général on s'est représenté. l'action de la diminution de telle façon que la totipotentialité des noyaux diminués a été perdue. Cependant, le fait n'est pas acceptable quand on le considère à la lumière de la recherche moderne sur les chromosomes. Par conséquent, nous proposons l'opinion suivante: Dans l'uf de l'ascaris, des blastomères différant plasmatiquement les uns des autres prennent naissance pendant le fendage. Selon l'état du plasme environnant, dans les cellules individuelles on voit réagir certain gène, dans les autres un autre gène du noyau totipotentiel, causant ainsi la différenciation des cellules visées. Cette collaboration entre le plasme et le noyau est cependant premièrement bloquée dans les grands chromosomes collectifs de l'ascaris par la présence des bouts de chromosomes épaissis. Pour leur conservation une certaine qualité de plasme est requise qui se trouve dans une zone horizontale déterminée de l'uf. Dès que, dans le procès du fendage, des noyaux arrivent dans d'autres zones du plasme, la diminution a lieu, et la différenciation des cellules visées s'opère. Cependant, après la conclusion du développement embryonal, les bouts des chromosomes se perdent dans les cellules propagatrices et la différenciation a lieu aussi dans ces cellules.
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10.
Guinea  Emilio 《Plant Ecology》1954,5(1):147-156
Résumé Cette étude vise à faire remarquer la signification, les limites et les caractéristiques du sous-secteur Cantabrique du secteur Ibéro-Atlantique lequel a été proposé pour la première fois dans mon récent travail Geografía Botanica de Santander, Santander, p. 101 (1953).Ce sous-secteur comprend la bande étroite des bords du Nord de la Péninsule Ibérique, limité par la mer Cantabrique et comprenant les provinces de Guipuzcoa, Vizcaya, Santander et la partie Est de la province des Asturies, plus une bande de transition qui, tout le long du versant sud de la Cordillera Cantábrica, suit les limites septentrionales des provinces de Navarre, Alava, Burgos, Palencia, et le coin Nord-Est de Leon.A l'Est, ses limites disparaissent graduellement dans le secteur Pyrénéen, à l'Ouest, il atteint la zone siliceuse des Asturies. Il représente la limite sud de la Province Atlantique.Le climat est humide et tempéré, les hivers sont doux et les étés pluvieux, excepté aux hautes altitudes (au-dessus des 1.000 m). Le relief est très accidenté et montagneux, mais les pics ne dépassent pas les 2.700 m, avec des ruisseaux torrentiels qui rendent possible des innondations comme celles qui ont pris places en automne de 1953. La structure géologique comprend surtout du calcaire du Cretacé avec en plus des grandes masses de dolomites et du calcaire Carbonifère du massif de Picos de Europa. Dans la zone centrale de la Cordillera Cantábrica surgissent quelques rochers du Triassique et d'autres du Jurassique en de petites surfaces. Les terres argileuses et calcaires, très lavées par une pluie intense sont moins répandues (plus nombreuses que les terres siliceuses), avec un pH presque neutre, mais avec des variantes un peu prononcées vers l'acidité (quelques exceptions). Il y a un climax prédominant de forêts du (Quercetum roboris, Fagetum sylvaticae) strictement liées aux pentes des montagnes Cantabres et de Quercetum pyrenaici sur les pentes du sud.Les activités anthropogéniques ont causé la déforestation de la plus grande partie du territoire et ont fait place a un grand développement des landes de l'Uleto-ericetum (Atlantic).Il y a une représentation intéressante du Quercetum ilicis ericetosum sur les bandes de calcaire au-dessous de 800 m. Il est très rare sur les sols siliceux. Les communautés de prairie qui représentent un plagioclimax maintenu par l'homme, éliminent une grande partie de l'Uleto-ericetum que nous avons déjà cité.Il y a des grands champs de maïs et de betteraves à sucre et une extension moindre de céréales et de jardins potagers, et il en resulte une pauvre végétation ségétale et des bords des chemins. Les communautés végétales des plages, falaises, et bords de la mer, celles des mares et des ruisseaux sont très peu développées.On cultive avec intensité le Pinus radiata et l'Eucalyptus globulus. Il reste à exploiter en grand, l'agriculture, les pâturages, et la sylviculture.

Received for publication 15.I.1954.  相似文献   

11.
