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1.
A non-gall-forming aphid, Macrosiphum euphorbiae, was reared within the galls of Dysaphis devecta and Aphis pomi which had been induced in apple seedlings. Similar aphids were also reared on ungalled seedling leaves of a similar age and also on mature leaves and in old galls.There is a weak positive linear relationship between lipid content and pre-reproductive adult dry weight, but aphids living on young galled or ungalled plant tissue have 30% lipid compared to 11% for aphids living on old plant tissue. Adult aphids gradually decline in weight, losing between 24% and 38% of their pre-reproductive biomass before death. The energy content of this loss subsidieses reproduction. Reproduction of aphids feeding in old galls or on mature leaves was negligible, but on younger tissues average fecundity was 31, there being little difference between aphids living on galled and ungalled tissue. There is no simple relationship between pre-reproductive adult embryo content and fecundity.The principal factor mediating honeydew production was aphid size and this factor overrides any variation caused by different feeding sites. Honeydew production averaged 0.43 mg during a life of 30 days. Aphids successfully completing their life cycle have a life-time energy consumption of 30.58 joules of which 18% is lost as heat during respiration (R), 30% is contained in honeydew (F+U), 1% is contained in exuviae (Pe). Larval growth accounts for 17% (Pg), and adult reproduction for 34% (Pr).The P/C ratio for M. euphorbiae is 53% and is broadly comparable with aphids living on herbaceous plants.
Résumé Un puceron ne formant pas de galles, Macrosiphum euphorbiae, a été élevé dans des galles de Dysaphis devecta et Aphis pomi formées sur semis de pommiers. D'autres M. euphorbiae ont été élevés sur feuilles sans galles du même âge provenent de semis identiques, sur feuilles mûres et sur vieilles galles.Il y a une faible relation positive linéaire entre la teneur en lipides et le poids sec des adultes avant la reproduction, mais les pucerons élevés sur tissus végétaux jeunes avec ou sans galles contiennent 30% de lipides contre 11% pour ceux élevés sur tissus âgés. Le poids des pucerons adultes diminue progressivement, la perte avant la mort se situant entre 24 et 38% de la biomasse avant la reproduction. Le contenu énergétique de ces pertes alimente la reproduction. La reproduction de pucerons consommant les vieilles galles ou les feuilles mûres était négligeable, mais sur jeunes tissus la fécondité moyenne était de 31-avec peu de différences entre pucerons sur galles ou feuilles-. Il n'y a pas de corrélation simple entre le contenu en embryon des adultes avant la reproduction et la fécondité.Le principal paramètre conditionnant la production de miellat est la taille du puceron; ce paramètre surpasse toute variation provoquée par les divers lieux d'alimentation. La production moyenne de miellat est de 0,43-mg pendant une vie de 30 jours. Les pucerons accomplissant leur cycle avec succès utilisent pendant leur vie 30,58 joules, dont 18% sont dissipés sous forme de chaleur pendant la respiration (R); le contenu du miellat (F+U) correspond à 30%, et 1% est contenu dans l'exuvie (Pe). La croissance larvaire (Pg) utilise 17%, et l'activité reproductrice des adultes (Pr) 34% de l'énergie. Le rapport P/C-53% pour M. euphorbiae-est globalement comparable à celui des pucerons vivant sur plantes herbacées.
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2.
The effect of 18 sequential applications of malathion-bait spray (over a seven month period) on the spatial structure of the parasite guild associated with the gall midge Rhopalomyia californica Felt was assessed. Analysis of >140 galls collected from both the spray zone (Woodside) and an adjacent untreated area (Jasper Ridge) on Mar. 30, 1982 revealed that total percent parasitization was lower in the treated area. Subsequent analysis of guild structure was carried out using the midge gall as the spatial scale of interest. Galls are multichambered and can contain 50 or more host larvae per gall; galls containing parasitized hosts can contain more than one species of parasite. However, bait sprays had no effect on the number of parasite species per gall — i.e., the frequencies of galls containing zero, one, two, and three species were virtually identical. In both areas, total percent parasitization was highest in galls exploited by three parasite species, intermediate in galls exploited by two species, and lowest in single-species galls; however, in each case, parasitization was highest in the unsprayed area. Finally, total percent parasitization in relation to gall size (larvae per gall) was directly density dependent in the control area, but density independent in the spray zone. The differences in spatial structure detected in the parasite guild were attributed to the effect of malathion on individuals, rather than species. It is suggested that analysis of the spatial structure of a parasite guild may be of some value in applied biological control.