Les larves et les adultes de la bruche du haricot se nourrissent de deux types d'aliments différents, mais proches en ce qui concerne la composition en hydrates de carbone: les larves consomment des graines de Phaseolus vulgaris et P. coccineus, les adultes s'alimentent principalement avec le pollen de diverses plantes.L'activité des larves et des adultes a été étudiée sur 22 substrats, en vue de préciser les caractéristiques de leur équipement osidasique. Les recherches ont montré que les larves et les adultes possèdent un équipement très important en - et -glucosidases, en - et -galactosidases, ainsi que des activités très importantes sur certains polysaccharides, notamment l'amidon et la pectine, mais l'activité est faible sur les hémicelluloses étudiées, notamment la xylane, l'arabinogalactane et la glucomannane. Les activités sur la carboxyméthylcellulose et la cellulose, ainsi que l'inuline, sont nulles.La corrélation étroite entre la composition en hydrates de carbone de la nourriture et les activités glycosidasiques du canal alimentaire chez les larves et les adultes permet une utilisation optimale des ressources trophiques en hydrates de carbone. Le parallélisme frappant entre le système glycosidasique des larves et celui des adultes a pour explication la ressemblance entre la composition en carbohydrates du pollen et celle de l'endosperme de haricot.
Summary Adults and larvae of Acanthoscelides obtectus eat two different types of food, similar in carbohydrate composition: larvae eat seeds of Phaseolus vulgaris and P. coccineus, adults eat principally pollen of various plants. The authors have studied the digestive activity of larvae and adults on 22 different sugars, in order to investigate activity of their glycosidase enzymes. Larvae and adults have a very important complement of - and -glucosidases, - and -galactosidases, and very high activity against certain polysaccharides, notably starch and pectin. The activity is weak on the hemicelluloses tested, notably on xylan, arabinogalactan and glucomannan. No activity is found on carboxymethylcellulose, cellulose and inuline.The close correlation between the carbohydrate composition of the food and the glycosidase activity of the alimentary canal in both larvae and adults enables optimal utilization of carbohydrate resources. The striking parallel between the glycosidase systems of adults and larvae is explained by the similar carbohydrate composition of pollen and bean endosperm.
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12.
Résumé Dans cette étude on met en évidence la propriété phagocytaire des plaquettes pour des substances étrangères. Les observations ont été faites sur des coupes de tissu pulmonaire de lapins injectés par voie endoveineuse avec du dioxyde de thorium colloïdal et sur des plaquettes humaines isolées et mises en contact in vitro avec du dioxyde de thorium colloïdal.La possibilité de la participation des plaquettes sanguines dans la défense de l'organisme contre certains agents est admise.Le mécanisme de la phagocytose du thorotrast est décrit et on explique l'origine d'une partie · des éléments du granulomère . L'auteur admet aussi l'hypothèse que les éléments du granulomère décrits par Schulz et coll. (1958) soient le résultat de la phagocytose des substances étrangères par les plaquettes.A propos des observations réalisées sur les plaquettes humaines isolées in vitro l'auteur décrit des granules de 230 Å possédant en son intérieur des granules de 30 Å très évidents dans les coupes traitées à l'acetate d'uranyl.Avec la collaboration technique de Mme. Karin David Ferrbira.  相似文献   

13.
Experiments examined the effects of no-tillage (NT) and conventional-tillage (CT) and increased soil moisture (irrigation) on southern corn rootworm (SCR), Diabrotica undecimpunctata howardi Barber (Coleoptera: Chrysomelidae), oviposition and survival and SCR below-ground predators in peanut (Arachis hypogeae L.) agroecosystems. No-tillage systems without irrigation had significantly greater soil moisture than CT systems without irrigation in 1987, but not in 1988. Both moist soil and the presence of an organic residue increased the number of southern corn rootworm eggs in a system. The same 17 species of predatory arthropods were found in all systems. However, their activity in the top 10-cm of soil which increased in NT systems, determined how effective they were as predators. Only 7 predators significantly reduced SCR immature stages, and of these 7, only one, Formicidae, preyed on all stages of SCR. Southern corn rootworm first instars and eggs had the greatest overall percent mortality, with second and third instars the lowest. Peanut yields and pod quality were equal between NT and CT systems. Overall return per ha showed NT, no-irrigation systems with the greatest return. Abiotic parameters dominated SCR survival in CT systems, while biotic parameters had the greatest influence on SCR survival in NT systems.