Résumé L'étude a porté sur l'effet de 18 pulvérisations de malathion, pendant une période de 7 mois, sur la structure spatiale du cortège d'entomophages associés à Rhopalomyia californica Felt. L'analyse de plus de 140 galles récoltées le 30 mars 1982, tant dans la zone traitée (Woodside), que dans une zone contiguë non traitée (Jasper Ridge), a montré que le taux de parasitisme est plus faible dans la zone traitée. L'analyse ultérieure s'est focalisée sur la galle comme unité spatiale. Une galle contient de nombreuses loges et jusqu'à 50 larves de R. californica; celles renfermant des hôtes parasités peuvent contenir plusieurs espèces d'entomophage. Les pulvérisations d'insecticides ne modifient pas le nombre d'espèces d'entomophages par galle: les fréquences des galles contenant 0, 1, 2, 3 espèses d'entomophages sont à peur près identiques. Dans les deux zones, la fréquence totale de parasitisme est plus élevée dans les galles explotées par 3 espéces d'entomophages, intermédiaire s'il y a 2 espèces, et plus faible par une espèce; cependant, dans tous les cas les fréquences sont plus élevées dans la zone pulvérisation. Finalement, la fréquence totale de parasitisme en fonction de la taille des galles (larves par galle) étaient dépendait directement de la densité dans la zone témoin, et était indépendante de la densité dans la zone traitée. Les différences de structures spatiales des cortèges d'entomophages ont été attribués à l'effet du malathion sur les individus, plutôt que sur les espèces. Il en est déduit que l'analyse de la structure spatiale d'un cortège parasitaire peut avoir de l'intèrêt en entomologie appliquée.
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3.
Galling by Dysaphis devecta benefits groups of Aphis fabae as they are larger both on control and nitrogen-deprived apple plants which have been galled. Presumably D. devecta gains these advantages for itself because it can produce galls.Honeydew from A. fabae feeding on galled and ungalled control apple plants of the same age differs in its amino-acid content. It is thought that the presence of larger amounts of amino acids in the honeydew of aphids feeding on galled plants indicates that they had access to a better supply of these essential nutrients and consequently were able to attain a larger body-size.
Résumé Le puceron Dysaphis devecta Walker provoque des galles rouges sur les feuilles du pommier. Il n'est pas possible d'évaluer les bénéfices que peuvent offrir à ce puceron cette formation de galles, mais si on élève sur ces mêmes feuilles Aphis fabae Scop. qui lui ne provoque pas de galles, alors on peut constater que la formation de galles est bénéfique pour cette dernière espèce.Deux lots de ces pucerons ont été élevés sur des jeunes pommiers âgés de deux semaines, un lot se composant uniquement de cinq larves d'A. fabae, l'autre comportant quatre larves d'A. fabae et une de D. devecta. La même expérience a été répétée pendant quatre générations avec les descendants de chacun de ces lots de Puceron. Dans toutes les générations la longueur moyenne des pucerons élevés sur les plantes attaquées simultanément par un individu de D. devecta était supérieure à celle des pucerons issus de lots se composant seulement d'A. fabae. En même temps les Aphis fabae des lots mixtes se développaient plus rapidement et moins d'ailés sont apparus.D'autres essais ont été réalisés de la même façon, mais les plantes étaient âgées de cinq semaines et avaient reçu des solutions nutritives complètes ou sans azote. A nouveau, l'influence de d. devecta sur la plante-hôte a entraîné une alimentation plus favorable pour Aphis fabae pendant quelques générations.Le miellat d'A. fabae s'alimentant sur des plantes de même âge, attaquée ou non par D. devecta diffère par sa teneur en acides aminés; celle-ci est plus, élevée dans le miellat des pucerons se nourrissant sur des feuilles portant des galles. La production de galles foliaires par D. devecta favorise donc la production d'acides aminés ce qui est bénéfique pour ce puceron gallicole.
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4.
In a study of male alary dimorphism, clones of pea aphid, Acyrthosiphon pisum (Harris), were collected five times over two seasons in one location and once each from three other latitudes in the Great Plains region of North America. All clones produced some males when subjected to a short photoperiod (L14: D10 or L13: D11) at 20 °C. The presence of three distinct classes of clones based on the morph of males they produced (apterous only; alate only; apterous and alate in equal proportions) provides evidence for a genetic basis for the dimorphism. The relative frequencies of clones producing only apterous males varied geographically, providing some evidence to support the hypothesis that populations are not panmictic over the Great Plains region.
Résumé Le dimorphisme alaire mâle, — ou présence de mâle ailé et aptère —, s'observe à l'intérieur et en fonction des clones de A. pisum Harris. Notre objectif est de décrire la distribution et la fréquence de ces deux morphes. 143 clones de pucerons du pois ont été récoltés sur Medicago sativa dans quatre stations de la Grande Plaine d'Amérique du Nord, entre 44° 45 et 53° 12 N: à cinq reprises pendant deux saisons dans une station, et une fois dans chacune des 3 autres stations. Tous les clones, soumis à une photopériode courte: L14: D10 ou L13: D11 à 20 °C, ont produit quelques mâles. Les 8 échantillons ont donné à la fois des mâles aptères et ailés, et les observations dans les clones confortent les expériences.Trois classes de clones ont été formées à partir des morphes produits: mâles aptères seuls, mâles ailés seuls, ou quantités égales de chaque morphe. La fréquence par rapport à la distribution binomiale a été utilisée pour montrer que pour presque tous les clones produisant les deux morphes, les proportions étaient 1:1. Ces observations prouvent que la présence ou l'absence d'ailes est déterminée génétiquement, probablement par un gène diallélique lié au sexe. La fréquence des clones produisant uniquement des mâles aptères varie en fonction des populations examinées, ce qui laisse supposer une perte de panmixie à travers la Grande Plaine, quant au morphe des mâles.
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5.
This study aimed at evaluating the influence of intrinsic factors (clone, morph) on the parameters of the intrinsic rate of increase of Sitobion avenae (F.) and Rhopalosiphum padi (L.). For each species, apterous and alate exules of three clones originating from French oceanic regions were compared at 20 °C.The clonal factor had a significant effect on both time from birth until onset of reproduction (TBR) and intrinsic rate of increase (r). This effect was lower than that of the morph. Moreover, in the case of R. padi, a strong clone-morph interaction was observed.Both apterous and alate morphs were shown to have a higher rate of increase in R. padi than in S. avenae.Various models were fitted to aphid daily rate of reproduction. Both types of model and quality of fit depended mainly on the morph.
Résumé Cette étude a eu pour but d'évaluer l'importance de facteurs intrinsèques (clone et morphe) sur les paramètres du taux d'accroissement de Sitobion avenae (F.) et Rhopalosiphum padi (L.).Pour chaque espèce, trois clones originaires de régions océaniques françaises ont été comparés à 20 °C pour les morphes exules ailés et exules aptères.L'effet du clone est significatif sur l'âge reproducteur (durée comprise entre la naissance du puceron et le début de sa phase de reproduction) et sur le taux intrinsèque d'accroissement naturel. Il est plus faible que celui du morphe avec lequel il intéragit dans le cas de R. padi.Les différences interspécifiques relevées mettent en évidence les capacités d'accroissement supérieures de R. padi par rapport à celles de S. avenae, dans le cas des ailés comme dans celui des aptères.Enfin, différents modèles ont été appliqués aux données de reproduction journalière des pucerons. Le type et la qualité des ajustements varient essentiellement en fonction du morphe.
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6.
Résumé Bruchus affinis Frölich (Coléoptère, Bruchidae), est une espèce univoltine attirée sélectivement par les fleurs de L. sylvestris, qui constitue l'une des trois plantes dont les larves consomment les graines. Il s'agit d'un insecte typiquement spécialisé à l'exploitation de plantes particulières. Cependant, les femelles distribuent leurs ufs sur les gousses jeunes de L. sylvestris sans tenir compte, ni de leur disponibilité en graines, ni du nombre d'ufs déjà présents, alors que le développement des larves est solitaire. Les larves néonates perforent la gousse et gagnent des ovules. Plusieurs larves peuvent atteindre le même ovule, mais une seule se développe dans la graine en formation. Le nombre d'ufs pondus sur les premières gousses dépasse largement le nombre de graines qui se développeront dans ces gousses. La surabondance d'ufs sur les premières gousses entraîne une forte mortalité.Les déplacements des larves dans les gousses et leur comportement de pénétration dans les graines en croissance ne suppriment pas la compétition intraspécifique larvaire.Aucune adaptation n'ajuste la distribution des ufs et la répartition des larves à l'utilisation optimale des disponibilités en graines. Aucune stratégie adaptative ne limite le gaspillage de progéniture; la spécialisation trophique n'a pas entraîné un comportement reproducteur optimisant l'utilisation des ressources et la survie de la descendance.Bien que la période étudiée corresponde à moins de 10% de la durée du cycle annuel de B. affinis, la très forte mortalité observée entre la ponte et l'installation dans les graines constitue vraisemblablement le facteur-clé des fluctuations annuelles de la population. Les causes de cette mortalité varient d'une station à l'autre, et il est impossible de les hiérarchiser.  相似文献   

7.
Woolly apply aphid predation by the common earwig, Forficula auricularia L., and other predators was compared in high, intermediate and low earwig density plots of mature apple trees at an experimental orchard in the Netherlands. Aphid colonies were discovered and exterminated primarily by earwigs much more rapidly in the high and intermediate earwig density plots than in the low density plots. Where earwigs were excluded from trees by Tanglefoot bands around the trunks, woolly apple aphids infested 30–35% of new growth shoots whereas less than 10% of the shoots were infested where earwigs were relatively abundant.Several factors including the availability of alternate prey (e.g. Aphis pomi De Geer), earwig developmental phenology and weather probably influenced the outcome of the predation experiments. Nevertheless earwigs play an important role in suppressing woolly apple aphid populations and are potentially important, naturally occurring biological control agents for this pest.
Résumé L'action prédatrice exercée sur le puceron lanigère par le perceoreille commun, Forficula auricularia, et par d'autres prédateurs, a été comparée dans des parcelles d'un verger expérimental de pommiers adultes aux Pays-Bas. Ces parcelles étaient caractérisées par des densités fortes, intermédiaires, et basses en perce-oreilles. Les colonies de pucerons ont été découvertes et exterminées principalement par les perce-oreilles beaucoup plus rapidement dans les parcelles à forte et moyenne densité de perce-oreilles que dans celles à faible densité. Les pucerons lanigères ont colonisé 30 à 35% des nouvelles pousses lorsque les perce-oreilles étaient exclus par une barrière mécanique (Tanglefoot), alors que moins de 10% des pousses ont été infestées lorsque les perce-oreilles étaient relativement abondants.Plusieurs facterus ont probablement influencé le résultat des expériences de prédation, notamment la présence de proies alternatives (par exemple Aphis pomi), la phénologie du développement des perce-oreilles et le climat. Néanmoins, les perce-oreilles ont joué un rôle important en limitant les populations du puceron lanigère, et constituent potentiellement d'importants agents de contrôle naturel de ce ravageur.