Résumé Des expériences ont été entreprises pour examiner l'influence de labours classiques ou de leur absence et de l'augmentation de l'humidité du sol (irrigation) sur la ponte et la survie de D. undecimpunctata howardi Barber (Coleo. Chrysomelidae) et sur ses prédateurs souterrains dans des agrosystèmes à arachide. L'humidité du sol s'est montrée significativement plus élevée dans les parcelles irriguées pendant les deux années, 1987 et 1988, mais, en 1987 et non en 1988, l'humidité du sol a été significativement plus élevée dans le sol non labouré pourtant non irrigué que dans le sol labouré et irrigué. La présence de sol humide et de résidus organiques augmente le nombre d'ufs émis. Les mêmes 17 espèces d'arthropodes prédateurs dateurs souterrains ont été rencontrés dans toutes les sols non labourés et parfois dans les sols labourés irrigués; leur activité détermine leur efficacité comme prédateur. 7 espèces réduisent les effectifs de larves, mais une seule d'entre elles, une Formicidae, (Lasius spp. et Pheidole spp.) s'est révélée prédatrice de tous les stades de la chrysomèle. La plus forte mortalité de D. u. howardi a été observée sur les ufs et les larves de premier stade, la plus faible sur les larves de deuxième et troisième stade. La récolte et la qualité des arachides sont identiques avec ou sans labour. Ainsi, la rentabilité financière par ha était supérieure dans les systèmes sans labour non irrigués. Il découle de cette étude que les paramètres physiques dominent la survie de la chrysomèle dans les systèmes avec labour, tandis que les paramètres biologiques influent le plus sur la survie dans les systèmes sans labour.
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14.
Paul Sentein 《Chromosoma》1968,24(1):67-99
Résumé L'acide butyrique M/1000 agit sur les mitoses de segmentation en provoquant trois sortes d'anomalies: 1) dispersion de systèmes fibrillaires mitotiques monocentriques (cytasters) ou monopolaires (hémifuseaux), 2) concentration en un système multipolaire plus ou moins cohérent, 3) systèmes fibrillaires mitotiques en sphère creuse. Le premier type apparaît à l'ana-télophase, le second à la métaphase, le troisième à la prophase; une forme de transition s'observe à la télo-prophase. La dispersion des centres secondaires à l'ana-télophase est en relation avec le fait que ces phases correspondent à la période normale de fibrillogenèse externe, où les fibrilles se tendent des pôles vers la membrane. Normalement elles commencent à régresser aussitôt après avoir atteint celle-ci (phénomène de feed-back). Leur réorganisation anormale vers de multiples centres de convergence confirme d'une part que tout affaiblissement de l'activité polaire entraîne une libération de centres cellulaires autonomes, d'autre part que cette activité est insuffisamment affaiblie pour déterminer une diminution très importante de la fibrillogenèse. La concentration en un système multipolaire, à la métaphase (maximum de la fibrillogenèse interne) correspond à l'orientation de la fibrillogenèse vers les centromères des chromosomes et celle-ci persiste même quand ceux-ci sont ramollis et fortement agglutinés par l'action de l'acide butyrique. Les systèmes fibrillaires en sphères creuses à la prophase sont la manifestation d'une intermittence qui se produit à la régression de la fibrillogenèse interne: il s'agit d'une sorte de vague, qui entraîne tous les systèmes fibrillaires vers une région centrale. Le système fibrillaire du diastème est toujours en balancement avec les systèmes fibrillaires de la mitose, c'est-à-dire qu'il tend à s'épandre et à bourgeonner, chaque fois que ceux-ci sont plus ou moins diminués. Les relations de ces systèmes entre eux sont expliquées par une conception générale de la genèse des fibrilles.La concentration à M/100 agit plus vite et produit seulement des pôles creux: à la prophase on observe une inversion de la fibrillogenèse qui se développe vers l'extérieur, comme l'aster, au lieu de former un fuseau vers le noyau.En face des mitoses habituelles, qui ont une fonction distributive, car elles se bornent à répartir dans les cellules-filles le matériel genétique et cytoplasmique de la cellule-mère, il faut placer celles qui n'ont pas seulement une fonction distributive, mais aussi une fonction de conservation et de construction: ce sont les mitoses de segmentation, qui doivent préserver jusqu'à la gastrulation l'architecture structurée du cytoplasme de l'uf avec ses différenciations corticales présomptives.