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8.
The development time, survivorship and age-specific fecundity of apterous and alate virginoparae of the sowthistle aphid, Hyperomyzus lactucae (L.) (Homoptera: Aphididae), reared on Sonchus oleraceus L., were measured under various temperature and light regimes. Within the temperature range of daily means of 12.5–24°C, speed of development and reproductive rate increased, while life span and total fecundity decreased, with an increase in temperature. The relationship between temperature and rate of development was nearly linear, with a notional development threshold estimated at about 2°C. The intrinsic rate of increase (rm) was positively correlated with temperature when calculated on a daily basis, but was inversely related to temperature when measured on a physiological time scale. Alatae generally had a longer development time, and achieved a lower reproductive rate and life-time fecundity, than apterae reared under identical conditions.Comparison of aphid performance under constant and alternating temperature regimes, and between successive generations under the same regime, showed that (1) the conditions experienced by the aphid as an embryo within its mother are important in determining survival and development and (2) tolerable temperature limits vary with the pattern and amplitude of the fluctuations of temperature.At 22°C, changes of photoperiod within the range of 12D:12L to 8D:16L had little effect on aphid performance.
Résumé La durée du développement, le taux de survie et la fécondité en fonction de l'âge ont été suivis chez les virginipares aptères et ailés du puceron: Hyperomyzus lactucae L., élevé sur Sonchus oleraceus L., et soumis à différentes conditions de température et de lumière. A l'intérieur de la gamme de températures moyennes de 12,5 à 24°C, la vitesse de développement et le rythme de reproduction augmentent, tandis que la longévité et la fécondité totale diminuent. La relation entre la température et la durée du développement est presque linéaire, avec un seuil théorique de développement évalué à environ 2°C. Le taux intrinsèque d'accroissement est lié positivement à la température calculée sur une base quotidienne, mais la relation est inversée quand la température est mesurée sur une échelle physiologique. Pour des conditions d'élevage identiques, les ailés ont eu, dans l'ensemble, une durée de développement plus longue, un taux de reproduction et une fécondité totale plus faibles que les aptères.La comparaison des performances des pucerons sous thermopériodes ou températures constantes, ou entre les générations en conditions identiques, a montré (1) que les conditions subies par l'embryon dans la mère conditionnent la survie et le développement; (2) que les limites des températures tolérables changent en fonction du type et de l'amplitude des fluctuations de température.A 22°C, des modifications de la photopériode, dans la gamme; 12D:12L à 8D:16L, ont eu peu d'effet sur les performances des pucerons.
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9.
When the seven available instars and morphs of the aphid, Hyperomyzus lactucae (L.), were exposed together to oviposition by its hymenopterous parasite, Aphidius sonchi Marshall, the numbers of eggs laid were highest in the nymphal instars, particularly in third instar hosts. Adult aphids and alatiform nymphs had the least numbers of eggs laid in them.When the seven instars and morphs were exposed separately, comparatively fewer eggs were laid in both third and fourth (apteriform) instar hosts. These results suggested that, when given a choice, the parasite prefers larger apteriform nymphs.The distribution of eggs among individuals of the same instar during the 3-h test exposure was generally found to be random.
Résumé Quand les sept stades et types du puceron Hyperomyzus lactucea L. sont présentés ensemble à la ponte de son hyménoptère parasite, Aphidius sonchi Marshall, le nombre d'oeufs pondus est particulièrement élevé dans les larves de l'hôte au 3ème stade. Les pucerons adultes et les larves alatiformes avaient reçu le plus faible nombre d'oeufs. Quand les différents types et les sept stades sont exposés séparément, comparativement moins d'oeufs sont pondus à la fois sur les larves des 3ème et 4ème stades aptériformes. Ces résultats suggèrent que, quand on lui donne le choix, le parasite préfère les plus grosses laryes aptériformes. La distribution des oeufs parmi les individus du même stade était généralement au hasard.
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10.
Females of the gall midge Rabdophaga terminalis (H. Loew) (Diptera: Cecidomyiidae) are very selective in their choice of host plants at oviposition. In preference trials, eggs were laid almost exclusively on S. alba and S. fragilis. One single oviposition occurred on S. viminalis but none on S. triandra, S. daphnoides or S. smithiana. Significantly more eggs were laid on S. alba than on S. fragilis. No differences were detected between clones of the same species regarding oviposition in laboratory trials. Within the species of S. alba, larger buds were preferred. However, this did not explain the preference of S. alba to S. fragilis. There was agreement between plant species selected by the females and survival of the larvae. No galls developed when eggs were transferred to species that were not oviposited on. There was no difference between S. alba and S. fragilis in larval growth, but after two weeks of development there was a significantly higher proportion of larvae in cocoons and pupae on S. alba. There was a negative linear relationship between weight of larvae and larval number per gall, indicating larval competition. The negative slope was steeper for S. alba than for S. fragilis when larvae were weighed after two weeks of development. There were some discrepancies between laboratory and field data on infestation of S. alba and S. fragilis. Higher infestation levels were related to denser stands in the field.