Butyric acid M/1000 induces abnormalities of the segmentation mitoses: 1) dispersion of monocentric mitotic systems at ana-telophase, 2) concentration into a multipolar system at metaphase, 3) fibrillar systems in hollow sphere at prophase. The first corresponds to the external fibrillogenesis (building of aster and orientation of cytoskeleton), the second to the metaphasic internal fibrillogenesis of the spindle, the third to a sweeping of fibrillar system during the reversion of the first to the second mechanism. The diastematic fibrillar system, always in balance with mitotic fibrillogenesis, is abnormal and not efficient. Concentration M/100 acts more quickly and produces an inverted fibrillogenesis at prophase. — The absence of regulation into a predominant bipolar system and the precedence of the furrow inhibition explain the failure of parthenogenesis by butyric acid in amphibians.


A la mémoire d'Eugène Bataillon.  相似文献   

15.
Die Lufterneuerung im Nest der TermiteMacrotermes Natalensis (Haviland)   总被引:1,自引:0,他引:1  
Summary Two aeration mechanisms are described for nests ofMacroternes natalensis located in the Ivory Coast and in Uganda (fig. 2).In the Ivory Coast mounds the air circulates in the nest. It is heated in the fungus combs in the center of the nest (Lüscher, 1951). The warm air rises into a large cavity above the nest proper and is driven through 6–12 outward running channels through the wall into ribs which run downward on the outside of the wall. In these ribs the air is pressed downward in a number of small channels which run together at the level of the soil to form big channels connected with a large cavity (cellar) beneath the nest proper. From there the air which has been cooled in the ribs can rise into the nest again (fig. 6). In the ribs where the interior and the exterior surfaces are enlarged and where the wall is thin, dry and porous, oxygen and carbon dioxide can be exchanged with the atmosphere by diffusion.In Uganda mounds the air is also heated in the fungus combs and the warm air rises through a system of channels into cavities situated just beneath the surface in the highest parts of the mound. There it is forced by pressure to diffuse outward through the relatively thin and porous wall. The fresh air is sucked into the nest proper from the cellar, which in these mounds communicates with the surrounding atmosphere by a number of open channels.
Résumé Deux mécanismes d'aération ont été observés en Côte d'Ivoire et dans l'Uganda, chezMacrotermes natalensis (fig. 2).En Côte d'Ivoire, il y a une circulation d'air dans les termitiéres. Montant de la cave, l'air est réchauffé dans la zone des meules qui semblent être le siège d'une fermentation bactérienne (Lüscher, 1951). Il gagne ensuite la cavité supérieure d'où, par de petits canaux groupés en cheminées latérales, il redescend, refroidi dans la cave.Dans ces cheminées, dont la surface intérieure et extérieure est grande, l'oxygène et le gaz carbonique peuvent être échangés avec l'atmosphère, par diffusion au travers des parois, qui sont sèches, minces et poreuses.Dans les termitières de l'Uganda, l'air, réchauffé dans les meules à champignons, monte par un système de canaux dans des cavités situées dans les parties les plus élevées de la termitière, d'où, par pression, il diffuse à travers la paroi sèche et mince. De la cave, qui, dans ces termitières, est en contact direct avec l'atmosphère, l'air frais entre dans le nid par diffusion.
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16.
Résumé Les auteurs ont étudié, à l'aide de différentes techniques cytologiques et histo-chimiques, la cytologie du lobe distal de l'hypophyse chez 66 exemplairse et de Xenopus laevis, lesquels ont été traités au 4-methyl-2-thiouracil et au Percorten (acétate de désoxycorticostérone).Le tableau cytologique observé dans l'hypophyse des exemplaires adultes et normaux, est fondamentalement en harmonie avec ce qu'avaient décrit les autres auteurs qui s'étaient déjà occupés de la même espèce.Dans le cadre des cellules acidophiles, que le auteurs précédents avaient considérées toutes identiques, il a cependant été possible de distinguer — surtout à la suite du traitement expérimental — un comportement variable. Forts des résultats obtenus précédemment sur cette espèce et sur d'autres, les auteurs estiment donc que les cellules acidophiles qui sont situées principalement à la partie antérieure du lobe, pourraient être les cellules responsables de la secretion de l'ACTH; quant aux cellules plus petites, plus allongées et moins nettement acidophiles qui se trouvent surtout à la partie ventrale et postérieure du lobe, elles constitueraient plutôt les cellules qui sécrètent l'hormone somatotrope.Les auteurs décrivent en outre les transformations speciales (hypertrophie cellulaire, aspect particulièrement évident du nucléole, perte de la colorabilité typique, présence de granulations acidophiles aldéhyde-fuchsine positives) que subissent les cellules thyrotropes de l'hypophyse de certains exemplaires élevés dans les aquariums du laboratoire, transformations qui vont de pair avec une hypertrophie et une altération fort marquées de la structure de la thyroïde.Ce résultat relatif à l'hyperactivité thyrotrope, laquelle serait la cause à son tour de l'hypertrophie et du tableau histologique d'hyperfonction que présente la thyroïde, est discuté et interprété, à titre d'hypothèse, en tant que la conséquence d'une diminution de l'hormone thyroïdien en circulation, ceci à la suite de conditions d'élevage peu propices.Ce travail a été publié avec l'aide du Conseil National des Recherches (C.N.R.).C'est A. Guardabassi qui a élaboré l'avant-propos et la discussion.  相似文献   

17.
Résumé Bruchus affinis Frölich (Coléoptère, Bruchidae), est une espèce univoltine attirée sélectivement par les fleurs de L. sylvestris, qui constitue l'une des trois plantes dont les larves consomment les graines. Il s'agit d'un insecte typiquement spécialisé à l'exploitation de plantes particulières. Cependant, les femelles distribuent leurs ufs sur les gousses jeunes de L. sylvestris sans tenir compte, ni de leur disponibilité en graines, ni du nombre d'ufs déjà présents, alors que le développement des larves est solitaire. Les larves néonates perforent la gousse et gagnent des ovules. Plusieurs larves peuvent atteindre le même ovule, mais une seule se développe dans la graine en formation. Le nombre d'ufs pondus sur les premières gousses dépasse largement le nombre de graines qui se développeront dans ces gousses. La surabondance d'ufs sur les premières gousses entraîne une forte mortalité.Les déplacements des larves dans les gousses et leur comportement de pénétration dans les graines en croissance ne suppriment pas la compétition intraspécifique larvaire.Aucune adaptation n'ajuste la distribution des ufs et la répartition des larves à l'utilisation optimale des disponibilités en graines. Aucune stratégie adaptative ne limite le gaspillage de progéniture; la spécialisation trophique n'a pas entraîné un comportement reproducteur optimisant l'utilisation des ressources et la survie de la descendance.Bien que la période étudiée corresponde à moins de 10% de la durée du cycle annuel de B. affinis, la très forte mortalité observée entre la ponte et l'installation dans les graines constitue vraisemblablement le facteur-clé des fluctuations annuelles de la population. Les causes de cette mortalité varient d'une station à l'autre, et il est impossible de les hiérarchiser.  相似文献   

18.
Résumé La pars intermedia de l'Anguille (Anguilla anguilla L. et Anguilla japonica) contient deux catégories de cellules. L'une, colorable avec l'hématoxyline au plomb, varie peu au cours de l'adaptation à l'eau de mer, mais elle est souvent plus active et moins granulée chez les Anguilles à livrée foncée.L'autre catégorie, PAS positive, est beaucoup plus active chez l'Anguille Japonaise d'élevage, en eau douce. La comparaison de la composition des eaux douces de Tokyo et Paris révèle une teneur environ 5 fois plus élevée en calcium dans celle de Paris, alors que celles en sodium, potassium et chlore sont similaires.Chez ces deux espèces, les cellules PAS positives réagissent au transfert direct en eau de mer par une atrophie nucléaire (réduction très significative du diamètre nucléaire de 4,50 à 3,82 m après 6 mois pour l'Anguille Européenne et de 5,02 à 4,13 m après 48 jours pour l'Anguille Japonaise, P<0,001) et cellulaire (chute très marquée de la surface cellulaire chez Anguilla anguilla de 50,26 à 29,90 m2 en 17 jours à 2 mois, et chez Anguilla japonica de 96,36 à 30,03 m2 en 48 jours, P<0,001) et une perte des granulations, la différence entre les deux espèces s'atténuant fortement en eau de mer.Dans les cas d'hyperactivité des cellules PAS+, l'établissement d'un contact avec la membrane basale limitant le tissu intermédiaire semble important. Il disparaît lors de l'hypoactivité induite par le séjour en eau de mer.Le neurosécrétat du tractus hypothalamo-hypophysaire est rapidement mobilisé; la réaction est initialement synchrone de celle des éléments PAS positifs; la quantité de neurosécrétat se normalise assez vite dans le noyau préoptique, plus lentement dans la neurohypophyse, alors que la régression des cellules PAS se poursuit et s'intensifie.Ces résultats sont comparés à ceux d'autres auteurs ayant effectué des changements de salinité bien que les données sur les cellules du lobe intermédiaire soient très limitées chez les Téléostéens.L'hypothèse du rôle des cellules PAS positives dans le métabolisme hydro-minéral, déjà formulée à propos de leur hyperplasie et leur hypertrophie considérables en eau désionisée, est à nouveau discutée. Par contre, la production d'intermédine par les cellules colorées avec l'hématoxyline au plomb apparaît probable, hypothèse renforcée par les résultats d'une étude cytologique de greffons hypophysaires.