Résumé Etude de la ponte et des performances larvaires de Rabdophaga terminalis (Diptera; Cecidomyiidae) sur plusieurs espèces de saules avec examen particulier de l'influence de la taille des bourgeons.La ponte et les performances larvaires de la cécidomyie galliforme, Rabdophaga terminalis (H. Loew) ont été étudiées sur plusieurs espèces et clones de saules cultivés en Suède. Les femelles sélectionnent avec soin les plantes hôtes lors de la ponte. Dans des essais préférentiels, les oeufs ont été pondus presque exclusivement sur S. alba et S. fragilis; une ponte a été observée sur S. viminalis et aucune sur S. triandra, S. daphnoïdes ou S. smithiana. Significativement plus d'oeufs ont été pondus sur S. alba que sur S. fragilis. Les essais au laboratoire n'ont pas permis de déceler des différences entre clones de la même espèce. Chez S. alba, les plus gros bourgeons étaient préférés, mais ceci ne permet pas d'expliquer la préférence pour S. alba par rapport à S. fragilis. Il y a coïncidence entre les plantes choisies par les femelles et al survie des larves; il n'y avait pas développement de galles quand des oeufs étaient transférés sur des espèces qui n'avaient pas reçu de pontes. La croissance larvaire sur S. alba et S. fragilis ne présentait pas de différences, mais après 2 semaines de développement il y avait significativement plus de larves en cocons et pupes sur S. alba. La corrélation entre le poids des larves et le nombre de larves par cellule était linéaire et négative, ce qui indique une compétition larvaire; la pente était plus raide pour S. alba que pour S. fragilis quand les larves étaient pesées au bout de 2 semaines de développement. Il y a eu quelques discordances entre les résultats au laboratoire et les données de terrain sur la contamination de S. alba et S. fragilis. Les plus fortes contaminations étaient observées à l'extérieur sur pépinières denses.
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11.
The orientation response of adult apterous Myzus persicae (Sulz.) to targets approximately 1 m distant in an arena was investigated. The targets were combinations of turnip leaves of different known ages and/or paper leaves of the same shape and size, but of different known reflectances. In white arenas, the apterae consistently approached the target which had the greatest percentage reflectance in the range 520–580 nm over targets of lesser reflectance. There was no evidence of olfaction. Compact shapes were approached more frequently than narrow rectangles of the same surface area. Turnip leaves against a black background were approached less frequently than those against a white background. Small black targets against a white background elicited a response, although most apterae became disorientated before reaching them. With increasing target size, this disorientation occurred at increasing distances. These responses to colour and shape are similar to those described by other authors for flight exhausted alatae.
Effets de la couleur et de la forme des hôtes cibles sur l'orientation au laboratoire d'adultes aptères Myzus persicae en train d'émigrer
Résumé L'étude a porté sur la ré-orientation de l'adulte aptère Myzus persicae en réaction à des cibles situées approximativement à 1 m de distance dans une arène blanche. Les cibles étaient composées de feuilles de navet de différents âges connus et/ou de feuilles de papier de la même taille et même forme, mais de réflectance différente mais connue. Dans des arènes blanches, les adultes aptères ont atteint d'une façon nette les cibles, qui avaient la plus grande réflectance dans la gamme de 520–580 nm. Il n'y avait pas d'indices d'olfaction. Les formes compactes ont été atteintes plus fréquemment que les rectangles étroits de même superficie. Les feuilles de navet sur fond noir étaient atteintes moins fréquemment que celles qui étaient sur un fond blanc. De petites cibles noires sur fond blanc ont provoqué une certaine réaction, bienque la plupart des adultes aptères semblaient devenir désorientées avant de les atteindre. En augmentant la taille de la cible, cette désorientation est apparue à des distances croissantes. Ces réactions à la couleur et à la forme correspondent à celles décrites par d'autres auteurs chez des adultes ailés épuisés par leur vol.
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12.
Oviposition behavior and larval mortality of the pea weevil, Bruchus pisorum L. on Lathyrus tingitanus L. and Lathyrus sativus L. were studied to determine the mechanisms by which these plant species resist pea weevil attack. Female weevils caged on pods of these species oviposited at a reduced rate compared to those caged on pods of pea, Pisum sativum L. Females kept in vials in the laboratory and given a choice between L. sativus pods and pea pods oviposited at a higher rate on pea and the glass vial than on L. sativus. Two to three days following oviposition, L. tingitanus pods developed callus tissue growth beneath the eggs. These growths later covered much of the pod. L. sativus pods exhibited a similar response to hatching larvae. Pea weevil larvae attempting to penetrate pods of both species died. Larvae placed inside L. sativus pods established in seeds and had no greater mortality after 72 h than those placed inside pea pods. Identified defenses in lathyrus against pea weevil attack consist of antibiosis as well as antixenosis. These resistance mechanisms are located in the pod.