Neuro-intermediate lobe and osmoregulation: comparison of the European eel and the cultured Japanese eel during a transfer from fresh water to sea water
Summary The pars intermedia of the eel (Anguilla anguilla and Anguilla japonica) contains two types of cells. One, stainable with lead haematoxylin, is not clearly affected during the adaptation to sea water, but is often more active and less granulated in eels with a dark pigmentation.The other cell type, PAS positive, is much more active in cultured Japanese eels than in European eels in fresh water. The comparison of the water composition in Tokyo and Paris shows that the calcium content is about 5 times higher in Paris water, the sodium, potassium and chlore levels being similar.In both species, the PAS positive cells react to a direct transfer in sea water with a nuclear atrophy (highly significant decrease of nuclear diameter from 4,50 to 3,82 m after 6 months in the European eel, and from 5,02 to 4.13 m after 48 days in the Japanese eel, P< 0.001) and with cellular atrophy (important reduction of the cell surface in the European eel from 50.26 to 29.90 m2 after 17 days to 2 months, and in the Japanese eel from 96.36 to 30.03 m2 after 48 days, P<0.001) and with a loss of granulation. The difference between the two species in fresh water is not evident in sea water.When these PAS cells are hyperactive, the establishment of a contact with the basal membrane limiting the pars intermedia seems important. It disappears when hypoactivity is induced by a stay in sea water.The neurosecretory material of the hypothalamo-hypophysial tract is rapidly mobilized: at the beginning, its reduction occurs simultaneously with the reaction of the PAS positive cells; then the amount of neurosecretory substance returns rather quickly to normal values in the preoptic nucleus, more slowly in the neurohypophysis, but the regression of the PAS cells continues and becomes more marked.These results are compared with those of other authors who performed changes of salinity, despite the scarcity of data on the cytology of the pars intermedia in Teleosts. Once again, the hypothesis concerning the role of the PAS positive cells in the water and electrolyte metabolism, previously suggested because they show a considerable hypertrophy and hyperplasia in deionized water, is discussed. On the other hand, the elaboration of intermedin by the lead haematoxylin cells seems probable. This hypothesis is also supported by the results of a cytological study of pituitary autografts.


Nous remercions bien vivement le Pr. S. Utida, de l'Université de Tokyo, qui a mis à notre disposition toutes les Anguilles Japonaises utilisées dans cette expérience réalisée dans son Laboratoire. Nous adressons aussi nos remerciements à Melle Shirai qui nous a apporté une aide très précieuse lors de la dissection de ces animaux. Les expériences sur les Anguilles Européennes sont effectuées dans le cadre des recherches du Laboratoire Associé d'Endocrinologie Comparée, dirigé par le Pr. M. Fontaine que nous remercions. Notre reconnaissance va également à Melle J. Olivereau, du C.N.R.S., pour son excellente collaboration technique et les mesures planimétriques qu'elle a faites.  相似文献   

19.
Résumé Une formation de soutien (formation hypopharyngienne transverse ou FHT) est tendue transversalement dans la cavité hypopharyngienne de Blabera craniifer BURM. (Dictyoptère). Elle est constituée par les épidémies droit et gauche hypertrophiés reliés l'un à l'autre par un matériel conjonctif.Le cytoplasme épidermique est envahi par des microtubules qui s'attachent sur les membranes plasmatiques apicale et basale; les zones d'attache de microtubules sont comparables aux hémidesmosomes connus chez les Vertébrés.La jonction épidermo-cuticulaire est assurée par l'association des zones d'attache apicales et de fibres à structure périodique traversant toute la cuticule. La jonction épidermo-conjonctive est réalisée par l'association des zones d'attache basales et d'une couche de matériel dense extra-cellulaire par l'intermédiaire de laquelle le conjonctif (et en particulier les fibres collagènes) s'attache sur la membrane plasmatique.Cette liaison conjonctivo-épidermo-cuticulaire est comparable à la liaison myo-épidermo cuticulaire des Arthropodes.De telles formations de soutien semblent communes et il est probable que le rôle squelettique du conjonctif a été jusqu'ici sous-estime chez les Insectes.
Ultrastructure of a supporting structure in insects
Summary A supporting structure (FHT) is stretched transversely in the hypopharyngeal cavity of Blabera craniifer Burm (Dictyoptera); the right and left epidermal cell layers are hypertrophied and connected by connective tissue.The cytoplasm of the epidermal cells is filled with an unusually large number of microtubules inserted both on the apical and basal plasma membranes; the attachment zones of microtubules are similar to the hemidesmosomes of Vertebrates.The epidermo-cuticular junction is formed through the association of intracuticular banded fibers with the apical attachment zones and the epidermo-connective tissue junction through the insertion of connective tissue structures (collagen fibers and others) on an extra-cellular dense material layer apposed to the basal attachment zones.This connectivo-epidermo-cuticular connection can be compared to the myo-epidermocuticular connection of Arthropods.Supporting formations of this type are not infrequent, so it appears that the skeletal functions of the connective tissue of Insects have been underestimated previously.


Nous tenons à remercier le Prof. Ch. Noirot et Madame Noirot-TimothÉe pour leur aide efficace et les suggestions qu'ils nous ont apportées au cours de la réalisation de ce travail.  相似文献   

20.
Summary The nodulation and growth of faba bean plants (Vicia faba cultivar Giza 2) at 2 months' age were studied in pot trials using an alluvial clay soil (pH 7.9). Chlorides, carbonates and sulphates of Na+, K+, Ca2+, and Mg2+ were added at 20 mEq/100 g soil and the tolerance ofRhizobium leguminosarum (biovar.viceae, Strain F-15) grown on pure culture medium, salinized with the same salts, was then tested. Salts were generally inhibitory towards plant and bacterium. Number and characteristics of plant root-nodules, dry weight of plants (shoots and roots), N content in plants and the bacterial colony count decreased. Chlorides were the most inhibitory in soil and carbonates the most in culture medium, whilst sulphates were the least inhibitory in either case. Na+ gave maximum inhibition, whereas Mg2+ was the least detrimental. Formation of effective nodules on roots of the plants grown in the salinized soil was very poor, butR. leguminosarum showed possible tolerance when grown on salinized culture medium.
Influence de la forme ionique des sels minéraux sur la croissance de la fève faba et de Rhizobium leguminosarum
Résumé La nodulation et la croissance des plants de fève faba (Vicia faba cultivar Giza 2) agés de 2 mois ont été étudiés dans des essais en pots en utilisant un sol argileux alluvial (pH 7.9). On a ajouté les chlorures, carbonates et sulfates de Na+, K+ et Mg2+ à la dose de 20 mEq par 100 g de sol. On a testé ensuite la tolérance deRhizobium leguminosarum (biovar.viceae, souche F-15), cultivé en milieu de culture pure, salinée avec les mêmes sels. Les sels sont d'une manière générale inhibiteurs vis à vis de la plante et de la bactérie. Le nombre et les caractéristiques des nodules radiculaires de la plante, le poids sec des plantes (pousses aériennes et racines), le contenu azoté dans les plantes et le nombre de colonies bactériennes décroissent. Les chlorures sont le plus inhibiteurs dans le sol et les carbonates le sont dans le milieu de culture tandis que les sulfates sont le moins inhibiteurs dans les deux cas. Na+ est le plus inhibiteur, tandis que Mg2+ est le moins nocif. La formation de nodules effectifs sur les racines de plants cultivés dans le sol saliné est très pauvre, maisR. leguminosarum démontre une tolérance possible lorsqu'il est précultivé dans un milieu de culture saliné.
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