Résumé Les espèces de Lathyrus sont indemnés d'attaques de la bruche du pois, Bruchus pisorum, bien que le pollen de deux membres de ce genre ait induit, après ingestion, l'ovogenèse des femelles. La ponte et la mortalité larvaire de B. pisorum sur L. tingitanus et L. sativus (Leguminosae) ont été examinées pour déterminer les mécanismes permetant à ces espèces de résister à l'attaque de cette bruche. Des femelles aux ovaires développés ont été mises en cage en serre, avec des gousses de chacune des deux espèces de Lathyrus et de Pisum sativum; les femelles ont pondu beaucoup moins sur Lathyrus que sur Pisum. Au laboratoire, des femelles aptes à pondre, placées dans des bocaux avec des gousses de même taille de L. sativus et P. sativus, ont pondu sur le pois et le bocal que sur L. sativus.Deux à 3 jours après contamination par les oeufs de bruche, les gousses de L. tingitanus forment des cals sous les oeufs. Ces excroissances s'étendent de telle sorte que la majorité de la gousse en est recouverte quelques jours plus tard; les gousses de L. sativus présentent une réponse semblable mais plus localisée. La croissance du cal se produit en réponse à l'éclosion plutôt qu'à la ponte, car aucune n'a été observée sous les oeufs qui n'ont pas éclos, et aucune s'étend au-delà des zones immédiatement sous les oeufs éclos. Les larves de B. pisorum tentant de pénétrer dans les gousses des 2 espèces meurent, tandis que des larves placées à l'intérieur des gouses de L. sativus n'ont pas présenté une mortalité supérieure dans les graines au bout de 72 h à celle des larves placées à l'intérieur des gousses de pois. On peut envisager que la reconnaissance de stimuli dissuasifs par les femelles de bruches ait pu évoluer en réponse à la présence de mécanismes de défense de la gousse.
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13.
In northeastern North Carolina, outbreaks ofTetranychus urticae Koch on commercial corn and peanut plantings were observed to coincide with flowering and fruiting of the crop host. In greenhouse studies, when equal mite numbers were started on plants in either vegetative or reproductive growth stages, populations increased significantly more after 3–4 weeks on reproductive plants of both corn and peanut. This direct response of mite populations to differences in plant phenology appears to be an important component in the population dynamics ofT. urticae. The importance of this effect in understanding mite outbreaks on corn and peanut is discussed, especially in reference to the corn-peanut agroecosystem in North Carolina.
Réponse de populations deTetranychus urticae Koch., aux phénologies du maïs et de l'arachide
Résumé Les populations de tétraniques sont souvent associées à la floraison et à la fructification des plantes attaquées. Dans les agrosystèmes maïsarachide du N.E. de la Caroline du Nord, l'augmentation rapide de populations deT. urticae a été observée lors de la maturation des épis mâles du maïs et du maximum de floraison de l'arachide. Bien que ces observations suggèrent une relation causale avec la phénologie des plantes hôtes, il est difficile de déterminer dans les conditions de la nature si l'augmentation des populations d'acariens sur les stades reproducteurs des plantes est due à une réponse à la phénologie des cultures ou à une autre cause, comme le passé de la population ou une immigration. Des expériences ont été réalisées dans une serre pour mettre en évidence l'action de la phénologie du maïs et de l'arachide sur les populations d'acariens en maîtrisant ces autres hypothétiques facteurs. Des effectifs identiques d'acariens femelles ont été libérés sur des plantes à des stades tant végétatifs que reproductifs, et ensuite laissés sans interventions pendant plusieurs semaines, au bout desquelles les effectifs sur chaque plante ont été dénombrés. Sur les deux hôtes, les populations sur plante à un stade reproducteur avaient augmenté significativement plus que sur les plantes de même espèce à un stade végétatif. Ces résultats montrent queT. urticae répond directement à des différences entre plantes à un stade végétatif et à un stade reproductif. Cette réponse semble jouer un rôle important dans la dynamique des populations deT. urticae.
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14.
L'influence de quelques variables liées aux plantes de Phaseolus vulgaris (date de maturation, hauteur et nombre de graines dans les gousses) sur la ponte de la bruche du haricot Acanthoscelides obtectus a été étudiée dans la nature sur 20 pieds de haricot dont toutes les gousses ont été suivies puis récoltées.Les résultats montrent une bonne corrélation entre le nombre d'oeufs émis dans une gousse et le nombre de jours avec présence d'adultes sur cette gousse. La date de maturation influence fortement la contamination des gousses. Au niveau spatial, les pieds situés dans des zones non désherbées, où peuvent s'alimenter les adultes, sont les plus contaminés. Les autres variables semblent avoir moins d'importance.On note une très forte agrégativité des pontes dans certaines gousses qui sont, en général, parmi les premières mûres, mais cette agrégativité persiste même si les femelles ont le choix, sur un même pied, entre plusieurs gousses arrivées ensemble à maturité.  相似文献   

15.
The length of the time young gypsy moth, Lymantria dispar L. (Lepidoptera: Lymantriidae), larvae remain in litter after failing from trees would help in understanding the impact of predation by ants, as ants appear to be important predators of gypsy moths only in litter. To obtain information on caterpillar litter residence times, visual activity of larvae was investigated in the laboratory by presenting them with vertical dark silhouettes of various widths in a 1 m wide cylindrical arena. Their limit of angular resolution was about 1°. This value helped to determine distances to trees caterpillars could be expected to orient toward from randomly-located points in a forest. These data were used with results on litter crawling speed of instars 1, 2, and 3 in a simulation model that generated litter residence times averaging serveral hours. By combining results with a previously-developed model of ant predation in forest litter, it was estimated that about half of unfed first instars falling into the litter would survive, whereas only about 10% of 2nd and 3rd instars would. The implications these results have for control of the gypsy moth are discussed.
Résumé La prédation par les fourmis du genre Formica spp. a une influence importante sur les premiers stades de L. dispar (Lepido., Lymantriidae) en Amérique du Nord. La durée du temps passé dans la litière par les jeunes chenilles après être tombées des arbres doit permettre de comprendre l'impact de la prédation par les fourmis. Pour connaître le temps de séjour des chenilles dans la litière, l'acuité visuelle des chenilles a été examinée au laboratoire en leur présentant des silhouettes noires verticales de différentes largeurs dans une arène circulaire de 1 m de diamètre. La limite de leur angle de résolution était d'environ 1°. Cette valeur a été utilisée pour déterminer les distances (jusqu'à 5 m) quelles que soient les orientations dans la forêt, d'arbres supposés susceptibles d'orienter les chenilles. Les arbres aux silhouettes acceptables étaient distribués uniformément entre 1 et 5 m.Les vitesses de déplacement dans la litière des stades 1, 2, et 3 ont été mesurées par observation directe dans la forêt (elles variaient de 0.9 à 1,54 cm/min). La distance des arbres et la vitesse de déplacement on servi à construire un modèle de simulation qui a donné un temps moyen de séjour de plusieurs heures. En combinant ces résultats avec un modèle précédemment publié de la prédation par les fourmis dans la litière de la forêt, qui utilisait le temps de contact des chenilles avec les fourmis et les taux de captures victorieuses pour estimer la mortalité, nous avons déterminé que la moitié environ des chenilles non alimentées de premier stade tombées dans la litière pourraient survivre, tandis que la survie pour le second et le troisième stade ne serait que de 10%. La discussion porte sur l'importance de ces résultats dans la lutte contre L. dispar.
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16.
The applicability of the Insect Growth Regulators (IGR) with juvenile-hormone activity, epofenonane and fenoxycarb, was investigated in an Integrated Pest Management (IPM) program in six apple orchards during 1977–1983, against tortricid larvae. In some of these orchards Adoxophyes orana (F.v.R.) was the main pest species, and in others Pandemis heparana (Denn. & Schiff), Archips podana (Scop.) and Archips rosana (L.) were predominant.The IGR was sprayed twice at the time of emergence of last-instar larvae in spring, and resulted in adequate reduction of the numbers of the leafroller complex during the rest of the year. Reinfestation by moths never resulted in an increase to a harmful population level. IGR treatments kept fruit damage by leafrollers at a low level.
Utilisation de deux régulateurs de croissance d'insectes (RCI), l'épofénonane et le fénoxycarbe, en lutte intégrée contre les tordeuses des vergers de pommiers
Résumé L'épofénonane et le fénoxycarbe, deux régulateurs de croissance d'insectes (RCI) analogues de l'hormone juvénile, ont été testés contre les tordeuses de 1977 à 1983 dans 6 vergers de pommiers conduits en lutte intégrée. Dans certains vergers, l'espèce la plus abondante était Adoxophyes orana, dans d'autres par contre Pandemis heparana, Archips podana ou Archips rosana étaient dominantes.Cette étude vise à déterminer: (a) si l'immigration à partir de vergers voisins, en particulier de l'espèce bivoltine A. orana, peut compromettre le succès de la lutte; (b) si deux applications annuelles de RCI suffisent pour lutter simultanément contre plusieurs espèces différentes de tordeuses.L'importance de l'immigration est estimée en comparant les résultats obtenus avec les RCI dans des vergers isolés et non isolés.Deux traitements aux RCI sont effectués au printemps au moment où les larves de la génération hivernante sont au dernier stade. Ces traitements conduisant à une réduction remarquable pour le reste de l'année du complexe des tordeuses y compris A. orana, quelque soit la situation du verger. Une réinfestation ultérieure n'a jamais provoqué un dépassement du seuil économique de tolérance. L'application des RCI a permis de maintenir les attaques de tordeuses sur fruits à un bas niveau. Les RCI preentent un intérêt considérable pour la lutte intégrée contre les tordeuses car les autres moyens sélectifs disponibles actuellement sont peu efficaces.
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17.
The impact of nodules of Rhizobium on Sitona hispidulus (F.) developmental success was investigated in both laboratory and field situations. In the laboratory, alfalfa (Medicago sativa L.) and red clover (Trifolium pratense L.) were grown with two nutrient solutions, one of which fostered and one of which inhibited nodulation. Neonate larvae were introduced onto the roots and survivorship and development monitored. Survivorship was greatly enhanced by the presence of nodules. Preference tests performed with neonate larvae indicated a strong attraction to root nodules. Field studies which used nitrogen fertilization to delay onset of nodulation in established alfalfa demonstrated that numbers of larvae and emerging adults were significantly lower in the nitrogen treated plots than in the control plots.
Résumé L'influence des nodosités rhizobiales sur le développement et la survie de Sitona hispidulus a été étudiée en intervenant sur la nodulation de la plante. Au laboratoire, la luzerne (Medicago sativa) et le trèfle rouge (Trifolium pratense) se sont développés dans des pièces climatisées sur un substrat de sable/vermiculite et sur deux types de solutions nutritives (l'une avec azote, l'autre sans azote). La présence d'azote inhibe la nodulation des racines inoculées avec du Rhizobium. Des larves néonates ont été placées sur des racines et examinées après plusieurs semaines de croissance. La présence de nodules a eu un effet hautement significatif sur la survie larvaire. De plus, la présence de nodosités a effecté le développement larvaire, en augmentant le taux de développement sur luzerne et en le réduisant sur trèfle. Une expérience destinée à examiner la rapidité d'agrégation des larves néonates sur des racines nodulées ou non, révèle une forte préférence pour les racines à nodosités.Des expériences dans la nature ont permis de retarder la nodulation de la luzerne en dormance pendant l'hiver par apports d'azote; l'échantillonnage des larves et des émergences d'adultes a indiqué une diminution significative des populations dans les parcelles ayant reçu de l'azote.
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Résumé Au début du printemps les adultes de Coccinella septempunctata L. (Col., Coccinellidae) issus des sites d'hivernation, les larves et les nymphes qui en proviennent, fréquentent le sol et les parties basses du blé. En juin, les adultes nés dans le champ et leur descendance sont dispersés sur toute la hauteur des talles bien qu'une fraction non négligeable de leur population se rencontre à l'extrémité supérieure. La plupart des pontes sont déposées sous les mottes de terre, les pierres et les petites adventices qui constituent des sites privilégiés. Ces variations de la distribution de cette coccinelle peuvent être mises en relation avec le climat, en particulier la température, avec la thermophilie de cette espèce et avec la répartition sur les différentes parties des talles des 3 espèces de puceron qui se succèdent au cours de la saison. Ces observations sont importantes à considérer lors du choix ou de la mise au point d'une méthode d'échantillonnage.  相似文献   

19.
Apterous and alate Sitobion avenae (Fab.) were dissected from the third instar onwards and the size and degree of development of their largest embryos recorded. From at least the third instar apterae had larger and more well developed embryos than alatae. Embryos in both morphs showed an exponential increase in volume with time during their mothers' nymphal development, but those in apterous mothers grew faster. Although alatae had a longer pre-reproductive development than apterae, it was not long enough to compensate for the lower embryo growth rates in alatae and as a consequence they initially produced smaller and fewer offspring than apterae. After 4 days of reproduction apterous and alate mothers produced similar sized offspring and at the same rate. The total fecundity of apterae was greater than that of alatae.
Résumé La taille et l'état de développement des plus gros embryons de Sitobion avenae Fab ont été examinés par dissection d'ailés et aptères à partir du troisième stade. La taille des embryons des 2 morphes augmente pendant le développement larvaire des mères, mais ceux des mères aptères grossissent plus vite. Bien que la période précédant la reproduction des alates soit plus longue chez les ailés que chez les aptères, les embryons des ailés sont néanmoins incapables de l'emporter en taille sur les aptères, et les ailés produisent initialement moins de pucerons et plus petits que les aptères. Après 4 jours de reproduction, les mères ailées et aptères produisent des pucerons de même taille au même rythme. La fécondité totale des aptères est supérieure à celle des ailés; la différence est liée à la biologie des 2 morphes.
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In a field study of the grain aphid Sitobion avenae (F.) almost all apterous aphids were found to move from the natal ear before reproducing, and alatiform nymphs usually moved between ears during their development. Apterae were very mobile, with over 50% staying on one ear for less than 24 h. Movements did not appear to be a response to climatic conditions, predation or colony density.
Résumé Lors de l'étude de Sitobion avenae dans la nature, on a constaté que presque tous les individus aptères avaient quitté leur épi d'origine avant la reproduction, et que les larves de type ailé s'étaient déplacées généralement entre les épis pendant leur développement. Les aptères étaient très mobiles, la majorité restant moins de 24 h sur le même épi. Ces déplacements n'ont pas semblé dépendre des conditions climatiques, de la prédation ou de la densité des colonies.
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